Le climat par l'intérieur ou par l'extérieur (28/05/2013)

Marre d'entendre qu'après la pluie vient la pluie. Marre d'entendre parler du temps qu'il fait à toutes les sauces comme si c'était la seule discussion disponible. Non, ça ne me fait plus marrer... Prendre l'air, de l'altitude... voilà la solution.

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0.jpgDu climat, on ne parle plus que de ça à la télé, avant, pendant et après le journal du jour. 

Fin mars, on disait qu'on était encore trop près de hiver et qu'il fallait attendre un peu pour que tout change avec le printemps. L'hiver avait pris un peu trop de racines. Ok.

A un mois de l'été, la neige est retombée avec deux à 10 centimètres en Ardennes. On passe de record en record du froid avec le printemps. Le Guiness Book ne risque pas de se refermer. Certains se souhaitent déjà joyeux Noël avec un certain humour garanti sur facture.

Le vent et la pluie agissent de concert pour donner cette impression.

Les Belges en ont plein les bottes et la tête qui rayerait les murs sans gel fixant pour cheveux.

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Qui se souvient encore de "Jules MetzMonsieur météo"Lui, tous les joursavait sa petite citation après la météo. Innocente, ponctuée d'un dicton comme « À la Saint Jules, mauvais temps n'est pas installé pour longtemps"

Ce serait plutôt, aujourd'hui: "A la Sainte Glace, mets toi à la masse".

Un de ses collègues suiveurs a eu à répliquer aux insultes et s'est vu mis à pied avec le motif cinglant d'une "liberté d'expression incomprise".

On peut lire ailleurs "Brève apologie du froid de canard et du temps de chienPrintemps pourri, printemps béni. Songez seulement à ces corvées rituellement printanières dont la pluie – Allah est grand! – vous exonère.".

0.jpgPourquoi pas, "Allah, akbar"?

Boston est encore dans toutes les mémoires pour les 20 Kms de Bruxelles de dimanche dernier.

Il s'agit de réchauffer l'atmosphère, pas de la refroidir mais pas de la réchauffer avec le syndrome de Stockholm, nouvelle formule.

Les gagnants du climat morose, car il y en a, ce sont les agriculteurs qui n'auront plus de problèmes avec la nappe phréatique, les marchands de parapluies en fanatiques du déclic de l'ouverture automatique, les livreurs de mazout qui ne savent pourtant plus où donner de la tête, à coup de trop petites livraisons, les marchands de rêves de soleil garanti adressés aux prospecteurs missionnaires de pays exotiques. 

0.jpgLes autres, les "exclus" restent à l'intérieur en attendant rageusement que cela passe.

Ce qu'on prévoit fait froid dans le dos: "Ce printemps restera dans les annales comme l’un des plus froids pour l’Europe de l’Ouest.  Le printemps météorologique se termine le 31 mai, et le 1er juin marque le début de l'été pour les météorologues. Et l’été ne s’annonce guère mieux. Sur leur carte de prévisions météo, les météorologues annoncent que la Belgique et une partie de la France seront dans la zone bleue, qui se caractérise par des températures inférieures à la normale, pour les mois de Juin, Juillet et Août"Aujourd'hui, on assure tout, on syndicalise tout, on  harmonise tout, alors pourquoi pas le climat?

0.jpgLe bâton mais avec moins de carottes, écrivais-je, il y a longtemps. Avoir imaginer qu'à l'époque, on aurait, dans une avenir plus ou moins proche, des pensées de rotir au soleil dès le printemps suite au réchauffement climatique. J'ai presque honte de le rappeler. Je parlais, alors, des côtes au sud de l'Angleterre, avec de plus en plus de palmiers qui avaient remplacé les platanes et les chênes. Le  Gulfstream, il n'est plus ce qu'il était. Il a perdu la boussole dans le fond des océans, lui qui était chargé de nous adoucir un climat dit "tempéré". Depuis, les catastrophes naturelles s'emballent. A l'échelle mondiale, leurs coûts sont évaluées à 16,2 milliards de dollars par heure. Cela se traduit par des pertes économiques dans les pays riches et des pertes humaines dans les plus pauvres. Si les moyennes de température n'ont pas changé, c'est dans les extrêmes que tout chavire. Récemment, une tornade à Sainte-Maxime. Bien sûr, rien à voir avec la dernière aux États-Unis, mais cela apporte du grain à moudre pour un prochain film catastrophe. 

0.jpgLe 31 mars dernier, le film documentaire « Une vérité qui dérange » de Al Gore était rediffusé  sur Club RTL. Ce film datait de 2006, juste après l'ouragan Katrina. 

Ce film reliait le réchauffement climatique à l'augmentation du CO2, avec l'arrière goût de l’industrialisation des hommes.

Les scientifiques révèlent qu'au pôle Nord, les glaces continuent à fondre à raison de 250 Mégatonnes par an. Dégelées, les eaux douces s'écoulent dans l'océan sans se mélanger aux eaux salées. Arrivée au pole Sud, cette eau douce regèle et élargit l'espace de l'Antarctique de glace et renvoie la chaleur reflétée par cette nouvelle surface blanche.

En fait, de savoir cela, cela nous rend, peut-être, la jambe plus belle, mais pas l'envie de sortir dehors avec elle. 

Dernièrement, on apprenait que le taux de CO2 dans l'air est au plus haut depuis 3 millions d'années, au pliocène. Le seuil des 400 parties par million de particules de dioxyde de carbone avait été franchi. Pourtant la température moyenne mondiale semble stagner. 
Serait-ce un signe que le réchauffement climatique devient de plus en plus inquiétant ou le contraire?

1.jpgUn article de "The Economist" répondait en substance par le fait que le climat serait dépendant de plus de complexités que la seule augmentation du CO2. 

Le réchauffement ferait-il une pause? Remplacé par un refroidissement local dans notre Europe occidentale?

Les océans accusent l'augmentation de chaleur sans apparemment, beaucoup broncher à rendre tous les films catastrophes déjà réalisés, plutôt caducs.  

0.jpg"La chaleur, cette soi-disant, augmentation de la chaleur de l'océan et fait probablement d'un artefact dû aux immenses erreurs de mesures". Kevin Trenberth  doit être heureux que l'on reparle de lui.

Les climato-sceptiques sourient dans leur barbe, raillent avec le beau rôle de l'actualité. L'homme, impliqué, responsable de l'augmentation de CO2 et donc du réchauffement climatique, est pour eux une blague de mauvais goût. 

1.jpgSi climatologues et climato-sceptiques cumulent les bons et les mauvais points, les citoyens lambda fulminent, se disent de qui se moque-t-on et pensent que plus rien ne va plus, impair et passe. Ils n'en ont rien à cirer de savoir ce qui se passera après demain, c'est aujourd'hui et demain qui les intéressent plus. Le climat en 2085, tel qu'il est présenté, c'est loin même si c'est pour faire peur pour moins que ça.  

Pour appuyer leur thèse, les sceptiques disent "L’establishment climatique ne travaille que sur des moyennes et des indices qui n'expliquent rien. Une telle approche, réductrice et statique, ne permet pas d'appréhender la dynamique des échanges d'air et d'énergie".

Se poser la question de savoir de "Quel réchauffement?" s'agit-il, n'est ni innocent pour le GIEC, ni pour ses adversaires. Lobby contre lobby.

L'écologie traditionnelle doit avoir quelques soucis à se faire, envoyés dans les cordes dans deux documentaires présentés sur ARTE. 

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La fausse promesse d'une énergie propreD'ici à 2050, les fournisseurs d'électricité devront produire de l'énergie sans émettre de dioxyde de carbone (CO2). L'éolien et le solaire font naître des espoirs, alors qu'ils ne couvrent que 1 % de l'approvisionnement en énergie en Europe. En revanche, l'industrie du biogaz se développe. Seul souci: pour alimenter cette filière, il faut de la biomasse, matière organique, qui, après transformation, produira de l'énergie. À l'origine, celle-ci devait provenir des déchets agricoles. Mais, au final, les exploitants préfèrent cultiver du maïs, et utilisent pour cela... du fioul. L'essence consommée par les 7.500 centrales de biogaz allemandes génère ainsi 2,5 millions de tonnes de CO2 par an, des données qui n'entrent pas dans le bilan carbone de l'Union européenne. Cette céréale sert aussi de base aux biocarburants. En Europe, l'extension de la production se fait au détriment des parcelles en fourrage ou des tourbières qui constituent d'importantes réserves de CO2. Au Brésil, elle provoque la destruction de pans entiers de la forêt amazonienne, libérant au passage des tonnes de gaz à effets de serre. En Europe, les centrales thermiques sont censées remplacer le charbon par du bois, mais les résultats ne sont guère probants. Partout, des multinationales régissent le marché de l'énergie.0.jpg 

De l'argent propre avec de l'air polluéSuite au protocole de Kyoto, signé en 1997, les pays qui émettent peu de CO2 peuvent vendre des certificats aux pays qui en produisent d'importantes quantités.

Génial, si ce n'est que des dérives sont vite apparues. Au lieu de réduire les émissions de CO2, le dispositif les a favorisées. Depuis 2005, les certificats se négocient en bourse comme d'autres valeurs soumises aux lois du marché. L'Union européenne a accordé aux entreprises polluantes des droits de polluer pour 200 milliards d'euros. En contrepartie, elles devaient investir dans des technologies plus avares en CO2. Or, dans nombre de cas, elles ont tout simplement délocalisé leurs nocives activités vers des pays moins regardants. Par ailleurs, le cours du droit à polluer avec une tonne CO2 est fluctuant, pouvant passer de 30 à 7,5 €. Bonnes affaires en vue pour les brokers, ce plan soi-disant miracle de l'ONU: le Clean Development Mechanism !".
 

Un site entier est réservé aux articles sur le climat avec des polémiques bon chic, bon genre et du scepticisme de bon aloi.

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Ce qui est sûr, c'est que dans certaines parties du monde, le climat est trop complexe pour être prévisible à long terme. L'atmosphère est trop mouvante. Un jet stream, dévié, suffit pour influencer complètement le climat.

Construire un modèle général semble quasiment impossible. Les prévisions du temps diminuent de fiabilité plus on s'écarte du jour où on les fait. Des prévisions à sept jours au grand maximum, malgré les espoirs...

Le S&V de juin pousse une nouvelle alarme: le trou de la couche d'ozone qui avait disparu aux pôles en 1984, se serait comblé. Il y aurait même trop d'ozone et que cela posait des problèmes. A l'époque, comme on craignait une augmentation des cancers de la peau à cause des UV moins filtrés par l'ozone, les CFC avaient été bannis. Aujourd'hui, la stratosphère se refroidirait avec un trop plein d'ozone. Les UV seraient plus forts aux tropiques et diminueraient en intensité au fur et à mesure que l'on se rapproche des Pôles (étude de Richard Mc Kenzy). Moins d'UV, moins d'ensoleillement entre les deux, ce qui veut dire une pénurie de vitamine D en perspective pour les hommes. Un manque que certains pensent combler par des ampoules de vitamines D, par une luminothérapie artificielle et pour les plus fortunés, par des voyages aux environs de l'Equateur. Pas question de revenir en arrière et ressortir les CFC, évidemment. Quand on n'a pas d"idées gratuites, il faut avoir du pognon.    

0.jpgIl faut, résolument, chercher autre chose, d'autres arguments pour maintenir la confiance. Ce sera avec le S&V d'avril que des articles poussaient le traditionnel Eureka avec cette question: "Le réchauffement climatique ne se serait-il pas présenté sur une autre planète du système solaire sans la présence de l'homme?". 

Est-ce que se baser sur des équations universelles, permettrait d'établir un modèle plus générique, en observant les similitudes sur d'autres planètes? Comprendre les tempérances et les extrêmes climatologiques de la planète bleue et chercher des situations correspondantes sur d'autres planètes du système solaire, avec l'objectif d'atteindre des prévisions sur une longue durée, plutôt que de donner le temps qu'il fera la semaine suivante. Un nouvel espoir et une manière de contourner le problème par le credo des "astro-climatologues".

Une fois, fusionnés, on ne sait, d'ailleurs, plus très bien s'ils sont plus astronomes que climatologues.

0.jpgS'intégrer dans un modèle cosmique, plutôt que dans l'épiphénomène de la Terre, serait-ce un nouveau programme de convictions, de prêches et qui sait, de nouvelles suspicions?

Et, bien, non, dit-on, du côté scientifique, cela commence à marcher. Il n'y aurait plus qu'à extrapoler les phénomènes.

Troublant comme les "vues extra-terrestres" ont de l'imagination...

Sur Mars, la planète que l'homme espère très bientôt coloniser, de petites tornades de poussières expliquent la formation de nuages. Ces mouvements de poussières, de bas en haut, appelés "convections", sont produits par un air sec et froid alors que le sol est chauffé par le Soleil.  Depuis 1978, les sondes envoyées par Viking Orbiter ont pu observer le phénomène.

Sur Vénus, les conditions climatiques sont extrêmes. Avec 93 bars de pression, 470°C en surface, pas question de pouvoir visiter. Des nuages d'acide sulfurique, poussés par des vents du plusieurs centaines de kilomètres par heure, peuvent faire comprendre certains "défauts terrestres". La stratification de l'atmosphère devient une petite cause aux grands effets bien plus fameux que l'"effet papillon" terrestre.

0.jpgSur Saturne, c'est le gigantisme qui permet de modéliser la circulation de l'atmosphère lors de cyclones. Le 27 novembre dernier, la sonde Cassini a permis d'observer l’œil du cyclone saturnien qui couvrait 9 millions de kilomètres carrés avec des vents de 700 kms/h. Véritable vortex que l'on observe sur Terre, en plus petit, au dessus du pôle Sud, mais qui détermine les échanges de chaleur entre le pôle et le reste de la Terre. Le climat globalisé est dans le point de mire du laboratoire de météorologie dynamique, Aymeric Spiga!    

Le satellite Titan de Saturne permet de confirmer que le méthane a, tout comme l'eau, un cycle pour se régénérer. Sur Titan, il existe aussi des fleuves, des lacs, de la pluie, des nuages... mais constitués de méthane. Bien qu'avec des schémas différents, ce satellite est considéré comme une jumelle de la Terre.  

Le satellite Triton de Neptune préfigure l'avenir de la Terre et les effets de réchauffement par l'évaporation de sa calotte polaire. Elle possède une atmosphère et une calotte d'azote gelée qui ne fait que s'accentuer à mesure que la quantité de CO2 augmente. 

Autour du pôle de Jupiter, c'est à partir de son minuscule satellite IO et ses volcans en éruption et des particules chargées électriquement que sont à l'origine de gigantesques aurores boréales. L'interaction entre les deux astres proches est, donc, bien réelle. C'est remarquer que la chaleur modifie le climat à distance en perturbant les courants atmosphériques en colonnes d'air chaud plus hautes qu'elles ne le pourraient.

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En hiver, sur Terre, c'est peut-être une infime chance d'obtenir de 0,5 à 1°C en plus pour les pays continentaux comme la Russie, mais une baisse des températures en Europe de l'Ouest, alors que la moyenne du globe ne grimperait que de 0,01°C.

Il y a 126.000 années, le Groenland aurait mieux résisté que prévu au réchauffement, alors que la température était supérieure de 4 à 10°C à celle de notre époque. La fonte des glaces avait été limitée malgré une élévation du niveau des mers de deux mètres.

Un coup d'oeil dans les nuages et là, surprise, il y a de la vie dans leurs panaches blancs. De la biodiversité de vie, même. Des micro-organismes qui font aussi la pluie et le beau temps. Aux services de "noyaux de condensation", selon leur structure, ils entraînent alternativement le refroidissement et le réchauffement.

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Sur le plancher des vaches ou sous lui, les lombrics ont leur part de responsabilité sur le climat en diffusant les gaz à effets de serre, piégés dans le sous-sol, sous forme de CO2 et de NO2. Sous l'eau, le plancton joue, à 50%, le rôle d'un "enzyme glouton" du CO2 et malheureusement aussi, du plastique.

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Alors, enfoncer le clou des climatologues, des climato-sceptiques ou... dans la glace?

C'est du pareil au même.

Aller comme le Captain Cook à la découverte du Jardin d'Eden, en Syrie? Trop chaud, tout cela...

Ce weekend, deux journées portes ouvertes à l'Observatoire d'Uccle, à l'occasion du centième anniversaire de l'IRM. J'ignorais, mais cela va sans dire que cela tombait à pic pour leur dire ce qu'on pensait du climat et de leurs prévisions. Toutes les activités qui tournent autour de la climatologie, étaient représentées. 0.jpgEspace, soleil, planètes, évaporation, ballons-sondes, séismes, mesures des gaz à effet de serre... Tous pour un modèle, tous à la recherche d'une globalisation du climat en intégrant les données de centaines de points du globe dans des formules mathématiques. A la question pratique, "parviendra-t-on un jour obtenir des prévisions à longue échéance", la réponse fut "non, mais" ou quelque chose d'approchant. Pas de martingale en météorologie. Plus difficile encore que d'établir des statistiques de gestion, que d'extrapoler le seul passé dans l'avenir des entreprises. 

Au dehors, une éclaircie de quelques heures et c'était comme une fête. Les visiteurs souriaient avec le soleil revenu. Personne n'avait envie de les mettre au pied du mur.

Comme toujours, l'avenir radieux, il faut le rechercher dans les astres et temporiser sur Terre...

Une invention du para_sol_pluie_tonnerre, pour finir?

Et bien non. La spécialiste de la météo, Laurence, sous les traits de Nabilette, a inventé un truc génial: le banc solaire géant au dessus de Bruxelles:podcast

Sa conclusion judicieuse était: "C'est pas parce qu'il pleut qu'il ne faut pas vous déshydrater.".

A un conseil comme celui-là, difficile de résister...

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0.jpgPour dimanche, un autre événement et un conseil amusant: "20km de Bruxelles: habillez-vous «le plus léger possible»

Vêtements légers et courts, c’est ce que conseille Catherine Lallemand, triple vainqueur des 20kms de Bruxelles.

Dimanche, on s'attendait aux 20.000 mètres nage libre,  le ciel plombé mais pas une goutte. En coureur solitaire, j'ai fait partie de la claque à regarder la caravane passer.  Une nouvelle poule aux œufs d'or quand on pense aux retombées économiques pour le secteur de l'Horeca en plus des 20 euros de droit d'inscription. Un nouveau record, moins d'une heure pour le premier Kénian. Le prince Philippe, brassard 37.395 était là et a fait le parcours en 01:50La fête fut malheureusement endeuillée. 20 kms reste une épreuve. Une BA à mon actif: avoir prêté mon ciré jaune, à une dame qui, attendait et grelottait de froid. A suivre...

 

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Les 100 ans de l'IRM et les 20 kms en photos, c'est ici, en un clic...

 


 

 

L'enfoiré,

 

Article annexeL'exploration de Mars. puisque certains ont envie d'y aller sans espoir de retour.

 

Citations:

  • « Le monde est fait avec des astres et des hommes.  », Emile Verhaeren
  • « Un peu de honte réchauffe et donne de belles couleurs. », Proverbe néerlandais
  • « La météo c’est ce à quoi on s’attend, le climat c’est ce que nous obtenons. », Robert Heinlein 

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    Mise à jour 31 mai 2013: Ce matin-là, Laurence Bibot avait besoin d'un café serré (trop d'irish coffee) pour rencontrer un écolo. 

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    0.jpgLa carte de Belgique, sus-mentionnée, était là pour référencer les bières belges, pas pour toutes les tester en même temps. The buzz. Formidable, aussi, ce Stromae qui en a fait un autre de buzz.

     

     

    Mise à jour 23 juillet 2013: C'est la canne au cul, pardon les canicules. 35°C et des orages qui arrivent.

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    Canicule ou vague de chaleur?

    C’est l’IRM qui détermine une alerte canicule. Il y a de nombreux critères pour déterminer le degré d’alerte allant de jaune à rouge. « Il faut déjà faire la différence entre une vague de chaleur est une mesure de l’intensité d’un épisode chaud sur plusieurs jours consécutifs et une canicule. Il y a canicule quand nous suspectons que les conditions de chaleur peuvent nuire à la santé publique »explique M. Debal. L’IRM tient également compte des minima de températures quand il s’agit de déterminer une situation de canicule. Si les minima sont suffisamment faibles pendant la nuit, le corps peut récupérer. Il n’y a donc pas de risque pour la santé publique. Concrètement, l’alerte jaune canicule est déclenchée jusqu’à demain parce que les minima dépassaient 16 degrés et les maxima, 28 degrés, et ce pendant trois jours consécutifs. La situation repassera au vert demain, les orages ayant refroidi l’atmosphère.

     

    Mise à jour septembre 2013: Nouveau rappel, nouveau rapport du GIEC1.jpg0.jpg

     

 

 

 

 

 

 

 

 

Mise à jour 4 aout 2015: Barack Obama réaffirme ses ambitions face au réchauffement climatique

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0.JPGMise à jour 7 août 2018: Le record de chaleur et de canicule est arrivé.podcast

Mise à jour 8 septembre 2018:podcast

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