Livres de figures sociales ou sociables ? (01/11/2010)
Quoi, sur les réseaux sociaux, sur Facebook, vous n'y êtes pas encore? Pas possible. Absurde, même. On y a tellement d'amis qui sont prêts à nous rencontrer sur la Toile, à nous fréquenter, à nous soutirer des informations, peut-être. Mais qu'est ce que Facebook a à y gagner, lui-même? Un film, peut-être? Pas vraiment, sinon comme une nouvelle incitation à son utilisation.
De Facebook, on en a déjà tellement parlé qu'un film, se devait d'arriver un jour.
"The Social Network" vient de sortir dans les salles de cinéma. Le film pourrait faire un tabac et se retrouver dans les nominés aux Oscars. Le film présente une histoire romancée de Facebook avec un rapport de 30% de vérités sur l'affaire de ce réseau social bien connu.
"Pendant la première heure 55, c'est un antihéros et lors des cinq dernières minutes du film, c'est un héros tragique" résumait Aaron Sorkin comme analyse de son film. De lui, on en parle, déjà.
A l'origine, selon le film, une histoire de déception amoureuse aurait décidé ce jeune Mark Zuckerberg à lancer Facebook en 2004. Un "djeune" qui aurait vécu la tragédie de notre époque comme une fable: la solitude suite au rejet par les autres. Solitude qui n'a pourtant pas d'âge de prédilection.
Amitié, loyauté, traîtrise, jalousie, argent, intelligence, une séries de sentiments se confondent et fusionnent dans ce film alerte et loué par la critique.
Tout commencerait en octobre 2003. Un geek génial étudie l'informatique à l'université de Harvard. Il a d'excellentes relations avec sa bécane et beaucoup moins avec le monde extérieur. Lors d'une sortie, c'est la déception avec une fille. Le Nerd en colère revient devant son écran et crée un site consacré aux filles du campus. Ce sera "Facemash.com" ("Têtes à claques"). Pour ce faire, il récupère des milliers de photos, des jeunes filles de l'université, pirate le serveur de celui-ci, écrit un petit programme pour permettre le vote, envoie sa farce à quelques personnes de confiance et s'en va au cours. Au retour, c'est le bug. Son PC ne répond plus. La boule de neige est partie comme un virus. Le vote de 22.000 internautes, enregistrés à son insu. Mark saborde son programme mais reçoit les plaintes et les bosses de l'université. Une blague d'étudiant qui finti mal. Il arrêtera ses études avant la fin mais l'idée d'extrapoler sa bévue deviendra "Facebook".
L'acteur Jesse Eusenberg joue le rôle de Zuckerberg avec des dialogues intelligents, rapides et incisifs, avec un humour caustique et violent.
La vision du film a reçu un accueil glacial chez les pontes de Facebook. "C'est une fiction", lançait Mark. Pourtant, le producteur, David Fincher, l'affirme: "Facebook n'apparaît qu'en toile de fond". Trop de contraintes avaient été demandées par Facebook même pour permettre le rapprochement avec plus de vérités bibliographiques.
Le film s'inspirait d'ailleurs du livre "The Accidental billionaires: The founding of Facebook - A tail of Sex, Monney, Genius and Betrayal" de Ben Mezrich, traduit en "La revanche d'un solitaire. La véritable histoire du fondateur de Facebook". Bibliographie qui, elle aussi, n'était pas autorisée par le héros de l'histoire.
La radio a mis 38 ans pour s'imposer et atteindre les 50 millions d'utilisateurs. La télévision, 13 ans. Internet, 4 ans. Facebook, 1 an.
C'est dire que le progrès s'accélère de manière presque exponentielle.
Pas de doute, tout le monde, à un moment ou un autre, s'y inscrit presque contraint, presque forcé pour raison commerciale, personnelle, familiale ou sociétale. Comme un signe de ralliement, on ne se demande plus à quoi cela va servir, on s'y inscrit, avec remplissant quelques renseignements optionnelles ou obligatoires. Tisser des liens, on y flirte et on s'y espionne. Grâce à des indices qui s'y trouve, le FBI a arrêté des aspirants terroristes. Comme service publique, cela entraîne une véritable inflation de données personnelles sur la Toile dont l'utilisateur ne s'imagine même pas l'intérêt que l'on pourrait en faire à son insu. Cela devient une véritable "partouze d'infos", peut-on dire, avec des photos de baptêmes, d'anniversaires, de vacances... données utiles uniquement pour ceux qui sont proches ou lointains mais qui resteraient dans un environnement restreint et désiré. La publicité ciblée qui viendra ensuite, n'est pas l'effet du hasard mais est éccepté de bonnes grâces. Des dérapages se produisent de manière plus insidieuse. Des escroqueries, des usurpations d'identité et des mises à mal de la vie privée... pour n'en citer que quelques unes.
Est-ce le narcissisme de notre société mis au grand jour ?
Il y a de ça, mais il y a aussi une envie d'échanges pour faire connaître les meilleurs côtés de soi-même, du côté "donneur". Un certain voyeurisme comme observateur du côté "receveur".
Des utilisateurs, coincés, avec l'idée de "Je suis sur Facebook, donc j'existe".
Internet était décentralisé, avant cela. Facebook fait revenir tout le monde au bercail. On y est averti des anniversaires de chacun, dont on connaît les préférences et qui peuvent s'accommoder de possibilités de cadeaux à offrir.
Pour le mi-mandat d'Obama, les Américains avouent qu'ils ne s'intéressent aux élections que via Internet, Facebook et plus par la presse papier.
Pas de référendum officiel en Belgique. Qu'à cela ne tienne, Facebook devient "la" Pétition en ligne.
On inscrit son commentaire sur le "mur" de quelqu'un. Ce mot "mur" n'est, certainement, pas anodin.
"Cet homme a changé vos vies" titrait le Télé Moustique.
Mark Zuckerber est devenu le plus jeune milliardaire du monde (estimation, 7 milliards de dollars). Il aurait, aujourd'hui, 550 millions d'amis virtuels et pourtant il vit, aux dernières nouvelles, toujours seul dans le réel, à la tête de l'entreprise dans laquelle il travaille 16 heures par jour à Palo Alto. Dans la vie, depuis la fac, il vit avec Priscilla Chan, qui est étudiante en médecine.
Geek, plutôt hacker anarchiste, Mark ne veut pas connaître ce qu'il possède ou gagne. Zuck loue une maison et roule avec une berline. Cela n'empêche que les amitiés virtuelles sont devenues, tout de même, son fond de commerce avec la fondation de Facebook. Facebook est présent dans 207 pays avec 130 amis par personne en moyenne.
Il n'est pas seul. On compte, au total, près d'un milliards d'internautes dans le monde qui se consultent sur pléthore de réseaux sociaux spécialisés géographiquement et avec leurs propres services. En chiffres, cela représente toutes les minutes 100.000 personnes qui deviennent ami, 510.000 commentaires postés, 83.000 statuts mis à jour.
A l'échelle mondiale, on compte 940 millions d'utilisateurs. En Belgique, 3,8 millions d'utilisateurs inscrits (près de 70% de la population). Le besoin des utilisateurs, c'est la technologie, elle-même, qui le crée et les rend dépendants si pas, esclaves quand on sait qu'en moyenne, un utilisateur approche une heure par jour d'utilisation spécifique. Des résistants à l'inscription l'appellent du doux nom de "fesses book", pas par ignorance mais suite à une analyse et n'y avoir pas trouver d'intérêts personnels. Il est vrai que l'effort pour "augmenter" le nombre de ses amis est moindre que celui de le "diminuer".
Une fois catalogué dans le "système", il est difficile d'être sûr de se faire oublier complètement. Tout ce qui est publié reste la propriété de Facebook. La procédure de désinscription propose naturellement une mise en pause temporaire plutôt qu'une annulation d'un compte.
Seulement 34% des utilisateurs belges se méfient de Facebook. 45% pour Netlog selon l'étude récente de "InSites Consulting". En été 2010, Facebook, attaqué par l'intermédiaire d'un nouveau réseau Diaspora qui dénonçait les risques d'évasion des données, a dû augmenter leurs protections. Les risques de l'utilisation de Facebook pour les enfants ne sont pas nuls.
Système ouvert, Facebook a lancé sa plateforme avec son code source au risque de perdre le contrôle sur les contenus et les revenus annexés.
Il faudra arriver à parler gros sous. La course à la rentabilité reste dans l'ombre mais existe bien. Seul les réseaux professionnels comme LinkedIn ou Viadeo font rentrer certains revenus. Le toujours jeune Mark Zuckerberg n'avait, peut-être pas, l'argent en tête lorsqu'il a créé Facebook mais l'agent reste le nerf de la guerre. Des associations dans le monde du social sont prévisibles ou déjà en place.
Le futur? Des rentrées, d'un milliard de dollars pour 2010 sont estimés. Microsoft est déjà entré dans le capital pour offrir son expérience dans la publicité et le contenu. La vente de produits virtuels aurait rapporté près de 75 millions d'euros. Le Smartphone avec Skype en partenariat, va pouvoir en plus localiser l'utilisateur. Une série d'interfaces, d'applications (zoho, dynamic-webcam, picnik...) avec le monde extérieur s'insèrent dans Facebook tout en restant sous son chapeau. Ce qui sera un avantage et un inconvénient prévisible.
En parallèle, le Facebook européen, avec 71 millions d'utilisateurs, Netlog grappille partiellement la vedette à Facebook. Également en croissance, ce réseau social a les mêmes problèmes de cash flow. Sorti avant Facebook, lancé par deux étudiants gantois, Lorenz Bogaert et Toon Coppens, Netlog s'appelait, en 2003, "Facebox". Le jeu Gatcha!, implémenté sur la plateforme, permettait d'engranger 20% du chiffre d'affaire. Le succès ou l'échec reste dans l'augmentation exponentielle du nombre d'utilisateurs et... du nombre de dollars qui y serait associé.
L'argent reste le nerf de la guerre comme en tout.
Facebook, des informations collectées sur nos goûts, nos amis, nos habitudes. Informations personnelles fournies, consciemment ou pas.
Le prix de 50 milliards de dollars de valorisation et 500 millions d'investissements de Goldman Sachs et du groupe russe Digital Sky Net. Pour un chiffre d'affaires apparemment estimé à 1,2 milliard de dollars et un bénéfice de 355 millions de dollars pour les 9 premiers mois de 2010.
Goldman Sachs propose maintenant d'y investir. Peuchère... Société qui est loin d'en être à son premier coup fumeux... Elle en a eu les boules des bulles.
Entre 2000 et 2003 pour avoir introduit en bourse des dizaines de dot.com qui firent faillite dans les 18 mois suivant leur entrée en bourse.
"Les ficelles étaient si grosses et l'arnaque était tellement voyante que Goldman Sachs a préféré conclure des transactions avec les plaignants plutôt que d'aller jusqu'au procès (perdu d'avance)".
Un concentré de la bulle Internet, reposant sur du sable?
Un réseau, l'affaire du siècle? Des "spécialistes" estimaient récemment le chiffre d'affaires du réseau social à 1,5 ou 2 milliards de dollars.Les valorisations sont fondées sur des projections de revenus avec une valeur "supposée", non introduits en Bourse.
Toute entreprise ayant plus de 500 actionnaires doit divulguer ses comptes et autres informations financières. Or, le fonds de GS compte pour un seul actionnaire – c'est du moins ce que la banque d'affaires voudrait faire admettre à la SEC – ce qui évite à Facebook de dépasser le fatidique nombre des 500 actionnaires. Alors, Facebook fait des appels de fonds, pour éviter son introduction en Bourse et éviter la publication des comptes.
La SEC n'a pas apprécié ni le montage de Goldman Sachs ni la volonté affichée de Facebook de cultiver le secret sur ses chiffres.
Le problème est que le trésor de guerre de Facebook est la détention de données personnelles de tous ses utilisateurs. Toute personne utilisant Facebook ou souhaitant y investir, devrait se demander qui va posséder – et pouvoir utiliser – ces données.
L'enfoiré,
Citations:
- "L'ordre social ne vient pas de la nature ; il est fondé sur des conventions.", Jean-Jacques Rousseau
- "La cohésion sociale est due en grande partie à la nécessité pour une société de se défendre contre d'autres.", Henri Bergson
Agoravox et Facebook, même lutte ou même combat?
Autre article sur le film Social Network
Autres réseaux sociaux : Myspace (130 millions d'utilisateurs), LinkedIn (75), Qzone (200), Habbo (162), Orkut (100), Flixter (70), Baidu (54).
Commentaires
Bravo Guy!
En plein dans le mille!
Écrit par : Victor | 01/11/2010
Salut Vic,
Tu commences à comprendre le timing de sortie de mes articles.
Ils sont souvent conçus bien longtemps à l'avance.
Ils suffit de choisir le bon jour pour y ajouter une idée qui vaut son pesant de cacahuètes.
Écrit par : L'enfoiré | 01/11/2010
Guy
Mon expérience sur Facebook a été de courte durée. Je me suis d'abord inscrit sous un nom d'emprunt. Je ne voulais pas que mon nom véritable apparaisse sur cette plateforme dite coimmunautaire. Puis il m'a fallu gérer tout cela. Confidentialité, restriction dans les invitations de personnes inconnues qui souhaitent devenir votre ami, gestion des photos et la restriction de leur diffusion, etc. J'ai fermé mon compte (est-il fermé? Nul ne sait) après qu'un plaisantin se soit servi de mon pseudonyme pour expédier des spams à quelques amis. C'en était trop.
Le Canada, comme certains autres pays, ont exprimé des craintes réelles sur la gestion de la confidentialité de ce site. La vente des informations à des fins de marketing fait sourciller les gestionnaires des programmes de confidentialité dans quelques pays. Je suis toujours surpris de constater la facilité avec laquelle des gens bien intentionnés livrent des informations sur leur vie privée sans savoir dans quelle direction ces dernières vont circuler. Lorsqu'il s'agit de gros sous, les principes sont souvent considérés comme des empêcheurs de tourner en rond. Il faut savoir que 10 des applications les plus populaires sur Facebook transmettent toutes des renseignements personnels, selon une enquête du Wall Street Journal.
Lorsque vous écrivez : Facebook est présent dans 207 pays avec 130 amis par personne en moyenne, cela m'inquiète parce que le siège social est aux États-Unis qui ne se gênent pas lorsque vient le temps de procéder à des collectes d'informations.
Pierre R.
Écrit par : Pierre R. Chantelois | 01/11/2010
Pierre,
Vous avez parfaitement compris les avantages et les désavantages du système Facebook.
Écrit par : L'enfoiré | 01/11/2010
Au sujet de la dernière phrase, il faut savoir qu'il y a un grand flou du côté légal sur l'info qui reste en ligne malgré la "virtualité perpétuelle" d'un compte Facebook.
Sans réaction, tout reste accessible. L'idée de mémorialisation du profil en éliminant les entrés dans les groupes et en donnant accès uniquement aux successeurs qui garderaient seul un accès.
Écrit par : L'enfoiré | 02/11/2010
Puis il m'a fallu gérer tout cela. Confidentialité, restriction dans les invitations de personnes inconnues qui souhaitent devenir votre ami, gestion des photos et la restriction de leur diffusion, etc. J'ai fermé mon compte (est-il fermé? Nul ne sait) après qu'un plaisantin se soit servi de mon pseudonyme pour expédier des spams à quelques amis.
Écrit par : ugg boots tall | 03/11/2010
Elle s'y attarde, comme accrochée par dessus son toit, Et pénètre le boudoir habité par une ame esseulée. Elle se présente, insistante, à la fenêtre au rideau tiré, Indélébile sur la planche où tomberont les coups du battoir.
Écrit par : ugg boots sale | 03/11/2010
ugg boots tall,
Le "Elle" correspond, je suppose à la confidentialité.
Celle-ci ne se ra que ce que son utilisateur en fera.
L'homme se sentant ou non l'obligation de vivre en société ou en solitaire.
Être solitaire ne veut pas dire ermite.
La solitude est affaire de réflexions pures, de définitions, de compréhension de ce que chacun a à apporter.
Après, seulement, en connaissance de cause, la comparaison devient plus facile et les coups de battoir moins douloureux parce que mieux compris.
Écrit par : L'enfoiré | 03/11/2010
Petite révolution sur Facebook ou flop?
http://geeko.lesoir.be/2010/11/05/loption-unlike-arrive-sur-facebook/
Écrit par : L'enfoiré | 05/11/2010
On n'arrête pas le progrès.
Il existe désormais un test de sobriété pour réseaux sociaux.
Plus question d'avoir quelques verres en trop sur l'écran noir de nos nuits blanches :
http://geeko.lesoir.be/2010/11/09/un-test-de-sobriete-pour-reseaux-sociaux/
Écrit par : L'enfoiré | 09/11/2010
Facebook défie Google
http://geeko.lesoir.be/2010/11/06/google-prive-facebook-de-ses-donnees/
Écrit par : L'enfoiré | 10/11/2010
Le physique de CEO influence leur salaire, une analyse officielle:
http://www.references.be/carriere/le-physique-des-ceo-influence-leur-salaire?utm_source=lesoir&utm_medium=partnersite&utm_campaign=lesoircontent
Écrit par : L'enfoiré | 14/11/2010
Facebook dit ne pas développer un "email killer" et pourtant. Il le réinvente pourtant:
http://www.rtbf.be/info/matin-premiere/media-tic-275788
http://geeko.lesoir.be/2010/11/15/gmail-killer-la-conference-de-facebook-en-direct/
Messages Facebook au centre vers email, vers IM et vers les SMS.
Cataloguer tous les messages...
Écrit par : L'enfoiré | 16/11/2010
La fracture numérique à l'honneur:
http://www.rtbf.be/info/matin-premiere/media-tic-278223
Écrit par : L'enfoiré | 23/11/2010
Des nouvelles du fondateur
http://content.jobat.be/fr/articles/combien-gagne-mark-zuckenberg-avec-facebook/?utm_source=rtbf&utm_medium=home&utm_content=blok&utm_campaign=jobat-contentpromo
Écrit par : L'enfoiré | 10/12/2010
Homme de l'année pour le Tme
http://geeko.lesoir.be/2010/12/15/mark-zuckerberg-homme-de-lannee-de-time/
Écrit par : L'enfoiré | 15/12/2010
Facebook est devenu, en novembre, le n°3 sur le web
http://geeko.lesoir.be/2010/12/28/facebook-devient-le-numero-3-du-web/
Écrit par : L'enfoiré | 28/12/2010
Pour MySpace, on cherche repreneur
http://www.lesoir.be/actualite/vie_du_net/2011-02-03/myspace-cherche-acheteur-819639.php
Écrit par : L'enfoiré | 03/02/2011
And the winner is?
USA. 57% d'utilisateur de Facebook
http://geeko.lesoir.be/2011/02/25/la-fin-de-la-croissance-pour-facebook-aux-usa/
Pourtant il y a un ralentissement de la croissance.
Écrit par : L'enfoiré | 25/02/2011
Le film "Social Network" remporte est relativement boudé par les Oscars.
http://cinema.fluctuat.net/blog/47874-oscars-2011-l-echec-de-the-social-network-et-de-la-modernite-.html
Écrit par : L'enfoiré | 28/02/2011
Facebook hackeur?
http://geeko.lesoir.be/2011/04/07/facebook-desactive-plus-de-125-000-comptes/
Écrit par : L'enfoiré | 07/04/2011
Facebook terrain des spams tout à fait conçu pour cette possibilité:
http://geeko.lesoir.be/2011/04/12/facebook-nouveau-terrain-de-jeu-du-spam/
La paternité de Facebook avait été contestée par les jumeaux Winklevoss. Vol d'idée. Un jugement vient de régler l'affaire à l'amiable: 65 millions de dollars.
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/01/11/les-jumeaux-winklevoss-attaquent-de-nouveau-facebook_1463839_651865.html
Un autre, Paul Ceglia revendique aussi sa part du gâteau: 50%.
http://www.linformaticien.com/actualites/id/20338/paul-ceglia-la-moitie-de-facebook-m-appartient.aspx
L’appât du gain fait toujours son office.
Écrit par : L'enfoiré | 12/04/2011
Voilà qu'Obama compte sur Facebook pour 2012
http://www.lesoir.be/actualite/monde/2011-04-20/obama-compte-sur-facebook-pour-2012-835639.php
tandis que Sarkozy veut limiter l'âge de son usage
http://geeko.lesoir.be/2011/04/20/faut-il-limiter-lage-sur-facebook/
Tu veux ou tu veux pas? Quel âge as-tu?
Écrit par : L'enfoiré | 20/04/2011
eG8 à Paris
http://geeko.lesoir.be/2011/05/25/zuckerberg-detaille-ladn-de-facebook/
Écrit par : L'enfoiré | 25/05/2011
Slu Guy,
chuis pas inscrit sur face bouc, quand j'ai appris que j'étais le 500.650 009.568.154. millième, je me suis dit non, je voeux être le pommier ! Anchois pommier ! t pas Mond... Ray Mond 001; 0K !
Je ne connaissais pas du tout l'histoire pasque je m'en tape grave, mais je suis heureux de l'avoir lue de ta plume ma foi sereine et plaisante. Ceci dit Marie Curie a rameuté toute les femmes de NY par une annonce dans le Times comme quoi elle avait besoin d'un gramme de radium pour sauver l'humanité. ça a marché, elle en est morte et depuis ce temps là, le cancer a été multiplié par _En 1900, la proportion des décès dûs au cancer et autres tumeurs était, aux Etats Unis de 3,7%. En 1946, elle était de 13,5%, ( et 23 % en 2001 )_deux ans que j'avais pas ressorti ce lien plein de liens annexes : http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/mieux-que-les-bonnes-reponses-les-48871
je me régale avec tes dessins. a+.
Écrit par : LIsa sion | 17/06/2011
Chalut Lisa,
C'est tof de te retrouver dans les parages. :-)
D'Agoravox, je suis un peu sorti actuellement. Je continue plutôt sur mon antenne en "stand alone". Tu as moins de désillusions. ;-)
Le bouquin des faces n'est pas ma tasse de thé. C'est pour faire plaisir à certains qui y sont.
Quand j'ai écrit ce billet, c'était le 1er novembre. Cela tombait bien pour la suite pour éviter le piège des "Points morts" que je me farcissais par 2x pour ce jour.
Tu as raison, l'enfer est pavé de bonnes intentions. Marie Curie a pensé "sciences" exclusivement. On peut mourir pour ses passions et ça n'arrête pas la Terre de tourner.
Mes dessins? Je dessine comme un pied.
Mais j'ai mes sources autorisées qui me servent bien.
Bonne journée
Écrit par : L'enfoiré | 17/06/2011
salut !!
l'article dont je te parlais hier est en ligne sur agoravox: http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/la-grande-arnaque-des-reseaux-96052
Écrit par : LeKamikaze | 17/06/2011
Salut Kami,
Tu vois que tout arrive et que même les modérateurs d'AV ont de bonnes intentions. :-)
Écrit par : L'enfoiré | 17/06/2011
Continuons cette ronde des chiffres avec les 168 millions d’e-mails envoyés (ce qui représente le chiffre étourdissant de 242 milliard d'e-mails envoyés par jour !), les 6600 images chargées sur Flickr ou encore les 370 000 minutes d’appels sur Skype.
Cela ne vous suffit pas pour vous faire vraiment une idée sur ce qu’est le Web ? Dans ce cas, ajoutons-y les 13 000 applications iPhone téléchargée sur l’App Store d’Apple, les 13 000 heures de musiques écoutées sur Pandora, les 100 nouveaux comptes créés sur LinkedIn et les 694 445 recherches lancées sur Google…
« Tout ça en 60 petites secondes ? », demanderont les plus pessimistes. En fait, non, bien plus que ça ! L’ infographie proposée est loin d’être exhaustive ; nul trace, par exemple, de wikipedia, du traffic P2P ou encore des visites et téléchargements réalisés sur les sites pornos…
Écrit par : L'enfoiré | 19/06/2011
Quelques statistiques?
http://blogs.lecho.be/tzine/2011/06/internet-en-60-secondes.html
En 60 secondes, sur Facebook, 695 000 statuts sont mis à jour tandis que 510 000 commentaires y sont publiés et que 79 000 messages sont mis en ligne sur les murs personnels. Toujours du côté des réseaux sociaux : le petit oiseau bleu, quand à lui, aura lâché 98 000 tweets et ouvert 320 nouveaux comptes.
Écrit par : L'enfoiré | 19/06/2011
Une opinion de plus...
http://12160.info/profiles/blogs/your-facebook-writings-could?xg_source=shorten_twitter
Écrit par : L'enfoiré | 23/06/2011
La vie sans Facebook
http://geeko.lesoir.be/2011/08/05/la-vie-sans-facebook/
Écrit par : L'enfoiré | 05/08/2011
Facebook à l'origine de la création d'un secteur qui pèse déjà 182.000 emplois
Une récente étude de l’école de gestion Robert H. Smith du Maryland célèbre Facebook et ses bienfaits pour l’économie américaine.
Menée par le professeur de Systèmes d’Information Il-Horn Hann, elle conclut que les applications du réseau social le plus populaire ont contribué à créer au moins 182.744 nouveaux emplois, et généré 12,19 milliards de dollars (environ 8,5 milliards d’euros) de salaires et d’avantages pour l’économie américaine. Facebook lui-même emploie 2.000 personnes. Les chercheurs ont compté les emplois créés directement dans l’industrie des applications, et ceux qui ont été créés indirectement dans les secteurs qui y sont liés. Les applications de Facebook gagnent de l’argent grâce à la publicité, ou par le biais de fonctions spéciales qui ne sont accessibles que contre des Crédits Facebook que l’utilisateur peut acheter sur le site.
L’étude a démontré que la plateforme de Facebook, lancée en 2007 avec 85 applications pour ses 20 millions d’utilisateurs d’alors, compte aujourd’hui 750 millions d’utilisateurs qui installent 20 millions d’applications chaque jour. La société Zynga, qui a conçu 49 applications de jeux pour les réseaux sociaux, et notamment Cityville, l’application Facebook la plus populaire, est valorisée entre 15 et 20 milliards de dollars (10 à 14 milliards d’euros environ), et fait jouer quotidiennement 49 millions de personnes, et plus de 74 millions de personnes par mois.
La société de Mark Zuckerberg n’a pas seulement permis de créer ces nouveaux emplois, elle est à l’origine de la création d’une véritable nouvelle industrie : celle des sociétés de développement d’applications pour d’autres sociétés. « Nos résultats confirment que les plateformes des media sociaux ont créé une nouvelle industrie prospère », écrivent les chercheurs. « En parallèle avec la croissance de Facebook, nous continueront à voir les créations d’emplois et les répercussions de ces avancées dans l’économie américaine».
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=facebook-a-lorigine-de-la-creation-dun-secteur-qui-pese-dej-182000-emplois&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_term=Facebook%2C%20application%2C%20Zynga%2C%20emploi%2C%20secteur%2C%20industrie%2C%20&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 21/09/2011
http://geeko.lesoir.be/2011/09/22/linkedin-depasse-le-million-de-membres/
Le réseau social à visée professionnelle LinkedIn a annoncé avoir dépassé le million de membres en Belgique sur 26 millions de membres européens et 120 dans le monde. Les employés de la Commission européenne, de BNP Paribas Fortis et de l’UCL y sont le plus nombreux. Ariel Eckstein, directeur général de LinkedIn Europe revient sur le succès de ce réseau
Écrit par : L'enfoiré | 22/09/2011
Votre vie sur Facebook
Le patron de Facebook l’annonçait hier « nous sommes plus que ce que nous avons fait récemment », pourtant c’est ce que votre profil affiche sur le réseau social américain. Ses développeurs ont donc transformé votre mur personnel en une petite biographie.
La Timeline sera disponible pour tous dans les prochains mois et elle remplacera les profils des membres du réseau. Un changement qui inquiète le site The Next Web et il n’est pas le seul : « pour tous les utilisateurs qui se sont habitués au Mur de Facebook ou à l’affichage des photos, cette nouvelle révélation pourrait être un choc. » Une vérité qui peut d’ores et déjà se vérifier sur le blog de Facebook : « Redonnez-nous le vieux Facebook » s’indignent quantité d’utilisateurs, « ça a l’air d’être l’outil parfait pour le harcèlement » s’insurge James Popkie.
Mais ce n’est pas seulement vos habitudes qui vont devoir changer. Auparavant il suffisait de se soucier des derniers postes sur votre mur, puisque rare sont ceux de vos amis qui remontent le fil de votre vie. La Timeline vous fait revoir tout ce que vous avez un jour partager. Les membres du réseau auront d’ailleurs le choix de ne pas remplacer leur profil dans l’immédiat pour se donner le temps réorganiser leur passé sur le web.
Glynnis MacNicol souligne tout de même dans le SAIcast du Business Insider que cette nouvelle fonctionnalité pourrait faire « perdre le bonheur de partager des choses dans la vie réelle » puisque vos amis y auront accès depuis votre Timeline.
Facebook donne une leçon au web
En intégrant ses nouveaux « verbes » (lire, écouter, regarder), Facebook tente d’intégrer le web à sa plate-forme. Le « J’aime » devenait embarrassant et trop restrictif. Selon Mashable, le réseau social a découvert que ses plus jeunes utilisateurs « avaient peur d’utiliser le bouton « j’aime » parce que cela impliquaient qu’ils étaient d’accord avec ce qu’ils aimaient » dans une récente enquête interne.
Pour régler ce problème, Facebook a étendu son offre de partage, mais elle devient du même fait plus invasive.
TechCrunch s’enthousiasme de cette dernière évolution, la possibilité de « partager ce que vous faites, quand vous le faites. Vous ne devez plus y penser. Vous écoutez de la musique sur Spotify et c’est partagé automatiquement avec vos amis dans le Ticker de Facebook. Le seul bouton sur lequel vous cliquez c’est « play ». »
Rassurez-vous cependant, les options de partage restent contrôlables « si vous ne voulez pas partager vos choix musicaux les plus embarrassants », insiste Alexia Tsosis de TechCrunch. Mais si Facebook tend à rendre ces options de plus en plus simples à régler, les nouvelles applications sont paramétrables depuis Facebook et depuis le site original de l’application (Hulu, Netflix ou Spotify).
Malgré tout, Alain Gerlache le souligne, Facebook n’est plus seulement un réseau social sur le web, c’est désormais « le web qui aura sa place sur Facebook ».
Le site Business Insider ajoute néanmoins à la longue liste des nouveautés de ce f8, une liste largement moins longue de ce que Facebook n’a pas annoncé : une application iPad, une application mobile pour les photos et surtout un changement de business model. Facebook n’inaugure aucun nouveau système de payement malgré toutes les nouveautés annoncées.
http://geeko.lesoir.be/2011/09/23/la-vie-et-le-web-selon-facebook/
Écrit par : L'enfoiré | 24/09/2011
Vous ne connaissez-pas Face de Bouc
http://www.les-bodins.fr/Face-de-Bouc
Écrit par : L'enfoiré | 07/11/2011
Confidentialité sur facebook : un Espagnol craque le système et se glisse dans la peau d’autrui
Alfredo Arias, 37 ans et totalement autodidacte en informatique, affirme avoir trouvé cette erreur tout à fait par hasard. Il s’agit d’une brèche dans le système de messagerie Facebook. Un individu, maitrisant au niveau utilisateur l’outil informatique, peut aisément créer un formulaire lui permettant l’envoi de mails via d’autres comptes facebook et ainsi se glisser dans la peau d’autrui.
"C'est très simple, car il suffit de savoir créer une page internet", a-t-il assuré, détaillant le processus utilisé sur son blog "El internauta de León". Alfredo Arias décrit méthodiquement les étapes sur son blog.
Ce maçon spécialisé dans les travaux difficiles en hauteur qui donne également des cours sur l'utilisation des réseaux sociaux en entreprise, s’est alors dirigé à l'Institut national des technologies de la communication (Inteco) qui dépend du ministère de l'Industrie. La porte-parole de l'Inteco a indiqué avoir informé Facebook du problème. Un communiqué a été publié par le Bureau de sécurité de l'internaute (OSI) intitulé "possibilité d'usurpation de l'identité du service de courrier Facebook". L’OSI explique que cette déficience peut être utilisée par des utilisateurs mal intentionnés pour, par exemple, se faire passer pour un ami de la victime et l'inviter via un lien à visiter des pages malicieuses ou à charger des applications peu fiables.Il est aisé d'emprunter un nom connu de la personne sur sa liste d'amis, souvent visible par tout le monde sur Facebook.
L’OSI précise que l’envoi d’un courrier falsifié par une personne peu expérimentée et possédant des connaissances techniques basiques, est relativement connu dans le milieu de la sécurité informatique. C’est un problème qui est commun à tous les services de messagerie mais qui acquiert sur Facebook une dimension plus importante en raison de la taille du réseau. L'OSI a d'ailleurs envoyé un message en empruntant la messagerie du compte Facebook de la chanteuse américaine Lady Gaga avec sa photo. Celui-ci apparaît dans les messages reçus du compte de l'OSI.
Cette information intervient à un moment où Facebook vient de signer un accord avec les autorités américaines, espérant mettre un terme à la vive polémique sur la confidentialité des données de ses utilisateurs.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=confidentialite-sur-facebook-un-espagnol-craque-le-systeme-et-se-glisse-dans-la-peau-dautrui&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_term=facebook&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 06/12/2011
Ce que vous ignoriez sur Facebook
1. Les raisons principales pour expliquer la "déchéance d’amitié" sur Facebook
Une étude portant sur 1.500 utilisateurs de Facebook réalisée sur Twitter a révélé que la raison la plus fréquente invoquée pour expliquer le « retrait » du statut d’ami était l’envoi de commentaires nombreux et non importants. La seconde raison était la polarisation sur des sujets polémiques, comme la politique et la religion, tandis que les commentaires déplacés, à caractère raciste ou violent, fournissaient la troisième raison. L’étude a en outre montré que 57% des utilisateurs ayant rejeté des amis l’ont fait en raison de leur comportement en ligne, alors que 26,9% l’ont fait pour leur comportement dans la « vraie » vie.
2. Les profils de Facebook montrent les gens tels qu’ils sont.
Lors d’une étude durant laquelle des chercheurs ont comparé les personnalités réelles d’utilisateurs de Facebook avec leur personnalité idéalisée, ils ont trouvé qu’en moyenne, les gens se montraient plutôt tels qu’ils étaient sur les réseaux sociaux, plutôt qu' avec la personnalité qu’ils rêvaient d’avoir. En général, les gens étaient remarquablement honnêtes dans leur présentation d’eux-mêmes.
3. Il est possible de prédire le bonheur futur des utilisateurs du réseau social rien qu’en regardant leurs photos.
Deux études longitudinales ont été menées, au terme desquelles les chercheurs ont démontré que les intensités des sourires sur les photographies de profil Facebook de jeunes étudiants en premier semestre étaient un prédicateur sérieux de la satisfaction dans la vie que ces étudiants allaient rapporter 3,5 ans plus tard. Ces résultats n’étaient pas liés à l’extraversion ou à des différences sexuelles en matière d’intensité de sourire (leurs recherches ont porté à la fois sur des jeunes hommes et des jeunes femmes), mais qu’en revanche les porteurs des meilleurs sourires avaient une vie sociale plus riche durant le premier semestre de leur année d’études et que c’était ce qui expliquait en partie leur contentement dans leur existence 3,5 années plus tard.
4. Loin de résumer la vie sociale de ses utilisateurs à leurs seuls amis en ligne, Facebook augmente en fait leur soutien social dans la vraie vie.
Keith Hampton de l’Annenberg School for Communication de l’University de Pennsylvanie conclut dans un rapport pour le Pew Research Center qu’il avait trouvé que les utilisateurs d’internet en général, et de Facebook en particulier, avaient plus de relations proches que les autres. « Les utilisateurs de Facebook obtiennent plus de soutien social en général, et en particulier ils rapportent plus de soutien émotionnel et d’amitié que les autres », écrit le chercheur. « Et ce n’est pas un soutien insignifiant. (...) L’usage fréquent de Facebook est l’équivalent de la moitié du supplément de support que l’on obtient en se mariant ».
5. Il y a cependant un inconvénient à Facebook : on ne peut plus passer « incognito »
Les applications de reconnaissance faciales et les « tags » sur les photos remettent en question l'anonymat, et compromettent par exemple le travail des policiers qui tentent d’infiltrer des organisations.
Les résultats d’une étude ont ainsi montré que 90% des femmes officiers de police utilisaient des réseaux sociaux, contre 81% des policiers hommes. Les sites de prédilection étaient Facebook, puis Twitter. Tous les sondés âgés de 26 ans au plus reconnaissaient avoir posté des photos d’eux-mêmes sur internet. « Ce résultat signifie que les jeunes de 16 ans d’aujourd’hui qui pourraient devenir policiers dans le futur ont déjà été exposés », concluent les chercheurs. « Il est trop tard [pour les retirer], parce qu’une fois qu’elles ont été téléchargées, elles y sont pour toujours ». En outre, 85% des sujets de l’étude avaient des photos d’eux téléchargées sur internet par d’autres.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=5-choses-etonnantes-que-vous-ignoriez-sur-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_term=Facebook%2c%20r%E9seau%2c%20social%2c%20amiti%E9%2c%20relations%2c%20anonymat%2c%20honn%EAtet%E9%2c%20personnalit%E9%2c%20photo&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 06/12/2011
Surveillez votre vie privée sur Facebook
La protection de la vie privée sur les réseaux sociaux devient un sujet de plus en plus important pour les internautes à mesure qu’ils découvrent le revers de la médaille de ces services. Contrôler sa vie privée devient de plus en plus complexe, il est donc tout naturel que débarquent sur le Net des outils tels que ceux proposés par Secure.me
Le site surveille en permanence Facebook et avertit l’utilisateur aussitôt qu’un contenu suspect le concernant apparaît sur l’un d’eux. Le site peut également suivre tout ce qui peut concerner vos enfants sur les réseaux ou encore la réputation de votre entreprise. Pour ce faire, secure.me utilise une reconnaissance linguistique sémantique pour repérer les contenus sensibles. Cette reconnaissance peut être améliorée en y ajoutant vos propres termes.
Le site est encore dans une version de pré-lancement et il n’est plus possible pour l’instant d’obtenir des invitations. Vous pouvez cependant en faire la demande afin d’y avoir accès dès son lancement début 2012. Vincent Papaleo
Écrit par : L'enfoiré | 09/12/2011
Facebook nous permet-il de développer nos goûts?
Est-ce que Facebook nous fait aimer ce que nos amis aiment ? Le Boston Globe rappelle que l’on s’attend toujours à ce que le réseau social nous permette de découvrir plus de choses, de nouvelles musiques, des films et des livres, notamment, ce qui en retour, devrait nous permettre de développer nos goûts pour ces choses. Mais une étude du centre Berkman pour l’internet et la société d’Harvard « Social selection and peer influence in an online social network », publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Science de ce mois, montre que c’est en fait le contraire qui se produit. Selon les sociologues Kevin Lewis, Marco Gonzalez, and Jason Kaufman, les goûts de nos amis en ligne n’ont pas beaucoup d’effets sur nous, et en fait, nous nous servirions même plutôt de ce qu’ils aiment comme d’une référence… pour déterminer ce que nous ne devrions pas aimer.
Lewis, Gonzalez, et Kaufman ont étudié les profils Facebook de 1400 étudiants d’une même école pendant une période de 4 ans. Ils ont trouvé qu’en général, les amis n’étaient pas influencés par les goûts de leurs amis, et que les choix en matière de musique et films n’étaient pas spécialement « contagieux ».
Il y avait cependant deux exceptions : la musique classique et le jazz. Les amis Facebook d’amateurs de jazz ou de musique classique avaient tendance à adopter eux-mêmes ces musiques. Les chercheurs expliquent cette exception par le « signal de haut statut culturel » que ces deux musiques renvoient concernant leurs adeptes.
Sources: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=facebook-nous-permet-il-de-developper-notre-gout&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 21/01/2012
http://geeko.lesoir.be/2012/02/28/aujourdhui-cest-la-journee-sans-facebook/
Le 28 février a été décrétée la journée de l’année où il faut se passer de Facebook. Il s’agit d’une initiative menée pour lutter notamment contre l’addiction à la cyber dépendance.
“Sans nous, tu ne serais rien…”
Selon le mouvement, le but de cette initiative est de faire passer le message qu’il est important de lutter contre l’addiction à la cyber-dépendance , de protester contre l’intrusion de publicités qui se font passer pour de réelles informations et de faire comprendre au co-fondateur que “son” réseau ne serait “rien” sans ses membres toujours de plus en plus nombreux.
Cette initiative a également pour but de sensibiliser les responsables de Facebook concernant la sécurisation du réseau social. En effet, il ne se passe pas un mois sans que celui-ci soit l’objet d’attaques de hackers visant à piller les données des utilisateurs.
Il reste maintenant à savoir si vous allez suivre sérieusement cette initiative ou si il est déjà trop tard…
Écrit par : L'enfoiré | 28/02/2012
Qu'advient-il de notre propriété numérique après notre décès?
Nous commençons tous à accumuler toute sortes de fichiers sur internet : logiciels, sites Web, emails, musique téléchargée, profils sur les réseaux sociaux et les jeux en ligne, et certains d’entre eux peuvent présenter une valeur commerciale, sinon affective pour nos proches. Rien qu’au Royaume Uni, par exemple, la valeur des fichiers musicaux téléchargés dépasserait les 9 milliards de livres (presque 11 milliards d’euros). Mais qu’advient-il de notre « propriété numérique » à notre mort ?
Certains sites ont commencé à se poser la question et à édicter des règles. Ainsi, Facebook autorise la famille des utilisateurs à fermer le compte, ou à le convertir en une page du souvenir. Gmail fournit la copie des emails à l’exécuteur testamentaire. Sur iTunes, la licence des fichiers de musique téléchargeable prévoit la révocation des droits après le décès de ceux qui les ont acquis. Les sites ont donc déjà commencé à définir leurs propres règles pour gérer les conséquences du décès de leurs utilisateurs.
Mais ce sujet n’est pas clos pour autant, comme le prouve l’émergence d’un nouveau type de procès, tel que celui que la famille de Justin Ellsworth, un Marine tué en Iraq, a intenté en 2004 contre Yahoo! pour récupérer la copie de ses emails. Les enjeux englobent en effet une question bien plus délicate : la confidentialité des données. Il n’est pas évident que le défunt aurait souhaité la communication de toutes ses données à sa famille. Pour Colin Pearson, un avocat britannique, cette communication ne devrait être possible que si elle a été explicitement prévue dans ses dernières volontés. De nouvelles sociétés ont déjà compris qu’il y avait là une opportunité à exploiter, comme Entrustet, qui vient d’être rachetée par un concurrent suisse, SecureSafe, et qui compte déjà 10.000 clients. Ces derniers y ont enregistré leurs mots de passe et spécifié les accès qu’ils souhaitent accorder à leurs comptes à leurs proches après leur décès.
Malgré tout, cela n’élimine pas la possibilité d’une divergence des différentes règles qui peuvent s’appliquer concernant le décès d’un utilisateur : celles qui sont édictées sur ces sites, les règles propres d’utilisation des réseaux sociaux, jeux et sites de téléchargement, et les actes testamentaires tenus chez les notaires. De belles migraines en perspective pour les juristes…
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=quadvient-il-de-notre-propriete-numrique-apres-notre-dcs&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 23/04/2012
Le nouveau record de Facebook: un milliard d'utilisateur connectés sur une journée
Lundi 24 aôut, un milliard de personnes se sont connectées sur le réseau social Facebook, rapporte Cnet, un record. “Une personne sur 7 sur la Terre a utilisé Facebook pour se connecter à ses amis ou sa famille”, a écrit triomphalement Mark Zuckerberg, le CEO du réseau social, sur sa propre page Facebook.
Malgré ce nombre record d'utilisateurs, Facebook dispose encore de bonnes perspectives de croissance, en particulier sur le marché du mobile et dans les pays en voie de développement, affirme Zuckerberg.
Les autres réseaux sociaux sont loin derrière. Le plus gros réseau social du monde compte 1,5 milliard d'utilisateurs actifs mensuels. Son plus grand concurrent, Twitter, n’en a que 316 millions, et les autres réseaux sociaux tels que MySpace ou Google Plus doivent se contenter de chiffres encore plus réduits.
La croissance soutenue de Facebook est largement induite par son succès sur le marché mobile. Plus de 87% des 968 millions d’utilisateurs qui se connectent chaque jour sur le réseau social le font depuis un smartphone ou une tablette.
Ce segment de marché est aussi très rémunérateur. Il rapporte à la firme 76% de ses recettes publicitaires. Selon la firme d’études de marché eMarketer, l’année dernière, Facebook s’est accaparé 18% des recettes mondiales de la publicité sur appareil mobile.
La croissance de Facebook passe aussi par la messagerie, et notamment par son service de chat sur mobile Messenger, qui est utilisé par plus de 700 millions de personnes dans le monde. Quant à Instagram, le site de partage de photos et de vidéos qu’il a racheté, il compte globalement 300 millions d’utilisateurs.
Facebook espère atteindre de nouveaux utilisateurs dans les pays en développement, et dans ce but, elle a créé l’Internet.org Initiative, un organisme qui fournira des connexions à internet gratuites dans les régions d’Afrique et d’Amérique du Sud qui n’en disposent pas encore. En outre, la firme de Zuckerberg teste actuellement une connexion sans fil fournie par des drones fonctionnant à l'énergie solaire dans des zones disposant d’un accès internet restreint.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=le-nouveau-record-de-facebook-un-milliard-dutilisateur-connectes-sur-une-journee&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 01/09/2015