Objectif détrôner Trump ou COVID-19? (25/04/2020)

0.PNGLe 6 février 2016, je lançais "Trump-moi ça" avec dans l'esprit "Trompe-moi ça".
A l'époque, je me doutais que si Trump n'arrivait pas en finale, il n'en aurait pas été très loin. L'esprit américain n'a rien à voir avec l'européen.
Nous étions après une période d'une certaine mollesse ressenties après les deux mandats de Obama derrière un espoir pour sortir de la crise de 2008 sans précédent qu'il n'a pas su capter et répondre dans les temps de la première centaine de jours souvent déterminantes pour garder l'avance au Sénat et au gouvernement avant de tomber dans des blocages entre démocrates et républicains.
Je pensais à une deuxième suspens palpitant dans un scénario à l'américaine quand le coronavirus s'est invité et le temps s'est arrêté.
Trump gagnant ou perdant par le COVID-19?

Aimer ou détester Donald Trump ne fait pas une grosse différence à ressentir pour un européen, sinon par ses retombées mondialisées.
A
ux Etats Unis, malgré un nombre de voix plus important pour madame Clinton, le système des Grands électeurs a permis à Donald Trump de la coiffer sur le poteau et
bien plus que ses prédécesseurs, de cliver l'Amérique en deux clans.
Tellement de livres, d'articles qui ont été écrit et publiés à son sujet.

0.PNGLe livre récent "Alerte" , écrit par un opposant de Trump et signé "Anonyme", mérite d'y jeter un coup d’œil.

Préambule: « Quand Donald Trump a été élu à cette fonction en 2016, beaucoup de gens ne savaient pas à quoi s’attendre. À présent, nous savons à quoi nous attendre. Nous le savons tous.
Dans l’histoire de la démocratie américaine, nous avons eu des présidents indisciplinés. Nous avons eu des présidents inexpérimentés. Nous avons eu des présidents amoraux. Jusqu’à présent, nous n’avons jamais eu le tout en même temps.
Ce livre veut mettre en lumière la réalité de l’administration Trump et questionner l’aptitude de l’actuel président à continuer de diriger les États-Unis d’Amérique. J’écris ces lignes à la veille de ce qui pourrait être l’élection la plus importante de nos vies à tous. ».
Pour la première fois, un haut responsable de l’administration Trump parle sous couvert d’anonymat.
Dans les grandes lignes, disons qu'il caractérise Trump avec la phobie de la vérité, de la "mauvaise" pub qui le dénigre quand il fait son autopromotion.
Pour lui, c'est au diable l'empathie que l'âge allège son égo sans présomption par son art du "deal" pour effacer la solitude de son management. Dans le mélange de ses idées les plus contradictoires, il n'accepte aucune plainte de sa gestion puisque la mutualisation de la société complété par le socialisme sont ses ennemis jurés naturels.

Quelques pages du livre, prises au hasard:

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Conclusions du livre: "Le passé de l'Amérique est son étoile polaire. Ses leçons sont là pour assurer le renouveau du pays. Les principes directeurs qui ont unifié les États existent pour pouvoir renouer afin de préserver l'avenir. La survie de la démocratie n'a rien d'immanquable. 'L'arc de l'univers moral est long, mais il tend vers la justice' écrivait Martin Luther King. Mais nous façonnons l'histoire avec le peuple en personne qui s'aidant des ses valeurs comme d'un sextant, négocie les deux questions morales du quotidien pour en modifier le cours. "L'homme est-il apte ou inapte à être président?", une question qui se tranchera dans les urnes pour assurer une société ouverte et à la question "sommes-nous dignes ou indignes des bienfaits de la liberté?", la réponse suivra par nos modes de comportement. Si nous nous dérobons, nos noms auront laissé dans l'Histoire comme ceux d'individus qui n'auront pas su passer le flambeau en laissant la flamme s'éteindre. Bandons l'arc de l'univers moral vers la valeur qui est le vrai nerf de la vie civique : la liberté".
Pour lui, la démocratie est un danger à cause de ses infiltrations sous cutanées contraire à sa politique et qu'il ne supporte pas puisqu'il détient la vérité sur tout et souvent sur rien.
"God bless America" est une phrase que Trump assume devant son miroir avant tous ses discours qui
sans se considérer comme prédateur, serait être trop discipliné et cesser d'être drôle.
Pas d'hypocrisie possible puisqu'il peut dire ce qu'il pense sans y voir lui-même d'aspects négatifs.
Trump rirait probablement si la Maison Blanche était bombardée en disant qu'il avait raison de ne pas l'habiter.
"L'AmerExit" a bien été réalisé.
"2017, première année et suivante selon Donald Trump", fin "2017, avec ses douze coups". Le plus souvent, il a fait en général ce pourquoi il a été élu au grand dam de ses opposants.
Le spécialiste des USA Corentin Sellin donnait un avis préliminairepodcast.


..

Remontons le temps...
Toute la bagarre des démocrates se résume par "il faut effacer Donald Trump"...

3 février: Caucus de l'Iowapodcast. Les élections américaines, rien à voir avec un sprint mais un marathon et cela commençait mal pour les démocrates.
Était-ce un mauvais présage dans un jeu de poker menteur?

0.PNGLe cafouillage des démocrates s'est produit deux jours après quand tous les votes n'étaient comptabilisés qu'à 71% des lieux de vote.
Cela a permis à Trump d'en rire à gorge déployée.
Un jeune outsider, Pete
Buttigieg prenait une avance avec 26,8% en disant qu'une nouvelle génération au pouvoir chez les démocrates, ferait d'après lui, le candidat idéal.
Il devançait de justesse le sénateur du Vermont Bernie Sanders (25,2%), 2.PNGElizabeth Warren (18,4%) et 15,5% pour Joe Biden.
Dans le même temps, Donald Trump faisait toujours son discours de l'Union.

Il venait en opposition avec force pour démolir tous les espoirs du parti démocratepodcast.
12 février, le New Hamshere et c'était Bernie Sanders qui sortait du lot.
22 février le Nevada, 46% pour Bernie Sanders suivi par Joe Baiden avec seulement 19,6%
podcast.
"J’entends beaucoup mon nom ce soir, je me demande bien pourquoi.’, dit Bernie Sanders qui a gardé ses nerfs et son humour pour ce 10e débat des candidats démocrates à la présidentielle en Caroline du Nord.
Voila qu'une nouvelle arrive qui était enterrée pour Donald Trump: "
La Russie interfère dans la primaire des Démocrates pour aider Sanders, selon un rapport officiel".
Bernie Sanders, "désormais favori", quand il en a été informé, avait réagi en disant:
Contrairement à Donald Trump, je ne considère pas Vladimir Poutine comme un bon ami. Il s’agit d’un voyou autocratique qui tente de détruire la démocratie. Je rejette fermement ces tentatives, et toutes les autres puissances étrangères qui veulent interférer dans notre élection.’. En 2016, des tentatives similaires avaient été rapportées pour tenter de favoriser Sanders et décrédibiliser sa rivale de l’époque, Hillary Clinton. L'amalgame qui existe entre le communisme, fait que le socialisme est presque un gros mot aux États-Unis à une certaine époque du MacCarthysme. Il serait pourtant le candidat idéal dans un match qui l’opposerait à Donald Trump. Car il polariserait sans doute le débat et certains électeurs pourraient alors décider de se rallier au Républicain, même si ce n’était pas leur première intention.
Pendant ce temps, Donald Trump continuait sa chasse aux sorcières et ses discours en parallèle en précédant les orateurs démocrates et en dressant une liste noire de fonctionnaires qui lui sont hostiles et déloyaux pour les évincer et une liste blanche de pro-Trump pour les remplacer. Entre les deux son cœur balance. Enfin cœur, on s'entend. Les plus critiques ont peur quand ils se présentent au travail, en ne sachant jamais s'ils seront inclus, encore là, à la fin de la journée. Le climat de suspicion et des espions, oreilles du président à Groundswell.
Ici, on a affaire à de grands joueurs, des gros bras et pas des débutants.
29 février Caroline du Sud, Joe Biden écrase ses adversaires avec 48,4 % et Bernie Sanders qui n'a que 19,9 %.

0.PNGL'époque Obama redonnerait-elle du tonus et un ressort au mercure du baromètre électoral démocrate?
Non, tout allait se jouer avec 14 États qui passaient à la moulinette des Causus aux Primairespodcast lors du Super Tuesday avec la Californie et le le Texas comme plats de résistance
Un nouvel entrant sur la table de jeu de poker, Michael Bloomberg, le neuvième homme le plus riche du monde, avait déjà étalé un demi-milliard en publicité en spots télévisés, radiophoniques et numériques
depuis le lancement de sa campagne le 25 novembre et pensait que seul l'agent aurait raison d'une élection.
Bernie Sanders a manifesté une capacité "prodigieuse" à lever des fonds auprès de militants de base pour diffuser des spots avant ses adversaires mais pour seulement 48,6 millions de dollars. On pourrait dire que c'est un petit joueur, si on oublie l'histoire de David contre Goliath.
Au total, l'ensemble des candidats démocrates avaient consommé "ou dilapidé" 969 millions en publicité, tandis que 67,9 millions ont été dépensés pour les primaires républicaines, une formalité pour le président Donald Trump.
Non, ce n'était pas "Saterday night fever", ce
"Super Tuesday" comme étape déterminante pour réunir 30%% des Grands Électeurs représentatifs podcast alors on peaufinait de part et d'autre, les coulisses du pouvoirpodcast.
Chacun avait fait tapis sur la table de poker.

Eric Swalwell, le candidat qui avait défié le favori Joe Biden en l'appelant à passer le témoin aux plus jeunes en renonçant à briguer l'investiture de son parti.
L'hécatombe des désistements avait tout de suite suivi.
Du côté suspens, faute de grives, on allait devoir manger du merle.
La jeune étoile filante,
Pete Buttigieg, Amy Klobuchar, Michael Bloomberg, Elizabeth Warren soutenaient tous Joe Biden après avoir jeté l'éponge.
Les électorats noirs et hispanique avaient un certain poids qu'il ne fallait surtout pas négliger.
La Californie, plus mobilisée que jamais contre le président actuel, avec 44 % des inscrits démocrates déclarés, représentent presque le double de l’électorat républicain (23,6 %).
10 mars: le mini Super Tuesday remporté par Joe Biden dans l’État du Mississippi, du Missouri, du Michigan et de l’Idaho alors que Bernie Sanders sortait gagnant du Dakota du Nord et que l’État de Washington donnait l'égalité entre les deux.
Selon un analyste politique de Fox News, les paris électoraux cotent une victoire de Joe Biden à 49,8 % dans la primaire démocrate, alors que Donald Trump aurait tout de même 56,5 % de chances de remporter l’élection présidentielle.
Un match de catch en paroles final dans une nouvelle série de "Dallas, ton Univers impitoyable", serait vraiment intéressant à suivre pour un spectateur étranger comme je le suis et qui n'est pas américain.

Carte interactive intermédiaire sur les élections

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17 mars, L'Arizona, l'Illinois, l'Ohio et la Floride sont passés au vote et c'est Joe Biden qui confirme son statut de favori.

Bernie Sanders se retirait de la course à la présidentielle américaine.

A 77 ans, Joe Biden est donc le seul adversaire démocrate qui va affronter Donald Trump.
Joe Biden ou Bernie Sanders face à Donald Trump? 0.PNG

Tous deux, comme de petits vieux, ils vont se rencontrer en novembre.
Est-ce que les élections vont se produire à partir de homes?

Un débat se posait la questionpodcastpodcast.

La déclaration de Trump qui fermait les portes des States à tous les ressortissants européens mais ni aux biens ni à ceux de Unided Kingdom, allait-elle remettre une nouvelle mouche du coche au Brexit?

"Alea jacta est" pouvait-on en conclure..si et seulement si, il n'y avait rien de nouveau... Ce ne fut pas le cas...

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"Covid-19", l’épreuve du feu

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0.PNGBien avant le départ de la pandémie de coronavirus, plusieurs experts avaient souligné l’impréparation des États-Unis pour faire face à un tel fléau. Aveuglée par ses préoccupations géopolitiques et stratégiques, l’Administration américaine a balayé toutes les mises en garde.
3.PNGTrump devait simplement prouver que son administration avait tout fait pour le succès économique de l'Amérique en maintenant la barre du succès de la Bourse américaine... mais pas cela :podcast
.
Raté... Le coronavirus va jouer un rôle de trouble-fête comme intermédiaire entre les deux adversaires.
Depuis, les Américains sont devenus les plus touchés par le coronavirus que les autres pays.

Les États-Unis pourraient dépasser l'Europe en nombre de cas et devenir l'épicentre de la pandémie comme colosse au pied d'argile.
La botte secrète de Trump "appeler le Congrès américain" pour adopter rapidement une réduction des taxes sur les salaires, pour aider les ménages américains à surmonter l’impact économique de l’épidémie de coronavirus puisque "l’avenir des États-Unis reste plus radieux que personne ne peut l’imaginer" comme il le dit.

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Les futures élections, mises au vestiaire et en jachère.
Trump, ému en annonçant une période "horrible"?

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Va-t-il partir et se réfugier dans sa résidence secondaire en Floride?

0.PNGDepuis les dernières élections, plus beaucoup de nouvelles du parti démocrate, mis en quarantaine.
Les derniers élections des États qui n'ont pas encore eu lieu, ont été reporté à une date ultérieure non précisée, alors que la situation sanitaire s'aggrave de jour en jour
podcast.

3.PNGAux États-Unis, où la pandémie progressait rapidement, le nombre des cas confirmés de contaminations dépassait déjà les 300.000, et le président Trump a prévenu que les États-Unis entraient à présent dans « une période qui va être vraiment horrible », avec « de très mauvais chiffres » comptable (bien entendu).

« Ce sera probablement la semaine la plus dure.  Il va y avoir beaucoup de morts », avait-il déclaré lors d’un briefing à la Maison Blanche.
La maladie étant officiellement jugulée en Chine, les États-Unis sont en passe de devenir la nouvelle ligne de front de la pandémie.
Les derniers chiffres du 24 avril de la crise sanitaire: 869.170 diagnostiqués, 49.954 décès et 80.203 guérisons.
C'est une véritable valse des chiffres qui évolue de jour en jour...
Dans la seule ville de New York, 150.000 cas confirmés, 11.544 décès et 18.018 guéris ont été enregistréspodcast et on ne d’enthousiaste plus pour les élections.
La ville a subi 50% des personnes infectées dans tout le territoire des États Unis.
La promiscuité est le vecteur le plus favorable au Covid-19 dans une ville de 8,7 millions d'habitants avec plus de 7.100 habitants au km2, mais c'est dans le Bronx que la population la plus pauvre "déguste" le plus.
La densité de la population dans un pays est l’un des facteurs explicatifs de la progression. La partie rurale des États-Unis est encore indemne, mais elle est notoirement sous-équipée en hôpitaux et le système de santé favorise les plus riches.
Plus d'Obamacare, plus de tentative de mutualisation des soins de santé.

0.PNGUn gigantesque navire-hôpital est resté à quai à New York, comme nouveau foyer de la pandémie.
L'entretien avec Gérard Araud, ancien ambassadeur de France confiné à New York est sans doute possiblepodcast.
Les États-Unis sont parmi les pays les plus endeuillés au monde. Après avoir nié les dangers de la pandémie, le président Donald Trump tentait d’apparaître en capitaine dans la tempête, malgré sa gestion erratique et contradictoire de la crise.
La pandémie, touchant de façon démesurée les Noirs américains, pointe un système de santé profondément inégalitaire, majoritairement privé et décentralisé. Elle révèle aussi, depuis deux semaines, une très forte hausse du nombre de chômeurs.
De ce côté, Trump reçoit un appui parmi les électeurs blancs qui voudraient reprendre le travail.

7 avril: La crise sanitaire majeur n'a pas empêché in extrémis les élections dans le Wisconsinpodcast.
0.PNGL’électeur américain punira-t-il le président Trump pour sa mauvaise performance au début de la crise de l’épidémie du COVID-19, en choisissant Joe Biden dans l'état d’anxiété, d’incertitude, de confusion générale comme magicien de l'imprévisible? Les pertes économiques soutenues par des politiques correctives efficaces pour garantir une maîtrise rapide des impacts économiques et sociaux, seraient-elles suffisantes?

Le nombre de morts chinois, entend-on, aurait été sous-évalué.
N'en sera-t-il pas de même en Amérique?.
De toutes manières, les États Unis comme le monde entier ne seront plus les mêmes dès 2021.
Ah, si Frank Sinatra revenait, que chanterait-il?.
New York, the town where everyones can die in an America first?


1.PNGLes Américains bâtissent toujours des hôpitaux de campagne de Los Angeles à Miami, avec des milliers de lits supplémentaires de réanimation.
L'Amérique, le pays où tout se règle avec des dollars du business n
'empêche pas certains dans toutes les situations catastrophiques, de faire du bénéfice pour délit d'initié comme le rapporte Tibonoldpodcast.

1.PNGPas de commission d’enquête parlementaire pour évaluer comment les autorités ont répondu à la pandémie du coronavirus.

La Cour suprême a consacré le rôle de la presse comme Quatrième pouvoir. «Il a fallu 70 jours pour que Donald Trump traite le coronavirus non pas comme une menace distante ou une grippe inoffensive, mais comme une force meurtrière qui s’apprête à tuer des dizaines de milliers de citoyens», écrivait le Washington Post.
Cette mauvaise note sera-t-elle suffisante pour détrôner Trump?.
Rien n'est dit, faute de combattants, faute de meetings ...

1.PNGOn pourrait se poser la question: Pourquoi ne pas remettre les élections à l'année prochaine et laisser de la latitude d'un temps supplémentaire?.
No, time is money...

La dernière trouvaille de Donald Trump : se mettre au soleil et s'injecter des désinfectants en pensant peut-être à sa propriété en Floride.
Sinon, attendez et rendez-vous pour le grand combat en novembre qui sera pour le moins atypique comparativement à la situation d'il y a huit ans pendant laquelle Obama disait "The best is yet to come" que l'on pourrait traduire par
"if God is still blessing America, depending on the virus, the shit is yet to come for everyones in the world...

..

Comment finir ce billet?

Est-ce par le film "Le rêve américain des Tuches" que l'on a présente, hasard du calendrier, il y a quinze jours sur notre télé?


.. ou la musique plus solennelle de la 9ème symphonie de  Dvorak qui rappelle les grandes immigrations dans le deuxième mouvement, le plus reconnu avec la nostalgie qui en émane ....


... ou dans son concerto n°2 pour violoncelle en guise d'hommage?


Patrick Leterme répond en musique et en dessins dans un "Je Sais Pas Vous" (clic)"

Mais comme il s'agit d'élection, c'est à vous de choisir...

Choisir de la musique, n'est-ce pas plus agréable que d'avoir à choisir un Covid nième du nom?

 

Allusion,

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PS: Les 7 du Québec m'ont présenté quelques articles sur le sujet: "La mascarade électorale", "Qu'est-ce qui changerait avec Bernie Sanders", "Le Coronavirus cours  toujours" , "La fin de la course", "Le confinement sélectif", "Les banquiers tétanisés non pas par la pandémie mais par le confinement"

26/4/2020: Problème de santé de Kim-Jong-Un ? Non il est réapparu plus tard

1/5/2020: Des cadavres découverts par centaines à New Yorkpodcast

1.PNG5/5/2020: Trump promet le vaccin pour la fin de l'année

9/5/2020: Plus de 60.000 morts. Le site "Lincoln Project" est né pour éliminer Trumppodcast
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16/5/2020: Les pros et contre de Trump 

20/5/2020: Le Covid fracture les États Unispodcast

21/5/2020: San Francisco, très préservée face à la propagation du virus. Épicentre mondial des géants du numérique, San Francisco pratique depuis un certain temps la distanciation sociale en faveur d’une vie du tout digital. Un mode de vie révélateur d’importantes fractures socio-culturelles, San Francisco, la ville sans contactpodcast.

Mais Donald Trump méprise la science avec son goût de la provocation.

27/5/2020: La plume de Josef Shovanec au sujet de l'état de santé de Joe Bidenpodcast

1.PNG2/6/2020: Le couvre-feu est instauré après l'assassinat du noir George Floyd...

9/6/2020: Après la situation économique, le Covid voici le racisme qui revient dans l'oeil de Pierre Marlet pour détrôner Trumppodcast.

22/6/2020: Trump avait voulu sortir de l'ombre dans un premier meeting à Tusla, la ville qui a connu les pires troubles raciaux dans le passé. Cela ne s'est pas bien passé. Beaucoup de places vides dans l'assemblée. Il n'a pas manque de faire une lapalissade en disant "Qu'il fallait moins de tests contre le Covid parce que c'est à cause de cela qu'on connaissait le nombre de contaminés"0.PNG

23/6/2020: John Bolton sort un livre brûlot contre Trump. "The Room Where It Happened, A White House Memoir"podcast
et c'est à nouveau Pierre Marlet qui suit l'affaire en se demandant si, en fonction de précédents, le livre peut podcastnuire à Trump pour sa réélection.

8/7/2020: Non masqué, un argument politique pour Trumppodcast

17/7/2020: Pourquoi les Américains ont choisi Donald Trump comme président? Réponse

0.PNG28/7/2020: Trump et la mafiapodcast

29/7/2020: La crise Covidpodcast

 

18/8/2020: Trump peut-il encore gagner les élections:podcastpodcast0.PNG

21/8/2020: La campagne de Trump est lancée avec la convention et la poste pourrait apporter une avance pour Trump selon Pierre Marletpodcastet le fait d'être mis en en échec, rend Trump encore plus vindicatif, ce que ses fans préfèrent en lui.

0.PNG28/8/2020: Dernière ligne droitepodcast

10/9/2020: Deux choses qui pourraient détrôner Trump:

- Le livre de Bob Woodwardpodcast

- Son attitude au sujet du Vietnampodcast

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11/9/2020

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1.PNG25/9/2020: Donald Trump pourrait ne pas reconnaitre son éventuelle défaite
podcast

30/9/2020: Débat entre Trump et Biden qui commence bien et termine en pugilat

0.PNG8/10/2020: "Le débat aux antipodes des vice-présidents fait mouche, plutôt que de gagner des points" ... littéralementpodcast

10/10/2020: interlocuteur Erick Orsena sur le sujet de l'élection américainepodcast

0.PNG12/10/2020: Ce lundi, Trump, après son "Covid positif", organise un meeting en Floride. Cet Etat a toujours été le plus disputé. Au temps de Bush Junior contre Al Gore, le match s'est poursuivi jusqu'à la dernière minute dans un imbroglio amusant à regarder les trous dans des cartes perforées. La Cour suprême a dû trancher.  Cette fois, c'est l'égalité 48-48% en intentions de vote. Retraités de + de 65 ans et Hispaniques avec 1/4 des habitants, cubains et portoricains. L'épouvantail du risque du socialisme présenté pour effrayer les Cubains par Trump. Cette visite était prévue le 16 octobre et le 12 octobre un nouveau débat avec Biden tous deux annulés.

La nièce de Donald Trump, Mary Trump a sorti son livre "Trop ou jamais assez". "Mon oncle est un tricheur, un raciste, un sexiste, Dernier contact le 4 avril 2017. Si Donald est réélu, conforté, il passera à la vitesse supérieure et ce sera la fin de la démocratie aux Etats Unis".


13/10/2020: Les magazines scientifiques attaquent: podcast

14/10/2020: Menace contre la démocratie des States et du monde démocratiquepodcastpodcast.

22/10/2020: Dernière confrontation entre Trump et Biden ... presque normale

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