Virus blues (2) : De l'enfer au paradis ? (16/05/2020)

0.PNGOn sort progressivement du confinement imposé par le coronavirus. L'origine naturelle "chauve-souris", "pangolin" avait été envisagée mais aussi une fuite du laboratoire à Wuhan ou même plus complotiste qu'elle serait volontaire.
Paru en 2013, le roman "Inferno" de Dan Brown et le film qui en a été tiré, étaient-ils précurseurs de cette version complotiste ? L'histoire commençait à Florence et se terminait à Florence, le point de départ du coronavirus pour l'Europe juste après la Chine.
E
t avec une pincée de philo et d'humour en prime, qu'est-ce que cela donnerait ?

Wikipédia en a construit mieux que je ne pourrais le faire le synopsis et l'intrigue.
Le suspense et l'aspect thriller en moins, je me suis replongé de la page 540 jusqu'à la fin du livre pour en extraire les points les plus marquants dans une microfiction de "Virus blues".

Les principaux interlocuteurs

0.PNGManifestement, dans les dernières années de la vie de Liszt, ce n'était pas la joie quand il a composé la "Dante Symphony"...
M
ais dans la grotte, c'est cette divine Dante Symphonie qui avait été jouée toute la semaine pour des gens venus des quatre coins du monde pour assister à une messe occulte devant un bassin. Sur une plaque, Zobrist avait écrit avec une date "Ici, en ce jour, le monde fut changé à jamais" alors qu'un sac se désagrège sous l'eau avec son contenu mortel par gouttelettes empoisonnées en contaminant l'air. Le virus était lâché
.
- Personne ne sort d'ici. Fermez ces putains de portes, scellez-les. Exécution. Le sacrifice de quelques-uns est pour le salut du plus grand nombre. La pandémie potentielle à cause d'un virus exige un confinement total pour rester en vie.", crie Sinskey.
-
Comment attaquent les virus ?
- Le virus Ebola empêche le sang de coaguler provoquant  des hémorragies mortelles. Les hantavirus sont responsables de maladies pulmonaires fatales par voie aérienne. Les oncovirus provoquent le cancer. Les rétrovirus comme le VIH attaque le système immunitaire par le sang et les contacts sexuels. Si le rétrovirus se propageait par voie aérienne, cela serait la fin de l'humanité. Mais, la liste des virus est longue. Il y a des gentils et des méchants.

Dans une marée humaine tel un bouchon de champagne, la panique s'empare de la foule. Des employés sortent de leur cachette en combinaison rassurante et ressemblent à des astronautes explorant un vaisseau alien tout augmentant la panique générale. Les masques à oxygène gênent la respiration. Probablement tout est déjà contaminé. Une seule forme de contagion se reproduit plus vite : la peur. Deux techniciens de la police scientifique sont sur la scène du crime. Le virus, monté à la surface en de minuscules gouttelettes, se dissémine dans l'atmosphère avec une vitesse prodigieuse. A l'instar des parasites, contrairement aux bactéries, un virus pénètre dans l'organisme en se fixant à la cellule hôte selon le procédé appelé absorption pour injecter son propre ADN et la forcer à dupliquer e n plusieurs versions, la tuer avant de se hâter de conquérir de nouvelles cellules hôtes dans un processus répété à l'infini avec une croissance exponentielle. Contenir une maladie contagieuse, c'est comme combattre un feu de forêt en reculant, en acceptant de perdre des arbres pour en sauver d'autres en isolant le foyer infectieux. Il faut partir de l'épicentre de la contamination et à intervalle régulier de plus en plus loin, placer des détecteurs. Le virus est partout puisque les voyants restent rouges.
Brooks voulait empêcher la propagation en volant le virus pour le faire disparaître et pour que personne ne puisse l'étudier, surtout pas l'OMS. Elle s'est enfuie.
Zobrist, visionnaire et transhumaniste, avait pensé que notre espèce allait atteindre son point de rupture et que notre humanité avait une fin plus proche qu'on ne l'imaginait. Il affirmait pouvoir sauver l'humanité dans un devoir moral en donnant une chance à l'avenir d'éviter la catastrophe dans un âge post-humain. Dans ce but, en homme de résultat, il voulait infecter toute la planète à une date précise. Sans être mortelle, ce virus est bien plus terrible par la génétique. Sensé rendre plus résistant, plus intelligent, plus compatissant, il terrasse la Gorgone et le monde chtonien de Gaïa qui incarne la fertilité par un vecteur viral, catalyseur high-tech par l'introduction d'un récessif héréditaire génétique dans certaines cellules cibles pour modifier le génome et rendre des humains infertiles de façon aléatoire 30% pour autoréguler une croissance raisonnable et éviter la prolifération incontrôlée de notre espèce.
Zobrist est mort mais il a désigné Brooks comme sa muse et elle craint d'être désignée comme une terroriste biologique devant une cour internationale.
D'après elle, il ne fallait pas que les États aient accès à cette technique. Au cours de l'histoire de l'humanité, chaque percée technologique a été détournée à des fins destructrices et presque toujours sous la houlette de grandes puissances. Les armes biologiques proviennent de laboratoires, de richesses de l'OMS ou du CDC. Avec un agent pathogène capable d'attaquer par des marqueurs génétiques spécifiques, alors que le code génétique est un labyrinthe inextricable, pour obtenir un nettoyage ethnique. Pourtant, Zobrist n'a jamais rien fait d'autre que de crier la vérité au monde et pour ce crime, il a été rejeté de tous. La pire des solitudes est celle des incompris et c'est là qu'on perd la raison. Par le biais de l'évolution, la nature avait créé le scientifique Zorbrist capable d'inverser la courbe de la croissance de l'espèce humaine sans lui infliger de cataclysme. "Les endroits les plus sombres de l'enfer sont réservés aux indécis qui restent neutres en temps de crise morale". Aucun symptôme n'est détecté jusqu'ici, mais des analyses approfondies peuvent prendre des semaines. La science nouvelle de la génétique, selon les intentions du généticien, peut être bénéfique en corrigeant une erreur de l'ADN mais aussi destructrice.

L'enfer a souvent inspiré les films : "Inferno", de Dario Argento de 1980. "Inferno, de Peter Keglevic en 1995. "Inferno", de Fred Olen Ray en 1997. "Inferno, de John G. Avildsen en 1999. "Hellraiser 5: Inferno" de  Scott Derrickson en 2000., "Inferno: Au cœur de la fournaise" de Dusty Nelson en 2002. "Death Race: Inferno", de Roel Reiné en 2012. "Inferno", film hongkongais en 2013. "The Green Inferno", d'Eli Roth de 2014 et donc, "Inferno, de Ron Howard en 2016 adapté du roman de Dan Brown.
E
n 2019, le livre  "Pandémie" de Robin Cook a reçu un succès inhabituel suite à la crise sanitaire, vu son statut de médecin chirurgien avec le préambule
"Et si ceux qui prétendent nous soigner faisaient tout pour nous tuer ?  Une jeune femme succombe à un mystérieux virus confirmé par des décès similaires dans les jours qui suivent. Il s'agirait de plusieurs virus non identifiés. [...] Une plongée au cœur du cauchemar que pourraient représenter les techniques de génie génétique si elles étaient entre des mains malveillantes".
C
e livre-ci se rapproche donc de l'idée du livre de Dan Brown.
L
'enfer est-il toujours pavé de bonnes intentions?

0.PNG

La nature des virus

0.PNGLes virus comme il était déjà question dans le billet "La vérité n'existe pas" pourrait être un agent accélérateur de l'évolution : " Ils modifient activement la génétique d'autres espèces en étant la force motrice de l'évolution et en parasitant les cellules hôtes dont ils utilisent les constituants pour se multiplier. Une course à la reproduction et à l'armement biologique commence dès qu'il a infecté son hôte. S'il la gagne, il tue son hôte et se dissémine vers d'autres organismes, parfois en mutant, avec des performances propres réactualisées.".
Tous les êtres vivants ont une durée de vie plus ou moins bien connue avec des pointes et des creux qui entrent dans les statistiques.
Si on remonte dans le temps, l'espérance moyenne de vie des hommes a considérablement augmenté à cause de la médecine, ce qui a augmenté la population mondiale de manière exponentielle.
Bien connue des actuaires, l'espérance de vie à la naissance d'une population se calcule via la formule des statistiques A = avec  A étant l'année, 
la probabilité de survivre à l'âge des personnes au premier janvier et qui sont encore vivant le 31 décembre.
Les nouveau-nés ne meurent plus suite à la moindre infection et les seniors peuvent espérer vivre jusqu'à bien plus de 100 ans.
Cela ne veut pas dire que l'homme vit "bien" sa vieillesse. Il aurait même dépassé un cap qui augmente les maladies neurodégénératives.
Au 19ème siècle, Thomas Malthus avait renforcé cette idée à une époque où la population mondiale atteignait à peine un milliard et demi d'humains et qu'un enfant sur deux n'atteignait pas l'âge de dix ans
0.PNG. Ce qui augmentait les familles nombreuses.
Il est connu pour ses travaux sur les rapports entre les dynamiques de croissance de la population et la production, analysés dans une perspective « pessimiste », totalement opposée à l'idée smithienne d'un équilibre harmonieux et stable.
La généticienne Pr Alexandra Henrion-Caude tente de répondre, dénonce les mensonges, les drames et les dégâts du confinement qui ne peut être contrée que dans une santé globale des êtres vivants.
Mardi, sur France2, le magazine "Les pouvoirs extraordinaires du corps humain" répondait à toutes les questions des téléspectateurs et de nouvelles révélations en ressortent. On pourrait presque établir un parallèle avec le capitalisme qui construit sa richesse par la quantité, mais c'est perdre quelques aspects négatifs dans la foulée.
Le scientifique Zobrist de Inferno avait-il raison de vouloir limiter les naissances alors que le Covid avait touché les plus faibles, souvent les plus âgés quand la population mondiale augmente exponentiellement ?
La question mérite plus de réponses qu'une interprétation philosophique du problème de surpopulation que je ne commencerai pas autrement que par dire "c'est un choix surtout de société".
L'enfant unique a été abandonné en Chine car il n'a pas fonctionné.

La nouvelle équation de la fécondité est un sujet traité par le S&V.
0.PNGL'Eglise pose comme résultante d'un couple "avoir des enfants" et refuse toutes les techniques de contraceptions. S'il faut rester couvert, ne pas confondre masque et préservatif, c'est pas pour les mêmes virus.
Avoir des enfants naturels ne demande pas de vérifications de pouvoir l'assumer et les éduquer alors que c'est presque un cauchemar que de vouloir passer à l'adoption qui elle ne crée aucun surnuméraire. Le confinement dû au Covid n'arrange pas plus les choses d'après ce podcastpodcast. La pauvre Ukrainienne dont il y est question se plaint. Elle doit se farcir des centaines de recrues de bébés en attendant leurs nouveaux parents et cela doit gueuler dans la chaumière des réserves...
Le phénomène du passé se reproduit : les pays les plus développés ont une population décroissante et les pays les plus pauvres toujours croissante avec le même esprit de compenser les "pertes" par le nombre.

Alors, il faut voir où et quand cela marche le mieux.

..

"Après-demain"

Le film qui suivait "Demain" a été présenté coup sur coup sur LaTrois belge, ces deux derniers lundis.

Le film était plein d'idées de solidarité à petites échelles.
Il rappelle des séquences de "Sacré croissance".

1.PNGAu moment où "Après demain" était sorti, il s'agissait de marches pour le climat de réchauffement climatique. Le coronavirus a changé la donne pour revenir à la case départ. L'idée des transports en commun a même pris du plomb dans l'aile à cause du coronavirus, par rapport aux déplacements en solitaire à bord de voitures individuelles ou de vélos pour éviter trop de rencontres. Les virus sont le symbole de nos trop nombreux déplacements et de la mondialisation des activités humaines.
Le capitalisme a toujours cherché à s'enrichir par la quantité, par la masse, produire plus que nécessaire localement et moins cher, aidé les machines, quitte à perdre en qualité.
A plus petite échelle, le bio s'est intercalé avec des prix plus élevés.  Dans ce sillage, le monde capitaliste a laissé la Chine devenir l'usine du monde, en s'étant reposé sur ces lauriers en ne lui abandonnant pas beaucoup de secteurs de production. Le protectionnisme a été la réponse lancée par Donald Trump en fermant les frontières de son pays en prenant le parti des ouvriers qui ont perdu leur emploi. Cette méthode n'est apparemment pas la solution pour éradiquer ce virus. Pour que cela puisse fonctionner, c'est que le niveau global de richesse de la population a grimpé ensemble. Ce qui n'est pas le cas. Les populations les plus pauvres ont été les plus touchées par l'infection du Covid en préconisant de soutenir l'économie aux dépens de la santé  podcast.2.PNG
La crise du coronavirus a créé des suspicions et des volontés de demander des réparations aux dégâts causés par cette crise dans le mondepodcast.

A qui la faute ?

Si la Chine n'avait pas exporté sa production à des prix cassés nous ne serions pas arrivés là. Les faillites vont tomber une à une et on pourrait se demander de manière plus fondamentale si, au vu des contraintes de distanciation sociales et de désinfections obligatoires, certaines entreprises resteront encore rentables parce qu'elles ont été créées sur capitalisme préconisant la quantité plutôt que la qualité. Engager plus de personnel quand les taxes sur le travail salarié sont importantes devient problématique pour de petits entrepreneurs. Travailler plus n'est pas la solution, travailler mieux et de manière plus pragmatique, plus efficace sans gaspiller l'est bien plus comme il est dit dans ce débatpodcast.
Les prix des marchandises vont devoir grimper pour compenser cette crise sociétale et en observant la situation actuelle, on constate que cela a déjà commencé.
L'idée de l'allocation universelle va tôt ou tard s'introduire dans la mêlée quand les licenciements vont tomber dans un cycle en boule de neige : pertes de rentabilités des entreprises, réductions d'effectifs et, en finale, faillites. Pour recommencer en plus petit, l'allocation universelle permettrait de temporiser, de réfléchir pour se repositionner dans l'évolution d'une économie mondiale qui a totalement changé d'optique si besoin. Quant à la mutualisation des dettes au niveau européen est un vœu pieu avec des pays comme les Pays Bas qui ne veulent rien entendre.

1.PNG

7.PNG 0.PNG

"La culture n'est pas un produit de luxe" écrivais-je et elle est sinistrée.

Pas de Festival de Cannes et voici trois films qu'on ne pourra pas y voir.

0.PNG

..

Conséquences : de l'enfer au paradis?

0.PNGMardi, Olivier Blanchard manifestait son inquiétude au sujet des suites de la crise sanitairepodcast.
Le Thema d'ARTE parlait de l’irrésistible ascension de Amazon (podcast: podcast) et il y a seulement la société Alibaba pour lui résister.
Les vacances c'est à l'eau mais sans eau. Les avions cloués au sol.

Tous les jours, des prophètes de malheur nous annoncent que la fin approche.
Crise écologique, crise financière, crise migratoire, crise de la famille, crise des valeurs, et aujourd’hui, crise sanitaire. Le coronavirus emporte des centaines de milliers de personnes et met fin à la croissance économique, au transport aérien, au tourisme de masse, à l’hyperconsommation, et à bien d’autres choses encore.
M
ais au fond cela aurait pu être n’importe quoi d’autre : car tout le monde était d’accord pour que “cela cesse”.

4.PNGNous étions peut-être au bord du précipice, nous avons fait un grand pas en avant, et maintenan quoi ?
Le virus n’est que l’aiguille qui perce la bulle de savon.
A la barre, trop de fragilités, de contradictions, de mensonges, de cynisme, d’aveuglement volontaire et une
absence de volonté de regarder la vérité en face et d'assumer ses responsabilités.
A ce moment-là, la moindre étincelle suffit pour allumer le brasier.
5.PNGC'est le signe que l'arbre est mort. Alors, il faut reculer pour mieux sauter en attendant la renaissance derrière chaque aventure héroïque à la découverte des talents restés cachés.
Q
uant à moi, "p'tit vieux" de près de 73 balais, comme le roseau qui se plie mais ne se rompt pas, j'ai appris à savourer l'instant en mêlant parfois la bêtise de la tête aux espoirs qu'apportent les jambes dans la nature
.
H
ors du coup
de la vie sociale active, à la pension de retraite évaluée au compte-goutte comme s'il s'agissait d'un revenu universel avec une épargne quand on pouvait le faire, je peux survivre.0.PNG Désormais, nager entre deux eaux, construire des microfictions parodiques, c'est prendre la tangente en contre-pied au 2ème degré, même si cela peut paraître suivre la formule non participante du "chacun chez soi et chacun pour soi"podcast.
Avec le préfixe évoluer, on devient parfois essentialiste en pensant avec humour à une chute du haut d'un building et qu'arrivé au 5ème étage, il suffirait de dire "jusque ici, tout va bien".
Il est dit que le Covid touche tous les organes et même le cerveau.
O
k. Si Alzheimer sonnait un jour à ma porte, j'espère que mon GSM qui me suit en permanence et que "Sainte Google" qui m'indique chaque mois par où je suis passé, seront là avec leur solutionnisme technologique pour me géolocaliser et me permettre de me retrouver parmi les humains.

Mais comme dit Elisabeth Buffet dans son show "On n'a pas changé"
podcast

0.PNG

 

Le Shopping de Woluwé un jour de semaine.

Masqué, on avance petit à petit, en attendant son tour en dehors des magasins en suivant les flèches..

4.PNG

8.PNG

6.PNG

1.PNG

0.PNG

1.PNG

 

Ce samedi, Y'a de la rumba dans l'aire
Le smoking de traverse
J'te suis pas dans cette galère
Ta vie tu peux pas la r'faire...


L'Enfer, du latin infernus (qui est en dessous), est, selon de nombreuses religions, un état de souffrance extrême — du corps ou de l'esprit humain après sa séparation du corps —, douleur expérimentée après la mort par ceux qui ont commis des crimes et des péchés dans leur vie terrestre.
M
ais y a
aussi une autre version de l'enfer plus enthousiasmante que je préfère, appelée "Enfer et Paradis" (天上天下, « Tenjho Tenge ») qui sous forme d'un manga japonais d’Oh! Great, raconte l'histoire de deux jeunes intégrant une école regroupant des spécialistes des arts martiaux, école sous la coupe d'un groupe d'élèves aux méthodes parfois extrêmes.
L
e titre vient d'une phrase qu'aurait prononcée Bouddha à sa naissance, après ses sept premiers pas : « Au paradis et sur Terre, moi seul suis béni »..
Bouddha disait toujours la vérité, non ?

 

Allusion,

 

19/5/2020 : Et au sujet des vaccins les actions et les réactions se multiplient
podcast avec débat podcast
Responsabilité de l'homme dans les viruspodcast

26/5/2020 : L'affrontement entre la Chine et les États Unispodcast

Gagnants et perdants de la crise Covid: podcast

27/6/2020: Débat sur le plan de relance en France ou ailleurspodcast

| Lien permanent | Commentaires (17) |  Imprimer