Jobs contre Flops (13/10/2018)

0.JPGDes élections communales auront lieu demain en Belgique.

J'en avais déjà donné le parfum dans "A vos marques électeurs" avec les affiches électorales du temps jadis.

"Élire, c'est guérir", au temps de Sarkozy.

Cette semaine, il y a eu un cirque entre Elio Di Rupo et Charles Michel du style "Je t'aime, moi non plus", alors qu'en dehors de l'arène, les sourires même narquois, sont de rigueurs.

Pour finir, il y a eu cet article de Philippe "Pourquoi, je ne voterai plus" qui ajoutait une couche...

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0.JPGComme le dit Bertrand Henne dans les "Coulisses des pouvoirs"podcast, ce fut un véritable combat à la Chambre entre les "Job, job, job" de l'un et les "Flop, flop, flop" de l'autre.
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Non, ce ne fut pas les félicitations que Charles Michel attendait mais ne ne le fut pas plus pour Elio Di Rupo.
 
Au slogan "Job, job, job" contre "Flop, flop, flop", j'ai envie de lancer le slogan "Con, con, con".

Con d'un côté d'avoir imaginé pouvoir faire un bilan pour demander l'approbation de l'assemblée juste avant les élections.

Con de l'autre, en se prenant comme "sauveur du peuple" et de parler de travail alors qu'il s'agit d'emploi de temps rémunérés ou non.

Car, qu'on se le dise, beaucoup de types de travail sont périmés dans le paradigme numérique.

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La politique

0.JPGSi on sélectionne la catégorie "Politique" de mon site, pas à dire, c'est touffu.

On trouve un peu de tout comme les fromages belges tellement la politique peut faire tourner les têtes et les tables de spiritisme rien qu'en sortant ce mot dans une conversation.0.JPG

Alors, je vais continuer dans le ton de l'humour.

Les livres récents "Psychopathes qui nous gouvernent" écrit par Jean-Luc Hees et  "Prédateurs" avec le sous-titre "des milliardaires contre les États" de Catherine Le Gall et Denis Robert explicitent aussi bien le secteur privé que privé.

Où se trouve les autres riches?

Dans le "show biz" et le "footgate", dont les vedettes sont élevés dans la cour des grands.

Gauche et droite se ressemblent plus par leurs dérives et leurs recherches de bénéfices propres, que par leurs différences structurelles.

Pas étonnant que la confiance envers le système démocratique a fondue comme neige au soleil.

Les États tyranniques font oublier la tyrannie de ce "job, job, job".

La population n'a droit au chapitre que l'espace d'une campagne de propagande avant d'aller voter pour Pierre, ou Jacques.

Elle ne sait rien, n'est au courant d'aucune stratégie, mais voudrait tout dire.

Elle aime bien les réformes tant que celles-ci n'impactent pas trop les habitudes.

0.JPGDepuis, nous entrons dans une ère d'instabilité dans laquelle la liberté de paroles tellement revendiquée auparavant, est de plus en plus contrecarrée par la volonté de certains nostalgiques d'avoir des gouvernants autoritaires, fascisants et d'extrême-droite.

0.JPGL'envie d'en découdre nait sous forme de démocratie participative mais encore faut-il connaître les règles du jeu à la quête aux renseignements.  

La France se demande après soixante d'ans d'existence, si la Vème République n'est pas devenue une nouvelle monarchie : podcast

Dans le même temps, plusieurs ministres désertent les gouvernements de Macron et...  de Trump.

2.JPGIl faut constater que la Chine avec son parti unique et son président fort, permet d'accélérer l'implémentation de décisions et de répondre plus efficacement à des impératifs comme l'important problème de la détérioration du climat alors que l'Occident démocratique tergiverse sans ressort, pris dans les fils des conservateurs et des lobbies restés sceptiques mais surtout zélés vis-à-vis de leurs propres intérêts.

Le multiculturalisme a peut-être aussi atteint ses limites.

Pendant notre apathie, les Chinois investissent partout et en tout dans le monde:podcast.

Entre la liberté de parole et l'autorité forte, il y a un choix drastique à faire.

Quand rien ne va plus.

Le mécontentement persiste que ce soit un gouvernement de droite ou de gauche, vu d'en haut ou d'en bas.

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Le pouvoir des femmes...

0.JPGAujourd'hui, on sait que la femme est plus douée pour les études que les hommes.

Près d'un an après le #metoo, cela n'a pourtant pas permis d'éradiquer des violences conjugales mais seulement fait ressortir de vieux complexes de puritanisme et de sexisme.0.JPG

La femme est l'avenir de l'homme, disait le poète Aragon.

Les femmes dont l'intuition est la qualité première, ne se disent pas à la bonne place, se sentent déforcées, inutilisées, sous-payées par rapport aux hommes...

Perso, je voterais donc pour que toutes les femmes soient au pouvoir pour tester leur manière de penser la politique....

 

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Job, job, job

Les "jeunes tiges" appelés "génération Y" à laquelle on a dit qu'il fallait des diplômes pour réussir, se retrouvent dans des tâches de second plan dans l'attente de la chance qui les fera monter sur notre train fou, à trouver un job en rapport avec les qualifications acquises.

Parfois, en manque de repères, on en a retrouvé partis guerroyer pour chercher une cause politique à défendre, qui n'était pas la leur qui a  engendré des migrations de populations du sud vers le nord.

 

L'école, devenue trop chère, a dû se réformer. Réapprendre à apprendre pour concurrencer les nouvelles voies de la passation du savoir via Internet et le MOOC.

Un enseignement à la carte, comprendre la complexité des événements politiques et construire l'esprit critique des jeunes est devenu peut-être plus importante que les matières enseignées dans les programmes scolaires.

Le monde multipolaire dans lequel les minorités se frayent un chemin dans des majorités qui caracolent en tête, il s'agit parfois d'y apporter un rôle d'opposition et de dissidence quand cela déraille.

Les journalistes d'investigation et les lanceurs d'alerte, sont à défendre contre vents et marées.

La presse est en crise perpétuelle depuis qu'Internet s'est insérée en front médiatique.

0.JPGLes entreprises placent leurs billes, là où elles restent à l'abri des impôts et taxes. 

On appelle cela "fraudes fiscales".

Non, c'est de l'investissement du "cash flow" dans des pays où comme dit Aznavour "Il me semble que la misère serait moins pénible au soleil".

Quand c'est possible plus ou moins légalement puisque les règles de commerce ne sont pas identiques sur Terre, pourquoi s'en priver?

Plusieurs entreprises se sont retrouvées comme des poupées russes, chapeautées  dans des fusions multiples pour raison d'économie d'échelle.

Les entreprises du "savoir en boîte" des GAFA ont complètement bouleversé les rapports de force en devenant les capitalisations boursières dépassant les mille milliards de dollars. Cinq autres entreprises dépassent encore ce chiffre astronomique.

La banque HSBC vit en dehors de toutes les lois "too big to jail".podcast

Ce sont suivies réorganisations et restructurations répercutées sur le personnel.

Le "know how" et les cerveaux ont suivi les mêmes voies de salut.

La culture d'entreprise et le renom qui faisaient partie de la prospérité et de la sécurité de l'entreprise, n'ont plus la cote chez les jeunes recrues qui ont baigné dans la potions magique du numérique dès leur naissance. Celles-ci ne voient plus d'obstacles à changer d'orientation plusieurs fois dans leur vie.

Elles seraient même prêtes à lâcher du lest du côté des salaires pour accorder plus de temps à leurs loisirs accentuant du même coup, le low-cost.

Vous vous rendez compte qu'elles imaginent déjà concilier leur vie privée et leur vie professionnelle sans être tenus en "stand by" 24h sur 24, par le putain de Smartphone alors que l'entreprise leur donne dans ce but.

Le patriotisme est une philosophie qui a une grand passé, mais un petit avenir.

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Les organigrammes se sont élargis avec des titres de fonctions toujours plus ronflants pour donner une impression de donner plus de pouvoirs alors que les rémunérations ne s'élevaient pas proportionnellement à l'augmentation des responsabilités.

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La multinationale demande d'avoir de la flexibilité dans le temps et l'espace.

Des voyages sans fin de part le monde s'en suivent.

Ceux qui pensent qu'ils auront ainsi des vacances dans tous les pays du monde se trompent.

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Connecté au bureau et pouvoir travailler à la maison. En plus cela limite les embouteillages: "Home sweet home", le rêve.

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Les syndicats se perdent dans des conjectures de principes dépassés par les événements, alors que pour un jeune, ce qui est essentiel, c'est travailler cool et mieux.

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Les centres de profits sont souvent devenus des centres de frais, contractés ou dilatés en fonction de conjonctures versatiles au rythme accéléré de stratégies édulcorées dans la pub vers l'extérieure, alors que les informations stratégiques intra-structurelles ne suivent toujours pas le même rythme dans leur diffusion.

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La croissance, à bout de souffle, atteint un plateau presque partout dans les pays occidentaux.

1.JPGDans les pays émergents "en voie de développement" qui ont copié les directives néo-libérales, s'ils restent vulnérables mais commençant du plancher, se sentent mieux progresser.

Le livre de David Graeber "Bullshit Jobs" parle du régime de reporting par Powerpoint et des process qui n'attribue plus un sens au travail.

A droite, les citoyens doivent bosser peu importe ce qu'ils font.

A gauche, un job non génial n'est pas si grave tant qu'il sert d'entrée au marché du travail.

Meubler le temps au travail agréablement et de façon motivante n'est plus la priorité.

Qu'on se le dise, au niveau mondial, les ressources financières sont plus basées sur des dettes de 250.000 milliards de dollars que sur du tangible.

L'intelligence immatérielle et symbolique a renvoyé les équipements matériels et industriels aux valeurs résiduelles.

La souplesse des startups a permis de brûler quelques étapes à l'encontre des monstres des grandes entreprises qui finissent par les racheter pour élever leurs propres performances.

Comment ne pas être désabusé par ces événements?

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 Flop, flop, flop

 Le mot flop (de l’anglais floating operation) désigne une opération élémentaire à virgule flottante (addition, soustraction, multiplication ou division)  ou une opération de la forme a + b · c. Selon la convention que nous adoptons, un produit scalaire entre deux vecteurs de longueur n requiert 2n – 1 flops, un produit matrice-vecteur 2(m – 1)n flops si la matrice est de taille n × m et enfin, un produit matrice-matrice 2(r – 1)mn flops si les matrices sont respectivement de tailles m × r et r × n.

Vous n'avez rien compris. Moi, non plus...

Vous vous attendiez à une autre traduction du mot.1.JPG

Michael Moore dans Farenheit 11/9 explique tout cela de manière très (trop) sérieuse à mon avis.

De quoi se plaint-on quand la corruption est généralisée sans cache-sexe?

Les cessions sont devenues rétro surtout quand elles se nomment commissions.

On est devenu quantique mais sans cantique.

 

Dans l'assistanat de la population qui n'a pas pu s'adapter aux nouvelles normes, le Revenu Universel ou Revenu de citoyenneté revient à la surface comme le monstre du Loch Ness pour réduire les inégalités.

En balance vient la gratuité de l'indispensable sans avoir établi le niveau de cet l'essentiel, tellement variable en fonction de la psychologie de l'individu et pas de la sociologie d'un groupe d'individus tellement dépendant de sa localisation.

0.JPGAprès coup, les taxes effacent toujours toutes les ardoises des conneries.

Pendant un temps, certains ont estimé pouvoir éviter les nouveaux crashs et les faillites du style 'too big to fail', qu'il fallait séparer la banque d'affaires de la banque de dépôts. Ils en sont pour leurs frais de leurs réflexions.

Quelques banques ont même pris pieds dans le domaine de l'assurance pour assurer leurs arrières.

L'argent fait toujours office de pouvoir en fonction de paramètres de compétence alors qu'il se confronte actuellement avec la robotisation grandissante avant de passer à la vitesse supérieure.

Les monnaies officielles ont été contrées par des monnaies parallèles, locales ou via des bitcoins subissant les montagnes russe des risques jamais atteints par les monnaies officielles.1.JPG

L'argent sous forme de billets en papier ou de monnaie sonnante et trébuchante disparait progressivement, remplacé par des transactions virtuelles. 

Les contacts humains dans les banques ont été réduits à l'exclusion de conseils pour l'achat d'investissements.

Les taux de fructification de l'épargne sont au plancher et même si les opérations de transactions bancaires sont effectuées par l'utilisateur de PC-Banking, ils ne seront pas compensés par eux. 

Mais voilà que Donald Trump annonce que la fête est finie et que la Bourse plonge après son annonce dans les remords et le repentir.

Les taux vont remonter puisque l'économie américaine va mieux. Les actions vont finir par remonter et distribuer des dividendes.

Les placements en obligations de bon père de famille, vont perdre des plumes dans l'opération de redressement du prix de l'argent.

Mais, le parrain Trump est là, avec au sommet de la FED, Jerome Powell, pour sauver la planète, non?

Dans la catégorie "flop", il y a évidemment, les traités de la COP21 en rade que Trump a gentiment mise sur le côté.

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L'économie contre ou avec l'écologie...

0.JPGLe prix des choses va de la cave au grenier avec une foule de plafonds de verre intermédiaires qui disparaissent l'un après l'autre comme la classe moyenne.

Le prix minimum en low-cost, personne ne se demande comment un vol Ryanair a été composé et calculé.

Oui, bon, cette fois, en restant à quai, ils se sont peut-être posé la question.

Mais, quand on con_somme  et qu'en plus, c'est presque gratuit, il y a la motivation et c'est le pactole assuré.

On essaye de polluer moins en direct, mais on le fait en différé, plus tard...

"Chacun son métier et les vaches seront bien gardées" dit la maxime. 

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"Pourquoi, je ne voterai plus"

....écrivait Philippe.0.JPG
 
J'avais répondu:
"Qui a intérêt d’aller voter ?
Ceux qui se présentent et ceux qui auront quelques postes subalternes.
Je n’ai jamais compris qu’on ne les trouve jamais parmi les assesseurs qui récolteront les votes.
Oui, on dit que le vote est obligatoire chez nous.
C’est faux, mais c’est obligatoire de se présenter au bureau de vote, ce qui n’est pas la même chose.
0.JPGMaintenant pourquoi certains aiment aller voter ?
A question idiote réponse idiote
Pour rencontrer ou faire des connaissances dans la file et pour pouvoir aller au resto ensuite.
Assister à des débats considérés comme des sports d’autorité.
Si un match de boxe sans gants n’est pas amusant, dites le moi.
Puis dimanche soir, avec les résultats de savoir qui a gagné ou perdu, apporte le suspense sous forme de thriller à bon marché.
Enfin, à bon marché, si on oublie ce que les partis reçoivent pour leur campagne.
« A vos marques, électeurs », un billet qui répond par l’absurde à des questions bêtes et méchantes, récoltées déci-delà avec l’humour en prime :
 « Y a-t-il encore moyen de se révolter ? »
 « Et moi que puis-je faire pour mon pays ? »
 « Comment redonner le goût à l’écharpe ? »
 « Élire c’est guérir », non ?  smiley
Voter, c’est comme un rite".0.JPG
 

Il me répondait  : "Le vote est bel & bien obligatoire, j’ai encore engueulé un de mes potes (d’autant plus coupable qu’il est juriste) à ce sujet aujourd’hui. Tu te présentes au bureau de vote avec ta carte d’identité, on te coche sur la liste, tu mets ton bulletin dans l’urne, et on prononce le traditionnel « a veauté ». Après ce que tu as mis sur ton bulletin, y compris un dessin grossier si ça t’amuse, c’est ton problème... Mais tu as voté, Guy, ne t’y trompe pas ! Et tu as aussi apporté un peu de crédibilité à ce que tu sais être un cirque avec toi comme clown-invité.

Je l'ai fait patienter en disant que je répondrais aujourd'hui.

Avant cela, pour couronner le tout, il y avait le commentateur Reki qui disait d'une manière innocente (je me permet de corriger quelques fôtes d'ortograf)

"La politique n'est pas un jeu télévisé. Voté, ce n'est pas élire un individus. Oui, vous pouvez être satisfait, mais dans le fond vous ne connaissez rien a ce qui est la démocratie et le sérieux du sujet du Vote. Vous n'êtes qu'un petit poisson qui ne connait rien d'autre que sont petit étant".

Voilà mes réponses:

0.JPG - Chers Philippe & Raki,

J'avais oublié de rappeler un autre billet "Au diable les partis" qui exprime mon sentiment sur le sujet des partis et des élections depuis très longtemps.

Cela veut dire que je n'en ai jamais eu et encore moins de parti-pris.

C'est du coup par coup.

Croire n'est plus un mot qui existe dans mon vocabulaire.

Une impulsion de dernière minute suivant un instinct de conservation comme beaucoup, pouvait orienter mon choix.

Dans les élections précédentes, testeur de première, j'ai déjà pointé sans tirer toutes les listes en dehors de celles qui se réfugient dans les extrêmes.

Oui, Raki, il y avait de l'humour dans mes écrits même s'il n'avait pas effleuré votre esprit. Et oui, ce n'est pas un jeu télévisé même si cela y ressemble.

Il ne faut pas se prendre au sérieux quand on fait l'inverse.

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1.JPGOui, Philippe, dans les statistiques des votes, puisque je signe de ma présence, j'ai voté. Le seul impact des votes nuls et blancs est de donner davantage de poids aux votes valables. Mais, comme je disais, voter, c'est comme un rite qui m'amuse dans l'isoloir avec le crayon électronique dans la main et devant des colonnes de noms sur l'écran qui ne me disent rien, je commence à jouer au vogelpik en panachant une liste. Cela ne sert à rien, mais cela fais du bien... 

Pour connaitre quelqu'un, il faut vivre avec lui si pas coucher dans ses plumes. La psychologie de quelqu'un ne se construit ni sur une image d'une belle gueule, ni à la suite de la lecture d'un discours bien préparé. C'est le même risque que d'engager quelqu'un que l'on doit choisir comme futur collaborateur et qui doit s'insérer dans une équipe existante. Le ver dans la pomme la pourrit. Pas sîr que j'entre dans le cadre de tes attributions et tes préférences politiques dont je ne ferai pas mention.

Bon, affaire conclue, tu ne votes pas, je n'en suis ni fort aise ni alaise (planche qu'on ajoute à une autre pour élargir un panneau ou drap souvent imperméable utilisé pour protéger le matelas).   

Dans la semaine, j'écrivais à un autre copain: "J'ai toujours été pour le pluralisme d'idées. Ce n'est pas pour rien que depuis deux ans au moins, je signe Eriofne pour mes billets et que les commentaires qui arrivent parfois à contre-courant, sont signés L'enfoiré. Plusieurs personnes n'ont pas compris la technique. Chez moi, c'est un réflexe automatique de prendre l'opposition à une idée si le vent souffle trop fort de son côté. Quand tu as managé des personnes, à moins d'être cassant, tu dois pouvoir accepter la controverse. Je m'en nourris comme d'autres ne l'acceptent pas et disent "être entiers" en se nourrissant de leurs convictions. Je m'en suis toujours méfié des gens avec convictions qui immanquablement, mènent aux intégrismes les plus "délicats". Pour qui voter puisqu'on est bientôt le 14 octobre? J'aimerais pouvoir panacher mes votes sur plusieurs listes comme si c'était une glace d'Arlequin avec tous les goûts. Comme on ne le peut, ce panachage, je le fais sur plusieurs élections. Alors, la suite à l'écran du vote électronique"

...

Le vote...

0.JPGLe système de votation suisse qui permet de voter pour des projets et pas pour des représentants, a ma préférence et Raki ne dit rien d'autre.

Ensuite, je suis pour la démocratie "participative".0.JPG

Une démocratie participative qui s'investit pour trouver des projets intéressants pour une population donnée. Rien d'iconoclaste sans apporter d'alternatives motivantes.

La représentativité, je la vois très bien parmi les exécuteurs de décisions prises au préalable par référendum idéologique. 

Mais, c'est plus théorique que pratique...

Non, je ne suis pas candidat en politique, n'en déplaise le titre de l'émission "Moi, bourgmestre" qui allait de commune en commune.

Si on devait passer toutes les communes en revue, cela pourrait prendre des années.

Si on ne sait toujours pas comment bien voter il y a le site ""Make you own choice" qui pourrait aider...

...

Après jobs et flops, la retraite

J'aurais peut-être dû jouer au capitaliste dans un pays pauvre pour finir en beauté à la "retraite", mais bon...

D'accord, certains attendent ce jour avec impatience mais en attendant, sans pénibilité entre compétition et travail.

Parfois, ils décomptent les jours pour y arriver et quand ils y sont, se retrouvent fort dépourvu quand le jardin d'hiver fut venu.

J'ai comme Paul Sneijder, une nouvelle vie, sans accident d'ascenseur et sans chiens.

9.JPGLes robots de compagnies sont là pour faire le ménage des idées qui passent et Zora me fera danser...

Que me manquerait-il plus tard?

Même si je reçois des cacahuètes en pension de retraite en compensation, à apprendre la connerie humaine, il y a du travail de réflexion.

S'il me faut donner une intime conviction au sujet de la retraite, c'est que travailler pour soi, à titre gratuit, pour se garder en forme avec la curiosité, la jeunesse d'esprit en conserve et de faire un sport sans compétition avec les plus jeunes.

Il est dit qu'on va supprimer la répression contre les drogues douces.

Donc, on va bientôt pouvoir en consommer au prix syndical.

Auto-immune, comme drogue, je choisirais une pincée de chocolat, une autre de dérision pour faire honneur aux matchs truqués quand ce n'est pas de l'autodérision.

En fin de série, je conjugue le verbe 'avoir été' à/en tous les temps avec un brin d'individualisme pour ne pas déteindre des couleurs locales.

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0.JPGMercredi, Thomas Gunzig donnait des consignes pour bien voter dans son "Instant": podcast .

Le lendemain, Bruno Coppens trépignait d'impatience dans son propre "Instant" à écouter en boucle Brel alors qu'il y avait plein de Brol:podcast

Je ne suis pas dystopique.

"L'humanité est en train de vivre ses derniers moments sur Terre" dit cet article.

Autant les vivre le mieux possible puisque poussière tu viens et poussière tu repars...

Entretemps, mon humour permet de distiller au compte-gouttes, espoirs et espérances.

Si quelqu'un vous demande de mes nouvelles,

répondez que je dis, "I feel good"

grâce à l'humour.


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 Eriofne,
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15/10/2018: Manon Pomme parle de sa journée en tant que secrétaire de votepodcast

16/10/2018: Jannin et Liberski parlent d'une bonne cuvée politique cette annéepodcast


0.JPGLes conclusions à tirer du scrutin, d'un politologuepodcast et des Coulisses des pouvoirspodcast

0.JPG17/10/2018: Thomas Gunzig aime tellement les élections qu'il en a fait chez lui: podcast

Dans les Coulisses des Pouvoirs, les pokers menteurs commencentpodcast

1.JPG22/10/2018: Bruno Coppens analyse les nouvelles majorités qui doivent s'entendre en "Je t'aime moi non plus" podcast

31/10/2018: Thomas Gunzig explique pourquoi il aime les élections.podcast

6/11/2018: In-conciliation entre PS et PTBpodcast

 

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