Il y a de l'eau ferrugineuse dans le gaz (15/11/2012)

0.jpgL'énergie, la phobie à la crème pâtissière ! Le pétrole le sujet de conversation préféré avec l'embout du tuyau de la pompe en main et qui donne de l'urticaire au portefeuille ! Le monstre du Loch Ness, par excellence.

Pour remettre les pendules à l'heure, le 11 janvier dernier, la RTBF avait remis le couvert sur la table avec l'interview de Pierre Terzian, qui était interrogé au sujet du pétrole

Il disait que la barrière des 100 euros pour le plein d'essence, n'était pas loin. Près de deux euros, le litre de super. Aujourd'hui, on apprenait qu'il remontait à 86,35$ tandis que le plan Marshal wallon avait du plomb dans l'aile.

Un véritable yo-yo, ce prix du pétrole.

En janvier, Terzian disait en substance (c'est le cas de le dire...): "Oui, il y a un pic de production. Oui, il pourrait y avoir une grave pénurie en 2015. La consommation et la production sont comme le chat qui suit la souris, qui la rattrape à un point qui ressemble à l'infini. Tout dépend des moyens que le chat y met pour la rattraper. Pour se bouger les puces, le consommateur sera souvent obliger de mettre la main à la poche, mais, pas de panique car il y a de la réserve en attendant l'avant-garde et la garde qu'apporte l'économie verte". 

L'étendue des désaccords entre les pros et les contres du pétrole, il y a longtemps déjà, je les avais déjà mis en avant dans "La face cachée du pétrole", "La réponse de la bergère au berger".

Sans énergie, rien n'est permis. Cependant, il faut se rappeler que la meilleure énergie est celle que l'on ne consomme pas et que l'on épargne pour des moments où elle devient indispensable.

Le guépart ne court pas longtemps à sa vitesse maxi derrière l'impala alors que celui-ci n'a aucune envie de lui laisser ses entrailles en chemin en lui en fait voir des vertes et des pas mûres. 

Le problème chez l'homme, c'est qu'il y a la question "prix à payer" qui est venue s'ajouter. La monnaie d'échange...

En consommateur avisé, il penserait à diminuer sa consommation dans son habitation contre les intempéries, à ne pas avoir à se déplacer pour gagner sa "croûte". Le malheur, c'est que celui qui en a le plus besoin de cette "croûte", qu'on appelle le "pauvre", il ne peut concéder à cette envie de changer ses habitudes de consommation pour se protéger de ses pertes d'énergie pour protéger son logis ou diminuer ses déplacements. 

Le 8 juillet dernier, rebelote, "La fin du pétrole" de "Vu du ciel" ressortait sur France3. Rêves et cauchemars de la modernité qui se retrouvaient à la croisée des chemins dans ses choix énergétiques.  

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le pétrole sur un graphique clair. Bien sûr, il y a les graphiques qui expliquent tout.

Alors, pour dire du pétrole qu'il est le plan des de fin de la partie des globalistes comme outil de la création du chaos qui verra l'avénement du Nouvel Ordre Mondial, il faudrait faire quelques bons pas de côté pour l'extrapoler sur l'avenir.

Les solutions de remplacement existent mais elles butent sur de nouveaux problèmes techniques souvent en relation avec la pollution que la production ou l'utilisation entraînent avec, pour la fine bouche, la politique qui hésite au milieu du gué.

1.jpgCar la résurgence des crises successives se présente et aucune classe d'actifs, n'y résiste ad vitam.

Dans le passé, le pétrole a évité des déforestations  encore plus drastiques comme il était dit dans l'émission "Vu du ciel".

Le problème est que notre consommation quotidienne est devenue une gabegie pour répondre aux buts à atteindre et rien ne présage à ce qu'ellle diminue dans le futur avec les pays émergent qui veulent, à leur tour, leur part du gâteau avec en plus la cerise à son sommet.

Le pétrole pue, c'est évident. Mais il a des avantages et des inconvénients. Il ne sert d'ailleurs pas uniquement d'énergie.

Le plastique dont il est issu, existe dans tout ce qui nous entoure. Il fournit les matériaux isolants, emballages, pièces de voitures, d'avions pour ne fut-ce qu'en réduire le poids.

0.jpgLa Belgique détient le pompon de la production de plastique avec 595 kg par habitant en 2010 (NL:332 kg, D:2,7 kg, F:126 kg), avec Recticel, Deckeuning, Solvay, NMC.

Puis, il y a toujours, quand on consomme, une respiration qui naît par la seule réaction de la spéculation. 

Il faut interdire la spéculation pure sur le pétrole. Extraits: "La forte hausse des prix du pétrole que l’on observait, résulte de facteurs hors de notre contrôle, comme la croissance de la Chine et de l’Inde, qui contribuent fortement à la hausse de la demande mondiale en pétrole. Mais elle provient également de facteurs sur lesquels il est possible d’agir, et en particulier la spéculation sur le pétrole, estime Joseph P. Kennedy II, qui préside Citizens Energy Corporation, une ONG qui vient en aide aux pauvres aux États Unis et dans le monde, dans le New York Times.
0.jpgEn 2009, les marchés à terme négociaient plus d’un milliard de barils de pétrole par jour. Comme le monde entier ne produit que 85 millions de barils réels, cela signifie que plus de 90% des contrats portant sur le pétrole sont spéculatifs. Du fait de cette spéculation, on constate une déconnexion totale entre les coûts d’extraction, qui se montent à 11 dollars par baril en moyenne dans le monde, et le cours du baril, qui frôle les 100 dollars. Selon Rex Tillerson, la spéculation pure représente 40% de ce montant, ce qui a été confirmé par un rapport récent de la Federal Reserve Bank de St. Louis. 
Les accises et les taxes pour soutenir les États font le reste avant d'atteindre les consommateurs finaux.  Pour certains économistes, la spéculation est bénéfique, parce qu’elle permet de mieux répartir les risques pour les opérateurs du secteur de l’exploitation pétrolière si ce n'était pas la plus grosse partie de cette spéculation qui provient des Hedge Funds, dont l’intérêt est de faire monter les cours pour augmenter leurs profits. Le pétrole est une ressource stratégique, omniprésente. Lorsque les cours du pétrole se mettent à monter, c’est toute la chaîne des prix de l’économie qui se met à grimper derrière lui. En 2008, le Congrès américain avait fait passer une loi pour imposer plus de transparence pour limiter la spéculation pure à 25%. Pour que les fondamentaux de la vie, la nourriture, le logement, la santé, l’éducation subsistent, il faut que l’énergie reste abordable pour tous". 

On apprenait, alors, pour un tour que l'essence et le diesel partent à la baisse jusqu'au round suivant où elle sera à la hausse.

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Aux dernières nouvelles, les États-Unis se sont remis à pomper les dernières réserves de pétrole au Texas. La volonté est de ne plus en importer, d'être auto-suffisant sans trop se préoccuper des écolos qui crient aux scandales face aux nouvelles méthodes utilisées pour pomper le pétrole et le gaz non-conventionnel.

Le pétrole abiotique, une autre théorie?

En période de crises, on parle de relances, de réindustrialisation comme Obama voudrait le faire pendant son deuxième mandat. Cela nécessitera beaucoup d'énergie.

Ce que disait Pierre Terzian, en début d'année, tient toujours.

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On peut presque tout faire, à condition d'avoir les moyens suffisants pour y arriver aussi bien chez les producteurs que chez les consommateurs qui devront l'assumer. Ce sont ces derniers qui imposent, en définitive, la ligne de conduite, en fonction de ce qu'ils sont prêts à sacrifier et les premiers qui répondront à la demande. Encore une histoire de poule et d’œuf, en quelques sortes. 

Les solutions existent et étaient révélées dans "La fin du pétrole". 

0.jpgPuis, il y a les surprises. Le S&V de juillet enfonçait le bouchon et "osait écrire" qu'il y a plein de pétrole en France! Un fabuleux gisement même sous le bassin de Paris. Le pétrole de roche mère ou pétrole de schiste digne du Moyen-Orient ! Entre 20 et 65 milliards de barils de brut qui représente 30 années de consommation nationale mais dont deux milliards étaient réellement exploitables. Les griefs sont nombreux: consommation énorme d'eau, contamination des nappes phréatiques potentielle, quadrillages des plates-formes dans le paysage...

En cette période de relance de l'économie, le pétrole sous toutes ses formes va encore vouloir giclé de partout.

Consommer ou mourir est presque les seules alternatives. L'antagonisme entre le rejet ou l'attentisme de la France et le pragmatisme des États-Unis resurgit de plus belle. La Belgique n'aurait pas beaucoup de gaz de schiste dans son sol, mais des réserves de biomasses, d'après le géologue Alain Préat

La recherche continue pour diminuer le problème écologique et l'utilisation de l'eau. La fragmentation via un arc électrique qui réduirait son utilisation et les fissures, l'injonction de CO2, de l'air comprimé ou d'hélium.   

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Dans un marché baisser, c'est toujours la complaisance qui prime. Pour éviter des pertes superflues, il faut forcer à penser aux choses à ce qu'on ne pense pas de prime abord comme le remarquait une économiste : "Qu'est-ce que les gens ont tous oublié ? A propos de quoi sont-ils devenus complaisants ? Complaisant, ils l'ont été concernant la guerre qui fait rage au Moyen-Orient entre l'Arabie Saoudite et l'Iran qui empire de jour en jour. Pas une guerre civile en Syrie décrite comme une guerre entre l'Iran et l'Arabie Saoudite. Une répétition du scénario qui se déroule dans la région depuis le début du Printemps arabe. Les régimes autoritaires (autrefois soutenus par les alliés américains et européens) ont disparu. Ils ont laissé un vide gouvernemental que se disputent les Sunnites, les Chiites et d'autres groupes. Il y a cinq ans, tout signe d'insurrection civile dans le monde arabe suffisait à faire grimper le prix du pétrole. La prime “géopolitique” du pétrole a largement contribué à sa hausse vertigineuse vers 145$ en 2008. Ensuite la combinaison de la crise financière et la dégringolade de la croissance et les prix du pétrole se sont mis en chute libre avant de se remettre à grimper. Le prix spot du Brent a grimpé dans la foulée seulement par suite d'effets géopolitiques et d'une guerre par procuration. L'Iran, l'Arabie Saoudite et la Turquie tentent de tirer leur épingle du jeu. Obama, pendant son deuxième mandat, devra s'y atteler et garder son attention vers l'Asie et le Moyen-Orient puisque la guerre contre l'Iran considérée comme calmée. Les traders, quant à eux, se réservent toujours l'autre alternative de ce qui arriverait au prix du pétrole, si l'Iran fermait le détroit d'Ormuz, toujours obsédés par la politique monétaire et les déficits budgétaires. Une guerre ouverte avec l'Iran? Non.  D'abord, le sabotage industriel par le biais de logiciels comme Stuxnet et Flame est beaucoup plus simple. Le deuxième objectif, calmer les alliés dans la région.

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Puis, comme une sorte de miracle, remarquer que la combinaison des forages horizontaux et de la fracturation hydraulique a déverrouillé de gigantesques réserves d'énergie auxquelles les États-Unis ne pouvaient pas accéder auparavant. 

Cette technique consiste à pulvériser de l'eau à très haute pression dans la roche à 2500 mètres de profondeur mais, elle pose problème à de nombreuses associations environnementales. Le gaz de schiste bitumineux, le pétrole offshore sont là pour rendre le Moyen-Orient moins important, moins dépendant économiquement et géopolitiquement. 

Le Qatar, le plus grand exportateur mondial de gaz naturel liquéfié (GNL) reste un important aiguillon pour l'exploration énergétique et la production non-conventionnelle partout dans le reste du monde. De l'offshore d'Afrique de l'Est au Cooper Basin, la technologie des champs pétroliers a libéré le monde de la dépendance pétrolière au Moyen-Orient. 

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Le mot d'ordre est de renforcer la tendance de trouver et produire sa propre énergie ou une énergie provenant de régions qui ne sont pas au beau milieu d'une guerre de religion majeure.".

"Connexions" reposait la question des énergies non-conventionnelles à la population belgeLa Belgique, jusqu'ici, s'approvisionne en électricité à l'étranger à raison de 30% de sa consommation.

Le problème des fissures dans les centrales nucléaires a réveillé les craintes de pouvoir s'approvisionner en énergie pour les grands froids de l'hiver. Le gouvernement français ne veut pas entendre parler d'extraction des gaz de schiste sur son sol alors que les États-Unis, toujours pragmatiques, se sont lancés à fond dans cette bataille. 

2.jpgLe recours aux gaz de schiste pourrait augmenter le PIB américain annuel de l'ordre de 0,2%. Un atout appréciable mais pas nécessairement une révolution et qui sait, peut-être, une autre forme de  "kick the can down the road".  

Tôt ou tard, les choix de l'Amérique vont forcer l'Europe réticente, à remettre ses propres modes d'approvisionnement énergétique en question. La Chine possède des réserves qui dépassent celles des Etats-Unis. 

Et puis quand y a plus, on peut toujours en fabriquer. Les micro-algues n'attendent qu'une exploitation. 

Le livre de Yves Cochet "Pétrole apocalypse" rappelait que les énergies fossiles étaient déclinantes.

Mardi dernier, c'était lui l'invité de la Première pour en parler.

Pour lui,  son credo, c'est revenir à l'énergie verte, au durable, à la récupération, au recyclage et oublier les énergie fossile comme le charbon.

Une heure de soleil fournit l'électricité pour toute la planète pour un an. Il envoie 7500 fois plus d'énergie que l'humanité en consomme mais ce sont les plantes qui en profitent le plus avec la photosynthèse. Tout à fait. 

Les énergies renouvelables deviennent de plus en plus importantes. C'est évident. 

Le "Science et Vie" de juin 2011 titrait "Un succès sous condition" en parlant des deux voies: panneaux photovoltaïques et centrales à miroirs.

Former 500 réacteurs nucléaires et des milliers de centrales au charbon ou à gaz alors que le coût du solaire est à multiplier par quatre, c'est une place difficile à trouver au soleil entre centraliser ou autonomiser. C'est aussi un besoin d'inventer la batterie efficace qui récupère et stabilise l'électricité bien plus longtemps qu'aujourd'hui.

A la mer Rouge, le soleil produit 300 W par m2 et par an, tandis qu'à Londres, cela descend à 105 W/m2/an. Toujours une question de rendement.

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Dans le désert du Sahara, il faut aussi prévoir le nettoyage des capteurs pour contrer les vents de sables. Comme rien n'est à proximité, ce serait aussi passer au courant continu de un million de Volt pour contrer le problème de perte suite à l'effet de Joule du courant alternatif.0.jpg

Quant au vent, là, tout dépend du souffle. Que l'on jette un coup d'oeil vers le Danemark, là, où on les installe en mer, ces belles éoliennes. La marée motrice avec les marées de La Rance, ce serait con de ne pas aller lui prendre ce qu'elle a dans le ventre.

L'Islande, sur ses volcans, avec la géothermie, est certainement avantagée.

En résumé, tout n'est pas exploitable et rentable, ni propice partout. 

Le solaire spatial avec satellites et lasers à infrarouge, cela marche, ce serait une bonne solution quand il n'y a pas de nuages à traverser pour arriver sur Terre. 

0.jpgAvoir tort d'avoir raison trop tôt, c'est peut-être le risque des décideurs. Changer de mode de vie dans un sens ou dans l'autre, demande d'énormes investissements et un retour sur investissement pour réinvestir à nouveau dans un cycle sans fin.

L'obsolescence des matériels doit être comptabilisée avec la rentabilité. L'amortissement fait partie du prix.

Sans les subsides des États, les citoyens prendront les moyens les moins chers pour s'énergiser ou pour s'en prémunir. Beaucoup de sociétés de capteurs solaires locales se sont plantées, attaquées par la concurrence des prix bas chinois.  

Les nanotechnologies, aimées ou non, vont devoir révolutionner les idées reçus en multipliant la rentabilité par un facteur important.

La fusion nucléaire, le fameux "Soleil sur Terre" a coûté et coûtera encore des sommes considérables. Ok. C'est pour dans un futur de 50 ans. Encore d'accord. Quand on y arrivera le problème de l'énergie n'en sera peut-être plus vraiment un.0.jpg

Les gens n'ont jamais aimé avoir raison tout seuls.

Celui qui gagnera deviendra demain le maître à danser de la planète.

Ce sera celui qui aura les idées larges qui aura testé avant les autres, avec des vues opportunistes souvent plus hybrides qu'on le croit. Être hybride par opportunisme, c'est quelque part comme fait la Science qui n'est jamais contente de ce qui est à sa disposition et continue à chercher toujours autre chose de meilleur, de plus efficace, parfois à fonds perdus.

Yves Cochet rappelait, mardi encore, la phrase de Woody Allen, "il est toujours difficile de faire des prévisions, surtout lorsqu’il s’agit de l’avenir".

Quant au passé, imaginons ce qui se serait passé, s'il y avait eu un parti des écologistes, il y a un peu plus de 150 ans. La voiture, les voyages, n'existeraient pas aujourd'hui. Le pétrole a été exploité en 1857 en Roumanie et en 1859 aux États-Unis, dans l'État de Pennsylvanie. Cinquante ans plus tard, il y était devenu une matière première  stratégique.

0.jpgL'Atlas des utopies (Le Monde) a un chapitre qui imaginait un futur à 100% de renouvelable. Capter l'énergie au plus proche de la source solaire ou récupérer les orages. Une discussion intéressante et un graphique qui montrait les pays scandinaves parmi les candidats les plus vraisemblables. La Suède étant dans le top de tête actuellement.

Aujourd'hui, le pétrole dit non-conventionnel est une sorte de retour aux sources.

Le secteur de l'énergie verte va rapidement perdre de l'argent.

Cinq "contre-révolutions" le prouvent et disent que:
1. Les États peuvent, à présent, revendiquer les réserves d’énergies fossiles jusqu'à 200 milles marins des côtes.
2. La découverte de "nouveaux" champs pétrolifères conventionnels.
3. La découverte de "nouveaux" champs gaziers conventionnels.
4. L'essor du gaz de schiste (selon Furfari, il s'agit plutôt de "gaz de marnes" ou " de pélites").
5. L'essor du pétrole de schiste.

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Suivre les réflexes chinois qui n'acceptent aucune ingérence dans leur politique. Nous ne serons pas loin de ce qu'il faut faire. Eux, attentistes, investissent dans tous les types d'énergies dits "hybrides". 

Cette histoire de gaz de pétrole m'en a rappelé une autre : celle de Bourvil qui avait un sketch toujours en noir et blanc qui disait "J'arrête de boire".

Lui, au moins, il devait avoir tout compris.

     

L'enfoiré, 

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Citations :

 

 

1.jpg25/04/2013: Le gaz US mine la chimie européenne.

 

 

 

0.jpg22/05/2013 : Rifkin dit que pétrole et gaz de schiste sont des énergies du passé. Le problème, c'est que le vrai futur est encore loin.

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