En 2019, des gilettes jaunes aux culottes roses (04/01/2019)
Après, la rétrospective de 2018 avec les femmes qui ont refaçonné le monde par la chimie, la photographie, la justice, l'écologie, le foot, la comédie, l'écriture et l'entreprise et avec le sexe qui est quoi qu'on en pense, la troisième manière de mener le monde après l'argent et le pouvoir, sommes-nous entrés dans une période de matriarcat?
Le mouvement "#me too" a été un catalyseur tellement fort qu'il avait fait naître un mouvement opposé mené par Catherine Deneuve.
2019 est née. La trêve des confiseurs est terminée.
Les petites et les grandes affaires reprennent. Et les souhaits de Bonne année" n'y changeront rien.
Sélection de sketchs et de chanson adaptées podcasts de cette soirée: Un Hibernatus réactualisé plus vrai que nature. |
Je ne vais pas raconter, ce que les médias nous racontent en permanence en Bourse ou ailleurs.
La "pénible" période des vœux a commencé.
- T'as déjà souhaité "Bonne année" à Madame et à Monsieur?
- Non, enfin peut-être, je ne sais plus. Et toi, tu as envoyé la belle carte que j'ai écrite?
- Non, pas question de plier à ce genre de réflexions...
J'ai seulement lu et vu autre chose pour meubler le temps qui passe...
Les femmes en littérature
Le livre de Adeline Dieudonné parle des femmes battues par leur conjoint et compagnon. Elle a remporté le Prix Première Plume 2018, le prix du roman Fnac 2018, le prix Renaudot des lycéens 2018 et le prix Victor-Rossel 2018 pour son livre "La vraie vie" dont le résumé va dans le même sens "La narratrice, une adolescente, réside avec sa famille dans un lotissement des années 70 baptisé le « Demo ». On y retrouve quatre chambres: 'la sienne, celle de son petit frère Gilles, celle de ses parents, et celle des cadavres'. Son père, chasseur et sa mère, femme effacée que la jeune fille compare à une amibe, effrayée par son mari qui la bat. Au quotidien, la jeune fille dépense toute son énergie pour égayer cette vie amère, et celle de son petit frère Gilles. Jusqu'au jour où un accident bouleverse ce fragile équilibre.".
Muriel Robin est l’héroïne du téléfilm dramatique Jacqueline Sauvage : C'était lui ou moi inspiré de l’Affaire Jacqueline Sauvage réalisé par Yves Rénier, et présenté sur nos écrans télé cette année. (véritable histoire).
L'affaire devenue symbole de la lutte
contre les violences conjugales en France
Le clip "De l'Amour" contre la violence contre l'homophobie.
Dans le livre "Fragile" de Muriel Robin écrit à partir de 2016, elle écrit qu'au cours de sa vie amoureuse, elle a toujours préféré être avec des femmes qu'avec des hommes. Aujourd'hui, elle vit en couple avec la comédienne Anne Le Nen qu'elle dit être la bonne personne et avec laquelle elle s’est pacsée le 5 décembre 2009.
Son père Antoine s'est consolé de ne pas avoir de garçon avec Muriel, ressentie comme garçon manqué.
De sa mère, elle écrit: "Je protège ma mère mais mon père à force de s'effacer, de ne jamais vouloir prendre position, de ne jamais s'être intéressé à ma vie, m'a rendu indifférente à le voir partir après une maladie, avec tristesse, mais sans bouleversement. Maman que tout agace, papa qui ne parvient plus à la calmer, deux sœurs: Nydia et Brigitte qui veulent disparaître et moi qui a une bouille qui fat sourire pour mettre de la couleur sur le gris de nos vie. Horrifiée à l'idée de décevoir, de ne pas être à la hauteur et de perdre mon public, je me demande si ma mère na pas été responsable de sa confusion sentimentale. Anne a éveillé ma féminité et est parvenue à me faire découvrir la capacité de décider pour moi-même comme un socle, un diamant noir. Ma mère qui n'a rien reçu, ne pouvait rien donner, non préparée pour avoir des enfants, elle pensait a sa propre survie sans enlever du peu qu'elle était parvenue à posséder et blesser sans cesse. Ma mère meurt des suites de la maladie d'Alzheimer et mon père du cancer. … J'ai été une demi-sœur suivant la lettre que je reçois ".
Le film "On ne choisit pas sa famille" a fait un flop,
alors qu'il sortait en 2011, en même temps que "Intouchable", écrivait Muriel..
Des phrases de son livre sont caractéristiques: "Le jour où mon idole, Alain Delon, monte dans ma voiture, pas de bol, j'ai renversé un plateau de fruits de mer. Je suis une handicapée des relations humaines jusqu'à préparer une liste de sujets au cas où la conversation viendrait à s'arrêter. ... J'ai eu une colère quand ma sœur Nydia a lancé 'Notre famille est une machine à broyer'. J'ai cherché où il y avait tout de même des moments joyeux dans notre famille. Je l'ai trouvé ailleurs chez Antoine et Aimée, où on rie sans façon de ce rire que j'aimais tonitruant et généreux à faire des blagues ou à s'entraîner dans un pas de danse... Ma famille, c'est le cinéma comme si je m'adressais à des sourds alors que j'étais trop timide pour me vendre ... ou trop fière. Le rôle de Jacqueline Sauvage comme une épreuve, un tournage difficile, d'une violence qui glace dans un état de vide au lendemain d'un burnout, heureusement ponctué par le fou rire".
Les prénoms de femmes, Anne, Chantal, Jacqueline, Bénédicte, Sophie, Catherine... jalonnent toute son autobiographie. Les prénoms d'hommes sont beaucoup plus rares.
La chanteuse "Christine & The Queens" change de style et prend un autre pseudonyme "Chris" pour démontrer son androgynie.
Bizarrement, quelques ressemblances dans un tiercé en désordre sans cette homosexualité, se retrouvent dans mon autobiographie "L'envie dans le regard" écrite en 2012 alors que j'avais pris ma mère, décédée, en fil rouge.
- Un narrateur qui écrit sur sa propre famille est un acte de courage et un acte de culture. On dit qu'il ne faut pas chercher la réalité dans les mots, mais les mots dans la réalité, disait une lectrice.
- Je ne sais si c'est du courage. C'est plutôt du raisonnement après coup, très longtemps après. La vie est pleine d'embuches, de situations inattendues. Au début, l'enfant croit que c'est normal, la manière dont il est traité. J'ai peu de souvenirs de la période de l'enfance. Alors, je me suis basé sur ce qu'on en disait avec humour, sans intention de donner un aspect négatif, répondais-je.
A mon époque, l'enfance et à l'adolescence étaient complètement différentes à celles que les jeunes d'aujourd'hui connaissent.
Pas d'éducation sexuelle ni à l'école ni à la maison. Le sujet "sexe" était tabou et le sexisme, prohibé par l'éducation judéo-chrétienne latente. Les garçons et les filles ne se retrouvaient pas sur les mêmes bancs de la classe. L'athénée, pour les garçons et le lycée, pour les filles.
Le sexe s'apprenait sur le tas, comme le racontait Boujenah, samedi dernier, lors du vingtième anniversaire des Taloches, :.
Les pilules contraceptives n'étaient même pas connues au moment où j'ai crié la première fois en sortant alors que ma mère ne me désirait pas.
Ma mère désirait 'à la rigueur' avoir une fille mais jamais un garçon. Hors, pas de doute, j'étais dans le corps d'un garçon malgré la boucle dans les cheveux au sommet du crâne dont elle m'avait affublée.
Un chapitre de mon ebook autobiographique a pour titre "L'innocence aux mains vides" en dit long sur cette situation.
A l'âge de 6 ans, le divorce et séparation corps et biens dans une incompréhension mutuelle du père et de la mère. Mon père disparu de mon environnement et ma mère souvent absente alors que tout se joue avant l'âge de 2 ans pour le développement du cerveau de l'enfant en fonction des stimulations sensorielles et affectives. Cela pourrait expliquer mon retard à l'allumage.
La solitude devenait le havre de paix partagé avec un frère imaginaire qui avait pour tâche d'apporter une contradiction avec ce que je pensais être l'esprit de famille.
Bien plus tard, ma mère m'agaçait quand elle voulait que je fasse des choses qu'elle aurait pu et dû faire elle-même sans le demander.
Un physique qui avait perdu de ses attrait, elle avait espéré renouer des contacts plus maternels avec moi en faux-mari alors que j'avais construit ma propre petite famille.
Je me devais une revanche dans un challenge sur moi-même pour sortir de ma coquille.
Le billet "Comment je suis devenu extraverti?" répond à une question vitale que Muriel n'avait pas trouvé très rapidement.
C'est très simple, en définitive, il suffisait d'être soi et pas chercher à copier quelqu'un d'autre et en ajoutant la dérision et l'autodérision accompagnées du goût pour l'humour sous toutes ses formes.
Enfin très simple, pas aussi simple que cela sans rejouer de jouer un autre scénario...
"Il vaut mieux avoir des enfants tard. Ainsi on ne les emmerdent pas trop longtemps et ensuite, ils ne nous refilent pas les leurs", disait Jean Yanne.
"Et si tout était différent", un billet écrit en 2016 avec l'aide d'exemples podcastés. Avec des "si" on met Paris en bouteille.
Ce n'est pas par volonté de féminisme que j'avais pu écrire "Femme, avenir de l'homme" en 2006, article dans lequel j'énonçais les différences de rémunérations au niveau financier.
La ministre de l'époque Joëlle Milquet était venu commenter l'article.
Extrait: "2007 va être le théâtre d'élections importantes majeures en France après un climat morose. Voilà c'est fait avec plus de 60%, c'est décidé pour le choix des candidats qui représenteront le parti socialiste de la candidate Ségolène Royal. Elle avait cependant une longueur d'avance dans l'estime de beaucoup de Français par la nouveauté et parmi les médias qui ne cessent d'examiner la personnalité de cette candidate sortie de l'ombre. Le "Phénomène Royal" a été choisi comme titre provocateur d'un des débats autour de sa personnalité. "Étrange Segolisme" que d'encre n'a-t-on pas versé en ton nom! Issue d'une famille "old style", avec un père militaire qui ne manquait pas de faire ressortir son aversion envers le sexe dit "faible" en désignant et comptant sa nombreuse progéniture d'un total "de cinq enfants dont trois filles". Construite, à force de volonté, elle semble, vue à travers les médias, apporter une volonté d'écoute nouvelle et plus attentive des gens qu'elle sera appelée à gouverner si son ascension se poursuit. Sortant souvent du clivage habituel gauche-droite, elle ne manque pourtant pas de se créer des antipathies dans les rangs de l'opposition et de son propre parti. Sa popularité se reflète dans les sondages qui traduisent le pouls de l'opinion publique montée, il est vrai, par les médias. Évitant les slogans, les leitmotivs iniques, quitte à être ambigu ou même antagoniste. Radicale et sociale à la fois, elle brouille les pistes. Sur les 35 heures vues comme symbole, initiées par son parti, elle a dévoilé certaines batteries en demi-teinte résumées par "Ce qui est populaire n'est pas nécessairement social". Pour nager entre deux eaux, on ne fait pas mieux !".
Dimanche dernier, Ségolène Royal était l'invitée sur le divan de Michel Drucker en présentant son livre "Ce que je peux enfin vous dire".
"Le narcissisme proverbial des hommes apparaît dans leur désinvolture dans la prise de décision. Au moment où la parole des femmes se libère enfin, beaucoup d’entre elles m’ont demandé de m’exprimer sur ce qu’une femme en politique subit en silence. Et de plus en plus d’hommes me disent: parlez pour nos filles, nos compagnes, nos sœurs. Je me suis donc accordé ce droit de dire, et ce droit est vite devenu un devoir. La raison du silence des femmes, c’est la peur de l’humiliation. Ce fut difficile, et parfois douloureux d’écrire, car il a fallu que je revive des épreuves que j’avais rangées dans ma mémoire frigorifiée", écrit-elle.
Écrit en 2011, les différences morphologique entre l'homme et la femme se retrouvaient dans le deuxième billet titré "Le Martien et la Vénusienne".
Il se terminait par la conversion de la chanson de "Être une femme en 2010" de Sardou sous le titre "Machiste fatigué" comme une discrimination positive avec l'idée implicite de dire "Je voudrais être un vrai homme".
L'intuition, la suspicion, l'émotivité sont reconnues comme des éléments de caractères plus réservés aux femmes qui parait-il, trouve plus rapidement un terrain d'entente. Les femmes s'occupent de choses en échantillonnage du hasard (en random) en fonction des besoins alors que les hommes le font le plus souvent en séquentiel et sont de ce fait, plus vite en burnout.
Mercredi, La Une présentait la pièce "Régime présidentiel" de Jean-Pierre Pernaut.
Ingrédients: "Prenez un homme politique intègre, une épouse ambitieuse, un conseiller malhonnête, une attachée de presse bienveillante et un coach incompétent. Saupoudrez d'une poignée d'intentions malhonnêtes et d'ambitions mal placées. Rajoutez une dose de mauvaise foi au parfum de mœurs douteuses. Versez un zeste de courage au jus de résistance. Mélangez le tout dans une campagne présidentielle ou tous les coups sont permis".
En substance: Quand le Q rejoint ou se dissocie du QI. Et une fin, qui dirait telle est prise qui croyait prendre....
Les gilets jaunes ont connu (et connaîtront encore) beaucoup de femmes sur les ronds-points et ont fait couler de l'encre à flot.
On appelait les danseuses de Claude François "les Clodettes", je les appelais "les Bonnettes rouges", je les appellerais donc cette fois, les "Gilettes jaunes", ces femmes en milieu du gués et des ronds-points en faisant barrage à la mobilité.
Quand j'ai trouvé sur l'en-tête d'un article qui parlait de "l'avenir des gilets jaunes, l'image de Myriam Szabo d'un passé vieux de 30 ans, je n'ai pu que constater qu'elle n'avait rien perdu de son charme et de futur---->>>
Alors, j'ai posé la question à la gente féminine si elles voulaient l'égalité des sexes.
Et bien non, le paradoxe l'égalité creuse les différences entre les femmes et les hommes avec l'égalité politique, sociale et économique.
Mais quelles différences, veulent-elles garder?
Sous la domination des hommes ou mettre les hommes sous leur domination?
Chez les animaux, il ne faut pas penser que ce sont les mâles qui décident de se faire monter sur la croupe.
Ils s'aiment comme des bêtes
Alors, chez les humains, il faudra aussi synchroniser les désirs aux périodes creuses, sinon on risque d'entendre "Pas ce soir chéri"... ou on remarquera très vite que ce serait très risqué de pousser le bouchon plus loin...
Mercredi, au 28' sur ARTE, était invité l'afghan Atiq Rahimi pour parler de son livre "Le porteur d'eau". Podcast :.
L'Afghanistan, un autre monde, une culture, des habitants qui vont de plus en plus mal et des femmes qui doivent parfois se rebeller au risque de leur vie pour manifester de leur présence et dénoncer leur condition de femmes.
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Les femmes au cinéma
Quand cela ne va pas, il reste toujours les "Femmes du 6ème étage"...
Du côté des Première Dame, Madame Léonord Roosevelt et Yvonne de Gaulle ont toujours été impliquées dans la politique auprès de leur mari.
Margreth Thatcher qui n'a pas laissé que des souvenirs impérissables, a laissé son mari dans son ombre tout comme Angela Merckel et Theresa May.
Christine Lagarde remplaçante de DSK en tant que directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) demande de se pincer quand elle dit se présenter en pasionaria de la lutte contre les inégalités alors que la peur gagne le camp de l’ordre établi, empêtré dans une crise globale du capitalisme et fait changer les avis des plus ancrés...
Elizabeth Warren, l'ennemie de Trump vient de faire le premier pas comme candidate à l'investiture de la présidence américaine pour 2020.
D'après le sondage Gallup de 2018, les personnalités féminines les plus admirées aux États-Unis sont Michèle Obama a obtenu 15% des suffrages, Oprah Winfrey 5%, Hillary Clinton et Mélania Trump 4%.
Michèle Obama malgré cet indice élevé d'admiration par le public, ne désire pas se présenter d'après son livre "Devenir".
Après le shutdown, Nancy Pelosi a été élue présidente de la chambre et va rendre la vie de Donald Trump difficile et pourrait mené au switch off.
La liste des dirigeantes politiques dans le monde est pourtant longue.
Les femmes n'ont-elles pas pris la culotte de leur compagnon?
Imaginons ce que serait un nouveau monde
avec des Amazones au pouvoir.
En 1972, le film hongkongais "Les 14 Amazones"
L'histoire de 14 guerrières de la famille Yang sous la dynastie Song, qui combattent les Xia occidentaux pour protéger la Chine.
Les hommes étant morts dans un guet-apens...
En 1973, la version historique
qui sur Wiki donne ses spécifications avec une titre italien
avec le titre original: "Le guerriere dal seno nudo".
En 1976 et 1977, une série télévisée américaine de science-fiction et de fantastique en 58 épisodes de 47 minutes
présente Super Jaimie en femme bionique sous les traits de Linsay Wagner
Elle présageait un peu ce que pourrait être la femme augmentée dont il est souvent question pour l'homme.
En 2017, ce fut "Wonder women"
La Wonder woman, Diana, avec des super-pouvoirs...
suivant une étude de la Creative Artist Agencies & Shift Seven basée sur 350 films depuis 2014 dont 150 menés par des femmes,
en 2018, les statistiques ont démontré que
les héroïnes rapportent plus que les hommes au cinéma (podcast).
Depuis la Génération Goldman, les femmes font des bébés toutes seules.
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Conclusions et souhaits pour 2019
"Fragile", le titre du livre de Muriel Robin. Faibles femmes alors que la femme a toujours une longueur de vie moyenne plus importante que l'homme...
D'après cet article et les résultats d'une vaste étude regroupant 696 participants réalisée en 2010 par un groupe de chercheurs du MIT, un groupe de travail est plus efficace, plus intelligent, plus productif lorsqu'il compte des femmes.
Alors que les inégalités à l’embauche des femmes sont au cœur des sujets de société récurrents, les chercheurs viennent de montrer que, contrairement à ce que reflète à tort l’état d’esprit de certains patrons, les hommes auraient tout intérêt à travailler avec des femmes.
S’interrogeant sur le facteur aléatoire de l’efficacité du travail en groupe, visant à déterminer le lien entre intelligence personnelle et adaptation au groupe. Les participants ont été regroupés en groupes de 2 à 6 membres, et ont été confrontés ensemble à de courtes tâches, inspirées du panel de contraintes auxquelles les individus sont confrontés dans le monde réel. Ainsi, une première tâche impliquait des problèmes de logique, une seconde dite de « brainstorming », ou résolution créative, d’autres de coordination, ainsi qu’une dernière de planification et de raisonnement.
Alors que l’intelligence individuelle est mesurée par les scientifiques dans sa globalité (en général, les personnes s’exprimant bien sont également douées pour les mathématiques, même si la plupart d’entre nous ont tendance à considérer que ces deux compétences sont distinctes), les résultats de l’étude ont montré que, de la même façon, les groupes les plus performants s’avéraient être les plus polyvalents.
Bientôt les hommes ne seront plus que des souvenirs sous forme d'hologrammes ou clonés en prêts à l'emploi et réapparaître en Hibernatus à se demander ce qu'on est venu faire dans cet autre nouveau monde dans lequel nous ne sentirions plus assez vivant.
Je ne sais si Sacha Guitry pensait à cela quand il disait: "Je suis contre les femmes, tout contre"....
Peut-être faudrait-il devenir androgyne comme l'est selon ses dires Mélusine ou la Robe de soie pour le comprendre, avec sa vue très éclectique dans ses commentaires.
En attendant, je vous recommande de "savourer l'instant" comme le le fais à méditer en marchant, velotant, en joggant ou en s'arrêtant sans faire le vide pour favoriser le calme et jouir de la plénitude...
Si au Canada, la distinction au sujet de l'homosexualité, ne fait plus jaser, dans nos pays, l'homosexualité connait encore une certaine homophobie dans la violence plus que latente.
Nous, vous le monde... parle de notre interdépendance:
Bruno Coppens parle du nouveau livre de Michel Hoelebeck, "Sétotonine"
Hoelebeck frappe une nouvelle fois au dessous de la ceinture
en fossoyeur de la postmodernité
comme il l'avait fait dans "La carte et le territoire"
en décrivant le déclin du mâle occidental...
Il avait peut-être raison... mais encore...
Bonne année 2019 aux androgynes, aux LGBT comme à tous les autres....
Surtout rester PRESQUE sérieux
avec Wallid et sa bande surtout avec la question
"l'argent fait-il vraiment le bonheur?"
En 1978, Serge Lama chantait "Femme, femme, femme"
Cette chanson reste encore aujourd'hui un des titres phares du répertoire du chanteur.
Et l'ami mets ton habit de fête
Ton coeur de paillettes et ton regard heureux
Ce soir je t'emmène, on va faire la fête tous les deux
La fête charnelle avec les plus belles
J'ai gagné le gros lot
Ce soir c'est la vie de château
Femme, femme, femme, fais-nous voir le ciel
Femme, femme, femme, fais-nous du soleil
Femme, femme, femme, rends-nous les ballons
Les ballons rouges et ronds de notre enfance
Femme, femme, femme, fais-nous voir l'amour
Femme, femme, femme, sous son meilleur jour
Femme, femme, femme, fais-nous in the room
Du prosper Youp-la youp-la boum.
Et l'ami ce soir c'est la bourrasque
Je t'achète un masque et une chemise en soie
Ce soir je t'emmène, sors tes grands je t’aime de gala
Paris s'illumine comm' une vitrine
De Trenet, de Chevalier, ce soir on est les héritiers
Femme, femme, femme, n'aie pas peur de nous
Femme, femme, femme, on n'est pas des voyous
Femme, femme, femme, choisis ton endroit
Nous on n's'y connait pas, on t'fait confiance
Femme, femme, femme, on n'est qu'deux amis
Femme, femme, femme, qui s'payent un sam'di
Femme, femme, femme, fais-nous in the room
Du prosper Youp-la youp-la boum..
Femme, femme, femme, fais-nous robe du soir
Femme, femme, femme, champagne et caviar
Femme, femme, femme, ce soir c'est férié
On n'va pas regarder à la dépense
Femme, femme, femme, fais-nous confetti
Alcazar et tutti quanti
Femme, femme, femme, fais-nous in the room
Du prosper Youp-la youp-la boum
Femme, femme, femme, fais-nous Marengo
Lunapark et Monte Carlo
Femme, femme, femme, fais-nous genre Zizi
Au casino d'Paris quand elle danse
Femme, femme, femme, fais-nous langoureux
Du spécial et du larmes aux yeux
Femme, femme, femme, fais-nous in the room
Du prosper, youp-la youp-la, youp-la youp-la
Youp-la, youp-la, boum !
Et maintenant, si vous n'en avez rien à cirer de ce qui vient de lire
Que les femmes vous horripilent...
Prêts pour une petite méditation...
Fermez les yeux.... et c'est parti.... pour 2019
Samedi prochain, retour sur la psychologie de nos émotions
Quelques bonnes résolutions Kroliennes pour 2019
Eriofne,
6/1/2019: Journée de l’Épiphanie. Le gâteau des Rois a été modifié chez moi en gâteau des Reines Mâges.
Attention fakenews:
Alors, faudra jouer au Sherlock Holmes dont c'est l'anniversaire aujourd'hui
8/1/2019: C'est la journée sans pantalon et Bruno Coppens en fait la démonstration et Safia Kessas qui parlait de Bolsonaro et des LGBT
9/1/2019: Deux films de femmes réalisés par des femmes:
"Les invisibles" avec d'anciens SDF
"La favorite"
17/1/2018: Et si, par goût de l'humour et de l'amalgame, on parlait cosmétique et de la publicité de Gilette
Commentaires
Lettre reçue:
Joyeuse Année !
Chère amie, cher ami
Très belle année 2019 !
Comme j’ai pu le dire à ceux qui étaient présents à notre 4e Congrès International de Santé Naturelle en décembre dernier, ce que je peux vous souhaiter de mieux, parmi mille choses agréables, c’est de trouver de la JOIE en cette année 2019.
Les temps ne sont pas faciles.
L’ont-ils jamais été me direz-vous ?
Je ne sais pas. Je n’y étais pas.
Les européens du XIVe siècle, qui ont affronté la grande peste, qui a décimé plus du quart de la population, la moitié dans certaines zones, avaient peut-être plus de raisons que nous d’être inquiets.
Mais notre époque est, elle aussi, confrontée à de sacrés défis, presque des défis sacrés !
Voici, pêle-mêle, quelques sujets d’inquiétude :
la pollution de l’eau que nous buvons, de l’air que nous respirons et de la plupart des aliments - même bio - que nous consommons ;
le réchauffement climatique ;
le transhumanisme, le clonage et les cyborgs ;
l'accélération sans précédent des progrès techniques, notamment dans le domaine informatique, et nos difficultés à nous y adapter ;
la captation des données personnelles des citoyens du monde entier par quelques grands groupes bien décidés à vous vendre de la publicité adaptée ou à partager ces informations avec les Etats ;
notre capacité, toujours renouvelée à détruire la planète en quelques minutes et quelques bombes atomiques ;
le vieillissement de la population ;
le vieillissement de nos modèles sociaux qui reposaient sur une croissance et un dynamisme démographique qui ont disparu ;
la violence des institutions et le cynisme de nombreux responsables politiques ;
la voracité des grands groupes industriels, industrie pharmaceutique en tête…
Joie !
J’arrête ma liste là.
C’est déjà bien assez.
Tous ces sujets sont abyssaux.
Ils nous confrontent à nos propres limites individuelles et collectives.
Mais ni vous, ni moi, ne pouvons sauver le monde de ses affres.
Bien sûr, nous pouvons - et nous devons - faire des efforts pour améliorer le monde : mieux trier, mieux consommer, aiguiser nos consciences écologiques, etc.
Mais il est une chose que tout le monde peut faire à tous les moments de la vie et que nous avons tendance à oublier, alors que les soucis s’accumulent.
C’est quelque chose qui fait du bien au monde.
C’est quelque chose qui fait du bien à ceux qui nous entourent.
S’émerveiller.
Faites le point sur vos émotions.
Les enfants rient et pleurent. Puis rient à nouveau.
Les poètes s’émerveillent.
Ils contemplent la mer, ils écoutent la pluie, ils touchent la terre.
Autour de vous, il y a des êtres, des choses, des situations merveilleuses.
Elles ne sont pas là pour nous faire oublier le reste.
Les observer, les trouver belles, les aimer n’est pas un plaisir évanescent.
C’est renforcer au fond de soi la certitude que la vie mérite d’être vécue parce que nous avons tous quelque chose à lui donner, même - surtout - les enfants !
Ce que nous pouvons donner à la vie : c’est un regard bienveillant, un regard de joie, une écoute émerveillée, une main qui frissonne de plaisir parce qu’elle sent vivre l’âme dans le corps qu’elle vient d’effleurer.
C’est la main de la mère qui passe dans les cheveux du fils.
C’est le doigt de l’amoureux qui pointe les étoiles à sa belle.
C’est l’enfant qui regarde la graine qu’il a plantée il y a 30 secondes et se demande pourquoi elle n’est pas déjà sortie de terre.
C’est le grand-père qui tient le vélo de sa petite fille qui tremble de peur mais rit d’être avec son grand-père.
C’est la sœur qui retrouve son frère à l’occasion de Noël.
C’est les parents qui trouvent un moment pour se réconcilier après des années de disputes terribles, que l’on oublie, l’espace d’un instant.
C’est, c’est…
Tout cela est quotidien.
Banal presque.
Là est le trésor de nos vies pourtant.
Ces petites choses se cultivent. Elles s’apprécient. Elles s’accumulent dans nos cœurs.
Elles nous donnent la force de vivre, et de vivre encore.
Elles nous permettent de regarder les noirs nuages et de nous dire “courage”, nous ne sommes pas seuls. Il y a encore tant de choses à construire avec ceux qui nous entourent.
C’est quelque chose que l’on peut se dire tout au long de sa vie, même si je sais qu’à certains moments cela paraît presque impossible.
La joie est en nous. La joie se partage.
Et quand nous n’en avons plus, quand tout en nous est vidé par le stress, la douleur ou la maladie, ou encore émoussé par les années qui passent ou les ennuis qui s’accumulent, il nous reste toujours la possibilité de regarder les enfants.
Alors, pour bien commencer l’année, je vous partage un poème que j’aime relire souvent depuis que je suis adolescent.
C’est un poème de Lewis Carroll. C’est la dernière page du livre “De l’autre côté du miroir”. Il s’agit du deuxième volet des histoires d’Alice aux pays des merveilles. Dans cette histoire, elle rencontre Humpty Dumpty, l’œuf assis sur un mur.
Comme toujours avec Lewis Carroll, il y a de l’absurde, du mystère, des surprises et un émerveillement.
Voici le poème en français :
Un bateau, sous un ciel d'été,
Sur l'eau calme s'est attardé,
Par un après-midi doré…
Trois enfants, près de moi blottis,
Les yeux brillants, le cœur ravi,
Écoutent un simple récit…
Ce jour a fui depuis longtemps.
Morts sont les souvenirs d'antan.
Dispersés au souffle du vent,
Sauf le fantôme radieux
D'Alice, qui va sous les cieux
Que le rêve ouvrit à ses yeux.
Je vois d'autres enfants blottis,
Les yeux brillants, le cœur ravi,
Prêter l'oreille à ce récit.
Ils sont au Pays Enchanté,
De rêves leurs jours sont peuplés,
Tandis que meurent les étés.
Sur l'eau calme voguant sans trêve…
Dans l'éclat du jour qui s'achève…
Qu'est notre vie, sinon un rêve ?
Bonne année !
Augustin de Livois
Écrit par : L'enfoiré | 04/01/2019
Fakenews ou non?
Avoir un bébé accroît le risque de développer un cancer du sein dans les années après l’accouchement
Jusqu’à présent, les chercheurs pensaient que le fait d’être mère limitait le risque de développer un cancer du sein. Ce qui est effectivement vrai, mais seulement 20 ans après la naissance de l’enfant, comme le prouve cette étude.
Un risque accru de développer un cancer du sein après une grossesse
Publiées dans les Annals of Internal Medicine, ces nouvelles recherches basées sur les statistiques de 15 études menées sur trois continents concluent que les femmes présentent un risque accru de développer un cancer du sein dans les vingt ans suivant un accouchement, avec un pic constaté au bout de cinq ans. S’il a déjà été prouvé que les femmes qui fumaient ou présentaient des mutations des gènes BRCA1 et BRCA2 étaient plus susceptibles d’être touchées par la maladie, c’est la première fois qu’une étude d’envergure internationale démontre une telle corrélation.
Selon Hazel Nichols, de l’Université de Caroline du Nord : « Ces recherches nous montrent que les facteurs de risque évoluent au cours de la vie d’une femme. Pendant la grossesse et durant les années qui suivent, la composition des seins change, le tissu mammaire se développe et les cellules se divisent rapidement. Chaque fois que l’on assiste à une division cellulaire rapide, il y a possibilité d’erreur, ce qui pourrait expliquer pourquoi les femmes sont plus susceptibles de développer un cancer du sein dans les années suivant l’accouchement ».
Des effets bénéfiques sur le long terme
Sur le long terme, le fait d’avoir eu plusieurs enfants aurait toutefois l’effet inverse, puisque durant les périodes de grossesse et les premiers mois d’allaitement, le cycle d’ovulation, entrainant la libération d’hormones pouvant stimuler la croissance cellulaire et par extension favoriser l’apparition et la prolifération des cellules cancéreuses, est interrompu. Ainsi, le risque de développer un cancer du sein vers l’âge de 60 ans serait plus faible chez les femmes ayant vécu plusieurs accouchements au cours de leur vie.
Comme le précise Hazel Nichols : « Nous ne contestons pas l’idée que, dans l’ensemble, le fait d’avoir eu des enfants réduise le risque de développer un cancer du sein à un âge avancé. Mais cette information provient de l’examen de la majorité des cas de cancer du sein, qui sont diagnostiqués tard dans la vie. Si le nombre de cas constatés dans les cinq années suivant une grossesse est beaucoup plus faible, il n’empêche que ces femmes présentent en moyenne un risque accru de 0,3 % de développer un cancer du sein ». Forme de cancer la plus répandue chez les femmes en âge de procréer, il touche plus de 650 000 femmes en France.
https://dailygeekshow.com/cancer-du-sein-risque-accouchement/
Écrit par : L'enfoiré | 05/01/2019
Attention fakenews:
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/01/969792815.mp3
Alors, faudra jouer au Sherlock Holmes dont c'est l'anniversaire aujourd'hui
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/00/01/3357414400.mp3
Écrit par : L'enfoiré | 06/01/2019
Chacun de tes billets est une porte qui s'ouvre sur une nouvelle réflexion. L'être, la famille en est une...
Nouvelle année, qui ne change rien à tes principes : savourons l'instant !!!!!!!!!
Écrit par : Jean-Marie HENROTTE | 06/01/2019
Trop aimable...
On fait ce qu'on p(n)eut. On n'est pas des chambres à air... :-))
Écrit par : L'enfoiré | 06/01/2019
Voilà un billet du style
https://www.linkedin.com/pulse/messieurs-soyez-modernes-f%C3%A9ministes-ga%C3%ABl-chatelain/?trk=eml-email_feed_ecosystem_digest_01-recommended_articles-5-Unknown&midToken=AQF7f9BmLATQeA&fromEmail=fromEmail&ut=0tq7JILsPMsUA1
Écrit par : L'enfoiré | 10/01/2019
Et si, par goût de l'humour et de l'amalgame, on parlait cosmétique et de la publicité de Gilette
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/01/01/3524367641.mp3
Écrit par : L'enfoiré | 17/01/2019
Safia Kesas parlent encore des femmes pour l'obligation de suivre leur poids
https://www.rtbf.be/auvio/detail_la-chronique-de-matin-premiere?id=2456251
Écrit par : L'enfoiré | 05/02/2019