Le blues des blogs? (16/11/2014)
Wiki dit: "Un blog est un type de site web utilisé pour la publication périodique et régulière d'articles, généralement succincts, et rendant compte d'une actualité autour d'un sujet donné. À la manière d'un journal de bord, ces articles ou « billets » sont typiquement datés, signés et se succèdent dans l'ordre antéchronologique, du plus récent au plus ancien".
Les blogs apparurent discrètement, dans les années 1990, au Canada. Ce n'est que dix ans après qu'ils prirent de l'ampleur en quantité et avec une qualité très différenciée.
La plateforme "hautetform", sur laquelle vous vous trouvez, a commencé à les fédérer en 2003.
Puis tout a été très vite.
...
En 2005, quand j'ai commencé mon blog, les journalistes professionnels parlaient des blogs comme une "concurrence avec les médias officiels".
Au départ, mon blog se révéla à moi comme un challenge personnel quand ma vie professionnelle débouchait vers une fin probable.
Il faut du temps pour lire. Il faut du temps pour penser. Il faut du temps pour écrire que je n'aurais jamais eu avant ce changement de cap.
Très vite les médias officiels ressentaient l'arrivée des blogs comme une concurrence. Je répliquais que les blogs étaient complémentaires et que les moyens financiers manquaient pour atteindre le niveau des journaux des médias officiels.
Dernièrement, la question de savoir était posée à la RTBF "les blogs sont-ils encore une source d'informations?".
Les blogs ont-ils gardé l'ambition de ces débuts? Elles l'ont parfois dépassé. Puis comme tous les soufflés, les lecteurs eux-mêmes se sont limités, devant l'abondance, à ne plus lire que ce qui les intéressait ou leur semblait le plus en accord avec eux. Les réseaux sociaux ont un peu mangé leurs pains blancs.
Un correspondant français, spécialiste du numérique, répondait aux questions en disant que la vitalité des blogs est toujours présente mais sort de la mode médiatique. Les blogs qui n'apportaient pas grand chose ont disparu et ont été remplacé par ceux qui étaient plus spécialisés, plus précis dans des niches de tous les domaines. Chercher l'audience pour exister et enrichir les médias des journaux ont été leur nouvel objectif. Les journalistes de profession en ont tiré les leçons.
D'après ce texte, la désertion des blogs, elle, s'expliquerait par la lassitude des blogueurs qui subiraient la censure, l'auto-censure et d'autres raisons plus intimes encore. Donc, un autre blues.
Le temps libre nécessaire pour bloguer est encore plus déterminant à notre époque, on n'a que peu de temps pour lire, alors pour écrire, faut pas rêver.
Un interlocuteur de l'émission, Charles Voisin, était intervenu pour parler de son site concentrateur de blogs "le16.be", belge qui a formé une plateforme participative d'opinions.
Confédérer les blogs, il s'agit d'une manière totalement différente. Un Belge connait parfaitement la différence entre fédérer et confédérer.
Comme fédérateur, il existait déjà medium4you.be qui départage les articles en français et en néerlandais.
J'ai envoyé un petit mot avec ma propre présence et expérience sur la Toile à ce site "le16".
La réponse fut: L'inscription sur le site se fait soit tout en haut à droite sur l'onglet 's'inscrire' soit en cliquant sur le badge ECRIRE SUR LE 16 également dans la colonne de droite. J'ai jeté un rapide coup d’œil à votre blog. Le contenu est intéressant ! Vous pouvez soumettre vos article sur Le16. Le16.be est avant tout un site d'actu. Plus vos billets sont proches de l'actu plus ils sont susceptibles d'être publiés car intéressants à lire pour le lecteur. Notez que l'édition des textes m'impose parfois de changer le titre pour un autre plus accrocheur ou de revenir vers le contributeur pour lui suggérer des modifications afin de mieux mettre son point de vue en valeur.".
Avec l'humour et les vannes, être adulte, c'est quoi?
C'est s'empêcher de voir les vérités trop évidentes par l'humour comme dérivatif avec un self-contrôle au risque d'être prises à l'état brut.
...
Suivant la définition du chapeau de l'article, j'écris des "anti-blogs". Trop longs pour avoir le titre de "blogs".
Mon but, c'est avoir des repères dans le temps et des références personnelles en rassemblant tout ce qui se dit au sujet d'un sujet choisi. Il n'est jamais clôturé au moment de sa parution. Il continue sa vie, commenté par de nouvelles informations qui confirment ou infirment ce qui avait été dit dans le billet de départ. Une manière de travailler qui ne correspond pas à celle des blogs confédérés dans un site citoyen. Ces derniers apparaissent, vivent et disparaissent.
Garder une trace d'un moment précis de l'actualité, c'est aussi fusionner avec d'autres billets dans l'espace et dans le temps puisque le mondialisme est entré dans l'arène. Pouvoir les relire plus tard et constater ce qui tient toujours la route ou a échoué dans les oubliettes de l'histoire, devient un plaisir ou une déception.
Etre buvard de l'info, c'est rassembler les taches, parfois, avec un effet retard volontaire.
Un souci, être original car les Réflexions du Miroir n'ont pas de nègres, pas de dealers de bons mots.
Des bides sont toujours du parcours car l'humour n'est pas en odeur de sainteté par tous.
Un autre m'a dit que ce que j'écrivais, était le reflet de moi-même.
Rien ne m'avait fait plus plaisir. Il n'est pas question ni de m'immiscer dans la tête, ni dans la culotte de quelqu'un d'autre. C'est dans ma propre charte. Le mot "plaisir" est aussi à relever. Il faut se faire plaisir à soi-même dans l'écriture avant de le faire pour d'autres lors de la lecture.
Un dernier qui disait: "Je n'avais pas oublié ta foi en une énergie abondante et sans danger. Ce que je regrette, ce sont les imbéciles qui restent dans le temps présent en disant : qu'importe le danger que cela représente pour les autres du moment que MOI j'aie mon petit confort et toi, imbécile, tu veux me faire revenir au temps de la bougie."
Je ne vais pas brûler un cierge, même pour les sujets très sérieux, dénicher un brin d'humour là où on l'attend le moins, là, oui, cela me plait.
J'arrive bientôt à la dixième année de ma présence sur le Net.
Internet que j'ai défini comme un "sous-ensemble" de la vie de tous les jours, passe par l'extériorisation de malaises, de sentiments souvent très personnel.
Pas plus de solutions à ses malaises ne sont à espérer pour les corriger. Encore une fois, il ne faut pas trop rêver.
Des flips-flops de réponses en réponses jusqu'à en perdre le fil de la question.
Le Web, c'est surtout un endroit où les gens s'ouvrent sans barrières puisqu'ils n'auront jamais à craindre le coup de poing dans la g... fatidique à la suite de déclarations intempestives.
Un monde plus impulsif, plus interactif? Très certainement.
Une monde solidaire dans lequel il faudrait contenter tout le monde, une gageure.
Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est qu'il y a rarement une vérité, mais des vérités à rechercher. Lire plusieurs sources s'imposent.
...
Les copains d'abord
En arrière plan, entre particuliers, rien de bien différent.
Une petite bande de copains fidèles suivent les "Réflexions du Miroir".
Des copains qui ne sont pas en covoiturage. Bien au contraire. Il faut l'admettre avec respect, sinon cela s'envenime tout autant.
Essayer d'ouvrir un débat à plusieurs personnes à la fois sur un même sujet. Souvent, quand il revient avec la réponse, c'est en aparté. Ce qui oblige à répondre à chacun d'eux et de remettre la liste initiale de réceptionnaires en copie.
De guerre lasse, j'en arrive à envoyer ces discussions de sujets de société, en aparté, puisqu'elles me reviennent par cette voie et tout est à refaire.
Peur de se confronter à d'autres? Peur de ne pas trouver de supports à ses propres idées et d'être confronté à ses propres fantasmes par les copains?
...
La progression de l'audience
Un sujet à controverse. Celle de mon blog est toujours en progrès. Le mois dernier l'audience avait explosé. Des internautes de plus de 70 pays étaient venus jeter un coup d’œil furtif. Entre 500 et 1000 touches par jour. Les statistiques disent 23% en requêtes directes des chiffres annoncés. Merci, Google Analytics et Hautetfort.
Audience explosée... pourquoi? J'ignore.
Je ne dis pas "lectures approfondies", nécessairement de commentaires pour le confirmer. On papillonne mais comme plus de 99% se réfugient dans un "silence courtois", je
ne pourrais y trouver la réponse.
Au mois d'août, ce fut la Tchéquie qui faisait sauter le bouchon.
Des "Statistiques, au doigt et à l'œil", écrivais-je en 2012, sans orgueil lors d'un anniversaire. Il faut s'en préserver sinon on en meurt pris sous le poids des médailles virtuelles.
Des chiffres qui m'étonnent pourtant. Sans adresse "flashante", ce n'est plus que le bouche à oreille, le tremplin qu'offrent mes commentaires sur des sites citoyens et le temps qui peut faire la différence à apporter ses chiffres.
J'ai introduit l'adresse de "le16.be" dans mes favoris. Je viendrai voir l'évolution.
Patience et longueur de temps, font plus que force ni que rage... et l'esprit nouveau viendra peut-être.
Sa rencontre avec Nabila restera dans les annales de l'humour. Le "Allo, quoi?" de la Bimbo est devenu "A l'eau, quoi?", aujourd'hui.
Lui aussi a reçu des courriers de téléspectateurs auxquels il a répondu, dans des dialogues scripturaux.
Au Théâtre des Galeries, je me souviens encore de sa prestation dans la pièce "Le prénom".
Que dire au sujet d'un forum, je crois l'avoir déjà décrit en long et en large dans "Pseudos, modération et censure". Le côté positif, les couteaux virtuels restent au vestiaire, tout aussi virtuel.
...
Le "Retour en virtualie"
Cela équivaudrait à se retrouver sur un tatami de judo avec des judokas aveuglés par un bandeau sur les yeux, et donc qui ne pourraient voir la couleur de la ceinture virant du blanc au noir. Des judokas sous le contrôle d'un maître de cérémonie, tout aussi aveugle, en attente des sorties de pistes pour corriger les erreurs.
"Aux Nazes et aux troublions, permettez-moi que je vous salûtes" écrivait Stéphane dans son livre. Je l'utiliserais dans l'anecdote qui suit.
....
Anecdote: L'échange verbal
Récemment... sur le site "postjorion", un site conçu justement à la suite d'un schisme dû à la censure...
Fin octobre, ce site semblait s'endormir quelque peu et j'avais relancé quelques commentaires sur les économistes puisque c'était sa raison d'être.
Un dialogue avait commencé sur les chapeaux de roues.
J'abrège, bien sûr.
Je vous épargne les insultes et une haine secrète qui se cachaient derrière les commentaires, à part la première pour mettre en appétit.
Si vous désirez aller lire ce qui s'y est dit en entier.
Georges: A côté de la plaque comme d’hab enfoiré de toi même, c’est les raconteurs d’histoires qui impressionnent comme la finance dicte des dettes, c’est une obligation et se les rachète avec de l’argent qu’elle imprime, impressionnant et magie noire, quant aux religions elles impressionnent tout court quand on a une vie de pion, sans destin, on admire des histoires très tordues, çà compense. Catherine était la seule a peu prés logique dans ce casino. Final. fous-toi ton humour belge dans le cul.
L'enfoiré: Parfois, il vaut mieux être à côté de la plaque et pas sur la plaque. L'humour, je l’adore n'importe où. Au moins il me chatouille et cela me fait du bien, mais ce n'est pas disponible chez tout le monde...
Catherine: Qu’est-ce qui a changé depuis 2005, rien, surtout depuis que l’on a l’impression qu’on peut s’épancher? Censurer, c’était écrit dans le génome! On pourrait presque en rire si ça ne faisait pas pleurer!".
L'enfoiré: Depuis 2005, on a surtout appris à connaître ses interlocuteurs. A les tester et à leur répondre. A répliquer.
Catherine: L'argumentaire pour justifier la censure: " deux ou trois personnes qui prennent toute la place, tout en taguant les murs, en salopant la moquette et en crachant sur le tôlier et qui nous empêchent tous littéralement de penser en polluant toutes les discussions. La bienveillance a besoin d’une limite, face à trop de malveillance. Il faut être le plus neutre possible". Cela me fait peur pour tout dire! Ils n’ont pas encore pigé qu’ils servent ceux qu’ils critiquent. Je les empêche de p(a)nser!
Le problème est là.
Entre le marteau et l'enclume, cela craint, tout autant chez ceux qui tiennent le marteau.
Le "Georges" en question, n'aimait pas l'humour. Un humour qui serait spécifique aux Belges alors que les Français vaquent dans le sérieux absolu.
Georges: "Les belges ont une royauté financière. Les français ont une longue histoire, un abîme les sépare; sérieux vs fantaisie".
Je ne suis pas un comique naturel, mais, bon public, j'aime l'humour et fait partie de la claque en riant avec plaisir.
Avec la vision des journalistes étrangers, TV5Monde en parlait à Kiosque "Face aux Français" en les mettant face à leur président et quelque part, à leur conscience ou à leur inconscience.
La fameuse "com", la manière de communiquer pour qu'un message passe dans la tête des autres, est un problème très spécifique et un exercice de haute voltige.
"Homines quod credunt", disait César.
Sans zénitude, sans sourires au gré des vents de douceurs ou de tempêtes, ce serait peine perdue.
En Belgique, nous avons les polémiques entre Paul et Mieke, mais, avec une approche différente qu'en France.
Un des articles les plus lus en France, est "L'auto-dérision, un produit de la belgitude", probablement moins connue chez nos voisins français.
...
Cet autre livre apportait une vision sérieuse et amusante: "Arrivé aux portes du paradis, un nouvel élu, fraîchement décédé, découvre les normes d'hygiène et de sécurité désormais fixées pour la vie éternelle. Au même moment, sur terre, un projet de pénalisation des images pornographiques perturbe la tranquillité d'un haut fonctionnaire bon teint qui redoute de se voir démasqué pour ses escapades sur Internet. Pourtant, c'est une simple phrase, filmée à son insu, qui va le précipiter dans un engrenage cauchemardesque. Dans cette société à peine imaginaire où les réseaux se dérèglent, où les informations des uns arrivent sur les ordinateurs des autres, où les femmes et les hommes guerroient sans relâche, deux jeunes banlieusards opposent une résistance dérisoire à l'ordre établi. L'intrigue nourrie par toutes les peurs de l'époque alterne avec les interventions débonnaires du Grand Saint Pierre".
Le commentaire de l'auteur était que "tout est puisé dans le 'cloud': vie privée et confidences... Le paradis de chaque époque ressemble à sa propre époque. Le paradis était représenté sur les peintures et dans les églises. Celui d'aujourd'hui, le nôtre ressemble au néolibéralisme, la déréglementation. Les hommes sont mortels tandis que les informations et le numérique baignent dans l'immortalité, bugs compris".
Tellement de choses à raconter avec ces "petites vies virtuelles", à faire des portraits robots des personnages de la Toile. Tant d'anecdotes que je devrais rassembler quand j'ai un peu de temps pour les sortir en mars 2015, lors du dixième anniversaire de mon blog.
Je n'en avais pas le temps, avant cela. Je vaquais trop occupé, sans espoir, sans écriture, sans ces mots qui balancent dans ma tête.
Mais pour l'heure, je vais débloguer, débloquer les jambes dans un jogging d'enfer, car l'un sans l'autre ne se concevrait pas aussi harmonieusement.
L'enfoiré,
...
Citations:
- "Dans le cybermonde démocratique des réseaux du virtuel, le citoyen est libre d'apprécier n'importe quoi et n'importe comment, à condition que ce soit en tant que consommateur.", Francis Cousin
- "Plus le drainage virtuel nous assagit, plus nous éprouvons l'énergie qui nous pousse à fricoter corps à corps, vie contre vie, comme une débauche de vitalité inutile et immature.", Vincent Cespedes
- "Les choses virtuelles deviennent de plus en plus réelles, et les choses réelles de plus en plus virtuelles. Tel est le principe du futur", Philippe Barterotte
- "Les fondateurs viennent d'abord. Les profiteurs viennent ensuite.", Charles Péguy
...
2 décembre 2014: Thomas Gunzig se rappelle ses petits billets de jeunesse
Commentaires
Je parlais du théâtre des Galeries.
J'y ai été hier soir.
"Portrait de Dorian Gray"
Ce qui en parle le mieux, c'est cet article
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/oscar-wilde-et-le-portrait-de-159210
Écrit par : L'enfoiré | 16/11/2014
L’enfoiré
Le blog c’est ma bouée de secours, mon radeau de survie, mon phare et mon embarcation de vie.
Écrit par : C’est Nabum | 16/11/2014
Je comprends et je partage ce sentiment.
Merci pour ce témoignage.
Écrit par : L'enfoiré | 16/11/2014
Bonsoir l'Enfoiré...
Voyez, j'ai sauté le pas, et je suis venue jusqu'en vos plages.
J'ai lu, partage en partie le témoignage de C'est Nabum. Je ne peux rester dans l'écrit, il faut que j'agisse aussi.
Alors mon blog, est un paradoxe à lui tout seul, des billets intimistes, des écrits rédigés style "Chroniques", et puis...
Et puis Circé est en recherche de plages bloguesques qui pourraient l'accueillir.
Même si Médiapart, semble d'ores et déjà mon point de chute en exil.
Je fuis la plateforme over-blog, complètement polluée par la publicité avec des femmes troncs sans bras, tête ou jambe, et même parfois sans tête, mais avec seins et fesses, et petites tenues légère. Moi qui combats les publicités sexistes et marchandisation des corps.
J'ai donc ouvert un blog du côté du nouvel obs. Censurée par deux fois pour le même billet.
1ère censure pour prosélytisme religieux.
2ème censure pour érotisme excessif ou pornographie. Toujours pour le même billet je rappelle.
A toutes fins utiles je mets un lien vers celui-ci
http://blogs.mediapart.fr/blog/lantre-de-circe/101114/chroniques-kabyles-akli.
Enfin je republie sur agoravox depuis peu. Je crois que je vais de nouveau arrêter et fuir l'endroit.. Pas assez dans le débat mais dans l'invective, l'insulte, le jugement, les sous-entendus, et même pou ma part des menaces qui ont été censurées par la modération.
Quand à écrire, et bien voici :
http://leblogdecirce.blogs.nouvelobs.com/archive/2014/11/16/ecrire.html
A bientôt de vous lire.
Écrit par : Circé | 16/11/2014
Bonsoir Circé,
Merci pour ce témoignage.
Désolé j'ai parfois la mémoire qui flanche et...
Je suis allé revoir où j'avais pu vous rencontrer sur notre lieu de rendez-vous commun : Agoravox.
J'y suis , c'était "Rire de soi". ( http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/rire-de-soi-159042 )
Il faut savoir et se rappeler (et je l'ai déploré) Agoravox est très masculin. Je ne vais pas dire qu'il est machiste, bien que parfois, je le ressens ainsi.
Comme vous avez pu le constater, depuis 2005, j'ai beaucoup bourlinguer sur le Web, peut-être plus encore dans le domaine sans Web.
Avant hautetfort, ce fut un autre site dont je ne me souviens même plus du titre.
L'intimisme, je ne l'oserais pas trop sur Avox.
Un blog vient à l'esprit.
Et c'est vrai, que débuter, c'est manger son pain noir à espérer une réaction.
Ce que j'écrivais au 1er anniversaire est assez explicite:
http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2006/03/03/le-mal-au-blog.html
Suivi immédiatement par:
http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2006/03/12/mal-au-blog-au-travers-du-miroir.html
Quand j'ai entendu cette émission radiophonique qui présentait ce nouveau site concentrateur de blogs, je me suis dit, qu'il arrivait comme les cavaliers d'Offenbach.
Agoravox a eu des gens très intelligents, très malins comme fondateurs.
Une Fondation a même été créée (... en Belgique !!!)
Au sujet de la censure, j'ai assez parlé de ce sujet épineux. Jusqu'où aller trop loin?
J'ai rappelé ce qui en a suivi quand je l'ai été pendant un an après m'être proposé pour ce rôle.
L'enfoiré faisait partie de la liste des modérateurs reconnus.
Puis, la modération a été ouverte à tous ceux qui avaient publié quelques articles et tous les propagandistes se sont mis à l'oeuvre en poussant les copains et les idées ou idéologies qu'ils avaient. Je ne modère plus.
Etre modérateur, c'est avoir un cahier des charges et oublier qui on est.
Amusant votre expérience sur NouvelObs. Vos billets n'existent donc plus.
Cela ne m'étonne pas. Mediapart aime ce qui saigne et qui va faire de l'audience.
Vous parlez de la pub. Il ne faut pas oublier qu'il n'y a qu'elle qui rétribue avec les dons.
Les insultes, je les ai trouvé très vite. L'exemple de postjorion que je donne dans mon article a été raboté de bien d'autres.
Que dire, sinon qu'on est toujours mieux chez soi, dans son enclos privé.
Sur Avox, j'y suis quelques fois sur des sujets bien choisis.
Chez Nabum plus souvent.
J'irai vous voir chez vous.
Comme vous dites Ecrire et plonger avec les mots....
@+
Écrit par : L'enfoiré | 16/11/2014
La chanson "Tout pour la musique" chantée par France GALL
https://www.youtube.com/watch?v=MjVUG1Pw8pU
En karaoké, "Tout pour l'écriture".
Ils ont des idées plein la tête
C'est des idées pour faire la fête
Et leur langage qui ne veut rien dire
Les fait pleurer ou les fait rire
Ils en oublient même qui ils sont
Les inévitables questions
Et le feeling prime la raison
Ils s'abandonnent à l'unisson
Ils donnent tout pour l'écriture
Les écrivains répètent des mots
Sans suite et sans fioriture
Comme s'il décrivait un complot
Tout pour l'écriture
Et ils balancent leur solitude
Comme de vraies sollicitudes
Au destin en piles au mercure
Tout pour l'écriture
Et ils bousculent les syllabes
Comme de doux astrolabes
Pour en sortir les philosophies
Tout pour l'écriture
La feuille blanche en amoureux transis
Ils vivent en oubliant leur vie
Et leurs yeux renvoient la lumière
Comme les étoiles dans l'univers
Ils donnent tout pour l'écriture
Les écrivains répètent des mots
En pratiquant des déchirures
Avec les mots et pas mal de ratures
Tout pour la lecture
Et ils balancent leur solitude
Dans une véritable béatitude
Au destin en piles au mercure
Tout pour l'écriture
Et ils tapent leurs textes
Sans aucun complexes
Comme de doux hystériques
Comme des fous fanatiques
Tout pour l'écriture
Tout pour la lecture...
Écrit par : L'enfoiré | 17/11/2014
J'ai découvert par hasard des articles qui tiennent la route.
Un feuilleton de articles "Chronique d'un éveil citoyen" ( http://www.agoravox.fr/auteur/human-iste )
1. L'électrochoc Dieudonné
2. De Dieudonné jusqu'au sionisme
3. Un pied dans la théorie du complot
4. Un lobby parmi les lobbies
5. L'influence du capital
6. L'influence d'Internet
7. Penser la monnaie et la dette
Au prochain volet du feuilleton
Écrit par : L'enfoiré | 19/11/2014
Tout est basé sur l'audience d'un blog ou d'un média
Il y a eu Charline et Alex, sur...
http://www.franceinter.fr/emission-si-tu-ecoutes-jannule-tout-xavier-charrier-chanson-plus-bifluoree
Et l'audience en augmentation en France
http://www.lesoir.be/711664/article/culture/medias-tele/2014-11-19/charline-vanhoenacker-booste-audiences-france-inter
Écrit par : L'enfoiré | 19/11/2014
Les avantages inattendus de l'agressivité en ligne
Si l’on observe la plupart des commentaires moyens sous de nouveaux articles de sites web, force est de constater qu’il existe beaucoup d'agressivité réprimée chez les internautes. Clive Thompson, blogueur de Wired, fait le même constat. Selon lui, lorsque nous nous exprimons négativement sur Internet, les autres semblent nous trouver plus intelligents. Thompson, habitué à diffuser des tweets enthousiastes sur des thèmes scientifiques, a remarqué qu’un message agressif ou râleur sur Twitter était beaucoup plus populaire qu’un tweet positif.
« C’est ce que l’on nomme l’hypercritique », explique-t-il. « Lorsque nous entendons des déclarations négatives, nous pensons qu’elles sont intrinsèquement plus intelligentes que celles qui sont positives ». Clive Thompson a étudié le travail de Teresa Amabile, directrice de recherche de la Harvard Business School, qui s’est intéressée à ce phénomène dans les années 80.
La critique négative comme preuve d'intelligence
Amabile a réalisé une expérience pour laquelle elle a sélectionné un groupe de 55 étudiants. Une moitié du groupe était constituée d’hommes et l’autre moitié, de femmes. Elle a montré au groupe des extraits de deux critiques au sujet d’un livre, parues dans le New York Times. Il s’agissait en fait de la même critique que la chercheuse avait retravaillée afin de créer une vision négative et une vision positive du contenu du livre. Ensuite, elle a demandé aux étudiants de fournir un jugement sur l'intelligence des critiques, auteurs de l'article.
La majorité des étudiants ont considéré que le critique négatif était plus intelligent et compétent que le critique positif. Par contre, le critique positif était vu comme une personne plus cordiale et plus sympathique. Vraisemblablement, nous considérons une critique négative comme l'expression d'une plus grande intelligence. Dans notre propre vie, nous appliquons d'ailleurs également ce mécanisme, explique Clive Thompson qui se réfère à une expérience de Bryan Gibson de l'Université du Michigan. Gibson a demandé à 117 étudiants de réaliser une critique sur un court métrage. La moitié des étudiants a reçu comme mission d'apparaître le plus intelligent possible lors de cette critique. Les autres devaient par contre gagner la sympathie de leurs condisciples par leur présentation.
Comme Gibson s'y attendait, les étudiants qui devaient éveiller la sympathie ont paru présenter des critiques bien plus positives que leurs collègues qui avaient pour mission d'apparaître intelligents.
Une explication liée à l'évolution?
Bien que cet effet ait été constaté scientifiquement, il n'y a pas d'explication définitive au phénomène. Certains théoriciens pensent que cela a un rapport avec l’évolution. Dans les communautés primitives, le fait de répandre des mauvaises nouvelles était crucial pour augmenter les chances de survie.
Heureusement, il n'y a pas que les messages négatifs qui sont populaires sur les réseaux sociaux. Des récits positifs ou émouvants remportent beaucoup de succès sur Facebook ou sur des plates-formes similaires. En outre, il n’est pas toujours possible de déterminer si une publication est positive ou négative. Est-ce qu'un manifeste pour un changement social est négatif par son approche critique, ou au contraire positif en raison de son contenu idéaliste?
On peut se demander si des intellectuels célèbres, ou des politiciens ne seraient pas tentés de se montrer plus caustiques qu'ils ne le sont en réalité, pressentant que cette ruse pourrait leur permettre de paraître encore plus malins...
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=interactive&item=voici-les-avantages-inatttendus-de-lagressivite-en-ligne&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 25/11/2014
Thomas Gunzig se rappelle de ses petits mots de jeunesse
http://www.rtbf.be/info/emissions/article_le-cafe-serre-de-thomas-gunzig?id=8495437&eid=5017893
Écrit par : L'enfoiré | 02/12/2014
Bonjour Guy,
Ma lecture est que tu es très efficace lorsque tu développes un sujet - les billets sur ton blog.
Par contre lorsqu’on te soumet une réflexion en dehors des sentiers battus par nos médias, là ta réaction est souvent violente et caricatural. Pourquoi?
A mon avis parce que cela est en dehors du périmètre qui a servi de base à ta réflexion élaborée dans ton billet. Alors tu jettes à la vitesse de l’éclair en caricaturant.
Chez Taddei c’est ce qui se passe avec certains intervenants qui sont opposés à des thèses en discussions. Alors ils n’écoutent pas et répètent sans discontinuer «vous ne proposez rien», mais non, vous n’êtes pas réalistes, vous voulez tout cassé,etc. Cette rhétorique signifie trop souvent «vos propos sont à dénigrer parce que contraires aux valeurs que JE propage, donc je caricature et dénigre».
Donc en résumé fait ce que tu fais très bien (l’élaboration de tes billets) mais évite SVP de répondre à des commentaires d’une manière bien trop caricaturale.
Je ne sais pas ou tu cherches des informations sur les alternatives à la situation actuelle mais en fait il y en a énormément des solutions proposées. Et cela sans tout cassé.
Trop de gens très visibles comme ce politologue Dewit qui répondait au nouveau mouvement "Tout autre chose" en posant la question : «Que veulent-ils faire exactement?» et les médias qui gravitent autour des pouvoirs n’ont aucun intérêts à promouvoir d’une manière intelligente ces alternatives.
Donc ils les présentent en les caricaturant suivit d’un « point to the line ».
Comme très souvent, tu as une approche très individualiste de la société. Qui est en fait sans espoir.
La situation actuelle est sans issue même potentiellement positive!
Ma vision étant totalement différente.
Mais cette manière d'entrevoir les lendemains, chez moi, ne signifie pas que cela soit possible.
Cela signifie seulement qu’il s’agit de portes de sortie «par le haut» pour la société. Sachant que les sorties «par le bas» soient évidement toujours possibles si pas probables.
Sans contre-pouvoir réel, la sortie pas le bas» est probablement inévitable.
Il est en effet possible que l’histoire de l’homme sur terre ne servira à pas grand chose pour induire les changements indispensables et donc éviter les erreurs du passé.
Donc assurons la promotion de l’Histoire de l’homme et des peuples en lieu et place d’un négativisme à toutes épreuves.
Tout est dit, next please!
Écrit par : Don Quichote | 13/12/2014
Bonjour Don Quichotte,
Merci, pour ces remarques que j'apprécie toujours même si elles paraissent parfois complètement opposées de manière idéologique.
Pour résumer, mes billets sont donc efficaces quand je développe un sujet, mais mes commentaires sont caricaturaux.
Il faut savoir une chose qui n'est pas explicitement dit ou pas dit du tout : 95% de mes articles ont été écrit avec une gestations de plusieurs semaines si pas mois.
Mes commentaires ne peuvent pas prendre ce temps. Ils doivent être réactifs à un commentateur dans un temps court.
Je m'oblige à le faire par politesse vis-à-vis d'un interlocuteur que je ne suis pas censé connaitre au départ.
C'est à dire, qu'au départ, il ne faut pas sortir des sentiers battus par le sujet de l'article.
Qu'il faut répondre point par point en évitant d'en sauter quand ils sont gênants, mais qu'il faut rester soi que coûte.
Individualiste, bien sûr que je le suis.
C'est la vie qui apprend à l'être.
C'est écrit dans mon à propos: "Réaliste, pragmatique, plus qu'idéaliste. Soigner cela par le rire parfois à cadence forcée. Libre dans sa tête. Déteste ceux qui jouent le rôle de prophètes de leurs bonnes paroles".
Je vis dans une grande ville dans laquelle l'individualisme est de rigueur. Cela n'a probablement rien à voir avec un environnement campagnard dans lequel tout le monde se connait et parfois, s'épient.
Mon billet sur la télévision dans lequel je parle d'Arthur était une exemple parfait de cette différence.
Mais nos vies fusionnent toujours au bout du chemin.
La société est celle qui correspond à son environnement, sa famille, ses plus proches et ne s'inquiète pas vraiment à ce qu'elle ne connait pas ou ne veut pas connaitre.
Avoir peu confiance en la société, ce n'est pas faire preuve de négativisme, mais c'est avec l'expérience et les contacts que je corrige mes idées avec la plus grande joie.
Rien n'est définitif. Dans cette société, il faut trouver les perles qui ne sont constituée que par pourcentage réduit de positivisme qui fonctionne vraiment.
Les idéologies ont des côtés positifs et négatifs.
La solidarité existe toujours quand tous ses éléments sont ensembles dans le cambouis. Alors l'entraide est une loi générale.
J'aime certains hommes pour ce qu'ils sont et ce qu'ils apportent. Pas par ce qu'ils rêvent.
J'ai eu l'occasion de pas mal voyager, d'aller voir ce qui se passe ailleurs. J'en ai gardé beaucoup de souvenirs, qui parfois sont loin d'être toujours roses.
Le contre-pouvoir, la solution?
Nous sommes des hommes, des êtres vivants comme les autres qui réagissons au cas par cas aux événements et choisissons des solutions aux problèmes en fonction de nos expériences et nos éducations.
C'est à dire, que nous sommes parfois dans une position de contre-pouvoirs et parfois, en accord avec le pouvoir en place.
Je n'ai jamais dit "tous pourris" comme je l'entends tellement souvent.
La caricature est la forme actuelle de réagir aux événements. Une image suffit très souvent pour exprimer une idée ou idéologie.
Les caricaturistes s'expriment en dessins dans le monde et ont été applaudis cette semaine à Bruxelles.
C'est comme l'aphorisme qui oblige d'arrêter de parler quand il y a encore beaucoup à dire...
Comme je termine souvent mes billet avec une chanson, celle de Voulzuy et Souchon me parait très adaptée:
Là derrière nos voix
Est ce que l'on voit nos cœurs
Et les tourments à l'intérieur
Ou seulement la la la ?
https://www.youtube.com/watch?v=3li9U-szeXQ
Écrit par : L'enfoiré | 13/12/2014
Les contre-pouvoirs sont souvent des ONG des Organisations Non Gouvernementales
Cet article vient parfaitement dans la discussion qui nous occupe:
>>>
Greenpeace pourrait avoir endommagé définitivement des lignes de Nazca au Pérou et s'excuse pour cette 'offense morale'
Le gouvernement du Pérou envisage de porter plainte contre Greenpeace : il reproche à l’Organisation d’avoir endommagé les célèbres lignes de Nazca. Ces lignes, appelées géoglyphes, forment de grandes figures, représentant souvent des formes géométriques ou des animaux, réparties sur un espace de plusieurs centaines de km² dans le désert de Nazca, au Sud du Pérou. Elles auraient été tracées sur le sol il y a entre 1500 et 2000 ans, et ont été classées comme trésor du Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1994.
Or, c’est à Lima au Pérou que se tient actuellement une convention de l’ONU concernant le réchauffement climatique. Les activistes de Greenpeace voulaient attirer l’attention des participants à cette convention, et ils se sont donc rendus à l’aube sur ce site sacré pour y déposer des lettres de tissu jaune formant les mots « Time for Change ! The Future is renewable – Greenpeace » (‘Il est temps de changer ! L'avenir est renouvelable – Greenpeace’), à quelques mètres seulement de l’une des plus emblématiques de ces figures, celle du colibri.
Mais cette intrusion sur ce site sacré a déclenché la colère des Péruviens. Le vice ministre de la Culture, Luis Jaime Castillo, a expliqué que le site est si sacré que personne n’a le droit de s’y rendre de sa propre initiative, pas même le président du pays, et que les personnes autorisées doivent chausser des chaussures spéciales pour ne pas laisser de marques de pas. « Elles sont extrêmement fragiles. Ce sont des roches noires sur un sol blanc. Si vous marchez là-bas, les empreintes de vos pas dureront des centaines de milliers d’années », a expliqué le vice-ministre. « C'était au milieu de la nuit. Ils sont entrés et ont marché sur notre colibri, et en regardant les images, on peut voir qu'il y a de sérieux dégâts. C'est une vraie gifle envoyée à ce que les Péruviens considèrent comme sacré », ajoute-t-il, évoquant l’intrusion des militants Greenpeace.
La police péruvienne a réclamé les noms des militants ayant participé à cette action pour engager des poursuites légales à leur encontre. Greenpeace a immédiatement présenté ses excuses, évoquant une « offense morale » pour le peuple péruvien:
«Sans réserve, Greepeace présente ses excuses au peuple du Pérou pour l’offense causée par notre activité récente pour laisser un message d’espoir sur le site des lignes historiques Nazca. Nous sommes profondément désolés pour ceci.
Nous comprenons pleinement que cela semble déplacé. Au lieu de relayer un message urgent d’espoir et de possibilité pour les dirigeants qui se réunissent actuellement à Lima pour les négociations de l’ONU sur le changement climatique, nous sommes apparus irrespectueux et grossiers. »
Greenpeace affirme que ses militants ont fait attention à ne pas dégrader le site et que l’organisation coopérera avec toute enquête, indiquant que son Directeur exécutif international, le Dr Kumi Niadoo, se rendrait au Pérou cette semaine pour s’excuser personnellement.
S’ils étaient reconnus coupables, les militants en cause pourraient encourir jusqu’à six ans de prison.
Source: http://www.express.be/articles/?action=view&cat=platdujour&item=greenpeace-pourrait-avoir-endommage-definitivement-des-lignes-de-nazca-au-prou-et-sexcuse-pour-cette-offense-morale&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 13/12/2014
Positivisme ou négativisme?
Que faut-il en conclure de cet article écrit par "hommelibre" et des commentaires qui ont suivis?
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/faut-il-vraiment-sauver-la-planete-160676
Écrit par : L'enfoiré | 13/12/2014
Un autre article intéressant à lire
A quand un retour de la « slow information » ?
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/a-quand-un-retour-de-la-slow-160615
Je préconiserais dans ce cas la fermeture des commentaires
Écrit par : L'enfoiré | 13/12/2014
Andrew Watts, l'étudiant qui dézingue Facebook et Twitter
Du haut de ses 19 ans, Andrew Watts n’y va pas avec le dos de la cuillère quand il s’agit de décrire les réseaux sociaux.
Le rêve américain existe toujours. Andrew Watts en est la preuve. Ce jeune de 19 ans est subitement passé du statut d’inconnu à celui de nouvelle coqueluche de la Silicon Valley. Tout ça grâce à un article posté sur son blog. Etudiant en marketing et management des systèmes d’information à l’Université du Texas à Austin, il y explique ce que les adolescents pensent des réseaux sociaux et comment ils les utilisent. Un texte qui a fait mouche. Vu plus d’un demi-million de fois, il a aussi été épinglé et commenté par des pontes de la communauté high tech californienne. Un succès qui a conduit la société spécialisée dans les start-up Internet
TechCrunch a l’inviter sur le plateau de sa télévision pour lui permettre de donner une leçon à la communauté technologique. Il a également été convié par le géant Google pour un déjeuner.
Du haut de ses 19 ans, Andrew Watts n’y va pas avec le dos de la cuillère quand il s’agit de décrire les réseaux sociaux.
"Foursquare, c’est mort", dit-il.
"Facebook est sur le déclin ! Une réunion de famille gênante dont on ne peut s'enfuir. Fait pour se plaindre de quelque chose pour les jeunes avant d'entrer sur le chemin du travail.
Yahoo ? C’est une antiquité !
Twitter est démodé et réservé aux intellos dont on ne comprend pas vraiment l'utilité.
Seuls Snapchat, Instagram et Google + trouvent réellement grâce à ses yeux.
Snapchat parce que le caractère privé et éphémère des contenus permet aux ados de s’exprimer sans crainte.
Instagram, populaire, parce que la dimension sociale est moins présente et l’accent mis sur le contenu plutôt que sur l’impact qu’il génère et parce qu'il est plus qualitatif et mieux structuré et non envahi par les adultes.
Google+ parce qu’il est plein de potentiel.
WhatsApp inconnu en dehors de moments de recherche de voyages.
MySpace qui devrait changer de nom pour se faire réhabiliter.
Andrew Watts l’affirme, malgré sa célébrité, il n’a pas modifié un mot de son article. Il persiste, malgré les détracteurs et les risques de voir certaines portes se fermer devant lui alors qu’il rêve de travailler dans l’industrie technologique.
http://www.dhnet.be/actu/new-tech/andrew-watts-l-etudiant-qui-dezingue-facebook-et-twitter-54be1ef935703897f84cafdb
Écrit par : L'enfoiré | 21/01/2015
Agoravox fête aussi son 10ème anniversaire cette année.
Chalot en parlait.
Les commentaires se sont mêlés.
Les souvenirs avec eux venant de tous les horizons, jeunes et plus anciens. Les opinions démontrent se que rédacteurs, commentateurs attendent d'un forum citoyen.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/agoravox-souffle-ses-10-bougies-en-161363
Écrit par : L'enfoiré | 21/01/2015