Une guerre civile idéologique entre Etats américains a-t-elle commencé ?
08/06/2025
Le malaise se creuse après l'investiture de Donald Trump II entre les conservateurs et les progressistes.
C'était clair depuis le début, deux idéologies aussi opposées ne pouvaient travailler ensemble longtemps. Les Etats américains n'ont plus que le nom d'être unis. Ce n'est d'ailleurs plus vraiment une démocratie.
La volonté de Trump d'extrader tous les immigrés allochtones est un non sens quand on se rappelle que l'Amérique n'a que des Indiens comme autochtones avant sa conquête par les Européens. L'Amérique, c'est aussi notre histoire".
Les violents échauffourées à Los Angeles entre les habitants allochtones contre les forces de l'ordre souvent latinos ne sont qu'une suite logique à cette opposition de cultures. Trump déploie la Garde nationale à Los Angeles après des heurts entre la police et des manifestants anti-expulsions.
...
Des affrontements entre manifestants protestant contre les expulsions massives lancées par Donald Trump sont en cours à Paramount, une banlieue hispanophone de Los Angeles..
Gavin Newsom est le gouverneur actuel de Californie. Il a été élu en 2018 et est en exercice depuis le 7 janvier 2019.
Le résultats des élections de 2024 est explicite pour déterminer les Etats du parti Démocratique (bleu) et des Républicains (rouge).
Ce n'est peut-être pas une anecdote.
L'opposition de deux Amériques est plus fondamentale. Les dernières élections ont poussé un Trump II comme président sans vraiment comprendre les tenants et les aboutissants. Rien ne sert de se présenter comme un pays fort qui pense vivre en autarcie, si à l'intérieur rien ne va plus.
Après des mois d’une alliance idyllique savamment mise en scène, Donald Trump et Elon Musk se sont déchirés publiquement jeudi à coup de messages interposés sur leurs réseaux sociaux respectifs, s’accusant de « folie » pour le premier, « d’ingratitude » pour le second.
Le président américain Donald Trump a menacé dans une interview samedi son ancien allié Elon Musk de « très lourdes conséquences » s’il tentait de nuire à des élus républicains.
Une accalmie apparente depuis vendredi, les deux hommes s’étant souhaité mutuellement « bonne chance » en se quittant. Elon Musk a supprimé plusieurs messages accusateurs et menaçants.
Mais les deux hommes semblent décidément bien loin d’un potentiel rabibochage.
Interrogé sur la possibilité que ce dernier finance des candidats démocrates en campagne contre des élus républicains, Donald Trump a répondu à la chaîne NBC : « s’il le fait, il devra en payer les conséquences », sans détailler la nature de ces potentielles répercussions.
Interrogé sur l’avenir de leur relation, Trump a déclaré samedi n’avoir « aucun » désir de renouer avec Musk et « aucune intention de lui parler. Il est très irrespectueux. On ne peut pas manquer de respect à la fonction présidentielle », a-t-il encore dit.
« Il est temps de lâcher la grosse bombe : (Trump) est dans les dossiers Epstein C’est la véritable raison pour laquelle ils n’ont pas été rendus publics. », » avait écrit sur X.
Un message de Musk appelait à destituer Trump comme d’autres publiés ou partagés jeudi. Ils n'étaient plus visibles sur le compte de Musk samedi. Interrogé par NBC sur ses liens amicaux passés avec le financier, mis en avant par Musk, Trump a répondu samedi : « ce n’est pas nouveau, on en parle depuis des années. Même l’avocat d’Epstein a dit que je n’avais rien à voir avec cela ».
Trump a nié avoir passé du temps dans la propriété d’Epstein sur les îles Vierges américaines où, selon les procureurs, le financier se livrait à un trafic sexuel avec des jeunes filles mineures.
Jeffrey Epstein, au cœur d’un vaste scandale international de crimes et d’exploitation sexuels, s’est suicidé en prison en 2019 avant d’être jugé, alimente de nombreuses théories complotistes et obsède une partie de la droite radicale américaine.
Les mensonges et insultes de toutes parts (démocrates compris) ont fait partie des élections. Un de plus ou un de moins ne feront rien à l'affaire.
Le parti démocrate a reçu une leçon. Il n'était pas ou pas assez préparé.
Les Etats Unis créent beaucoup de prix Nobel parmi les élites grâce à l'enseignement des universités prestigieuses.
Trump a choisi de prendre le parti des cowboys plus nombreux..
La maxime "Proud to be american" n'existe plus à utiliser si on se rappelle la fin du livre "Ailleurs chez moi" Douglas Kennedy termine son livre, perplexe avec la question sans réponse : "Est-il possible d'aimer et de craindre son pays tout à la fois ?".
J'ai beaucoup écrit au sujet des Etats Unis. J'y ai été et j'ai travaillé avec eux et pour eux pendant de nombreuses années.
Oui, "l'Amérique conjugue au futur antérieur".
A reculons comme une écrevisse.
The show must go on.
God bless America.
Bonne Pentecôte...
Allusion
PS: Préversion de ce billet sur agoravox.fr
12 commentaires
Donald Trump affirme qu’il ne pense déjà plus à Elon Musk, mais..
Interrogé par ABC News et CNN, Trump tente visiblement de réduire leur rupture à la soudaine instabilité du milliardaire, affirmant même qu’il ne pense plus du tout à lui, et ce, malgré l’humiliation infligée.
Elon Musk en a surpris plus d’un, y compris sans doute plusieurs membres de la Maison-Blanche, en explosant sur X contre un pilier de l’agenda politique de Trump, et ce, quelques jours à peine après avoir quitté officiellement ses fonctions au sein de DOGE dans l’administration.
Il s’en est violemment pris au gigantesque projet de loi de Trump et ses alliés, des propos qui n’ont évidemment pas manqué de faire réagir.
Au lendemain de leur accrochage public sur leurs réseaux sociaux respectifs, Trump affirme qu’il ne pense déjà plus à Musk et que, même si ce dernier cherche, selon lui, à le contacter, lui n’a guère envie de lui parler.
Lorsqu’un journaliste d’ABC News lui a demandé s’il avait un appel prévu avec Elon Musk dans les prochaines heures, Trump a répliqué en qualifiant le milliardaire d’homme ayant tout simplement «perdu la tête» avant d’affirmer que non il n’était pas du tout intérressé à lui parler, avant de changer de sujet.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/elon-musk-promet-des-repr%C3%A9sailles-en-2026/ar-AA1GjwxB?cmp_prftch=2&ocid=msedgdhp&pc=ENTPSP&cvid=0ab23d433a7140ef8999f24f06a15426&ei=11#image=1
Le président américain Donald Trump a intensifié son conflit avec Elon Musk en menaçant l'homme le plus riche du monde de « conséquences graves » s'il décide de soutenir les candidats démocrates lors des élections de mi-mandat de 2026. Dans une interview téléphonique accordée samedi à NBC, Trump a déclaré qu'il n'avait aucune intention de réparer sa relation avec le PDG de Tesla et SpaceX, qualifiant leur rupture de définitive après les critiques publiques de Musk concernant un projet de loi gouvernemental.
Interrogé spécifiquement sur l'avenir de sa relation avec Musk, Trump a répondu sans ambiguïté : « Je présume que oui, c'est fini ». Le président a justifié sa position en expliquant qu'il était « trop occupé à faire d'autres choses » et qu'il avait « gagné une élection de manière écrasante ». Trump a également rappelé qu'il avait accordé de nombreux avantages à Musk lors de son premier mandat, affirmant même avoir « sauvé sa vie », tout en précisant qu'il n'avait désormais « aucune intention de lui parler ».
La menace de Trump prend une dimension particulière compte tenu des nombreux contrats fédéraux lucratifs des entreprises de Musk. Le président a déjà évoqué la possibilité de résilier ces contrats, y voyant un moyen facile d'économiser de l'argent public. Cette vulnérabilité financière place Musk dans une position délicate, ses activités spatiales et technologiques dépendant largement des commandes gouvernementales. L'escalade du conflit pourrait ainsi avoir des répercussions majeures sur l'empire entrepreneurial du milliardaire.
Le différend a éclaté cette semaine lorsque Musk a publiquement critiqué le « magnifique projet de loi » de Trump au Congrès, le qualifiant d'« abomination dégoûtante » qui augmenterait le déficit fédéral. Cette opposition frontale a déclenché un échange d'attaques personnelles sur les réseaux sociaux, poussant la Maison Blanche et les dirigeants républicains du Congrès à évaluer les retombées politiques. Musk est même allé jusqu'à suggérer que Trump devrait être destitué, intensifiant davantage leur conflit public.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/trump-menace-musk-de-cons%C3%A9quences-graves-s-il-soutient-les-d%C3%A9mocrates/ss-AA1GnW0T?cmp_prftch=2&ocid=msedgdhp&pc=ENTPSP&cvid=4f2ae1236cd44fc1adce7d299d593ba0&ei=12#image=1
La Californie annonce poursuivre en justice l'administration de Donald Trump après les émeutes
Ils y voient "un pas incontestable vers l'autoritarisme". Le gouverneur démocrate de l'Etat de Californie, Gavin Newsom, et le procureur général de Californie, Rob Bonta, ont annoncé lancer des poursuites judiciaires contre l'administration de Donald Trump.
Ils dénoncent la décision du président républicain d'envoyer 2000 membres de la garde nationale des Etats-Unis en Californie contre des manifestants, et ce sans l'aval du gouverneur. Du jamais vu depuis 1955.
Sur les réseaux sociaux, Gavin Newsom estime que Donald Trump "fabrique cette crise" et "crée la peur pour prendre le contrôle d'une milice d'État et violer la Constitution américaine". Le Président américain affirme que les autorités de l'Etat de Californie sont incompétentes.
"Nous avons un gouverneur incompétent, alors j'ai parlé des gouverneurs, mais je n'ai pas dit que c'était un gouverneur incompétent. Regardez le travail qu'il fait en Californie. Il est en train de détruire l'un de nos grands États. Et si je ne m'impliquais pas, si nous ne faisions pas venir la garde, et nous en ferions venir d'autres si nécessaire, parce que nous devons nous assurer que l'ordre public sera maintenu. Un désastre s'est produit" a déclaré le Président américain lors d'une conférence de presse.
La Californie annonce poursuivre en justice l'administration de Donald Trump
Il s'agit de la 24e fois que l’État de Californie entame des poursuites contre l'administration Trump depuis le début du second mandat du républicain condamné pour falsifications comptables, d'après le procureur général de Californie.
Les heurts ont débuté vendredi à Los Angeles, où réside une importante population hispanique, quand des personnes ont tenté de s’interposer face aux arrestations musclées d’immigrés menées par la police fédérale de l’immigration. Des gardes nationaux ont alors été déployés devant un centre de détention fédéral de la ville.
Les manifestations se poursuivent à Los Angeles
Lundi, une grande foule s'est rassemblée dans un parc situé en face de l'hôtel de ville de Los Angeles pour manifester contre l'arrestation d'un éminent dirigeant syndical. Leurs pancartes critiquaient Trump et les services de l'immigration et des douanes (ICE) au sujet de l'arrestation de David Huerta vendredi.
Divers dirigeants syndicaux de toute la Californie ont mené la foule dans des chants appelant à sa libération. M. Huerta a ensuite été libéré moyennant une caution de 50 000 dollars (43 777 euros). Selon les habitants, une odeur de fumée et de feu flottait dans l'air, et des tas de cendres jonchaient les rues de Los Angeles, provenant des véhicules incendiés lors des manifestations.
Les représentants de l'ICE ont déclaré qu'ils appliquaient activement les lois sur l'immigration et qu'ils cherchaient à expulser les immigrés ayant fait l'objet de condamnations pénales. En outre, ils ont indiqué qu'ils étaient prêts à appréhender les manifestants qui enfreignent la loi ou qui entravent leurs opérations.
La maire de Los Angeles, Karen Bass, a fait part de ses inquiétudes lors d'une interview, déclarant qu'une augmentation des raids fédéraux contre l'immigration pourrait conduire à un "pandémonium". Elle a également ajouté que les manifestants étaient prêts à réagir rapidement et à poursuivre leurs manifestations s'ils voyaient les forces de l'ICE en action.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/la-californie-annonce-poursuivre-en-justice-l-administration-de-donald-trump-apr%C3%A8s-les-%C3%A9meutes/ar-AA1GpEiA?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=819c675af3d94a1380df2d38c3e94c96&ei=11
une action en justice contre l'administration Trump relance le débat sur les armes automatiques
Seize États américains ont intenté une action en justice contre l'administration Trump concernant sa proposition d'autoriser la vente de gâchettes à réarmement forcé, qui permettent d'augmenter la cadence de tir des fusils semi-automatiques, et de restituer les dispositifs déjà saisis à leurs propriétaires.
L'action en justice, annoncée lundi, soutient que la restitution des gâchettes violerait les lois fédérales, mettrait en danger les résidents et le personnel chargé de l'application de la loi, et pourrait aggraver la violence armée. La plainte a été déposée auprès d'un tribunal fédéral du Maryland.
Plusieurs batailles juridiques ont eu lieu au sujet de ces dispositifs, qui peuvent être utilisés en remplacement de la gâchette standard d'un fusil de type AR-15.
L'administration Biden soutenait que les gâchettes à réarmement forcé permettent de transformer une arme semi-automatique en mitraillette en vertu de la loi fédérale, car une pression constante du doigt permet à un fusil de continuer à tirer, à la manière d'une arme totalement automatique.
Une action intentée par des procureurs affiliés au Parti démocrate
Rare Breed Triggers, le fabricant de ces dispositifs, affirme que le Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives (ATF) les a mal classés et n'a pas tenu compte des demandes de cessation des ventes de gâchettes avant d'être poursuivi par l'administration Biden.
Le ministère de la Justice a annoncé le mois dernier un accord avec la société autorisant la vente de gâchettes à réarmement forcé. Auparavant, l'entreprise était représentée par David Warrington, qui est actuellement le conseiller juridique de Donald Trump à la Maison Blanche.
Conformément à l'accord, Rare Breed Triggers a accepté de s'abstenir de fabriquer des dispositifs pour armes de poing, selon le ministère de la Justice. Le règlement exige également que l'ATF restitue au gouvernement les gâchettes qui ont été confisquées ou remises volontairement par leurs propriétaires.
Le procès intenté par les États est mené par les procureurs généraux du Delaware, du Maryland et du New Jersey.
Les autres États participants sont le Colorado, Hawaï, l'Illinois, le Maine, le Massachusetts, le Michigan, le Minnesota, le Nevada, l'Oregon, Rhode Island, le Vermont, Washington, ainsi que le district de Columbia.
Tous les procureurs généraux de ces États sont affiliés au Parti démocrate, bien que le bureau d'Hawaï soit officiellement non partisan.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/%C3%A9tats-unis-une-action-en-justice-contre-l-administration-trump-relance-le-d%C3%A9bat-sur-les-armes-automatiques/ar-AA1GqgSI?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=f48f7c62aea948cf8038fe35c0ba7031&ei=18
En réponse, le gouverneur Gavin Newsom, lors d’un entretien avec MSNBC et NBC News, a directement accusé Trump d’avoir fabriqué cette crise et l’a défié ainsi que son border tsar, Tom Homan, qui menaçait de l’arrêter en cas d’obstruction aux raids de l’ICE, en lançant: «Arrêtez-moi. Allons-y.»
Sur Truth Social, Trump a multiplié les attaques contre le gouverneur, le qualifiant de «Gavin Newscum» et l'accusant d’être incompétent, incapable de faire son travail. Il a également exigé qu’il présente des excuses aux résidents de Los Angeles pour les émeutes en cours, dans des critiques qui visaient aussi la mairesse de la ville.
Selon NBC News, Donald Trump a renforcé les déclarations de Tom Homan, qui affirmait durant le week-end qu’il n’hésiterait pas à faire arrêter toute personne s’opposant aux opérations de l’ICE, un message qui visait aussi le gouverneur de Californie et la mairesse de Los Angeles.
En réponse, Gavin Newsom a répliqué «Finissons-en» dans une entrevue, ajoutant avec ironie: «Quel dur à-cuire. Pourquoi ne le fait-il pas? Il sait où me trouver», visant directement Tom Homan et son patron, Donald Trump.
Newsom a par ailleurs traité le président de «menteur de sang-froid», démentant catégoriquement les affirmations selon lesquelles les manifestations auraient été abordées lors d’un appel téléphonique de 20 minutes entre Trump et lui le vendredi précédent, déclarant: «Cette question n'a jamais été soulevée».
Le lendemain des déclarations du gouverneur, interrogé par un journaliste sur les propos de Gavin Newsom, Donald Trump a répondu qu'il aimerait bien voir le gouverneur de la Californie se faire arrêter: «Je le ferais si j'étais Tom.»
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/trump-aimerait-faire-arr%C3%AAter-le-gouverneur-de-la-californie-qui-ose-s-opposer-%C3%A0-lui/ss-AA1Gridt?cmp_prftch=2&ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=a5a77f331e714ebd8a40199e23110432&ei=19#image=2
La galaxie MAGA veut faire expulser Elon Musk des Etats-Unis
Le conflit entre Donald Trump et Elon Musk a atteint un niveau d'hostilité sans précédent. Ce qui avait commencé comme une collaboration privilégiée entre le président et l'entrepreneur sud-africain s'est transformé en une confrontation qui menace de déclencher de graves conséquences.
L'homme qui continue d'allumer la mèche est Steve Bannon, l'idéologue le plus radical du trumpisme et de la galaxie MAGA. Dans son émission War Room, Bannon a ouvertement exigé une enquête formelle sur les origines migratoires de Musk, affirmant que Musk "a menti sur ses formulaires d'immigration et que, si cela était confirmé, il devrait être expulsé immédiatement".
"On ne peut pas parler d'expulser des millions d'immigrés clandestins alors qu'un milliardaire qui a falsifié son visa et profité du système reste dans le pays en toute impunité", a déclaré M. Bannon sur un ton incendiaire.
Il affirme avoir la "ferme conviction" que M. Musk a dépassé la durée de validité de l'un de ses visas et a obtenu la nationalité américaine par des moyens irréguliers. Bien que M. Musk possède la nationalité américaine depuis plus de vingt ans, M. Bannon a remis en question la légalité du processus qui lui a permis d'obtenir cette nationalité.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/la-galaxie-maga-veut-faire-expulser-elon-musk-des-etats-unis/ar-AA1GrJQA?ocid=msedgdhp&pc=ENTPSP&cvid=16aae10bcecd46b3a226f664b6634412&ei=15
Gavin Newsom défie Trump : le gouverneur californien transforme la crise en tremplin pour 2028
Ce bras de fer représente une « opportunité politique » selon Jeff Le, ancien responsable démocrate, permettant à Newsom de « souligner les différences flagrantes » avec Trump, rapporte l'AFP. Le ton de défiance adopté devrait ravir la base démocrate qui cherche « désespérément un battant ». Newsom, ancien maire de San Francisco aux cheveux gominés et sourire impeccable, tente depuis quelque temps de se faire connaître nationalement, notamment via un débat télévisé l'an dernier contre le gouverneur républicain Ron DeSantis sur Fox News.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/gavin-newsom-d%C3%A9fie-trump-le-gouverneur-californien-transforme-la-crise-en-tremplin-pour-2028/ss-AA1GvFq7?ocid=msedgdhp&pc=ENTPSP&cvid=49a711a6653245b1bb79ff94943bf4ca&ei=6#image=2
Trump dévoile son empire financier
Principaux renseignements
World Liberty Financial, lié à la famille Trump, a généré 57,35 millions de dollars (49,6 millions d’euros) grâce à la vente de jetons.
Les complexes de golf de Trump ont rapporté collectivement au moins 217,7 millions de dollars (188 millions d’euros), le Trump National Doral à Miami étant celui qui a gagné le plus.
Le président a déclaré des revenus provenant de sa collection NFT, pour un total de 1,16 million de dollars (1 million d’euros), et des redevances provenant de divers contrats, comme une Bible qu’il a endossée.
Plus de 600 millions de dollars de revenus
La récente déclaration financière du président Donald Trump révèle un vaste empire englobant des crypto-monnaies, des complexes de golf et des contrats de licence, générant plus de 600 millions de dollars (519 millions d’euros) de revenus au cours de l’année 2024. Bien qu’il affirme que ses entreprises sont détenues en fiducie par ses enfants, les documents déposés mettent en évidence la façon dont les revenus reviennent finalement au président, ce qui soulève des inquiétudes quant à d’éventuels conflits d’intérêts.
Les entreprises de crypto-monnaies de Trump
La divulgation met en lumière l’incursion de Trump sur le marché des crypto-monnaies, avec World Liberty Financial, une entreprise de crypto-monnaie liée à sa famille, générant 57,35 millions de dollars (49,6 millions d’euros) grâce à des ventes de jetons. Trump a également déclaré posséder 15,75 milliards de jetons de gouvernance dans le projet. Alors que ces entreprises mettent en évidence les profits potentiels des marchés émergents, les critiques affirment que les changements de politique américaine sous la présidence de Trump ont bénéficié de manière disproportionnée à ses propres investissements dans les crypto-monnaies.
Complexes de golf
Les complexes de golf de Trump continuent d’être une source importante de revenus, générant au moins 217,7 millions de dollars (188 millions d’euros) collectivement. Le Trump National Doral à Miami a émergé en tant que premier bénéficiaire avec 110,4 millions de dollars (95,5 millions d’euros) de revenus. La divulgation a également révélé des projets internationaux, notamment des droits de licence pour des projets au Viêt Nam, en Inde et à Dubaï, illustrant ainsi la portée mondiale de la marque Trump.
Au-delà de l’immobilier et du golf, les sources de revenus de Trump comprennent des redevances provenant de divers contrats, tels qu’une Bible endossée par lui et Lee Greenwood, les montres Trump, les chaussures de sport et les parfums Trump. Le président a également déclaré des revenus provenant de sa collection NFT, d’un montant total de 1,16 million de dollars (1 million d’euros), tandis que la première dame, Melania Trump, a généré environ 216 700 dollars grâce à ses propres droits de licence NFT.
Un tableau complet
La divulgation dresse un tableau complet de l’empire financier de Trump, qui englobe divers actifs et génère des revenus substantiels. Toutefois, les implications éthiques des revenus qui reviennent au président pendant qu’il exerce ses fonctions restent un sujet de débat.
https://www.msn.com/fr-be/finance/affaires/trump-d%C3%A9voile-son-empire-financier/ar-AA1GKCGY?ocid=msedgntp&pc=LCTS&cvid=289bd02f80c945ddb89833a8a3871b3c&ei=10
Trump dévoile son empire financier
Principaux renseignements
World Liberty Financial, lié à la famille Trump, a généré 57,35 millions de dollars (49,6 millions d’euros) grâce à la vente de jetons.
Les complexes de golf de Trump ont rapporté collectivement au moins 217,7 millions de dollars (188 millions d’euros), le Trump National Doral à Miami étant celui qui a gagné le plus.
Le président a déclaré des revenus provenant de sa collection NFT, pour un total de 1,16 million de dollars (1 million d’euros), et des redevances provenant de divers contrats, comme une Bible qu’il a endossée.
Plus de 600 millions de dollars de revenus
La récente déclaration financière du président Donald Trump révèle un vaste empire englobant des crypto-monnaies, des complexes de golf et des contrats de licence, générant plus de 600 millions de dollars (519 millions d’euros) de revenus au cours de l’année 2024. Bien qu’il affirme que ses entreprises sont détenues en fiducie par ses enfants, les documents déposés mettent en évidence la façon dont les revenus reviennent finalement au président, ce qui soulève des inquiétudes quant à d’éventuels conflits d’intérêts.
Les entreprises de crypto-monnaies de Trump
La divulgation met en lumière l’incursion de Trump sur le marché des crypto-monnaies, avec World Liberty Financial, une entreprise de crypto-monnaie liée à sa famille, générant 57,35 millions de dollars (49,6 millions d’euros) grâce à des ventes de jetons. Trump a également déclaré posséder 15,75 milliards de jetons de gouvernance dans le projet. Alors que ces entreprises mettent en évidence les profits potentiels des marchés émergents, les critiques affirment que les changements de politique américaine sous la présidence de Trump ont bénéficié de manière disproportionnée à ses propres investissements dans les crypto-monnaies.
Complexes de golf
Les complexes de golf de Trump continuent d’être une source importante de revenus, générant au moins 217,7 millions de dollars (188 millions d’euros) collectivement. Le Trump National Doral à Miami a émergé en tant que premier bénéficiaire avec 110,4 millions de dollars (95,5 millions d’euros) de revenus. La divulgation a également révélé des projets internationaux, notamment des droits de licence pour des projets au Viêt Nam, en Inde et à Dubaï, illustrant ainsi la portée mondiale de la marque Trump.
Au-delà de l’immobilier et du golf, les sources de revenus de Trump comprennent des redevances provenant de divers contrats, tels qu’une Bible endossée par lui et Lee Greenwood, les montres Trump, les chaussures de sport et les parfums Trump. Le président a également déclaré des revenus provenant de sa collection NFT, d’un montant total de 1,16 million de dollars (1 million d’euros), tandis que la première dame, Melania Trump, a généré environ 216 700 dollars grâce à ses propres droits de licence NFT.
Un tableau complet
La divulgation dresse un tableau complet de l’empire financier de Trump, qui englobe divers actifs et génère des revenus substantiels. Toutefois, les implications éthiques des revenus qui reviennent au président pendant qu’il exerce ses fonctions restent un sujet de débat.
https://www.msn.com/fr-be/finance/affaires/trump-d%C3%A9voile-son-empire-financier/ar-AA1GKCGY?ocid=msedgntp&pc=LCTS&cvid=289bd02f80c945ddb89833a8a3871b3c&ei=10
L’action de Tesla en chute libre : la production du Cybertruck et du Model Y est arrêtée, que se passe-t-il vraiment ?
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/l-action-de-tesla-en-chute-libre-la-production-du-cybertruck-et-du-model-y-est-arr%C3%AAt%C3%A9e-que-se-passe-t-il-vraiment/ss-AA1H9uar?cmp_prftch=2&ocid=msedgdhp&pc=ENTPSP&cvid=c4d0a463601246eca19b171442855aef&ei=8
Musk se dispute avec sa propre IA, qu'il juge trop à gauche
Elon Musk est intervenu ce week-end sur son réseau social X, alors qu’un nombre croissant d’utilisateurs exprimaient leur mécontentement envers l’IA Grok.
Celle-ci, en réponse à plusieurs questions sur la fréquence de la violence politique attribuée à la gauche, indiquait plutôt que la droite semblait davantage responsable, un «fact-check» qui a déclenché de vives critiques, y compris de la part de Musk lui-même, visiblement agacé par sa propre intelligence artificielle.
C’est la question d’un utilisateur posée à Grok «Depuis 2016, la gauche ou la droite a-t-elle été plus violente?» qui a suscité une réaction ironique de Musk, qui a accusé l’IA de prendre ses réponses directement dans les médias traditionnels.
Grok a notamment répondu que: «Depuis 2016, les données suggèrent que la violence politique provenant de la droite a été plus fréquente et plus meurtrière».
L’IA a ensuite cité plusieurs exemples pour appuyer ses propos, concluant que ces actes avaient «causé un nombre important de morts»
Musk a alors réagi en commentant directement sous la réponse de Grok: «Échec majeur, car c'est objectivement faux. Grok répète les médias traditionnels». Pas très gentil pour sa propre création...
Le milliardaire a ensuite terminé ce message avec «Je travaille dessus», laissant entendre qu’il comptait corriger l’orientation de son IA. Pourtant, selon les données du Center for Strategic and International Studies (CSIS), environ 75% des actes de violence politique aux États-Unis depuis 2016 ont été attribués à des extrémistes de droite, contre environ 20% pour l’extrême gauche. Ces chiffres, bien qu’ils alimentent la controverse, reflètent une tendance documentée par plusieurs organismes de sécurité.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/musk-se-dispute-avec-sa-propre-ia-qu-il-juge-trop-%C3%A0-gauche/ss-AA1H9McZ?cmp_prftch=2&ocid=msedgdhp&pc=ENTPSP&cvid=d12f65b3bfb54aedbc535e44b403f7e1&ei=19#image=1
Un examen de la récente vague de grâces accordées par Trump indique que des crimes tels que l'évasion fiscale, la corruption et la fraude électronique n'ont apparemment que peu de poids moral pour l'actuel président américain.
L'examen de cette série de grâces nous indique quels sont les crimes que Donald Trump ne considère pas vraiment comme un problème : l'évasion fiscale, la corruption et la fraude.
Paul Walczak : reconnu coupable de fraude fiscale, cet ancien dirigeant de maison de retraite de Palm Beach Gardens, en Floride, a été condamné à 18 mois de prison et à devoir restituer près de 4,4 millions de dollars. Et pourtant, il a reçu une grâce complète de Donald Trump.
Selon le New York Times, la grâce est intervenue peu après que la mère de Walczak — une importante donatrice de Trump — a assisté à un dîner à 1 million de dollars par personne dans la résidence du président à Mar-a-Lago.
Le timing a suscité des interrogations et mis en lumière le caractère transactionnel de certaines décisions de grâce prises par Trump.
Scott Jenkins. Cet ancien shérif du comté de Culpeper, en Virginie, a été reconnu coupable en décembre 2024 de plusieurs crimes fédéraux, notamment de corruption et de fraude.
Selon AP News, Jenkins a accepté plus de 75 000 dollars de pots-de-vin de la part de civils non accrédités en échange de leur nomination en tant qu'adjoints au shérif, leur accordant ainsi des pouvoirs de police et des insignes de manière indue
Shérif républicain de 2011 à 2023, Jenkins a fondé le mouvement « Make Virginia Great Again », la section dans son État du mouvement radical trumpiste. Il a souvent fait la promotion d'opinions radicales sur Fox News et dans l'émission « War Room » de Steve Bannon
Trump a gracié Jenkins, qu'il a qualifié de "victime du zèle excessif du Département de la Justice sous Biden", note Ax
les stars de la téléréalité Todd et Julie Chrisley. En 2022, ce couple a été reconnu coupable d'avoir escroqué des banques à hauteur de 30 millions de dollars et d'avoir pratiqué l'évasion fiscale, indique Vanity Fair. Todd avait été condamné à douze ans de prison et Julie à sept ans.
Fervente partisane de Trump, leur fille, Savannah Chrisley, a affirmé que les poursuites contre ses parents avaient été motivées par des raisons politiques, selon Fox News.
la jeune femme a indiqué que Trump avait appelé en personne pour annoncer la nouvelle de leur grâce. Comme l'a noté Page Six, il a décrit le couple comme des "personnes formidables" qui avaient reçu "un traitement assez dur".
Michele Fiore, une ancienne conseillère municipale de Las Vegas, a été reconnue coupable en octobre 2024 de sept crimes fédéraux, dont celui de détournement de fonds.
Selon Las Vegas News, Fiore a été reconnue coupable d'avoir détourné plus de 70 000 dollars de dons caritatifs destinés à un mémorial pour un officier de police. Elle a utilisé les fonds pour ses dépenses personnelles, comme des opérations de chirurgie esthétique, son loyer et même le mariage de sa fille.
Donald Trump lui a accordé une grâce complète, ayant une nouvelle fois imputé la condamnation au zèle du Département de la Justice sous les Démocrates.
Fiore a longtemps servi de relais à son programme politique. Hilary Barrett, la dirigeante du Parti démocrate du Nevada, a dénoncé une grâce "irresponsable", qu'elle qualifie de "gifle" pour les forces de l'ordre, selon KFVS 12 News.
la clémence est accordée à des individus ayant des affiliations politiques ou des liens financiers substantiels avec le mouvement MAGA.
Il semble presque qu'il y ait une formule magique pour obtenir la carte "sortie de prison gratuite". Vous voulez une grâce de Trump ? Vous n'avez qu'à voler de l'argent pour vous enrichir, rejoindre le mouvement MAGA, puis, lorsque vous avez des ennuis, prétendre être poursuivi à cause de vos opinions politique
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/favoritisme-et-fortune-ce-que-les-gr%C3%A2ces-accord%C3%A9es-par-trump-disent-vraiment-sur-le-pouvoir/ss-AA1GbTHj?cmp_prftch=2&ocid=msedgntp&pc=LCTS&cvid=f28e2ccc01344a5682b46a5c2e98db3f&ei=14#image=1
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