30/06/2006
Bol ou ras-le-bol ?

Le Mondial de football a de ses retombées bien dépendantes de la psychologie et de la chance. En préambule, je dirai que je ne suis pas un fan de football et que je fais un exercice périlleux en parlant de ce que je ne connais pas à fond. En effet, en dehors des matches du Mondial et de moments furtifs d’autres épisodes, vous ne me verriez pas devant mon écran de télé avec le gazon vert et la balle qui passe de pieds en pieds vers des goals hypothétiques. Exception, peut-être. Chacun son truc. Donc, pardon pour des interprétations malheureuses.