25/03/2021
Les quatre saisons à rebrousse-poil
Ces "Quatre Saisons", tout un programme, avec les différents cycles à l’ère de la Vivaldi et de sa politique sous jacente. Une partition rythmée par des succès et des échecs, par des trahisons et des promesses dans les arcanes du pouvoir belge. Le but principal est de trouver les clés pour sortir le pays de l’hibernation dans laquelle le coronavirus nous a plongés dans ce qu'on hésite à appeler une troisième vague. Un exercice à reculons sur l'année, accompagné de photos et de vidéos de chaque saison, aura déjà une autre gueule.
Politique à "la belge", une fois...
Episode 1: la déprime générale
Episode 2: La fin de l'état de grâce du gouvernement Vivaldi ?
Episode 3: Les lobbies du déconfinement
Episode 4: Un gouvernement De Croo paritaire, à quel prix ?
Episode 5: Bilinguisme : un pas en avant, un pas en arrière
Episode 6: Frank Vandenbroucke et la potion magique : histoire d’un pari fou
Episode 7: La taxe kilométrique fait du surplace
Episode 8: "Paroles, paroles, paroles..."
Episode 9: "Politique en manque de contacts"
Episode 10: "C'était la dernière chance"
Episode 11: "La participation citoyenne pour sauver la démocratie ?
Episode 12: "PSC, cdH, "Il fera beau demain" : le centre a-t-il encore un avenir politique ?"
Episode 13: "Jürgen Conings va-t-il renforcer, ou affaiblir, l’extrême-droite?"
Episode 14: "Voile, neutralité, laïcité : l'impossible débat"
Episode 15: "C’est l’histoire de la cigale et de la fourmi, en pandémie"
Episode 16: Le retour de Bruxelles et de la Belgique dans le concert des nations :
Episode 17: "Automne, hiver, printemps : premier bilan pour les trois premières saisons du gouvernement Vivaldi"
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Episode 15: "J’ai du mal à comprendre qu’un soignant hésite à se faire vacciner"
Episode 16: "J'ai peur qu'on revienne en 2019"
Episode 17: "Ma Buvette, c'est mon baromètre"
Episode 18: "50 ans de Communauté française, 10 ans de Fédération Wallonie-Bruxelles : stop ou encore ?
Episode 19: "Après les travaux, Namur va-t-elle (enfin) s’assumer comme capitale wallonne ?"
Episode 20: "Une toute autre politique", l’impossible pari de la Vivaldi, minée par les conflits"
Episode 21: "Industrie et écologie incompatibles ? "Il faut élargir sa façon de penser, au-delà de 'je gagne de l’argent, c’est bien'"
Episode 22: "Nouvelles mesures sanitaires : peut-on convaincre en disant tout et son contraire ?"
Episode 23: "L'interminable sortie du nucléaire en Belgique"
Episode 24: "Mais où est donc passé le "compromis à la belge ?"
Episode 25: Jean-Luc Crucke
Episode 26: "Zakia Khattabi"
Episode 27: " Charles Picqué"
Episode 28: "Germain Mugemangango
et c'est pas fini... non, peut-être...
Mais tout cela aura en principe en 2024 d'après Thomas Gunzig.
Mercredi au 28', David Van Reybrouck était invité pour parler de son livre "Odes" qui est tout à fait en opposition avec la morosité ambiante, avec la teneur du billet précédent qui parlait de Don Quichotte et qui fait parfaitement le lien avec le reste de ce billet
.
Ce recueil circonscrit la partition sensible d'un écrivain qui pose sur le monde un regard humaniste et progressiste en s’inscrivant sous le signe de la ferveur, de l’enthousiasme, de la beauté, de l’ardeur, de l’amitié, de la gratitude, de la mémoire et de l’histoire dans les parages de la poésie de la musique, de la peinture, de la danse, de l'esthétique, de la philosophie, de l'éthique, de la littérature, de la politique, de la résistance et de la résilience.
Le cliché sur la Belgique était proposé:
On y parle de l'humour particulier comme sang du Belge.
Le cactus de ce jeudi "Sheila et le Codeco" après les nouvelles adaptations à la crise en est une preuve.
Les images de Vadot montrent des espérances déçues au fil des saisons dans des cycles de date de congés et de voyages ratés à se retrouver dans une "arche du Covid".
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Pour débuter la journée, rien ne vaut le brouillon de GuiHome qui mardi, fait une entrée d'à propos et de retrouver le point de vue de Alex Vizorek à partir de Paris.
En remontant le temps jusqu'au printemps 2020, cela m'a inspiré d'y apporter un brin d'humour en plus du moins je l'espère car aujourd'hui, on fait plus souvent grise-mine.
Pour faire le lien, le dernier Boris Cyrulnik nous parle avec psycho-écologie "Des âmes et des saisons" qui donne encore un relent et un impact de plus au billet de la semaine précédent "Eclectique heureux" : « L'impact du milieu n'a pas le même effet sur un bébé, sur un adulte, selon la construction physique et mentale de chacun. Ce que nous sommes aujourd'hui n'est pas ce que nous serons demain, marqués, expérimentés et souvent blessés par l'existence. Notre corps et notre esprit modifiés par la vie devront s'adapter à un monde toujours nouveau. Les hommes et les femmes, les pères et les mères, voient leurs places respectives bouleversées par une nouvelle donne qui chamboule les schémas traditionnels du masculin et du féminin et qui redistribue l'identité et le rôle de chacun dans le couple et dans la famille.
Notre culture a perdu la boussole, nous naviguons à vue, bousculés par les événements, errant là où le vent nous porte. Il nous faut reprendre un cap, car nous venons de comprendre que l'homme n'est pas au-dessus de la nature, n'est pas supérieur aux animaux, il est dans la nature. La domination, qui a été une adaptation pour survivre, aujourd'hui ne produit que du malheur. Une étoile du berger nous indique cependant la nouvelle direction, vers l'unité de la Terre et du monde vivant à conjuguer tout le savoir le plus récent de l'éthologie, de la préhistoire, des neurosciences dans une méditation profonde sur la condition humaine et sur l'avenir de nos sociétés. ».
Les quatre statues représentant les saisons à l'entrée de du parc du Cinquantenaire sont peut-être trop peu connues en passant devant elles sans même les voir.
Ces quatre représentations féminines réalisées autour de 1950 représentent l'Hiver par Oscar Jespers (1887-1970), le Printemps par Henri Puvrez (1893-1971), l'Eté par Jean Canneel (1889-1963) et l'Automne par Gustave Fontaine (1877-1952).
Elles sont placées toutes les quatre sur d'imposants piédestaux en pierre bleue à l’entrée du parc du Cinquantenaire. Elles furent conçus en 1902 suivant les plans de l’architecte Gédéon Bordiau en charge de l’aménagement l’aménagement des jardins du plateau de Linthout, bientôt rebaptisé parc du Cinquantenaire de 1879 jusqu'à sa mort en 1904.
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Hiver
En 2013 : "L'hiver chez moi - Google Photos
En 2015: Hiver - Google Photos
A Bruxelles, les hivers rigoureux sont plutôt rares.
Tout comme la planète, Bruxelles des hivers relativement doux dont la température descend rarement en dessous de 0°C.
Cet hiver 2020-21 a créé exception à cause d'un vortex qui rencontrait un anticyclone froid venant de Russie et une dépression chaude venant du sud.
Pasquale Nardone répondait à Charlotte dans Matin Première: "Pourquoi jeter du sel pour faire fondre la glace?".
la semaine du 8 février, une nouvelle vague de froid
Cette fois, Noël et le nouvel ont prennent une apparence inhabituelle par écrans interposés.
L'hiver s'est souvent déroulé dans des comités restreints.
Alexander De Croo à la barre disait qu'il n'y avait rien à dire alors que certains pensaient à un retour à la liberté.
Les chemins de la liberté pour les fêtes de fin d'année 2020: Nuts ou bernique.
Noël par Skype interposé. Situation épidémiologique, stratégie du testing et de vaccination dans les limbes un sous contrôle de quarantaines alors que les contaminations et les hospitalisations montent légèrement.
Humour, homards et fête se recroquevillent dans l'intimité des coquilles d'huitres.
Aux Etats Unis, la vague de froid s'est répandue jusqu'au Texas jusqu'à en devenir politique:.
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Automne
Le comité de concertation se cache dans un huis clos en prenant des des mesures plus strictes pur oublier les échappées des règles strictes de l'été. Le couvre-feu à cinq heures, la bulle de un, le recours au télétravail, la fermeture de l'HoReCa, 20% de l'enseignement supérieur en présentiel, parcs d'attractions fermés et parcs animaliers ouverts.
Au sujet de l'automne, pleine de nuances colorées avant que la chute des feuilles, j'en ai déjà parlé de l'automne mais je ne m'en lasse pas.
Photos d'années précédentes
Automne zinneke - Google Photos
Arboretum en automne - Google Photos
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Le Jardin extraordinaire revient aussi sur l'automne.
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Eté
Photos des années précédentes
Dites-le avec des fleurs - Google Photos
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Printemps
Photos d'années précédentes
Printemps à Bruxelles - Google Photos
La cerisaie au printemps - Google Photos
Serres Royales - Google Photos
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Qui vit seulement l'espace entre le printemps et l'automne?
La libellule et la demoiselle
"Le retour des saisons" chanté par Trenet s'impose peut-être aussi pour donner un côté naturel et coloré.
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Anecdote et leçon
Je me souviens, il y a bien longtemps, jeune informaticien, je me trouvais avec un client d'une application dont j'avais la charge.
C'était un jour de printemps vers 06:00 du matin.
J'avais travaillé depuis près de 24 heures et je me trouvais dans un nœud de réflexions multiples pour trouver la solution à un problème sans le dénouer.
- Tourne toi. Regarde le soleil qui se lève. Et va faire un tour à l'extérieur, me dit mon interlocuteur.
J'ai suivi son conseil et moins d'une heure après, je suis revenu et j'avais la solution et ce fut une leçon.
A force de faire toujours la même chose, on ne voit plus clair dans l'objectif à atteindre.
"Rêver pour travailler", leçon toujours tellement bien comprise avec son bénéfice. A la retraite, je ne fais plus que rêver toujours à l'extérieur en variant les menus de la journée avec plusieurs projets différents pour la meubler et éviter la routine.
Aujourd'hui, plus de vérification patronale avec le télétravail qui demande une discipline personnelle.
Seule solution: prendre du recul, diversifier pour diluer les tâches répétitives qui finissent par lasser par manque de vision globale sur la stratégie que d'autres imposent.
C'est le message principal que je voulais transmettre à Don Quichotte, la semaine dernière. Faire varier les idées et les menus. Cela n'a pas été compris.
Il écrivait au sujet des mythes: "Tous les mythes sont fabriqués par l’esprit de l’homme. Certains mythes survivent et d’autres sont très éphémères. L’histoire nous apprend également que le basculement peut-être extrêmement rapide et surprenant pour certains. Les mythes ne reposent pas sur des analyses scientifiques mais sur un niveau d’acceptation d’une minorité imposante."
En fait, il a raison et tort à la fois.
Raison sur une minorité imposante qui peuvent se sentir bien psychologiquement mais tort par le fait que les analyses scientifiques intéressent de plus en plus les neurosciences.
Les personnages de la mythologie grecque, Tantale et Sisyphe, étaient rappelés ce mercredi pour expliquer et justifier la situation de morosité dans ce qu'on pourrait appeler la troisième vague du Covid.
Dans la mythologie grecque qui a souvent analysé tous les principes humains, Tantale est condamné à supporter la faim et la soif pour l'éternité. Chez Xénophon, c'est un tourment qui se transforme par la peur de mourir. ,Chez Platon, c'est un rocher qui menace sans cesse d’écraser celui tente de le remonter sur une pente savonneuse.
Sisyphe est surtout connu pour son châtiment, consistant à pousser une pierre au sommet d'une montagne, d'où elle finit toujours par retomber.
La répétition des actes se retrouve dans chacune de ces situations dans des cycles sans fin .
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Cycles de vie
La vie n'est faite que de cycles souvent concentriques auxquels il faut parfois sortir.
Bernard, avec un peu en retard, nous parle cette semaine des origines des années bissextiles qui ont eu lieu en 2020.
Depuis l'ajustement du calendrier grégorien, l'année n’est bissextile (comportant 366 jours) que dans l’un des deux cas suivants :
- si l'année est divisible par 4 et non divisible par 100
- si l'année est divisible par 400.
Le 29 février apparait comme sorti de sa boîte pour ajuster le temps d'une année pour que la Terre arrive au même point après son périple autour du soleil.
Naître ce jour-là pourrait faire penser à fait vieillir quatre fois moins vite et quatre fois moins de cadeau d'anniversaire.
Sinon, l'année n'est pas bissextile: elle a la durée habituelle de 365 jours (elle est dite année commune).
Ces règles traduisent la formule : qui approxime assez précisément les décimales de l'année tropique qui vaut ~365,2422 jours.
Quelle est l'origine du mot bissextile.
Encore une fois, si ce n'était pas dans l'hémisphère Nord qui avec les Romains avait pris le temps en otage de son calcul, aurions-nous un autre calendrier?
Les Mayas étaient d'excellents calculateurs du temps.
Leur calendrier rituel de 260 jours (tzolk'in) globalise et clôture le temps en rapport avec les astres dans lesquels ils voyaient leurs divinités.
Leurs écrits, plutôt codex tardifs sous forme de manuels de survie, impressionnent surtout nos esprits actuels que veulent effacer la possibilité de la marche du temps et qui n'entrevoient pas de fin.
Leur vision du temps, par cycles successifs en spirale, tranche radicalement avec la nôtre linéaire et infinitésimale. Cet hermétisme dans la compréhension était voulu par les prêtres de l'époque, seuls habilités à fixer des dates des événements sacrés et mythologiques. Être maître du temps, n'est-ce pas la force suprême?
L'autre calendrier, le solaire, découpait plus traditionnellement l'année dite "vague ou haab" en 365 jours répartis en 18 mois de 20 jours suivis par 5 jours marqués par une période critique de grands dangers.
Leur chronologie du temps par le "Compte Long" est encore plus troublante. Le calcul maya dans ce cas commence à l'an "un" c'est-à-dire, très précisément le 13 août de l'an -3114 AC, tandis qu'il aurait trouvé sa fin, le 21 décembre 2012 de notre ère. Ce qui avait créé les fantasmes de collapsologues, cette année-là. Les Mayas divisaient le temps en jour (kin), en uinal (=20 x kin), en tun (=360 x kin), en katum (=20 x tun), en baktun (=20 x katum). (ex: 2.3.4.8.1 c'est-à-dire 2ème baktun, 3ème katun, 4ème tun, 8ème uinal et 1er jour).
Si nous on compte avec dix doigts, les Mayas le faisaient en prenant leurs dix doigts de pieds en plus en créant le système vigésimal. Normal qu'ils calculent deux fois plus vite leur comptabilité et leur temps...
Où met-on le "mono ou le bi-sextile" là-dedans?
Qui voit le temps à l'envers ou à l'endroit dans un mouvement perpétuel?
Des saisons de crise en crise en cycles à rebrousse-poil qu'on espère passer de la dureté de l'hiver au renouveau du printemps.
Allusion
25/3/2021: Bertrand Tavernier nous a quitté...
Quatre films et quatre saisons, à reculons
28' samedi de ARTE invite Elisabeth Roudinesco : plaidoyer contre les dérives des mouvements féministes et antiracistes. "Notre époque, dans tous les domaines, a privilégié le sentiment de la subjectivité sur l’analyse objective." Dans son ouvrage intitulé "Soi-même comme un roi, Essai sur les dérives identitaires", publié au Seuil, l’historienne et psychanalyste Élisabeth Roudinesco s’insurge contre les métamorphoses des combats antiracistes et féministes, des engagements autrefois universalistes qui selon l’auteure donnent désormais lieu à des mécanismes d’assignation identitaire qui aboutissent au communautarisme.
28/3/2021: "Embrassez-vous", c'est le thème que propose Art et Marges Musée 314 Rue Haute à Bruxelles
Ce qui m'avait donné envie d'aller voir cette expo de créateurs autodidactes, c'est ce qui est passé dans Week Première et de son invité Jean-Noël Liaut qui raconte Andy Warhol dans son livre "Le Renard blanc"
Expo de l'œuvre de Warhol à Liège à La Boverie
23/4/2021: Relation tendue entre politiciens et experts scientifiques
3/5/2021: Réforme de la Constitution?
Nouveau cycle de saisons dans l'autre sens
Printemps 2021
Watermael Domaine des Trois Tilleuls
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Notre-Dame-au-Bois (Jusus Eik) |
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26/9/2021: La magie des saisons
Publié dans Belgique, Histoire, Musique, Nature et Ecologie, Politique | Lien permanent | Commentaires (6) | Imprimer
Commentaires
Quand je vois qu'on a parlé de vague de froid pour cet hiver, alors que c'était un hiver on ne peut plus normal (moins froid, on aurait parlé de réchauffement)
je comprend que tout le monde soit déboussolé
Comme avec l'horrible expression de distanciation sociale dont les médias nous abreuvent, pourquoi ne pas dire distanciation physique ?? On doit séparer hommes et femmes, jeunes et vieux, riches et pauvres, noirs et blancs ??? N'importe quoi, et on avale, et on digère, et on trznsmet
Écrit par : Jean-Marie HENROTTE | 25/03/2021
Répondre à ce commentaireComme je le disais dans le billet : pour ne pas être déboussolé : "Prendre du recul, diversifier pour diluer les tâches répétitives qui finissent par lasser par manque de vision globale sur la stratégie que d'autres imposent" et... surtout garder l'humour .
Une autre solution: louer une île déserte pendant un an pour attendre que cela passe.
Une île avec des palmiers de préférence....
Écrit par : Allusion | 26/03/2021
Quel travail et très bien documenté !
excellentes les vignettes de Vadot ...
Mais ce qui va certainement me rester en tête, c'est " l'anecdote et leçon"
Bravo
Écrit par : Giuliano | 26/03/2021
Répondre à ce commentaire« Les fleurs du printemps sont les rêves de l'hiver racontés, le matin, à la table des anges. »
Citation de Khalil Gibran en tête du site Emergences dont je reçois les emails
https://www.emergences.org/
Écrit par : Allusion | 26/03/2021
Hommage à Bertrand Tavernier (1941-2021)
par Vincent Delaury
Par où commencer pour évoquer Bertrand Tavernier ? Son œuvre cinématographique est tellement dense, et variée, et ses passions (pour le septième art tout d’abord, puis pour la bonne bouffe, le jazz, le roman, le polar, le western, le cinéma américain, l’Histoire de France...), tellement nombreuses. Commençons tout d’abord par l’homme, si vous le voulez bien.
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/hommage-a-bertrand-tavernier-1941-231896
Écrit par : Allusion | 27/03/2021
Répondre à ce commentaireSommes-nous condamnés à une gestion de crise permanente?
https://www.rtbf.be/article/sommes-nous-condamnes-a-une-gestion-de-crise-permanente-11068368
Écrit par : Allusion | 19/09/2022
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