La relance par la Bourse et la Vie (26/02/2021)

0.PNG.jpgL'argent, le nerf de la guerre mais aussi le sang de la vie à ne pas transformer en hémorragie est un problème lié à la nostalgie qui nait souvent à partir de regards imparfaits sur soi et sur le passé. Les billes d'antan n'ont pas disparues. Elles ont seulement changé de forme, parfois bien plus carrées. Les fortunes ont changé de main entraînant patrimoine et PIB par entité ou par communauté dans des circuits fous.
Au cours de la pandémie du Covid, magasins, restaurants fermés et bien d'autres moyens de dépenser ses économies, le Belge n'a jamais autant épargné. Dans l'opération, si l'épargnant n'a peut-être pas perdu la brique traditionnelle qu'il avait dans le ventre, il a pu penser fourguer son pognon dans d'autres techniques dont il a le secret.

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 Lors d'un JT récent, un journaliste posait la question à un passant était apparue "Qu'allez vous faire avec votre épargne" podcast.
L'option de l'investissement en Bourse en faisait partie. 

0.PNGLe pouvoir, l'argent et le sexe mènent ensembles le bal. Parfois, sous forme de bal des maudits de gens biens quand l'envie d'assouvir des besoins naturels surviennent.
"
Rien ne se crée, ne se perd, tout se déplace ou se place", disait, il y a longtemps Lavoisier, passionné de chimie.
Rien n'est jamais totalement gratuit, n'est exempt de points négatifs comme l'expliquait dimanche dernier, Pasquale Nardone dans un cours de chimie en parlant de l'hydrogène comme source d'énergie en transformant l'hydrure de magnésium en hydroxyde de magnésiumpodcast.   
"Rien ne se réduit à rien, rien ne se déduit de rien, tout peut s'allier à tout. Il faut seulement apprendre à reculer" disait, ce jour-là, dans l'interview de Bruno Latour pour présenter son livre "Où suis-je? Leçons du confinement à l'usage des terrestres" podcast.
"Les terriens doivent retrouver le goût pour la liberté et l’émancipation mais autrement situées", ajoutait-il en préambule.
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Aujourd'hui, on parle de la relance
L'Europe investit dans les Etats membres, 750 milliards à distribuer parmi ses membres à réserver dans la transition énergétiquepodcast.
A vue de pif, la facture corona pour 2020 s'élève en Belgique, en milliards d'euros au niveau Fédéral à 23,452, en Flandre à 5,6, en Wallonie et Bruxelles à 3,85 et pouvoirs locaux des provinces et communes à 0,56. Soit 33,5 milliards d'euros alors que sans le Covid, on comptait déjà onze milliards de déficit dans un PIB en déséquilibre. 
"Le plan de relance s'annonce comme un grand gâchis" lance le premier échaudé.
"Il faut baisser les charges des PME", rectifie le second.
"Il faut une révolution copernicienne" imagine l'historien en herbe.  
"L'Etat maternel est trop dirigiste et étouffant", soupire enfin le dernier.
 
3.PNGL'argent magique a fini par diminuer les charges de la plupart, sans parvenir totalement à les assouvir.
Les petits capitalistes en herbe ont tout de suite pensé qu'il faudra un jour payer la note pour annuler la dette. Il y a bien sûr la solution drastique de supprimer la dette mais cela ferait perdre la confiance des autres qui sont aussi dans la dèche. Dans des cas de pression intente et de crises, la planche à billets fonctionne à merveilles pour faire baisser le prix de l'argent. L'argent, comme tout le reste d'ailleurs, déprécie. L'homme est un expert au jeu des "dettes perpétuelle" qu'il annulera dans une autre vie à perpette, plus sereine en les transférant aux suivants.
En 2020, je terminais la série des Virus blues (6), je reprenais Bruno Colmant alors qu'il était devenu CEO de Degroof Petercam. 
0.PNGAu sujet de la Bourse, je n'ai pas manqué d'articles dans ces colonnes.
Les deux derniers étaient "Les extrasystoles de la Bourse" en 2015 et "Un coup de barre 'phygital' et ça repart..." en 2017.
Je n'y reviendra pas.
Ceux qui n'ont pas compris que nous sommes dans une ère de libéralisme qui ne date pas de hier, n'ont pas encore tout compris à notre époque.
0.PNGC'est avec du pognon et parfois beaucoup de pognon qu'on arrive à résoudre des problèmes pour sortir des crises multiples et la facture du Covid est salée et poivrée.
Le documentaire "Un grain de sable dans la machine" montrait que de nouvelles injections antivirales devaient avoir un indice de protection supérieur contre notre fragilité.
Les 3% de déficit acceptés par une version de la CE dans le serpent monétaire pré-euro, sont loin. 
Je lisais au sujet des plans de relance avec droits passerelles que "Même un plan de relance à 5,9 milliards d'euros ne peut satisfaire chacun. Mais l'occasion est historique: ce n'est pas tous les jours que la Belgique disposera d'un tel pactole, tombé des cieux européens. Certes, le pays est lessivé par la crise sanitaire et ses conséquences socio-économiques et psychologiques. Il s'agit donc de lui administrer un traitement de choc pour qu'il retrouve des couleurs. Mais il faut impérativement voir plus loin". 

0.PNGL'Europe, à l'origine de ces jolies dringuelles, pose immédiatement des conditions. Pour que les plans de relance proposés par les Etats soient avalisés, il faut que 37% des dépenses envisagées pour les projets retenus aient pour cibles des objectifs environnementaux, notamment la neutralité carbone d'ici à 2050. Une réserve de 20% des fonds devront servir à financer la digitalisation de l'économie et en finale, une autre devra porter sur des projets de recherche et d'inclusion sociale en plaçant la barre plutôt haut pour que les choix ne soient pas de court terme et préparent effectivement l'avenir et ne plus sacrifier uniquement à l'efficience de la résilience et de la sensiblerie. Face à la crise de l'ampleur du coronavirus, les problèmes structurels en matière de mobilité, de productivité, de rentabilité et de durabilité doivent passer par des investissements stratégiques au top et durables pour assurer davantage de prospérité pour tous. "Investir pour un patrimoine responsable et engagé" comme dit une pub de circonstance.
E
n résumé, il y a de bons investissements importants et d'autres plus futiles qui suivent une autre logique de rentabilité anormale et qu'il faudra mettre au panier.
J
e n'ai jamais aimé le "nice to have" dépendant d'une mode et donc non durable.
J
'aime ce qui est rare. Peut-être un peu plus cher au départ mais qui ne dévalue pas au moindre vent de la mode en suivant les affres de la séduction portée par la pub et les plaisirs très temporaires.
0.PNGL
a crise provoquée par la pandémie a mis en lumière les failles et les vulnérabilités de nos sociétés dans l'économie mondialisée, conduisent à la fragilité de certaines activités économiques et aux inégalités croissantes.
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n a souvent oublié la sélectivité des aides financières aux entreprises en fonction de leur impact sur le budget commun et les fortes taxations qui ont menées "logiquement" à des transferts vers les paradis fiscaux qui font penser à des modifications de la fiscalité liée à la digitalisation. Ne pas comprendre qu'il faut un partenariat public-privé en faisant la guerre entre les deux est suicidaire. Penser que les technologies sont d'office néfastes au futur, n'est pas mieux.
L
es soldes n'ont jamais été aussi fortes et, pourtant, elles n'ont pas toujours été à la hauteur des espérances. Vendre plus n'est plus la solution pour construire du chiffre d'affaire, il faut vendre de l'essentiel et du plus durable en réduisant l'obsolescence programmée. Des scénarios d'anticipation et de gestion des futures crises potentielles vont dans ce sens de la proactivité et moins rétroactive.

Relancer le capital à risque, il en est peut-être question aujourd'hui pour contribuer à l'effort de la relance.
Réfléchir longuement avant d'agir dans l'urgence hors du court terme qui finalement coûte cher. Ne pas se laisser emporter par des vendeurs ou des prophètes qui connaissent le truc de signer des contrats "pas trop chers" et qui en fin de course, se révèlent multipliés par dix. Seule la finalité des projets justifie les moyens engagés et pas celle de beaux parleurs. 

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.Retour aux "années folles"

Question angoissante que celle-ci: "Allons-nous connaître de nouvelles années folles lorsque la vaccination nous aura rendu nos libertés ? Oui, cela peut-être une période comparable aux années 1920, dans un optimisme sans faille, une forte croissance économique et une joie de vivre débridée..
La logique est la même que celle de la fin de l’année 1920, après l’éradication de la grippe espagnole, la guerre 14-18, les consommateurs ont eu envie de vivre à nouveau leur vie à fond, de fêter, d’aller à des concerts et des festivals et de voyager.
Au niveau économique, les années 1920 furent une des meilleures décennies de l’histoire.
E
ntre 1920 et 1929, l’économie a crû en moyenne de 4,2% par an, tandis que la production industrielle s’envolait, affichant une hausse de 66%.
Ce fut la décennie des progrès technologiques et de l’optimisme. L’émergence de l’automobile dans les classes populaires a permis le développement des banlieues et créé une nouvelle forme de tourisme. Le réseau routier s’est développé de manière exponentielle. Le boom de la communication par téléphone et par radio qui a sorti de nombreuses régions rurales de leur isolement. Dans les villes, les cinémas et les théâtres ont poussé comme des champignons. Le chômage a rapidement chuté à 2% aux Etats-Unis.
Dans le même temps, l’indice Dow Jones a été multiplié par six, pour atteindre son plus haut niveau le 3 septembre 1929. Il était trop facile d’obtenir du crédit bon marché.

Après huit ans de hausse et l’illusion absurde que les arbres montaient jusqu’au ciel, le conte de fées a pris fin. Précédé par deux mois précédents avec une correction de 30%, le ce fut "lundi noir" du 28 octobre 1929 pendant lequel le Dow Jones avait perdu près de 13% et de 12%, le lendemain. 
Une augmentation des taux de 5 à 6% décidée par la Fed avait mis fin aux festivités par les valorisations exorbitantes en Bourse à, la spéculation avec de l’argent emprunté et la surproduction industrielle, manufacturière et agricole. La Grande Dépression s'en est suivi, a permis à l'Allemagne de provoquer la Seconde Guerre mondiale avec l’ascension de Hitler au pouvoir. Il a fallu 25 ans pour que la Bourse se remette de ce choc.
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Vous devez privilégier les actions ayant pris les bonnes mesures pendant la crise. Pas les sociétés qui se sont retrouvées en mode de survie, mais celles qui sont sorties renforcées de la crise", dit le conseil. qui est toujours de rigueur.

La fable de La Fontaine "La cigale et la fourmi" qui se terminait par 'Vous chantiez ? j'en suis fort aise. Eh bien dansez maintenant', m'est revenue en mémoire.
Non, il faut être plus malin et peut-être, plus opportuniste que la cigale. Il faut aussi un renard qui récupère ce que les flatteurs oublient de se protéger dans "Le Corbeau et le Renard". 

Alors m'est revenu en mémoire ce film de 1965, "La Bourse et la Vie".

Fernandel en faisait partie.

Aujourd'hui, 26 février, c'est la cinquantième année depuis son décès en 1971 podcast

Synopsis du film: "Pelepan se voit dans l'obligation d'« emprunter » une somme importante à l'immobilière Bertin dont il est l'un des plus sérieux collaborateurs. Avec le Marseillais Migue et l'Alsacien Schmidt, deux collègues de bureau de Toulouse, le roublard Pelepan décide d'apporter cet argent à Paris où ils doivent le remettre aux frères Robinhoude. Mais le hasard malicieux voudra qu'à partir de Limoges, les uns et les autres se trompent de train, créant ainsi de nombreuses situations autant cocasses que dramatiques. Après de nombreux chassé-croisés ferroviaires, le trio se retrouvera à Paris mais pas encore au bout de ses peines".

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Le suicide du système capitaliste?

Le rédacteur "heber" parlait du "Suicide du système capitaliste" que je commentais par des solutions radicales.
Frédéric Taddeï signait un interview de Robert Boyer : "Les capitalismes à l'épreuve de la pandémie" .


Parler du capitalisme est souvent mal vu au point de devenir un tabou.
"
Tabou, casse-toi" puisque homme a souvent, pour axiome, la cupidité mais, en plus, qu'il perd très vite confiance jusqu'en lui-même.

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Retour aux années 80
0.PNGQui se souvient encore des Fonds Monory-De Clerck?
Deux hommes politiques ont encouragé le retour des épargnants vers la Bourse et perms aux entreprises de lever des capitaux sans trop de peine via le marché des actions et des mesures incitatives avaient proposées au début des années 1980.
D'abord, René Monory en France et Willy Declerck en Belgique ensuite.
Inspirés par la loi du 13 juillet 1978 élaborée par le ministre français de l'Économie René Monory, le sénateur Etienne Cooreman, ces propositions avaient abouti à l'élaboration de l'arrêté royal du 9 mars 1982 avec l'art de favoriser l’actionnariat en prévoyant l'exonération fiscale de l'épargne investie en actions par des particuliers.
En 2009, rebelotte dans un article : "Comment réorienter l’épargne vers le capital à risque en ravivant les anciennes recettes? Douze derniers mois secoués sur les Bourses en général et sur le BEL 20 à Bruxelles en particulier alors que l’indice de référence belge, avait plongé de 53,7 % en 2008. De quoi faire peur aux épargnants alors que justement, les entreprises auraient plus que jamais besoin de leur argent". Abaisser leur taux d’imposition et aux investisseurs de bénéficier d’une réduction du précompte sur dividende pour les actions nouvelles. Cela a pu faire rentrer 300 milliards de francs belges dans l’économie, dont 80 milliards en Bourse pas uniquement par le biais de l’emprunt et des obligations, mais aussi par le capital à risque des actions comme mesures de soutien comme dans un système d’épargne pension, pour cibler les apports en capitaux frais.
Décidément, on n'attire jamais les mouches avec du vinaigre mais par des solutions "gagnant-gagnant".
Cela peut évidemment cacher une ruse ou un piège mais quand on est acculé même une ruse et un piège fait partie du risque.
Mais avant d'aller plus loin, il faut renouveler la confiance dans les autres et dans soi-même. 
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Retour par la consommation?
En 2012, j'avais écrit "Très chère austérité".
Pour très chère, elle a été très chère cette austérité. Elle nous a coûté un retard dans la progression entre les blocs géopolitiques.
J'écrivais alors, "L'encours de l'épargne réglementée a grimpé de 18,5 milliards d'euros (12,5 pc) depuis le début, pulvérisant le record de 163,5 milliards d'euros de dépôts enregistré en juin 2006.
Le total de l'argent placé sur des comptes en Belgique a atteint 168,5 milliards d'euros au mois de mai, selon les dernières statistiques de la Banque Nationale de Belgique. Depuis le mois de novembre 2008, on assiste à une progression sensible des sommes placées sur les livrets. (...) On est désormais loin des 142,5 milliards d'euros d'octobre 2008, plancher qui avait été touché en pleine méfiance des épargnants envers les grandes banques belges plongées dans la tourmente de la crise financière", écrivait La Libre.
Depuis le Covid, la consommation a en effet chuté. Le pétrole et les déplacements 0.PNGont mis leurs pavillons en berne. Ce ne sont plus les marchés et la spéculation de Wall Street qui haussent le ton, c'est le citoyen qui a changé ses habitudes de provenance de leur consommation qui a fait chuter le prix du pétrole de 40%.0.PNG 
L'énergie a seulement changé de dépositaire. Et le voyageur a changé de tête aussi.
Les banques, mises au ban des accusés, retrouvent quelque peu du tonus en augmentant leurs prix des petites opérations liées aux comptes de dépôts extra-boursiers. Convalescentes, elles rongent leurs freins, voient Goldman Sachs avec envie jusqu'à l'irritation. L'insolence de certaines banques qui offre  toujours plus en dixièmes de centimes, n'a pas l'heur de plaire et agasse.
Dans le même temps, on lit que les finances s’emballent. On offre des promos à gogo sur les locations pour attirer les nouveaux clients avant d'augmenter leurs prix dès l'année suivante. En fait, ce sont des fonds perdus mais pas pour tout le monde. Rentabilité oblige avec le social comme filet de sustentation.
Delhaize veut attirer ses consommateurs à consommer plus à diminuer leurs stocks par des promos 1+1 = 3 et autres formules alléchantes dans les échos de la pub.
Après 500 points épargnés, voici le billet de 5 euros remis automatiquement à la caisse. 
En novembre dernier, une nouvelle carte Delhaize, sensée apporter des compléments de réduction par l'achats d'articles plus nutritif et moins nocifs en fonction de niveaux de "vert". En effet, cela marche après inscription sur Internet ou dans le magasin pour obtenir cette nouvelle carte. Si le client est attentif aux publicités, il pourra même accélérer la montée des points décernés pour leurs efforts en achats.
Il n'est pas rare d'avoir quelqu'un à la caisse qui n'a pas compris ce qu'implique ce changement et qui comme sœur Anne ne voit rien venir.
- Il faut activer vos ticket avec votre smartphone, dit-on à la réception.
- J'ai pas de smartphone, j'ai pas d'internet.
- Alors il faut téléphoner. Vous avez un téléphone tout de même.
- Oui ça j'ai...
Nouvelle réserve de "bons pour" sans en voir la couleur et la réduction sur le ticket. 
Le problème arrive quand le client espère récupérer la série de 500 points et qu'il n'avait activer la réduction avec son smartphone.
Même principe d'ailleurs que les bitcoin qui vont encore doubler en valeur de réserves fictives non consommées.
Oui, les magasins sont achalandés,
Mais au fait, d'où vient le mot "achalandé"?
Bernard va nous le dire...

 
Il n'y avait pas que les banques qui disent être dans un monde qui change.
 
Le monétarisme vaudou s'est converti d'abord par la délivrance de tickets de ravitaillement ou de rationnement ensuite par des écritures comptables dont il ne faut recevoir des extraits de comptes que sur Internet.
Confiance, épargnez, chers concitoyens, on a besoin de vous et puis, il en restera toujours quelque chose même sous forme de miettes.
Mais, je viens de recevoir un message en provenance de Mars.
Allo, les Martiens, c'est à vous...
(faudra que je demande à Bernard pourquoi on ne met pas un "t" à la place du 's", ce n'est pas à cause des Marseillais, ça c'est sûr)....
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Réflexions du Miroir
à.PNG.jpgCeux qui espéraient peut-être que je conseille et influence.
Ils en seront pour leur frais. 
L
es conseilleurs ne sont jamais les payeurs. Seule la diversification de ses permet de sauver les meubles. Préconisé, un portefeuille de 20% en protection, 10% en croissance, 10% en obligations et le reste....
T
out comme ma signature, je donne toujours des allusions, mais sans plus.
D
epuis le jour où j'ai écrit en 2005, "Spéculons en paix", je me doutais que ce ne sont ni les faits, ni les chiffres des bilans qui importaient le plus avec le PE.
0.PNGL'homme est plus analogique que numérique.
L'omnicalculator du cactus du jour va vous en dire plus au sujet de savoir quand vous allez être vacciné ou même mourirpodcast.
Non, ce ne sont pas les chiffres qui impressionnent et façonnent les esprits. C
e sont les shows, les sentiments et les émotions qui font réagir les hommes vers le haut ou vers le bas. Les émotions espérées les plus nobles du catalogue sont alors adossées à la part d'ange du parler-vrai. Garder une méfiance envers les conventions, à l'égard des faux-semblants portés par les beaux parleurs dans le respect du protocole, est une nécessité absolue.

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L
es Belges ne se rappellent plus ce qu'il en est advenu du placement en "bon père de famille" qu'étaient les actions Fortis soutenue par Maurice Lippens.
Le nom de Lippens est revenu récemment dans l'actualité, mais c'était pour son frère, Léopold.
S
i je suis peut-être créateur de solution, je ne suis ni prophète ni vendeur et quand je deviens client c'est après une sérieuse analyse des bienfaits résultants.  
Si vous êtes comme moi, vous allez aimer cette belle histoire virtuelle et intemporelle puisqu'elle traverse le temps qui réunit Jésus Christ, Karl Marx, Sigmund Freud et Milton Friedman comme prophètes en deux ou trois vagues réunis chacun devant l'écran de leur ordi dans une réunion Zoom. 

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Allusion,

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0.PNG6/3/2021: Histoire du PDG de Danone racontée par Askolovitch

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