L'esprit démocratique s'étiole (01/11/2023)
En août 2018, j'écrivais "L'automne de la démocrature ?" en octobre 2021 "Bye-Bye démocratie ?".
Nous sommes à la croisée des chemins de démocrature annoncée.
La Belgique est-elle fatiguée de la démocratie ?
2% des Belges estiment vivre dans une dictature. 51,8% pensent qu'il faut un leader fort sans l'influence d'un Parlement. Fracture entre classes sociales, générations et régions se répercutent sur le politique qui souffre d'un discrédit généralisé maintenant le régime sous tension. Le cordon sanitaire a maintenu l'extrême droite dans les marges et des arguments convainquent du monde même dans la région francophone.
La démocratie est un sujet que j'ai déjà traité sous plusieurs formes en la connectant à d'autres aspects de la société.
Celle-ci esprit durcit son esprit dans les extrêmes par des convictions politiques ou des croyances religieuses.
Tel est l'enquête qui a été menée en 3 semaines par le Vif.
Mais je ne vais pas parler uniquement de cela...
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1-3 : La démocratie sous pression
"Certains chiffres ont beau rassurer, ils ne composent parfois que des poisons sucrés, même en appréciant l'étiquette, ils pensent en goûter ne correspond pas à la saveur originale. Un marginal 2.2% des Belges pensent vivre dans une dictature et un ridicule 1.7% considèrent que le moyen le plus efficace de diriger le pays serait un dictateur et 10.4% estiment que notre système doit être supprimé et remplacé par un système plus autoritaire. De grandes puissances mondiales ont basculé dans d'autres formes modernes d'autoritarisme. L'illibéralisme s'installe en Europe et l'extrême-droite gouverne. Les Belges qui aspirent à la dictature, sont peut-être aussi nombreux que ceux qui détestent les frites. Ce désamour cache une batterie de malentendus et de frustrations." commence l'article.
Un retour à Wiki : "Le terme démocratie, du grec ancien δημοκρατία / dēmokratía, combinaison de δῆμος / dêmos, « peuple » (de δαίομαι / daíomai, « distribuer, répartir »), et kratos, « le pouvoir », dérivé du verbe kratein, « commander », désigne à l'origine un régime politique dans lequel tous les citoyens participent aux décisions publiques et à la vie politique de la cité. Ce dispositif s'effectue soit de manière directe en soumettant des décisions au vote à tous les citoyens, soit de manière indirecte par des représentants préalablement désignés, de façon aléatoire ou par élection, pour faire des propositions de loi ou prendre des décisions urgentes. Ce terme désigne aujourd'hui tout système politique dans lequel le peuple est souverain. Par extension, la démocratie peut aussi qualifier une forme de société, la manière de se gouverner qu'adopte une organisation ou encore un système de valeurs".
La démocratie peut donner lieu à des interprétations différentes. L'une concerne la signification concrète de la souveraineté populaire et son application pratique, par exemple selon que la démocratie est directe ou représentative. La seconde sorte de difficulté provient de la diversité des régimes politiques qui se sont revendiqués ou se revendiquent comme démocratie. Pour sortir du premier dilemme, on utilise des critères. Pour résoudre la seconde difficulté, on utilise le dénominateur commun des démocraties, c’est-à-dire les principes qui les distinguent des autres régimes politiques. Le dénominateur commun des démocraties est l’existence d’institutions et de lois qui visent à protéger la population des dérives tyranniques ou dictatoriales que peut exercer une personne ou un groupe quelconque, y compris la majorité. Toute démocratie doit disposer de lois permettant aux citoyens de changer de gouvernement ou de projets politiques légalement, c’est-à-dire sans avoir besoin de recourir à la violence et en respectant les procédures définies par les lois. La distinction entre la notion de « peuple » et de « citoyens » dont les membres du peuple ne sont pas automatiquement des citoyens".
La liberté d'expression, la liberté de la presse sont des points essentiels de la démocratie dans un Etat de droit.
Il ne s'agit pas d'être sécuritaire au point où une parole trop sceptique, trop dubitative, non croyante, dissidente qui utilise des mots autres que celles qui sont autorisées, viennent enrayer le concept de la démocratie au risque de se retrouver derrière les barreaux pendant plusieurs années.
Les citations avec le mot "démocratie" sont très nombreuses.
L'existence de groupes d'opposition qui est en principe le contre-pouvoir, sans coexistence de partis politiques, est peut-être là que le bât blesse.
Comment avoir un pouvoir fort sans être géré par un dictateur ?
La démocratie est un sujet à la crème fouettée.
En Belgique, c'est clairement dit : "pour créer un gouvernement composé de partis élus à la proportionnelle des votes, s'il n'y a pas d'accord sur tout, il n'y a pas d'accord sur rien". C'est le statuquo comme lors de l'élection du pape. Pas de fumée blanche qui sort de la cheminée sacrée et on revote pour souvent obtenir le même bottle neck. L'image de la démocratie se dégrade quand cela dure trop longtemps. L'idée de corruption, que les politiciens ne pensent qu'à leur propre intérêt et que la population n'est pas entendue, vient immédiatement à l'esprit de la population attentiste à voir apparaître des réformes. Le Nord et le Sud de la Belgique, les tranches d'âge, les langues et le niveau d'instruction sont des obstacles qui empêchent de partager les mêmes opinions de comment gérer le pays "Belgique".
Très fragile, la démocratie doit souvent être remise en chantier quand on ne se rend pas compte de ce qu'elle implique en points positifs et négatifs.
Au rayon négatif, une démocratie est souvent plus lente dans l'action que la dictature réduit à un parti unique comme on peut le voir en Chine ou en Russie où les opposants doivent rester clandestins sous peine d'être envoyé en prison.
Si on prend du recul, on a l'air de voir la population à plusieurs vitesses avec une démocratie à la mesure de chaque particulier plutôt que partisane. Manifestations, pétitions et désobéissance civile apparaissent dans le processus de démocratisation souvent sous le chapeau des réseaux sociaux.
La population a-t-elle du temps à consacrer à concrétiser sa démocratie ?
Au travail, c'est difficile et à la retraite, l'envie de participation n'y est pas plus présente.
Les jeunes "révolutionnaires de système" ne se bousculent pas au portillon et les vieux restent attachés aux institutions tout en disant que les politiciens sont incompétents. Désinformation, croyances, racisme, ingérences étrangères, revendications non suivies et peur de demain sapent la base de la démocratie.
Le tirage au sort des élus vient à l'esprit, au petit bonheur la chance.
Désolidariser les rumeurs des vérités factuelles et vérifiables devient de plus en plus difficile.
"L'éducation est l'arme la plus puissante que l'on peut utiliser pour changer le monde", écrivait Mandela. Moins elle est appliquée, plus le sentiment de satisfaction diminue.
Quatre Belges sur dix ne désirent plus le vote obligatoire. Les générations les plus anciennes y sont toujours attachés.
L'ère de le l'algocratie a commencé. Elle sera numérique ou ne sera pas.
La vision de la désinformation, de la manipulation, de l'intoxication, de la polarisation, de la stigmatisation, de la délation, de la déstabilisation, de la suspicion, de l'émotion, du flicage et de la surveillance démultiplie la puissance numérique des pouvoirs législatifs, judiciaires et médiatiques.
En 2005, j'écrivais "Coup de pouce à la Démocratie"dans cette vision alors qu'Internet n'a pas tenu ses promesses de sécurité. Des algorithmes ont été développés dans le but de pirater le cerveau humain en optimisant des intérêts particuliers et le débat politique.
Ce n'est pas de l'IA qu'il faut avoir peur mais des hommes qui l'utilisent.
La menace est réelle si les citoyens renoncent à se gouverner par eux-mêmes.
Le dernier mot sera de tirer la prise.
2-3 : L'Europe en arrière-plan
Le petit parti Chez nous est parrainé par le Vlaamse Belang et le RN.
Des pays comme la Hongrie montre une autre vision de ce que peut être la droite radicale dans une sorte de test de Rorschach, non rongé par la "cancel culture" et l'activisme woke. Le puissant logiciel d'espionnage Pegasus permet de surveiller les journalistes critiques.
Le trumpisme n'est pas mort. Il se régénère progressivement dans un réseau d'amis en mettant, au besoin, la main au portefeuille.
La France a réussi à résister à l'extrême-droite mais des liens se sont tissés avec elle.
La Suède et les Pays Bas ne donnent pas plus de confiance dans un investissement international.
L'extrême-gauche du PTB utilise parfois les mêmes méthodes pour attirer des électeurs. C'est loin d'une maison de verre.
Mais les discours des partis présentent toujours bien et un système paranoïaque.
On s'éloigne de plus en plus de ce qu'on appelle la "sociale démocratie".
3-3 : Les communes cherchent des candidats
Les élus ont le blues. Chahutés, quatre mandataires exécutifs sur dix ne désirent plus se représenter aux élections à cause d'un mauvais équilibre entre vies professionnelles et privées.
L'envie n'y est plus. Un maïorat est estimé être payé dix euros de l'heure.
Le lynchage sur les réseaux, l'obligation de répondre à tout projet dans le plus bref délai et leur suivi sont des points difficiles à supporter dans leur management entre le marteau et l'enclume.
C'est un rôle à responsabilités qui comprend les agissements de ses membres.
Revaloriser la fonction dans l'intérêt général. Comment résister quand il s'agit souvent d'intérêts particuliers plaintifs en disant "non" quand la gestion impose des finances qui sont absentes ?
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ChatGPT et la démocratie
La durabilité d'un système démocratique dépend de plusieurs facteurs, et il n'y a pas de modèle unique qui convienne à tous les pays ou toutes les situations. Cependant, certaines caractéristiques et principes peuvent contribuer à renforcer la durabilité d'une démocratie. Voici quelques éléments clés à prendre en compte :
- La participation citoyenne : Une démocratie durable encourage la participation active des citoyens dans le processus politique. Cela peut inclure des élections libres et équitables, des mécanismes de consultation publique, des référendums, des pétitions, et d'autres moyens pour que les citoyens puissent faire entendre leur voix.
- L'État de droit : Une démocratie durable repose sur le respect de l'État de droit, où les institutions gouvernementales sont soumises à des lois justes et équitables. Cela garantit que personne n'est au-dessus de la loi et que les droits fondamentaux des citoyens sont protégés.
- Séparation des pouvoirs : Une séparation claire des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire est essentielle pour éviter la concentration excessive de pouvoir entre les mains d'un seul organe. Cela permet de garantir une vérification et un équilibre entre les différentes branches du gouvernement.
- Liberté de la presse : Une presse libre et indépendante est cruciale pour informer les citoyens et surveiller le gouvernement. Une démocratie durable protège la liberté d'expression et la liberté de la presse.
- Protection des droits de l'homme : Une démocratie durable respecte et protège les droits de l'homme fondamentaux, y compris l'égalité, la liberté d'expression, la liberté de culte, la non-discrimination, etc.
- Éducation civique : Une population bien éduquée sur les principes démocratiques est essentielle pour la durabilité de la démocratie. Les citoyens doivent être informés, critiques et engagés dans le processus démocratique.
- Lutte contre la corruption : La corruption peut saper la confiance du public dans le gouvernement. Une démocratie durable met en place des mécanismes efficaces pour lutter contre la corruption et promouvoir la transparence.
- Système électoral adapté : Le système électoral doit être conçu de manière à représenter au mieux la diversité des opinions et des intérêts de la population. Différents pays optent pour différents systèmes, tels que le scrutin majoritaire, le scrutin proportionnel, etc.
- Inclusion et diversité : Une démocratie durable reconnaît et respecte la diversité de la société, en encourageant l'inclusion des minorités et en protégeant leurs droits.
- Adaptabilité : Les systèmes démocratiques doivent être capables de s'adapter aux évolutions de la société, aux crises et aux défis nouveaux.
Il est important de noter que chaque pays a ses propres besoins et sa propre histoire, ce qui signifie qu'il n'existe pas de modèle unique de démocratie durable. Les principes fondamentaux demeurent les mêmes, mais la manière dont ils sont mis en œuvre peut varier en fonction des circonstances locales.
L'Intelligence artificielle pourrait-elle apporter une aide en justice
?
La réponse finale est peut-être chez le candide qui va trouver la solution que l'IA n'aura pas trouver dans ses bases de données.
La démocratie décline dans le monde d'après le dernier rapport en Suède
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Conférence internationale au sommet à Blotchley Parc au sujet de l'IA :
Aurélie Couvreur spécialiste de l'IT et de l'IA répond
Même sujet débattu au 28' sur ARTE : L’intelligence artificielle : une menace sécuritaire ?
Les 10 meilleures publications humoristiques de la semaine sur X alias Twitter (clic).
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Réflexions du Miroir
A la croisée des chemins entre le 1er novembre, la Toussaint et le 2, la fête des morts, je vais essayer d'aller à contre-courant des idées moroses de ces derniers temps même si cela ne va pas être facile.
Pour faire la transition avec le dernier billet "Les âmes animales vs les âmes humaines" et l'actualité, pourquoi pas parler de taxidermie
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Mais je pourrais encore mieux le faire avec des oiseaux bien vivant qui ont aussi leur culture d'après le livre de Dos Santos "Ames animales"...
Pour continuer dans le même état d'esprit, ce 1er novembre, pour Adamo, c'est le 80ème anniversaire qui a annulé sa prestation à l’Ancienne Belgique ce 1er novembre
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"J'ai encore besoin de repos", dit-il. Ce soir, il le disait.
Bon anniversaire, tout de même...
C'est toujours mieux que de naître le lendemain le jour des morts même si les saints auront du mal à s'en souvenir.
Que choisir dans son immense répertoire de chansons ?
Disons celle-ci d'il y a si longtemps.
Au sujet de la démocratie, je rappelle qu'en 1960, JFK prononçait un discours d'allocution comme un slogan « Vous qui, comme moi, êtes Américains, ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. Vous qui, comme moi, êtes citoyens du monde, ne vous demandez pas ce que les États-Unis peuvent faire pour le monde, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour le monde. ».
Deux clans se font face : les "anywhere" qui voient leur intérêt dans la mondialisation et les "somewhere" qui voient leur intérêt dans la fermeture des frontières.
Au Portugal, un pays, dans lequel on se sent physiquement et moralement très bien, on en part quand on n'est pas les tunes nécessaires
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En Ukraine, on essaye de la quitter pour ne pas aller à la guerre au risque de devenir déserteur.
Doit-on se battre pour un lopin de terre et risquer d'en mourir est toujours une question à se poser. Le conseil de mon grand-père partis à la guerre 14-18 et revenu gazé, a passé comme message de "foutre le camp".
"Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente" chantait Brassens.
Car la sanction de la dernière justice, c'est perpète et cette mort-là est très longue surtout vers la fin.
Nous sommes, à nouveau, en période de guerres à l'Est et au Sud-Est.
Parfois, la géopolitique prend le pas sur la politique pour répondre à des impératifs qui dépassent l'entendement.
Il est amusant de lire "Ce n'est pas factuel" (entre parenthèses : tu n'es pas assez célèbre pour avoir une telle opinion factuelle).
Cela ne marche plus ainsi. Internet a décollé sur les chapeaux de roues. Tout le monde du bas en haut de la hiérarchie, il faut y attacher une écoute attentive.
Le principe factuel est de répondre à tous commentaires, point par point des généralités aux détails, en ne sautant aucun élément qui dérangerait.
Les coulisses du pouvoir de Bertrand Henne
La France est-elle décliniste ?
Tout va dans le même sens pour correspondre à l'ambiance anxiogène dans laquelle nous sommes entrés bien malgré nous. Les Trente glorieuses sont loin.
C'est vrai qu'il y a un besoin de références pour répondre aux problèmes de notre temps quand on ne voit plus la sortie des problèmes.
La majorité des gens ne cherche pas les réponses aux problèmes en eux-mêmes pour se sécuriser.
Ils vont la rechercher dans leurs supérieures hiérarchiques ou dans les croyances religieuses.
Est-ce par la propagande autour de la personnalité de Poutine que l'on a créé des fanas de l'autorité ?
Tout semble bien fonctionner en Russie. Oui, mais...
Le Frussien dont j'ai parlé continue à chercher recruter des Français pour aller habiter en Russie. Son dernier mail reçu parle de cinq livres qu'il conseille de lire pour expliquer la Russie pour organiser une base arrière, un plan B.
Les cinq parlent de l'aspect de la Russie historique sauf un, celui de Hélène Carrère d’Encausse, « La Russie entre deux mondes » publié en 2010 avec le monde vu de Russie. (les autres)
J'en avais déjà parlé pour commencer le billet "La Russie, un pays à la mode?"
Hélène Carrère d'Encausse, d'origine géorgienne, est morte le 5 août 2023. Elle est la seule qui a donné son sentiment depuis l'attaque de l'Ukraine en évoluant son discours en fonction des événements.
Bon, si je dis que la Russie actuelle est démocratique, c'est que j'oublie quelques principes essentiels.
Souvent, en démocratie, on n'est pas d'accord avec nos élus qui ont l'habitude de dire "faites ce que je dis, mais pas ce que je fais".
Les voyages en avions sont un sujet de discussion à prendre en considération.
Les riches ne sont pas bien vus. Leurs richesses ne sont pas que financières, morales et politiques. Poutine les dépasse tous...
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La justice en question
Tout évolue, même les idées en fonction des circonstances évolutives de l'actualité. Peut-être pas assez rapidement pour l'opinion publique.
Il faut parfois mordre sur sa chique et faire amende honorable quand on se trompe entre les prédateurs et les proies même si les proies peuvent devenir elles-mêmes prédatrices dans d'autres circonstances.
L'affaire de l'attentat de deux suédois à Bruxelles a poussé notre Ministre de la Justice à la destitution et laissé des places vacantes à des débats interminables pour savoir s'il s'agissait d'une faute individuelle ou des dysfonctionnements du système judiciaire belge en entier.
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La télé belge fête ses 70 ans
En mars 2014, on fêtait alors les cent ans de la radio "Cent ans et toutes ses dents".
Mais, il y a exactement 70 ans ce 31 octobre 1953 que la première émission de télévision a été diffusée en Belgique.
L’Institut national de radiodiffusion de l’époque (NIR), précurseur des actuelles VRT et RTBF, émettait depuis le bâtiment Flagey à Ixelles. Le programme de la soirée comprenait un épisode de « Panorama », avec les « affaires courantes de la semaine », un discours du directeur de la télévision de l’époque, Bert Leysen, et une adaptation télévisée de la pièce de théâtre « Trois douzaines de roses rouges ».
Samedi, l'émission souvenir pour cet anniversaire est passée à la RTBF dans une ambiance Grand Cactus. La télé belge a été assez difficile et dépendante de l'ORTF. Ce fut, en noir et blanc avec un écran bombé qui était plus proche du losange allongé que du rectangle allongé aux angles droits et de l'écran plat et mince que l'on installe sur le mur aujourd'hui. J'ai enregistré ces souvenirs RTBF.
Je les regardés ce 1er novembre en riant à plusieurs occasions.
La plupart des moments culte de la télé de ces 70 ans, je m'en souviens même si la télé est entrée très tard chez mes parents et chez moi.
J'ai noté les choix des téléspectateurs du 70ème événement-émission au premier.
Le top dix des émissions et événements sélectionnés par la mémoire des téléspectateurs fut : "Bon weekend", "Le 11 septembre 2001", "Les travaux inutiles", "La Caméra cachée", "Le Jardin extraordinaire", "Bla-Bla"...
Les trois finalistes ont été "J'aime la vie" de Sandra Kim à l'Eurovision, la farce-fiction "Bye Bye Belgium" qui annonçait la fin de la Belgique le 13 décembre 2006, le match de foot de Mexico86 avec les manifestations du public sur la Grand-Place de Bruxelles.
Samedi, je suis allé à la place Flagey en jogging à l'aller et en bus au retour.
C'est vrai en 2020, j'écrivais "La démocratie manipulée par la séduction des nouveaux médias" en pointant des réseaux sociaux avec la propagande comme outil de base.
Il faut dire que nous sommes baignés de propagandes de toutes parts.
Quelques pavillons rappelaient ces moments culte.
L'avantage de l'âge, c'est d'avoir plus de souvenirs.
Aujourd'hui, une idée à peine énoncée qu'elle est déjà obsolète et replacée par une autre sans avoir été concrétisée et testée.
Il est certain que la télé a laissé beaucoup de place aux réseaux sociaux et à Internet chez les plus jeunes mais est restée très utilisé par les seniors.
Je suis passé par l'Expo "Experience Europe".
Ursula van der Leyen répond à des questions-réponses enregistrées en vidéos avec la mention "Make it real". La réponse à la question choisie est caractéristique "Quand c'est possible".
Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas dans un journal comme celui-ci.
Après les événements de fête, il y a ...
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Le 2 novembre, la fête des morts
A ce sujet, j'avais écrit en 2007 "Point mort " et en 2009, "L'après "Point mort".
Puis j'ai écouté ce que la mort pouvait dire à certains quand ils sont encore vivants :
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Puis, j'ai appris qu'il y a des corbillards qui peuvent se faire en suivant un vélo.
J'espère seulement qu'il soit électrique, pas pour le mort dans la boîte mais pour celui qui doit le tirer ...
L'experte en thanatologie Juliet Case faisait la promotion de son livre "Cabinet des curiosités"
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A cette occasion, je me suis à nouveau promené dans cet endroit où l'on rencontre ordre, beauté, calme, luxe séculaire des tombes et des monuments, mais sans la volupté que l'on rencontre dans le poème "L'invitation au Voyage" de Baudelaire. Le cimetière de Bruxelles est une véritable nécropole dont les tombes remontent au 19ème siècle.
En ce début de novembre, on y rencontre des gens plus modestes qui portent des fleurs sous le bras (surtout la veille qui est un jour de congé).
Mais, on y rencontre aussi de grands monuments avec des mentions comme "Mort pour la patrie" ou des "In Memory of...". Résultats de guerres sanglantes.
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Chez les animaux, la guerre n'existe pas.
On bouffe ou on crève en se faisant bouffer. On ne revendique pas un espace de vie ou un pays. On s'y installe quand il permet de vivre.
Les diasporas s'en sortent sans guerre jusqu'au moment où l'envie de se sédentariser se présente avec nationalisme.
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Conclusions en pensant aux jours meilleurs
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Que savons-nous sur la psyché humaine dans l'incroyable histoire de la psychologie
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Allusion
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- (*)
- « Russie-Occident, une guerre de mille ans : La russophobie de Charlemagne à la crise ukrainienne » écrit par l’excellent Guy Mettan et publié en 2015 qui explique les racines historiques de la haine et de la peur de la Russie
- "Que reste-t-il de notre victoire ? Russie-Occident : le malentendu » de Natalia Narochnitskaya publié en 2008 qui analyse la responsabilité de la philosophie libérale occidentale, dans de nombreux malentendus historiques.
- « Vie quotidienne en Russie au temps du dernier tsar » par Henri Troyat publié en 1959 qui raconte le voyage de Moscou à Kazan d’un Français, Jean Roussel, dans la Russie de 1903
- « Rêves de Russie » par Yasushi Inoué publié en 2005 qui raconte l’histoire vraie d’un équipage japonais qui fait naufrage aux abords d'une île située juste au sud du détroit de Béring au 18ieme siècle. Toute la Russie éternelle y est décrite.
2/11/2023 : Michèle Riot-Sarcey au sujet de son livre "L'Emancipation entravée" Elle dit :"La démocratie réelle est à inventer car nous n'avons aucun modèle".
La liberté et l'émancipation sont quasiment opposées dans leur concept particulier.
"Au 20ème siècle, l'idéal est entravé par les risques des idéologies. Il est impossible d'envisager la moindre égalité entre les populations inégalement libres sauf illégalement. C'est une utopie dans la réalité. L'émancipation passe par la responsabilité individuelle au sein d'un collectif choisi".
4/10/2023 : Vous avez tendance à dire oui à tout, à trop en faire et à ne pas pouvoir vous arrêter ? Vous avez besoin de tout contrôler ? Vous culpabilisez à la moindre erreur ? Vous vous sentez constamment sous pression et proche de l’épuisement ? Sans doute êtes-vous pris par ce que l’on appelle le perfectionnisme. Il engendre, entre autres, stress, dépression, burn-out et syndrome de l’imposteur. La psychiatre Caroline Depuyt, auteure de "J’arrête d’en faire trop !" et le Dr Pierre Schepens, psychiatre, directeur général de Silva Médical, apportent leur éclairage et leurs conseils dans Tendances Première, pour se lâcher un peu la grappe. Comment perdre l'envie de tout contrôler par le perfection ?
Philosophie de Sénèque par le philosophe Matthieux Peletier :
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6/11/2023 : Le cactus du conflit israël-palestine
9/11/2023 : QR spécial entre Paul Magnette (PS) et J.L.Bouchez (MR)
Le cactus raconte le match
30/11/2023 : Les coulisses du pouvoir du PTB et Raoul Herdebouw
Commentaires
La démocratie vient de la Grèce. Mais n'avait RIEN à voir avec l'actuelle. Pour voter, il fallait au préalable est INSTRUIT. Les femmes et les escalves n'avaient pas le droit de vote... Fameuse nuance... J'en a vu des socialistes aller dans des homes, pour diriger la main de la personne vers la bonne case.. Perso je suis pour le MAAT (lire les vertus démocratiques de Raymond Queneau). Plutôt royaliste que démocrate. Pas du tout d'accord avec vous concernant l'inclusivité. Les minorités n'ont pas à imposer leurs diktats à la majorité. On revient sur l'écriture inclusive et c'est une EXCELLENTE chose. Cela ne veut pas dire que les "minorités" n'ont pas droit au chapitre, mais elles ne doivent pas s'imposer. Je ne crois pas un seul instant à LIBERTE EGALITE ET FRATERNITE. Depuis Abel et Cain ont sait que la Fraternite est un leurre. L'égalité une utopie (même s'il faut tenter de donner les mêmes chances au départ à tout) on sait que de toutes façons, il y en aura toujours certains qui dépasseront les autres. Et la liberté s'arrête là où commence celle des autres. Quant aux DROITS DE L'HOMME je rêve qu'un jour ils deviennent LA DEVOIRS DE L'HOMME.
Écrit par : Mélusine ou la robe de saphir; | 01/11/2023
Il faudrait peut-être lire ce que j'ai ajouté ci-dessus à la date du 2 novembre.
La philosophe ne parle même pas de la démocratie grecque.
Il ne faut pas penser que celle-ci était aussi vertueuses qu'on le pense.
Elle était représentative par l'intermédiaire des sénateurs qui étaient évidemment instruits.
Je ne sais pas où je parle de l'inclusivité dans ce billet. Donc, je ne peux être d'accord ou désaccord avec cette idée.
Quel en est le contexte.
Les minorités font partie de la majorité avec des pourcentages de fréquentation propres.
Une minorité ne peut pas plus imposer qu'une majorité son habeas corpus.
On appelle souvent minorité les étrangers qui vivent en diaspora à la recherche d'un "meilleur vivre".
Tant qu'ils s'intègrent sans créer de révolution en provenance de leur origine, il n'y pas de problème.
S'ils s'imposent et renversent le mouvement et deviennent majoritaire en court-courcircuitant la culture locale, il y a problème.
Quand ils ne sont plus en diasporas et que cette minorité prend la place de la majorité présente comme lors de la création de l'Etat d'Israélien en 1948. les problèmes ne s'arrêtent plus.
La liberté d'expression dépend de la démocratie.
Les Droits de l'Homme ont bon dos sans les Devoirs.
Écrit par : Allusion | 02/11/2023
Excellente nouvelle, après la fin de l’écriture inclusive, la fin de la Globalisation perverse. L’histoire est la même: saturne castrant l’HUBRIS d’uranus. La fin du mondialisme, c’est la fin de Babylone. Arrivée de Pluton en verseau, signe où se trouve uranus (PROMETHEE, PROGRESSISME), Pluton est celui qui détruit ce qui est faux pour renaître dans du neuf. Tu ne mettras pas du vin neuf dans une vieille outre, mais tu changeras d’outre.
Écrit par : Mélusine ou la robe de saphir; | 02/11/2023
L'astrologie n'est pas mon domaine.
L'astronomie peut l'être
Écrit par : Allusion | 02/11/2023
Uranus (verseau) est bien le signe de la mondialisation. Depuis la fin des années 90 et le passage d’Uranus, la planète des révolutions et des grands changements, est passée en Verseau en compagnie de Neptune la planète de l’humanisme. Une nouvelle étape de l’histoire de l’humanité s’est mise en place.
Ce passage correspond à l’explosion des réseaux, de l’internet, du digital, d’une globalisation du monde, de la naissance de nombreux enfants dotés d’hypersensibilité et de dons médiumniques.
Mais Pluton lui, est e"n train de tout faire voler en éclat... En face, le signe du lion et de la royauté. RETOUR GENERAL AUX FRONTIERES.. Les décideurs européens semblent avoir choisi de mettre fin à la globalisation économique
Leurs décisions ne reposent plus essentiellement sur des mécanismes privés, dictés par les marchés, c’est-à-dire par les choix des consommateurs et des entreprises. Nous assistons à une transition vers des décisions d’ordre géostratégique pilotées par les États. https://www.lalibre.be/debats/opinions/2023/11/02/les-decideurs-europeens-semblent-avoir-choisi-de-mettre-fin-a-la-globalisation-economique-HPJBNFGB4BFRDKE6VB6ZJCJWOI/
Écrit par : Mélusine ou la robe de saphir; | 02/11/2023
Ce n'est pas de l'IA qu'il faut avoir peur mais des hommes qui l’utilisent.
- DQ : Je ne suis pas d’accord. Il faut plutôt avoir peur des entreprises et de ses collaborateurs qui créent ce genre d’outil.
- RM De quoi sont constituées les entreprises et de ses collaborateurs ?
D'hommes qui construisent des algorithmes pour utiliser les data.
Je n'ai jamais eu peur de l'IA, mais des hommes qui tournent autour sans réfléchir aux implications.
Tout est convertible en pognon actuellement.
L'IA générale désintéressée qui ne contiennent pas d'algorithmes qui privilégient la pub des sociétés, est encore à inventer sans implications commerciales.
Algocratie "L'ère de le l'algocratie a commencé. Elle sera numérique ou ne sera pas."
- DQ : L'empire du Big Data est une sorte d’algocratie qui nous vend l'illusion d'une liberté sans effort. Il considère, d'en haut, les sociétés comme des groupes d'individus atomisés (et égoïstes par nature) et des masses qui doivent être absolument transparentes pour devenir « automagiquement » libres.
- RM : Absolument. Transparente à part ceux qui génèrent les algorithmes ?
As-tu déjà vu le code ? Penses-tu qu'un code malgré toute la documentation que l'on peut faire dans les sociétés comme Unisys, peuvent être repris en quelques heures par un remplaçant quand le générateur est malade ?
Les documentations sont souvent mises à jour, mais c'est du blabla.
Quand j'étais dans ma startup du début, j'ai été rappelé de vacances après une semaine. Internet n'existait pas encore dans les années 70.
"Elle sera numérique ou ne sera pas. »
- DQ : Je suppose qu’il s’agit ici de ton avis personnel. En résumer cette affirmation signifie que c’est la fin de la démocratie et le début de la dictature de l’algorithme.
- RM: Non,. Pas personnelle. C'est écrit en toutes lettres dans le Vif. J'ai conservé podcactés les 3 articles. Dans un sens où les choses vont aujourd'hui, je n'y vois pas d'oppositions et certainement pas chez les jeunes.
>>> Je vais devoir écrire un nouveau billet au sujet de l'IA, tellement les opinions à ce sujet évoluent rapidement.
Écrit par : Don Quichotte | 02/11/2023
J'ai déjà beaucoup parlé de l'IA sur ce site
Voici ce que j'écoutais ce matin
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/02/1742883021.MP3
Écrit par : Allusion | 02/11/2023
La peur de la mort est souvent liée à l'inconnu. Et oui, que se passe-t-il après notre mort ? Entrons-nous au paradis, devenons-nous un animal ? Qu'il s'agisse de théories hindoues, rastafari ou bouddhistes, toutes tentent d'expliquer ce qui se passe après.
Avez-vous parfois l'impression que tout dans notre existence est prédéterminée ? Et si même la mort suivait un scénario préétabli ? Selon la théorie de la simulation, nos vies sont perçues comme de simples informations numériques dans le jeu vidéo d'une entité supérieure.
Les rastafariens croient que la vie est éternelle. Seuls ceux qui se soustraient à la justice meurent. C'est pourquoi les funérailles ne sont pas vraiment célébrées dans leur culture.
La théorie de la vie sans fin est certainement l'une des plus singulières de la liste. Elle affirme que lorsque vous mourez, vous renaissez immédiatement dans votre vie, sans aucun souvenir de la vie que vous avez menée auparavant.
Selon la théorie cosmique, notre conscience est associée à l'univers plutôt qu'à notre corps individuel. Lorsque nous disparaissons, notre conscience se réunit avec le cosmos.
Les bouddhistes adhèrent au concept de réincarnation post mortem. Après la mort, les individus peuvent renaître dans différents royaumes, y compris des dieux, des demi-dieux, des humains, des animaux ou des fantômes.
Le concept d'univers parallèles a été présenté dans de nombreux films de science-fiction et bandes dessinées, soulevant la question de sa plausibilité. Selon cette théorie, notre existence se poursuit après la mort, mais dans une région distincte de l'espace et du temps au sein du même univers que celui que nous avons habité précédemment.
Et si tout n'était qu'un rêve ? La théorie du rêve prétend que lorsque nous mourrons, nous nous réveillerons simplement d'un rêve très confus, très vivant et très long.
Dans le système de croyances des anciens Aztèques, trois chemins distincts guidaient la vie après la mort: le soleil, le Mictlan et le Tlalocan. La vie après la mort dépendait des circonstances de la mort. Les soldats tombés au combat et les femmes mortes en couches étaient censés se transformer en colibris qui suivaient le chemin du soleil. Les personnes décédées pour des causes considérées comme moins honorables se retrouvaient sur le Mictlan. Enfin, les personnes mortes par noyade se rendaient à Tlalocan.
Platon croyait que notre connaissance était limitée par le monde physique. Il affirmait qu'après la mort, les individus entreprennent un voyage plus satisfaisant, au cours duquel leur âme peut découvrir sa véritable existence. Selon sa théorie, la mort est l'occasion de cette exploration.
Et si, après la mort, tout devenait complètement noir et que vous cessiez d'exister ? Une idée pas forcément rassurante.
L'Église des saints des derniers jours croit que les Mormons décédés qui étaient bons et justes deviendront des dieux. À l'inverse, les non-croyants sont condamnés dans l'au-delà.
La momification était essentielle pour les pharaons de l'Égypte ancienne, qui croyaient que la mort n'était pas permanente et cherchaient à préserver leur corps pour l'au-delà.
Notre compréhension de la mort se limite aux phénomènes vécus par le corps physique. La théorie ambiguë reconnaît cette dure réalité, tout en laissant place à la discussion sur les autres aspects.
Ce concept est à la base de nombreux films d'horreur. Les partisans du surnaturel affirment que nos âmes restent sur Terre après la mort. En outre, il est communément admis que la communication avec ces esprits peut se faire par différentes méthodes.
L'hindouisme croit également en la réincarnation, selon laquelle le statut ou la forme future d'une personne dans sa prochaine vie est déterminé par ses actions dans sa vie actuelle.
Si vous pensez que vous êtes le point central de tout, la théorie égocentrique de la mort pourrait vous intéresser. Selon cette théorie, l'univers commence avec votre naissance et se termine avec votre mort.
Si vous connaissez la populaire série de Netflix "Stranger Things", vous êtes probablement familiarisé avec le concept de l'Upside Down. La série suggère l'existence d'un royaume alternatif au sein de notre propre univers, où les individus peuvent se retrouver piégés dans un état entre la vie et la mort.
Certaines personnes croient qu'elles peuvent assurer leur préservation pour l'avenir en se soumettant à la cryogénisation après leur mort. Ils envisagent ainsi un état d'existence profondément glacial, mais toujours potentiellement vivant.
Existe-t-il quelque chose au-delà de nos propres pensées ? Le concept de solipsisme s'applique aussi bien à la vie qu'à la mort. La seule réalité indéniable est celle que l'individu perçoit et rencontre. Par conséquent, il est possible que lorsque l'individu meurt, tout le reste cesse également d'exister.
Selon la théorie de l'excrétion, l'univers représente un cerveau colossal à l'intérieur d'un corps humain, et les individus sont assimilables à des cellules. De la même manière qu'une cellule est éliminée lorsqu'elle périt dans le corps humain, l'homme pourrait connaître un jour un sort similaire.
Selon les croyances chrétiennes, les individus croient en l'existence du paradis et de l'enfer. Ceux qui vivent de manière vertueuse et intègre sont récompensés par l'entrée dans le paradis béat connu sous le nom de "Paradis". À l'inverse, ceux qui s'engagent dans des actions pécheresses et des transgressions morales sont destinés à l'enfer.
Le nihilisme est fondé sur la croyance que toutes les valeurs sont dépourvues de sens et de fondement. Par conséquent, une véritable perspective nihiliste sur la mort et l'au-delà suggère qu'il y a un néant absolu au-delà, puisque la vie elle-même englobe déjà le vide.
Le célèbre film comique de 1988 "Beetlejuice" de Tim Burton raconte l'histoire d'un couple décédé qui hante son ancienne maison et ses nouveaux habitants. Pour échapper à ce royaume intermédiaire, ils doivent faire appel à un exorciste peu conventionnel. Pensez-vous que la vie après la mort puisse ressembler à ce film décalé ?
Peut-être que cette discussion n'a pas lieu d'être puisque nous sommes déjà décédés ? C'est du moins ce que suppose la théorie pessimiste.
La théorie des mondes multiples postule que notre mort ne survient qu'au sein de cet univers singulier et existant. Au-delà, de nombreux univers alternatifs attendent notre transition.
Selon la théorie de l'illusion, le monde est avant tout un produit de notre esprit plutôt qu'une réalité concrète, ce qui suggère qu'il s'agit essentiellement d'une illusion. Selon cette perspective, la mort est un concept fabriqué par les humains, et même après que nous ayons cessé d'exister physiquement, une essence de notre être persiste.
"The Good Place", une série télévisée populaire, présente un concept intriguant de la vie après la mort. Elle est centrée sur des personnages qui, par un coup de chance, se retrouvent au paradis, affectueusement appelé "The Good Place". Avec ses yaourts glacés, ses résidences personnalisées et la perspective de rencontrer l'âme sœur, les téléspectateurs aspirent à ce que cette idéologie hypothétiquement séduisante devienne réalité.
Selon la théorie des niveaux, après la mort, l'homme passe à un nouveau stade d'existence, ce qui suggère que l'être humain n'est qu'un point de départ dans le grand schéma.
Avez-vous déjà rencontré le concept de l'arbre de vie ? Certaines personnes choisissent d'adhérer à ce concept en choisissant d'enterrer leurs restes dans une cosse d'arbre. Ce faisant, leur corps est rendu à la terre et l'on pense qu'il pourra se transformer en un arbre florissant dans son existence future.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/qu-arrive-t-il-%C3%A0-notre-corps-apr%C3%A8s-la-mort/ss-AA1jwULo?ocid=msedgntp&cvid=005b7100c78e4784bf5068333e9b81ec&ei=14#image=1
Écrit par : Allusion | 08/11/2023
L'ex-président du Parti populaire de Catalogne et fondateur du parti d'extrême-droite Vox, Alejo Vidal-Quadras, a été touché par balle en plein centre de Madrid jeudi vers 13h30, ont annoncé plusieurs médias espagnols dont le quotidien El PAÍS. L'homme politique de 78 ans a été transféré, conscient, dans un hôpital de la capitale espagnole.
Les services de secours indiquent qu'il souffre d'une seule blessure par balle au niveau de la mâchoire.
Selon les premiers éléments d'enquête, les auteurs du tir sont deux individus se déplaçant à l'aide d'une moto noire de marque Yamaha. L'auteur de l'attaque était muni d'un casque de moto et a pris la fuite à bord de la moto qui l'attendait à proximité.
Plusieurs témoins ont décrit l'attaquant comme un "homme jeune et peu corpulent" qui était vêtu d'un jeans et d'un manteau sombre.
Des spécialistes de la police scientifique se sont rendus sur les lieux de l'attaque, rue Núñez de Balboa.
Le président du Parti populaire (PP) Alberto Núñez Feijóo a condamné cette attaque.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/politique/le-fondateur-du-parti-d-extr%C3%AAme-droite-espagnol-vox-abattu-dans-une-rue-de-madrid/ar-AA1jF1is?ocid=msedgntp&cvid=f09c28c6b2cd404b8462e04c8e13d058&ei=6
Écrit par : Allusion | 09/11/2023
Election, piège à cons
Peu de gens le savent, mais la Belgique est le seul pays au monde à disposer, dans une de ses institutions - la Communauté germanophone - d'une assemblée permanente de citoyens tirés au sort. Surprenant, pour un État plus connu pour sa complexité institutionnelle, son nombre considérable d'élus ou ses scandales politico-financiers. Dans un contexte où les citoyens-électeurs n'ont jamais été aussi méfiants et désabusés, François Gonce nous propose un tour d'horizon des initiatives qui font de la Belgique une pionnière en matière d'innovation démocratique. Quels sont leurs impacts réels et quelles leçons en tirer ? Peut-on envisager de les reproduire à plus grande échelle pour réinventer une démocratie moribonde aux quatre coins du globe ?
https://auvio.rtbf.be/emission/elections-piege-a-cons-26714
Écrit par : Allusion | 08/02/2024