Réflexions du Miroir
  • Notes
  • Pages
  • Catégories
  • Archives
  • Tags

Parallèle avec les femmes des années 20

Intéressant de faire le parallélisme entre Charlie Chaplin de ses débuts avec ceux de Louise Brooks, idole féminine qui danse le charleston.

Libérées, les femmes veulent travailler, revendiquent l'égalité avec les hommes. L'université de Louvain ouvrent la première, ses portes aux étudiantes.

En 1921, les femmes belges s'émancipent et obtiennent le droit de vote dans les élections communales. 

Louise Brooks a été considérée comme l'une des premières actrices « naturelles » du cinéma, grâce à son jeu subtil et nuancé avec sa coupe de cheveux à la garçonne.

Elle est l'interprète, dans le film "The Street of Forgotten Men".

Louise Brooks, bien que capricieuse et dépensière, est généreuse envers ses amis ou ses compagnons, jusqu'à l'excès.

Plus tard, considérée comme communiste, elle se retrouve sur la liste noire du FBI. Elle ne peut reconquérir son succès d'antan.

Dès lors, elle joue tantôt les femmes fatales tantôt les mères de famille pleines d'énergie dans différents westerns de Série B et finit par se retirer du showbiz.

Sur ARTE:

Les années 20 ou la décennie des femmes Le quotidien et les excès

Les années 20 ou la décennie des femmes (1/2)

.

La Première Guerre mondiale a radicalement changé la donne pour les femmes occidentales. Leurs frères et époux étant au front, elles investissent massivement le marché du travail, goûtant à une émancipation nouvelle à laquelle elles n’entendent pas renoncer une fois la paix rétablie. Elles conduisent, fument, s’adonnent au sport et à des activités traditionnellement viriles. Les suffragettes arrachent le droit de vote dans un nombre croissant de pays, tandis que la jeune Union soviétique inscrit dans la loi l’égalité des sexes. L’image de la "garçonne", cheveux courts et jupe au genou, incarnée par les actrices hollywoodiennes comme Clara Bow ou Louise Brooks, reflète et encourage une profonde mutation en matière de mœurs et de sexualité.
Le monde occidental est traversé par un élan d’émancipation féminine. Ce second volet se lance sur les traces de quatre artistes audacieuses et visionnaires : Georgia O’Keeffe, Vera Moukhina, Tamara de Lempicka et Hannah Höch
L'art et la carrière

En Europe, aux États-Unis et en Union soviétique, les années 1920 voient émerger une génération d’artistes femmes qui profitent du vent de liberté d’après-guerre pour revendiquer la place qui leur revient dans le milieu masculin des avant-gardes. À New York, la peintre Georgia O’Keeffe s’illustre avec ses natures mortes à l’érotisme exubérant. En URSS, la sculptrice Vera Moukhina conçoit des oeuvres monumentales emblématiques du réalisme socialiste. À Paris, Tamara de Lempicka devient une des figures du mouvement Art déco. La Berlinoise Hannah Höch s’approprie, elle, la technique du collage dadaïste. 

0.PNG

Les commentaires sont fermés.

> Haut de page
Chargement...