Où partir pour vivre mieux? (05/03/2016)

Le 7 janvier, c'était la question du Vif. Après les événements concernant l'immigration, il faut se rappeler que les migrations existent dans les deux sens et que l'émigration fait sortir des gens de leur pays pour des raisons souvent économiques.

0.jpg"Faux contacts" parlait des immigrants qui ont quitté leur pays pour des raisons de guerre et sont devenus des réfugiés.

Il y a beaucoup d'autres raisons qui pousseraient à s'expatrier.

La Belgique est un très petit pays.

A peine quelques 30.500 km2. Une centaines de kilomètres suffisent pour en sortir.

L'envie d'aller voir ailleurs si l'herbe n'y est pas plus verte, est tentant quand on ne parvient pas à se faire un nid localement ou que ses envies d'aventures prennent le dessus.

Alors, certains cherchent des débouchés économiques ailleurs.

Rien à voir avec des réfugiés à la suite de guerre, donc.

Il deviennent, en quelques sortes, des "réfugiés économiques". 

Vous vous souvenez du billet "Changer tout", c'est un peu une suite.

Je parlais dans mon billet précédant de l’émissions radio et télé "Les Belges du bout du monde" en citant ce chirurgien originaire d’Éthiopie qui exerce son métier en Belgique qui s'entretenait avec un Belge qui vivait dans son pays d'origine.

0.jpgCette émission est présentée tous les dimanches matins en radio et le soir, à la télé depuis plusieurs années. C'est dire que c'est loin d'être une exception. 

L'émission suit toujours le même canevas et appelle au téléphone des Belges qui ont fait ou refait leur vie à  l’étranger. Expatriés au bout du monde ou la porte à côté dans un pays voisin en mettant en contact, quelqu'un qui est venu du même pays et qui a élu domicile en Belgique. 

Elle donne l'occasion de s'aérer l'esprit d'horizons dans lesquels, probablement, nous n'aurons jamais l'occasion de s'y évader autrement que par l'esprit.

Les derniers destinations étaient au Pérou, en Inde, en Suisse, au Mexique, en Bulgarie, en Sardaigne, en Côte d'Ivoire, à Barcelone, au Vietnam, en Éthiopie, à Barcelone, en Corse .... et plus tard, ce sera Côte d'Ivoire, Sardaigne...

C'est dire la variété des pays dans lesquels les Belges se construisent un autre avenir, est très vaste. 

Tous ont recherché un bonheur en fonction de leurs aspirations, de leurs motivations et de leurs formations.  

0.jpgL'intérêt est bien sûr d’échanger le ressenti dans ce chassé-croisé et quels sont les points qui les rattachent encore avec leur pays d’origine réciproque avec leurs souvenirs de leur pays d'origine.

Pour découvrir l'eldorado, il vaut mieux y tâter et y goûter avant d'y aller définitivement.

Le paradis n'existe nulle part et peut-être est-ce mieux ainsi qu'il faut penser parce que les saints ne sont pas de ce monde.

Quand la morosité s'installe dans son vécu pour tellement de raisons avouables ou inavouables, l'envie aventureuse de chercher un ailleurs s'impose, pour être quelqu'un d'autre sous d'autres horizons, changer d'air puisque tout le monde ne peut prendre un autre rôle au théâtre de la vie.

Devenir quelqu'un d'autre...
Passer des vacances dans un pays de rêves, doux, paisible ne veut pas dire qu'il ne cache pas quelques points négatifs que l'on découvre à l'usage et à l'usure du temps.

Les îles, par l'éloignement, ne permettent pas d'étendre facilement ses compétences. 

Pour s'expatrier, il faut avoir le goût de l'ailleurs et une âme d'entrepreneur.

C'est parfois prendre sa valise en carton ou son coffre en métal.
... ou au contraire, suivre un vieux rêve d'un itinéraire pour un enfant gâté

...qui veut tout ce qu'il n'a pas pu faire avant...


 

Où partir pour bien ou mieux gagner sa vie?

Entre en compte l'âge, les compétences, les langues dans un jeu ou une compétition en tant qu’allochtones que n'attendent pas les autochtones pour vivre. Cela peut-être aussi une nouvelle compétition pour ces derniers. 

Il y a le poids de la culture, la différence de l'esprit, de la nourriture et de l'humour qui ne se déplacent pas aussi facilement dans ses bagages.

L'abandon des amis, de la famille qui entravent les derniers soubresauts des souvenirs. 

Il est certain que pour les entreprises, avoir quelque chose de pesant du côté des compétences sera plus prisé ailleurs que sans le moindre bagage intellectuel ou manuel adapté aux besoins.

La fuite des cerveaux est une affaire d’État et plusieurs fois, ce phénomène revient en pleine actualité pour le rappeler.

Le 17 février 1992, un institut contre la fuite des cerveaux avait été créé pour éviter que les docteurs Fol-amour de l'ex-URSS n'aillent vendre leur savoir-faire nucléaire au plus offrant, la Russie, l'Allemagne ou les États Unis ont financé leur recherche de têtes bien faites et bien pleines par un crédit américain de 25 millions de dollars.

"Etats Unis: tout le monde a un emploi, mais personne ne gagne d’argent" dit cet article. 
"L’économie américaine bénéficie d’une forte relance, et 195.000 emplois ont encore été créés en février, et 151.000 en janvier. Le taux de chômage s’établit à 4,9%, un pourcentage proche des 4,4% que le pays connaissait avant la crise en 2007. Mais il faut cependant rester prudent avec ces chiffres: en effet, ils ne prennent pas en compte le sous-emploi, ni les personnes travaillant à temps partiel pour des raisons économiques", rappelle le Financial Times.

L'article "Salaires en augmentation? Non, c'est pas pour rire", reprenait le scénario habituel de l'immigration intéressante et intéressée.

On attend les têtes bien faites ou les têtes bien pleines et si possible avec les deux faces comme Janus le représentait dans la mythologie.

Comment loin? Une question très relative...

Aujourd'hui, les sports de haut niveau font exception.

Un sportif peu importe sa couleur mais qui fait entrer des médailles à la gloire du pays, on aime.  

 

L'article du Vif était divisé par tranche d'âge pour faciliter le "passage":

A l'âge de 25 ans, l'Allemagne, la Grande-Bretagne, le Canada, les Etats Unis, la Corée du Sud, étaient cités. 

A 35 ans, la Suisse, l'Australie, Singapour, la Nouvelle Zélande.

A 45 ans, le Japon, Hong Kong, le Brésil, l'Inde, les Émirats arables.

A plus de 50 ans, seulement 13% d'expatriés en dehors des retraités passent leurs vieux jours sous d'autres latitudes.

Les retraités sont plutôt des "expatriés lights" qui n'ont plus aucune envie de faire grossir leur avoir mais d'en profiter et de jouir de la vie.

Donc, sortons-les de cette analyse.

Pour les actifs, il existe des débouchés bien connus comme le Canada ou l'Australie.

Mais, il est clair que ces deux pays deviennent plus frileux à recruter des plus de 40 ans sans compétences rares.

Le jeunisme est présent partout à l'embauche pour des questions de coûts, mais quand il s'agit d'un changement de vie pour une longue période, l'âge n'en a que plus d'acuité.

Le Permis Vacances et Travail, le Volontariat International et le Service Volontaire Européen s'occupent tous des moins de 30 ans.

Partir pour du pognon, ce n'est certainement pas toujours le seul but dans la vie.

Les paramètres et arguments qui entrent en ligne de compte dans l'article en désignant sont dans les tops avec leurs pays de prédiclections: 

Souvent, connaître l'anglais, permet de passer quelques murailles des langues.

Mais parfois, l'étude de la langue du pays où l'on s'expatrie pour la connaître dans ses grandes lignes, est obligatoire.

Connaître plusieurs langues est devenu une sorte de sésame dans beaucoup de pays où la concurrence est encore plus accrue.

La semaine dernière, je parlais donc de l’Éthiopie qui se réveillait son économie par le développement de l'Intelligence Artificielle. Je retrouvais une confirmation quelques jours plus tard dans ce billet qui disait que l’Éthiopie était mieux développée que les pays occidentaux.

Comme partout, les compétences scolaires, les diplômes et l'expérience d'une vie interviennent pour sélectionner un candidat à l'immigration. 

Le "networking" est un autre aspect de la vie moderne qui s'ajoute aux connaissances en parallèle.

Mais ce n'est pas tout.

Une personnalité "ouverte" est un des atouts qui peut dépasser tout le reste pour être accepté ou non une fois, expatrié. Souvent, vous resterez, sans cette intégration en souplesse, un étranger.  

On ne choisit pas ses parents, ... pour apprendre à marcher

...Etre né quelque part est toujours un hasard...

Un article essayait de donner conseils pour vous permettre de gagner rapidement un premier million.

Même sans être un objectif, les citer, permet de donner dix conseils généraux qui se justifie peut-être plus quand on n'est pas chez soi:

  1. On perd plus en hésitant qu'en se trompant. Mettez votre ego de côté.
  2. Beaucoup d'entreprises ne connaissent pas le succès car elles "ratent le train" du futur. Ne vous reposez pas sur vos lauriers.
  3. Cherchez ce que vous aimez faire, puis quelqu'un qui vous paie pour le faire.
  4. L'essence du succès? Il n'est jamais nécessaire de chercher une bonne idée. Attendez que quelqu'un la trouve, puis copiez-le dans les moindres détails en omettant ses erreurs.
  5. Vous devenez riche avec les affaires d'aujourd'hui mais devrez le rester avec celles de demain. Trouvez comment concrétiser les attentes du futur.
  6. Les personnes ne sont pas très bonnes pour deviner la taille d'un arbre en regardant sa graine. Apprenez à faire le tri des opinions.
  7. L'absence d'alternatives éclaircit merveilleusement l'esprit. Concentrez-vous sur une seule chose à la fois.
  8. Que vous pensiez que vous pouvez le faire ou pas, vous avez raison. L'état d'esprit est la clef.
  9. Traitez bien tout le monde, la réciprocité est une loi de la nature qui ne peut pas être brisée.
  10. La meilleure façon de pousser un bateau, c'est de laisser le courant faire. Ne soyez pas borné, changez d'avis quand vous avez tort.

A tout cela, ce billet de conseil ajoutait:

Avant de partir, il faut peut-être commencer par se poser la question plus générale du genre d'entreprise qui donne encore un emploi aujourd'hui dans le pays choisi. 

0.jpgD'autres pistes de réflexion dans le choix des meilleurs pays de destination ont été dévoilé à Davos avec "Best countries". Cela pourrait être très dirigé dans ce cadre, mais citons le classement des 20 premiers de la liste : Allemagne, Canada, Grande-Bretagne, États-Unis, Suède, Australie, Japon, France, Pays-Bas, Danemark, Nouvelle-Zélande, Autriche, Italie, Luxembourg, Singapour, Espagne, Chine, Irlande, Corée du Sud, Brésil... 

J'ai déjà parlé des changements qui s'opéraient et que je plaçais artificiellement en 2020 alors que le mutation est progressive ou même exponentielle.

Cet article dit que "ce ne sont plus les grosses entreprises qui créent beaucoup d'emplois".

Le Québec et Montréal attirent les jeunes francophones en première ou deuxième place pour continuer leur enseignement universitaire.
Ce serait même la grande conséquence de l'"Ubérisation" de la rationalisation .

Le 20e siècle a créé de grandes sociétés qui se sont mondialisées avec de fortes capitalisations pour devenir des multinationales. C'étaient de grands pourvoyeurs d'emplois qui offraient des carrières stables et des opportunités d'avancement à des milliers de travailleurs.

En 1962, AT&T, comme la plus grande firme, en termes de capitaux, donnait de l'emploi à 564.000 employés.

En 2012, la plus grande firme était devenue Apple avec encore 76.000 travailleurs.

Aujourd'hui, les détaillants et les chaines du secteur alimentaire emploient encore une armée d'employés à mi-temps aux salaires misérables.

Changement agressif dans la nature des conditions d'emploi qui fait passer du concept de "carrière" à celui "d'emploi", puis de "tâches" et de "compétences".

On ne compte plus en tant que personnes, mais en nombres de compétences à attribuées à des tâches données.

Le développement de l'économie du travail temporaire s’accélère.

Les sociétés recrutent des travailleurs uniquement au moment où elles en ont besoin. Comme l'a récemment fait remarquer un professeur d'économie, "augmenter les bénéfices des actionnaires et créer de bons emplois" sont devenus deux choses "complètement incompatibles".

Les politiciens et les syndicats considèrent encore que les grosses sociétés "seront le principal employeur" qui accordent de bons salaires, avec les avantages sociaux à long terme comme les assurances de santé et les pensions.

Ce n'est absolument plus vrai. Les petites PME et les startups remplacent ces sociétés mammouths en devenant leurs "fournisseurs d'idées géniales" qui seront financées par elles ou rachetée.  

"Les créations de jeunes entreprises atteignent un nouveau record en Belgique", lisais-je. Si ce n'était qu'en Belgique, ce ne serait pas encore trop grave vu l'étendue du pays, mais puisque ce billet en parle, je me devais d'en faire mention...

"Le nombre d’entreprises débutantes a augmenté de 4% l’an dernier, selon une analyse du SNI basée sur les chiffres du bureau d’informations commerciales, Roularta Business Information. « En ce qui concerne la création d’entreprises, 2014 était également une bonne année et nous constatons avec plaisir que cette tendance se confirme », explique Christine Mattheeuws, présidente du SNI.

Le climat économique qui s’améliore et les mesures favorables aux entrepreneurs sont, selon l’organisation des entrepreneurs indépendants, en partie responsable de cette augmentation du nombre de nouvelles entreprises.

« D’un point de vue général, c’est une bonne chose en ce qui concerne les entreprises starters dans notre pays. Les années de crise sont clairement derrière nous. Les belges osent à nouveau créer leur propre entreprise. Différents facteurs y jouent un rôle. Le climat économique qui s’améliore, naturellement, mais également le fait qu’entreprendre, surtout chez les jeunes, est tendance et les nombreuses avancées technologiques qui font que l’on peut commencer avec presque rien », commente encore Christine Mattheeuws.

Selon le SNI, la politique des gouvernements joue un grand rôle. Au niveau fédéral par exemple, le coût salarial a été réduit, notamment en rendant les premiers engagements moins chers et en réduisant les cotisations ONSS, qui passent de 33 à 25%. Ensuite, le tax shelter fait en sorte qu’il est fiscalement intéressant pour les particuliers d’investir dans une start-up, ce qui est également une bonne chose pour le financement de celle-ci. 

En 2015, il y a eu le plus de starters dans le secteur des professions libérales, suivi par le commerce, les services, la construction et l’horeca.

Le climat tout court de l'endroit où l'on veut s'expatrier est aussi un argument à prendre en charge.

Une région tempérée est souvent plus propice à l'activité humaine, tandis que les pays de rêves avec une mer turquoise, sont souvent soumis aux cyclones et aux fantaisies des extrêmes de ce climat. 

Un pays dans lequel la liberté de parole est respecté, sera toujours à privilégier sur un autre qui ne serait qu'un modèle déprimé par la dictature. 

Revenons, donc, à nos moutons et ceux qui changent de crèmerie qui vont loin d'ici....

Conclusions

Partir, c'est rêver d'un imaginaire inaccessible. 

Il vaut mieux être jeune, sans grande famille, pour partir. Après on s'incruste dans les habitudes.

Demain, les casques virtuels pourront peut-être combler cette lacune de vies multiples.

Au début des années 70, j'ai aussi pensé à aller voir ailleurs si les possibilités de faire son nid existait ailleurs. Un ailleurs que j'avais limité à l'Australie, le Canada, les Etats Unis ou l'Afrique du Sud. L'Afrique du Sud a été la première éliminée. Les Etats Unis ont passé à la trappe de manière détournée... J'y ai été voir ce qu'étaient les States de près en Floride et en Californie... et en plus, avoir eu à travailler dans l'eau bénite américains pendant 30 ans, c'est comme si je m'y trouvais sur place. 

A cette époque, avec les compétences dont je disposais, cela n'aurait pas été trop difficile.

Puis, cela ne s'est pas fait parce que tout se présentait localement avec les mêmes atouts.

Aujourd'hui, si cela devait chauffer par ici, je prendrais bien ma valise vers d'autres destinations, mais je ne vous dirai pas lesquelles. J'aime les surprises.

Umberto Eco dans son livre "Comment voyager avec un saumon" que je viens de relire, en parle en ces mots: ’Rien ne va dans ce pays! Notre auto flagellation naturelle nous poussant à ajouter que tout est mieux à l’étranger. Parfois c’est vrai. Mais parfois, je me dis que l’incapacité ou stupidité est une qualité innée chez l’humain, répartie de manière inégalé,  au même titre que le bon sens cartésien, sur toutes les nationalités, à tout niveau social".

Là, c'est un peu mal parti et un peu bizarre pour quelqu'un qui a sillonné la planète entière.

Partir, on peut le faire pour diverses raisons. La finance n'est pas tout, cela peut être pour raison de la recherche d'idéal, par amour pour un conjoint étranger, pour fuir les problèmes familiaux de toutes les sortes et oublier son passé considéré comme malheureux. 

0.jpgCe n'est pas une raison de patriotisme. "Etre patriote aujourd'hui" à l'ère du mondialisme, c'est même tout autre chose.

0.jpgAvoir plusieurs nationalités, garder plusieurs passeports... quand c'est possible comme le franco-britannico-australien Nicolas Vadot, c'est peut-être le moyen de ne jamais briser les chaînes de ses racines.  

Une anecdote belgo-belge, pour terminer?

L'affaire de la cavale de René Tonneaux du fonctionnaire de l’Office wallon des déchets suspecté d’avoir détourné deux millions d’euros en huit ans, a été retrouvé ce vendredi. Tout le monde l'imaginait très loin sur des plages pour profiter de son larcin quelque part dans le monde. Les assureurs envoyaient déjà des enquêteurs en Afrique du Sud. Et bien non, il est resté au pays et a été arrêté à Knocke. Il était très simple de détourner de l’argent jusqu’en 2015, année où le système de gestion comptable a changé. 

René Tonneaux maintient qu'il a dilapidé tout l'argent au fur et à mesure dans des boutiques de luxe, des restaurants, des hôtels, des vacances, etc. Il n'a vraisemblablement pas acquis de bien immobilier. Les enquêteurs avaient retrouvé 10.000 euros dans une mallette à son domicile à Cognelée et 50.000 euros sur un compte. Qu'il est con, personne n'y a pensé...

Apprenti cambrioleur, il n'a jamais préparé son "après-coup" et aurait dû avoir des envies de partir loin pour échapper à la justice de son pays. 

"Partir, c'est mourir un peu, mais rester ce n'est pas vivre du tout", disait Antoine. 

 

0.jpgAlors il faut choisir sa vie entre un bonjour, un "au revoir" ou même, un adieu. 

Si c'est le cas, restez en ligne, pour écouter un résumé de ce qui se passe là où vous venez.

Ce serait dommage de ne pas en rire de l'actu comme Guillermo Guiz le faisait jeudi dernier avec humour: podcast

 

 

 

Eriofne,

 

1.jpgCitations: 

 

Mise à jour 5 mars 2016 au matin: La Thaïlande touristiquement vôtre:podcastsur les plages...

Mais, parfois, l'impression peut se ternir très vite ou à la longue devenir difficile à vivre:

"Le Laos est un pays communiste !",

"J'ai du lao dans le bide ou dans les veines?",

"Birmanie ou Myanmar, est-ce vraiment l’ouverture à la démocratie ?"

 

Mise à jour 6 mars 2016: Les Belges du bout du monde aux Etats Unis en Californie:

podcastpodcastpodcast

Une phrase que j'y ai trouvé sur FB :«Prendre les mains qui se tendent, ne pas courir après ceux qui s'en vont, il n'y a pas de meilleure attitude possible

Mise à jour 14 mars 2016: "Un Belge du bout du monde" spécial en la personne de
Bruno Coppens:podcast

 

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