Une Terre promise difficile à conquérir (08/09/2021)

0.PNGComme cadeau pour Noël, mon épouse m'avait offert le premier livre autobiographique "La Terre promise" écrit par Barak Obama.

Comme c'est une brique de 830 pages, j'avais postposé sa lecture à un moment plus adapté des circonstances dont je n'éprouvais pas encore le moment venu.

Jusqu'ici je n'ai encore lu que son ascension à la Maison-Blanche.

Je réserve le reste du livre à une autre occasion. 

...

La première partie titrée "Le pari' est l'improbable odyssée d'un jeune homme noir en quête d'identité dirigeant du monde libre en passant par des étapes d'éducation et de bouleversements profonds.

La deuxième "Yes you can" me semble un bon break point pour expliquer comment un rêve de jeune peut devenir une réalité en politique américaine jusqu'à la soirée historique de 4 novembre 2008 lorsqu'il fut "lu 44ème président des Etats-Unis, devenant ainsi le premier Afro-Américain à accéder à la fonction suprême. 

Les autres parties: "Renegade", "Noble combat", "Le monde tel qu'il est", "Dans les remous" et "Sur la corde raide" méritent d'en parler lors d'une autre occasion. 

"Dans le premier volume de ses mémoires présidentiels, Barack Obama raconte l'histoire passionnante de son improbable odyssée, celle d'un jeune homme en quête d'identité devenu dirigeant du monde libre, retraçant de manière personnelle son éducation politique et les moments emblématiques du premier mandat de sa présidence - une période de transformations et de bouleversements profonds. Incroyable voyage que ses premiers pas sur la scène politique à sa victoire décisive aux primaires de l'Iowa, et jusqu'à la soirée historique du 4 novembre 2008, lorsqu'il fut élu 44e président des États-Unis, devenant ainsi le premier Afro-Américain à accéder à la fonction suprême.

Une terre promise est aussi un récit introspectif - l'histoire du pari qu'un homme a lancé à l'Histoire, d'un militant associatif dont la foi a été mise à l'épreuve sur la scène internationale. Défi colossal qu'il lui a fallu relever d'être "l'espoir et le changement" aux yeux de toute une génération galvanisée par la promesse du renouveau qui a affecté sa femme et ses filles par ses absences.

J'ai relu ce que j'avais écrit dans son histoire et de son ascension à la présidence des Etats-Unis dans "Le rêve américain vit-il encore?" et "Amérique, faux rêves et vraies réalités". Après l'ascension au premier mandat d'Obama et "The best is yet to come" à mi-mandat lors de l'élection présidentielle de 2012, opposé au républicain Mitt Romney, qu'il bat avec 332 voix du collège électoral et 51 % des suffrages au niveau national.

Au lieu de "Terre promise", le livre d'Obama aurait pu avoir le titre "Comment devenir président dans une Amérique qui le considère comme illégitime en étant noir, trop jeune, sans expérience dans une Amérique blanche relativement plus conservatrice que progressiste représentée souvent que par des élites". Arrivé à la veille d'une crise financière mondiale, il a tout à coup été considéré comme un sauveur à la suite de la chute de l'économie américaine devenue mondiale.

...

Premier discours en 2007.

Thèmes choisis: nécessité d'une transformation en profondeur, de s'attaquer à des questions à long terme comme le système de santé et le changement climatique, de dépasser les vieux clivages partisans. 

Le but : faire passer un massage sur les valeurs occidentales en établissant des priorités.

Comment: en évitant les pièges et les sagesses populaires, en parlant au cœur plutôt qu'à l'intellect et à l'abstraction  et en gardant l'espoir.   

"Qui vit de trop espoir, finit par mourir de désir", dit quelqu'un.

"Croyez-moi, la présidence, c'est comme une voiture neuve. Elle commence à se déprécier à la minute où on sort du parking", lui a dit Bill Clinton.

"Je suis par nature, plutôt du genre à peser mes mots, ce qui, à l'aune du nombre de bourdes commises en général par les candidats à la présidence, me permettait de rester dans la moyenne basse. Mais le soin que je mettais à choisir mes mots a vite révélé un autre problème au cours de la campagne : je m'exprimais de manière beaucoup trop verbeuse, et ça, c'était un vrai souci. Quand on me posait une question, j'avais tendance à donner des réponses contournées et sentencieuses, décomposant instinctivement chaque question en plusieurs parties et sous-parties. S'il y avait deux façons de voir les choses, j'en proposais souvent quatre. S'il y avait un bémol à ajouter à une opinion que je venais d'émettre, je ne me contentais pas de le signaler; j'en donnais une explication exhaustive", est-il écrit comme prémisses dans Babelio.

0.PNG

0.PNG

Capture d'écran 2024-01-15 082510.png

1.PNG

2.PNG

1.PNG

Le parti républicain a été à la manœuvre en alternance avec le parti démocrate. Personne ne s'attendait à une crise aux multiples formes, qui est née dès 2007 presque par inadvertance, par les subprimes.

Le patrimoine financier des candidats est connu. Tout arrive à se savoir dans ce domaine.

Le livre d'Obama est écrit comme un thriller ou un roman dans lequel il y a des opposés politiques à tous les coins des pages. Opposé à Hillary Clinton pendant les primaires.    

Intéressant de lire ce que Obama a réalisé lors du débat de fin septembre 2008. "Il s'est déroulé sans grandes surprises. McCain est apparu détendu sur scène, débitant des slogans de sa campagne en y ajoutant une pincée d'orthodoxie républicaine, le tout avec une bonne dose d'humour et de charme. Mais sa connaissance pour le moins parcellaire des détails de la crise financière et son incapacité à répondre comment il comptait la résoudre sont devenues de plus en plus flagrantes au fil de la confrontation. De mon côté, je jouais sur le velours. Mon entraînement intensif  sous la férule des sergents instructeurs avait été payant, sans compter que j'avais appris à ne pas me perdre en digressions. Cette fois les différences entre mon adversaire et moi étaient réelles et profondes. J'ai éprouvé du plaisir à débattre pendant ces nonante minutes (page 257)". 

On n'est jamais jamais gagnant pour longtemps dans la course à la présidence entre conservateurs et progressistes avant la dernière confrontation de tête à tête qu'il faut préparer en imaginant les répliques parfois sanglantes avant qu'elles ne soient prononcées dans les débats.

Aujourd'hui, il faut être proactif et imaginatif pour entrevoir ce que les actions prises peuvent apporter comme conséquences. A être seulement réactif, c'est toujours être une guerre en retard sur les événements.

Avoir des collaborateurs intègres, non hypocrites qui n'ont pas peur d'exprimer une opinion différente de celui qu'ils sont amenés à le soutenir de manière perspicace tenace, loyale et généreux comme le furent Plouffe, Gibbs, Axe, Toot en permanence et d'autres plus épisodiquement comme Marvin et Reggie.

Les erreurs commises se cachent derrière de petites déclarations qui n'ont apparemment aucun impact. Michelle Obama, dans la plus pure innocence positive, a pu dévier du but suivi en disant "Je suis pour la première fois fière de mon pays parce que les gens ont soif de changement". Exactement ce qu'il ne faut pas dire à des conservateurs républicains. 

Se méfier des bons en avant qui feraient imaginer l'affaire dans le sac.  

Respecter ses adversaires, jusqu'à les aimer pour mieux les contrer ensuite.

Les sceptiques indécis restent dans l'ombre même s'ils applaudissent dans les grands meetings, jusqu'au moment où ils déposent leur vote dans l'urne. 

L'actualité est une arme à double tranchant avec des surprises qui font descendre les cotes de l'un ou l'autre sans même s'en rendre compte.

Aux Etats-Unis plus que tout ailleurs, le dollar et l'argent sont les prémisses d'une histoire qui peut être casse-gueule.

Les partis récoltent l'argent des grandes sociétés en soutien.

Quand l'argent entre en caisse, c'est un indice de bonne santé de la campagne ou de tension dans un ballotage pour le pas suivant lors d'un futur débat.

Ls socialisme européen est considéré comme du communisme, haïe par la plupart des Américains. Elle n'a aucun rapport avec celle qui existe en Europe.

Les classes populaires, souvent blanches des milieux agricoles, sont généralement opposées aux élites. On a pu le constater avec Donald Trump, plébiscité par l'Amérique profonde.

Les télés et les autres médias ont une force de persuasion extraordinaire. Elles fonctionnent presque 24h sur 24 à diffuser des informations et des interviews avec des spots publicitaires qui n'ont même pas l'apparence de ce qu'elles veulent exprimer comme propagande. Une mauvaise réponse dans une interview et c'est la descente dans l'abîme. Les pouvoirs émergents des réseaux sociaux apportent l'extrapolation des médias officiels.

Les élections sont des jeux démagogues populistes avec des piques inattendues de toute part.

L'esprit de famille remporte des suffrages dans les discours.   

La religion est une force de persuasion colossale.

La séduction, une opportunité qu'il faut saisir.  

0.PNGObama n'avait au départ pas beaucoup d'argent personnel. Il raconte les problèmes qu'il a dû régler pour l'achat de son appartement.

McCain préconisait la réduction des taxes pour remettre tout sur pied comme si la crise de 2008 n'avait été qu'un épisode malheureux. Le plan Paulson de la TARP de Bush a été rétoqué et amendé car L'Emergency Economic Stabilization Act of 2008 a entraîné une chute de 728 points au Dow Jones.

Obama a rendu le code des taxes plus acceptable et a commencé à les augmenter pour les plus riches.

6.PNG

...

L'investiture

"Le jour de l'investiture est arrivé, lumineux, venteux et d'un froid glacial. Comme je savais que que les événements avaient été chorégraphiés avec une précision militaire, et comme j'ai tendance à vivre ma vie avec à peu près un quart d'heure en retard, j'ai réglé deux réveils pour être de me lever à l'heure. Un peu de course à pied sur la tapis roulant, petit déjeuner, douche, rasage, plusieurs tentatives pour faire mon nœud de cravate jusqu'à ce qu'il soit impeccable. A 8h45, Michelle et moi étions dans la voiture pour un trajet de deux minutes de Blair House jusqu'à l'église épiscopale St.John..." (p298)  

Beyonce en a fait partie...


Étonnante photo panoramique réalisée lors de la cérémonie d'investiture d'Obama : l'assemblage de 220 images issues d'un Canon G10 (lien).

L'adversaire d'Obama, John McCaine, héros de guerre, poursuit sa carrière au Sénat jusqu'à la fin de sa vie, entretenant des relations courtoises avec le président Obama et le vice-président Joe Biden, puis prenant position contre plusieurs projets de l'administration de Donald Trump. Il est mort le 25 août 2018 à près de 82 ans atteint d'une tumeur au cerveau, un glioblastome.

 Les anciens présidents George W. Bush et Barack Obama prononceront chacun un éloge funèbre. Selon le souhait du défunt, ni Donald Trump ni Sarah Palin ne sont invité à assister à la cérémonie, en raison de l’opposition de Cindy McCain à sa présence.

Pour Donald Trump, il y a deux types d'hommes, les winners et les losers et pour lui, McCain était pour lui un loser..

1.PNGDans le domaine de la politique étrangère, Obama a retiré progressivement les troupes américaines d'Irak, augmente celles présentes en Afghanistan et signe un traité de contrôle des armements avec la Russie.

Difficile de ne pas rappeler que nous sommes arrivés au 20ème anniversaire du 11 septembre 2001, une date qui est gravée dans les mémoires et dont chacun se souvient de ce qu'il faisait ce jour-là.

Vingt ans sous le régime de la terreur.

Accusant le chef d'Al-QaïdaOussama ben Laden, d’être responsable des attentats du 11 septembre, avec le soutien des autorités talibanes, les États-Unis déclenchent une nouvelle guerre d’Afghanistan. Avec l’aide des forces terrestres de l’Alliance du Nord et un soutien aérien des forces de l’OTAN, ils renversent en quelques mois le régime taliban. 

0.PNG

A part l'attentat qui a fait des morts et des blessés, le retrait des forces occidentales, une jour avant l'échéance fixée, s'est relativement bien terminé malgré les critiques négatives, réfutées le 30 août, par Joe Biden . 

Depuis ce 1er septembre, retour des Talibans.

Le 11 septembre 2011 a été le premier choc entre deux mondes, entre l'esprit occidental du monde libre terrestre et l'esprit d'un monde qui espère trouver sa liberté au paradis. 1.PNG

D'autres chocs prémonitoires se sont produits dans la même lignée, mais le crash dans les Twin Towers au WTC, personne ne l'a venu venir.

Coïncidence, le procès des terroristes du Bataclan qui commence ce mercredi et qui va servir de référence pour une réutilisation des événements avec un écho important médiatique et mondial pour réinitialiser les envies radicales de djihad.0.PNG

Dimanche, la séquence "Ici le monde" en parle
podcast.

La suite du feuilleton de l'opposition avec l'esprit afghan des Talibans passe par différentes phases du terrorisme aux attentats dans une guerre de la croyance et de religions entre le Dieu chrétien et l'islamisme prêché par Allah qui ne dit pas son nom et qui ne veut pas d'image de sa personne... 

La justice de Dieu et la la justice des Hommes ne sont pas compatibles.

Implanter la démocratie par la force ne marche pas.

Beaucoup de populations dans l'histoire ont préféré et préfèrent encore, un homme fort qui prenne les décisions à leur place. 

Seule l'éducation pourrait se rapprocher de la démocratie du type occidental.

...

Aujourd'hui, en Amérique, Joe Biden, président 

0.PNGIl est intéressant de lire ce qu'écrit Obama dans "Une Terre Promise" au sujet de Joe Biden son colistier qui depuis, est devenu les 46ème président.

"J'avais réduit mon choix à Tim Kaine et Joe Biden. J'étais plus proche de Tim à m'apporter son soutien étant un des défenseurs les plus acharné de ma candidature pendant ma campagne avec le même genre de tempérament et un parcours similaire. Joe était mon exact opposé sur le papier. J'étais un jeune outsider avec 19 ans de moins, dans l'univers de Washington alors que lui siégeait au Sénat depuis 35 ans enraciné à Scranton, sa ville natale avec des origines irlandaises et populaires. Je passais pour un calme et pondéré et Joe tout feu tout flamme, dépourvu d'inhibitions prêt à partager tout qui lui passait par la tête dans une réelle affection pour les gens avec un sourire permanent et étincelant en demandant à ses interlocuteurs d'où il venait et en enchaînant par une anecdote pour conquérir à grand renfort de poignées de main, d'accolades et de répliques spirituelles. Un enthousiasme et ses monologues sans filtres avaient ses inconvénients dans une ville remplie de gens qui n'aimaient rien tant que s'écouter parler. Ses bourdes étaient triviales au regard de ses qualités, ses compétences, ses connaissances des dossiers, son pragmatisme, sa perspicacité et sa rigueur dans les débats. Il avait survécu à de dures épreuves suites à accidents dans sa famille grâce à sa résilience, son soutien de sa deuxième épouse, son énergie débordante et sa force de caractère. (p. 219-221)".   

Joe Biden, 46ème président depuis le début de 2021, réconciliateur de deux Amériques en tentant de donner confiance, n'avait que de bons points même en voulant augmenter les taxes pour les plus riches.

Pour Joe, ce retrait est une victoire.

Le 29 février 2020, un accord avec les Talibans avait été conclu pour un retrait des troupes américaines en quatorze mois. La date du départ des troupes américaines a été repoussée au 31 août 2021. Les Talibans attendaient ce départ pour nommer un nouveau gouvernement.

Suite à l'attentat terroriste de Daech du 26 août, Joe Biden a été quelque peu désavouépodcast .  

Vu son âge, Joe Biden ne vise pas un deuxième mandat et cèdera le flambeau à sa vice-président Kamal Harris qui l'avait pourtant affronté dans un débat d'investiture.

"À chaque puissance de prendre la bonne décision. Le sens de l’histoire, c’est d’aller au-delà de ses propres ressentiments", écrit Obama.


A reculons dans le temps, j'avais déjà revu dans la catégorie "Amérique" quelques autres billets lors des élections américaines dans "Objectif détrôner Trump ou COVID-19?" avant l'élection de Joe Biden, L'AmerExit" lors de la prise de pouvoir de Donald Trump et "Trump-moi ça" pour expliquer comment il est passé en tête.

"L'Amérique, présidence pragmatique", ai-je écrit.

...

"La Maison-Blanche"

0.PNGLe mardi 24 août, dans le cadre de la série "Si les murs pouvaient parler", Stéphane Bern présentait "La Maison Blanche". 

Depuis sa création en 1792, la Maison Blanche est le lieu de vie de tous les Présidents américains comme Lincoln, Eisenhower, Nixon, Carter, Kennedy, Reagan, Bush, Obama... et le quartier général de l'administration du pays. À travers diverses séquences, ce documentaire évoque divers aspects de l’histoire du bâtiment : l’idée originelle, sa construction et ses divers aménagements en 1792, née de l'esprit de George Washington pour la grandeur de la nouvelle nation mais qui sera le seul à ne pas y résider. Durant les huit années de sa construction, ce sont des esclaves qui sont sur le chantier pour réaliser les plans. Une réalité rappelée par Michelle Obama lors d’un discours prononcé sous la présidence de son mari? Le rôle des premières dames qui parachèvent le travail de leur époux avec des anecdotes croustillantes de leurs frasques", écrivait les journaux pour présenter le documentaire avant sa sortie sur l'écran de télé.  

Au début de la 3ème partie du livre "Renegate", Obama la décrit en tant que président.

"J'avais déjà visité la Maison-Blanche plusieurs fois en tant que sénateur, mais je n'étais jamais entre dans le Bureau ovale. La pièce est petite 9x11 mètres et un plafond haut et majestueux. Le portrait de Washington au-dessus de la cheminée recouverte de lierre, deux sièges à haut dossier, flanqués de sofas où s'installent le président et le vice-président ou des dignitaires étrangers de passage. Une porte donnant à l'extérieur sur le couloir, une deuxième sur 'l'Ovale extérieur" pour le personnel et une troisième s'ouvre sur le petit bureau intérieur et la salle à manger du président. Des bustes de chefs d'Etat et le cow-boy en bronze de Remington, l'antique horloge comtoise et les niches-bibliothèques, l'épais tapis ovale orné au centre d'un aigle austère et le Resolute Desk, cadeau de la reine Victoria en 1880, plein de tiroirs et de recoins cachés, un panneau central qui s'ouvre, le délice de tout enfant ayant la chance de passer en dessous en rampant. La pièce est baignée de lumière qui prend la couleur de l'extérieur. Je ne me suis jamais totalement départ d'un sentiment de révérence en y pénétrant comme un sanctuaire de la démocratie".   

"La pire des prisons, c'est la prison dorée que l'on se construit", dit Adil Mesbahi 

1.PNG

2.PNG

0.PNG

Allusion

 

9/11/2021: Hommage à Jean-Paul Belmondo aux Invalides et des collègues du cinéma 



0.PNG

A lire: "Jean-Paul, Mon Homme de Rio" de Carlos Sotto-Mayor

21/9/2021: Flore Vasseur s'est complètement détournée de son monde de la finance vers un monde "Bigger than Us", le 11 septembre 2001: 
podcast

0.PNG22/9/2021: Le contrat entre la France et l'Australie pour des sous-marins est rompu. Peut-on encore faire confiance aux Etats-Unis?
podcast

24/12/2021: Gérard Araud parle de la situation américaine 
podcast1.jpg

6/1/2022: Un an après l'assaut du Capitole vu par un présent ce jour-làpodcast

Démocratie abimée aux Etats Unis?

podcastpodcast

0.jpg20/1/2022: Il y a un an que Joe Biden est entré dans l'arène. Il n'a pas vraiment réussi a réconcilier les deux parties de l'Amérique.

2.jpg

 

19/8/2022: Il y a un an que les Talibans ont repris le pouvoir en Afghanistan

23/1/2023: Rappel du MonicaGate
podcast

0.png19/3/2023: Un livre qui m'a paru intéressant: "Dallas 22/11/1963 Anatomie d'un assassinat" de Philippe Shenon

| Lien permanent | Commentaires (15) |  Imprimer