Agoravox Suite (01/10/2007)

blogDéfendre Agoravox, c'est défendre nos libertés.

Cet article, qu'est-il venu faire dans cette galère?

Agoravox n'est pas HautEtFort qui prend mon temps depuis près de trois ans.  Le site citoyen Agoravox reçoit aussi mes "visites" sous forme de commentaires et d'articles depuis deux ans. Il prenait beaucoup de mon temps aussi à la modération d'articles d'autres rédacteurs. Une saine remise en question était seulement nécessaire quand les exceptions, les extras en désaccord avec le manque de respect vis-à-vis de chacun, rédacteurs ou commentateurs, devenait insoutenable. Trouver une solution s'imposait et surtout pas par l'intermédiaire d'une fuite de ce qu'on a aimé. Si vous ne vous sentez pas concerné par cette action passez vite à l'article suivant.

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Ce qui va suivre est un article en cosignature de multiples rédacteurs de cet "ailleurs". (Entre autre Gasty, Le Chat, Le Panda, l'Enfoiré, etc.). Il y avait de la franche rigolade. Ce n'était point une attaque contre Agoravox, mais, un seul désir d'amélioration et de corrections.

L'imagination, comme le droit d’expression était libre. Exprimez ce que ces rédacteurs avaient sur le cœur, avec humour, courtoisie, et respect étaient du parcours.

Nous l'avons proposer à la modération respectant ainsi « la ligne éditoriale ». Cela ne s'était jamais fait à ce jour. Nous pensions que si la modération existait avec de l’humour réellement nous aurions un article d'anthologie.

C'était notre liberté d'expression que l'on faisait taire tout du moins certains.

Toutes les suggestions correctes et humoristiques étaient les bienvenues. Sommes-nous parvenus à nos fins? Questions avec ou sans réponses?

Nous continuions à semer afin de récolter les fruits de la transparence !

Il ne fallait pas oublier que dans toute armée il faut un chef, nous l'acceptions normal…

Toute armée a un chef, mais sans soldats il n'y a pas d'armée.

La meilleure façon d’agir démocratiquement c’était de refuser la démagogie.

La transparence et une plus grande cohésion parmi les rédacteurs, le rejet de commentaires totalement insupportable.

L'humour, oui, le commentaire ferrugineux, non. (Dixit Bourvil)

La base d'Agoravox, c'était nous tous sans exception qui l'avons construite.

Nous nous devions de la défendre.

Nous avons seulement été les « ouvreurs de notre futur » de véritables bâtisseurs et non des ensevelisseurs.

Agoravox est ce qu'il est et notre plaisir était de communiquer le message que nous voulions voir véhiculer, dans la correction de tout.

Cet article fait suite aux commentaires de "Le vertige du monde selon Facebook".

Nous le publions même si nous devons nous battre pour que vous puissiez vous exprimer « Voltaire, Le Vrai ».

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Les affaires du Sports ou des Conjonctures…

Il était une fois, puis non ce n’est pas vrai, nous sommes des Pieds Nickelés presque ficelés dans une fausse armature. C’est à l’arbitre botté tout comme nous de nous compter et de voir si les filets sont ou ne sont pas percés. De plus il faut vérifier si le terrain, les joueurs portent la tenue réglementaire.

Dans une autre ville de la botte de l’Europe, un match devait se dérouler entre les bleus et les blancs, la pluie survint le match n’eu pas lieu et tous les élèves devant rendre leur copie le « jeudi » eurent 20/20 il n’y en eût que quelques uns qui décrirent la partie-match, « Ils » furent traités de « menteurs » et de fauteurs de troubles et punis de paraître à l’entrainement même cela dura des siècles. Jusqu’à la prescription….

Oui, on sait fut un temps il y eu le piège pour les « 3 petits nègres » d’Agata Christie, cela fit un tabac à la vente plus important que tous les ouvrages sur les présidentielles, y compris celles de 2007, ce n’est pas peu dire, on ne connaît pas même le nombre d’ouvrages vendus.

Personne c’est une règle absolu ne peu contester les décisions de l’Arbitre sous peine d’exclusion temporaire, voire définitive. Or certains jouant pour la première fois ne connaissaient pas les « règles du jeu » et ne sachant point que la modération suprême pouvait l’emporter sur les pages noircies et certains se demandèrent pourquoi, elle, lui, et pas moi ?

Non vous ne saurez rien sur le chauve, le mont Pelé ainsi commençait une chanson qui alla jusqu’au Vatican et valu presque l’excommunication de frère Pierre pas le pété de la cafetière mais celui du Perret.

Tout cela ne vaut pas un clair de lune à Maubeuge, une visite à Rome, une balade en gondole à Venise, une cabane au Canada, les lacs des moustiques de Fos-sur mer et le dictionnaire des villes serait trop petit pour comprendre les comptes de plus et moins, à ce tantôt.

Durant ce temps le manekenpis s’en donnait à cœur joie à Bruxelles, « pipi sans arrêt » vu que 8 jours avant il dégusta un Saint-nectaire, dont Louis XIV lui conféra son Soleil, comme certains devinrent maîtres des Arts dans les séries interdites aux moins de 18 ans, comme certaines cités à d’autres, car il n’y a pas de lumières et on y voit rien sur les livres. Comment vont écrire les « participants »

Plus personne ou presque ne se trouvait sur le terrain, l’arbitre avait décidé de regarder une ancienne série de l’O.R.T.F. : « l’homme invisible » dans une bambouseraie, mais il y avait tellement de chats qu’il sorti tout égratigné et dû se réfugier chez des lutins en marquant le silence durant un temps infini.

Il avait dû voir juste, puisqu’il ne devait rendre de comptes à personne, alors seul le fait de se voir prit par la patrouille le fit jouer la 7éme compagnie : « Pardon Chef, j’ai glissé » Oui mais le plus beau c’est qu’il entraina avec lui les billets pour la rentrée de la 1ere de la pièce De La Grande ARTE…Donnée au Muséum de Rome via Bruxelles…

Voilà un menu que l’on ne peut manger que dans Rolls-Royce, et ne tentez pas de lui refiler une autre étrangère il a des gardes du corps, qui s’y connaissent en marque de bagnoles, il y a autant de soupapes que de pistons, que celui qui a dit cela soit banni à vie de mon Empire. « Je fais ce que je veux, quand je veux, où je veux, avec qui je veux et surtout comme je le peux répondit l’écho »

L’histoire des Pieds nickelés prend une autre tournure, vu que Tintin, et les enfoirés plus les Chats de mémère surgirent, je vous parle pas des plaintes de gouttières…De façons Furtives….Roméo et Juliette se rendirent à la noce des Trolls….Dans La Taverne, hôla Tavernier…à boire du Belge, mais sans Chianti…

Voilà le type de l’idée du Panda à chacun sa m…ho pardon ! je voulais écrire d’y mettre sa note de tarte ou de tartre…les conduites sont bouchées et le de-stop n’agit plus….

Le Panda

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Un dimanche comme les autres, enfin presque...

Il y a bien longtemps, dans le grand village de Romantica, une grande contestation se préparait dans les l'arènes de Fassebocus.

Lucius Varenus était au microphonus depuis un certain temps et vociféraient les avantages des promotors de l'arène. L'entrée était gratis, mais il fallait des sesterces pour alimenter les caisses. Spectators, vociferors, commentators, moderators étaient là dans les gradins. Les coussins n'allaient pas servir que pour faciliter les fessus.

Tout à coup, l'imperator Revempli apparu. Majestueux, il coupa Lucius et commença à vanter les talents des nouvelles armes que Articulus allait présenter aux yeux ébahis de l'assemblée.

Surpris, car il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas pris la parole, les spectators se mirent à lancer des plaintes, des propositions d'améliorations fonctionnelles. Le philosophe Pietrus eut une série de propositions partiellement applaudies par le tribun Revempli. Les Detritus Wagonnus étaient là et comme d'habitude se devaient de faire acte de présence ou d'abscence en parlant pour ne rien dire.

Dans ces conditions Zenus ne put difficilement calmer le jeu. Furtifus n'était pourtant pas en reste.

Enfin, le glatiator Articulus entra sur le sable de l'arène et fut surpris que personne n'était près à voir sa prestation.

Les Chatus, toutes griffes dehors, s'y mirent pour corser l'ambiance du côté humour. Critiques, parfois suppliques continuaient plus acerbes l'une que l'autre.

Le Pandacus sautillait d'impatience. Le bigophonus grésillait encore dans ses oreilles.

Le bon peuple des spectators ne comprenait plus ce qu'ils étaient venus faire dans cette arène ou plutôt cette galère.

Dans son coin, le moderator Enfoirus Mulefritus se rappelait les tablettes qu'il avait envoyées à l'imperator pour le prévenir que la révolte grondait.

L'Imperator Revempli soutint, mordicus, que son combat était bon. Il se retira très vite de l'arène Fassusbocus. Furieux. Car il n'avait pu faire jouer avec son pouce vers le ciel ou vers le sable de l'arène. Allait-il compter les points avec son personnus orditus?

Il avait une idée géniale en tête et la semaine prochaine, il la communiquerait (dixit lui-même).

Son idée: repeindre les murs de l'arène (en rose? Il ne savait encore) et affiner le sable de l'arène. Celui-ci était vraiment trop dur, lorsque les gladiators tombaient sur le sol.

Il fallait qu'ils durent ces gladiators. Les sesterces en dépendaient.

Ils se retrouvèrent à la sortie du grand stadus chez La Tavernus du coin en rêvant d'une Romantica un peu plus romantique et plus collaboratice.

In vinus veritas, pensaient-ils tous.

L'enfoiré 

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Dagobert Rovelli

D’un domaine privé, l’Empereur réserva à ses sujets un espace public. Les sujets vinrent en très grands nombres. Tous les sujets furent admis. Les sujets parlementèrent, débattirent de tout et de rien, jusqu’à se rompre les mâchoires supérieures et inférieures. Un observateur leur dit même qu’ils ressemblaient à des animaux de basse-cour. La chose fut prise avec humour car l’humour était aussi admis dans l’espace public. Le Roi contempla son œuvre. Cela le servit fort bien puisque ces papotages anodins lui servirent de baromètre pour mesurer le pouls de la population.

Le Roi comprit également que ses sujets formaient deux groupes : les forts en thèmes et ceux qui se contentaient de dodeliner… pour un oui pour un non. Mais un jour, le roi sentit un malaise. Sa quiétude le quittait parce qu’il sentait bien, d’un flegme digne de la Vieille Albion, que l’espace public ne suffisait plus. Les forts en thèmes discutaient de désaffection à l’égard du lieu public. Les sujets dodelinant de la tête – sans coup férir – approuvaient. Quelques dissidences marquaient faiblement le rythme des conversations. Ces dissidences procédaient plus du scepticisme que de la remise en question brutale. Bref, les sujets de l’espace public revendiquaient. Ils ne se contentaient plus d’un bavardage sans conséquences. La revendication s’installait.

Le Roi fit grand cas de cette tendance jugée inappropriée à son encontre. Discuter selon les règles, cela va. Discuter en haussant le ton et en utilisant occasionnellement quelques mots qui créent des maux, cela va aussi. Mais glisser insidieusement dans ces conversations et badineries des contestations et des revendications, rien n’allait plus. Comment les sujets pouvaient-ils être aussi ingrats à son endroit, lui, le roi, si généreux de son espace public au sein de son domaine privé ? Sans chercher les causes du malaise de ses sujets, le Roi feignit une première attaque : l’indifférence.

Le Roi dont le nez ne reniflait que l’air des nuages pour éviter celui du crottin ignora donc ses sujets. Pour en évaluer les effets. Et effets il y eut. Les sujets – par grand mal et grand peine – quittèrent un à un l’espace public pour préférer la rue. Les sujets se retrouvaient ainsi libérés des astreintes royales. Un matin, après quelques jours d’indifférence, le Roi vint se promener dans l’espace public. Fier de sa stratégie. Le choc fut brutal. Plus un chaton, plus un chat, plus un enfoiré, plus un panda, la Cour avait déserté. Holà mes gens ! Qu’est-ce ce silence ? Plus de murmures, plus de gloussements, plus de petits cris étouffés en rythme avec les débats, plus rien. Un silence mortuaire. L’espace public venait de mourir.

Le Roi ne s’en remit jamais. Lui et son domaine disparurent dans le souvenir des sujets pour traverser le désert de l’oubli et de l’indifférence. Le Roi subissait ce qu’il a indifféremment fait subir à ses sujets. Triste sort, mes amis.

Pierre R.

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Le monde d’internet.

Au premier coup de sifflet, un matou qui s’était endormi sur le bord de la touche s’écria en sursaut« J’ai rêvé d’un monde meilleur ».

Stupéfait, les autres matous se regardèrent. Plus en retrait sur une estrade dominant la partie, des visages crispés en un rictus définitivement souriant (greffes managériales ayant réussi) s’agitèrent de soubresauts à l’évocation d’un monde meilleur, un monde meilleur que le leur, quelques rictus se perdirent en des expressions désabusés.

· Un monde d’internet ouvert sur l’échange, le partage, un monde d’idées à décoiffer les chauves-souris.

· Un monde ou tous les joueurs pourraient s’Azertyr, et que même les Qwerty trouveraient leurs places dans un jeu convenable.

Car l’enjeu du jeu au travers de l’envers des forums était de taille. Les vétérans avaient construit le terrain. On leur avait offert l’emplacement, le projet devait être un lieu d’échange ou tous pourraient s’exprimer, participer, se donner et de se dire en final « comme c’est si bon d’être ensemble». Mais si c’est bon, c’est cybion et cy c’est bion, c’est qui donc !

La partie ne faisait que commencer, il fallait une stratégie d’équipe. Cabau Rottweili avait été désigné pour emmener l’équipe vers la victoire du citoyen face à l’hégémonie cathodique des pouvoirs précédent et succédant. Devant l’enthousiasme, nous ne pouvions perdre. Cabau Rottweili en bonne place sur l’estrade assistait au coup d’envoi de la cinquième partie.

Perdre était impossible puisque nous avions tout à gagner. Au second coup de sifflet, le matou mal réveillé haussa ses poils, sorti ses griffes et se dit :

Suis-je une entité intelligente et logique, car je crains être dans le domaine référencé du floue, suis-je vraiment net ou internet? (les matous sont très philosophe parfois)

Je ne comprends pas ! Je joue le jeu et à la fin de chaque partie, je ne sais rien ! Est-ce donc pareil pour les équipes de rugbyman?..........

Retour au jeu !

Les Qwerty prennent 20 articles d’avances, un sale coup. Le gland bleu est entré sur le terrain, il enchaine à la suite toutes les galeries de France et de Mondial. Il se faufile à travers les touches du clavier, il se confond entre azerty et qwerty tellement son vocable est enwbygu.

La réplique ne se fait pas attendre, les Azerty font entrer BZH, toutes les kermesses et Fest-noz du terroir bigouden sont répertoriés en quelques jours. C’est du haut débit, Azerty reprend l‘avantage mais le gland bleu s’acharne et insulte jusque dans les tribunes, c’est un scandale, l’arbitre ne siffle pas.

Des missives sont jetées dans le jeu. Des procès atterrissent aux pieds de quelques joueurs sans que la partie soit interrompue.

Le coup de sifflet suivant, marque la fin de la première mi temps. Matou décide de narrer aux autres participant son inquiétude. Quel ne fut pas son étonnement ! D’un seul éclat de voix nous serions tous d’accord sur bien des points, nous ne pouvons accepter qu’en fin de partie personne ne sache combien nous firent… fissent..fissussent. A l’unanimité nous allons réclamussez…réclamussassez…réclamonssez la transparuce...transparence.

Oui ? Répondit Cabau Rottweili ! Que voulez-vous savoir ? Qui a gagné quoi?

CR -Et bien ! Répondit-il, je trouve qu'il y a quelque chose qui rend humble, dans la peinture des concepts heideggériens et les lectures métaphysiques transformées en canon de lecture contemporain sans autre raison de défigurer le plus de monde ou la couleur maladroite s’entremêlent pour aboutir à un tissu spongieux d’abstractions qui n’apprennent strictement RIEN au balourd.

Trolls-????????

Mais si vous pouviez être plus précis !!! Par exemple, les recettes, on pourrait en discuter et voter pour savoir et connaitre le désirata de chaque joueurs afin qu’ils s’expriment sur ses intentions d’utiliser cette manne miraculeuse produite par l’ensemble  des participants!

Ne serait-ce qu’en reprenant l’actualité ou les articles de certains, qui nous renseignent suffisamment sur les aides et actions humanitaires à entreprendre.

CR -Hein ?....euh ! Oui .

Je suis parfaitement d’accord avec vous?...mon outil essentiel d’AgentWebRanking me permet de connaître automatiquement la visibilité de chacun de vos articles et je tiens à vous faire savoir dès à présent que j’appuierais toutes les demandes qui me seront soumises. C’est de mon devoir et je m’y appliquerais, soyez en sûr !

Fin de la première mi temps.

Y aura-t-il une seconde mi temps ? Tout dépendra évidement des intentions généreuses ou bien cupide des responsables du jeu.

Gasty

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Entre chats

Angoravox laissait un espace d’expression aux greffiers de tous poils , il est vrai , et la pelote de laine avec laquelle ils jouaient grossissait et commençait à rapporter beaucoup de croquettes à certains mistigris.

Angoravox était une œuvre collective , et selon la volonté talonettée du président néolibéral d’alors , il fût bon

Qu’une partie des croquettes fût consacrée à intéresser les matous qui eussent ainsi mis de plus cœur à l’ouvrage dans la confection de la pelote . Loin d’être translucide , car l’eau rêve au lit des profits , cy bion que beaucoup de félins s’interrogèrent sur les buts et le devenir d’Angoravox qui leur apparût de plus en plus opaque et de plus en plus incompréhensibles les critères qualificatifs de la confection pelotienne et que n’étaient point sanctionnés les coups de griffe assassins des artistochats ,bigoudinchats ,islamochats et créationistochats qui se multipliaient sous les yeux outragés des minettes .

Combien de croquettes ? pourquoi refusait t on à Raminagrobis ce qu’on refusait à Gros Minet ? Pourquoi certains jouaient plus que d’autres avec la pelote ?Pourquoi l’artistochat To-lose venait tricoter tous les jours ses miteux chandails ,portant chaque jour un masque de minette? pourquoi laissait on jouer certains avec des ficelles trop longues , trop courtes , ou pas du dernier catalogue de chez phil Dard ? Les superviseurs de la pelote acceptaient ou refusaient tout ou n’importe quoi en dépit du bon sens ! y avait il encore une logique dans tout cela ? certains matous avaient l’air d’être beaucoup mieux informés que d’autres ! au dessus de la mêlée , un fat cat était plus préoccupé des face de boucs que d’éclairer les matous désorientés par la non réponse sur la répartition des croquettes.

La révolte grondait et dans les gouttières , on entendait la nuit le groulement des matous en colère ! ah chat ira , chat ira , chat ira …..

Il fallait agir sans tarder , car les matous aimaient bien cette boule de laine autour de laquelle ils avaient fait connaissance , qu’on leur avait décrit comme l’instrument d’un cinquième pouvoir des chats citoyens , mais certains étaient déjà partis jouer ailleurs ,car beaucoup de fils de la pelote commençaient à s’emmêler et nos greffiers étaient sûrs de retomber de toutes façons sur leurs pattes ,comme tout bon matou sait le faire …..

Le Chat

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Allons voir ailleurs si nous y sommes…

Il était une fois… un monde traversé d’autoroutes, de routes secondaires, de chemins parallèles, telle une immense toile d’araignée, avec une multitude d’intersections, de connexions, de réseaux, autant de fils déployés sur la grande toile du Net, autant d’informations se propulsant à la vitesse de la lumière, autant de sources venant de tous horizons, alimentant ainsi une collaboration étroite entre la machine et l’humain, et faisant la nique aux diktats politiques et aux moralisateurs en tout genre à la solde de quelques gros bonnets des media.

Le grand manitou-sorcier du non moins grand univers citoyen se délectait de voir chats, souris, enfoirés, et autres insectes flegmatiques et furtifs, rédacteurs, modérateurs, lecteurs, apostropheurs, agitateurs, et autres participants, se débattre dans la toile de son immense royaume et apporter contributions quotidiennes à la bonne marche de ses affaires. Du bon, du très bon parfois, du mauvais et du très mauvais souvent, animaient le siège de cette cour incertaine où tout grand manitou se doit d’avoir ses fous pour l’amuser.

Ce pape de l’info, pionnier de l’identification et de la validation des sources d’information dites pertinentes, et père d’une nuée de journalistes citoyens, ne tenait pas vraiment à ce que ses bons petits soldats hybrides viennent lui soumettre quelques idées judicieuses, et encore moins qu’ils viennent lui réclamer quelques comptes. A quel titre pouvaient-ils espérer de la transparence ces valeureux petits gaillards ? Pour une prime de fin d’année, un petit espoir de voir quelques piécettes sonnantes et trébuchantes rebondir dans leurs poches ? Que nenni : juste pour se voir à la « Une » décroissante d’une vitrine étincelante et croire que cela vaut tout l’or du monde. A quel titre pouvaient-ils espérer une vague gratitude, ces desperados de la plume…

« Citoyenneté, mes amis », clamait le grand manitou, et cela suffisait à leur faire reprendre le rythme ronronnant du petit clapotis sur le clavier. « Bientôt » promettait le grand sorcier, et en bon père de famille, par une petite accolade par ci, par un petit clin d’œil par là, renvoyait inévitablement ses petites troupes au tissage de sa splendide toile. Aux plus réfractaires, il susurrait : « Et si vous alliez voir ailleurs… ! » en oubliant le principe même du cinquième pouvoir qui est avant tout d’être au service de la vérité.

Mais voilà : comme dans toute histoire, les mots ne suffisent pas toujours à apaiser les sentiments ambigus qu’une position encore plus ambiguë finit par exacerber, les promesses vaines et le manque de clarté laissent la place à certains serpents à plume, et comme dans bien des histoires, le grand manitou-sorcier, faute d’avoir entendu la rumeur sage, faute d’avoir judicieusement observé le monde au travers de sa boule de cristal, faute d’avoir compris qu’une tempête dans un verre d’eau est souvent source de naufrage, se trouve toujours pris au dépourvu quand la vague l’emporte loin de son royaume…

La morale de cette histoire : lorsque qu’une personne vous dit d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte, peut-être faut-il écouter son conseil !

  Frankie

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Une petite recette de cuisine bien comme il faut

Etape 1: Acheter une dinde d'environs 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de whisky,  du sel,  du poivre,  de l'huile d'olive, des bardes de lard.

Etape 2: La barder de lard, la ficeler,  la saler,  la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.

Etape 3: Faire préchauffer le four thermostat 7 pendant dix minutes.

Etape 4: Se verser un verre de whisky pendant ce temps la.

Etape 5: Mettre la dinde au four dans un plat a cuisson.

Etape 6: Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.

Etape 7: Mettre le therpostat a 8 apres 20 binute pour la saisir.

Etape 8: Se bercer 3 berres de whisky.

Etape 9: Apres une debi beurre, fourrer l'ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.

Etape 10: Brendre la vouteille de biscuit  et s'enfiler une bonne rasade derriere la bravate - non - la cravate.

Etape 11: Apres une demi heure  de blus,  tituber  jusqu'au bour.
Oubrir la putain de borte du bour et reburner - non - revourner - non - recourner - non - enfin,  mettre  la  guinde  dans  l'autre sens.

Etape 12: Se pruler la main avec la putain de borte du bour en la refermant - bordel de merde.

Etape 13: Essayer de s'asseoir sur une putain de chaise et se re-verdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.

Etape 14: Buire - non - luire - non - cuire - non - ah  ben  si - cuire la bringue bandant 4 heures.

Etape 15: Et hop, 5 berres de plus. Ca fait du bien par ou que ca passe.

Etape 15: R'tirer le four de la dinde.

Etape 16: Se rebercer une bonne goulee de whisky.

Etape 16: Essayer de sortir le bour  de la saloperie de pinde  de nouveau parce que ca a rate la bremiere fois.

Etape 17: Rabasser la dinde  qui est tombee bar terre.  L'ettuyer avec  une salete  de chiffon et la foutre  sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s'en fout...

Etape 18: Se peter la gueule a cause du gras sur le barrelage, ou le carrelage, de la buisine et essayer de se relever.

Etape 19: Decider que l'on est  aussi bien par terre  et binir la mouteille de rhisky.

Etape 20: Ramper jusqu'au lit, dorbir toute la nuit.

Etape 21: Manger la dinde  froide  avec une bonne mayonnaise,  le lendemain matin et nettoyer le bordel  que tu as mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journee.

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Finael

 

Et puis un petit dernier pour la route, incontestablement dans l'actualité:

Spécial Toussaint, les saints méconnus


Dans un mois environ, c’est la toussaint. Les fleuristes vont booster leur chiffre d’affaire avec la vente de ces choux fleurs de cimetière que sont les chrysanthèmes, car nombreux sont encore les français allant chaque année honorer leurs chers disparus. Mais, la Toussaint, c’est la fête de tous les saints, même les plus anonymes,
Ceux dont on ne parle pas au catéchisme, qui n’ont pas droit à un jour particulier dans le calendrier ;
Lorsque vous vous promenez dans les campagnes , qui n’a jamais songé en voyant le nom de certains petits patelins , que vraiment au temps jadis , les saints portaient des prénoms à coucher dehors , par ex Saint Folquin (62) , Saint Aygulf (83) , Saint Gingolph (74) , Saint Ouen (93) etc etc etc …
Je vous dis pas la honte que se taperaient nos mioches à l’école affublés de pareils sobriquets ! Mais voulant leur rendre hommage , aidé par le bigot Renaud et l’abbé Cassine , voici quelques uns de ces saints et saintes méconnus qui seront fêtés dans l’anonymat du premier novembre , avec souvent une fin tragique comme bien des élus . Beaucoup n’ont pas l’aura du célèbre Saint Glinglin , qui mourut d’ennui à attendre le retour du Christ ,ni la notoriété de la chaste Sainte Nitouche , mais apporteront au lecteur un peu d’hilarité au milieu de la grisaille de l’actualité . Voici pour vous dans l’ordre alphabétique :


Sainte Axe : Patronne de l’orientation ; elle mettait tout le monde dans le droit chemin
Saint Biose : il fait des merveilles dans l’œcuménisme, ne voulant vexer personne
Saint Bol : moine dominicain, connu pour sa coiffure, la célèbre coupe au Bol
Saint Cérité : personne ne put douter de sa foi
Saint Crone : il fut toujours ponctuel à la messe, jamais à l’avance, jamais en retard
Saint Cope : tellement euphorique dans la foi qu’il s’évanouissait à chaque prière
Saint Dic : fut liquidé après avoir fait faillite
Saint Dical : Patron des manifs, mourut en martyr foudroyé par une bombe lacrymo
Saint Drome : fit de nombreuses conversions. On dit Drome adhère !
Sainte Etique : fut convertie par Saint Thétiseur en Extasie . Fut la première à atteindre le paradis artificiel
Saint Gland : un vrai chêne, avait beaucoup de répartie dans ses prêches
Saint Glé : simple d’esprit , fut désigné propriétaire du royaume des cieux
Saint Gleton : patron de la solitude ; mourut seul et abandonné de tous
Saint Gulier : se fit remarquer en s’opposant au plurielles
Sainte Hure : vécut en parfaite ascète et combattit l’hérésie des matérialistes , patronne des ermites . On dit
faire Sainte Hure
Sainte Igrafie : mourut irradie lors d’une exploration intérieure
Saint Paty : fit ami-ami avec tout le monde, même avec ce diable de Mike Jagger ( Saint Paty for the devil )
Saint Plicité : découvrit la sagesse en se prenant pas la tête
Saint Phonic : fini chef d’orchestre de la musique céleste
Sainte Ralinge : finit suspendue à une patère
Saint Thétiseur : patron des disc-jockeys .mourut les tympans éclatés en voulant évangéliser trop près des baffles
Saint Thol : le champion des onctions divines . Fit du bien là où ça faisait mal
Sainte Tillante : éclaira les païens de sa lumière divine , s’est éteinte quand on appuya sur l’interrupteur
Saint Turon : un vrai martyr , fini clouté puis bouclé
San Chemise et San pantalon : patrons des stripteaseurs, vécurent en Espagne dans le dénuement et le dénudement
Après avoir écrit ces paroles impies, je finirai sûrement en enfer, en tant que chat on a l’habitude et
Je terminerai cette vie ici en martyr, mort de rire !


Le Chat: Rédacteur de l'humour 

Les suites de l' "affaire" sur Agoravox

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J'ai hésité, ajouter cette image à mon article suivant "La séduction n'est qu'un jeu", mais il me semble qu'elle représentait mieux celle que j'ai appelé "Detritus Wagonus".

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