Ne m'appelez plus jamais, "France" (25/06/2008)
Un article du Nouvel Obs a attiré mon attention et approfondi mes convictions de ce que représente la France actuelle. Un titre, d'abord une chanson
Attention, je vais être excommunié. Je Vous le dis d'avance, si vous n'avez, Français, pas le courage de lire ce qui va suivre ou n'aimez pas la critique, passez votre chemin.
Un article du Nouvel Obs 2276 s'inquiétait de savoir comment les Français étaient vus par l'étranger, par ses voisins européens.
Cela valait la peine et le détour d'écouter ce que pense de Vous et de nous, les Européens. Il est sûr que chacun a à se reprocher des tares qui proviennent de son passé ou de sa manière de penser, ce ne sera que partie remise mais, de la critique, nous avons tous à y gagner.
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Préambule : la chanson de Sardou
Pays par pays en voilà des points sur la table des discussions :
L'Anglais Julien Barnes, pour lui, c'est plutôt ne changez pas de main depuis la présence de Sarkozy. Le "French paradise" des Frogs a encore du bon. L'instabilité psychologique, un peu maso français, c'est pas mal. On commence vraiment à se ressembler. La Tour Eifel, et si on se l'échangeait avec le Tower Bridge ? On le fait savoir d'ailleurs après le vote Irlandais. Ceux-ci, des idiots, je vous dis.
Le Hollandais Fouad Laroui cherche toujours comment se dit "chauvin" en néerlandais. Et ne comprend rien à la politique française. Freiner l'immigration, il a dû s'y faire récemment. La communauté turque ou marocaine doit s'imposer dans un consensus national.
L'Allemand Volker Schlöndorff voit dans la France une image du passé. Nombrilistes et contents d'eux-mêmes, les Français avec une langue supérieure, arrogante dans les Hautes Écoles qui veut faire la loi. La culture française est devenue d'arrière-garde et ne représente plus que 1,7% du marché. Oui, Sarko apporte du changement. Mais... pas très curieux de ce qui se passe ailleurs. Et puis, les "belles manières face au sérieux".. Ça fait pas vraiment le poids.
Le Belge Philippe Dutilleul se posait cette question : "Pourquoi je ne serais jamais français ?" Il parlait du complexe de supériorité qui mène à la cinquième roue du carrosse. Les réformes libérales sarkoziennes ne semblent pas lui botter. On manifeste ferme pour PPDA, non pas le vôtre. Lille, peut-être, c'est socialiste. Et puis notre "Bye bye Belgium" à la mode française aurait eu du plomb dans l'aile dès la première étincelle. S'il y a un pays, qui dans ses fondements, n'aime pas l'Europe, et il l'a prouvé avec son "non", il y a trois ans, c'est bien la France. Récemment, un article qui se voulait le défenseur de l'hymne national n'en ajoutait qu'une autre couche à ce beau patriotisme souverainiste. Notre premier ministre en a perdu la tête en chantant la Marseillaise comme hymne national à la suite d'une question très partisane d'un journaliste.
L'Italien, Marco Bellocchio Un sentiment d'arrogance transformé en surprise vu la déprime et pourtant la réalité du havre de tranquillité. Moins de clientélisme. Chez nous, c'est la peur de tout qui a prôné dans les élections. Vous avez plus de ressources que nous. Ce n'est pas Berlusconi à bord, même si cela lui ressemble. Vous affrontez les problèmes, nous les posons avec la compromission "commedianti". Nous sommes reconnaissants d'avoir une première dame italienne.
L'Espagnol Jorge Semprum était plus dans l'expectative et exprimait "Ce que j'attends de votre président" alors qu'il est seul derrière un gouvernement social-démocrate. Pour la prochaine présidence de l'Union Européenne, il a l'espoir que la France ne sera pas suivie d'une stratégie de sécurité qui irait dans un protectionnisme et une politique d'immigration contraire à l'esprit de l'entreprise européenne eu égard à l'évolution démographique. Ce serait un changement de paradigme culturel. "Liberté, égalité, fraternité ?" Pour l'Espagne avant-gardiste, l'Hexagone semble piétiner.
Le Polonais Tadeusz Mazowiecki trouvait Sarko sous pression avec des projets ambitieux mais toujours sans anticipation et avec seulement des déclarations distribuées avec un goût du déjà vu et entendu, ailleurs. Alors, le vieux stéréotype du "plombier polonais"... Quand on sait que les Polonais sont aussi redemandés à bord et que quelques milliers, seulement, s'étaient aventurés dans l'Hexagone ! Non, sans blague, on a de la réserve de ce côté.
La Danoise Marie-Louise Knuppert remarquait que la France sacrifiait sa jeunesse. Le chômage des jeunes à 22%. Un modèle social lourdingue par sa bureaucratie et ses ambiguïtés. Notre taux de syndicalisation de 80% comparé au 8% français d'adhérents n'est pas étranger à notre chômage de 1,8%.
Un sondage donnait des estimations assez peu réjouissantes non plus. La présidence de l'Union française serait une "bonne nouvelle" pour 19% des coéquipiers européens, une "mauvaise" pour 16%. Un sous-marin coulé dans le combat naval? 50% d'arrogants, 31% de peu "travailleurs", 44% d'imaginatifs, 43% d'accueillants... on ne peut pas vraiment faire cocorico.
Chacun a sa vision en fonction de son côté plus "rétro", de son gouvernement et de sa manière d'avoir sa vision "propre". Rencontre de Charybde et de Scylla, dans un sens ou dans un autre. La baguette sous le bras et le béret sur la tête, image d’Épinal ou réalité plus voilée ?
Il suffit de gratter un peu pour répondre. Gardons l'humour en porte bagage tout en gardant l'église au milieu du village, comme on dit chez nous.
Les Droits de l'Homme, sans en chercher une charte annexe dans les Devoirs de l'Homme imaginée à la française, se serait chercher des "Droits de l'Ohm", comme constante de résistance électrique.
En France, on aime le "F" sur la bagnole et, en sus, il y a le droit du sol et l'appartenance au département, avec les deux chiffres significatifs qu'on ne veut surtout pas abandonner. Pas de doute, cela fleure trop bon, l'air de "Douce France" avec son terroir.
Le titre que j'ai choisi pour cet article, une autre preuve, la chanson de Sardou. Y aurait-il la volonté d'en avoir une version plus actuelle.
Qu'est-ce à dire ?
Le Français se dit européen. En apparence, seulement. On parle de refus pour raison de manque de social et de n'avoir compris que des règles de la finance dans la constitution. Je tiens à rappeler que c'est Sarko qui a imposé sa manière de construire le nouveau mini traité. C'est comme du Canada Dry. Ce n'est pas de l'alcool, mais cela en a gardé le goût.
Ah, oui, j'oubliais, on n'est plus tout à fait d'accord avec lui et on râle après un an de présidence. Cela se fait entendre d'ailleurs sur tous les tons.
L'année dernière, on chantait pourtant le cocorico. On se congratule, les larmes aux yeux devant la télé et les beaux discours en se félicitant de son choix politique.
Il y avait même un grand drapeau belge qui flottait sur les images, le jour de l'intronisation de Nicolas Sarkozy. On allait voir la vie en bleu, après l'avoir vu en rose. Enfin, on avait la couleur "top" du changement. Vive les réformes ! Cela arrangeait tout le monde puisque plus de 50% de la population votante allait dans cette direction. Ben, malheureusement, les réformes, ce ne sont pas celles qu'on croyait. Elles allaient dans tous les sens.
Depuis, on ratisse large. On est partout. On aime se faire entendre à une autre échelle, à la manière nouvelle de vouloir l'Europe... à la "Française".
L'Angleterre voulait, avec Madame Thatcher, son argent en retour. "I want my money back", disait-elle d'un air très british. Les Français, les Froggies, c'est plutôt : "je veux me retrouver comme avant, dans une Europe bien française". "I'm back" quand on se souvient de la traduction en anglais qui n'est pas la langue internationale de son choix. Ah, oui, "Je suis de retour".
On veut bien regarder du sport à la télé, si et seulement si, l'équipe nationale est toujours à bord. Alors, là, on se fait entendre. Sinon, ce seront les médias qui précéderont dans le mouvement de repli. On négocie avec un humour, très différent. Incomparable, même. C'est du 2ème ou 3ème degré. Rien à voir avec le "british one", ni avec le "belge une fois". Nous sommes chez Molière, chez Racine et tous ses suiveurs.
La Francophonie en télé, c'est chasse gardée française : "On a payé pour et TV5Monde est à nous". Pas touche...
Nous, Belges, n'avons pas de référendum possible, mais le vote est "full democratic". Il est obligatoire et les revêches devront passer à la caisse.
Sur l'antenne citoyenne française, on m'a dit avec une âme bien tendue dans un commentaire très "pro": "mais, tu aimes tout de même passer tes vacances chez nous". Ma réponse a été seulement de circonstance : "Je passe souvent mes vacances en France, mais tu ne m'en voudras pas trop, tout de même, si je passe au-dessus de ton espace aérien, pour aller un peu plus loin ?".
Parlons chiffres. Il est intéressant de consulter les pourcentages au vu d'appartenance des jeunes étudiants en fonction de 3 critères : local, national et mondial. Selon les critères, respectivement, la France obtiendrait 26%, 45%, 29%, la Belgique, 27%, 36%, 36% ; tandis qu'aux antipodes, puisque nous sommes à l'heure de la mondialisation, la Chine obtiendrait 46%, 37%, 17% et l'Inde, 30%, 42%, 28%.
Alors, cette fois, passons vraiment à la vitesse supérieure de la critique positive et commençons par ce qui se dit de manière tendancieuse, entre amis d'autres horizons.
Les bonnes blagues destinées aux belges à la "Coluche". Les frites, les moules, le chocolat mou, nous en avons supportées pas mal, sans broncher et on a même apprécié, de ce côté du Quiévrain (mais non, pas le Rubicon). On en a même ri de bon cœur pour accompagner les zygomatiques dans cette même exploration de l'incommensurable vérité et de l'auto-dérision. Notre petitesse n'a d'égal que notre humilité, même toute "passagère".
Les frites (les "French fries" comme disent les américains) et les moules, on aime, c'est vrai. Comme les chicons, l'américain (steak tartare) frites aussi, les couques (les brioches), les pistolets (petits pains) et les pains français (les baguettes) pour le matin.
Au sujet de blagues, un autre qui dit sous le manteau : "Sais-tu comment faire du pognon ? Simple, tu achètes un Français au prix coûtant et tu le revends au prix qu'il croit valoir". Les blagues sont retournables à souhait.
Des références, on s'en fout tant qu'elles ne seront d'aucune aide pratique. Pragmatique sans tics, le Belge ? L'humilité n'est pas la manière de pensée prépondérante Outre Quiévrain (le belge, pas le français). Cela semble être une impression personnelle, donc. Mais, il y a la contagion et tous les Belges ne sont pas "blanc-bleu" (pardon noir-jaune et rouge) et avec une note particulière, les cols relavés ont pris la clé des champs vers le Nord. Le "bling-bling" est contagieux et traverse les frontières plus facilement que les bonnes idées.
Il faut dire que deux cents ans de promenade en "stand alone" des Belges changent ses habitants. On s'éparpille et on s'étiole. Les destins se divisent comme le reste.
Notre "une fois" qui termine nos phrases vient peut-être de nos autres voisins hollandais "Even kijken" (regardons, une fois). C'est plutôt là-bas qu'il faut aller tendre l'oreille pour en trouver l'origine.
Vous refusez, Français, l'entrée de la Turquie dans l'Europe. Raison officielle ? Ne fait pas partie du territoire européen, chrétien de surcroît. Raison plus intime ? Une dimension de territoire qui entrerait en concurrence directe au barreau ou au perchoir. La Pologne et l'Allemagne, cela suffit, comme adversaires. Et si la Russie demandait son ticket d'entrée ?
De Gaulle avec deux "L" ou deux ailes, ça on aime. Ça flaire bon...
Le Mondial 2008, à Bruxelles, a été fêté et les drapeaux turcs fleurissent aux fenêtres. En Allemagne, ce sera probablement de même dans le même temps. La Turquie fait déjà partie des meubles de l'Europe, je signale. Il faut s'en méfier, d'accord. On dit bien "Fort comme un Turc". C'est pas peu dire. Nous nous en méfions comme du reste et de nous-même, depuis un certain temps, car la connerie n'est pas une affaire de nationalité. Istanbul et son petit territoire annexe, c'est de l'européen, à coup sûr. Par son histoire. La culture française s'est bien implantée et se retrouve dans les écoles qui bordent le "Channel local" avec l'Asie. Non, on bosse fort, par là aussi.
Le thon rouge, Vous en consommez comme les Japonais, ou quoi ? Et si on laissait un peu le temps au temps pour se refaire une santé ? Les méduses, qui remplacent nos faunes marines, ça ne se mange pas. Allez à Calvi, on vous racontera la suite et les raisons.
Notre PPDA à nous, Belges, comme le disait un de nos humoristes belges, Bruno Coppens, c'est la "Perte du Pouvoir D'Achat". Alors, nous avons depuis toujours, et les politiques continuent à le défendre, une indexation automatique des salaires, en veille. Ça ne récupère pas tout, mais c'est un parachute de secours qui ne prend, jusqu'ici, pas encore l'eau. Comme disait Bruno : "Regardez le film des Ch'tis qui a boosté les ventes de Marolles, de bières du Nord et même des baraques à frites authentiques qu'on dénomme "Friture" au lieu de "Friterie"... Alors, une Ferrari à dose quotidienne, je ne vous dis pas ! Exiger plus de pouvoir d'achat, c'est pour consommer encore plus ou mieux ? En tout cas, c'est sûr, le maintien de notre train de vie actuel, comme les cheveux de Patrick, c'est un plan qui a pris l'air".
Les échos de la "Sarkozienne" nous sont parvenus avec un peu trop d'insistance. L'Arlésienne bottait mieux.
Vous constatez souvent que Vous ne connaissez pas grand-chose de nous, Belges. Vous êtes-vous demandé pourquoi ? Vous n'avez pas les émissions de télé belge chez Vous alors que nous sommes gratifiés de toutes vos chaînes sans distinction ?
Faut savoir, les Français ne s'intéressent pas à leurs voisins. Ils sont heureux dans l'Hexagone. Ils ont la mer, la montagne et les verts pâturages. Pas besoin d'antennes télé ou radio vers les autres pays. Pourquoi faire, puisqu'On vit en vase clos. On passe ses vacances "at home", pardon, "à la maison".
Les crises, on les connaît en Belgique. C'est évident. Difficile de le cacher. Quand on est à l'intersection de deux cultures totalement différentes, cela fait de la friction. Au fait, n'est-ce pas, plutôt, à Bruxelles, qu'une bonne vingtaine de cultures en présence se bousculent ?
Non je ne voudrais jamais plus entendre cette phrase indigeste : "La France, c'est bien, mais, c'est dommage qu'il y a les Français".
Je n'ai pas cherché à savoir quel était le dilemme qui s'était installé dans la petite tête du voyageur en perdition qui l'avait prononcé. Peut-être avait-il mal digéré un repas qui manifestement laissait des traces.
Les frontaliers de tous les pays ont bien compris l'avantage de leur situation à cheval au-dessus des frontières. Ils dégustent à tous les râteliers et ils ont raison.
Tant qu'il y aura des frontières qui font coincer les idées, les marchandises et les hommes, on profitera de la bonne soupe à l'ail ou à l'aïoli. A la veille de prendre le gouvernail et la présidence de la Communauté Européenne qui traverse une crise sans précédent, une analyse à froid du résultat d'un sondage ou de tout autre moyen de communication reste à méditer.
La belgitude est différemment ressentie en fonction de l'endroit où on la voit et la sert. Elle se traduit par des mots ou des expressions. Tu veux que je te dise quoi ? Les drapeaux belges sont plus présents aux balcons bruxellois en période de crise qu'ailleurs. Autour de Bruxelles, les Flamands ont peur de la tache d'huile francophone. Liège, depuis longtemps, a des liens très chaleureux avec la France.
Pourtant, ce qui est nouveau, Vous remarquez que les petits Belges ne sont pas si mauvais au Festival de Cannes, dans la mode et ailleurs.
Comme disait Geluck, "En Belgique, on n'a peut-être pas beaucoup de champions du monde, mais dans le monde, ils n'ont pas autant de champions de Belgique que chez nous.".
"En France, on n'a pas de pétrole, mais on a des idées".
Alors, si on chantait "J'habite en Europe" pour changer et pour sortir de la nostalgie de "Ne m'appelez plus jamais, France".
Elle en a le potentiel, l'Europe, de ne pas nous laisser tomber, si en tant que citoyen responsable, on veillait au grain.
Mais cela, c'est une autre histoire et puis Vous en aurez pour nous. Le bêtisier de nos histoires belges n'est pas exempt de croustillants.
Pourquoi pas, aussi, un petit coup de Marseillaise comme notre premier ministre Belge aimait à la chanter. Il en est encore tout désorienté.
Alors, en cœur, chantons "Allons enfants...".
Ringard, la Brabançonne? C'est possible. Faudrait la revoir à terme échu.
Baudouin Van Humbeeck écrivait, lui, "Pourquoi les Belges ne veulent pas devenir Français"
Il écrivait : "Les français sont massivement prêts à adopter les Belges francophones, indiquait récemment un sondage. Mais les Belges sont-ils prêts à rejoindre la France ? C'est à cette question impertinente que répond l'auteur. Eh bien, non, malgré tous les attraits de ce grand frère qui continue à égrener son habituelle appellation condescendante de " nos amis belges ", les Belges pourraient ne pas du tout avoir envie de devenir français... ni de supporter la mauvaise humeur des garçons de café parisiens, le centralisme agressif, le scandale de la valse des millions de l'affaire Bettencourt, les Rafales qui ne se vendent pas, une équipe de France de foot qui méprise ouvertement ses supporters, les mauvais résultats de ses joueuses de tennis, les HLM qui désespèrent des milliers de jeunes, et... tout ce que vous découvrirez au fil des pages de ce cri du cœur. Avec un humour et une cruauté réjouissante, l'auteur dresse ici un portrait au vitriol de la France et de ses travers."
Je n'aime pas le vitriol. Vous vous rendez compte quel faux jeton. Avec le prénom qu'il a, il me fait penser à notre ancien roi. Faudra qu'il se mette au goût du jour.
Une langue commune, ouais, mais des belgicismes en veux-tu en voilà qui distinguent et qui déglinguent la langue de Voltaire.
Non, faut pas le lire, ce bouquin, Nous Vous aimons, chers Français et Françaises, cela vous mettrait le moral dans les chaussettes.
La phrase "Qui aime bien, châtie aussi bien,", c'est même Vous qui nous l'avez appris, une fois. Mais, on n'aime pas trop être appelé par le seul nom "le belge" ou "le petit belge". C'est tellement impersonnel et bien trop peu spécifique pour catégoriser. Mais, je sais que vous faites un effort, en Nous appelant "Nos amis belges". Il ne faut pas Nous la caresser dans le sens du poil, pour autant.
L'opinion de Ferrat, ou celle de Trenet (présentée en flamand par lui-même) serait-elle d'un autre temps ?
L'enfoiré,
...
Citations:
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« Le crime le plus horrible des riches envers les pauvres est de s'être arrogé le droit de leur distribuer la justice et l'assistance, de leur faire la charité. », Georges Darien
- « Ignorance et arrogance ne riment pas seulement, ils vont souvent de pair. », Jacques Sternberg
5 février 2011: Le film "Rien à déclarer" réanime le débat de manière amusante et un peu caricaturale.
5/2 2012 : le film "Il était une fois, une fois".
21/4/2012: La campagne pour les élections a été atypique. De 12 candidats en 2007, ils étaient 10 cette fois. On ne pourra pas connaître les résultats du premier tour avant 20h demain. Interdit de donner les résultats avant cela par les sondages. C'était sans compter qu'Internet dépasse les frontières et que la Suisse et la Belgique sont intouchables.
Ce qui a donné à Laurence.
01/07/2013: Un article qui se pose de bonnes questions.
19/01/2020: Le Grand Cactus: sketch de Michel Sardou
Commentaires
Encore une excommuniée potentielle:
http://www.rtbf.be/info/media/video_laurence-bibot-dans-le-cafe-serre-20-04-2012?id=1722149&mediaset=rtbfinfo--matin-premiere&type=video
Écrit par : L'enfoiré | 20/04/2012