Les tabous toujours au programme ? (20/01/2010)

educationL'éducation des jeunes et surtout des moins jeunes est un problème de reconnaissance des tabous.

Presque 4 ans, depuis "Demandez le programme et corrigez-le". Le but comparer les modèles d'apprentissage dans certains pays européens. Force est de constater que depuis la situation s'est durcie. L'éducation est-elle une affaire de situation conjoncturelle ou structurelle? Les tabous du diplôme, bien que bien accrochés dans les habitudes, ne sont-ils pas à remettre en question eu égard de certains événements ou faits nouveaux?

Dernièrement, le film "La journée de la jupe" avait été présenté sur ARTE et sur d'autres chaînes pour lancer un électrochoc dans les esprits des différents acteurs intéressés par l'éducation dans nos écoles.

L'instruction et l'éducation sont devenus de réels sables mouvants. Entre les deux, on ne sait plus très bien qui fait (ou qui devrait faire) quoi et pourquoi. Anticiper les mouvements et les mutations générées par l'évolution de plus en plus rapide des techniques est devenu un véritable cauchemar. De nouvelles spécialités sortent du chapeau notre inconscient. Alors, on suit, on réagit à l'événement au coup par coup et on investit dans le présent pour extrapoler à très courte vue. Plus question de comparer avec le passé. Celui-ci est dépassé. Les écoles sont devenues multiculturelles, multifonctionnelles. Les problèmes du voile à l'école, pour ne citer que cela, n'ont pas encore trouvé de réponse bien nettes. La direction, prise par les éducateurs, n'est plus celle de leur propre volonté. En porte à faux entre ce qui devrait être enseigné comme doctrine et ce qu'elle découvre sur le terrain, plus politique et en relation avec le côté multi-ethnique. L'enseignant, encore réactif, en a marre de réajuster le tir en permanence suite aux sursauts ministériels. Des événements totalement indépendants de l'école justifient la révision du parcours du combattant de l'enseignant qui ne sait plus à quel saint se vouer. Non seulement, l'apprentissage des matières scolaires n'est pas ajusté aux besoins réels de la société, mais l'éducation de la citoyenneté, elle-même, ne l'est pas non plus. Le goût pour les études s'étiole aussi chez ses ouailles. Les sciences n'attirent plus, même si les débouchés existent et ne sont pas limités par un numerus clausus.

Plein de bonnes volontés, ils se réfugient derrière des programmes de plus en plus lourds et ... l'absence du succès assuré. Le risque n'est plus motivant pour émerveiller.

L'enfant est devenu un adulte avant l'âge confronté, très tôt, avec des problèmes de notre modernité qui ne sont pas de son âge et qu'il consomme en sautant la lecture du mode d'emploi et en éliminant, de fait, les effets secondaires. On ne joue plus dans la rue avec ses condisciples, on les coudoie dans la virtualité, sur une toile, par chats interposés. Le stress s'est invité au passage. On se prépare devant les écrans d'ordinateurs par l'intermédiaire de jeux vidéo à une vie plus dure et plus éprouvante que dans la réalité. La compétition, la lutte pour l'existence dans une vie reconstituée dans le virtuelle, fait partie de ce jeu dont on ne mesure les effets qu'après coup chez les jeunes.

L'adolescence était l'âge critique, il ne l'est plus seul pour les mêmes raisons. Dans un monde, où rêver n'est plus accorder à ceux qui en ont le pouvoir, le rêve est effacé d'un trait de plume. Il faut aller plus vite et sauter l'étape de construction de sa personnalité pour tomber dans le préformaté.education

Le long fleuve tranquille ne trouve plus son embouchure. Du coup, un réajustement au niveau parental est peut-être, plus important que professoral.

L'éducation au niveau parental, de premier niveau, n'existe plus, ni au départ, ni dans la continuation et sans repêchage possible s'il n'est pas corrigé très vite. On assume, vaille que vaille, parce que la situation est devant soi sans garde fou. Les excès ou les pénuries vont très vite se manifester. Les grandes questions de la condition humaine, de la coutume n'ont jamais été imprimées dans les gènes. Le désir d'enfanter est vite supplanté par la peur d'être parent dès les premiers déboires. Peur incomprise qui se transmet aux intéressés par simple contagion. Les parents sont de moins en moins là dans un temps synchronisé avec la présence de leur précieux "butin" de  vie pour vérifier leur progrès de l'opération "construction".

educationPour s'attirer le maximum d'ouvertures, ils tentent d'adhérer dans le club de ses jeunes en "copain". Chaque partie veut rester dans le coup et partager ainsi la même jeunesse. Et c'est vrai, chacun devrait en profiter. Mûrir ensemble n'est pourtant plus à l'ordre du jour dans les deux camps quand les conflits s'amoncellent. L'autorité bien comprise, un modèle de vie restent le fil rouge de toutes bonnes éducations, mais pour cela il faut du temps, beaucoup de temps.

A la maison, pour garder l'église au milieu du village, on n'aime plus trop s'embarrasser de discussions ou de disputes orageuses. Le drapeau blanc est mis. Bien planté dans un terrain miné des conflits de générations. Même la vie de couple n'est plus dans les mœurs comme exemple pour ces jeunes. Les divorces, les disputes, les faibles plages de temps imparties dans les trous restants de la vie active n’apportent pas l'envie et le risque de créer une famille avec l'autonomie financière en prime pour le jeune qui se cherche. Les lois veulent s'harmoniser avec l'air du temps et cherche à diminuer le temps nécessaire pour concrétiser une volonté de séparation en ne prenant pas trop fait et cause de la génération descendante. Insidieusement, tout se met en place de manière inversée dans le miroir sans tain de la vie.

educationInternet et tout ce qui l'entoure a apporté ce cataclysme dans la manière de donner et de partager l'information. Bientôt des conversations entre parent et enfant par clavier interposé. Plus question de penser qu'il ait pu exister une vie avant ces révolutions successives de la communication tout azimut. Le virtuel de la communication de l'info, le virtuel de la présence parentale, le virtuel de la sécurité ailleurs que dans le giron parental mènent le Web vers le "World Enterprise Beatitude". Dans le monde virtuel, quand le héros reçoit un coup de poing ou de couteau, il réapparaît comme de si rien n'était dans le feuilleton suivant. Dans le réel, la blessure ne se cicatrise jamais, elle s'auto-reconstruit.

Les conséquences de cet état d'esprit ne sont pas minces du côté de la manière de grandir, des solutions pour apprendre, du risque pour l'économie qui se cherche des moyens de produire plus grâce à des coûts réduits au minimum. La motivation de créer sa propre voie, sa propre entreprise avec risques intégrés dans le processus n'est plus à la pointe des revendications.

Quand les études deviennent des investissements à fonds perdus, c'est encore pire. Parfois, les études se prolongent obligatoirement ou volontairement dans un seul souci de sécurité. Obligatoirement, car la sécurité du lendemain, le "cocooning" des parents atteignent aussi les jeunes. L'étudiant tend, alors, à s'aligner pour se donner le maximum de chances dans son imaginaire en diversifiant ses possibilités de carrières quitte à devenir sur-qualifié et donc inaccessible ou trop pointu, plus tard, sur le marché de l'emploi. Les licences et les diplômes se récoltent un à un, dans la douleur des études consenties ou forcées. Alors, tant que cela peut durer, le jeune estime que la situation sera plus cool chez les parents pour le bénéfice de chacun, puisque apparemment, les parents assument et n’expriment pas le besoin de retourner à une époque moins "chahutée". La durée de l'adolescence varie de ce fait de 12 à 30 ans. On ne rêve plus, on compte ou on décompte.

Le suivant dans la lignée, quand il aperçoit le grand frère quitter le foyer paternel pour vivre sa propre vie, avec une tête bien pleine, rester sur le carreau, les envies de l'imiter deviennent toutes théoriques.

Le livre "Ainsi soit-il" de Philippe Van Meerbecke en parle en tant que pédopsychiatre et neuropsychiatre. Fonder une famille devient le problème majeur. Alors, quand cela se corse en plus en constatant, par effet miroir, que le papa de retour à la maison prématurément du travail avec un autre papier en poche, signé pour rupture de contrat, cela décourage encore plus. Si les affaires semblent marcher au vu des résultats financiers des entreprises, les restructurations en cascades, le chômage est en augmentation constante. La crise, pardon, les crises, ont fait perdre l'espoir dans un avenir meilleur.

La vie de prof est de moins en moins facile. La formation avec les programmes scolaires sont toujours là, il faut les passer à la génération suivante et espérer que le reste va se construire sur le tas. Semblable en surface et pourtant très différent en profondeur, le métier de formateur n'est plus ce qu'il était avec une formule ex cathedra. L'école, dépassée par les événements est là pour instruire et faire des hommes heureux dans une carrière professionnelle, ne passe plus qu'un programme. C'est devenu réagir à l'attaque d'un adolescent dans la "douceur" quand la défensive se mue en offensive dans la pratique. L'instruction, avec l'estrade intermédiaire, est passée de mode, et c'est tant mieux. L'autorité de ce type faisait perdre dans l'immobilisme, trop d'occasions de rencontrer les idées neuves en cassant les personnalités. Actuellement, l'étape choisie est en opposition à 180°, avec les risques de mauvaises compréhensions de ce qu'est la vie d'adulte.

La collaboration avec l'esprit d'équipe comme toile de fond, plus d'autorité pure mais non dure, une camaraderie naturelle seraient une solution à privilégier. L'obligation de compétition efface toutes ces envies. Ce qui mène à donner des chances aux meilleurs en laissant les autres en manque. Technique, qui mène à l'extrapolation, compensée en parallèles par de "faux participants", de faux "Rambo" organisés en bandes. Alors, pour le Rambo, motiver son attention par l'instruction n'est  plus la bouée de secours, c'est une perte de temps. La violence est une solution automatique pour s'affirmer, sans se construire.

Le "plus" pour motiver et intéresser à son époque n'est malheureusement plus à la portée de tout enseignant, pris par le temps, formé sur des bases dogmatiques et très vite obsolètes dans un programme lourd et condensé. Les repères ne sont plus là pour les orienter vers de nouvelles recherches.  Les limites non précisées, non ajustées avec celles des autres concitoyens sont à l'origine des dérives que nous connaissons aujourd'hui. Dernièrement, tollé quand une école envisageait de présenter un texte à réfléchir qui imaginait des situations violentes et qui demandait une dissertation sur le sujet. Les adultes n'auraient-ils pas encore remarqué que la violence est présentée et regardée quotidiennement par les jeunes sur toutes les télévisions du monde ou insérée dans les programmes vidéo de jeu? L'insécurité généralisée qui s'y regarde avec un œil plus attentif que pour les adultes, crée des envies d'extériorisation, de reconnaissance par la bravade pour narguer l'autorité.

On observe parfois bizarrement les deux extrêmes. Imiter un prédécesseur dans un acte de fausse "bravoure", en dédaignant les autres et virer dans la délinquance ou appuyer par le retour à la croyance religieuse, pratiquer le "don de soi" et cela, jusqu'à la mort. Les nouveaux jeux du foulard pour frôler la mort de près n'en sont qu'une représentation. Les médias feront le tam-tam nécessaire pour justifier les deux idéologies de base. La religion en aura gagné un martyr de plus. Le bon gain n'est pas dans la prise matérielle du bien d'autrui mais dans l'exemple et la prise fonctionnelle de l'autre qui parait mieux fonctionner pour faire évoluer le bien commun.

Une réflexion, une remise en question fondamentale des méthodes et processus, malheureusement sans modèle, s'imposent quand la règle de vie naturelle n'est plus très bien définie. A la veille de bouleversements économiques et écologiques, cette prise de contact avec la dure réalité des réformes se fait évidemment après coup, sans préparation ni tests préalables. En retard d'une guerre, en somme.

Alors, on cherche des solutions tout azimut. Par le départ de la compréhension est certainement une bonne approche des problèmes.

Alors, il y a eu PISA qui désigne le "Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves", et auquel participent 32 pays, avec la coordination de l'OCDE. Ce programme a pour ambition de mesurer les connaissances et les compétences acquises par les jeunes. Évaluations internationales qui dès les années 60, se sont posés la question de millions d'élèves par le monde, des dizaines de systèmes éducatifs et comment se comparer, comment mieux se comprendre les uns les autres et donc, mieux se comprendre soi-même.

On parle aussi de socle de compétence. Ce n'est pas évident de s'attacher à quelques dimensions seulement pour pouvoir trouver un terrain de comparaison. Grosso modo la lecture, la langue, les mathématiques et les sciences sont les domaines sur lesquels, il y a eu un consensus parce ce qu'ils pouvaient être mis à la disposition de la société le plus facilement.

Pouvoir lire, pouvoir comprendre sa langue, pouvoir compter, l'essentiel d'avant.

La diversité, face à des systèmes culturels, des origines culturelles différentes, est venue s'ajouter. Comment objectiver dans ce cas?

Malgré des analyses fines, on ne peut pas détecter par le biais linguistique ou culturel toutes ces épreuves. Le thermomètre, PISA ne permet que de se situer par rapport aux autres externes et pas, en interne, dans chacun des pays concernés, où là, on se cherche encore.

Le fameux acquis, le suivi des acquis démontrait que les compétences en langues, en mathématiques, en sciences, continuent à être loin de la performance demandée.

Dans la pratique, on remarque que les compétences sont très dispersées. La moyenne ne représente pas grand chose. Souvent tirée vers le bas par beaucoup d'élèves faibles qui plombe les résultats. L'origine sociale, véritablement, devrait être tenue comme facteur de correction.

Le niveau socio-économique qui prime sur la plupart des autres caractéristiques des élèves, le fait d'être immigré, n'a quasi pas d'impact par rapport au niveau socio-économique. C'est vraiment un problème de traitement des élèves défavorisés en général et non pas de problème particulier par rapport aux élèves issus de l'immigration. La réflexion doit être intégrée dans la problématique globale du traitement des élèves fragilisés au niveau scolaire ou social.

Du coup, la diversité est devenu primordiale. S'inscrire dans une école de choix  est devenu un problème d'égalité des chances plutôt que de corriger l'erreur de la différence.

educationLa semaine passée, le Nouvel Obs titrait un de ses articles "Grandes écoles: comment rester entre soi?". Comment pratiquer l'ouverture et la mixité sociale?

"Nous sommes contre les quotas de boursiers dans les grandes écoles et les niveaux des concours doivent être les mêmes pour tous", disait le directeur de L'ESSEC, Pierre Tapie avec le souci de l'idéologie républicaine en réplique avec la ministre Valérie Pécresse, qui proposait 30% de boursiers, pour éviter les filtres sociaux. "Discrimination positive", renvoie l'ascenseur. Élitisme, malthusianisme dans un faux numerus clausus. Résultats, les Grandes écoles dans le CGE ne scolarisent que 5% des  étudiants français et diplôment en moyenne tous les ans, 162 étudiants chacun. Les concours sont devenus discriminants et peu adaptés, par trop abstraits, pour se greffer en harmonie dans un profils souhaitable pour une société humaine. Le concours traditionnel ne mesure pas nécessairement le mérite mais force au filtre social. Les "cordées de la réussite" augmentent les chances de plus d'étudiants dans la quantité plutôt que, seulement, dans la seule qualité académique ou géographique.

En Belgique, respecter l'égalité des chances a, pourtant, entraîné des problèmes inextricables et non encore élucidés, lors des inscriptions des élèves dans les écoles du secondaire. Les parents se sont vus, en fille, dans des rues pendant des heures et des jours, pour inscrire leur rejetons. Pour rectifier, l'année suivante, les inscriptions se sont vu tiré au sort. Cette année, nouveau décret dans des listes d'attentes. Comme si ce n'était pas les écoles elle-même qui ne devaient pas se chercher une voie dans l'égalité des valeurs et moins dans l'élitisme concurrentielle entre elles sur la seule renommée.

Les éducateurs de tous bords doivent y mettre un coup dans la rectification de leurs méthodes en les alignant avec les nouvelles normes. Agressivité égale peur remplacée par la sécurité autoritaire et présente dans le futur, égale envie de passer à l'étape suivante constructive d'une existence responsable. Canaliser la violence dans des projets motivants est la seule voie royale. Parler, disserter est une obligation pour ouvrir l'esprit dans la responsabilité et la parfaite reconnaissance de ce que peut être une vie heureuse grâce à soi et uniquement à soi.

Dans un second temps, il sera possible de rouvrir les vannes de la connaissance et penser évaluer les résultats des "chères études". PISA aura son heure de gloire, c'est sûr. Les systèmes éducatifs n'auront seulement pas mis la charrette avant les bœufs. Le socle de la compétence, cité pompeusement et tellement prisée par l'entreprise aura des bases citoyennes moins techniciennes mais plus humaines.

La conception de l'école consiste à sélectionner très tôt. Il faudrait s'attaquer à la racine. Dès le primaire.

Le Science et Vie d'octobre 2009 parlait des connaissances naïves qui entrent à l'école. "Dès sa perception du monde, un enfant tire des conclusions qui, pour lui, ont valeur de vérités. Ces connaissances naïves freinent l'acquisition de savoirs objectifs." Réconcilier logique et intuition est un test qui pourrait abolir les tabous du programme. En France, l'article constatait que 10% des élèves de 3ème ne maîtrisaient pas les compétences de base en mathématiques. La capabilité de la lecture, elle, n'est même pas vérifiée. Le repérage des savoirs "naïfs" de manière expérimentale pour les intégrer aux savoirs proposés en classe pourrait donner un push au résultat final. Le "Projet Coeff", assisté par ordinateur et un programme baptisé "Pirates". Orientation intuitive dans la réalité vécue tous les jours, pour apporter des réponses à un problème. "L'objectif des exercices demandés est d'inciter les élèves à adopter un autre point de vue sur la division, de passer de la représentation de partage à la représentation de distribution". Si le succès est au rendez-vous, la logique et l'intuition, associés, permettraient d'aller plus loin et plus vite. L'élève ne s'adapte, donc, pas à l'école, mais cette dernière s'adapterait à l'élève pour changer.

"Avoir une brique dans le ventre" comme se dit le belge, n'est pas nécessairement réservé à la construction d'une seule maison. Une responsabilité humaine se construit à base de briques rouges et de beaucoup de ciment gris. Elle n'est plus limiter dans le temps. De plus, une maison pour une vie qui y pense encore, aujourd'hui, vu qu'avoir une profession unique pendant cette vie n'est plus assurée. L'enseignant et les étudiants n'auront plus d'âge et devront se remettre à niveau pour suivre l'évolution des connaissances. Dans la "bagarre", il y aura aussi les "self made men" qui réussiront aussi dans la vie et qui auront aussi leurs mots à dire avec une expérience longue comme le bras.

Faudra-t-il abolir les tabous dans le mortier de cette communication et s'émerveiller de leurs avantages?

Pas de doute, l'éducation reste un sujet à rebondissements avec des sources et des résultats spécifiques et aléatoires.

 

L'enfoiré,

Sur Agoravox, des enseignants ou/et des étudiants?

Citations:

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