Le bluzz du philosophe et du scientologue (13/09/2012)

L'article précédent tentait de donner le cheminement de l'information. Avant l'information, il y a la formation. Les "Hautes Études", souvent poussées en avant comme l'apanage de la réussite dans la vie. Sur une autre antenne, un scientifique expliquait, par le détail, sa déconvenue avec ses propres réalités. Si pour confondre les Sciences du Numérique cartésiennes et les Sciences Humaines se retrouvaient dans un même bocal sociologique et si j'essayais d'en faire une allégorie, qui commencerait par "Il était une fois"?

0.jpgLa conclusion pratique en dehors de toutes considérations personnelles de "Êtes-vous auto-immune ou polythéiste?" serait de dire qu'ouvrir un blog, intervenir sur un forum, c'est aimer la confrontation des idées et prendre des risques. C'est aller de haut en bas et de gauche à droite et cela, sans vergogne.

Quand il y a conflit, en trouver les raisons, une issue sans déshonneur ni pour l'un ni pour l'autre. Puis chercher à rectifier ses préjugés, sans considérer les autres comme des trolls, est une opération qui demande de l'abnégation. Se tromper n'est pas le problème. S'excuser fait aussi partie du processus. Seul la récidive peut donner des soupçons de propagande. Oser répondre avec ses propres convictions demande de l'expérience pour être convainquant.

"L'ordre libertaire", un nouvel essai de Michel Onfray détermine une marche à suivre, mais qui sont, en fait, des règles implicites de vie naturelle en société.

Les conseils, pour se comporter après une erreur de jugement, relève de la psychologie des acteurs en présence. Avoir raison, tout comme avoir tort, ne veut rien dire. Une vérité est trop à la merci d'une découverte qui bousculera les préjugés. Penser la même chose au même moment est plus simple et plus on avance dans le temps, plus on croit les caractères s'affirmer tout en restant dépendants des idées reçues. Des clans de partisans se forment, ainsi, en osmose, mais sans détenir toutes les cartes en main que l'on l'appelle "expertise".

Un article écrit par une rédactice, expliquait ce qu'elle avait aimé en Facebook avec un titre oxymore "Facebook, c'est de la merde". Des commentaires, comme pugilat, se terminaient par un jeté d'éponge en manque d'arguments, poussés par des insultes déversées en parallèles sur l'antenne Facebook défendue. L'empathie, préconisée par l'idéologie de Facebook, faisait place à un égocentrisme qui n'osait plus dire son nom.

Ne pas aimer les oppositions, les rejeter sans les écouter, ce serait seulement appuyer l'idée que seuls, les amis apportent la preuve que notre vérité est la seule vraie.

Régis Debray remarquait que l'on dit "je" en "nous", que l'on continue à dire "nous" en "je". Dans "Moment de fraternité", Debray exhortait à partager quelque chose de plus grand qu'eux sous une forme de nation, d'idéal, de mythe et... de dieu.

D'aller au plus difficile, au moins évident, quitte à faire rigoler ou grincer. Lui, le désespérément agnostique, comme il se nomme, avec son matérialisme bien connu, se retrouvait, tout à coup, dans une fraternité humaniste et républicaine avec seulement le "concret littéraire" comme allié. Effet de l'âge qui ne faisait plus que se promener dans le communautaire dans une génération de Série B.

Rechercher le pluralisme d'idées, relié à l'humanisme universel, s'il faut en connaître les filières et les aboutissements du monde et en se nommant du tellement galvaudé surnom de "citoyen du monde" mais en n'ayant fait que les premiers pas de la reconnaissance sur celui-ci, ne tient pas la route très longtemps.

Internet, pourtant préparé pour casser les frontières, ne fait souvent pas mieux que d'offrir le monde à portée de clics dans un conflit générationnel du coeur, contre un concept plus rationnel sans écoute de l’altéralité, limitée aux préjugés culturels et des convictions sans preuves.

Seuls les voyages et les rencontres fortuites, non préparées, permettent parfois d'atteindre le bon fond du filet en étant plus brutes, moins apprétées, plus sociables.

La forme restée dans la mémoire collective scolaire reste entravée à la ou les langue(s) apprise(s) et Internet ne devient qu'une grande toile de minitels. Il est dit que le fait "communautaire" captivait Debray. Le côté communautaire, identitaire hérédité en supplément peut avoir plus que des aspects négatifs.

Le clivage démocrate et républicain, gauche et droite plait à Debray et il reconnait la fierté d'appartenance à la "Manifest Destiny", le "One nation under God" qui construit l'américanité, s'il ne voit pas le côté sectaire de l'affaire, par quoi lui donnerait-on la cuillère salvatrice? Dans notre monde, le goût du terroir arrive très vite à celui du "tiroir" (caisse s'entend). Debray se reconstruit comme un nouveau Liszt dans une "Jeunesse du sacré".dans le crépuscule de sa vie.

0.jpgAux portes de l'emploi, le jeune et le moins jeune se retrouvent trop peu ou trop qualifiés. Opposé au vieux. Ce n'est pas récent. Génération contre génération.
Alors, si on cherchait à expliquer cette inadéquation avec les besoins réels de l'époque et des entreprises.
On demande de la flexibilité en tout, dans le temps et dans l'espace.
Une question de QI? Ce quotient immature, véritable imposture? Pas du tout. Une belle gueule, bien faite, une belle présentation? Cela peut aider mais ce n'est pas déterminant.
Ne plus être dans le coup, une autre cause? On est très vite obsolète surtout quand on reste sur le carreau trop longtremps.
Question de mauvais choix des études? De mauvaise planification? Manque de motivation? Là, on se rapproche.
De toutes manières, si on a besoin de vous, de votre compétence, on saura vous trouver après votre pub perso.
 
Choisir ses études en fonction de l'emploi ?
Quelle voie choisir? Université ou école supérieure ? Choix cornélien. Certaines filières sont réputées plus que d'autres pour déboucher sur un emploi mais le diplôme miracle n'existe pas.
Orientation Ingénieur, pharmacien, vétérinaire, informaticien… autant de filières universitaires qui brassent chaque année de plus en plus d'étudiants en Belgique. Et pour cause : en septembre 2011, l'UCL constatait une hausse des inscriptions en sciences de l'ingénieur (spécialité gestion, civile ou agronomie toutes confondues), en sciences de la santé ainsi que dans les professions de médecin, dentiste et vétérinaire. Des cursus à tendance scientifique où le profil des étudiants est parfois très recherché par les recruteurs.
Des filières qui cartonnent:
Ingénieur: civile, de gestion, agronomie ou biomédicale.
Informatique. Diplômés, les pros de l'informatique connaissent très peu le chômage.
Mathématiques/statistiques. Banques, assurances, industrie, informatique, enseignement, recherche. 
Education physique. Actuellement en pénurie, les psychomotriciens et ergothérapeutes.
Pharmacie. Exercer en officine, dans l'industrie, un hôpital ou le secteur public.
Vétérinaire. A la ville ou à la campagne, dans le public ou le privé.
Enseignement. Toutes disciplines sont souvent très demandés.
 
0.jpgDécrocher un travail n'est pas seulement une question de diplômes mais aussi de personnalités, de motivations et de qualifications. L'orientation doit reposer principalement sur le goût pour la profession qu'on se destine à exercer à l'avenir.
«  La motivation, la capacité à s'investir et à se projeter ne seront pas les mêmes selon que l'on choisit une profession par sécurité ou par engouement ».
 
Les filières des sciences humaines sont-elles devenues le parent pauvre de l'accès à l'emploi ? Pas du tout.
« Les romanistes, sociologues, historiens ou anthropologues ont reçu une bonne formation générale et conviennent pour de nombreux postes dans le secteur public ou privé. De par leurs capacités d'analyse, de synthèse et de rédaction, ils peuvent prétendre à de nombreux postes dans des domaines insoupçonnés et très variés comme la grande distribution ou le développement durable. Encore faut-il qu'ils en soient conscients ! ».0.jpg
 
C'est alors que derrière un bureau, se cache ce qu'on peut appelé une "grosse tête", mais qui semble avoir raté le coche et la montre en or dans la pratique sans le reconnaitre.
Il écrit avoir "Une vie de chercheur avortée" (1), (2), (3), (4), (5), (6) bien épicée, mais, peut-être, trop poivré.  Manque de chance de pouvoir prouver sa valeur avec des gens qui savent découvrir la cerise sur le gâteau, semble être le cas.
Romancée, sa vie, telle que l'a raconté, Bernard? Pas vraiment, Une romance est en principe, belle. Sans intention de les donner, il laissait toujours quelques détails de lui dès les premières lignes. Hors, ces lignes ici, ont été nombreuses et pas que dans ces seules circonstances. Les précédents ont existé.
 
La technologie est un levier pour la Science. Cette dernière vire parfois au scientisme, se gargarise de ses découvertes en publiant pour gagner une chance d'exister. Alors, on publie, oui. Le plus grave, le public s’en fout de la procédure. Il ne voit que le résultat pratique qui lui facilitera la vie. Partie prenante, il veut en profiter sur tous les fronts sans en subir les inconvénients.
0.jpgAlors, sous-qualifié, sur-qualifié, numérotés, que les hommes s'évaluent, se surnomment, se surclassent et se déclassent, croyant tout savoir, mais en oubliant que n'importe quelle étiquette se décolle toujours avec le temps.
Nous sommes dans une ère de gagnants.
Alors, je me suis risqué et aussi amusé à relier le science avec la sociologie à la recherche de l'impact du social sur leurs représentations et comportements humains.
Paragraphe essayiste, s'il en est, donc. Indulgence nécessaire:
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Il était une fois une formule magique:  E=MC².
"Nous sommes tous des poussières d'étoiles", disait Hubert Reeves.
Pas à dire, elle était belle, cette formule. Compacte, concise, facile à retenir, elle avait tout pour plaire.
Que disait-elle, en fait? 
Que sans masse, c'est rester sans énergie en finale, Idem sans idées, sans philosophie.
Que sans vitesse, ce serait, également, sans énergie, en bout de course, ou sans interactivité, sans communications entre les hommes. Le vide intersidéral., quoi...
 
Avec seulement quelques particules de matière en présence, les atomes, les ions et les électrons libres ou en gravitation, cela devient des ensembles qui s'entrechoquent, qui se superposent ou s'écartent en fonction d'une polarité..
Les atomes ont une hiérarchie liée à leur poids atomique, à traduire par leur poids philosophique familial. En Science, on parlerait de "Table de Mendeleïev" tandis qu'en  sociologie, on pourrait l'appeler la "Table des Sociétés Humaines". J'ai dit "Sociétés" et non pas "Ressources", car on les confond aujourd'hui.
Autarciques, certains atomes pourraient se suffire à eux-mêmes, du moins, jusqu'à une certaine densité. Mais ils vivent en système binaire avec des charges opposées, négatives et positives. Vu de l'extérieur, ces particules chargées s'attirent comme l'aimant entre "amants", en général, pour le meilleur et pour le pire, mais à une distance qui reste respectable tout de même dans leur cas.
Quand il y a déséquilibre, la tendance est de s'associer avec leurs semblables quitte à grossir.
Trop gros, trop lourds, ils en arrivent à devoir éliminer leur trop-plein de forces électriques, pour vivre plus heureux ensemble. On n'aime pas les gêneurs dans le système atomique. Ils en deviennent actifs et parfois, radio-actifs. La nature a communiqué sa matière, son essence. Pour se faire, elle envoie des ondes plus ou moins bénéfiques ou néfastes dans son environnement immédiat.
Plus les atomes grossissent, plus ils se rassemblent, plus ils se ressemblent, plus ils se sentent instables empêtrés dans des relations trop équivoques. L'embonpoint guette. La vitesse diminue. L'énergie, avec elle.
L'instabilité devient vraiment chronique. La masse critique atteinte, la "démocratie atomique" n'a plus toute sa raison et... toute sa tête. 
En déséquilibre électrique, les atomes s'excitent. Devenus ions avec leur trop plein de charges, il vont s'atteler à éjecter leurs électrons pour ne pas mourir. Raison invoquée par le philosophe de service: "Trop de disparités d'opinions".
Toujours est-il qu'ils sont prêts à toutes éventualités. Attentif à tout ce qui passe à proximité pour évacuer et pour "éliminer".
Un autre atome s'avance. Merveilleux, se dit le visiteur et le visité, on va pouvoir dialoguer, mesurer nos convictions, nos différents et... échanger nos opinions d'électrons.
Une chance, le visiteur est très philosophie. Il construit pour combler son propre déficit avec la charge du visité. Ils causent, se confondent en émotions, du bout des lèvres. Ils se marient et eurent beaucoup de beaux atomes bien stables chimiquement. Une histoire de Roméo et Juliette qui poussent un ouf de soulagement dans un "happy end".
Mais, sans le savoir, ils ont changé de famille par la même occasion. Pas vraiment de culture, ne vous en faites pas. Ils ont toujours la même langue.
Ils ont seulement comblé leur dernière couche, celle que l'on appelle la "valence", dans le jargon local, de "valeurs", dans l'autre. Les autres couches n'ont pas été inquiétées et gravitent en silence autour du noyau sans bruit. L'intégrité est toujours entières et respectée à bord. 
Un électron libre à grande vitesse passe comme un météorite dans le vide sidéral. On ne sait d'où il vient. Il n'a presque pas de masse parmi ces "monstres", mais il est rapide comme l'éclair et son énergie potentielle compense son manque de poids. S'il ne brûle pas toute son énergie avant l'impact, le choc est programmé, inévitable et il sera terrible.
Il va "fissionner" et transformer les plus gros de ce monde de "grands-petits" en "petits de grands". Quelle catastrophe! C'est le chaos. Toute la famille est fâchée. Les assiettes volent, les élypses se cassent. Comble de malheur, la famille se divise, se disloque. Ce faisant, la dispute a produit une épidémie avec une énergie cynétique qu'on ne contrôle plus. Les "morts-vivants" conducteurs revivent dans une réaction en chaîne.
L'astuce pour y échapper, on cherche un refroidisseur. En refroidissant au zéro absolu, ils en deviendraient supraconducteurs. Immobiles, à froid, les "monstres" deviennent invisibles aux électrons libres. Le froid les a entubé en nanotubes de Carbone. Là, on risque de chanter un cantique avec du quantique dans un autre monde avec des lois encore plus folles comme des aliens peuvent le faire. De la gravité, ils s'en foutent allègrement à cette échelle.
Les grandes malins s'évertuent de rassembler les "petites" de manière artificielle en troublant les règles de la nature. D'alchimistes, les chimistes, vont gagner leur galon à l'échelle nanométrique. 
A l'origine, on cherchait de l'or, on a créé des molécules inconnues et complexes pour arriver à construire la matière, atome par atome. On n'avait jamais vu cela... Tout devient possible. On fait du sur-mesure.
Si, par chance, les molécules avaient seulement un goût aminé et non plus animé, elles vivraient en se construisant en longues chaînes d'ADN, comme les "Avancées Des Nodules" et le monde du vivant ne serait plus très loin. Mais on n'en est pas encore là.
Véritable miracle de la conception, le monde du vivant a un défaut: il existe dans un espace temps donné, limité et très variable. Plutôt gênante, cette situation dans l'éphémère. 0.jpgDans ce monde des particules, il faut dire qu'elles se paient une intrication quantique. Je n'ai pas dit, un choeur cantique. Ou alors, les chanteurs ne seraient jamais là où on le pense. Difficile pour un chef d'orchestre de diriger des chanteurs qui auraient la bougeotte à la recherche du chaos. Le chef Einstein était contredit par l'autre chef, Niels Bohr.
Philosophes, ces particules? Non. Pourtant, une action fantôme les reliait. Pas par un filtre d'amour, mais par un besoin de l'une  de faire de exactement l'opposé de ce que l'autre ne pouvait pas faire comme les gants de deux mains. Même les Qbits ne répondent plus comme les bits 0 et 1. Voilà que l'on se rapproche des humains et qu'une porte n'est plus uniquement ouverte ou fermée: elle peut être entrouverte!
Là, cela se corsait vraiment. Les possibilités analogiques qui rejoignent les numériques.  
Alors, il y a eu les super-malins. Eux voudraient aller encore plus loin en les domestiquant. Apporter les énergies nécessaires pour casser les répulsions électriques d’intégrité qui tiennent à distance les ultra-petits. Ces super-malins se rencontrent dans le soleil. C'est légitime de les penser possibles, même sur Terre.
Aspect négatif, l'énergie nécessaire pour casser leurs répulsions naturelles, est phénomènale. C'est qu'ils ont leurs préjugés culturels, ces bougres! Ce sont des disputes entre eux, à n'en plus finir. On aime rester "petit" puisque tout petit est gentil, c'est bien connu. Surprise, aux premiers essais, fusionnés, ils fournissent encore plus d'énergie en fusionnant qu'en se fractionnant. 0.jpg
Comment arriver à les faire enrager et les faire aller dans leurs derniers retranchements? Tout est là. Des années, une vie, plusieurs, on ignore. à rechercher l'inaccessible étoile. Les plus récalcitrants ont leurs bijoux de famille, et ce n'est que par la force des baïonnettes, des machines à leur échelle, dans une véritable bataille dont on ne connaît pas l'issue, mais on y travaille. Les irréconciliables restent, encore, à l'échelle atomique et pas industrielle.
Puis, il y a ceux qui ne s'y retrouveront jamais qui continueront à se bouffer le nez sans laisser de trace en disparaissant dans des trous noirs. Matière contre anti-matière dans une fuite en avant, irrésistible. Mais il y a encore une erreur dans les calculs, une question de poids, de masse. On ne cerne pas trop bien le problème. Qu'est-ce qui fait que des propriétés aussi intéressantes disparaissent dans le monde des grands et qu'Einstein puisse redorer ses théories?
0.jpgSi cela ne clope pas dans les calculs mathématiques, c'est qu'il doit bien y avoir un chaînon manquant quelque part, est-il dit dans les couloirs. Originelle, une "particule de dieu"? "Ne bosons pas, mais si...", bosons, bien au contraire. Un surnom pour une particule, non, une simple boutade, comme il y en a tant, lancée par un scientifique qui était d'humeur passagère...
Cela ne remuait pas les foules bien que toutes les familles scientifiques s'en retrouvaient mal prises, mal à l'aise. Même les sociologues en était pour leurs frais, si la physique s'en retrouve rajeunie lors de la découverte de cette particule.
Et dieu dans tout ça? se demandait l'un d'eux. "La création, cette putain", répondait l'autre en mal d'imagination. On a l'air de ne plus réfléchir qu'avec son rétroviseur avec une dose de fétichisme, d'égocentrisme dans une course dont on ne verrait jamais le poteau d'arrivée. On se retrouverait à 90% dans un réseau asocial.
 
Qu'avons-nous observer dans cette allégorie? Tout est resté standard, trop normalisé. Une espérance que cela reste ainsi jusqu'à la prochaine fois ou jusqu'à la fin des temps comme une sorte de CQFD  "C'est Quelqu'un qui Fait Dire".
Qu'ils n'y croient toujours pas, encore, une fois, chacun est resté sur ses positions. 
La Science, elle, doit se remettre en question, garder le besoin de chercher, de chercher en anticipant mathématiquement avant de trouver de visu et rechercher à nouveau sans fin même quand tout le monde s'en fout. 
La philosophie et la psychologie resteraient-elles, à la traîne avec un cerveau à découper en rondelles sans une remise en question.
Seul l'avenir répondra mais progressivement.
Mais, avant que le rideau ne tombe, prenons du champ, de l'espace par l'autre bout, en apprenant que...
1. Un bébé, avant de le plonger dans un bain, il faut vérifier la température de l'eau
2. Quand le bébé crie, il faut vérifier sa nourriture, sa couche, son sommeil pour espérer, ainsi, le rassurer
3. Et finalement, fixer les limites de ses jeux dans son environnement.
 
Ne sommes-nous pas tous des bébés qui ont un peu grandi en taille? 
Reste l'espoir que l'allégorie ne s'écrive pas sous la forme "allez gorille", cette fois.
 
Si la pensée, la Science ou la Philosophie ne restaient pas curieuses qui le pourrait?
C'est un peu ce que les jeux paralympique voulaient prouver par une ode à la science.

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L'enfoiré,
 
Articles annexés: Plus de rameurs, SVP. et Non, la technicité n'est plus seule.
 
Un site que j'ai découvert et qui exprime le pont de vue
 
 
 
Citations:
  • "Je n'ai jamais compris comment le risque d'avoir un biographe n'a jamais dissuadé personne d'avoir une vie", Emil Ciroran
  • "Il y a des temps où l'on ne doit dispenser le mépris qu'avec économie à cause d'u grand nombre de nécessiteux",  François-Rene de Chateaubriand
  • "Toute discussion se réduit à donner à l'adversaire la couleur d'un sot ou la figure d'une canaille", Paul Valery
  • "J'ai cherché de grands hommes et je n'ai trouvé que des singes de leur idéal", Friedrich Nietzche

 Mise à jour 14/12/2012: Sur ARTE: "Le mystère de la matière noire"

Dans nos modèles physiques, le poids de toute la matière observable (étoiles, galaxies...) ne représente que 4 % de l'univers, alors qu'une matière inconnue, invisible, qu'aucun outil n'a jamais permis de détecter, peuplerait massivement le cosmos. Aujourd'hui, astrophysiciens et cosmologistes, chercheurs dans les champs de l'infiniment grand et de l'infiniment petit, unissent leurs forces pour résoudre cette grande énigme : quelle est la nature de cette fameuse "matière noire" ? 
 

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