Timeline et généalogie en ligne (09/02/2012)
Faudrait-il essayer de réinventer la roue pour faire plaisir à ses fans? Il n'y a pas qu'en politique que le populisme existe.
Plus d'un an que le film de l'histoire de Facebook et de Zuckerberg, est sorti.
Facebook enclenche la plus grosse entrée en Bourse de la net-économie.
Le but: lever 5 milliards de dollars même si le groupe n'a pas prévu d'utilisation particulière de cette manne.
D'avoir voulu introduire son IPO en Bourse a obligé Facebook de remplir les formulaires correspondants à la "Securities and Exchange Commission" et, ainsi, de dévoiler ses points forts et ses points faibles.
Alors les analystes se demandent s'il faut investir dans Facebook.
Que se cache-t-il derrière cette virtualité dans laquelle baigne Facebook? 9 chiffres à couper le souffle et d'autres points qui pourraient faire suffoquer.
Un chiffre d'affaire de 3,7 milliards de dollars, un résultat opérationnel de 1,95 milliards et un bénéfice distribuable de 668 millions. Ça baigne, donc...
Un potentiel incroyable mais beaucoup d'embûches tout aussi potentielles...
L'amitié comme nerf de la guerre, terrible invention! En substance, les amis de mes amis, même virtuels, sont aussi mes amis.
Les risques sont loin d'être virtuels.
1er risque: Le mobile: Le principal talon d'Achille de FB c'est d'être trop dépendants de facteurs externes et qui, en plus, sont souvent conjoncturels. La publicité est la source de revenus de Facebook avec quelques abonnements "Like" qui permettent à ceux qui paient de suivre de manière plus orientée.
2ème risque: La gestion des données : Avec des problèmes de vie privée et les attaques potentielles par le phishing.
3ème risque: La concurrence: L'armada de Google d'abord avec les vidéos Youtube. "Plus moyen de cacher vos émotions: les publicitaires lisent directement vos pensées dans votre cerveau". Avoir obligé Google d'augmenter ses salaires pour empêcher la fuite des cerveaux vers FB, n'est pas une mince affaire.
Puis, en tant que réseau social, se positionner entre Okut en Amérique du Sud, Odnoklassniky en Russie et Weibo, Baidu, ... Duban, Kaixia001 pour la Chine où Facebook ne passe pas reste un une gène majeure. Les séductions chinoises seraient justifiées en honneur de l'année du dragon. LinkedLn et Twitter restent, eux, les liens pour les professionnels. Donc, moins de risques.
Mais, Sheryl Sandberg, la n°2 de Facebook est une transfuge de Google. Elle connaît donc la musique.
Quotidienne d'Agora donnait son opinion: "Fascinant... Il est rare qu'une introduction en Bourse déclenche une telle crise d'hystérie. Celle-ci est alimentée par des chiffres qui font rêver : sur les 3200 employés de Facebook, un millier environ deviendrait millionnaire. Le fondateur du réseau social, Mark Zuckerberg, qui possède 28% des parts de l'entreprise, devrait bientôt peser 20 milliards de dollars. L'IPO de ce réseau social deviendrait si elle est acceptée, la quatrième introduction en Bourse américaine la plus importante de tous les temps, après celles de Visa, General Motors et AT&T.D'après les informations du Wall Street Journal, la valorisation de Facebook devrait se chiffrer entre 75 et 100 milliards de dollars, ce qui mettrait le réseau au même niveau que le géant du fast-food McDonald's. Facebook annonce 845 millions d'utilisateurs. Ce qui signifie que chacun d'eux a rapporté 4,37 $ de chiffre d'affaires et 1,18 $ de bénéfice. Par contre, si on prend en compte la valorisation espérée (100 milliards), chaque utilisateur "vaut" 118,34 $. Facebook afficherait donc un PER de 100. Les grandes ambitions : augmentation du nombre d'utilisateurs et faire exploser les revenus de partenariats ou publicitaires. Google fonctionne aussi bien sur ce modèle publicitaire... Sauf que les attentes ne sont pas les mêmes. Un utilisateur du moteur de recherche de Google est à la recherche d'une information ou d'un site dans une démarche active qui le poussera à accorder plus d'attention aux publicités et liens proposés par Google. L'utilisateur de Facebook, lui, cherche à être en relation avec sa famille et ses amis, partager liens, commentaires, activités avec eux et non pas forcément cliquer sur le lien qui vous promet deux tailles de pantalon en moins. La sphère de la vie privée est-elle compatible avec la publicité? Monnayer les données personnelles fournies volontairement par ses utilisateurs est une solution qui risque de se heurter à quelques problèmes légaux et de protection de la vie privée. La bulle Internet 'dot.com' a laissé des traces. Les introductions en Bourse de sociétés Internet étaient 48 en 2011 contre 304 en 1999. Facebook a mis du temps à s'introduire en Bourse. L'attente est énorme et le cours d'introduction risque d'être surévalué. Que produit Facebook ? Pas grand chose.".
Tout est dit. Sortons de la Bourse et de ces chiffres. Ce qui fait vivre un site, ce sont ses mises-à-jour et ses nouveaux projets.
En préambule, à ce sujet, il était question de réinventer la roue. Attention pas la roue bien ronde, mais de celle du temps que Facebook voudrait, cette fois, présenter à la vue du monde.
Aux dernières nouvelles, Timeline est le petit nouveau. Un journal ou une généalogie?
Avant, il y avait la recherche par la généalogie des ancêtres. Il existait des outils pour se faire aider.
Fallait-il aller plus loin et utiliser ce qui existe déjà pour l'étaler au grand jour en remontant dans le temps par les photos déjà à l'abri de son mur?
Remonter l'histoire de ses ancêtres demeure une entreprise bien plus studieuse et fastidieuse. Aller à la mairie ou à la commune, demander des actes de mariage, de naissance, de décès. Timeline qui arrive, veut-il répondre à ce "nouveau" besoin.
"Sélectionnez vos publications, vos photos et autres instants les plus mémorables pour les mettre en avant. Votre histoire a un début, un passé et un présent" est-il dit sur le site de Facebook.
Hier, on faisait appel à des logiciels comme MyHeritage qui se présentait en ces mots:
My heritage : logiciel gratuit pour faire votre arbre généalogique
My Heritage est le logiciel parfait pour vous aider à retrouver les liens tissés entre tous les membres de votre famille.
Dès l'accueil,vous êtes invité à entrer quelques infos succinctes sur vous et vos parents. Une fois que vous avez fourni ces informations et enregistré votre adresse de courrier électronique , afin de vous créer un compte gratuit, une ébauche d'arbre apparaît.
Une fois votre arbre affiché, l'enrichir est un jeu d'enfants. A cet endroit, vous pourrez mentionner des données plus précises, les événements marquants de sa vie.
My Heritage compare votre généalogie à celles des très nombreux autres utilisateurs. Et dès qu'une correspondance éventuelle est trouvée entre votre arbre et un autre, le site vous prévient et vous permet de rentrer en contact avec son auteur.
A première vue, l'idée de conserver son histoire n'est pas très neuve.
Timeline sera-t-il de la même profondeur, aura-t-il le même design?
Cette fois, avec Timeline, nous ne sommes plus au sommet de l'iceberg de l'individualité, mais au fond des océans à la recherche de petits et de gros poissons.
Que dire des sociétés qui se disent encore: "et si on interdisait Facebook de l'entreprise" parce qu'il pourrait nuire à la productivité?
Intranet, inventé pour palier cette explosion de "nuisances", n'efface pas le besoin d'en sortir et d'entrer sur la grande Toile. Supprimer Internet et puis, pourquoi pas, le téléphone.
Jacques Folon répond qu'il faudrait, au contraire, rendre le "système" plus efficace. L'e-réputation, l'e-éducation en prendrait un coup.
Les échanges d'informations, les communications prennent de plus en plus de temps et pas uniquement au niveau professionnel.
Timeline intéressera quel type d'utilisateurs? Certains se sont déjà aventurés et ont aimé le design, d'autres demandent de revenir à la version précédente.
Le 7 août 2008, le journal l'Écho se posait la question "A quand une réelle mémoire virtuelle?". On y parlait de MyLifeBits, une base de données au modèle de portails internet actuels qui servirait de palliatif aux oublis de notre mémoire. Gordon Bell, pionnier de l'informatique de chez Microsoft, y enregistrait et numérisait tous les détails de sa vie par tous les moyens existants. 160 GigaBytes actuellement de "lifelogging". Démentiel, peut-être. Mais, une "vie en boîte" pourrait aussi servir de point de départ à une autre pour éviter les mêmes erreurs. Cette manière de se "sauver" serait d'après lui, dans 20 ans, monnaie courante. Qu'adviendrait-il, si on intégrait toutes ces bases de données d'individus par des liens en commun? Un nouveau monde plus structuré, peut-être, mais moins libre aussi. Les informations que l'on trouve sur internet, constituent une source inépuisable toujours en évolution, toujours à la recherche de la valeur ajoutée. Il est cependant à rappeler qu'il est aussi tentant de se perdre dans des copier-coller très difficiles à détecter. Plus grave encore, cette information peut être falsifiée ou tendancieuse.
Nous y sommes. C'est parti... Il y en a qui testent déjà.
En pratique, le cahier des charges de Timeline est clair: "Il permettra de prévisualiser votre journal pendant 7 jours avant qu’il ne devienne visible par les autres utilisateurs. De choisir ce qui sera mis en valeur en incluant quelques-unes des meilleures photos et actualités. De masquer ou de mettre en valeur ce qui est voulu et d'y ajouter tout ce qu’il manque. De contrôler qui voit les activités et les informations à partager avec des personnes avec qui on partage une activité. De changer d’avis et de modifier qui voit les activités, les supprimer ou simplement ne pas les afficher dans votre journal."
Créateur de malwares à vos marques! Une aubaine de plus pour les pirates, qui, eux, récupéraient déjà les révélations personnelles offertes sur Facebook. Il y avait déjà les like-jacking. Ce petit outil qui se glissait derrière la fonction "J'aime" et qui, détourné, élargissait le trafic de manière exponentielle pour récolter les revenus publicitaires au site hébergeur.
Il faudra maintenant élaguer, comprendre ce qui est stratégiquement utilisable par d'autres. Faire le tri et puis peut-être, protéger ses infos si ce n'est pas fait.
Pour l'utilisateur de Facebook, se rappeler que la meilleure façon de protéger ses informations, c'est de ne pas les donner.
Détruire son blog est relativement facile. Tout ce qui extérieur l'est moins. Une nouvelle niche est née, "nettoyeurs du Web" comme agence spécialisée. Un forfait de protection, veille et intervention qui peut atteindre 1500 euros par mois comme produweb pour l'e-reputation et "se faire oublier". Un marché qui pourrait atteindre 3,1 milliards de dollars à l'échelle mondiale en 2013. La Commissaire, Viviane Reding, a renvoyé le projet en Commission à l'Europe.
Pour Facebook, se rappeler qu'être le premier est une force mais le rester est un challenge, car les amis en Bourse, c'est pas demain la veille...
Être et rester sur la vague de ce que les gens veulent ou pensent vouloir, voilà tout le problème que ce soit "Made in USA" ou "Made in China".
Le premier invente le grand jeu et l'autre le perfectionne à sa mode. Au milieu, il y a l'utilisateur, le consommateur qui veille.
Il y a bien longtemps, dans un film mythique, il était demandé "Vous affez du "à l'ail?"".
C'est encore plus vrai aujourd'hui.
L'enfoiré,
- «La généalogie est une science rigoureusement inexacte, à cause des bâtards. », Léo Campion
- « Généalogiste : quelqu'un qui remonte la lignée de vos ancêtres aussi loin que vous pouvez le payer. », Tom Mayer
- « Il faut 20 ans pour bâtir une réputation et 5 minutes pour la détruire", Warren Buffet
C'est parti à 35$ l'action, Zuckerberg a sonné la cloche à WallStreet...
Puis...cela a coincé: cela a monté... et puis dégringolé...
Mise à jour 17 aout 2012: "Les actionnaires de Facebook ne quittent pas (tous) le navire.
Depuis l’IPO, l’action FB a perdu 50% de sa valeur.
Le directeur financier de FB, Peter Thiel, a déjà vendu 16,8 millions d’actions depuis l’entrée en Bourse. 9 autres millions sont passés de classe B (non vendables sur le marché) à la classe A.
Les salariés de FB doivent attendre le 14 novembre pour vendre les leurs.
D’autres investisseurs n’ont plus de raison de vendre à perte actuellement et attendent mieux et des jours meilleurs.
Mise à jour de 26 septembre 2012: le vrai-faux bug. Les messages qui sont remontés à la surface, par l'intermédiaire de Timeline, sortant du domaine privé à celui du public. Rumeur?
Facebook est contraint de se réinventer, une nouvelle fois. "News feed", la nouvelle formule pour renouveler la page d’accueil avec plus de pertinence. Le logarithme EdegeRank de l'année passée doit être revu pour renforcer le taux de participation, d'engagement, en baisse pour 34% d'Américains. Corriger la lassitude des jeunes de mons de 30 ans qui ont l'impression de perdre leur temps et d’utiliser un outil ringard. GraphSearch n'était qu'une autre étape. Les microblogs Tumblr, Twitter, Snapchat grappillent des parts du marché de la pub. Des photos qui s'autodétruisent, non pas chez Facebook...
Commentaires
Et chez Google, que se passe-t-il?
Google teste 252 appareils mystérieux au domicile de ses employés, mais hors de la firme de Mountain Views, personne ne sait exactement à quoi cet appareil est destiné. Ce que l’on sait, en revanche, c’est que Google a récemment postulé pour obtenir une autorisation de procéder à des expériences auprès de la Federal Communications Commission pour un appareil de divertissement. Le but de l’expérimentation serait de vérifier que l’appareil fonctionne correctement et de révéler tous les problèmes de conception qui pourrait apparaître, ainsi que les problèmes de fiabilité des réseaux.
Certains conjecturent qu'il pourrait d’agir d’un dispositif lié au projet Androïd@home, qui permettrait aux utilisateurs de contrôler les équipements et appareils domestiques comme les réveils et l’éclairage avec un appareil Androïd.
Selon une autre hypothèse, il pourrait s’agir d’une nouvelle version de la Google TV. Au cours de son lancement initial en 2010, la Google TV n’avait pas suscité l’enthousiasme, et n’avait reçu que des commentaires décevants, ce qui l’avait fait considérer comme un échec. Cependant, il n’est pas impossible que dans la perspective du lancement prochain d’une TV Apple et l’extension récente des fonctions média de la Xbox 360, Google retente l’expérience une nouvelle fois.
Source : http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=google-teste-252-appareils-mysterieux-au-domicile-de-ses-employes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 10/02/2012
Les impôts de Mark Zuckerberg pour 2012 : 2 Milliards de dollars…
Vous ne voulez pas avoir la même feuille d’impôts que Mark Zuckerberg, le CEO et fondateur de Facebook, devrait avoir en 2012, et pour cause : le Financial Times a estimé qu’il devra 1,5 Milliards de dollars à l'Etat fédéral américain ainsi que 500 millions de dollars à l’État de Californie.
Ce record écrasera le précédent établi en 2010 par Warren Buffet qui avait payé... 7 millions de dollars. En 2009, on estimait que les 400 contribuables les plus fortunés des États Unis réunis avait payé 48 millions cumulés en 2009.
Mais pourquoi Mark Zuckerberg payera autant ? Outre l'impôt sur la fortune, pour sa fortune estimée à 28 Milliards de dollars, c'est surtout la future introduction en bourse de Facebook qui gonflera les comptes. En effet les actions sont taxées à 35% et Zuckerberg dispose d'options d'achat pour 120 millions d'actions, qui devraient être valorisées à 5 milliards de dollars une fois l'introduction réalisée.
Selon le Wall Street Journal, Zuckerberg, qui est âgé de 27 ans, envisagerait de se débarrasser d'une partie de ses actions, et ce, justement pour couvrir ses impôts.
Source: http://www.express.be/money/?action=view&cat=wealthrepublic&item=les-impots-de-mark-zuckerberg-pour-2012-2-milliards-de-dollars&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 10/02/2012
La nouvelle question des recruteurs : 'Pouvez-vous me donner vos identifiant et mot de passe sur Facebook?'
Justin Bassett fut très étonné, lors d’un récent entretien de recrutement, lorsque son interlocutrice, pianotant sur son ordinateur pour ouvrir la fenêtre de connexion de Facebook, lui demanda son identifiant et son mot de passe pour accéder à son profil privé sur le site du réseau social. Bassett refusa et il annula sa candidature, en expliquant qu’il ne souhaitait pas travailler pour une société qui violait le droit à la vie privée de façon aussi flagrante, mais d’autres candidats, qui n’ont pas eu le choix, ont dû s’y soumettre.
Depuis la montée en puissance des réseaux sociaux, de nombreux responsables des ressources humaines consultent les profils publics des candidats sur Facebook ou Twitter pour en apprendre plus sur les candidats. Désormais, certaines sociétés n’hésitent plus à réclamer l’accès aux données privées, soit par l’intermédiaire du mot de passe, soit en demandant aux candidats d’envoyer une invitation au recruteur pour en faire un ami. Certaines ont recours à des applications, comme BeKnown, qui peuvent limiter la consultation sur le réseau social aux seules informations personnelles de profils, tout en s’abstenant d’examiner le « mur » . Dans quelques cas, les salariés ont dû signer des clauses dans leur contrat de travail leur interdisant de médire de leur employeur sur les réseaux sociaux.
Les services publics n’y échappent pas, en particulier ceux dédiés au maintien du respect de la loi, comme la police ou les services d’urgence. Le commissariat de police de Bozeman, une ville du Montana, par exemple, demande aux postulants leurs identifiants pour leur adresse email, les sites des réseaux sociaux dont ils sont utilisateurs, et tous leurs autres comptes en ligne. Deux Etats américains, l'Illinois et le Maryland, souhaitent interdire aux services publics de demander les identifiants et mots de passe pour accéder aux données privées des réseaux sociaux.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=la-nouvelle-question-des-recruteurs-pouvez-vous-me-donner-vos-identifiant-et-mot-de-passe-sur-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 21/03/2012
Un autre avis:
Berlin a cassé son mur, Facebook fabriquent les siens
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/berlin-a-casse-son-mur-facebook-113055
et une vidéo interview de Zuckerberg
http://www.youtube.com/watch?v=Cqx3EGbz8r4
Écrit par : L'enfoiré | 23/03/2012
Comment recenser ses ennemis sur Facebook?
Lorsque Dean Terry, un professeur de communication de l’Université de Texas, s’est inscrit sur Facebook, il s’est étonné de l’absence de la possibilité de ne pas pouvoir “ne pas aimer” une publication ou une page. L’idée de créer une application pour y remédier a germer et c’est grâce à l’aide de ses étudiants qu’il a mis au point son application. Baptisée “Enemygraph”, l’application permet de recenser tout ce que l’on apprécie pas sur le réseau social. M. Terry justifie la réalisation de son idée en estimant qu’il est possible de réunir des gens autour de “centres de non-intérêts”. Une initiative qui risque toutefois de ne pas être appréciée par Facebook. Le professeur a déjà indiqué qu’il s’attendait à voir son application supprimée. En attendant, son application recence déjà de nombreux thèmes détestés tels que la chaîne de télévision américaine Fox News, le chanteur Justin Bieber, l’insomnie ou encore encore le racisme.
http://geeko.lesoir.be/2012/03/29/lapplication-pour-recenser-ses-ennemis-sur-facebook/
Écrit par : L'enfoiré | 29/03/2012
Facebook au travail est bénéfique aux entreprises
Selon une étude réalisée par le cabinet de consultants AT Keaney, l’usage de la plateforme Facebook dans le milieu professionnel ne serait pas un facteur de distraction des employés. Bien au contraire, Facebook rendrait le personnel plus heureux, lui proposant un break dans sa journée de travail.
Kevin Rice, porte-parole de AT Kearney précise que les responsables d’entreprises sont de plus en plus conscients que l’usage de Facebook par les travailleurs n’est pas nécessairement une perte de temps. L'étude montre que pour une personne travaillant de nombreuses heures autant au bureau qu’au domicile, Facebook fait office de pause et permet à l’employé de s’occuper de sujets personnels. Facebook est à prendre dans ce cas comme une compensation de la part de l’employeur conscient du rendement de son personnel.
Selon le cabinet Gartner, en 2010, 50% des employeurs interdisaient encore l’accès à la plateforme. Des chiffres qui seraient en amélioration, en effet, les entreprises changent de plus en plus leur politique à l’égard du réseau social le plus célèbre au monde. En 2014, l’interdiction aux employés de naviguer sur Facebook ne devrait plus concerner que 30% des sociétés, selon Gartner. Enfin, le blog Business Insider considère que ce pourcentage est encore trop élevé et qu’il témoigne du manque de réalisme des employeurs qui ne peuvent pas faire grand chose pour empêcher leurs employés à se connecter sur Facebook au moyen de leurs smartphones
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=facebook-au-travail-est-benefique-aux-entreprises&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 31/03/2012
http://geeko.lesoir.be/2012/04/02/injurier-votre-patron-sur-facebook-peut-vous-couter-votre-poste/
Écrit par : L'enfoiré | 02/04/2012
Timeline de Facebook : ennemis et amis
Facebook change de visage ! Le processus est en marche depuis septembre 2011. Le réseau social numéro 1 vous impose sa "Timeline", en français "Le Journal".
Et ça ne sert à rien de résister, si vous faites partie des 850 millions d’utilisateurs de Facebook, vous allez y passer ! Depuis vendredi dernier, la "Timeline" est obligatoire. Et donc, dans les prochaines heures voire les prochains jours, si ce n’est déjà fait, vous découvrirez une nouvelle mouture de votre compte.
Alors, en quelques mots la "Timeline" ou "Le Journal", c’est une ligne du temps virtuelle qui permet d’accéder en quelques clics chronologiquement à tous les éléments que vous avez posté sur Facebook.
Une nouvelle configuration copieusement contestée dès son arrivée. Mais, malgré les critiques, le site de la bande à Mark Zuckerberg ne fait pas marche arrière.
Et qu’est-ce qui lui est reproché à ce "Journal"?
"Que pensez-vous de la Timeline ?" Poser la question sur les réseaux sociaux aux Internautes-auditeurs. Le débat était agité. Voici un condensé, d’abord, de quelques réactions négatives : Philippe écrit "tout devient incompréhensible, (…) bref c’est une horreur !", Caroline poursuit : "Je trouve cette configuration illisible (…) Ils nous emmêlent les pinceaux et moi ça ne me donne pas envie d'aller sur Facebook". L’avis de Monique : "c’est un vrai désastre sur le plan de l’ergonomie". Enfin, Benjamin explique : "Personnellement, cette plus grande visibilité de ce que j'ai fait ces dernières années m'a poussé à supprimer tout ce que j'avais posté".
Et cet accès aisé à votre passé peut avoir des conséquences peu enviables. Le site tekiano.com nous apprend qu’en Tunisie, en ce moment, la "Timeline" est devenu un outil pour dénoncer ceux qui ont retourné leur veste au dernier moment. Bref, ceux qui n’ont pas toujours été des ennemis de Ben Ali.
Par exemple, un sympathisant d’Ennahdha, le parti islamiste au pouvoir en Tunisie, a été un fervent supporter de Ben Ali jusqu'à la dernière seconde. La preuve en ligne : le 13 janvier 2011, il applaudit le discours du dictateur. Et écrit même sur Facebook : "Ce soir, une nouvelle Tunisie est née". Le lendemain, pourtant, Ben Ali quittait la Tunisie.
Et cet homme est, apparemment, loin d’être le seul à avoir été rattrapé par son passé en ligne. Et, la "Timeline" plaît quand même à certains Internautes?
Oui, revenons-en, à ce petit coup de sonde mené, hier soir, sur la Toile. Thomas écrit : "J’aime, c’est beau !". Pascal complète : "Ça permet d'aérer sa page et d'être plus créatif". Et enfin, Simon conclu : "C’est visuellement beaucoup plus accrocheur !". Avec la "Timeline", c’est plus accrocheur, c’est aussi l’avis des marques ! Le blogdumodérateur.com signale que, selon deux études, les marques apprécient beaucoup le nouveau look de Facebook. Parce que, les Internautes sont plus actifs sur leurs pages. Les "J’aime" et autres commentaires sont en hausse. Les chiffres sont positifs, mais ils dépendent du type de publication. Les contenus multimédias comme les photos ou les vidéos sont à privilégier. En revanche, les simples statuts sont à bannir parce qu’avec la "Timeline", ils sont moins visibles qu'auparavant.
Alors, je ne sais pas si la "Timeline", c’est aussi un atout pour les pages des émissions de radio. Mais, je propose de faire un test : je vais prendre une photo de vous et de Laurence Bibot déjà installée en studio. Nous allons la poster sur la page Facebook de Matin Première qui est déjà passé à la version "Journal" et nous vérifierons demain si elle a eu du succès !
Vous nous faites un beau sourire ?
http://www.rtbf.be/info/emissions/article_mediatic-la-timeline-de-facebook-ennemis-et-amis?id=7742499&eid=5017893
Écrit par : L'enfoiré | 05/04/2012
Facebook rachète Instagram pour 1 milliards de dollars.
Un milliard de dollars pour une société existe depuis un an et demi à peine, le montant à de quoi faire tourner la tête et beaucoup de commentateurs n’hésitent pas à évoquer une nouvelle bulle internet. Instagram est une application pour smartphones qui permet de retoucher les photos prises avec votre téléphone portable pour ensuite les partager très rapidement et très facilement sur internet et les réseaux sociaux. Le succès d’Instagram est colossal, en 550 jours, ce service est parvenu à recruter environ 30 millions d’utilisateurs dans le monde. Disponible jusqu’il y a peu uniquement sur les terminaux Apple, Instragram a lancé sa version pour les systèmes Android la semaine dernière et l’application a été téléchargée un million de fois en à peine 24 heures.
Une croissance exceptionnelle du nombre d’utilisateurs mais, par contre, pas encore de modèle économique solide.
Non, effectivement, le service est gratuit et ne perçoit pas, du moins pas encore, de revenus publicitaires. Instagram ne doit aujourd’hui son développement qu’à deux levées de fonds dont la dernière a permis d’engranger 50 millions de dollars pour une société dont la valeur est estimée selon certaines sources à 500 millions de dollars. On notera qu’Instagram a la taille d’une petite PME employant à peine 11 personnes.
Pourquoi un tel intérêt et un montant aussi important déboursé par Facebook pour acquérir cette société ?
C’est en effet la plus grosse acquisition jamais réalisée par Facebook et dans l’histoire du web il faut remonter jusqu’en 2006 et le rachat de Youtube par Google pour 1,65 milliard d’euros pour retrouver des sommes aussi conséquentes. Cette opération poursuit la logique d’intégration et d’amélioration de nouveaux services dans l’environnement Facebook même si Marc Zuckerberg, le patron du réseau social, a déclaré que l’objectif est de conserver les atouts d’Instagram plutôt que d’essayer de tout intégrer à Facebook. En clair, on imagine que les utilisateurs pourront continuer à poster leurs photos sur d’autres réseaux sociaux que Facebook. Mais selon une analyste interrogée par le New York Times, pour Facebook ce rachat répond à un besoin essentiel de mieux s’adapter aux smartphones. Tout simplement parce que d’ici quelques années, le trafic internet généré depuis les terminaux mobiles dépassera celui de l’internet fixe. Et déjà demain, certaines applications mobiles de réseaux sociaux ou de journaux seront d’avantages consultées que le site lui-même. C’est un nouvel enjeu pour les acteurs du web qui viennent, dans certains cas, à peine de trouver un moyen de monétiser leur audience sur internet. Aujourd’hui il, faut développer de nouveaux modèles pour les appareils mobiles avec une série de contraintes comme un écran beaucoup plus petit et donc un espace publicitaire plus limité que sur un site classique.
Par ailleurs, cette acquisition intervient quelques semaines avant l’entrée en bourse de Facebook
Selon le Wall Street Journal. Il s’agira selon les estimations de la plus grosse entrée jamais réalisée dans l'internet qui devrait valoriser le site aux alentours de 100 milliards de dollars, sachant que Facebook compte aujourd’hui un peu moins de 900 millions d’inscrits
http://www.rtbf.be/info/emissions/article_mediatic-instagram-dans-le-giron-facebook?id=7745356&eid=5017893
http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=un-jeune-graphiste-belge-employe-dinstagram-devient-millionnaire-grace-au-rachat-de-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 10/04/2012
Pourquoi Facebook a-t-il racheté Instagram?
Le rachat d’Instagram par Facebook est le reflet d’un étonnant concours de circonstances, rappelle Dan Primack dans Fortune. Une semaine plus tôt, la société qui gère le site de partage de photos avait levé 50 millions de dollars auprès de deux capital-risqueurs, Sequoia Capital et Greylock Partners. Instagram avait alors été valorisée 500 millions de dollars. Le 9 avril, Facebook en a proposé 1 milliard de dollars : le double.
Cela faisait des mois qu’Instagram avait préparé son tour de table pour obtenir des capitaux. Le Wall Street Journal l’avait évoqué dans un article du 9 mars. Lorsque la compagnie est parvenue à lever les capitaux qu’elle a obtenus la semaine dernière, elle projetait toujours de poursuivre son développement en tant que société indépendante. Facebook, à ce moment-là, n’avait pas fait d’offre : il est impensable qu’Instagram soit partie à la recherche de capitaux si elle avait eu connaissance de l’offre de rachat de Facebook. L’appel à des capital-risqueurs implique que les fondateurs des sociétés qui en bénéficient perdent une partie de leur contrôle dans la société, avec l’entrée dans le capital des capital-risqueurs. Ce sacrifice n’a aucun sens lorsque l’on envisage de vendre sa société quelques jours plus tard. En outre, le tour de table était basé sur une valorisation moitié inférieure que celle de Facebook : les fondateurs auraient-ils accepté de perdre du pouvoir pour une valorisation aussi faible s’ils avaient eu connaissance de la valorisation que Facebook faisait de leur société ? Certainement pas, déduit Primack, qui conclut que Facebook a dû faire son offre auprès d’Instagram après que la société avait clôturé son tour de table.
Et ce ne doit pas être une coïncidence, suggère-t-il. Mardi dernier, plus de un million de personnes ont téléchargé l’application Instagram dès qu’elle a été disponible pour Android. Facebook s’est inquiétée de voir qu’une société proposant du contenu social soit capable de migrer aussi facilement d’iOS vers Android. Lorsqu’il a été connu qu’Instagram venait de réussir un tour de table avec Sequoia Capital et Greylock Partners, et qu’elle était parvenue à lever 50 millions de dollars, Facebook a dû voir en elle un challenger, et penser qu’elle pourrait lui faire de l’ombre à terme. La société de Mark Zuckerberg a paniqué, et décidé de tuer cette concurrence dans l’œuf. Facebook est une des seules sociétés à avoir les moyens financiers et organisationnels pour boucler un accord de cette nature aussi rapidement.
Instagram n’a donc pas commis une erreur en faisant appel à du capital-risque quelques jours avant son rachat, mais il probable qu’elle ait été racheté précisément parce qu’elle avait fait appel au capital-risque, conclut Primack.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=pourquoi-facebook-a-t-il-rachete-instagram&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 12/04/2012
Twitter prévoyait d'acquérir Instagram, mais n'avait pas assez de moyens
http://geeko.lesoir.be/2012/04/15/twitter-prevoyait-dacquerir-instagram/
Écrit par : L'enfoiré | 15/04/2012
Pourquoi Facebook a peur de l'internet
Cette semaine, l’acquisition par Facebook d’Instagram, une startup de 18 mois qui propose un site de partage de photos, a marqué le début d’une nouvelle ère dans le monde des sociétés de l’internet : celle de l’accélération de sa destruction créative, estime john Gapper dans le Financial Times.
Que peut-on peut acquérir d’autre pour un milliard de dollars de nos jours ? 800 brevets qui datent des premiers instants de l’internet, ou les Yellow Pages d’AT&T, une vieille entreprise qui propose un annuaire papier qui génère encore 3,3 milliards de dollars de chiffre d’affaires.
Quels sont les motifs de Facebook ? Le site du réseau social doit craindre de partager le sort de beaucoup de sociétés de l’internet telles que le réseau social Bebo, qu’AOL avait racheté pour 850 millions de dollars en 2008, et qu’il a revendu l’année dernière pour 10 millions de dollars. Toutes ces sociétés se sont mises brutalement à gagner des millions d’utilisateurs, et leur capitalisation est devenue rapidement énorme, mais elle peuvent tout aussi rapidement perdre leur attrait, et dévaler la pente en un éclair.
Qu’est ce que Facebook va faire d’Instagram, qui est beaucoup plus gros que ses acquisitions précédentes, et qui travaille avec son concurrent Twitter ? Et que se passera-t-il lorsqu’un autre nouveau réseau social commencera à gagner de l’attention ? Path, un réseau social mobile pour iPhone et Android, et plus encore Pinterest, un réseau de partage de photos de mode, sont devenus très rapidement populaires. Pinterest est même devenu le 3ème réseau social américain en moins de deux ans, derrière Facebook et Twitter.
Pour les firmes du secteur des techs, la survie passe par le rachat des concurrents. En principe, cette phase d'élimination de la concurrence potentielle survient dans les deux années qui suivent l’introduction en bourse de ces sociétés, c'est-à-dire lorsqu’elles commencent à subir la pression des actionnaires voraces de croissance.
Que Facebook commence aussi tôt, avant même son introduction en bourse, révèle quelque chose d’inquiétant pour l’internet. La combinaison de l’accès facile au secteur, de la distribution numérique, des capital-risqueurs avides, des programmeurs astucieux et ambitieux, et de la possibilité de gagner un jackpot de plusieurs milliards de dollars a créé une situation d’hyper-concurrence. C’est tout au bénéfice des consommateurs, qui découvrent chaque jour de nouvelles applications toujours plus variées. Mais cela veut aussi dire que plus aucun statut ne met ces sociétés à l’abri du déclin. Warren Buffett l’a bien compris, qui se refuse à investir dans le secteur qu’il juge imprévisible.
Facebook a certes des centaines de millions d’utilisateurs, mais la chute de Bebo et MySpace, qui ont eu eux aussi des millions d’utilisateurs, rappelle la fragilité de ce statut. La croissance de Facebook commence déjà à faiblir aux Etats Unis et Zuckerberg commence probablement à s’inquiéter de l’émergence de nouveaux concurrents qui menacent sa domination. L’internet a pour habitude de dévorer ses sociétés matures ; Yahoo ! a mis 18 ans pour aboutir à la situation dans laquelle elle se trouve aujourd’hui. Mais Facebook pourra s’estimer heureux s’il parvient à durer autant.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=pourquoi-facebook-a-peur-de-linternet&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 13/04/2012
'LinkedIn survivra à Facebook, qui est condamné au déclin'
Pour beaucoup, le rachat inattendu d’Instagram par Facebook est le signe que le plus gros réseau social du monde commence à s’inquiéter, et qu’il prend des mesures pour conserver sa position dominante.
Mais pour Geoffrey James d’Inc., c’est un cas désespéré. Il estime que Facebook a déjà entamé son déclin, parce qu’en acceptant la publicité et les pages pour les entreprises, il a perdu de son charme. Désormais, les gens n’aiment plus vraiement Facebook, ils sont lassés de son design des années 1990, de sa politique étrange de protection des données privées, et de ses publicités ciblées dérangeantes, affirme-t-il. Ils continuent de s’en servir, parce que c’est pratique, mais ils s’en détourneront à l’arrivée d’un nouveau site mieux présenté. Facebook est voué à finir comme MySpace, il perdra ses utilisateurs.
Par contraste, LinkedIn va continuer à se développer, parce que dès le départ, le site a ciblé les entreprises et les professionnels, pour recueillir des informations certes peu enthousiasmantes, mais néanmoins importantes. Il a adopté la posture d’un utilitaire, comme les boites mail ou le téléphone, et son design est devenu de ce fait secondaire.
Facebook est l’exemple même d’une société essayant d’apporter toutes sortes de services pour toutes sortes d’utilisateurs, tandis que LinkedIn illustre une stratégie de niche. Ce dernier se bâtit une clientèle loyale, tandis que le site de Mark Zuckerberg mène une lutte coûteuse pour rester sur le devant de la scène. Les clients ne veulent pas des généralistes qui peuvent tout faire pour eux, conclut James. Ils préfèrent les entreprises qui leur proposent ce qu’elles font de mieux, parce qu’elles leur offriront des services fiables, et sans tracas.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=marketing&item=linkedin-survivra-a-facebook-qui-est-condamne-au-declin&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 17/04/2012
Pour près de la moitié des Américains, Facebook n'est qu'une mode passagère
Alors que Facebook s’apprête à réaliser cette semaine ce que beaucoup prophétisent comme étant l’introduction en bourse (IPO) la plus importante jamais réalisée, un sondage réalisé par l’Associated Press et CNBC révèle que pour la moitié des Américains, le réseau social est une mode passagère qui n’a pas vocation à durer. La même proportion d’Américains pensent que le prix proposé pour l’action, qui devrait attendre entre 34 et 38 dollars selon les dernières estimations, soit une valorisation totale de 104,2 milliards de dollars, est trop élevé. 58% de ceux qui ont des actions en bourse estiment que le titre est surévalué, contre 30% qui estiment qu’il reflète bien la valeur de l’entreprise. Pour la moitié des personnes interrogées, Facebook est une valeur intéressante, alors que 31% pensent qu’elle ne vaut pas le coup.
Au global, un peu moins de la moitié des adultes (46%) prédisent que Facebook n’aura pas une durée de vie très longue, contre 43% qui pensent que le réseau social est appelé à durer.
Plus de 40% des Américains se connectent sur le site au moins une fois par semaine, et au plan mondial, le site compte 900 millions d’utilisateurs. Le chiffre d’affaires de Facebook est passé de 777 millions de dollars en 2009 à 3,7 milliards de dollars l’année dernière, et au cours du 1er trimestre, l’entreprise avait déjà réalisé pour plus de un milliard de dollars de ventes.
Malgré des annonces de perspectives un peu décevantes, le réseau social a rencontré beaucoup d’intérêt de la part des investisseurs, ce qui devrait lui permettre d’achever les réservations des actions aujourd’hui, deux jours avant l’IPO. Selon Bloomberg, les 337,4 millions d’actions proposées sont même sursouscrites.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=pour-pres-de-la-moitie-des-americains-facebook-nest-quune-mode-passagre&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 16/05/2012
L’action Facebook : 38 dollars
http://www.lesoir.be/actualite/vie_du_net/2012-05-17/l-action-facebook-38-dollars-916292.php
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Facebook ne monte pas jusqu’au ciel
Ce vendredi, Marc Zuckerberg sonnera la cloche du Nasdaq à New York, transformant par la même occasion sa propre personne et ses employés en (multi)millionnaires. Il fera espérer à d’autres la participation à une juteuse aventure. Au même moment, en Grèce et en Espagne, des gens ordinaires sortiront de leur banque avec leurs économies sous le bras, pour les mettre à l’abri dans un coffre-fort, un pays étranger, sous un lit. Objectif : sauver l’épargne d’une vie de travail.
Rapprocher les deux événements peut paraître simpliste. Et pourtant, il y a dans cette simultanéité, matière à réflexion. Ne fût-ce que pour en appeler au bon sens qui a tant manqué au monde financier et à ses acteurs, et se rappeler que « les arbres ne montent pas jusqu’au ciel » .
Être riches nous aussi, vite. En croquer de ces gains fabuleux affichés en un rien de temps par quelques-uns. L’histoire regorge de ces poussées de fièvre irraisonnées, nourries par la perspective d’un gain très élevé, encouragées par des banquiers trahissant leurs réflexes professionnels.
Il faut, pour dynamiser une économie, des milliers de Zuckerberg qui créent de nouveaux produits, génèrent des emplois et du progrès technologique. Il faut, pour pérenniser leur contribution, des investisseurs qui leur fassent confiance. Mais il faut, pour que tout cela ne se transforme pas en drame, garder son bon sens.
Facebook, basée sur le lien social, va peser plus que Total aux ressources solidement enfouies dans le sol. Facebook est en trois ans passée de 192 à 901 millions d’utilisateurs actifs. Facebook est l’emblème du rêve américain promu aujourd’hui par les écoles de management et le cinéma, mais elle peut être aussi une de ces bulles qui éclatent aussi vite qu’elles grossissent.
Étrange peut-être mais l’engouement pour cette introduction en Bourse crée comme un malaise lorsqu’il croise le désarroi économique des Grecs et des Espagnols. En deux points du globe, au même moment, le monde capitaliste a repris sa route, faisant de nouveaux heureux, insouciants et ignorants du sort réservé aux perdants. L’histoire récente nous a pourtant prouvé combien la frontière entre les deux était fragile.
BEATRICE DELVAUX
Alors parfois, cela baisse
http://geeko.lesoir.be/2012/05/18/facebook-fait-son-entree-en-bourse/
et annule ses gains et revient à son prix d'entrée.
21/5: http://www.lesoir.be/actualite/economie/2012-05-21/l-action-facebook-chute-lourdement-916969.php
Écrit par : L'enfoiré | 17/05/2012
http://www.lesoir.be/actualite/economie/2012-05-24/facebook-le-directeur-financier-responsable-du-fiasco-917698.php
Mark Zuckerberg a déjà revendu pour un milliard de dollars de parts Facebook
Mark Zuckerberg avait-il envisagé la chute du titre Facebook ? Toujours est-il qu’il avait prévu de revendre 30,2 millions d’actions de la compagnie juste avant le lancement de l’introduction en bourse de vendredi dernier. On a appris mardi qu’il avait revendu ses actions Facebook à un cours de 37,58 dollars vendredi, ce qui lui a permis de dégager 1,13 milliard de dollars.
Il n’est pas le seul : Peter Thiel, un investisseur de la première heure de Facebook qui est aussi le co-fondateur de Paypal, avait lui aussi prévu de revendre un nombre conséquent d’actions vendredi. Il s’est défait de 16,8 millions de parts pour un montant de 633 millions de dollars.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=economy&item=mark-zuckerberg-a-deja-revendu-pour-un-milliard-de-dollars-de-parts-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 24/05/2012
La guerre de la publicité entre Facebook et Google en une infographie
Dans un article de Marketwatch, Paul B. Farrel citait Andrew Stoltmann, un avocat de Chicago qui avait expliqué en une phrase pourquoi il estimait que Facebook était surévalué. « Si Facebook est évalué 100 milliards de dollars, cette valeur correspondrait à 33 fois son chiffre d’affaires, contre 5,5 fois pour Google ». Le site Wordstream vient de fournir une infographie qui compare les deux business models de ces titans. Google tire 96% de son chiffre d’affaires de la publicité, contre 86% pour Facebook.
Wordstream confirme en 5 points ce que Stoltmann avait affirmé, à savoir que le business model de Google est bien plus rentable que celui de Facebook :
- Couverture publicitaire : le modèle de Google peut atteindre plus d’individus dans le monde que celui de Facebook, mais Facebook a plus de pages consultées ;
- Adoption des annonceurs : La croissance du nombre d’annonceurs a été forte sur Facebook, mais pas aussi forte que la croissance du nombre d’utilisateurs
- Performance des annonces : Facebook a un taux de clic très faible (moins de 0,05%, c'est-à-dire la moitié du taux de clic moyen sur les bannières internet. Cela est peut être lié au faible ciblage de Facebook, contrairement à Google (taux de clic de 0,4%, presque 10 fois plus que Facebook), qui a mis en place une grosse infrastructure qui lui permet de bien cibler les publicités. Le fait que les clients ont une intention particulière lorsqu’ils se rendent sur le réseau social fournit une autre explication.
- Options de ciblage de la publicité : la publicité n’existe pas sur l’application mobile de Facebook, alors que c’est ce qui se développe le plus rapidement. De même, Facebook ne propose pas non plus la publicité sur des sites partenaires, ni les publicités de remarketing (lorsque les annonceurs peuvent afficher des publicités à des internautes qui ont déjà visité leur site). Google, en revanche, exploite toutes ces filières.
- Format des publicités : Facebook ne permet que deux options : l’annonce standard (une publicité avec une image), ou des histoires sponsorisées. Google offre bien plus de possibilités : publicités sous forme de textes, publicités sous forme d’image, publicités en flash, avec des vidéos, sur jeux mobiles et pour mobile.
Facebook pourrait cependant rattraper Google, mais à condition que son CEO, Mark Zuckerberg, en ait vraiment la volonté. Or, dans la lettre de plus de 2.500 mots qu’il a adressée à ses actionnaires, il n’a mentionné la publicité qu’une seule fois. En revanche, il écrit que Facebook n’a pas été créé pour être une société, mais pour accomplir une mission sociale : « connecter les gens ». « Dit simplement : nous ne bâtissons pas des services pour faire de l’argent ; nous faisons de l’argent pour construire de meilleurs services », écrit-il.
Zuckerberg pourra-t-il continuer avec cette philosophie qui fait mine d’ignorer que 85% de son chiffre d’affaires provient de la publicité ? S’il ne change pas cette attitude presque hostile à la publicité, il ne pourra probablement jamais tenir les promesses auxquelles il s’est implicitement engagé en proposant le titre de la société à un niveau aussi élevé…
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=marketing&item=la-guerre-de-la-publicite-entre-facebook-et-google-en-une-infographie&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 29/05/2012
Zuckerberg, l'homme qui valait 20 milliards, ne laisse aucun pourboire dans les restaurants de Rome
Les propriétaires du Nonna Betta, un restaurant du quartier juif de Rome spécialisé dans la cuisine juive romaine n’en reviennent toujours pas : ils ont eu la visite d’un milliardaire mondialement connu, qui, après avoir déjeuné avec son épouse dans leur établissement, n’a même pas daigné laisser un cent de pourboire. C’est d’autant plus étonnant que les Américains ont la réputation de laisser de très larges pourboires dans les établissements qu’ils fréquentent.
Mark Zuckerberg, le CEO de Facebook, car c’est de lui dont il s’agit, est actuellement en voyage de noces en Italie, après son mariage le 19 mai dernier. « Je suis allé le voir, et je lui ai demandé : +Etes-vous…. ?+. Et il m’a répondu : +Oui+. +Je lui ai demandé comment c’était+, et il a répondu +Très bon+ », explique Umberto, le propriétaire de l’établissement.
Apparemment, ce n’est pas la première fois que Zuckerberg décide de ne pas laisser de pourboire. La veille, il s’était rendu à la trattoria Perluigi, au cœur de Rome, et il s’y était illustré de la même manière.
La destination de voyage de noces des jeunes mariés n’est plus un secret pour la planète depuis qu’un touriste polonais a posté sur Twitter une photo floue du coouple qu’il a prise de son téléphone mobile à l’intérieur de la Chapelle Sixtine. Zuckerberg, fidèle à son habitude, y est vêtu de façon décontractée, avec un jeans et un T-shirt. La photo est rapidement devenue virale.
« Le voyage de noces de Mark Zuckerberg à Rome s’est rapidement ajouté à sa légende », affirme le journal italien la Stampa. L’homme qui a reconnu le couple s’étonne encore qu’il n’ait pas été entouré de plusieurs gardes du corps. « Et c’est ainsi que le plus grand prophète du partage de la vie privée avec des milliers d’étrangers entre, malgré lui, par la porte de derrière du circuit média, par le truchement d’un message sur le plus gros concurrent du réseau social Facebook : l’ascétique Twitter », ironise le journal italien. « Il semble encore plus ironique que l’inventeur de Facebook aurait été pris (avec sa femme) en photo sur un cliché flou, vu de dos, une photo volée prise d’un smartphone ». s’agit-il d’une stratégie de marketing viral ? se demande-t-il, rappelant que l’on a appris que Facebook projette de lancer son propre smartphone dès l’année prochaine. « Mais peut-être la seule chose vraie, c'est que Mark Zuckerberg, l’homme qui a anéanti le concept de l’anonymat, peut se permettre de voyager totalement incognito. »
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=zuckerberg-lhomme-qui-valait-20-milliards-ne-laisse-aucun-pourboire-dans-les-restaurants-de-rome&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
http://www.lesoir.be/actualite/economie/2012-05-31/facebook-tente-de-sortir-du-rouge-919064.php
Écrit par : L'enfoiré | 31/05/2012
Même chez Facebook, on n'accepte pas tout:
Il n’aura pas fallu plus de 48 heures à Facebook pour tuer dans l’oeuf la nouvelle fonctionnalité de recherche de connaissances se trouvant à proximité intégrée par plusieurs techniciens de la firme.
La nouvelle fonctionnalité introduite par plusieurs techniciens de Facebook n’aura visiblement pas beaucoup plu à la direction du réseau social.
Très demandée par les utilisateurs, la fonction de recherche d’amis / connaissances par géolocalisation ne semble pas prête de débarquer. Facebook a en effet supprimé la fonctionnalité en soulignant qu’il ne s’agissait pas d’un update officiel “mais d’un simple test de quelques ingénieurs.” Pour l’heure, difficile de dire si la fonctionnalité fera son retour un jour ou a déjà été jetée à la corbeille. Les questionnements concernant la vie privée pourraient en effet être l’une des raisons pour lesquelles Facebook préfère éviter d’introduire ce type de fonctionnalité, qui peut mener à plusieurs dérives, comme le harcèlement moral, le vol de données,…
http://geeko.lesoir.be/2012/06/27/facebook-la-fonction-retrouver-des-amis-a-proximite-deja-supprimee/
Écrit par : L'enfoiré | 27/06/2012
Je voulais savoir ce que peut supporter une abeille dans sa vie de telle sorte que c'est à peu près ce pas , qui ne pouvait pas offrir une réponse exacte .
Écrit par : Sheaphalo | 05/07/2012
Est-ce l'abeille ou est-ce la question qui n'a pas supporter la réponse?
Écrit par : L'enfoiré | 05/07/2012
Facebook : le bouton “want” se montre
Depuis un certain temps déjà, la rumeur fait état de l’arrivée prochaine du bouton “want” (je veux) sur le réseau social Facebook.Un développeur est parvenu à mettre la main sur l’image à partir du dernier SDK de Facebook, confirmant par la même occasion l’arrivée de cette nouvelle fonctionnalité.
Difficile de dire exactement ce que le nouveau bouton “want” apportera au réseau social. Pour l’heure, tout semble indiquer qu’il s’agira d’une fonctionnalité qui permettra de mettre en avant des produits que l’on souhaite acquérir et créer des listes d’achats qui pourraient être utiles pour vos amis en cas de recherche d’un cadeau d’anniversaire. Visiblement, le bouton ressemblera beaucoup au “j’aime” que nous connaissons tous de longue date et qui a participé à la popularité du réseau social californien. Reste à présent à voir si le “want” sera adopté de la même manière lors de son lancement sur la toile…
http://geeko.lesoir.be/2012/07/06/facebook-le-bouton-want-se-montre/
Écrit par : L'enfoiré | 08/07/2012
Un juge force Twitter à coopérer avec la justice
Un juge new-yorkais a ordonné à Twitter de lui transmettre les données d’un de ses utilisateurs impliqué dans des manifestations du mouvement Occupy Wall Street. Un cas qui pourrait faire jurisprudence concernant la liberté d’expression en ligne.
Le juge de la cour pénale de Manhattan, Matthew Sciarrino, a décidé que la loi lui permettait d’avoir accès aux “tweets” et autres données de Malcolm Harris, poursuivi pour des débordements dans le cadre d’une manifestation sur le Pont de Brooklyn à New York l’an dernier.Le juge a estimé que les messages ne constituaient pas des informations privées et n’étaient donc pas soumis à la garantie constitutionnelle qui protège la vie privée.
“Si on poste un tweet, c’est comme si on crie à la fenêtre, l’objectif n’est pas de garder cela privé”, a-t-il dit dans une décision de 11 pages. “La constitution donne le droit de poster (des tweets), mais comme bon nombre de personnes l’ont appris à leurs dépens, il y a malgré tout des conséquences à ces opinions exprimées publiquement. Ce que vous exprimez en public appartient à tout le monde, ce que vous gardez pour vous vous appartient“.
Twitter a annoncé que 2012 avait vu ce genre de demandes d’informations sur ses abonnés exploser. “Nous avons reçu plus de demandes de gouvernements dans la première moitié de 2012 (…) que sur l’ensemble de l’année 2011″, a noté le responsable juridique du groupe, Jeremy Kessel. La majorité (679) des 849 requêtes venaient des Etats-Unis et, dans 75% des cas, tout ou partie de l’information a été fournie.
Le site de microblogs a indiqué réfléchir aux actions qu’il allait éventuellement entreprendre dans les jours à venir. “Les règles de fonctionnement de Twitter stipulent que les utilisateurs sont propriétaires des contenus qu’ils émettent. Nous défendons fermement nos utilisateurs et leurs droits”, assure Twitter.
http://geeko.lesoir.be/2012/07/03/un-juge-force-twitter-a-cooperer-avec-la-justice/
Écrit par : L'enfoiré | 08/07/2012
Comment Facebook et Twitter alimentent le stress et l’anxiété
Selon une étude de la Salford Business School de Manchester, au Royaume-Uni, l'utilisation accrue des réseaux sociaux, principalement Facebook et Twitter, alimente le stress et augmente l’anxiété de l’utilisateur. Ce sondage, commandité par l'Organisation britannique Anxiety UK, a été mené auprès de 298 internautes utilisant Facebook et Twitter de manière assidue.
On apprend ainsi que 53% des sondés affirment avoir ressenti un changement de comportement depuis qu’ils emploient ces réseaux sociaux et 51% d’entre eux qualifient cette altération comme « négative ». Plus encore, 55% des répondants déclarent se sentir « inquiets et mal à l’aise » s’ils n’ont pas accès à leur compte Facebook, Twitter ou encore à leur e-mail pendant une journée. En outre, deux tiers des interrogés reconnaissent avoir des difficultés à se reposer complètement ou à trouver le sommeil après avoir passé plusieurs heures connectés à Facebook et Twitter.
Les auteurs de cette étude parviennent à la conclusion suivante : les utilisateurs ressentent une perte de confiance en soi consécutive à l’utilisation de ces plateformes car ils se comparent aux « profils » et aux « réussites » de leurs contacts virtuels. Cette enquête révèle encore que 60% des personnes interrogées se sentent incapables de se détendre si leur dispositif mobile est allumé.
Le quotidien britannique The Telegraph rapporte les propos de Linda Blair, psychologue clinicienne : « Je pense que l’un des facteurs clés de l'étude est que nous nous comportons à présent comme si la technologie nous dominait et non l'inverse. Il est possible de se passer de ces gadgets mais un grand nombre d’entre nous ne sait plus comment ».
Enfin, selon Nicky Lidbetter, responsable d'Anxiety UK, « Si vous êtes prédisposé à l'anxiété et au stress, il semble que les pressions de la technologie agissent comme un point de basculement ».
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=comment-facebook-et-twitter-alimentent-le-stress-et-lanxiete&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 11/07/2012
Qui a le plus d'influence sur Facebook?
Facebook fascine les sociologues, comme les annonceurs publicitaires, car il constitue un réseau d’influences en temps réel et traçables. Mais qui influence vraiment les autres sur Facebook? Des chercheurs de l’Université de New York ont voulu répondre à cette question.
Ils ont utilisé une application Facebook pour organiser une discussion sur le thème de l’industrie du cinéma, et ils se sont débrouillés pour que des messages générés automatiquement concernant les activités des utilisateurs soient envoyés à leurs amis au hasard, pour voir lesquels étaient ceux qui gagnaient le plus d’amis, lesquels amenaient le plus d’utilisateurs à se connecter, et quels étaient ceux qui avaient la plus grande influence.
Les résultats de cette expérience sont les suivants :
- Les utilisateurs les plus âgés étaient les plus influents, notamment auprès des gens de leur âge ;
- Les plus jeunes utilisateurs étaient généralement les plus influençables;
- Les hommes avaient plus d’influence que les femmes ;
- Les femmes étaient moins influençables ;
- Les femmes ont plus d’influence sur les hommes que sur d’autres femmes ;
- Les personnes ayant un statut amoureux définitif (célibataire ou marié) ont plus d’influence que celles avec des statuts relationnels intermédiaires ;
- Les utilisateurs mariés étaient ceux qui étaient les moins susceptibles d’influencer les autres.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=qui-a-le-plus-dinfluence-sur-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 13/07/2012
'Facebook and co surveillent vos chats'
La toile, et les réseaux sociaux en particulier, ont des oreilles : Mashable affirme que Facebook et les autres plateformes sociales surveillent les conversations de leurs utilisateurs pour y détecter des intentions malveillantes et que ces sites peuvent éventuellement dénoncer les utilisateurs suspects à la police.
Ils sont équipés d’un logiciel qui scanne les chats à la recherche de mots ou de phrases qui signalent quelque chose de déplacé, par exemple l’échange d’information personnelle, ou de langage vulgaire. Certaines situations, telles que les chats entre deux personnes d’âges très différents, font l’objet d’une attention particulière. Le logiciel est aussi capable d’identifier les personnes déjà condamnées pour des actes criminels, notamment les prédateurs sexuels.
Dès que le logiciel a détecté un échange suspect, il avertit les employés de la sécurité du site, qui prennent eux-mêmes la décision de contacter la police. De cette manière, Facebook peut affirmer que ses employés ne surveillent pas eux-mêmes les chats. Mais ce que l’on ne sait pas, c’est ce qu’il advient de tous ces dialogues, s’ils sont détruits ou stockés de façon permanente quelque part.
Cette procédure aurait permis d’arrêter un pédophile. Dans les conditions générales du site, Facebook indique bien qu’il collabore avec les autorités policières, et qu'il peut être amené à leur remettre des informations concernant ses membres.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=facebook-and-co-scannent-vos-chats&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=#
Écrit par : L'enfoiré | 16/07/2012
Les vingt mensonges les plus courants des utilisateurs de Facebook
Selon une étude réalisée auprès d’un échantillon de 2.000 utilisateurs anglais de Facebook, il apparaît que huit usagers sur dix « maquillent » leurs profils. L'enquête rapporte ainsi les vingt « mensonges » les plus communs utilisés sur les comptes du célèbre réseau social.
Voici donc la liste de ces « fake » :
- Employer une ancienne photo afin de paraître plus séduisant
- Supprimer les photos où l’on apparaît « mal fichu »
- Editer et améliorer une photo de soi à l’aide d’un logiciel comme Photoshop
- Prétendre voir lu des articles de presse via une application de lecture sociale (Social Reader) pour paraître plus intelligent
- « Liker » des articles pour paraître plus futé
- Envoyer des messages internes à des gens que l’on ne connaît pas dans la vie réelle
- Rédiger un statut personnel complètement faux
- Utiliser une photo de profil d’un autre utilisateur
- Rédiger un statut au sujet d’une fête ou d’une célébration en exagérant le côté « diversion » de celle-ci
- Mentir au sujet du champ « relation », s’inventer un couple ou une histoire sentimentale
- Demander l’amitié de quelqu’un uniquement parce que la personne est séduisante
- Inventer des statuts pour attirer l’attention
- Décrire sa profession en s’inventant des fonctions et des responsabilités
- Exagérer son expérience professionnelle
- Se tagger ou se « checker » dans des endroits où nous n’avons jamais été
- Embellir ou améliorer sa formation scolaire
- Remplir des notes sur des livres, musiques et films préférés afin de paraître plus « in »
- Editer des informations personnelles ou des choses appréciées afin de faire correspondre ses goûts avec ceux d’une personne que l’on aime
- Se prendre en photo à côté d’une maison, d’une voiture ou encore d’une moto qui n’est la nôtre
- Editer de faux albums photos
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=les-vingt-mensonges-les-plus-courants-des-utilisateurs-de-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 16/07/2012
L’exode des utilisateurs de Facebook vers d’autres réseaux sociaux
Facebook, le plus grand réseau social du monde, créé par Mark Zuckerberg en 2004, semble avoir du plomb dans l’aile et voit sa cote de popularité descendre de manière significative, selon la dernière étude de satisfaction de l’ASCI (American Customer Satisfaction Index) concernant 47 entreprises et réalisée auprès d’un échantillon de 70.000 utilisateurs.
On apprend ainsi que l’utilisation de Facebook décroit fortement au profit d’autres réseaux sociaux plus « jeunes » tels que Twitter, LinkedIN ou encore Google+. Les raisons de cet exode sont simples : les usagers de Facebook se plaignent pour la plupart du manque flagrant de confidentialité de leurs données personnelles, des changements d’interface et l’augmentation de la publicité. Les multiples modifications du réseau social, développées depuis un an, semblent dès lors provoquer davantage de dégâts que de bénéfices.
L’indice de satisfaction des utilisateurs a encaissé une chute de huit points, soit 61 points sur une échelle de 100. Parallèlement, la cote de popularité de LinkedIN est dorénavant supérieure de deux points à Facebook et Twitter de trois points. Par ailleurs, Pinterest reçoit 69 points et YouTube, 73 points. Mais la surprise vient de Google+ qui se place en tête aux côtés de Wikipedia, tous deux avec un indice de 78 points de satisfaction. Bianca Bosker, éditrice de The Huffington Post, s’interroge sur la raison de cette insatisfaction des internautes : « Il y a un manque de confiance généralisé et une impression que Facebook refuse de protéger l’information personnelle des usagers et ce, dans un but purement lucratif ».
Cette baisse de réputation se reflète également dans la chute des actions de Facebook qui ont diminué de 26% en mai dernier. Selon les experts, les internautes continuent à utiliser Facebook car ils ne veulent pas perdre le contact avec leurs « amis ». Cependant, la fin du célèbre réseau social serait proche, ce dernier tombant ainsi dans « l’oubli cybernétique ».
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=lexode-des-utilisateurs-de-facebook-vers-dautres-reseaux-sociaux&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=#
Écrit par : L'enfoiré | 20/07/2012
Les sept faux-pas que nous commettons encore sur Facebook
Voici une liste des sept choses à éviter sur le réseau social si souhaitons préserver au mieux nos données mais également notre entourage.
1- Révéler notre date de naissance complètement
Pourquoi révéler notre âge complet ? Selon les experts, publier notre date de naissance sur le réseau social peut s’avérer dangereux. Pour celui qui désire usurper une identité ou encore dresser le profil d’un utilisateur, c’est une aubaine. Pas d’inquiétudes pour ce qui est des salutations d’anniversaire, il suffit d’écrire le jour de naissance et le mois.
2- Annoncer dans notre statut que nous serons absents du domicile
Annoncer que nous partons en vacances pendant une certaine période sur Facebook, c’est comme accrocher une pancarte à la porte de notre domicile avec l’inscription « nous sommes partis à la pêche », ironise le site Infobae.com qui précise que les voleurs sur Facebook se cachent également sous de faux patronymes ou pseudos. Si le profil d’utilisateur est privé, pas d’inconvénients car seuls les contacts proches seront avertis de notre départ. Dans le cas contraire, mieux vaut s’abstenir.
3- Uiliser un mot de passe évident reprenant des informations du profil
La date de naissance, le numéro de téléphone, le prénom des enfants ou du partenaire sont les premiers mots de passe auxquels penseront les personnes qui veulent pirater un compte Facebook. Il faut donc éviter d’exposer ces détails sur le profil, surtout s’il est « public ». Les combinaisons entre majuscules, minuscules et numéros, encore une fois, sont les plus adéquates pour la sécurité du mot de passe.
4- Ne pas se soucier des paramètres de confidentialité de notre compte
Facebook laisse très peu de « marche de manœuvre » pour sécuriser un profil totalement. En effet, actuellement, tout le monde peut, par exemple, voir les commentaires d’autres utilisateurs sans pour autant les avoir dans ses contacts directs. Malgré tout, il est encore possible de protéger certains aspects de la façon dont l’information est partagée dans l’onglet relatif aux paramètres de confidentialité.
5- Ne pas penser à ce que nous allons publier
Inventer des faits ou des situations professionnelles sur Facebook peut se révéler préjudiciable. En effet, les recruteurs professionnels et la police utilisent de plus en plus Facebook afin de vérifier des informations.
6- Ne pas utiliser les messages privés
Certains commentaires ou actualisations de statuts pourraient très bien se faire par l’intermédiaire de messages privés envoyés directement aux autres utilisateurs. Cela permet aussi de ne pas diffuser « à tout vent » des informations relatives à la vie personnelle de l’utilisateur.
7- Révéler l’identité complète des mineurs d’âge
La protection des mineurs d’âge est primordiale car ils sont la cible privilégiée d’individus mal intentionnés sur le réseau social. Si le compte du mineur est public ou qu’il possède des contacts inconnus, il vaut mieux éviter que le compte inclue le prénom et le nom complet. Dans un tel cas, les détails concernant l’établissement scolaire ou le club sportif sont aussi à bannir du profil.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=les-sept-faux-pas-que-nous-commettons-encore-sur-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 25/07/2012
Les Belges qui ont acheté des actions lors de l’introduction de Facebook en Bourse estiment l’avoir fait sur base d’informations erronées. Plus de 1.500 plaintes de Belges ont déjà été enregistrées par l’association de défense des épargnants Dolor.
Les plaignants ont acheté des actions de l’entreprise quand le réseau social est entré en Bourse le 18 mai, mais ils estiment l’avoir fait sur base d’informations erronées, peut-on lire dans les quotidiens Het Belang van Limburg et Gazet van Antwerpen. On dénombre déjà 350.000 plaintes similaires aux Etats-Unis.
Ces Belges ont acheté des actions lors de l’introduction de Facebook en Bourse, le 18 mai dernier, « sur base de chiffres de revenus enjolivés », selon le président de Dolor, Hendrik Boonen. « Chaque jour, je reçois deux à trois plaintes. » « Facebook savait, avant l’introduction en Bourse, que les revenus promis aux futurs actionnaires ne seraient pas réalisables », explique Samuel Rudman du bureau d’avocats Robbins Geller, qui regroupe les plaintes américaines contre Facebook. Selon l’avocat la société savait qu’elle allait engendrer moins de gains, mais n’a partagé cette information qu’avec un cercle restreint d’investisseurs.
35.000 Belges auraient acheté des actions Facebook, selon le bureau d’avocats. L’association Dolor souhaite remettre les plaintes belges au bureau américain en septembre ou octobre. Le montant total des plaintes déjà déposées à l’encontre de Facebook atteindrait actuellement deux milliards d’euros, selon ce bureau d’avocats.
http://geeko.lesoir.be/2012/07/26/des-belges-veulent-porter-plainte-contre-facebook/
Écrit par : L'enfoiré | 26/07/2012
La vérité sur vos amis Facebook
L’enquête Pew Internet & American Life Project est un sondage mené depuis plusieurs années pour mieux connaître les usages que les gens font des médias sociaux. A l’occasion de l’introduction en bourse de Facebook, elle a fourni les renseignements suivants :
1. L'utilisateur moyen a 229 amis Facebook. Il gagne 7 nouveaux amis en moyenne, dont 3 proviennent de demandes qu’ils adressent à d’autres et 4 de demandes d’amitiés qu’ils reçoivent d’autres.
2. 1 utilisateur sur 2 laisse un commentaire une fois par mois sur le mur d’un ami, et la même proportion reçoit un commentaire d’un de ses amis sur son propre mur.
3. Moins de 5% des utilisateurs de Facebook cachent du contenu de leur mur à certains de leurs amis.
4. 80% des demandes d'amis seront acceptées.
5. 22% des Amis Facebook ont suivi des études de l’enseignement secondaire
6. 63% ont supprimé des gens de leur liste d’amis (alors qu’ils n’étaient que 56% en 2009). 44% ont effacé des commentaires laissés sur leur mur par d’autres et 37% ont supprimé leur nom de photos où ils avaient été identifiés.
7. Les utilisateurs de Facebook sont plus confiants que les utilisateurs d’autres sites. Un utilisateur qui utilise le site plusieurs fois chaque jour fait 43% plus confiance aux gens que les personnes qui n'utilisent pas l'Internet.
8. Les utilisateurs de Facebook ont des relations plus proches avec les autres. Un utilisateur qui utilise le site plusieurs fois chaque jour est 9% plus proches des membres de son réseau social que les autres utilisateurs d’internet.
9. Les usagers de Facebook sont plus engagés politiquement que les autres. Un utilisateur qui utilise le site plusieurs fois chaque jour est 2,5 fois plus susceptible de se rendre à un meeting politique ou un rassemblement politique, 57% plus susceptible de convaincre quelqu’un de voter comme lui, et 43% plus susceptible de dire qu’ils vont voter.
10. Les utilisateurs de Facebook bénéficient de plus de soutien social. Un utilisateur qui utilise le site plusieurs fois chaque jour reçoit plus de soutien émotionnel et d’amitié hors ligne (il se fera plus aider par quelqu’un lorsqu’il sera malade, par exemple).
11. Sur un mois, les usagers de Facebook avaient adressé 9 messages personnels par mois, mais en ont reçus 12.
12. Au cours de la même période, ils avaient adressé en moyenne 14 « likes » par mois, mais s’étaient fait « liker » eux-mêmes 20 fois.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=la-verite-sur-vos-amis-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 31/07/2012
Ce que l'on pouvait penser parce que maintenir deux système coûte plus cher.
Le passage forcé à la Timeline se fera à l’automne
A partir de l’automne prochain, les membres du réseau social Facebook qui n’avaient pas encore adopté la Timeline seront forcés de l’adopter. Face à la vive opposition de certains membres à cette nouvelle interface, le réseau social a jugé qu’il était préférable de les contraindre à la transition…
Après avoir laissé plusieurs mois aux membres du réseau social pour prendre leurs marques, Facebook a décidé que c’en était assez. La firme californienne forcera le passage à la Timeline dès l’automne prochain.
Les utilisateurs récalcitrants à la nouvelle interface du réseau social recevront un message qui leur notifiera la transition à venir. A partir de ce moment, ils auront sept jours pour modifier leur profil, après quoi Facebook modifiera automatiquement le profil de tous les membres sans leur demander leur avis. Une manière de faire qui risque de brusquer certains utilisateurs mais qui s’avère nécessaire pour ne pas avoir un site à deux vitesses.
Plus que jamais, Facebook semble vouloir démontrer que le réseau social assume ses prises de position, quitte à se fâcher avec certains membres, peu enclins à tester de nouvelles interfaces ou n’appréciant guère la nouvelle orientation du réseau. Reste qu’avec de telles mesures, Facebook pourrait bien perdre quelques membres à une période critique de son existence…
http://geeko.lesoir.be/2012/08/01/le-passage-force-a-la-timeline-se-fera-a-lautomne/
Écrit par : L'enfoiré | 01/08/2012
83 millions de comptes Facebook sont de faux comptes. Au total, cela représenterait 8,7% des comptes existant.
On le sait depuis longtemps, les faux comptes sont un véritable fléau pour Facebook, qu’il s’agisse de doublons ou de comptes de scammers, destinés à générer des profits illégalement. Le phénomène a déjà été régulièrement critiqué par plusieurs multinationales, qui refusent désormais d’investir dans des campagnes publicitaires pour booster leur nombre de fans sur le réseau social. En revanche, c’est la première fois que Facebook dévoile des chiffres précis sur les faux comptes existant…
Trois types de “faux comptes”
Facebook classe les faux comptes dans trois catégories principales : les seconds profils de membres déjà inscrits (4,8%), les comptes indésirables (1,5%) et les faux comptes divers (2,4%).
“Nous estimons que les comptes « dupliqués » (c’est à dire un deuxième compte d’une personne déjà inscrite) représentent environ 4,8% des inscrits [...]. Nous cherchons également les « faux comptes », qui se divisent en deux catégories : les premiers sont des comptes « non classés », c’est à dire des comptes de personnes en ayant créée un pour le travail, des comptes d’entreprises ou des comptes n’appartenant pas à des humains comme ceux dédiés aux animaux de compagnie. Les deuxièmes sont des comptes indésirables, c’est-à-dire ceux qui violent la charte du site” explique le réseau social dans un communiqué.
L’ennui, c’est que 8,7%, cela représente tout de même une grosse proportion des membres du réseau. 83 millions de faux comptes, sur un total de 955 millions d’inscrits. Et il s’agit là de statistiques officielles, qui sont certainement inférieures à la réalité, Facebook reconnaissant lui-même qu’il est souvent très difficile de définir si un compte est vrai ou faux. D’un autre côté, seulement 1,5% des comptes seraient en infraction vis-à-vis du réseau social, et donc susceptibles d’être supprimés. L’ennui, c’est que d’après des analystes externes, ces informations sont erronées puisque les comptes de scammers représenteraient une proportion plus élevée.
Un sujet que Facebook n’aborde pas beaucoup…
Mais Facebook n’a-t-il pas tout intérêt à ne pas supprimer ces comptes? Dans le contexte actuel, il y a de quoi se poser des questions… Le réseau social connait en effet quelques soucis en bourse en ce moment et se doit de rassurer ses investisseurs avec des chiffres en progression. Or, la suppression de plusieurs milliers de comptes inverserait la tendance. Même s’il s’agit là de spéculation, il n’est pas impossible que le réseau social considère que cette lutte contre les faux n’est pas primordiale à une période critique de son existence…
Quoi qu’il en soit, il sera intéressant de suivre de très près ce sujet qui fâche et qui pourrait coûter très cher à la firme californienne dans le contexte actuel…
http://geeko.lesoir.be/2012/08/03/83-millions-de-comptes-facebook-sont-des-faux/
Écrit par : L'enfoiré | 03/08/2012
Les appels à la démission de Mark Zuckerberg sont de plus en plus pressants...
Alors que l’action Facebook est passée vendredi sous la barre psychologique des 20 dollars, de plus en plus d’investisseurs appellent à la démission du CEO Mark Zuckerberg. Ils lui reconnaissent son rôle pour la construction d’un réseau social qui a permis de rassembler plus de 900 millions d’utilisateurs, mais ils estiment que Zuckerberg n’est pas la personne qu’il faut pour permettre à la société de consolider sa position. Ce sont surtout les petits porteurs qui ont perdu beaucoup d'argent lors de l’introduction en bourse de Facebook en mai dernier. A ce moment là, le cours d’introduction avait été fixé à 38 dollars.
Nathan Vardi de Forbes rappelle qu’en conservant la majorité des parts de la société, Zuckerberg s’est autorisé à ne pas accorder trop d’importance au cours de l’action. David Ebersman, David Ebersman, le CFO de Facebook, a d’ailleurs indiqué la semaine dernière que la société ne se laissait pas distraire par l’effondrement du cours de son action. « Nous avons été déçus par l’évolution du cours de l’action. Mais je pense que la chose importante pour nous est de rester concentrés sur le fait que nous sommes la même compagnie qu’avant. Nous avons la même opportunité de construire quelque chose d’important et de valable sur le long terme ». « Resté concentré sur un objectif de long terme est un objectif louable, mais il faut pouvoir manger avant de pouvoir rêver », écrit Vardi. « Ou bien personne au QG de Menlo Park ne regarde le prix de l'action parce qu’à la Silicon Valley, on se place au dessus de ce genre de choses ? »
Le blogueur Charles Payne estime que Zuckerberg ne l’a pas convaincu lors de la « conference call » durant laquelle il a communiqué les résultats très décevants de la société la semaine dernière. «D'un côté, Mark Zuckerberg essayait de se montrer décontracté, et de l’autre, de se donner des airs de vétéran aguerri. C’était nul. Comme l'introduction en bourse. Et ce que je ne comprends pas, c'est comment tant de gens peuvent continuer à accuser les banques d'investissement, tandis que « Zuck » n’est pas inquiété. On peut encore rouler des gens… »
« Facebook a besoin d’un nouveau CEO », déclare John Abell Sur Reuters. Il rappelle qu’à la différence des mastodontes de la Silicon Valley, comme Google et Apple, qui sont détenus par des investisseurs institutionnels, l’actionnariat de Facebook est à 97% constitué de petits porteurs. «Ce pourcentage si haut suggère que Facebook est une action pour le grand public. Et le grand public a besoin d’un héros. Et ce héros n'est pas Mark Zuckerberg (…) Facebook a besoin d’un chef spirituel et d’un responsable innovation avec un sweat à capuche. Mais il n’a pas besoin de lui en tant que CEO, essayant de calmer des investisseurs en chemise »
« Facebook n'a pas besoin d’un nouveau CEO, c’est Reuters qui a besoin d’un nouveau journaliste spécialisé dans les Techs », assène Sarah Lacy sur Pando Daily. « Zuckerberg a su recruter et licencier jusqu’à ce qu’il se soit constitué une solide équipe de cadres pour compenser ses faiblesses. Il a su réagir avec intensité lorsque des utilisateurs ou des salariés se sont plaints. Il a su refuser les propositions de rachat de 1 milliard de dollars qui aurait pu lui permettre de dépasser ses rêves de richesse. Ce sont des choses que font les CEO. Et Mark Zuckerberg les a faites bien mieux que n'importe lequel de ses contemporains ».
Sur CNET, Charles Cooper prend aussi parti pour Mark Zuckerberg : « Il a su mener Facebook là où elle se trouve aujourd'hui. Il n'ya aucune raison qu’il ne puisse pas la mener vers des choses encore plus grandes à l'avenir, s’il sait rester lui-même.
Depuis l'introduction en bourse de Facebook, Zuckerberg a lui-même perdu plus de 9 milliards de dollars, rappelle le Los Angeles Times. Rien que jeudi dernier, sa fortune a perdu 423 millions de dollars. Désormais, la valeur des parts de Zuckerberg est évaluée à 10,2 milliards de dollars.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=les-appels-a-la-demission-de-mark-zuckerberg-sont-de-plus-en-plus-pressants&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 06/08/2012
Avec l'application Facedeals, Facebook vous reconnaîtra lorsque vous entrerez dans un commerce
Une nouvelle caméra actuellement en test permettra de reconnaître automatiquement les clients d’une boutique dès qu’ils y entreront, rapporte le Daily Mail. La caméra compare l’image des visiteurs avec les photos contenues dans la base de données de Facebook. Le concept, appelé Facedeals, a pour but de proposer aux clients volontaires reconnus par le système des offres promotionnelles et des réductions sur leurs achats.
Une vidéo qui fait la promotion de ce système montre comment des clients d’un bar reconnus par la caméra se voient offrir des consommations à tarif réduit.
Cette nouvelle technologie est développée par Face.com, une société israélienne spécialisée dans la reconnaissance faciale en ligne qui a été rachetée il y a peu par Facebook. Le logiciel qu’elle a développé utilise un algorithme complexe qui compare les visages aux photos téléchargées dans Facebook, et qui permet également de reconnaître leurs amis. Pour pouvoir bénéficier des offres spéciales, les client de Facebook devront au préalable avoir accepté l’application Facedeals sur leur compte Facebook. L’app’ effectue ensuite une cartographie des données biométriques de l’utilisateur grâce à ses photos.
« Les systèmes d’enregistrement à l’arrivée de Facebook offrent un mécanisme puissant pour les entreprises d’attribuer des remises à leurs clients fidèles, et pourtant peu d’entreprises, et encore moins de clients l’ont compris », déplore Redpepper, une agence de publicité de Nashville. Peut-être parce que ce genre de dispositifs qui semblent un peu orwelliens suscitent encore des réserves?...
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=avec-lapplication-facedeals-facebook-vous-reconnaitra-lorsque-vous-entrerez-dans-un-commerce&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 14/08/2012
"Les actionnaires de Facebook ne quittent pas (tous) le navire.
Depuis l’IPO, l’action FB a perdu 50% de sa valeur.
Le directeur financier de FB, Peter Thiel, a déjà vendu 16,8 millions d’actions depuis l’entrée en Bourse. 9 autres millions sont passés de classe B (non vendables sur le marché) à la classe A.
Les salariés de FB doivent attendre le 14 novembre pour vendre les leurs.
D’autres investisseurs n’ont plus de raison de vendre à perte actuellement et attendent mieux et des jours meilleurs.
http://www.huffingtonpost.fr/2012/08/16/facebook-bourse-271-millions-nouvelles-actions_n_1787644.html?utm_hp_ref=france
Écrit par : L'enfoiré | 17/08/2012
Mais tout comme d'autres sujets très dichotomiques entre les pros et les contres
Ci-dessous une série de commentaires qui ont leur pesant de cacahuètes
www.agoravox.fr/tribune-libre/article/facebook-c-est-de-la-merde-121296
Écrit par : L'enfoiré | 17/08/2012
Salam World, un nouveau réseau social pour les Musulmans, sera lancé en novembre en Indonésie
Le Jakarta Globe rapporte qu’un nouveau réseau social islamique sera lancé en novembre prochain, pour offrir une « meilleure protection » contre « les contenus nuisibles » pour les jeunes Musulmans. Sa particularité, c'est qu'il sera lancé en Indonésie, le pays musulman le plus peuplé au monde, avec 242 millions de personnes. L'Indonésie est aussi le second marché du monde de Facebook, et le 3ème pour Twitter. La version bêta de ce site, appelé Salam World, serait actuellement testée par un millier de personnes dans le monde.
Salamworld permettra à ses utilisateurs de ne sélectionner que le contenu Halal, et il filtrera les sujets jugés indécents, comme la pornographie ou les drogues. Il sera proposé en 8 langues, dont l’anglais, l’arabe, le turc, l’urdu et le russe, et sera ouvert aux non-Musulmans, pourvu qu’ils respectent les valeurs de l’Islam. Ses utilisateurs pourront le relier à leurs comptes Twitter et Facebook.
Selon Antara News, Salam World compte atteindre 30 à 50 millions d'utilisateurs sur les 300 millions de Musulmans urilisateurs des réseaux sociaux en 3 ans. « Les réseaux sociaux existants, comme Facebook et Twitter, sont centrés sur les profils de leurs utilisateurs, mais Salam World sera différent. Il sera centré sur les communautés, comme celle des architectes, des passionnés de voitures, des artistes, des hommes d’affaires, et de bien d’autres. Ils n’auront pas besoin de gaspiller du temps sur du contenu dont ils ne veulent pas, parce que les utilisateurs pourront choisir leurs centres d’intérêt », explique Erol Toksoy, Brand Manager pour Salam World.
« La communauté musulmane dispose d’un potentiel formidable pour changer le monde, comme elle l’a fait en Tunisie et en Egypte, par exemple. Si nous pouvons nous connecter les uns avec les autres, nous pouvons accomplir de grandes choses. Nous voulons créer une marque musulmane dont les Musulmans pourraient être fiers », dit-il.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=salam-world-un-nouveau-reseau-social-pour-les-musulmans-sera-lance-en-novembre-en-indonsie&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 18/08/2012
'Nous devons nationaliser Facebook'
Le réseau social Facebook est devenu un bien public et une ressource sociale inestimable. Mais la société Facebook qui le gère se comporte mal, observe Philip N. Hloward, professeur de communication, d’information et d’études internationales à l’Université de Washington dans Slate. La solution qu’il préconise ? Nationaliser Facebook.
La prise de participation de l’Etat américain dans Facebook permettrait d’apporter des solutions à trois grands problèmes avec Facebook :
1/ Les pratiques malheureuses de la compagnie avec les règles de respect de la vie privée.
Actuellement, Facebook a beaucoup de mal à satisfaire les législations différentes d’un pays à l’autre en la matière, et se contente d’assurer le service minimum. Facebook est souvent critiqué pour utiliser les données personnelles de ses utilisateurs sans leur avoir donné la possibilité de donner leur accord au préalable. Or, une personne sur 12 ne paramètre pas son utilisation de Facebook pour protéger ses données. En outre, certains affirment même que Facebook exploite des profils fantômes, ceux des relations des utilisateurs qui n’ont pas ouvert de compte sur le réseau social, mais sont évoquées dans les conversations des utilisateurs.
La nationalisation du réseau social pourrait résoudre ces difficultés. Elle pourrait être assortie de la création d’une instance de surveillance avec une autorité réelle pour assurer le respect de la vie privée sur Facebook.
2/ Facebook a un grand rôle social à jouer.
Facebook est un monopole qui exploite 80% du marché mondial des réseaux sociaux, mais cela ne l’a pas pour autant rendu socialement responsable.
Le réseau social a mis des structures en place pour encourager les dons d’organe et, dans les dictatures, les dissidents s’en servent pour essayer de bâtir un nouvel avenir politique pour leur pays. Mais Facebook commet aussi des erreurs. Il interdit les photos de femmes en train d’allaiter, et à un moment donné, il avait interdit les pages « palestiniennes ». Ses règles d’utilisation interdisent l’emploi de faux profils, ce qui met les activistes des pays dictatoriaux en risque. Or, dans ces pays, les populations sont surveillées, et cela inclut l’usage qu’elles font du réseau social et les informations qu’elles y déposent.
Un Facebook nationalisé permettrait l’emploi de pseudos pour protéger l’identité des dissidents qui luttent contre les dictatures.
3/ Facebook pourrait être une mine d’or pour la recherche.
Actuellement, le réseau social ne compte qu’un effectif de 4000 personnes pour près d’un milliard d’utilisateurs. Ils sont employés à essayer de dégager les grandes tendances du marché, vendre de la publicité, et exploiter les données collectées pour réaliser des profits. Facebook pourrait être un outil formidable pour la recherche dans le domaine de la santé et de la sécurité nationale. Il serait possible de prévoir les épidémies de maladies sexuellement transmissibles ou détecter les réseaux criminels ou terroristes dans le monde. Mais actuellement, la société met peu de bonne volonté pour faire profiter les chercheurs de son trésor de données. Et alors que les recherches des scientifiques en matière de comportement humain sont très encadrées, Facebook, société privée, ne connait pas ces contraintes. La nationalisation pourrait permettre de mettre à disposition les données de Facebook pour la recherche, et l’obliger à respecter des règles éthiques pour leur exploitation.
La nationisation de Facebook semble une mesure extrême, concède Howard, mais l'Etat américain pourrait débuter par prendre une participation, pour restaurer la confiance du public, et réduire le contrôle que la société privée exerce sur les utilisateurs.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=nous-devons-nationaliser-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Alors question, nationaliser à l'américaine?
Non.
Écrit par : L'enfoiré | 21/08/2012
Offensive de Facebook pour rassurer
Facebook prend plusieurs mesures pour rassurer ses actionnaires face à la baisse de son action depuis son entrée en Bourse. Son fondateur, Mark Zuckerberg, n'a pas l'intention de céder de titres avant un an. Et la société n'émettra pas d'actions pour payer ses impôts.
Mark Zuckerberg possède 444 millions d'actions Facebook, et 60 millions supplémentaires via un exercice d'option.
Facebook s'est engagé à n'émettre aucune action pour financer le paiement de près de deux milliards de dollars d'impôts et a annoncé que ses salariés pourraient commencer à céder des titres plus tôt que prévu, des décisions censées rassurer les actionnaires face à la baisse continue de sa valeur boursière.
Le numéro un mondial des réseaux sociaux en ligne, dont la capitalisation a fondu de plus de moitié depuis son entrée en Bourse en mai, a précisé que le nombre d'actions en circulation serait réduit d'environ 101 millions par ces décisions.
• Le titre Facebook gagnait 1,8% dans les transactions hors séance après ces annonces, à 18,05 dollars.
Les impôts et taxes liées aux rémunérations en actions seront payés en puisant dans la trésorerie et en recourant aux lignes de crédit disponibles, a précisé l'entreprise.
Le directeur général, Mark Zuckerberg, ne vendra pas d'actions avant un délai d'un an au moins tandis que les administrateurs Marc Andreessen et Donald Graham céderont une partie de leurs titres pour honorer leurs dettes au fisc, ajoute le document.
· Mark Zuckerberg possède encore 444 millions d'actions et une option pour 60 millions supplémentaires.
Facebook explique aussi avoir annulé la clause empêchant ses salariés de céder des titres jusqu'au 14 novembre et les autorisera à les vendre à compter du 29 octobre, soit quatre jours ouvrés après la publication de ses résultats du troisième trimestre.
Environ 234 millions de titres détenus par des salariés sont concernés par ces dispositions.
Source : http://www.lecho.be/actualite/entreprises_media/Offensive_de_Facebook_pour_rassurer.9237460-3054.art?ckc=1
Écrit par : L'enfoiré | 05/09/2012
L'histoire, telle qu'elle a été enregistrée par Twitter, disparait lentement mais sûrement du web...
Le 25 janvier 2011 a marqué le début du printemps Arabe avec les premières émeutes en Egypte, qui ont abouti à la destitution du président Moubarak, et à la tenue d’élections libres. L’une des caractéristiques de ce mouvement est le rôle prépondérant joué par les réseaux sociaux, au premiers rangs desquels, Twitter et Facebook. Les émeutiers les ont utilisés pour répandre des informations, en envoyant des tweets qui contenaient des liens vers des pages de sites, et organiser les manifestations.
Depuis, les sites sur lesquels ces tweets pointaient ont effectué leur maintenance normale, et ce faisant, ils ont détruit certaines de leurs pages, ce qui a conduit à la disparition d’une partie de ce contenu.
Hany SalahEldeen et Michael Nelson, des chercheurs de l’Old Dominion University de Norfolk, en Virginie, se sont intéressés à ce qu’il était advenu de ces contenus dont certains ont eu une influence sur le cours des évènements. Pour mener à bien leur étude, ils ont sélectionné 6 évènements culturels importants survenus entre juin 2009 et mars 2012, incluant l’épidémie du virus H1N1, la mort de Michael Jackson, et les émeutes en Syrie. Puis ils ont examiné les URLS indiquées dans les tweets échangés relatifs à ces évènements, et ont ainsi déterminé les proportions de ceux qui ne permettaient plus d’aboutir à une page de site ou d’archive, mais à une page d’erreur.
Et ce qu’ils ont constaté est alarmant : 11% du contenu de Twitter lié à ces évènements a disparu au terme d’une année, et au bout de deux ans, cette proportion grimpe à 27%. Après deux ans et demi, 41% du contenu ont été archivés. Les chercheurs ont établi une relation presque linéaire entre le temps écoulé et le pourcentage perdu. Chaque jour, le monde perd 0,2% de contenu des médias sociaux qui ont pourtant une valeur historique.
Les conclusions de ces chercheurs se télescopent de façon bien ironique avec la trouvaille récente d’un papyrus vieux de plus de 2000 ans qui permet de revisiter une histoire pourtant déjà bien documentée : celle de la vie du Christ…
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=lhistoire-telle-quelle-a-ete-enregistre-par-twitter-disparait-lentement-mais-surement-du-web&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=#
Écrit par : L'enfoiré | 25/09/2012
Surveillance du Net : le FBI souhaite accéder directement à Facebook, Skype et Gmail
Aux Etats-Unis, le FBI a réitéré la semaine dernière sa demande en faveur d’une nouvelle législation relative à la surveillance du Net. Cette loi obligerait les réseaux sociaux, les fournisseurs de services de VoIP, les éditeurs de messageries instantanées ou les hébergeurs de comptes e-mail à établir une brèche technique pour que la police puisse surveiller les communications privées des utilisateurs placés sous surveillance, rapporte Numerama.
« Nous devons nous assurer que notre capacité à obtenir des communications conformément à une ordonnance judiciaire n'est pas amoindrie », a expliqué Robert Mueller, directeur du FBI, face à une commission du Sénat américain. À l'heure actuelle, de nombreux fournisseurs de communications ne sont pas obligés de construire ou de conserver des moyens d'interception.
La loi de 1994, Communications Assistance for Law Enforcement Act (CALEA), relative aux écoutes aux Etats-Unis permet uniquement aux services de renseignement d’avoir accès aux communications téléphoniques et aux routers des fournisseurs internet, ce qui s’avère inutile lorsqu’il s’agit de conversations cryptées (chiffrées) ou distribuées par une architecture peer-to-peer permettant l'anonymat. Le FBI veut modifier cette loi qui actuellement ne s'applique qu'aux fournisseurs des services de télécommunications et aux opératuers molbiles mais non aux entreprises sur le Web.
En 2011, un projet de loi américain avait été présenté pour que les éditeurs de services de communication fournissent aux autorités un moyen d'écoute, en particulier lorsque les communications sont chiffrées. En mai, Cnet avait révélé que le FBI avait demandé aux entreprises Internet ne pas s'opposer à un projet de loi qui obligerait les entreprises, dont Microsoft, Facebook, Yahoo et Google, à construire des "portes dérobées" pour les écoutes du gouvernement. Après avoir racheté Skype en 2011, Microsoft avait accepté la technologie de l’« interception légale », faisant partie d'un brevet déposé en 2009, qui permet aux services de police de surveiller les conversations des usagers et d’en intercepter le contenu.
Pendant plusieurs années, Skype était l'un des seuls services de conversation en ligne dont les données des utilisateurs étaient cryptées. la société de téléphonie sur Internet a longtemps longtemps refusé de livrer des informations aux services de renseignements. Toutefois, les adaptations de l’architecture du service, entreprises par Microsoft, donneraient maintenant la possibilité aux services spéciaux d’écouter les conversations, de lire les messages et d’accéder au stockage des données personnelles
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=surveillance-du-net-le-fbi-souhaite-acceder-directement-a-facebook-skype-et-gmail&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 27/09/2012
Quand Facebook vous demande de moucharder vos contacts qui utilisent un pseudo
La semaine dernière, Facebook a mené une étude auprès de certains utilisateurs afin de savoir lesquels de leurs contacts utilisaient un pseudo à la place de leur nom réel. Comme le rapporte NBC News, cette enquête intitulée « Help Us To Make Facebook Better » est relativement passée sous silence car la presse était occupée à se centrer sur le possible bug des messages privés sur les profils des utilisateurs français. Le prétexte de cette nouvelle campagne contre les faux noms ou pseudos est comme à l’accoutumée l’amélioration des échanges, la guerre contre les spams et les bots.
Pour NBC News, cette étude du plus grand réseau social, révélée sur Twitter par @chapeaudefee (screenshot de l'étude), est un faux-pas de plus en ce qui concerne le respect de la confidentialité des utilisateurs. Ainsi, plusieurs utilisateurs ont reçu un questionnaire avec la question suivante « Est-ce vraiment le nom de votre ami ». L’internaute avait ensuite plusieurs alternatives de réponses : « Oui », « Non », « Je ne connais pas cette personne » ou finalement « Je ne désire pas répondre ». Cette dernière option semble être la preuve que Facebook est au courant du caractère polémique de ce genre d’enquête. Le questionnaire spécifiait, par ailleurs, que la réponse de l’usager resterait anonyme.
Du côté de Facebook, on prétend que cette étude limitée, aujourd'hui conclue, était orientée afin de mieux connaître les utilisateurs et la façon dont ils utilisent le réseau et ce, pour élaborer de meilleurs produits et services. « Les réponses fournies par l'utilisateur n'affecteront en aucun cas le compte des amis qui usent d'un pseudo », a déclaré le représentant de Facebook, Fred Wollens, à NBC News. Pour le blogueur Paul Bernal, spécialisé en vie privée et en droits humains sur Internet, il s’agit de délation : « C’est effrayant. Ce type d’enquête contribue à façonner une atmosphère de méfiance et à briser l’ambiance convivial du réseau social ». Le spécialiste va plus loin et estime que cette « politique des noms réels » ou « guerre contre les pseudonymes » (Nymwars) de l’entreprise de Mark Zuckerberg est dangereuse pour certaines personnes comme, par exemple, les internautes qui, sous couvert de l’anonymat, diffusent de l’information dans des pays aux régimes totalitaires. Si on révèle leur identité précise, certains utilisateurs risquent leur vie. Paul Bernal cite, en exemple, les meurtres par les cartels de plusieurs utilisateurs mexicains de Twitter et de Facebookqui dénonçaient les violences des narcotrafiquants sur le Net. Par ailleurs, le site lektum.com, explique dans un article intitulé « De la valeur du pseudonymat aux dangers d’une identité réelle unifiée » que « les individus qui se fient le plus aux pseudonymes dans les espaces virtuels sont ceux qui sont le plus marginalisés par les systèmes de pouvoir ».
Enfin, selon Bernal, Facebook procède à ce genre de campagne car il souhaite engendrer plus d’argent. « Facebook estime qu’en sachant exactement qui vous êtes, il pourra gagner plus d’argent. Le réseau social pourra vous vendre les choses que vous aimez ou livrer vos données à des tiers », conclut l’expert
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=quand-facebook-vous-demande-de-moucharder-vos-contacts-qui-utilisent-un-pseudo&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 02/10/2012
Un blogueur achète un fichier de plus d’un million de données personnelles d’utilisateurs de Facebook pour 5 dollars
Facebook enquête sur l’acquisition par le blogueur bulgare Bogomil Shopov d’un fichier de 1,1 million de données personnelles d’utilisateurs pour la somme de 5 dollars, soit 4 euros. La semaine dernière, Shopov avait acheté ce fichier à un éditeur d’applications sur Facebook, Gigbucks. Le document contenait les adresses e-mail, le nom et d’autres détails personnels provenant du profil des utilisateurs. Bogomil Shopov avait par la suite pris la peine de vérifier si les données personnelles étaient valides : « J'ai fait une rapide vérification sur les données et surprise: la plupart d'entre elles sont vraies et je connais même certains de ces utilisateurs », avait expliqué l’activiste cité par Numerama.
En fin de semaine, le site américain Mashable.com a expliqué que les responsables de Facebook avaient contacté le blogueur afin de récupérer le fichier des données acquis sur le site Gigbucks. Facebook a par ailleurs annoncé son intention d’enquêter sur cette fuite et sur la mise en vente sur Internet enfreignant clairement sa politique de confidentialité.
Bogomil Shopov a reproduit sur son blog la conversation qu’il a eue avec Facebook :
« Nous aimerions que vous nous fassiez parvenir ce fichier, que vous le supprimiez et que vous nous disiez si vous avez fourni une copie à un tiers. Pouvez-vous par ailleurs nous donner le nom du site à partir duquel vous l'avez acheté, y compris toutes les transactions et le système de paiement ? Vous n'êtes pas autorisé à divulguer une quelconque partie de cette conversation ». Shopov a effectivement transféré le fichier aux responsables du réseau et supprimé toute trace de ce dernier sur son ordinateur.
L’annonce sur le site de développeur d’applications expliquait que les informations de cette liste avaient été collectées au travers d’applications Facebook et qu’elle ne comprenait que des utilisateurs actifs du réseau, principalement des Etats-Unis, du Canada, de Grande-Bretagne et d'Europe.
L’annonce de Gigbucks ayant été depuis lors supprimée de leur site, Mashable.com a mis en ligne une version en caché de Google qui la reproduit. Enfin, Shopov a également été contacté par l’administrateur de Gigbucks qui lui a affirmé que ce fichier avait été mis en vente illégalement par le compte d’un utilisateur de leur site.
Bogomil Shopov a demandé aux responsables de Facebook comment ils procéderaient pour résoudre ce type de situation mais le réseau lui a répondu qu'il s'agissait d'une enquête juridique interne. Le blogueur a également voulu savoir s'il etait possible, après enquête, de connaître le type de problème survenu afin que les utilisateurs puissent à l'avenir se protéger davantage mais là encore, Facebook a expliqué que c'était une affaire interne et qu'aucune information n'était partagée avec des tiers. Facebook a à nouveau réitéré que cette conversation devait être confidentielle : « Le ton de la conversation était extrêmement impératif, il s’agit de Facebook, après tout », conclut Shopov.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=un-blogueur-achete-un-fichier-de-plus-dun-million-de-donnees-personnelles-dutilisateurs-de-facebook-pour-5-dollars&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campa
Écrit par : L'enfoiré | 30/10/2012
L’appli qui déniche les photos dénudées de vos contacts Facebook
Envie d’avoir un accès direct aux photos dénudées de vos contacts sur Facebook? Il y a une application iPhone pour ça…
La boutique d’applications d’Apple continue de se remplir, jour après jour, d’un tas d’applications toujours aussi inutiles et donc indispensables. Heureusement, certaines d’entre-elles arrivent à sortir du lot alors que d’autres se révèlent pour le moins bizarres, voire malsaines. C’est le cas notamment pour la dernière trouvaille du Daily Mail qui consiste en une nouvelle application iPhone qui permet de retrouver en un clic… les photos dénudées de vos contacts Facebook!
Source: http://belgium-iphone.lesoir.be/2012/10/30/lappli-qui-deniche-les-photos-denudees-de-vos-contacts-facebook/
Écrit par : L'enfoiré | 30/10/2012
Facebook : une nouvelle timeline pour bientôt
Nombreux étaient ceux à ne pas avoir apprécié le passage à la timeline, cette interface déroulante qui permet d’accéder aux messages par mois et année. Facebook l’a bien compris et prévoit de proposer une interface simplifiée d’ici quelques semaines. L’affichage de la timeline se ferait à nouveau sur une seule colonne, comme dans la précédente version du réseau social.
La timeline de Facebook connait probablement ses derniers jours dans sa forme actuelle. Le réseau social teste actuellement une nouvelle interface, simplifiée, qui affiche les messages et photos sur une seule colonne.
“Il s’agit d’un nouveau design que Facebook teste actuellement avec certains utilisateurs. Le but est de rendre la navigation sur la timeline plus simple” explique le réseau social.
La nouvelle timeline sera non seulement plus simple à utiliser, mais aussi plus proche de la précédente interface du réseau social. Les messages et photos s’afficheront sur une seule colonne tandis que les informations liées aux applications s’afficheront sur une seconde colonne, à droite. De cette manière, l’utilisateur ne devra plus porter son regard d’un côté à l’autre de l’écran pour visionner le mur d’un ami. L’espace alloué aux différentes sections sera mieux défini, et la petite barre qui divise le mur en deux parties sera supprimée. En revanche, pas question de supprimer l’affichage des années à droite de l’écran, qui restera un élément central de la nouvelle timeline.
A défaut d’être révolutionnaire, cette nouvelle timeline devrait sans doute davantage convenir à la majorité des utilisateurs.
http://geeko.lesoir.be/2012/11/01/facebook-une-nouvelle-timeline-pour-bientot/
Écrit par : L'enfoiré | 01/11/2012
'Facebook manipule le trafic pour vendre la promotion des publications'
Au cours des derniers mois, des utilisateurs de Facebook ont constaté une baisse de trafic sur leurs pages, parfois de près de la moitié. Certaines entreprises, qui utilisent leurs pages Facebook comme un véritable outil marketing pour communiquer avec leurs clients, ont rapproché cette diminution de leur trafic avec la mise en place de la possibilité de «promouvoir les publications ».
Sur son blog Dangerous Minds, Richard Metzger constate ainsi que le nombre de ses likes a augmenté de 29.000 à 53.000 mais que dans le même temps, son trafic a baissé d’entre 50 à 66%.
« Facebook est délibérément rompu pour augmenter les profits», écrit Ryan Holiday, un stratège des relations publiques. La diminution du nombre de clics, malgré l’augmentation constante du nombre d’utilisateurs et de la popularité sans cesse croissante du réseau est artificielle, suggère le site Ars Technica: Facebook veut convaincre les détenteurs de pages publicitaires à employer la promotion de leurs publications qu’il vient de mettre en place pour dégager de nouvelles sources de revenus.
Pour promouvoir leurs pages, et en augmenter la portée, les sociétés doivent en effet payer un forfait. Pour une société qui publie plusieurs posts quotidiens, le coût peut atteindre rapidement plusieurs milliers de dollars au mois, ce que Metzger qualifie d’ « exorbitant ».
Facebook insiste sur le fait que ce sont les changements récents visant à aider l’utilisateur à éliminer les messages sans intérêt pour lui, comme les messages publicitaires ou des mises à jour de Farmville, qui ont conduit à la réduction du trafic.
Philip Zigoris, un ingénieur en publicité chez Facebook, explique que c’est la qualité du post, et la sélection naturelle des utilisateurs enthousiastes, qui permettent réellement d’assurer la promotion d’un message. De cette manière, Facebook contraint les entreprises à diffuser des messages intéressants pour maintenir la qualité des informations sur le réseau. Pour les posts médiocres, ce sera la double peine :non seulement ils seront payants, mais de plus, ils circuleront peu.
Ces évolutions ont été rendues nécessaires par la multiplication des utilisateurs, et la généralisation de l’emploi de Facebook comme un outil marketing pour les entreprises. Elles ont en effet conduit à une explosion du nombre de messages. Alors qu’un utilisateur individuel a en moyenne 229 amis, la page Facebook moyenne des entreprises compte 40.000 fans. Il était devenu nécessaire d’établir une sélection pour éviter le déluge de messages sur les pages des utilisateurs. Le réseau social surveille d’ailleurs ces commentaires qui ont été cachés ou marqués comme du spam.
Les services marketing des entreprises ne seront probablement pas heureux de ces évolutions, mais les utilisateurs individuels apprécieront.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=marketing&item=facebook-manipule-le-trafic-pour-vendre-la-promotion-des-publications&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 08/11/2012
Facebook envisage d'acquérir Whatsapp
Selon Techcrunch, qui le tiendrait de sources proches de ce dossier, Facebook serait intéressé par l’acquisition de Whatsapp, une application qui permet à ses utilisateurs de s’échanger des SMS en utilisant une connexion Wi-Fi gratuite.
Cette information n’est guère étonnante, compte tenu de la guerre que se livrent les géants de l’internet pour la domination de l’internet mobile. L’acquisition de Whatsapp permettrait à Facebook d’atteindre plus rapidement de nouveaux utilisateurs. « 5 milliards de gens dans le monde ont un téléphone mobile », a rappelé Mark Zuckerberg, le CEO de Facebook à Businessweek, pour indiquer que le réseau social réfléchissait au moyen d’atteindre ces cibles potentielles. Et Whatsapp, qui est utilisée dans plus d’une centaine de pays, sur plus de 750 réseaux de téléphonie mobile, et qui a été développée pour les systèmes d’exploitation iOS, Android, BlackBerry, Nokia S40, Symbian et Windows, offre déjà une excellente couverture du marché.
10 millions de personnes utilisent quotidiennement Whatsapp, pour s’échanger 10 milliards de messages quotidiens. Chaque minute qu’ils passent sur cette application est une minute qu’ils ne passeront pas sur Facebook, note Techcrunch. En outre, Whatsapp ne compte pas s’arrêter là, et la startup recherche des traducteurs dans plusieurs langues, dont le français, le néerlandais, le danois, l’arabe, ou le farsi, par exemple.
Au contraire de Facebook, Whatsapp est une application payante, que l’on peut télécharger après avoir payé 0,99 dollars. Elle est la seconde application la plus téléchargée sur l’App Store d’Apple. Dans la boutique d’applications Android Google Play, où elle a déjà été téléchargée entre 100 millions et 500 millions de fois, elle est gratuite la première année, puis elle coûte 0,99 dollars par an.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=facebook-envisage-dacquerir-whatsapp&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 07/12/2012
Facebook : vers une Timeline sur une seule colonne?
http://geeko.lesoir.be/2013/01/08/facebook-vers-une-timeline-sur-une-seule-colonne/
Écrit par : L'enfoiré | 08/01/2013
Facebook déclencherait en nous des sentiments d’envie, de misère et de solitude
Sur Facebook, l’observation des vacances de nos contacts, de leurs relations, de leurs plaisirs quotidiens et de leurs réussites professionnelles sont susceptibles de déclencher des sentiments d’envie, de misère et de solitude, rapporte une étude conjointe de deux experts des universités allemandes de Humboldt et Darmstadt.
Une personne sur trois se sent dans un état pire après une visite sur Facebook mais également moins satisfaite de son existence. Il est à noter que ces sentiments apparaissent surtout chez les personnes qui ne contribuent pas activement à la « vie » du réseau. « Nous avons été surpris de constater le nombre important de personnes qui ont une expérience négative du réseau social et qui ressentent un sentiment d’envie leur provoquant des relents de tristesse, de frustration et de colère », a expliqué à Reuters Hanna Krashnova, chercheur à l’Université de Humboldt à Berlin.
Les photos de vacances arrivent en première position des causes de ces sentiments négatifs. Vient ensuite les interactions sociales comme la constatation du nombre de vœux d’anniversaire reçus, de « likes » et de commentaires. Les utilisateurs se situant dans la trentaine sont particulièrement envieux du bonheur familial d’autrui. Les femmes, quant à elles, envient davantage l’attrait physique de leurs contacts.
Beaucoup d’utilisateurs jalousent le bonheur des autres et ce, même s’ils sont globalement satisfaits de leur vie. Dès lors, certains d’entre eux en viendront à vanter leurs réalisations personnelles (public masculin) ou leur apparence et vie sociale (public féminin) dans l’unique but de se sentir mieux dans leur peau.
L’étude a également démontré qu’un grand nombre d’utilisateurs percevaient Facebook comme un environnement stressant. Par conséquent, certains internautes quitteront le réseau ou réduiront le nombre de leurs visites.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=facebook-declencherait-chez-nous-des-sentiments-denvie-de-misere-et-de-solitude&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 05/02/2013
Et bah voilà un superbe post!
C'est pas tout à fait la première fois que je viens lire ce blog perso: mais aujourd'hui, je suis juste obligée de laisser un commentaire.
Tu as d'autres trucs à préconiser (globalement) à ce sujet (peut-être d'autres billets) ?
En tout cas encore bravo !
Écrit par : Colonie adolescents | 09/02/2013
Merci pour l’appréciation.
D'autres trucs ?
A plumes ou à poils?
Même globalement, un kilo de plumes ou un kilo de de poils, cela reste un kilo.
A chacun son rôle.
Certains écrivent, d'autres lisent.
Peut-être faudra-t-il un spécialiste pour chercher.
Qui sait quelques adolescents de la colonie de vacances...
Écrit par : L'enfoiré | 09/02/2013
Facebook est contraint de se réinventer, une nouvelle fois. "News feed", la nouvelle formule pour renouveler la page d’accueil avec plus de pertinence. Le logarithme EdgeRank de l'année passée doit être revu pour renforcer le taux de participation, d'engagement, en baisse pour 34% d'Américains. Corriger la lassitude des jeunes de mons de 30 ans qui ont l'impression de perdre leur temps et d’utiliser un outil ringard. GraphSearch n'était qu'une autre étape. Les microblogs Tumblr, Twitter, Snapchat grappillent des parts du marché de la pub. Des photos qui s'autodétruisent...
Le géant des réseaux sociaux a convié la presse ce jeudi 7 mars pour présenter ses nouveautés qui pourraient aussi bien concerner son site Internet que la version mobile de celui-ci.
C’est ce jeudi 7 mars, à 19h (heure belge), que Mark Zuckerberg va lever le voile sur les améliorations apportées à son réseau social. Un événement de taille si l’on en croît de nombreux sites Internet spécialisés. C’est le cas pour le site TechCrunch qui prétend avoir pu tester récemment la nouvelle interface du site depuis un smartphone et qui selon lui, cette dernière n’aurait plus grand chose à voir avec celle qu’on connait aujourd’hui. Selon toujours la même source, Facebook aurait choisi de miser sur une interface visuelle simplifiée dont l’expérience pourrait s’apparenter à celle procurée par le célèbre Flipboard dont le principe est de glisser son doigt sur l’écran pour passer d’une publication à l’autre.
Facebook viserait une audience plus large
Un évènement qui concernera aussi bien évidemment les nouveautés apportées au site web de Facebook. Selon toute vraisemblance, le géant des réseaux sociaux souhaiterait donner une image beaucoup plus moderne de son interface en visant une audience plus large. Plus visuelles, les publications fusionneraient photos et textes pour créer des montages étonnants, s’inspirant largement des “live tiles” de Windows 8.
Un fil d’actualité trié par catégories?
Selon toujours la même source, Facebook pourrait dévoiler ce soir des changements apportés au fil d’actualité. Concrètement, l’utilisateur aurait la possibilité de basculer entre différents fils pour y lire un contenu spécifique, comme la musique, les liens ou les photos.
Rappelons que Facebook a lancé il y a quelques semaines une nouvelle interface pour sa Timeline à une série d’utilisateurs en Nouvelle-Zélande. Il se pourrait que cette phase de tests soit désormais terminée et que le géant des réseaux sociaux s’apprête à déployer cette nouvelle interface au reste du monde de manière imminente.
Pour l’heure, difficile pourtant d’affirmer avec certitude quelles seront précisément les nouveautés annoncées ce soir. Pour le savoir, la rédaction de Geeko vous convie à suivre son live, dès 19h.
http://geeko.lesoir.be/2013/03/07/facebook-va-montrer-son-nouveau-visage-suivez-notre-live-des-19h/
Écrit par : L'enfoiré | 07/03/2013
Il y a un long moment que je n avais pas trouve un article de ce niveau !!!
Écrit par : Faire de l argent | 14/09/2013
Facebook a regagné les pertes en Bourse.
Puisque vous parlez d'argent, pourquoi ne pas parler de ceux qui en font et de la manière dont ils le font.
Cet article par exemple est assez éloquent:
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Facebook, un employeur de rêve? L'envers du décor
En juillet dernier, Business Insider et le site Glassdoor.com ont classé l’entreprise Facebook comme la meilleure compagnie au monde où travailler. Toutefois, pour certains employés de Facebook, s’exprimant sur le forum Quora, la journée de travail dans l’entreprise de Mark Zuckerberg n’est pas des plus enviables, écrit Business Insider.
Keith Adams, un programmateur du plus grand réseau social, affirme sur la plateforme que les ingénieurs doivent faire des heures de garde comme s’il s’agissait d’une salle d’urgence. En outre, il leur est interdit de quitter la ville et ils doivent répondre immédiatement à tout appel, quelque soit l'heure. Un autre programmateur, préférant garder l’anonymat, déclare qu’il n’existe pas de barrière entre la vie privée et la vie professionnelle des employés de Facebook. Par ailleurs, il n’y a pas, dans l’entreprise, d’infrastructure véritablement fonctionnelle. Ainsi, les employés se demandent comment réaliser les tâches de manière détendue avec un effectif de plus de 4.000 personnes. « Nous grandissons très vite mais l’accent n’a jamais été mis sur l’organisation ou la stabilité », affirment-ils.
Selon les employés, l’espace de travail est surpeuplé dans les locaux de la société : « Quand vous voyez d’énormes espaces remplis avec des files de tables, avec les gens assis coude à coude avec seulement 15 cm de séparation et aucune intimité, je suis désolé mais c’est comme avoir un élevage dans une porcherie », peut-on lire sur le forum. Un autre employé affirme avoir été traité comme un moins-que-rien : « On m’a demandé de réaliser des tâches inappropriées comme séparer la lessive du directeur de celle de sa femme ».
L’épouse d’un ancien employé de Facebook explique que de nombreuses demandes venant d’amis et de parents étaient adressées à son mari parce qu’il était employé de l’entreprise. « En tant que conjoint d’un employé de Facebook, on m’a souvent demandé de l’aide concernant la façon d’utiliser les paramètres de confidentialité », affirme-t-elle. Selon elle, les gens pensent que chaque employé de l’entreprise est en quelque sorte une extension de Mark Zuckerberg. D’autres critiques concernent directement le CEO de Facebook et sa directrice générale, Sheryl Sandberg. Ceux-ci sont accusés de passer trop de temps dans des activités extracurriculaires et de faire preuve de condescendance, ce qui rend difficile le traitement de questions purement professionnelles.
« Il s’agit probablement de ma pire expérience professionnelle », se plaint un autre employé. « J’ai été temporairement employé en tant qu’administrateur de la base de données sans aucune appui. J’ai servi deux des pires employeurs avec lesquels je n’ai jamais eu de contacts directs ». Un autre employé estime que ses collègues étaient tout sauf agréables. « Le ton employé par le personnel est dénigrant et paternaliste. « Je les ai trouvés snobs et franchement grossiers ».
Enfin, Philip Su, en 2012, un ingénieur logiciel de Facebook, a publié « Ten Things I Hate About Working At Facebook » sur son blog personnel. « J’ai vu des ingénieurs isolés prendre des décisions. Parfois, un ingénieur ou un designer prenait ces décisions durant le déjeuner. Ou même encore des stagiaires », écrit-il. « Tout cela sans en informer leurs responsables. Ce genre de décision autonome témoigne d’un manque total de compréhension de la façon dont les sociétés sont censées travailleur », conclut-il.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=facebook-un-employeur-de-reve-lenvers-du-decor&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 21/09/2013