Mourir d'implosion ou d'explosion? (22/04/2022)

0.jpgAvant le premier tour des élections présidentielles françaises, j'écrivais "Elire pour ne pas mourir".

Il ne reste que deux candidats en lice.

Jeudi dernier, ce fut débat entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.

Dimanche, le vote du deuxième tour qui déterminera qui assurera le quinquennat suivant à (re)devenir président(e).

"Un homme expérimenté et rassembleur face à une girouette qui divise la société. Une femme proche du peuple face à un président qui aura méprisé les Français", écrit l'Echo.

...

Le débat Macron Le Pen

"Quand vous avez marqué 5 buts et qu’il reste une heure à jouer, vous en avez un peu ras-le-bol",  disait Daniel Cohn-Bendit, le lendemainpodcast.

Acculée, Marine Le Pen a répliqué plusieurs fois les mots "c'est faux". Emmanuel, dans le même cas, "Ce n'est pas exact". 

Ce que Le cactus n'a pas manqué d'ajouter son humourpodcast.

Quant au "Grand Cactus"....

Le mot "pérenne" a aussi été cité plusieurs fois, comme si dans la vie de n'importe quelle entité, il y avait quelque chose de "perpétuel" dans un flou artistique. 

Alors si "c'est faux" qu'est-ce qui est vrai dans ce faux artistique?

Chaque vision de la France et du monde est aux antipodes l'une de l'autre.  

Le débat au 28' était assez édifiant sur la place de la France dans le monde .
podcastpodcast.

Les élections 2022 et le débat des regrets sur Agoravox.fr

Dans la rue, les Français étaient mitigés après le débat 'Marcon-Le Pen".

"On est loin des débats de nos aînés, de nos parents ou de nos grands-parents. Marine Le Pen semblait beaucoup plus dans la maîtrise que lors du débat précédent. Marine Le Pen, très mauvaise et Emmanuel Macron extrêmement arrogant, mais, techniquement, il est au-dessus. Ils s’expriment hyper bien mais ils perdent du temps et tournent autour du pot".

Que tirer comme conclusions de ces réflexions?0.jpg

Les Français se targuent de ne pas avoir eu de surprise sur le contenu du débat et qu'ils sont - et seront - toujours déçus par la politique et par la démocratie. Que les confirmations que les débats politiques pourraient apporter n'apportent rien et tout est déjà pliés derrière des convictions personnelles. Les partis politiques traditionnels de gauche et de droite ont été laminés au premier tour considérés comme trop mous. Les Français aiment les pouvoirs forts qui favorisent la démocrature. Dans un réseau social comme agoravox.fr, j'ai pu lire parmi les commentaires "Bravo Poutine" le lendemain de l'invasion de l'Ukraine à la suite de l'article "La guerre en Ukraine est terminée". "Poutine impose la paix chaude à l’Otanazie". 

Vu de Belgique, la question demeure "que veulent les Français et qu'espèrent-ils et qu'ils ne retrouve(ro)nt jamais?". 

Être seuls au monde?

Les Coulisses du Pouvoir est-ce qu'on pourrait s'inspirer des élections compare notre politique belge à la proportionnelle et celle de la France qui se compose d'un duel final entre les deux derniers candidats après l'élimination des autres au premier tour des élections.
 
En Belgique, la méthode française devrait comporter des duels multiples entre 6 partis francophones et 6 partis néerlandophones se poursuivraient pour rester représentatifs de la population du pays.

La conclusion de ces coulisses est de dire que le système présidentiel majoritaire avec un duel unique français, ne préserve pas plus de la fatigue démocratique, de la crise de confiance qui est encore pire qu'en Belgique et n'est pas liée de manière décisive à la question du dispositif médiatique podcast

Rien de plus normal puisque les électeurs belges ne sont pas constitués d'un bloc unique mais d'une multitude de nationalités différentes, de langues, de pluralismes associées. 

Marine dit aimer l'Europe mais pas l'Union européenne.

Elle veut la plier à sa guise en fonction des désidératas français.

Les subtilités des pays et régions extérieures et même intérieures ne sont plus en accord avec l'esprit français.

La phrase de Charles de Gaulle "Les Français parlent aux Français" est toujours de rigueur.  Ils aiment partir en vacances dans l'Hexagone pour se retrouver ensemble et partager les mêmes idées.

Non, en France, on ne se mouche pas du pied.

On peut appeler cela chauvinisme, bien entendu, mais cela n'explique pas tout. C'est peut-être plus une métaphore.

Pour Marine, l'Union Européenne est une sorte de confédération dans laquelle chaque pays fait ce qu'il lui plait derrière ses propres frontières et pas une fédération avec des règles précises de droits et de devoirs que chaque membre doit signer pour en devenir membre.

Emmanuel veut toujours fédérer l'Europe comme le sont les autres blocs géopolitiques pour pouvoir leur résister et être plus fort. 

Les réseaux sociaux ne sont pas loin de détester les médias officiels parce qu'ils seraient de mèche avec la politiciens. Ils ont été attaqués comme des ennemis lors des rassemblements des Gilets jaunes alors que, normalement, ils entrent en jeu pour informer la population sans influencer et les organismes de statistiques pour établir les intentions de votes par sondages.

Un sondage RTL INFO-Ipsos réalisé ce jeudi 30 mars avait conclu que si les Belges votaient dans le cadre de l’élection présidentielle française, une majorité choisirait Emmanuel Macron dès le premier tour. 

Le VIF récole les analyses

Un débat est un déballage de ses idées et pas un combat.


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Cela dénote déjà une grande différence entre la France et la Belgique qui veille au grain avec l'humour et l'autodérision. 

Le Belgique a été souvent considérée comme un laboratoire de l'Union Européenne vu ses difficultés à construire un gouvernement. 

Avec ses 4 communautés,  comprenant sa Fédération Wallonie-Bruxelles (on y parle le français), sa  Communauté flamande (on y parle le néerlandais) et sa Communauté germanophone (on y parle l'allemand); il s'agit d'accepter des compromis, des consensus pour vivre ensemble avec des autorités qui assument.

Passée maître dans les procédures de compromis, la constitution belge oblige les partis qui veulent faire partie d'un gouvernement, d'arriver à un accord sur tout avant de signer sa naissance.

On peut donc se rendre compte de la difficulté d'obtenir rapidement un gouvernement après un premier tour d'élection au niveau de la population dans un second tour entre partis qui devront suivre les pourcentages de ces votes.

C'est ce que Daniel Cohn-Bendit avait voulu mentionner au sujet de nos "compromis à la belge" digne d'équilibristes, mais que le journaliste avait coupé pris par le temps restreint de l'interview. 

Les coalitions se forment au niveau fédéral en observant la théorie des couleurs en portant des noms en fonction des résultantes une fois fusionnées dans des époques différentes dépendante de l'époque et de sa politique (coalition olivier, arc-en-ciel, rouge-romaine, violette, turquoise, orange-bleue, jamaïquaine, orange sanguine, lilas, suédoise, bourguignotte, portugaise, coquelicot et actuellement Vivaldi

Deux partis indépendantistes en Flandre espèrent toujours créer une confédération de la Belgique.

Le cactus expliquait tout cela une nouvelle fois avec humour d'une Arme de Destruction Massive appelée "autodérision"
podcast

C'est aussi le sujet du livre "Deux clans" de David Goodhart explique les avantages et les inconvénients de la mondialisation.

D'un côté, il caractérise les Anywhere (ceux de Partout), comme des diplômés de l'enseignement supérieur aux revenus confortables, pour qui l'immigration est une chance mise sur la concurrence et le changement. Minoritaires, ils décident des changements politiques, sociaux et culturels.

Mais les diplômes ne suffisent plus aujourd'hui. Ils ne sont que le reflet des connaissances qui s'est arrêté à un moment donné dans l'enseignement.

Ce qui importe encore plus, c'est ce que l'étudiant en fera de nouveau au sortir de l'université.

Les Somewhere (ceux de Quelque-Part) ont juste une famille et considèrent que changer, c'est perdre. Majoritaires, ils deviennent les suiveurs des Anywhere.

David Goodhart plaide pour un compromis négocié entre les deux parties dans un « populisme décent », pour que la démocratie ne soit  pas une farce.

Hannah Arendt : « Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n'est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez. »

 Le scepticisme est un nihilisme lorsque nous croyons que rien n’est vrai. Pour les sceptiques depuis Diogène jusqu'à Nietzsche, l'enjeu était de dénoncer des vérités toutes faites, mais avec l’objectif de faire triompher la vérité.

Poutine ne veut pas qu’on le croie, il veut nous empêcher d’avoir une opinion et nous priver de notre capacité d’agir. 

Est-ce uniquement une question d'endroits où les populations vivent qui déterminent la politique à choisir?

Les frontaliers ont compris l'intérêt qu'ils peuvent tirer d'une sorte de binationalité au travail ou lors des achats préférentiels en fonction du prix et des disponibilités de choix souvent exclusivement partisans. 

0.jpgDans son livre "Être à sa place", la philosophe française Claire Marin explore toutes les places que les citoyens occupent quotidiennement, volontairement ou contre leur gré, à la fois par la formulation d’un désir personnel. Y arrivent-ils à la suite d'un nouvel impératif social qu'ils ont gagné ou perdu, qu'ils redoutent de perdre? Finissent-ils d'ailleurs tous par trouver une place précise ou n'est-ce pas une obligation de sans cesse se déplacer quand ils pensent pouvoir s’y installer?

Je n'ai pas lu son livre. J'ai seulement consulté les commentaires qui y sont  attachés dans Babelio. 

Je ne sais si Claire Marin avait écrit son livre en prévision des élections françaises et en relation avec le choix des électeurs français qui doivent choisir dimanche Emmanuel Macron ou Marine Le Pen qui a justement la volonté de fixer les citoyens dans l'Hexagone?

Le choix des Français de retourner au passé pour espérer trouver des solutions pour construire l'avenir et du choix des Belges qui présentent l'autodérision.

Et si c'était plus une question plus liée à l'espace qu'au temps?

Interviewé pour son livre dont j'ai parlé dans "De l'Ancienne à la Nouvelle Babel", Michel Bussi a explicitement dit qu'il y avait une arrière-pensée dans son imagination d'un monde sans frontières par l'artifice de la téléportation.

Cette fois, le choix sociétale dépend de l'individu qui se retrouve confronté à la solution sécuritaire d'avoir une famille, un chez soi sédentaire que Jean Ferrat localisait dans le zoo, face à une autre solution plus libertaire, plus universelle et souvent plus risquée dans la jungle.

Emmanuel Macron, progressiste, opte pour l'option "jungle" par l'explosion au niveau européen ou même mondial alors que Marine Le Pen pense à l'option "implosion" en fermant les frontières pour ramener les Français dans une sécurité d'antan derrière des frontières étanches.

Les deux options peuvent créer des catastrophes si elles ne sont pas régulées.

Quelques phrases de l'interview de Claire Marin pour "Etre en place" étaient mises en exergue dans l'interview la concernant.

    1. "Bien ou mal se sentir dans une place dépasse la dimension matérielle".

2. "Pour réussir à entrer de plain-pied dans un milieu social très différent du sien, on ne peut faire l'économie d'une rupture radicale - du moins dans un premier temps"

3. "Il y a un risque à penser sa place en termes d'identité, car on voit les crispations qui se jouent autour de ce mot. Dans la place que l'on occupe, il y a toujours une multitude d'identités"

L'interview se termine par: " Il y a parfois une brutalité dans ce qu'on appel un accueil et faire une place à quelqu'un"

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Aucun racisme dans ces propos mais une volonté d'avoir une place fixée à un endroit pour ne plus la lâcher dans sa manière de penser et de vivre.

"Dans un monde qui tangue, l'expression « trouver sa place » soulève de multiples questionnements. Cette expression confronte bien sûr l'être humain à ses aspirations et à ses capacités ou son manque d'adaptation à son temps et à son espace vital quitte à ne pouvoir la choisir".

Elle pose une série de questions auxquelles il faut trouver une réponse partielle dans le passé s'il n'y avait pas les "infidélités de notre mémoire".

L'innée, l'enfance et l'adolescence laissent des traces indélébiles construites parfois sur des brumes de souvenirs qui, confus, prennent une importance démesurée avec l'avancée en âge.

A l'inné s'ajoutent les acquissions personnels dans un rêve éveillé dans lequel on arrive à s'interroger des injonctions sociales les plus anachroniques de notre temps qui est en accélération constante grâce (ou à cause de) aux nouvelles découvertes technologiques.

Claire Marin à 47 ans. Un âge dans lequel on commence à se poser des questions existentielles d'un après qui se rétrécit. Tout dépend de qui prendra la décision de l'ajouter à la liste noire de ceux qui pensent que l'âgisme coûte trop cher par rapport au jeunisme.   

Les questions existentielles laissent du mou au poisson tiré par un pêcheur éponyme.  
En principe, cela dépend de l'inné transporté de génération en génération, de son enfance, de son adolescence, de ses études et que le jeune devra ajuster en fonction de ses capacités personnelles en se rendant compte de ses limites.

La chanson "Né quelque part" de Maxime Le Forestier apporte une limitation d'espace ou au contraire une envie de sauter le pas en allant voir ailleurs si l'herbe n'y est pas plus verte .. 


Bien entendu, il faut conquérir son espace vital même si c'est au forcing.

 Trouver une place dans un monde en continuel changement ne s'impose pas uniquement par sa seule présence, il faut aussi ajouter quelque chose de très personnel à la suite des études pour sortir du lot.

L'inclinaison à la pudeur et à la discrétion se retrouve aussi dans la pensée du sociologue Pierre Bourdieu décédé il y a déjà 20 ans, a construit, notamment dans "La Distinction", une théorie de l’espace social, comprenant la logique de constitution des groupes sociaux à partir des modes de hiérarchisation des sociétés, les styles de vie et les luttes que se livrent ces groupes sociaux, les modalités de reproduction des hiérarchies sociales et des groupes sociaux dans lesquels les conversations se font plus sincères et la dialectique des échanges plus intense".

La vie n'est peut-être pas la même dans une capitale peuplées sur une grande étendue comme à Paris. Dans un environnement comme Bruxelles, tout est plus condensé sur peu d'espace mais avec une centaine de langues que se partagent plus d'une centaine de nationalités.

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 Cela peut être une place à laquelle on tient et qu'on perd à cause de la violence de l'entourage ou que l'on gagne en prenant ses distances par rapport à elle. 

Les discriminations, les éducations différentes apportent des surprises.

Les réseaux dits sociaux y ajoutent une couche de populisme dans la version merditude alors qu'elle devait faire partie de la devise "flutuat nec mergitur".

La résistance commence en prenant du recul, en n'y apportant une réponse circonstanciée et à la hauteur de l'attaque, de l'insulte reçue.

L'important n'est pas l'insulte mais la manière d'y répondre sans y ajouter de lui sur le feu mais en déviant la lance à incendie par les bords de la flamme. Se mettre à la place de l'incendiaire ou du pyromane est aussi une place de mécompréhension d'une situation et à sa manière de contrer sa propre panique.   

Pour vivre avec des droits, il faut aussi accepter des devoirs de respect de la liberté d'expression traduit par des mots instinctifs pour les autres.

Il s'agit de respecter en premier les sens géographiques et matériels pour entrer dans un milieu différent du sien sans faire l'économie d'une rupture radicale avec une période de travail qui occupait l'esprit.

Chassés par la guerre, les émigrés ukrainiens sont dans ce genre d'espace inconnu avec d'autres habitudes à tenter de s'intégrer dans un autre monde que le leur, qui peut être valorisant ou stigmatisant au point de devenir invivable.

La variété et la richesse d'un vécu se gagne ou se perd en fonction des capacités d'adaptation à l'évolution sans se faire distancer par elle.

Cette réflexion se retrouve aussi dans l'article "Un terrible sentiment que tout se déglingue".

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Les composantes d'une nouvelle situation pendant laquelle on tourne la page obligent de choisir son camp pour avoir une chance de garder son mot à dire même si c'est perdu dans le vent. Le conseil est de préparer ce changement de livre. 

Se rendre compte de la violence qu'on est facilement remplaçable, est naturel et surmontable parfois après des mois dans les reconfigurations et les recompositions que son livre précédent "Rupture(s)" avait déjà probablement déterminé l'impact. 

La question devient "La sociologie et la psychologie vont-elles s'unir pour passer le cap?".

C'est vrai, on peut avoir plusieurs vies en une seule.

Oui, on trouve sa place à un moment donné dans un processus de recherche permanent renouvelable.

Il faut avoir des réflexions éclectiques pour vivre heureux. Ne pas s'embarrasser des échecs de parcours, de rappeler la loi de Murphy en boucle, mais les remplacer par l'accumulation de points de réussites dans une balance qui tient plus compte des crédits que des débits. Les chansons de la jeune Angèle vont dans ce sens.   

Il y a les Juifs qui ont vécu en diasporas pendant des centaines d'années et qui un jour ont voulu obtenir un territoire à eux en Israël et qui, pour cela ont combattu les précédents qui étaient en place.

Vivre en autarcie demande déjà une certaine surface de territoire.

Les Chinois, les Indiens sont partout dans le monde.

Ce n'est pas une erreur d'avoir une émission belge qui a pour titre "Les Belges du bout du monde".

La mentalité et la manière de vivre se retrouvent dans les sociétés et les personnalités qui y sont intégrées.

Certains aiment (et les subissent) les rigidités protégées par des frontières, d'autres plus libertaires n'y voient qu'un moyen de s'en échapper dans un ailleurs incertain.

Dans Le Point, le philosophe Peter Sloterdijk écrit: "Les Français ne votent pas avec leur cerveau. Macron a compris le malheur français 'deus ex machina'".  

Jean-Claude Kaufmann "C'est fatigant la liberté et le libéralisme quand on se comporte décontracté avec des réflex primitifs".

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Il n'y a pas de malédiction, il n'y a que des résignations.

2.jpgDans le livre "Tant qu'on est tous les deux" de Gaël Tchakloff, elle écrit en place de de Brigitte Macron "Dans un entourage politique, détracteurs, fidélité, trahison, notre trajet et tout ce que nous  avons traversé, il n'y en a peut-être pas beaucoup comme nous à part une autre Bonnie and Clyde"

Ce sont parfois les composantes du canif pour "Changer tout" et l'audace d'être "En route pour changer l'avenir" pour avoir une chance d'avoir son mot à dire.

Alors que préférez-vous, Français, imploser ou exploser?

Ce sera dans les deux cas, un quitte ou double?

Comme c'était le vingtième année après la mort de Pierre Rapsat


Allusion

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