Le Martien et la Vénusienne (01/04/2011)
Le livre de John Gray, "Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus" a inspiré une pièce sous forme de sketch par Paul Dewandre. Il fallait que cela change. C'est parti...
La théorie et le langage sur les différences sexuelles existent entre un homme et une femme et fait souvent sourire, si pas rire. Certains s'y reconnaissaient visiblement parmi les spectateurs. Certains l'aime chaud et d'autres plus froid. D'autres en exprimaient une certaine gêne. La Saint Valentin est déjà loin. La journée mondiale des droits de la femme est, plus proche, mais derrière nous.
Wikipedia présente la théorie de Gray sous cet angle: "étant donné leur complexion et leur histoire, l'homme et la femme ont hérité de structures psychiques fondamentalement dissemblables, qui les amènent à des conceptions de vie et à des comportements différents face à des situations semblables, même pour les situations anodines du quotidien.
Au lieu de tenter de gommer ces différences, le mieux est de les connaître, de les accepter, et même de les transformer en un atout. La principale application de cette théorie réside dans la vie quotidienne des couples: son enseignement vise principalement à instaurer la paix dans les ménages. Il fait appel à l'empathie entre partenaires, vue comme source principale d'harmonie au sein du couple. Mars est le dieu romain de la guerre et de la fertilité et Vénus, la déesse romaine de l'amour et de la beauté. Caricaturer les deux sexes avec les caractéristiques héritées de fonctions primitives, ne laisse que peu de place au changement de civilisation. Système binaire (masculin/féminin), méconnaissant les différences sociales, ethniques, culturelles, etc. John Gray se fait thérapeute du couple, vulgarisateur ou, pour certains, sermonneur sans finesse."
A nous, donc, de le positionner et, à nous, de nous repositionner, pour conclure.
Dernièrement, le magazine l'Essentiel Cerveau&Psycho analysait les différences.
Elles se retrouvent dans l'inné des gènes, des parents, des maîtres, des amis et des conditions de vie. L’individu est le produit de son patrimoine génétique et de son expérience. L'épigenèse, l’interaction étroite entre l’environnement et les gènes, veut que les petites filles jouent à la poupée, et les petits garçons aux voitures dans des comportements stéréotypés et universels.
Le cerveau n'est pas différent entre une femme et un homme. Sauvés... pas de dysfonctionnements, c'est déjà ça!
La psychologie de l’homme, comparée à celle de la femme diffère, pourtant, par les goûts, les aptitudes, les domaines d’intérêts et les comportements. La biologie séparerait la femme de l'homme par son instinct maternel niché dans le cerveau et son influence hormonale. La culture et l'éducation s'ajoutent là 'approche des domaines d'intérêts.
Les femmes avaient donc tout intérêt d'expliquer cela, en détail, dans leurs "Monologues du vagin". Le cerveau a un sexe comme les seins, l'utérus, les ovaires.
Les femmes utilisent davantage leurs deux hémisphères pour le langage jusqu'à en arriver à des cas pathologiques. Elles récupèrent plus vite et souffrent moins d’aphasie que les hommes. De cette constatation découle qu'elles se réveillent près de deux fois plus vite après une anesthésie générale que les hommes. Elles sont deux fois plus susceptibles d’être touchées par la sclérose en plaques et la maladie d'Alzheimer que les hommes.
Les hommes sont davantage touchés par la calvitie, la myopathie de Duchenne, l’hémophilie ou l’autisme que les femmes. Différences physiologiques et physiques, donc.
Comme résultante, la prise en charge de la dépression devrait être ajustée en fonction du sexe du patient. Toute cette variabilité, vraisemblablement d’origine génétique, s'est sélectionnée et spécialisée au cours de l’évolution.
Dernièrement, les assureurs parlaient d'intégrisme au sujet de la décision européenne de ne plus faire de distinction entre les hommes et les femmes dans le coût des primes d'assurance vie. Les femmes ont une durée de vie plus longue et donc doivent payer, moins cher, leur primes d'assurance vie. Cela se tient, mais, si au niveau physiologique, ce serait suicidaire de refuser les différences de sexe, quand il est question d'argent, l'égalité devient nécessaire.
L'égalité des sexes dans les rémunérations est l'approche de son exploitation idéologique, qui viserait à légitimer certaines politiques inégalitaires ou de discrimination. En Belgique, les femmes, à compétence identique, sont toujours payées en moyenne 5% de moins que celui d’un homme chez les fonctionnaires, 21% chez les ouvriers et 30% chez les employés.
Dans une pratique plus partisane, on remarquerait plus que les femmes ont un champ visuel plus large que celui des hommes. Les femmes voient tout, au foyer, depuis le temps des cavernes. L'homme était mieux assigné à la chasse du mammouth qu'à l'intendance. Aujourd'hui, l'homme réussit souvent mieux à retrouver sa "tanière" que la femme qui reste, un peu paumée, en lisant la carte routière. La voix enregistrée féminine du GPS, la Gourde qui Parle Seule, en fait foi.
Un grand classique à la maison dérive très vite sous cet angle:
- Tu vois la poussière, là?", dit la femme.
- De la poussière, où ça?", répond l'homme.
- Laisse, je vais le faire moi-même", termine le dialogue.
La conscience de la déficience visuelle de son descendant de chasseur était bien là, sans machisme. Pas de "fainéantise" à trouver dans la réticence de l'homme à faire le ménage, une simple reconnaissance des spécificités et, qui sait, d'un "job protection", non avoué, de Madame.
Cliché, le champ visuel inégal dans la maîtrise des arts ménagers.
Alors, j'ai continué mon enquête de l'autre côté de la "barrière".
La blogueuse du site "Etre une femme" écrivait dans son dernier billet: "...en ce moment je suis très prise et très stressée ... Je passe mon temps à chercher un lieu de stage pré-professionnel ... Je suis en train de rédiger mon mémoire. Le championnat de foot a repris ... Je vais bientôt être marraine, Je vois mes amis uniquement le week-end... j’essaye de faire de mon mieux pour rester organiser (ne pas prendre de retard dans le ménage, dans les révisions, ne pas zapper de rendez vous, continuer de tester de nouvelles recettes de cuisine)... J'ai également dû arrêter de travailler le week-end afin de me dégager des plages horaires pour DORMIR mdr."
Fougueuse, courageuse, cette femme au foyer ou alors, les accumule-t-elle sans même s'en rendre compte?
Le 8 mars dernier, c'était le 100ème anniversaire de la Journée mondiale des droits de la femme.
La journée de la jupe avait été son symbole, l'année précédente.
Pour faire honneur aux pionnières de l'égalité des sexes en Belgique, on reparlait, dans un des journaux belges, de femmes avec du "poil au menton" comme Rosa Marie Popeline, de Isola Van Diest, d'Edith Cavell, de Léonie La Fontaine, de Lucie de Brouckère, d'Andrée de Jongh, de Sœur Emmanuelle qui ont jalonné l'histoire du féminisme belge. Droit de vote pour les femmes accordé depuis 1948.
1.115.000 diplômées féminines sortent des écoles et dépassent en nombre les candidats masculins.
Les femmes de pouvoirs s'installent et s'entourent de leurs semblables.
Les pays scandinaves avaient commencé la mutation.
Certaines femmes y gagnent mieux leur vie que leurs hommes.
Depuis, ce sont eux qui restent à la maison avec la progéniture, font la cuisine et la vaisselle de la cuisine.
Une étude prouve que tout n'est pas que bénéfices: les parents belges voient peu leurs enfants parce que, contrairement aux pays du Nord, pour assurer les deux bouts, les deux membres du couple se voient obligés de contribuer aux frais du ménage.
Cette «pression idéologique douce», associée au féminisme sans différences entre les sexes, est aussi contrariée par les idées plus pragmatiques anglo-saxonnes.
Pour justifier cette inégalité, certains se retranchent derrière la faute des femmes considérées très sociables mais aussi, dans le même temps, moins compétentes. Responsables par le fait qu'elles ne se feraient pas de cadeaux entre elles.
Compétition qui génère un stress supplémentaire, traduit par une perte de potentiel.
Oui, les comportements changent et sont uniquement le fruit de l’éducation ou des contraintes sociales mais le plateau de la balance penche parfois trop dans l'autre sens.
Quand on veut l'égalité, ce n'est pas pour ne maintenir que les avantages et rejeter les inconvénients.
Les hommes et les femmes ne sont pas identiques, ni physiquement ni mentalement. Enfin, en principe, parce que les études littéraires et les sciences humaines sont le plus souvent choisies par les femmes tandis que les sciences mathématiques sont plus réservées aux hommes. Bien que cela change très progressivement.
L’un n’est donc pas supérieur à l’autre mais l’un est complémentaire de l’autre tout en restant sont souvent inséparables.
La Chine et l'Inde sont les pays les plus masculins au monde.
Le déséquilibre garçon-fille inquiète par le déficit de femmes.
Ce déficit de 91 millions a à son compte quelques 24 millions d'hommes qui ne trouvent plus d'épouse.
Les femmes égyptiennes, elles, attendent encore leur révolution.
Quant aux femmes afghanes, elles ne finiront jamais d'attendre...
En Italie, en réaction à la vision berlusconienne, Christine Comencini ne supporte plus l'étalage de la femme objet à la télévision et ailleurs. Complètement d'accord avec cette vision des choses.
Le Théâtre, lui, fait les choux gras de cet antagonisme entre les femmes et les hommes.
La pièce "Un Beau salaud" de Pierre Chesnot démontrait parfaitement cette incompréhension dans les relations homme-femme.
"Les hommes préfèrent mentir" de Eric Assous, pièce dans laquelle tous les protagonistes en prennent un coup.
Récemment, Diane Ducret était interrogée au sujet de son livre "Femmes de dictateurs".
Pas de dictatrice dans l'histoire mais des suiveuses passionnées de leur dictateur.
D'esclaves de leur séducteur de mari, elles sont devenues "récupératrices" et même "concurrentes" du pouvoir de leur moitié.
Mattias Debureaux avec son "Les dictateurs font très bien l'amour" donne des cas plus invraisemblables d'attirance des contraires.
Ava Gardner qui rencontre Fidel Castro n'est pas seulement un lien géographique dans un espace temps.
La séduction ne s'explique pas. Elle se consomme et parfois consume ses acteurs avec la fascination comme un lien virtuel.
Les mœurs ont changé et dans un nombre incalculable de cas, la femme a mis la culotte dans le ménage et il n'est pas rare que l'homme prend en charge le bébé et ses couches culottes.
Il reste toujours vrai qu'à tous les âges, dans les réunions, les garçons se rassemblent toujours entre eux et les filles, entre elles.
La dichotomie psychologique entre l'homme et la femme reprend.
Énumérées sur deux colonnes, en deux dimensions, d'après ce que l'Essentiel Cerveau&Psycho annonce comme vrai, statistiquement prouvé, cela donnerait ceci:
Femmes |
Hommes |
Plus sociables |
Plus remuants |
Aiment les variétés alimentaires |
Mangent des frites à tous les repas |
Aiment les relations durables |
Aiment les relations sans lendemain |
Plus de mémoire vestimentaire |
Accusent de la fatigue pour les détails |
Plus sensibles à la douleur |
Plus résistants à l'échec |
Meilleures chefs d'entreprises |
Plus stables en chef d'entreprises |
Dégoûts plus émotifs |
Dégoûts plus logiques et calculés |
Hiérarchie de valeurs |
Hiérarchie de dominance |
Préfèrent les images douces |
Préfèrent les images contrastées |
Préfèrent les hommes qui font rire |
Aiment les femmes qui aiment leurs blagues |
Plus attirées par le côté littéraire |
Plus scientifiques et matheux |
Préfèrent le concret |
Préfèrent les abstractions |
Plus fidèles et plus cachotières |
Les veufs se suicident plus |
Actions par accès direct au hasard |
Actions en accès séquentiel |
Le passé était-il sous forme de "Pas ce soir, chéri" et le futur, "Femme, avenir de l'homme"?
Le beau mâle macho d'antan n'a plus, totalement, une position enviable et recherchée.
La compétence et la motivation, et non pas les quotas, sont les seuls points d'acceptation du partage du pouvoir.
Le Question à la Une du 16 mars mettait les pieds dans le plat avec "La femme a-t-elle gagné la guerre du sexe?".
La Journée de la Femme, fixée le 8 mars, par le mouvement féministe tombait, cette fois, un mardi gras en pleine période de carnaval. Cela ne semblait pas trop sérieux de sortir la décision qui va suivre, lors du carnaval.
Que manquait-il?
Pas de journée de l'Homme. Pardi.
Pas de mouvement qui se dit "masculiniste".
Cela ne peut plus "continuer à rester durer" comme on dit chez nous.
Alors, ça y est.
Je viens de l'apprendre le premier avril qui vient d'être nommé "Journée de l'Homme" ou plutôt, la "Journée du Pantalon".
La "Journée sans culotte" était déjà prise.
Un remake du film "De l'autre côté du lit" a été tourné dans le plus grand secret, à Bruxelles.
Benoit Poelvoorde et Catherine Frot, après sont rôle de Folcoche dans "Vipère au poing", en sont les acteurs principaux.
..
Sardou, lui, avait déjà senti que les choses évoluaient, dans sa chanson "Être une femme des années 80".
Il l'avait revue dans une nouvelle version dans un "Être une femme de 2010" que je passerai à la suite.
Sa chanson n'avait toujours pas trouvé d'écho par un "Être un homme".
Et, la discrimination positive, bordel...me suis-je dit !!!
Un karaoké, avec les mêmes notes, d'"Être une femme", pourrait bien avoir un sous-titre de
"Machiste fatigué"
Dans un voyage en inertie
Que je fais lorsque je m'engourdis
J'ai imaginé sans complexe
Qu'un matin je pensais au sexe
Que je revivais l'étrange somme
D'être un homme
Homme de l'année 2010
Homme qui cherchait le dix sur dix
Ayant réussi tous les charmes
De l'autorité et du vacarme
Homme de l'année 2010
Parfois pigeon, perdu au quiz
Sachant marcher sans armes
Avec sourire et avec charme
Homme dévoreur de sexe
Sans être trop complexe
A la fois sensuel et cynique
En technicien du comique
Homme de l'année 2011
Homme choisi parmi onze
Ayant réussi l'amalgame
Des douceurs et des brames
Être manager en chemise noire
Sans trop cacher son dard
Être notable sans idiotie
Et rouler les patins des hiérarchies
Fortiche au fond de son âme
Avec la peur de voir Madame
Devenir flic ou l'enfoirée de service
Donner l'amour sans sévices
Homme cinéaste écrivain
A la fois poète du romarin
Homme lion sous sa pelisse
Sans argent planqué en Suisse
Maître de forge, moustache fine
Ou contremaître à l'usine
Tenir au matin le crachoir
Et le soir, espérer le dortoir
Homme qui ne serait pas surfait
Ni chauffeur de car ni agent secret
Homme s'épuisant en imagination
A compter la monnaie du pognon
Être major de promotion
Avoir une opinion sans marrons
Champion du monde des montures
Aimer la matrone sans dictature
Fortiche jusqu'au fond du pieu
Qu'on a envie d'appeler Monsieur
En pyjama sans col roulé
Et pas se faire appeler Pépé
Homme facteur du courrier
Homme à l'humour fatigué
Galonnée jusqu'au septième ciel
Sans hôtesses pour couler le miel
Maîtriser un reste de "système"
Laisser le pouvoir suprême
S'installer avec prudence
Et ne plus bander en transes
Homme, pas gardien de prison
Chef d'orchestre sans raisons
Boudeur à corps perdu
Pisteur comme on n'en fait plus
Homme de l'année 2011
Moins pigeon à coup de semonces
Sachant montrer sa flamme
Avec sourire et sans rames
Homme en chaussettes noires
Élégantes à en avoir marre
D'être un général en sortie
Pour retrouver son "sans soucis"
Programmeur ou écrivain
A la fois poète et mannequin
Lion au chaud sous sa crinière
Planqué dans sa chaumière
Homme aux caresses du basset
Homme qui fume le calumet
A la fois sensuel et fumiste
Dans des pensées pluralistes
Être majeur de promotion
Parler sans ceinture marron
Rêver d'un monde, pas trop dur,
Et pas parler contre les murs
Homme gardien de la paix
Chauffeur un peu trop discret
Homme plein d'admiration
Scander ses vers et ses fictions
Laisser toucher aux rennes
A la femme au pouvoir suprême
S'installer à la Présidence
Pour décanter sa romance
Être un homme de l'année 2011
Penser à Brel chantant sans fronces
Pendant, une heure, garder le choix
D'être beau et con à la fois
Pas de misogynie, ni de misandrie dans l'opération.
A la base, une seule volonté d'équité. A bas, la galanterie mal digérée.
C'est le jour du Poisson, jour pendant lequel, on peut tout se dire.
Pour le Premier Avril, la Journée de l'Homme serait sans galanterie, sans forfanterie, sans leitmotiv machiste comme un jour qui rimerait seulement avec le mot "amour", "égalités" et "spécificités".
Tout le monde a, un jour, l'envie de jouer le rôle du Chevalier d'Eon, prénommé Charles, Geneviève, Louise, Auguste, Andrée, Timothée. Androgyne qui a passé 33 ans de sa vie en homme et 49 en femme et que Voltaire appelait "animal amphibie". On oublie pourtant que sa vie n'a pas été un long fleuve tranquille.
J'attends vos suggestions et vos commentaires, Mesdames... et Messieurs, bien entendu...
Mais, nous restons toujours au Service secret de Sa Mammifère
L'enfoiré,
Articles sur le même sujet (1), (2), (3)
Agoravox, vénusien ou marsien?
Pour les Belges, comme poisson, je n'ai que du masculin à vous offir.
-
"Un homme qui pense, non à une femme comme au complément d'un sexe, mais au sexe comme au complément d'une femme, est mûr pour l'amour.", André Malraux
-
"Après l'amour 10% des hommes se tournent sur le côté droit, 10% sur le côté gauche et le reste retournent chez eux", Anonyme
-
"Les femmes préfèrent être belles plutôt qu'intelligentes. C'est parce que chez les hommes, il y a beaucoup plus d'idiots que d'aveugles", Anonyme
Mise à jour février 2014: Une suite à la pièce.
Et comme "Mars et Vénus font la paix". L’usure du couple et l’érosion du désir ne seraient pas des fatalités ! Grâce à des actions comme:
• Mieux comprendre votre partenaire et le soutenir
• Mieux vous connaître vous-même et vous améliorer
• Désamorcer et éviter les conflits
• Être capable de pardonner
• Trouver la paix intérieure
• Construire une relation de couple harmonieuse.
Il restera toujours du son pour correspondre aux images.
Mise à jour 20 mars 2014: La loi sur les noms de famille est passée. Les noms du père,et/ou la mère ou les deux dans un ordre choisi
Livre de Steve Harvey "Soyez femme, mais pensez comme un homme" (Extraits)
Mise à jour 8 mars 2014: Journée de la femme
Mise à jour 26 juillet 2014: Un édito de la rédactrice en chef de Telepro m'avait un peu mis hors de moi à voir les femmes d'aujourd'hui comme de "pauvres" femmes.
Un titre bizarroïde et étrangiforme: "Où sont les femmes?"
Mise à jour 8/2/2015: Le nouveau spectacle "Les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus" est déjà sur les scènes en Belgique
Mise à jour 2/6/2015: Laurence Bibot parlait de la femme à plusieurs endroits avec humour et intelligence qui la caractérisent:
Mise à jour 19 août 2015: Le Viagra au féminin est sorti des éprouvettes aux Etats-Unis.
Mise à jour 16 janvier 2016: La nouvelle eau de Cologne
Mise à jour 8 février 2016: Le Théâtre des Galeries vient de terminer la représentation de "EXIT" de FAUSTO PARAVIDINO
Commentaires
Marcel Sel, dans un hebdo Télépro, avait écrit "Femmes de Chambre" en parlant de la Chambre du gouvernement belge qui n'est toujours pas formée.
"A la Chambre belge, on trouvait trop de sexe "mâle". Féminisés, cela deviendrait-il mieux? Bartine De Wever négocierait une réforme de l'Etat avec Elia Di Rupo. La présidente de la Chambre, Andrée Flahaut interpellerait la Première ministre en affaires courantes, Yvette Leterme. Une informatrice, Denise Reynders passerait le flambeau à Wilhelmina Beke. A la RTBF, la libérale flamande Alexendra De Croo débattrerait avec Jeanne-Michèle Javaux, Erica Van Rompuy, Francine Delpérée, Oliviera Maingain. Michèle Daerden se serait endormie dans un combat naval avec Pierrette De Crem sous l'arbitrage de Stephanie De Clerc. La très énergique, Paulette Magnette serait difficilement caricaturée par Pierrette Bigoudi, la cousine de Pierre Kroll. La reine Alberine aurait trouvé le Plan B à la caisse du nouveau "Delhaize Majestée". Trop féministe le Sénat? Non, Jo Milquet, Sabin Laruelle et Laurent Onkelinks seraient là. La politique au féminin, serait-il capable de mettre moins de 300 jours pour former un gouvernement. Le pari, mot au masculin, est ouvert. Reste à sexuer tout cela, dans "Alea jacta est".
Le Roi compte désigner Daerden après Beke:
http://www.lesoir.be/actualite/belgique/elections_2010/2011-04-01/apres-beke-le-roi-compte-designer-daerden-831718.php
Écrit par : L'enfoiré | 01/04/2011
Dites, vous concourrez au grand forum des clichés recuits ?
Avez-vous pensé au fait qu'il se pourrait que ce soit une question qui serait surtout plus relative au fait que notre vocabulaire, notre conception du genre reste très primaire ? Qui vous dit en effet que les femmes sont des femmes et les hommes des hommes ? Peut-être manque-t-on tout simplement de mot pour définir la palette des contrastes existant entre les individus.
Écrit par : rostre | 01/04/2011
Rostre,
Tout à fait. J'ai eu une gentille dame qui est venue s’intercaler dans un commentaire sur Agoravox.
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/parodie/article/le-marsien-et-la-venusienne-90792#forum2870667
Nous ne voyons pas les choses toujours avec les options disponibles.
Merci pour ce commentaire qui entre bien dans le cadre de la discussion.
Écrit par : L'enfoiré | 01/04/2011
J'aime beaucoup votre article. Voilà ici une très bonne réflexion :)
Écrit par : EtreUneFemme | 06/04/2011
Merci pour votre appréciation.
Aucun parti pris. Une simple remise à plat actuelle d'une situation qui évolue en permanence.
Beaucoup à dire sur le sujet existentiel.
Bonne journée
Écrit par : L'enfoiré | 06/04/2011
Ce que les femmes pensent des hommes?
C'est peut-être ici
http://www.linternaute.com/homme/mode-de-vie/ce-que-les-femmes-pensent-des-hommes/?f_id_newsletter=4724&utm_source=benchmail&utm_medium=ML183&utm_campaign=E10195265&f_u=768081
Écrit par : L'enfoiré | 08/04/2011
Où sont les femmes?
La population mondiale vient d’atteindre le jalon des 7 milliards d’individus, et des scientifiques en ont profité pour agiter le spectre de la pénurie à venir de femmes adultes dans certains pays.
Biologiquement parlant, la norme est de 104 à 106 naissances de garçons pour 100 filles. Mais en Inde et au Vietnam, le rapport est de 112 garçons pour 100 petites filles, en Chine, il est presque de 120 garçons pour 100 filles en moyenne, et dans certaines régions, il est même de 130 garçons pour 100 filles. Les pays asiatiques ne sont pas les seuls, et la tendance se développe désormais dans les régions du Sud-Caucase, et même en Europe de l’Est, notamment en Serbie et en Bosnie. Dans des pays comme l’Azerbaïdjan la Géorgie et l’Arménie, les rapports entre les naissances de garçons et filles sont au moins de 115 pour 100.
Alors que l’économiste indien Amartya Sen, lauréat du prix Nobel, se désolait de ce que 100 millions de femmes manquaient dans un article des années 1990, on estime aujourd’hui que ce déficit est supérieur à 160 millions. Les échographies se sont démocratisées ; et alors que les villageois devaient auparavant se rendre en ville pour faire réaliser cet examen qui permet de connaitre le sexe du fœtus, ce sont désormais les radiologues munis de leur échographe qui se rendent désormais dans les villages. Selon la revue médicale britannique « The Lancet », 500.000 avortements seraient ainsi pratiqués chaque année en Inde.
Quelles en seront les conséquences ? Dans ces pays, des hommes seront condamnés au célibat. Certains experts estiment également que l’on assistera au développement de la polyandrie (une femme mariée à plusieurs hommes) et à celui du tourisme sexuel. Mais d’autres prophétisent des sociétés rongées par les problèmes de prédation sexuelle et les conflits. Pire : pour 2 chercheurs, Valerie Hudson et Andrea den Boer, les déséquilibres des populations hommes/femmes dans les pays asiatiques constituent une menace pour la sécurité des pays occidentaux. « Les sociétés avec des rations de genre élevés sont seulement gouvernables par des régimes autoritaires capables de supprimer la violence nationale et de l’exporter à l’étranger par l’intermédiaire de colonisation ou de guerre, expliquent-elles. Mara Hvistendahl, une correspondante du magazine Science tempère un peu leur pessimisme, en rappelant que l’Inde est une démocratie prospère, malgré son déséquilibre entre les populations d’hommes et de femmes. Mais elle admet que ce ne sera pas facile : « Historiquement, les sociétés dans lesquelles le nombre d’hommes excédait celui des femmes n’ont jamais été des endroits où il était agréable de vivre ».
Au Tadjikistan, les femmes souffrent de la pénurie d'hommes
Dans certains pays où l’on privilégie les naissances de garçons, les démographes s’inquiètent d’une pénurie future de femmes adultes et de ses conséquences dramatiques. Mais un pays est déjà confronté à l’un de ces déséquilibres démographiques désastreux : le Tadjikistan.
Mais là-bas, ce ne sont pas les femmes qui manquent, au contraire, puisqu’on y compte un homme pour 4 femmes. Les hommes en âge de travailler ont toutes les peines du monde à trouver un emploi dans ce pays très pauvre de 7,6 millions d’habitants, et ils émigrent donc souvent vers la Russie voisine. En outre, la mortalité à la naissance des petits garçons, de 43% y est bien supérieure à celle des petites filles, de 33%, ce qui contribue à creuser le déficit d’hommes.
On assiste au retour de la polygamie, pourtant interdite par la loi, mais voulue par les femmes tadjikes qui souhaitent fonder une famille et qui n’ont guère d’autre choix, d’autant plus qu’il leur est quasiment impossible de trouver un travail qui leur permette de subvenir à leurs besoins. De nombreuses femmes en sont réduites à la prostitution, ce qui incite certains, comme Mavdjouda Mimotchoeva, présidente du Comité régional de régulation des traditions et célébrations, à réclamer la légalisation de la polygamie. Les femmes célibataires ont aussi la possibilité de se marier avec un étranger. Les Afghans, Iraniens, Turcs, Chinois, Allemands, Britanniques, Américains, Syriens, Japonais et les Indiens seraient les plus convoités.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=world&item=ou-sont-les-femmes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_term=d%E9mographie%2c%20d%E9s%E9quilibre%2c%20population%2c%20homme%2c%20femme%2c%20polyandrie%2c%20violence&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 17/11/2011
En voilà une au moins qui remet les pendules à l'heure
http://www.rtbf.be/info/media/video_le-cafe-serre-de-laurence-bibot-18-11-11?id=1404733&mediaset=rtbfinfo--matin-premiere&type=video
Écrit par : L'enfoiré | 18/11/2011
Voilà, une déclaration qui va remettre les idées en place
http://www.lesoir.be/lifestyle/sante/2011-12-06/les-femmes-pensent-au-sexe-9-9-fois-par-jour-881791.php
Écrit par : L'enfoiré | 06/12/2011
Trop drôle pour être cochon, comme disait le messager.
On l’appellera pour la cause: "Sexe au 3ème âge"
Le mari demande à sa femme :
-Te rappelles-tu la première fois où nous avons couché ensemble il y a cinquante ans? Nous sommes allés derrière la taverne du village où on s’est penché contre la clôture en arrière et je t'ai fait l'amour.
-Oui , je m’en rappelle bien.
-OK , Qu’en penses-tu de prendre une promenade autour de là et nous pourrions le refaire pour le vieux bien du temps?
-Oh Jim, vieux diable, c’est une idée folle mais bonne!
Un policier assis dans la cabine à côté a entendu leur conversation et, en riant, il se dit, je dois voir ces deux vieux faire l’amour contre une clôture.
Je les surveillerai juste pour m’assurer qu’ils n’ont pas d'ennui.
Alors il les suit.
L e couple âgé marche lentement, se penchant un sur l’autre pour se soutenir et aidé de cannes…
Enfin, ils arrivent en arrière de la taverne et se rendent à la clôture..
La vieille dame soulève sa jupe et le vieil homme baisse son pantalon.
Comme elle se penche contre la clôture, le vieil homme s’approche..
Alors subitement ils commencent à baiser comme des déchaînés sexuels, le policier n’en croyait pas ses yeux.
Ceci continue pour à peu près dix minutes pendant que les deux font des bruits, gémissent et crient. Enfin, les deux s’effondrent, haletants par terre.
Le policier est stupéfié. Il pense qu'il a appris quelque chose de la vie et du 3e âge qu'il ne savait pas.
Après une demi-heure par terre, le vieux couple se relève et remettent leurs vêtements.
Le policier, qui regarde toujours se dit : Ceci est véritablement stupéfiant, je dois leur demander quel est leur secret. Alors, comme le couple passe, il leur dit :
-Excusez-moi, mais c’était vraiment quelque chose. Vous devez avoir eu une vie sexuelle fantastique ensemble. Y-a-il un secret pour ça?
Tremblant, le vieil homme est à peine capable de répondre :
-Il y a cinquante ans ce n'était pas une clôture électrique.
Non, impossible, cette histoire-là ne se passera jamais même sur une Toile électrique.
Le commentaire qui arrivait avec l'histoire était "les personnes du 3ème âge restent au courant".
Écrit par : L'enfoiré | 26/12/2011
Un peu d'humour à l'américaine
http://www.rtbf.be/info/media/video_le-cafe-serre-de-laurence-bibot-27-1-12?id=1590913&mediaset=rtbfinfo--matin-premiere&type=video
Écrit par : L'enfoiré | 31/01/2012
De plus en plus de femmes se marient avec des hommes de classes moins favorisées qu'elles
Le temps où les femmes recherchaient un partenaire d’une classe sociale plus favorisée est peut-être révolu. Selon une étude de l'Institut for Public Policy Research, les femmes d'aujourd'hui, plus indépendantes sur le plan financier, se marient plus volontiers par amour, et elles peuvent choisir des partenaires de classes sociales plus défavorisées. L’étude du think tank indique que les femmes dans la vingtaine et la trentaine se marient davantage avec des hommes de classes sociales plus basses, et pour la première fois, leur proportion a même dépassé celle des femmes qui s’unissent avec des hommes de classes sociales plus favorisées. 28% des femmes nées entre 1976 et 1981 ont ainsi épousé un homme qui était moins éduqué et gagnait moins d’argent qu’elles-mêmes (en 1958 elles étaient 23%), contre seulement 16% des jeunes femmes de cette même classe d’âge qui ont épousé un homme issu d’une classe plus favorisée que la leur (en 1958 elles étaient 38%).
Les mariages entre les différentes classes sociales a changé sur les cinquante dernières années, mais la tendance des femmes à se marier avec des hommes plus âgés qu’elles s’est renforcée, malgré la popularité du phénomène du Toyboy. L'âge n'est pas un tabou social, et une femme sur cinq désormais se marie avec un homme qui est plus âgé qu’elle de sept ans ou plus. Les chercheurs s'attendent à la tendance à une augmentation des cas de mariages de femmes avec des hommes moins éduqués qu’elles. En effet, une proportion plus grande de femmes que d’hommes poursuivent des études supérieures (52% pour les femmes contre 42% pour les hommes).
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=de-plus-en-plus-de-femmes-se-marient-avec-des-hommes-de-classes-moins-favorisees-quelles&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 11/04/2012
Revoilà, le "monstre du Loch Ness" le Monologue du Vagin.
http://www.rtbf.be/info/media/video_laurence-bibot-dans-le-cafe-serre-25-05-2012?id=1731951&mediaset=rtbfinfo--matin-premiere&type=video
Le commentaire de l'enfoiré était "A quand "Le Dialogue des testicules?"
Écrit par : L'enfoiré | 25/05/2012
Mais vraiment qu'est-ce qu'on arrive à dire?
Je décline toutes responsabilités. :-)
L'humanité est-elle en train de s'abrutir? Oui, et c'est la faute des femmes...
L’humanité pourrait-elle devenir de plus en plus stupide ? C’est possible, répond le nouveau livre de Satoshi Kanazawa, « The Intelligence Paradox: Why the Intelligent Choice Isn't Always the Smart One ».
Il explique que ce sont les femmes ont une plus grande influence sur le QI de leurs enfants que les hommes, et comme les femmes intelligentes ont moins d’enfants, l’humanité pourrait évoluer vers plus de stupidité.
Les gènes déterminent 80% de la variance de l’intelligence adulte. En moyenne, les parents les plus intelligents ont aussi des enfants plus intelligents. Les gènes qui ont une influence sur l’intelligence sont portés sur le chromosome X. Ceci signifie que les hommes héritent leur intelligence de leur mère, alors que les femmes l’héritent de leurs deux parents. De leur côté, leurs pères ont hérité leur intelligence de leur seule mère (la grand-mère paternelle). Les femmes influencent donc l’intelligence des générations futures très fortement par l’intermédiaire de leurs fils et de leur petites filles paternelles.
Comme les femmes plus intelligentes ont moins d’enfants en moyenne, et sont plus souvent sans enfants que les autres femmes, il est possible que le niveau moyen de l’intelligence de la société décline au cours du temps.
Certains pourraient objecter que l’humanité est devenue plus intelligente au cours du 20ème siècle, en vertu de ce que l’on appelle l’Effet Flynn, selon lequel l’amélioration de la santé et de l’alimentation ont été à l’origine d’une augmentation de l’intelligence tout au long du 20ème siècle. Mais il semble que cet effet Flynn ait cessé à la fin du 20ème siècle dans la plupart des pays occidentaux (qui connaissent maintenant les taux les plus forts d’obésité et de diabète). Les études suggèrent même que le niveau moyen de l’intelligence a commencé à décroître au début du 21ème siècle dans des pays tels que l’Australie, le Danemark, la Norvège, et le Royaume Uni.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=lhumanite-est-elle-en-train-de-sabrutir-oui-et-cest-la-faute-des-femmes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 29/06/2012
L'homme, une femme-objet comme les autres
Ces 20 dernières années, le féminisme et les changements sociaux ont ébranlé les certitudes masculines.
Comment le corps masculin est-il devenu un chantier permanent ?
Mais comment en est-on arrivé à ce que le poids d'un candidat prenne presque autant d'importance que ses idées ? Et pourquoi, aux JO de Londres, le torse nu des athlètes mâles ainsi que leur look de guerriers télégéniques seront-ils autant commentés que leurs performances (c'est arrivé ce week-end avec le nageur Ryan Lochte, champion du 400 m 4 nages, dont le dentier étincelant faisait le buzz sur le Net) ? Et puis, dans la rue, dans les journaux, au cinéma, sur le Net, dans les pubs, sur Facebook, pourquoi tant d'hommes déshabillés ? L'homme serait-il devenu une femme-objet comme les autres ? Y prendrait-il goût ?
Pour esquisser une réponse, prenons deux autres personnages illustres. Karl Marx et Rambo.
Marx, parce qu'il est l'un des premiers à formuler l'idée qu'un corps humain n'est pas seulement le produit d'une époque, mais qu'il est aussi l'objet d'un modelage organisé. Marx, bien sûr, pense au corps du travailleur, corps instrumentalisé, corps façonné, corps qui sert de matière première à l'entreprise capitaliste. A son époque, l'idéal masculin est celui d'une virilité construite au XIXe siècle sur un idéal post-Révolution française. Ce code de la virilité décrète qu'un homme se doit d'être fort, droit, courageux et dominant – le contraire de l'aristocrate rangé dans le camp de l'oisiveté poudrée et molle. L'homme descend de Mars, son corps est action et sujet – alors que celui de la femme est passif et objet. Comme l'explique la récente Histoire de la virilité, le mâle est le père de famille, son corps une machine fonctionnelle. Cette statue de la virilité ne sera pas aussitôt posée que son socle se mettra à fendiller. N'empêche, deux siècles et même deux guerres mondiales plus tard, son ombre raide comme une trique continuera de planer sur l'éducation des garçons. Alors que la nudité, l'enjolivement du corps, la beauté pour la beauté resteront -plutôt du côté du culturellement -féminin.
Quand on demande à David Le Breton ce qui a le plus changé entre le corps d'un homme qui a 40 ans aujourd'hui et celui de son père, voici sa réponse : « Il y a encore vingt ans, le corps masculin était perçu comme inné, stable. Et son propriétaire intervenait peu sur son physique. C'était le corps d'un modèle de virilité qui pose l'homme en père exerçant une domination sur son épouse et sur ses enfants. Dans le sillage de Mai 68, ce modèle a été ébranlé par le féminisme qui a fait de l'homme celui qui se doit d'être à l'écoute de sa femme, et qui négocie avec les enfants. Ce modèle n'est pas le seul, mais c'est le plus répandu. Une virilité douce, souple, nuancée, éclatée, multiple. »
Le corps, un chantier permanent
Et le corps ? Il est devenu la vitrine ou le théâtre de cette virilité souple, éclatée et sans cesse en reconstruction. Le corps d'un homme n'est plus seulement un bien hérité et défini de nature, il est aussi un chantier permanent soumis à des pressions et à des modèles multiples, sinon contradictoires – il n'y a qu'à penser au nombre de pré-ados, aujourd'hui, qui changent de look tous les six mois, s'habillant en gothique, puis en rappeur, puis en BCBG ; ou au cadre supérieur encravaté la semaine qui pose en aventurier non rasé le week-end. David Le Breton : « Le corps masculin joue un rôle désormais essentiel dans cette fabrique de soi, dans la virilité que l'homme se bricole, il est devenu cette chose qui se met au service de l'identité masculine, il la constitue, il la façonne, il la donne à voir, il l'exhibe un peu comme si l'homme, aujourd'hui, au moment de se demander qui il est et qui il veut être, se promenait dans un supermarché des signes identitaires et se les appropriait. »
Rambo ou l'arrivée des pectos
Le corps, ce work in progress. Cet agent de plasticité. Ce théâtre de soi-même, mis en scène par le marketing et dont les répliques s'écrivent dans les boutiques masculines qui connaissent une croissance supérieure à celle de la femme. Les tatouages, les marques, les logos, les parfums, la musculation, les bijoux, tous les objets de la consommation des apparences ? Des signes identitaires sortis du champ exclusivement féminin pour conquérir aussi le masculin.
Et Rambo, alors ? Il est à la fois le modèle, certes grotesque, de cet homme au corps chantier, ainsi qu'un de ses géniteurs. Souvenir. Au début du film éponyme, Rambo est un homme à la virilité guerrière bafouée et obsolète (tiens, tiens). Comment va-t-il se forger une nouvelle vie ? En se sculptant un nouveau body. Dira-t-on jamais assez combien ce navet a popularisé l'idée qu'un homme, aujourd'hui, se façonne et se met en récit par son corps ? Surtout, comme le rappelle Le Breton, c'est la première fois qu'un film populaire et ses affiches exhibent un torse nu, en format géant. « Rambo, c'est le premier corps masculin érotisé (à l'échelle planétaire), les femmes n'en ayant plus le privilège. » Rambo, c'est l'arrivée de la pub dans l'ère des pectoraux. C'est l'entrée de l'homme dans une époque de virilité narcissique hétérosexuelle qui non seulement n'a plus peur de la nudité publique mais qui en mesure les bénéfices : audimat décuplé, popularité en hausse, capital de séduction accru, captation du regard -féminin. Lequel constitue, désormais, la plus grosse part du public télévisuel. Et lequel s'est arrogé un droit, jusqu'ici plutôt masculin : celui de traiter ouvertement le corps de l'autre sexe comme un objet de consommation.
L'hypermédiatisation a accéléré cette volonté de maîtrise du physique
Linguiste et maître-assistante à l'Université de Lausanne, Stéphanie Pahud pointe deux facteurs qui ont encore accéléré l'exhibition corporelle de l'homme du XXIe siècle. La première explique le ramdam autour du régime de François Hollande (ou celui de Bart De Wever, plus près de chez nous). « Ce qui a le plus changé du côté des corps, ces dix dernières années, c'est le poids du devoir de maîtrise physique, devoir qui va de pair avec un devoir global de maîtrise de soi, de sa vie, tant privée que professionnelle. Comme les femmes, les hommes sont désormais incités à faire rentrer leur corps dans des canons socio-culturels, à gommer tout stigmate qui les éloignerait de ces canons. » Le corps mâle, cette carte de visite. Ce programme électoral.
Stéphanie Pahud cite un autre facteur qui a accru l'inquiétude de l'homme à propos de son apparence: l'hypermédiatisation. « Notre vie est envahie de représentations de corps, de visages, de silhouettes. L'accélération de la peopolisation qui a amené cette sur-abondance. Mais il y a aussi le développement des réseaux sociaux qui pousse les individus à se mettre constamment en scène, à se construire des profils, à « se publier ». Pour se créer une image, on regarde celles des autres, on compare. Que l'on obéisse ou non aux canons dominants, on est dans une démarche de gestion (parfois névrotique) de son apparence… Même le porno, qui diffuse des images d'hommes en apparence sans faille, renforce inévitablement ce sentiment de devoir de maîtrise physique. »
Il serait temps, maintenant, de se demander si cet homme-objet qui se montre de plus en plus dénudé est différent d'une femme dans la même posture (on verrait que non ; dans la plupart des cas, la nudité masculine reste associée à l'action ou à la performance alors que la femme dénudée sur une pub reste plus passive).
Il serait temps, aussi, de mesurer quel rôle ont joué les imaginaires gays et l'homo-érotisme dans cette prolifération de corps déshabillés et cultivés.
La libération de l'homme
On aurait pu approfondir cette question: la pression sociale et la pub qui poussent les hommes à s'embellir et à s'exhiber sont-elles facteurs d'asservissement ou d'émancipation ? De stress ou de plaisir ? A quoi le journaliste britannique Mark Simpson (connu pour son insolence et son à-propos) répond qu'aujourd'hui « le mâle désire être désiré, que c'est pour lui une forme de libération, et que c'est la fin d'une division du travail sexuel qui attribuait le pouvoir à l'homme et l'inaction à la femme ».
Finissons plutôt sur cette scène, encore impensable il y a dix ans. C'est Aude Roy qui la raconte depuis Paris où elle est coache en image masculine et où elle constate combien, ces cinq dernières années, dans le milieu des affaires, le souci des apparences n'est plus synonyme d'efféminé mais d'efficacité : « Comme des études montrent que, même dans le monde strict des affaires, les apparences sont primordiales, je suis de plus en plus sollicitée en entreprise. Récemment, il m'est arrivé de donner un séminaire à des cadres d'une grande maison qui souhaitait améliorer leur apparence. Je leur ai donc appris à se servir de crèmes et de produits cosmétiques. »
Des patrons convoqués pour un stage « crème-et-grooming », une scène de science-fiction devenue réalité. Et la réaction de ces chefs de service ? « Ils ont adoré ça, ils n'avaient pas l'impression de mettre en danger leur virilité, ils l'ont pris comme une occasion de s'occuper d'eux-mêmes, comme une libération. »
http://www.lesoir.be/lifestyle/air_du_temps/2012-07-30/l-homme-une-femme-objet-comme-les-autres-929493.php
Écrit par : L'enfoiré | 30/07/2012
Les garçons sont-ils des filles comme les autres?
Dans un coin de sa chambre, Octavie a installé toutes ses peluches en rang d'oignon, comme au spectacle. Avec sa copine Louise, elles «jouent à la danse», agitant chacune à leur tour leur poupée tout en commentant chaque geste – «et puis là on dit qu'elle fait un saut périlleux, et puis après elle fait la révérence». Déboulent les deux petits frères d'Octavie, Dorian et Léon, qui se courent après en hurlant et en agitant des bâtons, piétinent la «scène», trucident une poupée au passage, et repartent dans un fracas d'enfer semer la désolation dans le reste de l'appartement.
Les filles et les garçons sont différents. C'est clinique. On peut se disputer sans fin sur les origines de cette différence, nature ou culture, innée ou construite, la réalité reste, dans l'ensemble, terriblement stéréotypée: les garçons occupent physiquement plus de place, sont plus bruyants, moins verbaux, moins minutieux, et moins dans le symbolique que les filles. Corollaire: ces dernières sont globalement mieux adaptées en milieu scolaire.
Savoir dans quelle mesure cela peut changer constitue la moitié d'un débat déjà difficile. L'autre moitié consistant à se demander si ces hypothétiques changements doivent viser un effacement de ces différences, ou au contraire leur mise en valeur.
Comment éduquer sans émasculer ?
Mais revenons à Dorian et Léon. Pourquoi eux? Parce que dans le combat mené par les femmes pour plus d'égalité, les garçons font aujourd'hui figure de laissés-pour-compte. Du moins est-ce un point de vue toujours plus répandu chez… les hommes. Que faire des garçons – mais aussi des adolescents mâles, des hommes célibataires, des pères divorcés… – dans une société dont les préoccupations, et aussi les valeurs dominantes, se sont considérablement féminisées? Comment les éduquer sans les émasculer?
Les tenants de l'inné estiment qu'il faut d'abord apprendre aux garçons à s'aimer tels qu'ils sont. Ce qui n'est pas toujours simple dans un climat social où tout homme porte la responsabilité collective de millénaires d'asservissement de la femme. Il faudrait aussi les aider à canaliser l'agressivité et l'esprit de compétition qui leur seraient propres, plutôt que de pointer d'un doigt réprobateur ces manifestations naturelles de leur virilité contre lesquelles ils ne peuvent rien.
Michael Gurian, auteur de best-sellers américains sur l'éducation différenciée selon le sexe en est persuadé. L'échec scolaire et la délinquance concernent en premier lieu les jeunes hommes. Et si tout le monde en souffre aujourd'hui (incivilités, violences, etc.) c'est à force de nier la spécificité de nos petits mâles et de les laisser seuls avec leur colère. Michael Gurian a beau être le tenant d'un point de vue essentialiste douteux – en ce qu'il s'appuie, dans ses livres, sur des thèses scientifiques aujourd'hui controversées, comme la différence des cerveaux masculins et féminins, et cite en exemple des tribus exotiques qui font figure de bons sauvages –, il n'a pas toujours complètement tort. Il se pourrait en effet que les garçons d'aujourd'hui soient les perdants, non pas d'un féminisme castrateur, mais d'une société où la banalisation des divorces laisse le plus souvent les mères seules avec leurs fils, et ce sans figure paternelle de substitution à même de les guider dans leur apprentissage de la virilité. L'auteur rappelle à juste titre que l'absence des pères n'est de loin pas une nouveauté – avant, ils partaient à la chasse, à la guerre, ou pour gagner de l'argent à la ville. Mais les liens familiaux et sociaux plus denses à l'époque laissaient au moins aux petits des modèles masculins alternatifs.
Par ailleurs, l'auteur aborde le problème de la scolarité en plaidant pour une adaptation des méthodes d'apprentissage aux besoins paraît-il plus aigus des garçons de faire des expériences physiques et de déplacer les choses dans l'espace, avec un fonctionnement par missions et objectifs.
« On ne rend pas service aux garçons en s'occupant trop d'eux »
Véronique Ducret, à qui l'on a soumis cette hypothèse, préfère situer le problème ailleurs. Psychologue sociale et coauteur d'un guide d'observation de la petite enfance, elle estime que les différences de comportements entre filles et garçons sont pour la plupart socialement construites, et que c'est en changeant notre manière de les regarder que l'on améliorera la condition des petits garçons: «Nous devons prendre conscience que nous avons des attentes différenciées vis-à-vis des enfants. Par exemple, on tolère moins qu'une petite fille soit agitée et turbulente. Elle sera plus vite remise à l'ordre et l'intégrera en grandissant. Alors qu'un garçon, on se dira que c'est normal, parce que c'est dans sa nature. On lui achètera des jeux de construction et des voitures, et il sera souvent découragé par son entourage adulte s'il tente de se familiariser à d'autres types de jeux, plus symboliques et connotés féminins, qui leur permettraient de développer des facultés de langage. Et puis on observe par ailleurs que les garçons obtiennent plus facilement l'attention des adultes. Le résultat, c'est que les filles développent une meilleure autonomie et savent se débrouiller seules par la suite, en particulier à l'école. On ne rend pas service aux garçons en s'occupant trop d'eux.»
Les garçons paient aujourd'hui la concurrence des filles à l'école
Car en effet, on remarque aujourd'hui qu'ils s'en sortent moins bien à l'école. Quand les classes n'étaient pas mixtes, cela se voyait moins. Ce n'est pas dans la première moitié de la scolarité obligatoire que ces disparités sont les plus criantes, mais à partir de 10-12 ans. Interrogeons un groupe d'enseignantes prises au hasard: «A notre niveau, en primaire, les garçons ne s'en sortent pas moins bien que les filles en termes de résultats. En revanche, on voit qu'ils sont moins bien adaptés, ou disons moins «scolaires». Par exemple, quand une fille nous rend un exercice qui comporte des erreurs, on lui demande de regarder l'ensemble de son travail et de revenir une fois qu'elle aura corrigé ce qui doit l'être. Quand elle revient, en général, tout est fait. Un garçon retournera à sa place, corrigera ce qui lui saute aux yeux, puis reviendra très vite, et il faudra le renvoyer comme ça plusieurs fois jusqu'à ce que sa copie soit entièrement corrigée.»
Par ailleurs, disent-elles, on remarque qu'à partir d'un certain âge, 8-10 ans, un garçon qui tiendrait soigneusement ses cahiers, qui se mettrait tout devant et lèverait la main pour répondre aux questions de la maîtresse – des comportements que l'on associe plutôt aux filles, dites besogneuses – un tel garçon, donc, aura tendance à passer pour suspect auprès de ses congénères. «On attend plus d'un garçon qu'il réussisse sa scolarité sans travailler, parce qu'il a de la facilité, alors que si une fille réussit, c'est forcément parce qu'elle a bûché.»
(Délibérément) plus dissipés, les garçons paient aujourd'hui la concurrence des filles à l'école, ce qui se traduit dans les chiffres. Cela fait près de deux décennies que 60% des élèves qui se présentent à la maturité sont des filles.
Une différence de maturité physiologique à prendre en compte dans l'enseignement ?
Il y a quelques années, le pédiatre zurichois Remo Largo, auteur d'une bible de la puériculture et de plus récents ouvrages sur l'adolescence (3), lançait un appel à sauver les adolescents mâles. «Si les filles sont aujourd'hui plus nombreuses que les garçons à l'université, ce n'est pas parce que ces derniers sont plus stupides. Les causes sont multiples, mais il y a un facteur à ne pas négliger: autour de 12-13 ans, la différence de maturité physiologique entre une fille et un garçon est d'environ une année et demi. Autrement dit, les filles atteignent leur pleine maturité entre 15 et 17 ans, alors que chez les garçons, cela se passe entre 16 et 19 ans.» Or ce sont ces années-là qui sont déterminantes pour l'orientation scolaire.
Il fut un temps (et un lieu) où l'école tenait compte de la relative inadaptation des garçons en appliquant des barèmes différenciés selon les sexes. En Suisse, dans le canton de Vaud, jusqu'en 1981, les garçons avaient besoin de moins de points que les filles pour passer au collège. Pour le Département de l'instruction publique, c'était la seule manière d'avoir dans ces classes une proportion équivalente de filles et de garçons. Il justifiait cette inégalité de traitement par «les différences fondamentales que l'on constate entre individus des deux sexes quant à leurs aptitudes respectives à affronter les épreuves d'examen scolaire à l'âge de 10-11 ans. En effet, le développement physique et psychologique des garçons et des filles présenterait, à cet âge, des différences sensibles, notamment dans la façon dont les deux groupes scolaires réagissent aux possibilités que leur offre l'école.» Le Tribunal fédéral, sur recours d'un groupe de parents d'élèves filles, a mis un terme à cette pratique.
Dire que le système scolaire discrimine les garçons revient-il à souhaiter implicitement un retour à l'école vaudoise d'avant les années 80? Que faire des différences physiologiques et culturelles entre garçons et filles? Est-ce l'école qu'il faut changer, ou est-ce les garçons? La société ou les hommes? Ces questions sont essentielles dans la poursuite d'une société plus égalitaire. Mais que les parents se rassurent. Les garçons ont beau être, aujourd'hui, relativement moins nombreux à l'université, les places dans les hautes sphères dirigeantes de ce monde leur restent encore majoritairement réservées.
http://www.lesoir.be/lifestyle/air_du_temps/2012-07-31/les-garcons-sont-ils-des-filles-comme-les-autres-929675.php
Écrit par : L'enfoiré | 01/08/2012
Et quand il n'y a que des Vénusiennes....
Pourquoi les femmes sont-elles si cruelles les unes à l’égard des autres ?
Les femmes ont la réputation de ne pas être tendres entre elles. Les chercheurs ont expliqué que les attaques de médisance entre femmes proviennent largement de la concurrence qu’elles entretiennent vis-à-vis des hommes. Dans son livre, « Why Is the Penis Shaped Like That?: And Other Reflections on Being Human », Jesse Bering rapporte leurs travaux dans ce domaine.
Hess et Hagen, par exemple, ont rappelé que sur le plan évolutionnaire, historique et indépendamment de la culture, les jeunes femmes de 15 à 19 ans étaient celles qui se livraient à la plus grande concurrence pour les hommes. De ce fait, tout ce qui pourrait nuire à l’image de partenaire désirable d’une autre femme, comme les commentaires sur son apparence physique, le fait que c’est une femme facile, ou d’autres critiques ou sous-entendus négatifs, ont tendance à se rapporter à ce comportement lié à la compétition pour les hommes.
Dans une autre étude, les chercheurs ont validé ce rapport avec l’âge, et le fait que cette propension à la médisance est lié à l’âge des femmes qui s’y livrent, et à leur fécondité.
Les chercheurs s’attendaient à ce que les jeunes femmes manifestent une plus grande tendance à médire après la lecture d’un scénario dans lequel un rival romantique faisait son apparition, parce qu’elles étaient à un âge où la compétition pour les hommes est active et intense. De plus, ils ont pris pour hypothèse que cette tendance plus prononcée à médire pourrait être attribuée à la plus grande valeur de ce partenaire potentiel pour ces femmes, du fait que les jeunes femmes ont une capacité reproductive plus importante que les femmes plus âgées. Les résultats ont confirmé ces hypothèses : ils ont vérifié que lorsque les femmes avaient pris connaissance de la valeur de ce partenaire potentiel, les médisances provenaient de jeunes femmes d’âges identiques.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=pourquoi-les-femmes-sont-elles-si-cruelles-les-unes-a-legard-des-autres&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 28/08/2012
Pourquoi les femmes font de meilleurs espions que les hommes
« Les femmes sont nées avec un brin d’ADN supplémentaire. Les hommes peuvent bidouiller des gadgets, mais les femmes ont des antennes. Elles sont des espionnes-nées », écrit Maseena Ziegler dans Forbes, rapportant une conversation qu’elle a eue avec un ami. De fait, pour Tamir Pardo, qui dirige le Mossad, l’agence des services secrets israéliens, «Les femmes ont un avantage distinct dans un service de renseignement parce qu’elles sont multitâches». «Elles sont douées pour décrypter les situations. Contrairement aux stéréotypes, on voit que les capacités des femmes sont supérieures à celles des hommes en terme d’appréhension du territoire, d’évaluation des situations, et de conscience spatiale. Quand elles sont bonnes, elles sont très bonnes », ajoute-t-il.
Ces commentaires peuvent surprendre alors que dans la culture populaire, les femmes espionnes ont toujours été des femmes fatales qui basaient leurs compétences sur leur pouvoir de séduction : Mata Hari, Pussy Galore ou Strawberry Fields dans James Bond, et les partenaires de Jason Bourne dans la série éponyme, par exemple. Mais sur le terrain, au Mossad comme à la CIA, les femmes espionnes se distinguent pour leurs qualités intrinsèques à tenir ce rôle. Lindsay Moran, un agent qui a travaillé pendant cinq ans pour la CIA et qui a été entraînée à la contre-surveillance et aux techniques de survie, comme l’emploi d’armes ou la conduite défensive (rouler en marche arrière très rapidement en ne se guidant qu’avec le rétroviseur, par exemple), explique même que le fait que les meilleurs agents de l’agence américaine sont des femmes est l’un des secrets les mieux gardés de la CIA.
Quelles sont les qualités féminines qui se prêtent particulièrement bien à l’espionnage ?
Moran propose les explications suivantes :
Compétences. Les femmes se font facilement des amis et elles savent lire en eux, reconnaître leurs motivations et leurs faiblesses. «Quand nous avons été formés pour détecter et surveiller des sources potentielles, on voyait que les femmes le faisaient de façon naturelle. J’avais l’impression d’avoir fait ça toute ma vie », explique-t-elle.
Constamment aux aguets. La capacité de détecter les dangers potentiels est plus importante que la force physique pour la survie. « Les femmes sont déjà accoutumées à scruter la sécurité de leur environnement. Nous sommes toujours sur le qui-vive pour détecter les individus suspects, les personnes qui pourraient nous suivre, les situations dangereuses. Nous avons compensé le fait d’être le sexe faible en étant celui qui est le plus malin dans la rue ».
L’instinct maternel. Gérer les sources et les collaborateurs étrangers est une fonction opérationnelle centrale pour les agents sur le terrain. Il faut former ces collaborateurs, leur apprendre à se protéger et leur accorder de la confiance, alors qu’ils ne sont peut-être pas totalement fiables, comme le sont les enfants.
Une meilleure écoute. L’écoute est naturelle pour les femmes, alors que les agents masculins doivent se former pour l’acquérir, explique Moran.
Alibis crédibles. Lorsqu’une femme rencontre un homme dans une voiture en stationnement ou une chambre d’hôtel, cela ne semble jamais étrange, mais fait toujours penser à un rendez-vous entre deux amants, et la banalité de ces situations fournit une couverture très plausible pour les agents féminins.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=pourquoi-les-femmes-font-de-meilleurs-espions-que-les-hommes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
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Que ressentent les hommes à l'écoute du célèbre morceau de James Bond?
Le Wall Street Journal a consacré un article aux sentiments que procure le morceau « The James Bond Theme » chez les sujets masculins. On apprend ainsi qu’en général, la célèbre mélodie offre aux hommes une sensation de virilité.
« L'identité masculine comporte un aspect biologique qui détermine la façon dont nous nous voyons, et pour beaucoup d’hommes, cette chanson permet de libérer des sentiments d’invincibilité et d’attractivité », constate Eugene Beresin, professeur de psychiatrie à la Harvard Medical School. « Pour les hommes, cette chanson évoque la force, l’âge adulte et la virilité », poursuite l’expert. «C’est comme le souvenir de l’après-rasage de notre paternel ». Le Wall Street Journal explique que la plupart des hommes ont vu leur premier James Bond accompagné de leur père, cet évènement étant une sorte de rite de passage.
Mais quel est l’élément déclencheur de ce flash-back ?
Pour le Docteur Beresin, un mécanisme neurologique explique la réaction masculine à l’écoute de la mélodie de James Bond : « La musique est véhiculée vers le nerf auditif, où elle est évaluée par les réseaux cérébraux chargés du traitement de nos émotions, avant même que nous identifions ce que nous entendons ». Le professeur explique qu’ « en une fraction de seconde, notre cerveau analyse ses fichiers. Si la musique évoque des souvenirs, alors vous êtes en mesure d’éprouver une résurgence d’émotions similaires ressenties durant la première écoute ».
Selon le psychologue Howard Gardner, cité par Slate.fr, la musique est étroitement liée à la mémoire et la créativité musicale est l’une des fonctions fondamentales du cerveau. De nombreux travaux ont montré que durant les premières années de l’existence, l’évolution et la construction du cerveau ne se fait pas uniquement en fonction des stimuli visuels et de la sphère familiale mais aussi en fonction du contexte sonore. La structure du cerveau correspondra au style de certaines musiques. Un cerveau logique sera plus réceptif à une musique intellectuelle. Par ailleurs, un cerveau intuitif répondra davantage à des musiques chargées d’émotions. A l’âge adulte, notre réaction positive ou négative à l’écoute de certaines mélodies dépendra également des épisodes de l’enfance durant lesquels nous les avons écoutées pour la première fois.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=que-ressentent-les-hommes-a-lecoute-du-celebre-morceau-de-james-bond&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 03/10/2012
Anniversaire de 50 ans de james Bond
http://portfolio.lesoir.be/v/culture/cinema/_04_10_12_bond/8711120_PhoDoc2_p-20050528-00AGG3_0MBD2N7X.JPG.html
Écrit par : L'enfoiré | 05/10/2012
A quoi servent encore les hommes?
Avec le déclin de l’appareil industriel traditionnel, on assiste au déclin des stéréotypes des genres tels qu’on les connaissait, et de plus en plus, ce sont les femmes qui incarnent l’ambition, la réussite, tandis que les hommes apparaissent comme étant de plus en plus négligés et maladroits.
Au Royaume Uni, un quart des femmes ramènent un plus gros salaire à la maison que leur conjoint ; elles n’étaient que 4% dans cette situation en 1969. Aux Etats Unis, on compte 2 hommes diplômés des études supérieures pour 3 femmes. Et selon l’ouvrage de Hanna Rosin, « The End of Men », les ¾ des Américains qui s’adressent à des cliniques de procréation assistée préfèrent avoir une fille.
Pour autant, les inégalités entre les hommes et les femmes demeurent, et elles sont toujours en faveur des hommes. Les femmes sont toujours celles qui s’occupent le plus de leur foyer, et dans les hautes sphères du pouvoir, on rencontre surtout des hommes. Le patriarcat traditionnel est toujours de mise.
Mais il n’empêche : l’homme connait une crise d’identité. Tout se passe comme si les hommes « avaient perdu l’architecture de la virilité mais sans avoir pu la remplacer par aucune autre », affirme Rosin.
Quelles sont les solutions qui s’offrent aux hommes ? Ils peuvent tester les professions traditionnellement réservées aux femmes : infirmière, enseignante, ou rester à la maison pour s’occuper des enfants pendant que Madame travaille (la paternité rend les hommes heureux). Il est intéressant à cet égard de noter que selon les données d’un sondage américain, les hommes célibataires sont plus désireux d’avoir des enfants que les femmes célibataires (respectivement 27% des hommes de 35 ans à 44 contre 16% des femmes de la même fourchette d’âge).
Il est également possible de faire évoluer son attitude pour se trouver mieux en phase avec cette nouvelle donne sociale. Dans le Guardian, John Harris propose quelques conseils :
Ne portez plus de tennis comme votre paire de chaussures habituelle après la quarantaine ;
Participez aux tâches ménagères, et prenez les congés parentaux auxquels vous avez droit
Buvez moins, et parlez moins fort
Oubliez le football
Sachez vous moquer de ces personnalités politiques pédantes
Essayez de trouver du sens à l’expression « homme nouveau ».
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=a-quoi-servent-encore-les-hommes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 03/10/2012
Et Alex, il apprécie les femmes cruelles?
http://www.rtbf.be/lapremiere/article_la-confession-d-alex-vizorek-il-apprecie-particulierement-les-femmes-cruelles?id=7910236&category=ON
Écrit par : L'enfoiré | 19/01/2013
Pourquoi les hommes ne portent plus les talons hauts?
Les talons hauts sont peut-être sexy et provocants, mais ils n’en sont pas moins inconfortables, au point que l’on dirait qu’ils n’ont pas été conçus pour la marche. Et c’est presque vrai, affirme la BBC, qui rappelle qu’ils proviennent de Perse, où les guerriers à cheval les portaient pour pouvoir se dresser sur leurs étriers lorsqu’ils tiraient à l’arc.
En 1599, le Shah de Perse Abbas avait envoyé la première mission diplomatique en Europe, et ses émissaires de sont rendus dans les cours de la Russie, d’Allemagne et d’Espagne. C’est ainsi que les chaussures à talons hauts des Perses, qui sont apparues comme des attributs virils et masculins, sont devenues à la mode dans les aristocraties européennes. Elles n’étaient guère pratiques dans les rues boueuses de l’Europe du 17ème siècle, mais leur manque de confort en faisait un attribut parfait pour les élites :« Le manque de commodité est l’un des meilleurs signes de statut », explique Elizabeth Semmelhack du Musée Bata de la Chaussure de Toronto. « Ils ne travaillaient pas dans les champs et ils n’avaient pas besoin de beaucoup marcher ».
Le roi de France Louis XIV, qui était plutôt de petite taille (1,63 m), portait ainsi des chaussures avec des talons de 10 cm de haut, toujours de couleur rouge, parce que la teinture rouge était chère, mais aussi parce qu’elle lui donnait un air martial. Rapidement, la mode s’était répandue ailleurs en Europe, et le jour de son sacrement en 1661, le roi Charles II d’Angleterre, qui mesurait pourtant 1,85 m, a été peint portant des talons hauts rouges à la française. Cependant, en 1670, Louis XIV avait publié un édit qui réservait l’usage des semelles et talons rouges aux seuls membres de sa cour.
A cette époque, les femmes avaient l’habitude d’adopter des éléments du costume masculin et elles s’approprièrent les talons hauts, tout comme elles s’étaient appropriées les épaulettes, les cheveux courts, les chapeaux d’hommes et les pipes. Cependant, à la fin du 17ème siècle, il y eut un changement : alors qu’auparavant, les élites suivaient une mode unisexe en matière de chaussures, les hommes commencèrent à porter des talons plus bas, plus robustes et plus pleins, le talon des femmes a commencé à s’affiner, et à se courber. L’extrémité de leurs chaussures était de plus en plus effilée pour donner l’apparence de petits pieds. Peu à peu, la mode des hommes a évolué vers des vêtements plus confortables et plus pratiques, et le vêtement a commencé à perdre sa fonction d’indicateur d’une classe sociale, tandis que les différences entre les vêtements féminins et les vêtements féminins se sont accentuées.
En 1740, les hommes avaient complètement cessé de porter les talons hauts, devenus un attribut efféminé et ridicule, l’apanage des femmes que l’on considérait comme émotives, sentimentales, et impossibles à éduquer. A la Révolution Française, les femmes cessèrent également de les porter, et ce n’est qu’à la moitié du 19ème siècle que les talons hauts firent leur retour, à la faveur des progrès en photographie qui ont changé la perception des femmes et de la mode. Les artistes pornographes publiaient des cartes postales polissonnes sur lesquelles ont voyait des femmes dénudées seulement vêtues de talons hauts. Ce sont ces images qui pourraient avoir donné le caractère érotique des talons hauts.
Dans les années 1960, les talons hauts pour hommes ont fait leur retour sur les bottes de cowboy, et sur les chaussures plateformes des années 1970.
Selon Semmelhack, les hommes n’en ont peut-être pas tout à fait fini avec les talons hauts pour eux-mêmes, et si les talons hauts devaient devenir un indicateur de pouvoir, les hommes seraient prêts à les adopter à nouveau.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=pourquoi-les-hommes-ne-portent-plus-les-talons-hauts&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 09/02/2013
L'émission « X:enius » est le magazine de connaissance d'ARTE, diffusé du lundi au vendredi. Pendant 26 minutes, il propose au public un décryptage de notre univers. Dynamique et ludique, « X:enius » est à la fois un road movie, une chasse au trésor et une émission scientifique. Dans ce numéro : le sexe fort est-il celui qu'on croit ?
http://videos.arte.tv/fr/videos/x-enius--7361408.html
Écrit par : L'enfoire | 09/03/2013
10 vérités politiquement incorrectes sur la nature humaine
Le comportement humain est basé sur les expériences, l’environnement, l’évolution, mais surtout, le sexe. Et selon les psychologues Alan Miller et Satoshi Kanazawa, ces instincts ne sont pas politiquement corrects. Psychology today s’est inspiré de leur ouvrage de 2007, « why beautiful people have more daughters » pour en faire une synthèse. Voici quelques points clés de ce livre :
1. Les hommes préfèrent les femmes blondes avec une grosse poitrine et des yeux bleus
Les cheveux longs et blonds, une silhouette mince, des yeux bleus, et un décolleté avantageux sont la combinaison gagnante, selon les psychologues. Tous sont symboles de jeunesse, et donc, de fertilité. Les cheveux blonds ont tendance à foncer avec l’âge. Les femmes minces avec des hanches larges sont attirantes parce que ces rondeurs témoignent de la présence des hormones essentielles à la reproduction. Avec le vieillissement, la poitrine tombe, ce qui est plus évident sur les grosses poitrines que sur les poitrines plus menues. Quant aux yeux bleus, ils ont à voir avec la dilatation de la pupille, signe d’intérêt et de séduction. Or, sur les yeux clairs, une pupille dilatée est plus visible.
Les psychologues expliquent que cet attrait fonctionne même lorsque les objets du désir sont des faux (cheveux décolorés, implants mammaires). Les hommes ne peuvent pas résister à ces signaux, c’est dans leurs gènes…
2. Les gens ne sont pas censés être monogames
Tout au long de l’histoire, les hommes ont été polygames, pour des raisons de survie de l’espèce. Si un homme a plusieurs femmes, ses concurrents, les autres hommes, auront un choix plus restreint pour la reproduction. Dans les sociétés très inégales, les femmes s’attachaient aux hommes les plus riches pour survivre.
3. Les hommes profitent de la monogamie. Les femmes profitent de la polygamie
Lorsque les hommes riches sont polygames, plusieurs femmes en profitent (et une majorité d’hommes restent seuls). Quand ils sont monogames, plus de femmes se retrouvent avec des hommes pauvres. Cependant, une femme qui dispose de son propre argent ou peut sans problème assumer une polyandrie (plusieurs maris) peut échapper à ces principes.
4. Pourquoi les responsables d’attentats suicide sont surtout des Musulmans
Lorsqu’ils sont guidés par leur foi, les responsables d’attentats suicide sont presque tous des Musulmans, selon le sociologue Diego Gambetta de l’université d’Oxford. Et encore une fois, c’est en rapport avec le sexe, ou plutôt, cette fois-ci, avec le manque de sexe. Car l’Islam est une religion tolérante avec la polygamie, donc seuls les hommes les plus riches ont des femmes. « A travers toutes les sociétés, la polygamie rend les hommes violents, augmente les crimes tels que le meurtre et le viol, même après le contrôle de facteurs tels que le développement économique, l’inégalité économique, la densité de la population, le niveau de démocratie, et les facteurs politiques dans la régions ».
« L’autre ingrédient clé est la promesse des 72 vierges qui attendent au paradis pour tout martyr de l’Islam. Et presque tous les responsables d’attentats suicide sont des célibataires. »
5. Les mariages qui produisent des fils sont plus susceptibles de durer
La séduction de l’homme repose sur sa richesse, son statut, son pouvoir, tandis que celle de la femme repose sur sa jeunesse et son charme physique. L’homme peut contrôler la richesse, mais il ne peut pas contrôler l’apparence. Inconsciemment, les hommes ressentent qu’ils ne peuvent pas grand-chose pour leurs filles, et que leur fils ont davantage besoin de leur aide. Dans un foyer où il n’y a pas de fille, l’homme se sentira plus inutile et sera plus enclin à partir et à demander le divorce.
6. Les belles gens ont des filles
Le ratio de naissance des garçons et des filles est respectivement de 100 et 105 (il y a plus de chances que ce soit une fille). Mais les choses ne sont pas aussi simples. En pratique, la sélection naturelle provoque plus de naissances de garçons dans les familles riches, et plus de naissances de filles dans les familles pauvres. (le mécanisme à l’œuvre dans ce fait n’est pas encore expliqué.)
Et il semble que l’hypothèse de Trivers-Willard, selon laquelle les gens transmettent leurs meilleurs attraits physiques à leurs enfants semble se vérifier. « Dans les études, les Américains notés "très séduisants" ont 56% de chance d’avoir une fille comme premier enfant, comparé à 48% pour les autres », selon l’enquête de Miller et Kanazawa.
7. Les criminels et les génies sont similaires
Les scientifiques ont identifié une courbe de la productivité, qui s’applique à ces deux catégories selon le même schéma : ils réalisent beaucoup de choses lorsqu’ils sont plus jeunes, puis ils décroissent leur activité qui atteint ensuite un plateau après la trentaine. Bill Gates, par exemple, a formé Microsoft lorsqu’il était jeune. Depuis, il n’a plus rien réalisé de vraiment bouleversant. Paul McCartney a écrit ses meilleures chansons dans sa jeunesse. Il chante et écrit toujours ses chansons, mais elles sont loin de rencontrer le succès de celles de ses vingt ans. De même, les voleurs commettent la plupart de leurs forfaits dans leur jeunesse, notamment dans l’adolescence. A partir de la vingtaine, la prévalence du vol décroit, pour devenir faible après la trentaine.
Crimes et génie sont l’expression des désirs de compétition des hommes, dont la fonction ultime est de focaliser l’intérêt des femmes pour avoir accès à la reproduction. « les hommes ont bâti (et détruit) la civilisation pour impressionner les femmes, pour qu’elles puissent dire oui [pour avoir des relations sexuelles avec eux]. »
8. Les crises du milieu de vie sont le résultat de la ménopause
« Lorsqu’un homme s’achète une voiture de sport rouge vif, ce n’est pas pour essayer de regagner sa jeunesse ; il essaye d’attirer des jeunes femmes pour remplacer sa femme ménopausée [qui n’est plus fertile] en proclamant son panache et son argent », explique l’étude.
9. Il est normal pour les hommes dominants de tout risquer pour des maitresses
Les hommes se battent pour conquérir le pouvoir consciemment ou inconsciemment pour avoir accès à la reproduction avec un plus grand nombre de femmes. L’infidélité de figures telles que Bill Clinton ou Tiger Woods s’expliquent donc… naturellement. « demander pourquoi le Président des Etats Unis voulait avoir une relation sexuelle avec une jeune femme est comme demander pourquoi une personne qui a travaillé très dur pour gagner une grosse somme d’argent voudrait le dépenser », écrivent les auteurs.
10. Les hommes qui harcèlent les femmes ne sont pas sexistes
Le harcèlement proviendrait d’une stratégie d’accouplement non sexiste. « L’abus, l’intimidation, et l’avilissement font partie du répertoire masculin des tactiques employées dans les situations de concurrence. Avant que les femmes n’entrent sur le marché du travail, les hommes se harcelaient mutuellement. En d’autres termes, les hommes ne traitent pas les femmes différemment des hommes » (ils appliquent aux femmes au travail les mêmes méthodes qu’ils appliquent aux hommes avec lesquels ils sont en compétition, mais pour un autre but : avoir des relations sexuelles).
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=10-verites-politiquement-incorrectes-sur-la-nature-humaine&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 25/07/2013
Le congé parental pour les hommes obligatoire?
http://www.rtbf.be/video/detail_cafe-serre-de-thomas-gunzig-18-03-14?id=1903658
Écrit par : L'enfoiré | 18/03/2014
A ne pas répéter à votre moitié féminine:
Ça coûte plus cher une femme et ça rapporte moins
Il y d'abord une série de dépenses spécifiquement féminines. Liste à lire avec les commentaires super marrants de Maïa sur le site madmoizelle.com
L'épilation, les collants, les bas et les soutien-gorge. La pilule, les visites chez le gynécologue, les crèmes de jour et de nuit, le maquillage, le coiffeur.
Mais il y a aussi les biens et les services achetés indifféremment par les femmes ou les hommes. Est-ce que là aussi le fait d'être une femme signifie des prix plus élevés ?
Pas forcément même s'il est vrai que certains biens ou services sont plus chers simplement parce qu'ils sont destinés à des femmes. Un exemple : gel de rasage peau sensible pour hommes, 200 ml package gris et bleu, marque distributeur: 1,99 euro. Le même gel de rasage peau sensible, 200 ml package rose, marque distributeur, 4,15 euro.
Aux États-Unis, des études montrent qu'en moyenne, une femme paie 0,4% de plus qu'un homme pour son emprunt hypothécaire. Ou encore que le nettoyage à sec est plus cher pour elles. Il existe même une expression anglaise pour ça, "woman tax", "l'impôt sur la femme".
Mais les femmes bénéficient-elles de tarifs plus favorables que les hommes dans certains domaines ?
C'était le cas il y a quelques années pour certaines assurances, notamment l'assurance auto. Là, les femmes pouvaient faire des économies substantielles mais depuis une directive européenne de 2004, cette discrimination par le sexe est illégale.
Wauthier Robyns, porte-parole d'Assuralia, la fédération patronale du secteur des assurances, explique : "Du côté de l’assurance auto, le sexe était un facteur déterminant, surtout aux âges jeunes. Et c’était à l’avantage des jeunes femmes qui aussi bien du point de vue des fréquences d’accidents, que du point de vue de leur gravité, occasionnent plus de charges aux assureurs".
Mais ça, c'était avant. Cette discrimination favorable aux femmes a disparu, leurs assurances auto sont devenues plus chères.
Autre exemple: les assurances-décès comme l'assurance solde restant dû garantissant un emprunt hypothécaire. Là aussi, l'égalité s'est faite au détriment financier des femmes. "Ce qu’on couvre c’est le risque de décès sur une durée déterminée. Et le risque de décès des femmes est nettement inférieur à celui des hommes. Mais là aussi les femmes ont dû payer plus comme prix de l’égalité entre femmes et hommes".
Le surcoût pour les femmes peut atteindre 20% par rapport à la situation avant l'égalité obligatoire.
Au final, donc, ça coûte manifestement plus cher d'être une femme, mais il faut rappeler aussi que ça rapporte moins. Une femme gagne en moyenne 10% de moins par heure de travail qu’un homme.
Et comme beaucoup de femmes travaillent à temps partiel, l’écart salarial en base annuelle s’élève lui à 23%.
Un sacré budget et une estimation moyenne : une grosse centaine d'euros par mois. Juste pour être femme.
http://www.rtbf.be/info/societe/detail_etre-une-femme-ca-coute-plus-cher-et-ca-rapporte-moins?id=8226100
Mais voilà la sanction
http://mediatheque.lesoir.be/v/le_kroll/668mars1914.jpg.html?
Écrit par : L'enfoiré | 19/03/2014
Quand le pognon et l'économie dépassent tout, même ce que pourrait penser les femmes
Dirait avec humour cela deviendrait:
http://www.rtbf.be/video/detail_cafe-serre-de-thomas-gunzig-20-03-14?id=1904305
Écrit par : L'enfoiré | 20/03/2014
Voici le secret pour qu’un groupe soit intelligent: les femmes
« Quel est l’élément qui permet à un groupe d’être plus intelligent qu’un autre ? », s’est interrogé The Atlantic. Une série d’étude du Massassuchetts Institute of Technology (MIT) ont constaté que les femmes sont meilleures lorsqu’il s’agit de savoir ce que leurs collègues pensent vraiment. Selon ces divers travaux, la présence de femmes est la seule manière pour qu’un groupe dispose de suffisamment d’intelligence émotionnelle.
Dans leurs conclusions, les chercheurs font référence au concept d'intelligence générale selon lequel les personnes qui sont bonnes lors de l’accomplissement de tâches mentales, sont également douées pour toute une série d'autres missions. Parallèlement au fait que certaines personnes soient plus intelligentes pour certaines tâches, certains groupes sont aussi plus intelligents que d’autres. Il s’agit ici du concept d’intelligence collective que les scientifiques nomment le « facteur c ».
Sensibilité sociale
Selon les chercheurs, cette intelligence collective est très peu corrélée à l'intelligence individuelle moyenne ou maximale ou au QI des membres du groupe. Le facteur c est davantage lié à la sensibilité sociale moyenne des membres, à une répartition équitable de la prise de parole et à la proportion de femmes dans le groupe.
Selon les scientifiques, l’élément le plus important d’un groupe intelligent est la sensibilité sociale.
« Les groupes les plus intelligents sont ceux qui sont capables de mieux lire les signes non-verbaux des coéquipiers. Etant donné que les femmes ont constamment de meilleurs résultats dans cette forme d'intelligence émotionnelle, leur présence à tendance à conformer de meilleurs équipes », expliquent les chercheurs.
Comme la lecture, la sensibilité sociale est une forme d’alphabétisation pour laquelle les femmes semblent être plus à l’aise que les hommes. Il s’agit d’une capacité à bien comprendre le langage oral et corporel que les femmes semblent mieux maîtriser que les hommes. Lorsqu’elles ne peuvent pas voir le visage de leur interlocuteur, les femmes sont plus aptes à lire dans l’esprit de leurs coéquipiers même lors d’une communication en ligne.
Les chercheurs ont fait subir à des participants des tests RME (Reading Mind Eyes ou lecture de l’esprit à travers les yeux) au cours duquel ils devaient identifier des émotions complexes comme la honte ou la curiosité dans le regard d’une autre personne photographiée. Les participants ont ensuite été répartis en équipes qui ont dû subir un certain nombre de tests de brainstormings ou de sudokus. Les groupes comprenant un plus grand nombre de femmes ont obtenu les meilleurs résultats tant lors des tests RME que durant les autres exercices.
Bonne nouvelle pour l’écart entre les sexes
Cependant, les chercheurs avertissent que tous les problèmes ne seront pas mieux résolus par un groupe où il y a des femmes. Parfois, on assigne à des groupes des problèmes qui en fait ne peuvent être résolus que par une seule personne. Si vous demandez à une équipe de personnes très sensibles émotionnellement de résoudre un problème de calcul différentiel et qu’aucune d’elles n’est douée dans ce domaine, il est fort peu probable qu’ils soient en mesure de comprendre les polynômes de Taylor en s’évaluant par le regard ou en s’écoutant. Avoir quelqu'un dans le groupe qui est doué en calcul sera bien plus utile pour résoudre le problème.
Mais dans les cas où une collaboration étroite est fondamentale, le QE (quotient émotionnel) joue un rôle plus important que le QI.
Ces résultats présentent un intérêt pour plusieurs raisons :
D’une part, malgré la tendance globale qui montre que l’Internet détruit nos relations interpersonnelles et amenuise notre intelligence émotionnelle, ces études suggèrent que l’empathie est cruciale en ligne tout comme dans la vie réelle. Les personnes émotionnellement sensibles sont douées pour lire entre les lignes qu’il s’agisse des traits du visage d’autrui ou des phrases d’un message sur Internet. D’autre part, ces travaux suggèrent également que l’écart salarial entre hommes et femmes va non seulement disparaître mais risque aussi de s’inverser. Premièrement, de nos jours, les femmes obtiennent davantage de baccalauréats, de maîtrises et de doctorats que les hommes. Deuxièmement, l'augmentation du nombre de carrières où les compétences émotionnelles sont fondamentales et le fait que les emplois dits « musclés » comme la construction sont en déclin pourraient faire en sorte que les femmes soient bientôt plus recherchées que les hommes sur le marché de l'emploi. Enfin, selon ces études, les hommes pourraient pâtir de désavantages innés tels que l’analphabétisme émotionnel au sein de groupes de travail collaboratif.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=voici-le-secret-pour-quun-groupe-soit-intelligent-les-femmes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 23/01/2015
Pourquoi le corps des femmes a plus de courbes que celui des hommes
Certains médias prennent un malin plaisir à publier des articles au sujet de femmes qui exposent leurs courbes. Le rôle de ces agents culturels dans la construction des notions de beauté est souvent discuté et critiqué. David Bainbridge, biologiste de la reproduction et anatomiste vétérinaire s’intéresse dans son ouvrage « Curvology » au rôle joué par l’évolution dans la compréhension et l’appréciation des hommes - et des femmes - au sujet des courbes féminines.
Les différences entre le corps des femmes et celui des hommes vont bien au-delà de domaines tels que la gestation, le soutien et l’alimentation, explique l’auteur dans un article sur Business Insider. Selon Bainbridge, les fesses et poitrines aux courbes généreuses, formes qui font saliver de nombreux journaux, servent également à assurer l’avenir de l’humanité. Ces courbes sont la preuve que la femme a reçu une bonne alimentation pendant sa croissance et qu’au niveau alimentaire, elle porte de bons gènes depuis l’enfance.
Bainbridge interprète les modifications corporelles de la femme tout au long de sa vie de la façon suivante : il est logique d’un point de vue évolutionnaire que les nouveaux couples commencent à grossir et à avoir plus de réserve de graisse - par rapport à l’époque où les partenaires étaient célibataires - lorsqu’ils entament la tâche ardue de reproduction de l’espèce. Par ailleurs, les êtres humains sont mal à l’aise avec l’idée d'avoir dépassé seulement quelques instincts de base et avec le fait que l’apparence importe tellement, explique Bainbridge. Mais ces pulsions existent depuis que les hommes et les femmes ont commencé à vouloir avoir des relations sexuelles. « Cet important héritage ne peut pas être effacé juste parce que cela nous rend mal à l’aise ».
En outre, même s’il s’agit d’hypothèses, l’auteur avance certaines explications intéressantes au sujet des causes évolutives des troubles de l’alimentation. Selon Bainbridge, les accès de boulimie ou d’anorexie étaient des caractéristiques normales de la vie pré-agricole. Ainsi, tout comme certains animaux réduisent encore leur consommation d’aliments en hiver, il se pourrait que les troubles de l’alimentation soient des « reliques de l’évolution à une époque où notre approvisionnement en aliments était imprévisible ».
D’autres observations de Bainbridge sembleront plus évidentes, principalement aux yeux des femmes. Parmi ces remarques, le fait que les vêtements sont bien plus qu’un tissu qui enveloppe et protège passivement le corps car ils deviennent une part importante de la psychologie de celui ou celle qui les porte. Enfin, l’ouvrage soulève encore une question intéressante, à savoir ce que signifie le fait d’être une femme et d’être capable de trouver « un équilibre entre les exigences anciennes incompatibles de demandes d’apport alimentaire, de formes et de réussite dans un monde moderne superficiel ».
Source: http://www.express.be/articles/?action=view&cat=sciences&item=pourquoi-le-corps-des-femmes-a-plus-de-courbes-que-celui-des-hommes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 17/03/2015
Les désarrois du pénis féminin
Quel magazine féminin n’a pas consacré un article pour expliquer à ses lectrices comment trouver le point G et atteindre l’"orgasme vaginal" ? Des sexologues ont été promus au rang d’experts pour expliquer comment le stimuler et pour convaincre les amants consciencieux de se familiarise à cette recherche. Mais une étude publiée dans la revue « Clinical Anatomy » risque de mettre un coup d’arrêt brutal à ces quêtes infructueuses en affirmant qu’il s’agit de mythes.
Suite dans http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-desarrois-du-penis-feminin-166959
Écrit par : L'enfoiré | 06/05/2015
Tout s'explique... enfin presque
http://www.rtl.be/rtltvi/categorie/tout-s-explique/2716.aspx
Écrit par : L'enfoiré | 16/05/2015
Laurence Bibot parlait de la femme à plusieurs endroits avec humour et intelligence qui la caractérisent:
http://www.rtbf.be/info/emissions/article_le-cafe-serre-de-laurence-bibot?id=8995932&eid=5017893
Écrit par : L'enfoiré | 02/06/2015
Pourquoi les hommes pensent-ils toujours que les femmes sont en train de flirter avec eux?
Selon les articles en ligne Science of Us du New York Magazine, il y aurait une raison évolutionnaire à ce comportement.
Il est bien naturel de se poser des questions, mais le fait de parler poliment à quelqu'un ne devrait pas signifier que vous êtes en train de flirter. Quels facteurs de l'évolution pourraient expliquer cette croyance des hommes selon laquelle chaque interaction avec une femme est chargée de sous-entendus sexuels?
1. Une mauvaise perception sexuelle
90% des femmes aux Etats-Unis ont fait l'expérience de cette mauvaise perception sexuelle masculine; un pourcentage beaucoup plus élevé que pour les hommes. Pourquoi?
2. La théorie de l'erreur
Selon les chercheurs, les hommes ont évolué de façon à croire que les femmes flirtent avec eux: ainsi ils ne perdent pas une opportunité de se reproduire. Les femmes, en revanche, ont évolué de façon à ne pas le percevoir: si vous vous reproduisez avec quelqu'un qui ne va pas assumer son rôle de père, vos enfants auront moins de ressources.
3. Quel rôle joue la culture?
Les chercheurs ont demandé à des habitants de Norvège (pays avec une forte culture égalitaire) de décrire les "fausses alarmes" de flirt qu'ils ont expérimentées. La comparaison des résultats avec ceux des Etats-Unis montre peu de différences: le phénomène serait donc plus biologique que culturel.
Messieurs, ne prenez cependant pas ceci comme une excuse. Vous voulez savoir si une dame est intéressée? Demandez-le-lui.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=pourquoi-les-hommes-pensent-ils-toujours-que-les-femmes-sont-en-train-de-flirter-avec-eux&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 02/09/2015
Le Théâtre des Galeries vient de terminer la représentation de "EXIT" de FAUSTO PARAVIDINO
Une pièce sur l'usure du couple.
A et B se séparent. A rencontre C. B rencontre D. B revoit A. C attend un enfant de B mais sont séparés. D croise C. A retourne voir B. D arrive chez B.
Des hommes et des femmes qui se séparent, se trouvent, s'épuisent, se quittent, se cherchent, se retrouvent, se reperdent, se déconstruisent.
L'enregistrement est à la fin de l'article
Écrit par : L'enfoiré | 08/03/2016
Bruno Coppens parle des différences entre le cerveau des femmes et des hommes
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/00/02/3823552593.MP3
Écrit par : L'enfoiré | 08/03/2018
Les hommes sont conditionnés pour qu'ils se haïssent entre eux
D'après les #metoo, le baromètre chez les hommes est «incertain».
La masculinité est considérée comme «toxique».
Comment les hommes regardent-ils leur passé?
Sont-ils laissés en arrière plan?
Est-ce la future fluidité du genre?
Le Weekblad est allé chercher ce qui n'allait pas et a trouvé un champ de bataille sans gagnant.
Pendant six mois, le correspondant Peter Vantyghem s'est immergé dans l'homme, ses relations et son identité.
Samedi, il démonte le «problème des hommes»: les hommes ont-ils besoin d'être formés?
Ont-ils besoin de meilleurs modèles?
Dans le train pour Bruxelles, j'accueille quelques hommes à propos de leurs état de maris.
Cristian (43 ans), de Porto Alegre (Brésil), se sentait comme un homme pour la première fois lorsqu'il jouait avec son pénis à l'âge de cinq ans.
Gary (26), à Hong Kong, a estimé que l'homme il y a deux ans quand il est allé travailler après avoir obtenu des responsabilités et de l'argent a apporté une aide pour sa mère sans emploi.
Hans (40 ans), originaire de Purmerend, relie son mari à sa première expérience qualifié de sexuellement «pas terrible»
Mais aucun d'entre eux ne peut répondre à ma question sur ce que signifie «masculinité».
Retour à la maison, je demande à mon fils aîné (27).
Regard sourcilleux: «Je ne peux rien imaginer du tout à ce sujet».
Donc un regard sur les sites Web
Dans l'art de la virilité six types sont distingués:
- le guerrier (combattant dur, autoritaire),
- le loup solitaire (rebelle indépendant, sans émotion),
- l'aventurier (libre penseur vital, éphémère),
- le gentleman (citadin bien élevé, superficiellement),
- l'homme de famille (père travailleur, complaisant) et
- homme d'État (idéaliste de principe, fier).
Ce sont des symboles, que nous pouvons tous utiliser si possible pour nous perfectionner, ai-je lu.
Il n'y a pas d'autres mises en page, même pas dans le monde académique.
J'ai parcouru plus d'une centaine d'articles dans des magazines et sur des sites internet, et à partir de là, j'ai systématiquement noté les types de masculinité.
La virilité peut être «réelle», «profonde», «saine», «intégrée», «pathologique», «hyper», «toxique», «extrême», «authentique», «uber», «traditionnelle», «dysfonctionnelle» et être «corrompue».
Et ainsi de suite. Il semble que les hommes en tant que catégories sont facilement caractérisés négativement.
Joel Wong a reçu beaucoup d'attention en 2016.
Suite à une enquête menée auprès de 19.000 hommes, le chercheur de Washington a montré que les «caractéristiques typiquement masculines» garantissent une plus faible santé mentale, ainsi qu'une réticence évidente à demander de l'aide psychologique.
Wong a isolé onze caractéristiques, telles que prendre des risques et rechercher un statut.
Surtout l'autosuffisance, le comportement de séduction et la domination des femmes sont nuisibles, a-t-il découvert.
Moralité: le sexisme est agaçant non seulement pour les femmes, mais aussi pour l'esprit de l'auteur lui-même.
Cet homme commence à aspirer au positivisme.
Pour les mots d'appréciation sur les nombreux bons, beaux, fiables, drôles d'hommes qu'il connaît.
Et pourquoi pas, un peu plus de combat?
Les hommes ne se battent pas, dit Dave Pickering, un Londonien qui a interviewé 1.000 hommes pour son spectacle Mansplaining Masculinity.
Les hommes souffrent sous le conditionnement du patriarcat.
Cela leur fait penser qu'ils ne peuvent être qu'homme d'une certaine manière.
Si vous n'êtes pas, alors vous échouez.
Ma mère m'a dit que les hommes sont «mauvais» et «malades», et cette idée est en moi maintenant.
Nous sommes conditionnés à nous détester.
Réunissez dix femmes aujourd'hui et elles parlent de leurs droits.
Mettez dix hommes ensemble et ils ne peuvent penser qu'à leurs sentiments blessés.
Pourquoi le «problème des hommes» n'est pas une question passagère ou superficielle, vous pouvez lire samedi dans dS Weekblad et sur Standaard.be.
"J'ai lu un texte sur quelqu'un qui avait battu sa femme. Réservation totale dans la chambre.
Mais après, ils sont tous venus: 'J'ai aussi battu ma femme une fois' '
Écrit par : L'enfoiré | 20/04/2018
il n'a pas lu Jung. L'alchimie du couple est dans le Yin et le Yang. La femme qui possède en elle la partie masculine de l'homme et l'h'omme qui a intégré son féminin. Ainsin le couple à deux devient quatre. Ce qui augmente toutes les nuances. Selon le jour et l'humeur...Le préfère de loin le couple soli-lunaire...ou Syzygie. La lune est le féminin réceptif et l'homme le masculin rayonant. Comme certains jours, le femme peut être solaire. Il y a la vénus dégradée (qui confond sexe et argent) et le vénus sublimée (Diane de Poitier: amante et lumineuse). Il y a le mars vil et dégradé (le violeur) et le mars sublimé qui tend son ARC VERS LA LUNE...dans un parfaite alliance. LA FORGE: L'Alliance:
Le forge est d'essence féminine.
elle est un creuset ou s'enfantent des matières qui prennent forme durablement dans le secret d'une alchimie mystérieuse, qui naissent en son sein brulant.
La forge est une chambre close, où dans une pénombre crevée par l'illumination grondante du feu qui projette des ombres dansante sur les murs sombres drapés de fers bleus, de tentures ocres et de rideaux de poussière noire, se déroule la scène rituelle et intime de l'alliance de l'outil et du métal, dans le halètement profond du soufflet et le rythme précipité du martèlement de l'enclume.
L'enclume est la couche sur laquelle se pratiquent ces noces brûlantes et ou se créent des signes nouveaux, une beauté, un devenir. L'écho cristallin de l'enclume répondant à la cadence du marteau bat la mesure d'un cri de joie, de plaisir, comme le cri répété d'une jouissance. Car l'enclume ne gémit ni ne se plaint, elle chante. L'outils qui la touche plaque ses accords parfaits sur sa peau de métal luisante aux reflets dorés du feu. Le profane, s'en tenant à l'apparence, comme une enfant craintif et fasciné sur le pas d'une porte entrebaillée, pourrait y voir le déchainement d'une force brutale, une agitation frénétique là où il n'y a qu'une action mesurée, réfléchie dans une ardeur contrôlée et attentive et où il entre autant d'habilité, de savoir faire, que de souplesse et de caresse appuyée, qui respecte le fer qu'elle modèle, qui entend sa réponse et cherche l'union plutôt que d'imposer sa domination.
L'enclume et le marteau scellent leur alliance dans un acte sensuel d'accord d'amour et de non-violence. En hommage à GUY FRIEDLINGSTEIN (la Pierre de la PAIX)
Écrit par : Mélusine 888 | 02/11/2021
L'homme est tel que la femme l'a élevé.... Il n'y a pas plus patriarcales que les femmes. La preuve, elle veulent être semblables à l'homme. Perdant ce qu'elles ont de plus précieux: leur féminité...
Écrit par : Mélusine 888 | 02/11/2021
Féminicène
À quoi tient l'émancipation des femmes ?
Les femmes connaissent aujourd’hui des conditions de vie et un statut social plus élevés que jamais, du moins dans les pays occidentaux, mais ce succès relatif ne doit rien aux luttes féministes. Voilà le propos iconoclaste qui sous-tend Féminicène (Fayard, 2023). L'auteure Véra Nikolski voit dans la révolution industrielle et la chute de la mortalité infantile les vraies raisons de l'émancipation des femmes et craint que les perspectives économiques futures n'entraînent un retour en arrière...
Avec Véra Nikolski , nous pouvons faire le constat que les femmes, autour de nous, bénéficient aujourd’hui d’une totale égalité de droits et de statut avec les hommes. En France comme dans les autres pays occidentaux, toutes les professions leur sont accessibles et elles sont même devenues majoritaires dans certaines d’entre elles comme la magistrature, ce qui n’est pas anodin.
En ce qui concerne la politique, Françoise Giroud déclarait dans Le Monde du 11 mars 1983 que « la femme serait vraiment l'égale de l'homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente [aussi bien qu’un homme incompétent]. » On peut dire que ce jour est depuis longtemps arrivé en dépit d’une rude concurrence !
Par contre, cinquante ans après qu’Anne Chopinet fut reçue major à l’X (1972), les femmes représentent moins de 20% des effectifs de Polytechnique comme des autres écoles d’ingénieurs. On ne compte également que trois femmes à la direction générale des entreprises du CAC 40 (les 40 principales entreprises cotées à la Bourse de Paris) : Catherine MacGregor chez Engie, Christel Heydemann chez Orange et Estelle Brachlianoff chez Veolia. Mais les choses pourraient rapidement évoluer car du fait de la contrainte légale, les conseils d’administration de ces mêmes entreprises comptent d’ores et déjà 46% de femmes.
Ces promotions sociales font suite à l’obtention par les femmes des droits civiques. Véra Nikolski observe toutefois que ces droits ne doivent rien aux luttes féministes… à l’exception notable de la légalisation de l’avortement.
Les premiers pays à accorder le droit de vote aux femmes furent la Nouvelle-Zélande, l’Australie et les pays scandinaves, sans pression féministe d’aucune sorte. Le Royaume-Uni, quant à lui, ne l’a accordé qu’après la Première Guerre mondiale, en dépit du très médiatique combat mené par les suffragettes.
La France, quant à elle, s’y est longtemps refusée du fait que la gauche craignait que les électrices ne renforcent le camp clérical. C’est finalement le très conservateur général de Gaulle qui a élargi le droit de vote en 1945, là aussi sans y être contraint par les mouvements féministes. Et que dire de la Turquie de Moustafa Kémal qui l’a accordé dès 1934 ?...
L’accession des filles à l’enseignement secondaire et aux études supérieures ne doit également rien aux luttes féminines, en dépit du coup d’éclat de Victoire Daubié, première bachelière française en 1864. En France, ce sont des hommes éclairés, Victor Duruy, ministre de Napoléon III, et Camille Sée, député de la IIIe République, qui leur ont ouvert l’école, le lycée et l’université.
La philosophe Simone de Beauvoir traduit cela en une formule : « Les prolétaires ont fait la révolution en Russie, les Noirs à Haïti, les Indochinois se battent en Indochine : l’action des femmes n’a jamais été qu’une agitation symbolique ; elles n’ont gagné que ce que les hommes ont bien voulu leur concéder ; elles n’ont rien pris : elles ont reçu » (Le Deuxième sexe, 1949).
https://www.herodote.net/A_quoi_tient_l_emancipation_des_femmes_-article-2929.php
Écrit par : Allusion | 17/12/2023