Une fin en soi (22/12/2012)
Jour +1, après la fin du monde. L'apocalypse googlée et tweetée convertie en une fin en soi. Et si on créait un conte de Noël avec l'aide de la Science?
Un "Science et Vie", hors série, s'accordait une spéciale "Fin du monde" en décembre.
Notre Terre et la vie ont failli disparaître par cinq fois, il y a entre 443 millions et 65 millions d'années.
Dans l'ère moderne, ce n'était pourtant que la 183ème fin du monde annoncée.
En mars 2011, après avoir parlé des Mayas, je revenais sur cette grande peur de 2012. A l'époque, un "Science et Vie Junior" pouvait effrayer les Juniors avec une rumeur, bien que l'humour enrobait, heureusement, leur texte pour l'excuser.
Ce mois-ci, changement de décor.
Le "GEO Ado" avait pour page de garde: "C'est pas la fin du monde". Le jeune Antoine de 11 ans s'y exprimait ainsi: "Je n'y crois pas trop, mais c'est flippant. J'ai découvert beaucoup de théories sur la glaciation, les inondations. Alors, autant en profiter.".
Ouf... En voilà un qui avait trouvé le palliatif ou son antidote...
Pour moi, le solstice d'hiver avec ses froidures me suffit amplement.
Que faire le jour de la fin du monde?
Le monde est de plus en plus vulnérable selon le Forum économique mondial (WEF).
Les réponses en commentaires proposaient quelques idées "fantasmagoriques", comme aurait pu le dire Dali.
En film, l'"Apolcalypse selon vous" s'animait sous différents angles de l'imagination.
Faire des vœux avec un café serré?
Avec l'humour en porte-bagages?
Non, plus la peine, ce fut un faux bond. Un pétard mouillé de l'"Apocalypse show" préparé par des 'fous du calendrier' qu'étaient les Mayas, qui n'avaient même pas prévu leur propre disparition!!!
ARTE consacrait la journée du 21, en parlant du village de Bugarach, "là où le monde s'arrête dans un ultime prime time". Tout cela pour accoucher d'une délivrance et d'une souris.
Le dernier "Question à la une" se préoccupait du prix des bulles de champagne, avant la rediffusion de l'émission, d'il y a un an, jour pour jour, et qui faisait, déjà, le buzz de cette fin du monde.
Non, vraiment, difficile de trouver un média qui ne parlait pas de l'Apocalypse avec des arguments, plus farfelus les uns que les autres et dans un véritable business de la peur.
Pourtant, à y réfléchir, la fin du monde, elle existe, bel et bien, pour plus de 158.000 personnes, chaque jour, d'après les statistiques. Une fin naturelle, accidentelle ou, dite avec plus d'humour à des enfants, qui survient quand on oublie de respirer.
Une "fin en soi" qui devient une "fin pour soi", en quelques sortes.
Tout change et tout reste de même dans un mélange de passé, de présent et de futur, trimbalés ensemble, en fin de course, entre souvenirs du passé et espérances du futur.
C'est alors, que je me suis rappelé du premier épisode de "La magie du cosmos (à voir, la vidéo)" qui m'avait passionné lors de sa première diffusion sur ARTE.
Elle parlait en résumé de: L'illusion du temps.
"Le temps, une dimension que nous ne comprenons pas vraiment qui gouverne notre vie, que nous mesurons avec une précision croissante depuis des millénaires en suivant le mouvement répétitif de la Terre et qui demeure encore l'un des plus grands mystères de la physique. La perception de son flux continu n'est rien d'autre qu'une illusion. Albert Einstein fut le premier qui fait voler en éclats l'hypothèse d'Isaac Newton sur un temps universel. Le mouvement dans l'espace affecte son écoulement avec une connexion fondamentale entre espace et temps, induisant au passage que passé, présent et futur existent de la même manière et sans distinction ! Plus on a de l'un, moins on a de l'autre. Le temps présent, passé et futur ne s'écouleraient pas, mais seraient comme gelés. Le passé n'a peut-être pas disparu et le futur existe peut-être déjà. Seul le présent est vécu avec une impression que les choses changent dans une perception sélective de tranches de temps
Si un extraterrestre, très éloigné, s'écartait de la Terre, il déviera vers le passé, tandis que s'il s'en rapprochait, ce sera vers le futur. un Le rêve serait de voyager dans le temps par un trou de verre qui passerait d'un espace-temps. La flèche du temps reste pourtant irréversible alors que les équations physiques ne sont pas limitées, elles, en inversant la vitesse. Remonter jusqu'au Big Bang, c'est aller vers le passé. Après lui, l'Univers est parti dans sa phase d'expansion dans un désordre croissant qui s'accélère, jusqu'au moment où le passé deviennent hors de portée, rendant ainsi le temps inexistant et le futur avec lui. A la fin, dans des milliards d'années, la matière aura vécu, transformée en antimatière. Le temps n'existera plus, dans la paix du vide et des trous noirs.".
Vous n'êtes pas soufflé en lisant cela?
Attention, la physique peut rendre fou ou rêveur. Quoique qu'entre les deux, je préfère la deuxième option.
Le cinéma a toujours aimé ce genre de film d'anticipation par la science fiction. En 1985, "Back to the future"... et tant d'autres.
Tant qu'il y a de l'originalité imaginative, on en redemande...
Il y a près de vingt ans, un autre film, "Un jour sans fin", imaginait la situation de quelqu'un qui "à chaque fois que le réveil sonnait, c'était la même journée qui recommençait pour lui. Il restait bloqué dans le temps jusqu'à ce qu'il ait donné un sens à sa vie.".
Donner un sens à sa vie le "Groundhog day" ("Jour de la marmotte")?
Facile à dire, direz-vous.
Quand je pense à mon banal réveille-matin numérique qui m'indique le temps mais par deux voies différentes: l'heure affichée sur l'appareil qui m'est utile pendant la journée et l'heure projetée au plafond, pendant la nuit. Il y a de quoi avoir des doutes quant à ce qu'il me donne comme heures...
Le plus souvent, les heures sont identiques, mais, ce serait sans compter sur les fantaisies de ce réveille-matin.
Ce matin, une nouvelle fois, il m'indiquait deux heures complètement différentes. Ce n'était pas un retard de l'une par rapport à l'autre, mais une réinitialisation qui s'était produite la veille à l'heure du plafonnier.
Je me réveillais, donc, avec l'affichage au plafond des chiffres qui indiquaient "21:35". J'étais, ainsi, arrivé sur un autre fuseau horaire. La cause: une électricité statique provoquée par un mouvement des couvertures qui mal digérée, avait perturbé l'horloge dirigée vers le plafond.
D'imaginer sortir de l'espace-temps par téléportation, il n'y avait qu'un pas, vite franchi dans l'obscurité de la chambre.
D'abord, ce fut une pensée pour Bob, le héros de mon roman "Vengeance au futur antérieur" qui, lui, vit à San Francisco, justement, dans ce fuseau horaire.
- Que faisait-il, ce soir-là, devant son ordinateur? Commençait-il à préparer la dinde de Noël?
En combinant le tout, cela donnerait quoi?
Un conte de Noël?
Il fallait aller encore plus loin et chercher autre chose.
Le temps, une illusion, était-il dit dans le documentaire. L'illusion, sans verser dans l'anamorphisme?
Un beau départ pour un conte, non?
Alors, tout d'abord, pour mettre en appétit, une question bête: "Pourquoi le Père Noël ne change-t-il pas, d'année en année, malgré son grand âge et qu'il affiche toujours une santé de fer?"
- « Il faut continuellement commencer par la fin. », Stanislaw Jerzy Lec
- « Mieux vaut un but sans fin qu'une fin sans but. », Anonyme
- « La vie, c'est comme un tour de manège dans un parc d'attraction. On continue l'aventure en se disant que c'est réel car notre esprit détient ce pouvoir. Quelle importance, d'ailleurs, puisqu'on peut changer le manège à tout moment entre la peur et l'amour", Bill Higgs
Commentaires
L'APOCALYPSE, ÇA VA BIEN SE PASSER
Au-delà du folklore, que signifie cette obsession de l'anéantissement du monde ? Si nous craignons à ce point l'apocalypse, n'est-ce pas qu'au fond, nous la désirons secrètement ? Après tout, la fin du monde n'est jamais que le début d'une nouvelle ère. Certains, en tout cas, sont enclins à s'y abandonner joyeusement. C'est à la rencontre aux quatre coins de la planète de ces sages ou de ces iconoclastes que part ce film.
http://videos.arte.tv/fr/videos/l-apocalypse-ca-va-bien-se-passer--7140700.html
Écrit par : L'enfoiré | 22/12/2012
Un discours de Noël du Roi très rationnel, très traditionnel.
Pas de Père Noël qui vient des fins fonds de l'espace ni du temps.
« Montrons-nous lucides face aux discours populistes »
Appeler à la lucidité face aux discours populistes et mettre en garde contre la tentation de trouver des boucs émissaires
Après deux discours de Noël marqués par la crise politique (2010 et 2011), on s’attendait à un discours royal moins politique. Il n’en a rien été !
Une référence aux années 30
Si le Roi a consacré la quasi-intégralité de ses propos à la crise économique, le passage le plus remarqué de son intervention est sans conteste celui évoquant « les discours populistes ».
« En ces temps perturbés que nous vivons, soyons vigilants, et montrons-nous lucides face aux discours populistes. Ils s’efforcent toujours de trouver des boucs émissaires à la crise, qu’il s’agisse de l’étranger ou des habitants d’une autre partie de leur pays. Ces discours existent aujourd’hui dans de nombreux pays européens et aussi chez nous. » Une allusion à peine voilée aux discours tenus, au nord du pays, par la N-VA.
Mais le souverain va plus loin. « La crise des années 30 et les réactions populistes de cette époque ne doivent pas être oubliées. On a vu le mal que cela fit à nos démocraties. » Est-il besoin de rappeler que, le soir des élections, la marche de la N-VA vers l’hôtel de ville d’Anvers, a été comparée, par de nombreux observateurs, à des scènes tristement célèbres des années 30 ? Une interprétation qui fait du reste bondir Bart De Wever...
Ce passage du discours royal ne devrait donc pas manquer de susciter quelques réactions politiques...
Un appel aux partenaires sociaux
Avant cela, le Roi, qui avait l'air très fatigué, avait consacré un très long moment à la crise économique. Ses premiers mots furent d’ailleurs pour « les milliers de travailleurs qui ont perdu leur emploi, que ce soit à Ford Genk ou dans la sidérurgie wallonne ».
Exprimant son empathie, le Roi s’est aussi voulu volontariste. « Comment pouvons-nous réagir ? », a lancé le souverain, avant d’énumérer des pistes d’action. Un : « tous les acteurs de la société belge doivent unir leurs forces, pour présenter des réponses crédibles aux défis de l’emploi. » Soulignant les mesures prises par le gouvernement fédéral pour améliorer la compétitivité des entreprises, le Roi a aussi mis en exergue un thème qui lui est cher : la nécessaire revalorisation de l’enseignement technique.
Mais surtout, alors que la concertation sociale est en panne, pour l’heure, en Belgique, le Roi a lancé un appel aux partenaires sociaux : « ils peuvent jouer un rôle important en élaborant des propositions communes en faveur de l’emploi ». Avis aux syndicats et patrons !
Au passage, le Roi a aussi souligné la nécessité d’assainir les finances publiques. Avec cette petite phrase : « Les autorités fédérales viennent de prendre des décisions importantes à ce propos ». « Fédérales », comme pour souligner l’absence d’effort suffisant fourni par les entités fédérées, maintes fois dénoncé par les autorités fédérales.
L’intégrité du territoire congolais
Le Roi a conclu son discours par un couplet international, lui aussi plutôt engagé. « Je suis consterné de voir que les drames des populations dans l’Est du Congo se poursuivent, avec tant de violences et de réfugiés, et que l’intégrité du territoire congolais n’est pas respectée. » Et de conclure en évoquant la tentative d’assassinat du Docteur Mukwege, « qui illustre de façon dramatique cette tragédie ».
http://www.lesoir.be/143594/article/actualite/belgique/2012-12-24/albert-ii-%C2%AB-montrons-nous-lucides-face-aux-discours-populistes-%C2%BB
Écrit par : L'enfoiré | 24/12/2012
Près de 12.000 paiements par minute ont été enregistrés en cette veille de Noël.
Rien n'est donc totalement perdu.
Le Père Noël pourra repartir.
Rendez-vous avec lui dans huit ans.
Écrit par : L'enfoiré | 24/12/2012
Une rencontre avec un Père Noël finlandais qui serait à louer
http://videos.arte.tv/fr/videos/pere-noel-a-louer--7139894.html
Écrit par : L'enfoiré | 27/12/2012
Heureusement on a survécu encore une fois «fin du monde». Dans la nouvelle année, je vous souhaite tout le meilleur, beaucoup d'inspiration, de la santé et de la joie.
Greetings from Poland :)
Écrit par : Agnieszka | 28/12/2012
Merci, Agniszka,
Je vous réciproque vos voeux.
Ce matin, est parti mes propres voeux à la belge.
La Belgique et Bruxelles que vous avez appris à connaitre.
Greetings from Belgium to Poland
Écrit par : L'enfoiré | 28/12/2012
Quels sont les cadeaux que les enfants voudraient pour Noël? 'Un papa'...
« Un Papa » est le dixième cadeau le plus demandé par les enfants britanniques, lorsqu’ils font leur liste pour le Père Noël. « Une Maman » n’arrive en revanche qu’à la 23ème position. C’est le résultat d’un sondage effectué auprès de 2000 parents britanniques d’enfants âgés de 3 à 12 ans, mené dans les magasins Westfield de Londres et de Stratford. Le cadeau le plus demandé est un petit frère ou une petite sœur. Les enfants réclament ensuite un renne (seconde demande en fréquence), puis un cheval, et une voiture en quatrième choix.
Les enfants voudraient également du chocolat ou un chien, et d’une manière générale, les demandes pour des animaux trustent 17 des 50 demandes les plus fréquentes. Certains enfants sont même très imaginatifs, réclamant un âne, un éléphant, voire une poule.
Les enfants les plus pratiques réclament une maison, et les geeks en culotte courte souhaitent avoir des iPhones et des iPads. Enfin les plus rêveurs veulent de la neige, la lune, ou une machine à remonter le temps.
Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=quels-sont-les-cadeaux-que-les-enfants-voudraient-pour-noel-un-papa&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 29/12/2012
La magie du cosmos… Une drôle d'émission,
Une diffusion de sciences à la télévision…
Tout au moins un essai… Après tellement d'autres
Qu'on voudrait pour une fois que cela réussisse…
Et il faudrait d'abord que quelques-uns choisissent
Ceux qui décideront si cela l'est ou non !
Mais ici-bas sur terre tout est si compliqué
Qu'il faudrait au cosmos emprunter la magie…
Alors décidons seul et je donne mon avis !
La magie… Le cosmos… Des mots qui font rêver…
On est bien dans les rêves où l'on dort à moitié
Et l'on ne sait jamais comment ça va finir…
Mais on pense toujours qu'on pourra s'en sortir
Juste en poussant la porte pour être réveillé.
La magie du cosmos… Des physiciens qui rêvent…
On disait autrefois qu'on se saoulait de mots
Maintenant les savants le font de leurs idées
Et vont encore plus loin dans l'étourdissement.
Mais sont-ils des savants, ces gens qui parlent fort
D'idées très exotiques dont ils savent si peu…
Usent de mots cachés dans les nuages d'images.
La magie du cosmos… Serait aussi cachée
Dans ces récits filmés de savants qui nous parlent
Au milieu des éclairs de lumières très brutales,
D'images répétées qui ne veulent rien dire…
Ou peuvent servir à tout, dans le rien du début
Jusqu’au tout dernier bout dont on ne voit plus rien…
Assénées, renforcées par musiques et bruits
Qui remplissent tout l'écran et rendent mal à l'aise.
Ils sont bien installés dans leurs raisonnements
Dont l'intérêt premier est le mystère qu'ils créent,
Dans lequel on s'enfonce sans tenter d'en sortir…
Ils croient nous étonner… Bien sûr que nous le sommes !
Leurs phrases sont pleines de mots ajoutés bout à bout,
Sans leur donner vraiment de signification.
De tant d'étonnements nous ne retenons rien…
C'est bien trop difficile… Est-ce que c'est dans leur but
De vraiment nous apprendre un peu de l'univers,
Ou bien dès le début ils y ont renoncé ?
Nous sommes trop ignorants… L'envie ne suffit pas
Pour rejoindre le monde des savants initiés !
Il faut être choisi. Là, tout ce qu'on nous montre
C'est la cosmologie… Elle n'est pas de science,
Cette accumulation de diverses croyances
Dont personne ne peut dire quelle part de vérité
Soutient les quelques faits qui nous sont racontés.
C'est souvent peu de chose, des idées raccrochées
Que l'on rhabille un peu et qu'on mathématise…
Et sans qu'on sache comment, on obtient des formules
Qui, sans contrôle possible, sont juste celles qu'on cherchait…
L'étude de l'univers n'est permise qu'aux matheux,
Disent certains d'entre eux, ou les nouveaux élus
Qui croient qu'ils ont compris et en savent autant qu'eux…
Quand on commence, il faut prouver qu'on sait les maths,
Comme s'il fallait refaire les calculs de Maxwell
Ou vérifier d'Einstein la relativité…
Tous leurs calculs sont bons… C'est le moins qu'ils pouvaient !
Mais les bases, que sont-elles ? On n'en parle jamais…
Est-ce là que serait la magie du savoir ?
Ou les grosses erreurs que l'on ne peut pas voir ?
Bien sûr, beaucoup le savent ou ils s'en doutent un peu,
Mais c'est tellement simple d'accepter les montages,
De si belles théories, semblant tout expliquer,
Mais là-bas loin de nous… Au-delà du fossé
De toute notre ignorance… Qui aurait le courage
D'exprimer quelques doutes et saurait le montrer
À ceux dont les idées volent au-dessus de nous
Si loin dans le cosmos ? Qui pourrait enlever
Le petit à-peu-près qui tient tout l'édifice ?
Qui vraiment oserait donner un coup de pied
Dans le château de sable ou la grande fourmilière ?
Ce n'est pas très facile et seul c'est impossible !
Le monde de la science a bien horreur du vide !
Faut-il pour démolir avoir déjà trouvé
Tout ce qui remplira ou cachera le trou ?
Les belles et grandes choses sont faites souvent d'un coup…
Mais on peut commencer par une simple idée,
Qui se développerait des qu'elle serait lâchée,
Comme un enfant prodigue étonne ses parents…
On ne sait jamais rien. Seulement on croit savoir.
Et l'on ne vit toujours que par toutes les croyances
Qui ne doivent jamais être tant exclusives,
Qu'elles gêneraient l'esprit dans le choix des idées…
Les siennes ou celles des autres… Toutes valent la peine
Au moins d'être étudiées… Dites-le aux savants
Qui savent déjà tout…
Et puis, bien calmement,
Sans éclairs de paroles, de lumière et de bruit,
Des atomes aux étoiles, du encore plus petit
À l'Univers si grand… Rêvons au firmament,
Entre une magie cosmique et un cosmos magique.
Écrit par : Boningal | 08/03/2013
Qui se souvient encore des films sur le Cosmos de Carl Sagan qui faisaient rêver à la télévision?
Une phrase qui vient de l'article "La théorie du tout'( http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2008/12/18/la-theorie-du-tout.html )
Quand j'en ai parlé dans un article, j'avais donné les liens de deux vidéos de Sagan.
Après les avoir essayé, ma déception fut de ne plus les voir exister.
J'ai retrouvé celle là The most pertienent messages for humanity"
http://www.youtube.com/watch?v=hLkC7ralR30
Une sorte de testament avant l'heure.
Écrit par : L'enfoire | 08/03/2013
Voyage dans le temps, encore
Story
Le prochain "Star Trek into darkness" de J. J. Abrams, sort en juin. Retour sur cet univers côté ciné, soit une dizaine de films dont l'action se situe au XXIIIe siècle.
Audioguide
Direction Tataouine, en Tunisie, décor de certaines séquences de la série "Star Wars", avec un guide local pas cinéphile pour un sou !
Champs/contre-champs
Les tribulations du morceau "Space oddity" de David Bowie, contées par Éric Dahan, critique musical à Libération et auteur d'un documentaire sur le chanteur.
Story bis
Sorti fin 2012, "Looper", de Rian Johnson, plonge Bruce Willis dans un univers de science-fiction multicouches. Un film au scénario complexe, dur à "pitcher" !
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Voyage spatio-temporel avec Claude Vorilhon, alias Raël, en 1994, sur le plateau gréco-romano-futuriste de Thierry Ardisson.
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Film d'anticipation, "Orange mécanique" de Stanley Kubrick choque dès sa sortie en 1971, au point d'être interdit en salles en Angleterre jusqu'en 1999 !
Supercocktail
La recette de la star anachronique, ce cocktail rétro et moderne à la fois, qui permet aux vedettes pop de durer plus d'une saison !
Dress code
Comment s'habiller pour voyager dans le temps ?
http://videos.arte.tv/fr/videos/personne-ne-bouge--7363586.html
Écrit par : L'enfoire | 11/03/2013