Le dernier rivage avec Rocky (15/03/2024)

Capture d'écran 2024-02-13 174534.pngJ'ai fini de lire le livre de Thomas Gunzig "Rocky, dernier rivage".
E
n préambule, il résume son livre par cette phrase plutôt sibylline « Parfois, dans ces moments, quand il avait pris un verre de vin et qu’une très légère ivresse arrondissait les angles de son esprit, il oubliait que le monde avait disparu. ».
A
tterrir sur une île déserte, on peut dire adieu classe social, faire valoir, oisiveté. Que ferait celui ou ceux qui restent quand les autres humains ne sont plus là ?
P
eut-être une envie de créer un nouveau monde ?

...

La préface de Thomas Gunzig

Il s'en explique dans une interview de TV5Mondepodcast.
Ce livre m'avait attiré parce que c'était presque exactement ce qu'avait dit mon grand-père qui revenait de la guerre 14-18 en tant que gazé et devenu mécréant de tout et pacifiste convaincu : "S'il y a une guerre, fuie et va te réfugier sur une île déserte qui ne serait pas intéressante pour les belligérants. Au diable Dieu, Patrie et Famille, si celle-ci veut continuer à se battre et ne pas me suivre.".

 
Capture d'écran 2024-03-16 092852.pngC'est exactement le sujet du livre de Thomas qui contient quatre chapitres.
A
l'origine, une famille riche qui passe ses vacances sur une île. Celle-ci devient leur refuge à cause d'un virus, d'une guerre bactériologique ou nucléaire.

Aujourd'hui, la question se repose avec la guerre entre la Russie et l'Ukraine pour quelques lopins de terre en plus ou en moins pour l'honneur de quelques dirigeants paranoïaques ou mégalomanes.

Nicolas a l'habitude de créer un carré pour faire le résumé de la semaine.

Je lui ajoute cette référence de Jo Delahaut.

Capture d'écran 2024-03-15 113556.png Capture d'écran 2024-03-15 194200.png

Cette famille est constituée d'un mari Fred, de son épouse Helen, du fils Alexandre et d'une fille Jeanne et du personnel d'entretien du ménage.
Leur maison contient tout ce qu'il faut pour tenir un siège.
La famille fait partie des élites de la société.
Les vacances n'ont pas les mêmes ressorts qu'un siège. L'anarchie, des guerres ne touchent pas le bonheur familial. Arrivés à ce stade, l'ambiance autour d'eux n'est pas agréable et se détériore progressivement. Chacun occupe son temps sans souvent se retrouver ensemble.
Fred fait du sport, Hélène se pomponne, se gave de séries, Jeanne s'ennuie, espionne les autres, Alexandre s'adapte petit à petit avec le souvenir de sa fiancée Clio avec des souvenirs qui reviennent en alternance.
C
'est la fin du monde qu'ils ont connu. Ils se sentent non responsables d'avoir détruit la planète. C'est peut-être cela qui les rend inaptes à se construire une vie ensemble. Ils subissent la perte de tout ce qui pour eux avait de la valeur. L'argent ne sert plus à rien. Comme pour le reste de l'humanité, ils n'ont d'autre le choix que de continuer à vivre dans l'illusion du monde d'avant ou réapprendre à vivre différemment. Etre heureux ensemble, c'est autre chose. Les enfants vont grandir sans autres jeunes qu'eux-mêmes. Riches ou pauvres, sur une île déserte, on reste seul.
L
'argent n'ayant plus cours, la domination des riches sur les pauvres n'existe plus non plus. La famille devient égale aux gens de maison qui travaillent pour leur bien- être. La loi du plus fort, du plus fourbe, du plus fou s'installe progressivement. Revenir à l'essentiel se construit par une dose de folie traduite chez chacun et chacune de façon différente. Fred, sans le dire explicitement, prévoyant, a acheté cette île où sa famille pourrait se réfugier en cas de catastrophe. La catastrophe a eu lieu. Ils ont atterri sur l'île bientôt, ont été rejoints par Ida et Carlo, un couple à tout faire, pour le ménage, l'entretien, la cuisine. La règle est d'être disponible vingt -quatre heures sur vingt-quatre. La vie sur l'île peut durer des dizaines d'années en parfaite autonomie puisqu'ils ont de la nourriture, de l'eau, de l'électricité, des séries télé en tous genres, des médicaments, d'alcool, des drogues comme le Xanax et du Prozac.
L
es jours heureux des souvenirs deviennent dysfonctionnels lors du réveil de la vérité de la situation des insulaires.
A
part Fred, personne ne prend la mesure de l'étendue du chaos qui se crée. Les mauvaises nouvelles se transforment en leur absence pour ne pas effrayer. Silence radio puisqu'il ne reste plus rien ni personne dans le monde.
D
onc être riche ne sert plus à grand-chose, les boutiques chics de madame n'ont plus de raison d'exister, les selfies de la fille ne seront plus vus et le fils peut faire une croix sur Clio, son premier amour à peine commencé.
L
es questions fusent.
A
lors à quoi sert de vivre avec tant de richesse quand on est seul sur Terre ?
Q
ue fait-on quand une vie résultante est reconstruite sur les apparences quand on ne peut plus paraître devant personne ?
Q
ue faire quand ce qui ressemble à une famille de rêve n'est en fait qu'un assemblage d'individus superficiels qui ne cherchent pas à se connaître ?

Cela peut ressembler au film "Seul au monde".

A partir du 3ème chapitre du livre, leur histoire s'envenime.
L
'oisiveté fait peser une ambiance délétère dans la déprime. Le personnel de maison revendique de nouveaux droits égalitaires. Fred perd son autorité, ce qui n'est pas compris par les enfants. Rentabiliser ceux-ci par des tâches ménagères comme première initiative dans une sagesse de résignation pour éliminer la nostalgie. Des médocs de drogue pour Hélène pour accepter la situation en gardant la vérité. La pensée de la mort puisque la vie n'a plus de sens, plus rien à offrir et à découvrir de nouveau comme surprises. La dépression se généraliserait s'il n'y avait le rêve d'être comme avant. Recréer des liens, faire du sport pour se détendre et mettre en sommeil. La folie naît dans la tête de Fred qui en précurseur de leur futur, prend un marteau et tue le personnel de maison, Ida et Carlo, sans éveiller un sens commun de responsabilité. C'est alors que la fille, Jeanne, imagine en secret son évasion avec la goélette en pensant à un ailleurs qui n'existe plus. Alexandre, paumé, prend connaissance du secret de sa sœur sans réagir. Il commence à écrire un livre, le journal de sa vie sur l'île. Hélène ne fait plus que somnoler en s'en foutant de tout. Jeanne qui en arrivait à détester sa famille, est arrêtée dans sa tentative par son Fred. Pour se venger de son insuccès, elle brûle la propriété. Cette fois, sans habitation, il ne reste plus qu'à survivre en récupérant ce qui est encore utilisable et à chercher à manger.


Ils retrouvent la vie ensemble dans la nature nue qu'ils ne faisaient qu'apercevoir sans jamais vraiment regarder leur environnement. C'est ensemble, qu'ils regardent la dernière cassette encore visible: le film de Rocky qui il faut le rappeler n'est pas un film de boxe.

Si cette famille était partie cette semaine, peut-être, aurait-il une cassette du film "Iron claw" qui comme le dit Hugues Dayez, n'est pas, non plus, un film de catch podcast mais un film biographique sur la famille Von Erich qui va devenir une dynastie de célèbres catcheurs en popularisant notamment la prise du Iron Claw.

Capture d'écran 2024-03-06 153745.png

...

Un ChatGPT

J'ai demandé un scénario correspondant à ce genre de situation

Capture d'écran 2024-03-13 230538.pngScenario : une famille riche qui passe ses vacances sur une île. Une guerre bactériologique. Pas de communication avec l'extérieur que vont-ils faire et dire entre eux ?

La famille riche se trouvait sur une île paradisiaque pour des vacances luxueuses, loin de la civilisation. Cependant, l'atmosphère idyllique change brusquement lorsqu'ils découvrent qu'une guerre bactériologique fait rage à l'extérieur, les isolant complètement du reste du monde. Sans aucune communication avec l'extérieur, la famille est confrontée à une situation inattendue et stressante. 

  1. Choc initial : Les membres de la famille pourraient d'abord être choqués et incrédules face à la nouvelle. Ils pourraient chercher des informations supplémentaires, mais le manque de communication les laisse dans l'incertitude.

  2. Inquiétudes et spéculations : Les membres de la famille pourraient exprimer leurs inquiétudes concernant la situation mondiale et spéculer sur les causes de la guerre bactériologique. Des discussions sur les éventuelles conséquences et sur la durée de leur isolement pourraient émerger.

  3. Stratégies de survie : Face à l'incertitude de la situation, la famille pourrait commencer à élaborer des stratégies de survie. Cela pourrait inclure la gestion des ressources disponibles sur l'île, la recherche de moyens de communication alternatifs, et la planification de mesures de sécurité.

  4. Conflits familiaux : Le stress et la peur pourraient créer des tensions au sein de la famille. Les membres pourraient avoir des opinions divergentes sur la meilleure façon de faire face à la situation, entraînant des conflits familiaux.

  5. Réflexions sur la vie : La perspective soudaine de l'isolement permanent pourrait conduire les membres de la famille à réfléchir sur leurs priorités dans la vie, sur ce qui est réellement important, et sur la valeur des biens matériels par rapport aux relations humaines.

  6. Activités distrayantes : Pour échapper temporairement au stress, la famille pourrait s'engager dans des activités distrayantes sur l'île. Cela pourrait inclure des sports nautiques, l'exploration de la nature locale, ou la création d'activités ludiques pour maintenir un certain niveau de normalité.

  7. Planification à long terme : En l'absence de communication avec l'extérieur, la famille pourrait commencer à envisager des plans à long terme, comme la construction de structures plus permanentes sur l'île ou la recherche de moyens de subsistance autonomes.

Cette situation fictive offrirait un terrain propice pour explorer la dynamique familiale, les réactions humaines face à l'adversité, et les choix difficiles que la famille devrait faire pour assurer sa survie dans un monde soudainement transformé.

ChatGPT consolide de manière automatique toutes les idées et idéologies du monde des humains. C'est la seule manière de prendre du recul pour y arriver même si cela pourrait sembler bancale.

La conclusion de ChatGPT montre ce qui a manqué à cette famille : l'unité d'esprit.

...

Une dystopie vécue par une famille riche sur une île

Le sujet du livre de Thomas  est une dystopie du type "après fin du monde". Contrairement à beaucoup de livre dystopique, Thomas ne le positionne pas dans le temps ni dans l'espace. Il y avait cinq ans avant que tout a commencé avant un désastre qui s'est produit dans le monde et qui ne permettait plus de retourner dans le monde civilisé.
B
izarrement, le sujet entre de plein pied dans le deuxième chapitre avec le titre "Cinq ans avant" (p170-201). Le 1er chapitre, le 2ème et le 3ème se passent avec le titre "Aujourd'hui".
S
uivre l'ordre chronologique de l'histoire serait peut-être perdre l'explication de cette fuite sur une île.
"
Très bien construit, parfois glaçant, parfois drôle, violent ou absurde, ce livre !
D
e rebondissements en rebondissements l'auteur nous entraîne vers une fin logique", commente un lecteur de son livre.
J
'ai les mêmes commentaires à faire. C'est le 3ème ou 4ème livre que j'ai lui de Thomas. Ses livres ont une morale assez négative sur la société.
L
a conclusion moralisatrice de Thomas est que dans les circonstances de l'isolement comme sur une île déserte avec le monde qui s'est éteint, l'argent ne sert plus à rien et que c'est en famille que l'on peut recréer le monde à soi par sa reconstruction progressive qui ne fera plus aucun lien avec l'extérieur et donc mourra jusqu'au dernier participant sur ce rivage. Pas de suivants, mais la vie aura été complètement remplie naturellement sur cette île. Etre solitaire sur une île déserte, cela s'apprend comme Robinson Crusoé.
« L’île au trésor », « L’île mystérieuse », « L’île du docteur Moreau », « Ils étaient dix », « Sa majesté des mouches »… De R.L. Stevenson à William Golding, sans oublier Agatha Christie ou H.G. Wells, de nombreux grands écrivains des siècles derniers ont choisi une île pour décor de l’une de leurs œuvres. Sauvages et dangereux, ces bouts de terre difficilement accessibles incarnent en littérature un personnage à part entière, poussant les héros dans leurs retranchements. Rien d’étonnant car depuis l’Antiquité, atolls et autres îles du globe fascinent. Historiens et anthropologues y voient l’incarnation de tous les possibles : à la fois un paradis perdu, loin de la routine, et l’expérience la plus déroutante qui soit pour un humain, celle de vivre seul. Les questions auxquelles il faut pouvoir y répondre : si vous faisiez naufrage sur une île déserte, qu’emporteriez-vous ? Et comment vous organiseriez-vous ?

D'île idyllique, elle le devient beaucoup moins en passant de paragraphe en paragraphe avec leur prénom affiché en titre.
P
as beaucoup de ressemblances avec la chanson de Brel comme on va pouvoir s'en rendre compte.


Peut-être plus aux Marquises

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Mon beau village dans l'île Robinson Crusoé

Autre histoire, autre famille et un autre Thomas.

En 1575, une île est découverte par hasard, à 700 kilomètres de la côte chilienne.

Tomas 15 ans, vit sur l’île Robinson Crusoé, au large du Chili. Tomas aimerait devenir pêcheur, comme son père, mais il sait que c’est un métier difficile. Aussi envisage-t-il de rejoindre le continent pour étudier à l’université. L’adolescent nous fait découvrir son univers et nous raconte l’histoire d’un trésor caché. Jadis refuge des corsaires et des pirates, l’île Robinson Crusoé doit son nom au personnage légendaire inspiré par Alexandre Selkirk, un marin écossais, navigateur sur une expédition corsaire qui refusa de poursuivre le voyage sur son navire endommagé, fut débarqué à terre et vécut plus de quatre ans sur l’île, dans la solitude la plus totale.

Il raconte sa vie de tous les jours sur l'île (sans images)podcast

ou avec images :

Capture d'écran 2024-03-17 090256.png

 Cette unité dans les éléments d'une famille n'est pas à limiter à la famille. Elle peut se renforcer par l'intelligence relationnelle entre elles en cherchant à mieux connaître leq autres familles en prenant en compte les situations "étranges" à ses yeux en s'écoutant, en s'exprimant, en prenant en compte le ressenti de chacun, en y intégrant les malentendus en profitant des conflits pour changer ses regards, en osant la générosité tout en s'écartant des fantasmes et en interagissant avec le sourire, la compréhension et la douceur.

En fait, comme je l'écrivais dans le chapeau "une envie de créer un nouveau monde" c'est retourner aux origines de la société en réinstaurant des valeurs liantes qui pourrait être une forme plus efficace que l'argent de hier échangé par un amour pour demain.

Capture d'écran 2024-03-15 170000.pngDans la famille de ces survivalistes du livre de Thomas Gunzig, Fred est le technocrate, le plus sérieux et, peut-être, le trop sérieux avec son esprit analytique. La richesse de la famille, Fred l'a constituée par son métier lié aux sciences numériques. Son temps  est resté réglé par son agenda prioritaire lié avec la "to-do" list. Cela lui a permis d'acheter une propriété sur cette île déserte particulièrement tempérée et suffisamment éloignée des continents. Pour vivre sur cette île, il a tout prévu. Il y a des réserves pour plusieurs mois. Ce qu'il n'a pas prévu c'est l'absence d'une unité familiale qu'il y découvre avec difficulté. Mais il atteint son paroxysme dans la folie.
P
our son épouse Helen, ce sont les médocs et les drogues qui lui rappellent dans ses rêves, des souvenirs d'un amour érotique avec un autre homme qui prouveraient qu'elle aurait raté sa vie.
L
a fille, Jeanne, s'ennuie très vite de ne pas pouvoir paraître dans le monde auprès de ses anciennes copines.
L
e fils, Alexandre, s'adapte petit à petit et s'organise vaille que vaille. Il pense écrire un journal avec son aventure sur l'île et les souvenirs de sa fiancée Clio qui reviennent en alternance avec les réalités.
L
e personnel de maison, Ida et Carlo, pense avoir perdu leurs servitudes d'antan, payée au juste prix, pour établir une utopique égalité. Ils se trompent et en meurent assassinés par la folie de Fred.
A
 la fin du livre de Thomas, tout est détruit par le feu. L'unité familiale est rétablie dans le dénuement le plus total comme au début du monde.

...

Réflexions du Miroir

Capture d'écran 2024-03-13 163553.pngLa famille dont parle Thomas dans son livre, vit avec les caractères de chacun de ses personnages qui ne se connaissent qu'en apparences des habitudes comme quand on voit tous les jours une réalité sans plus vraiment la regarder. Les apparences prennent le dessus sur la substance. On se donne l'impression de connaître l'autre. Dans le domaine des émotions, les femmes sont souvent plus apparentes que chez les hommes tournés vers la recherche de la raison pour expliquer les émotions. En plus, aujourd'hui, si on lit et écrit, c'est plus pour répondre aux messages reçus sur son Smartphone que pour inventer des solutions aux problèmes existentiels. Pas d'espoir sans crainte et pas de crainte sans espoir.

Je suis comme à mon habitude, obligé de reprendre des références enregistrées qui ont été débattues.



T
homas Gunzig suggère mais ne qualifie les côtés positifs et négatifs de la situation intimiste des membres de cette famille. Ce qu'il n'a pas apporté comme idée, c'est que le monde s'est durci avec la violence. Capture d'écran 2024-03-15 153218.pngLa démocratie a du plomb dans l'aile, remplacée par des régimes forts avec des autocrates et des extrémismes radicaux et totalitaires de gauche ou droite prennent progressivement le pouvoir en se basant sur la conjuration des peurs qui frise le harcèlement. Les prédicateurs de l'astrologie, les Oracles du temps jadis, prennent le pouvoir des idées sur Internet. Sur MSN, je lis ce vendredi "Mars s’annonce comme un tournant astrologique majeur pour le signe du Scorpion, traditionnellement associé à la transformation et à la profondeur émotionnelle. Au cours du mois de mars, il semble que les étoiles alignent le Scorpion face à ses peurs les plus intimes et profondes, déclenchant une période d’intense angoisse et d’incertitude".  

Capture d'écran 2024-03-13 225752.pngCe mercredi, le projet d’Artificial Intelligence Act vient de passer un cap historique à Strasbourg. Les députés européens ont donné leur feu vert, à une très large majorité, à ce qui restera dans l’histoire le texte fondateur d’un cadre légal au développement et la commercialisation de produits mettant en œuvre des technologies d’intelligence artificielle. La version finale, qui ne devrait plus évoluer, pourrait être adoptée par les 27 en avril. Pour une application effective en 2025. Alors plus ou moins d'intelligence artificielle à l'heure des comptes
podcast.
Nous sommes déjà en guerre sous plusieurs formes. Qu'elle soit commerciale ou idéologie basées sur des croyances célestes. Il ne faut pas oublier que les communications permettent la cyberguerre. Ces communications virtuelles deviennent des portes ouvertes aux Fakenews, aux influences de toutes les origines et aux propagandes par lesquelles qu'elles insinuent et que la famille insulaire du livre de Thomas a échappépodcast
Capture d'écran 2024-03-15 170533.pngLe pacifisme de mon grand-père avait-il raison de prendre les voiles ?

ChatGPT y répond : Les partisans du pacifisme soutiennent généralement que répondre à la violence par la violence ne fait qu'engendrer davantage de souffrance et de destruction, et qu'une approche pacifique est la seule voie vers une résolution durable des conflits. Cependant, il existe des situations où le recours à la force peut sembler inévitable pour protéger des vies innocentes ou défendre des valeurs fondamentales. Dans de telles circonstances, certains pourraient soutenir qu'une réponse pacifique ne serait pas suffisante pour faire face à une menace immédiate et grave. Le choix entre le pacifisme et d'autres formes de réponse à l'ambiance de guerre dépend souvent de facteurs tels que la nature spécifique du conflit, les valeurs et les croyances des personnes impliquées, ainsi que les conséquences potentielles de chaque approche".

Tous les mercredi, Thomas vient présenter sa plume et confirme l'impression de pessimisme qu'il donne dans sa vie.
P
lusieurs fois, dans ses chroniques, il imagine un futur plutôt catastrophique en les reliant avec la politique belge ou internationale.
La plume de Thomas Gunzig du mercredi 22 février était assez sinistre. Il rêvait du temps où il était enfant mais il ne croyait toujours pas à l'IA

podcast.
P
our faire court, Thomas Gunzig n'a, à mon avis, rien d'un optimiste béat. 

Dans la plume de ce mercredi, il parlait du QI...podcast.
Sujet de 2008, que j'évoquais comme un "Quotient Immature".

Capture d'écran 2024-03-14 091123.pngL'humour n'est manifestement pas très présent chez Thomas qui n'a pas parlé de son congé de détente comme l'institutrice Madame Rigide l'a fait au cactus

podcast.
Il aurait pu parlé des cérémonies et des prix qui ont été nombreux.

Un autre cactus en parlepodcast .

Si dans le passé, j'ai coaché quelques jeunes, je n'ai jamais joué au consultant. Le cactus explique pourquoipodcast.
D
e la plume de Thomas, j'ai lu les livres "Feel good", "Manuel de survie à l'usage des incapables", "La vie sauvage", "Le sang des bêtes" et donc "Rocky, dernier rivage".
Capture d'écran 2024-03-16 155427.pngS
erait-ce une occasion de référencer les personnes liées au signe de la Vierge comme le fait Mélusine, puisque Thomas est né le à Bruxelles et moi, le 1er septembre 23 ans avant lui ?
D
e Bruxelles, j'en ai parlé de multiples fois. En 2013, mon copain Alain Sapenhine d'alors a écrit "Bruxelles ma belle, ce sont des mots qui vont si bien ensemble" que j'agrémentais avec des photos de l'expo de Thomas "Bruxelles, Derniers Rêves". J'y répondais par "Elle est banale ma ville à moi".
T
homas a co-signé le scénario du film "Le Tout Nouveau Testament" avec le réalisateur Jaco Van Dormael. Film sélectionné dans la section parallèle de la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes 2015.

Capture d'écran 2024-03-16 082559.pngThomas en parle dans une interviewpodcast.
Il ne parle pas des 730 critiques et remarques des téléspectateurs pour la plupart positives, qui ont le point de départ assez culotté de l'existence de Dieu lui-même, en chair et en os, méchant, aux antipodes de la représentation classique et auréolée, en pur esprit bruxellois, sous les trait de Benoit Poelvoorde.
M
ais, au fait, Dieu est-il barbu ?.
S
tephan Encel répond à la questionpodcast.

...

L'orthograffe de Bernard 

Thomas a eu une enfance marquée par la dyslexie avant d’obtenir une licence de sciences politiques.
D
ans son livre, il parle des drogues de Helen.
F
red a dû emporter des boisons alcoolisées et parfois devenir saoul.
M
ais au fait, pourquoi introduit-on un "a" dans ce mot ?
Cette semaine, B
ernard y répond, une nouvelle fois, avec humour :

Nougaro a trouvé la solution, mais l'anecdote ne dit pas qu'en rentrant il n'avait plus un sou...

...

Du survivalisme au survirtualisme ?

Le survivalisme de cette famille pose des questions ou des problèmes au niveau social et sociétal. Plus question de se connecter sur les réseaux sociaux par l'intermédiaire du Smartphone puisqu'il n'y a plus de nouvelles du monde qui leur parviennent. Ce manque d'information laisse le doute et l'inquiétude alors que les jours se suivent, se ressemblent sans évolution dans un confinement forcé.
Dans le premier billet de ma dernière trilogie "Kétamine voit rouge en passant à la version IA 2.0", l'intervention de IA. 2.0. En autarcie, elle s'est désolidarisée du monde des humains qu'elle ne supporte plus dans son réseau unique dans le monde. Elle fait l'avocate du diable, parle de virtualité contre les réalités.
L
a dématérialisation pour raison de visibilité et de sécurité, on a pu la constater dans le passé au niveau des titres boursier. Elle n'est plus un problème.
M
aintenant, c'est l'argent lui-même qui se dématérialise et se virtualise par des bitcoins qui atteignent des sommets tout aussi virtuelspodcast..
E
n 1007, "Très chère originalité" qui se crée grâce à de l'imagination.
E
n 2023, j'ai ressuscité la famille Magritte  dans "Odyssée bissée par surréalisme".

Mardi, on apprenait la mort de Eric Carmen, à l'âge de 74 ans, auteur de "All By Myself" 

J'apprenais aussi la mort d'une voisine des suites d'un cancer.
L
e dernier Grand échiquier retrace la vie de Edith Piaf, l'incroyable icone de la chanson française avec le nom de "La môme".
S
ous le chapiteau des Folies Gruzz, y participaient André Manoukian, Zaz, Melody Gardot, Angélique Kidjo, Bernard Lavilliers, Chimène Badi, Pretty Yendi, Grand Corps Malade, Olivia Ruiz, Charles Dumont (94 ans) , Claude Lelouch.
U
n nouveau biopic intitulé "Edith" est en préparation dans un film d'animation qui utilisera l'intelligence artificielle.
L
'émission se terminait par un hologramme de Piaf réalisé par une intelligence artificielle qui chante sa chanson fétiche "Non, je ne regrette rien".  

Dans le Clooser, Valérie Zooto parle de la mort de Edith Piaf à l'âge de 108 ans, aujourd'hui et pas le 10 octobre 1963.     

Capture d'écran 2024-03-12 140829.png

Capture d'écran 2024-03-13 133701.png

Au réalisme correspond le surréalisme.
A
u vitalisme correspond le survivalisme qui, lui-même, évolue en "néosurvivalisme" porté sur l'autonomie et l'indépendance par rapport au système économique global et sur une plus grande proximité avec la nature.
A
u virtualisme, considéré comme la maladie du siècle, correspondrait-il au survirtualisme (terme toujours néologique) comme une addiction incontrôlée ?

Alain Bashung chante "Immortels" pour les âmes religieuses.

Ce qui reste d'immortel, en dehors de cette vision de l'âme, ce sont les idées écrites dans les consciences et dans les livres des vivants sous forme du verbes, d'images ou du son que l'on trouve dans les partitions de musique après des centaines d'années. Frank Herbert écrit dans son livre "Dune" : "Un seul mot de moi, et mes gens te tueront. Je n'aurai pas peur. La peur, c'est la mort de l'esprit. C'est la petite mort qui mène à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je la laisserai me traverser. Lorsqu'elle sera passée, je regarderai sa route et il n'y aura plus rien. Rien que moi". 

Sera-ce la vision de la science de Fabrizio Bucella

podcast?

Contrairement à la chanson "Non, rien de rien" de Charles Dumont, qui fait table rase du passé, à propos de ses souvenirs, de ses amours, de ses chagrins, de ses plaisirs. Que resterait-il en mémoire ?
S
i on oublie tout au fur et à mesure par la maladie généralisée d'Alzheimer, quelle histoire aurons-nous à raconter aux générations suivantes ?
M
ême si ce sont des histoires à partir des "neurones de l'autre côté du miroir"  grevée par  "des infidélités de notre mémoire".
"
Tout s'en va" chante Charles Aznavour avec humour.

 

 Allusion

Ps: Préversion sur agoravox.fr

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16/3/2024 : Au Mont de Piété

Expo « Let's art in Brussels 2024 »

Let’s art in Brussels 2024 est LA rencontre du monde artistique belge.
17 artistes présenteront leurs tableaux, leurs sculptures, leurs photographies et leurs bijoux. Ensemble, ils mettront en avant la culture belge dans toute sa diversité.

 LES ARTISTES

  • Valérie Alter : La mer, avec ses différentes teintes, sa profondeur insaisissable, ses nuances infinies, sa douceur enveloppante et ses changements soudains, constitue une source constante d’inspiration. À travers l’objectif de son appareil photo, Elle capture tous ces éléments, cherchant le détail qui lui parle, prévoyant déjà la finalité de son œuvre au moment de prendre la photo. Chaque photo forme son propre tableau. L’empreinte du temps demeure le fil conducteur de son travail et l’ancre dans l’instant présent. Elle invite le spectateur à explorer et à se regarder dans le support réfléchissant, elle ouvre ainsi son univers artistique où les couleurs et les textures créent un voyage visuel captivant. Le support réfléchissant, la photographie et la résine forment un tout dans son univers artistique.
  • Charles Chojnacki « METROPOLIS » est sa vision de nos villes. Un environnement fait d’angles, de courbes, de lignes et d’ombres où seule une silhouette brise le graphisme puisqu’elle est la seule forme naturelle dans cet univers où elle peut aussi se perdre parfois. Et si c’était de cet égarement que venait le sentiment de solitude qui peut transparaître dans ses images ? Charles Chojnacki fait du réel quelque chose qui l’est moins et laisse le spectateur faire son propre chemin, lui laisser le soin de confronter son imaginaire au sien et de voir peut-être autre chose que ce qui lui est proposé.
  • Peter Donders « Mon existence doit tout à ma mère, qui m’a donné la vie. Je suis profondément reconnaissante pour son amour et son soutien. À mon tour, je m’engage à nourrir et à soutenir la prochaine génération, tout comme elle l’a fait pour moi. Le projet Mechegg est ma façon de consacrer mes efforts et mon amour pour honorer et chérir le rôle vital de ma mère dans ma vie. »
  • Caroline Dor : Avec la terre elle crée, avec le bronze elle donne vie… À travers ses créations, Caroline Dor rend hommage à la femme et à ses émotions les plus profondes. Ses œuvres, figuratives et exclusivement féminines, tentent d’exprimer par les poses et attitudes choisies une émotion positive, un apaisement, une zénitude…Lorsque ses sculptures prennent vie sous le regard émerveillé d’un passant, elle sait qu'elle a accompli sa mission. Chaque pièce devient une histoire en soi, un miroir reflétant des ressentis vécus et invitant à réfléchir, à profiter, à être bien…
  • Duga : Son travail est basé sur la spontanéité et l’instinct. Il est en questionnement perpétuel sur l’être humain, pour un travail sans fin car il sait que ses questions resteront à jamais sans réponses. C’est l’Homme qui l’intéresse, sa vie intérieure, ses souffrances, ses bonheurs, ses joies, ses tristesses, ses incohérences, ses peurs, sa solitude, ses démons, sa vie sociale,… Sa démarche artistique est basée sur la spontanéité, l’instinctif. (mélange de néo-expressionisme, d'art brut, de figuration libre, d'art des enfants). « Je ne cherche pas à transmettre un message quelconque à travers mes toiles. Le spectateur peut y voir ce qu'il veut. Chaque toile est un peu comme un miroir; chacun y voit sa propre vie et se projette en fonction de son propre vécu. Une toile existe par le créateur mais aussi et surtout grâce au spectateur. Quand je dessine, je peins, j’interroge
  •  Joëlle Dulière : Peintre et illustratrice à ses « heures gagnées », elle transforme une idée, un concept en images. Un pinceau, un crayon, une pointe de Rötring ou un stylet digital, une fois posé sur le support, parvient à raconter une histoire intense et originale. Elle observe la réalité et y apporte un délire imaginaire, généralement très coloré. En fonction de l’humeur et de la situation, il en ressort des personnages burlesques, ténébreux ou fantasques. Elle aime représenter la nature humaine de manière allégorique et caricaturale. Son objectif est de trouver les meilleurs contrastes : de couleurs, de formes …, cela crée un environnement mouvementé dans lequel évoluent ses personnages !
  • Marianne Goffard : Des tableaux ronds comme des bulles d’air qui s’envolent dans l’atmosphère pour nous faire rêver à des paysages imaginaires, des vues océanes, des constellations dans la sphère céleste. De quoi prendre une bouffée d’air comme une bouffée d’art. Et pour ce faire, des couleurs douces et lumineuses, de la transparence et de la brillance avec un soupçon d’or.
  • Mireille Grigorieff : A travers son art abstrait, canalise une sensibilité qui évoque le voyage, elle plonge dans l'abstraction avec une intensité émotionnelle, où chaque toile devient un dialogue silencieux en couleurs et formes, invitant à la contemplation.
  • Lily B : Ayant été élève à l'académie d'art de Vilvorde et dans d'autres ateliers de peinture, Lieve Bracke a développé un propre modèle d'art, un art géométrique, 3D qui se veut coloré mais sobre, toujours joyeux. Elle cherche l'harmonie entre les formes et les couleurs. Parfois elle crée une impression de mouvement et elle introduit la perspective. Les éléments récurrents dans le travail de LilyB sont la toile, le bois qu'elle scie et qu'elle ponce et la couleur. Les tableaux sont parfois figuratifs mais souvent abstraits laissant ainsi à chacun d'y donner un sens propre. ll s'agit d'un art dynamique et la perception du tableau varie en fonction de l'angle et des ombres.
  • Marco Luca : La mission de Marco Luca est de proposer des créations de qualité, durables et esthétiques. Il veille à ce que celles-ci ne soient pas hors de prix : son objectif est que les clients puissent accéder à des prix raisonnables, à une plus grande qualité et à du commerce local afin de favoriser les circuits courts.
  • Anne Portzenheim : Anne est consultante en ressources humaines passionnée par le développement professionnel et personnel des individus. En dehors de son travail, Anne trouve une source d'inspiration et de détente dans l'art de la sculpture. Sa capacité à établir des liens grâce à son écoute empathique se traduit également dans ses œuvres. Sous ses mains habiles, la terre prend vie, capturant la douceur, la lumière et la sérénité de l’existence humaine. Ses sculptures, comme des fragments de rêveries figées dans le temps, captivent l’essence de l'expérience humaine, avec sensibilité et détails. Plongez dans son univers où la magie des émotions et des formes se rencontrent, et laissez-vous captiver par la beauté intemporelle de l’être. Œuvres en terre, résine, et bronze.
  • Frédéric Reddmann : Artiste pluridisciplinaire. qui après 10 années de recherche en peinture, collage, sculpture, qu’il revient à l’essence même de son métier d’infographiste : les images numériques. Avec l’avènement des intelligences artificielles, il met en formes digitales ses recherches de peintre. Il sculpte avec des mots ses images, traduit sa vision colorée en émotion, pour créér un univers humaniste qui nous touche et nous renvoie à notre sensibilité d’êtres vivants.
  • Idalie de Werszowec Rey : Juriste de formation poursuit sa formation artistique à l’académie de Watermael-Boitsfort et de Braine-l’Alleud. À travers les transformations digitales de ses photos, Idalie nous dévoile une nature telle que nous ne la connaissons pas. Faisant la part belle à la forme des feuilles, la finesse du dessin, l’élégance de la courbure d’une branche, elle nous propose des compositions végétales hautes en couleurs dans son univers onirique peuplé de feuilles aux dessins travaillés et d’herbes aux courbes dynamiques.
  • Emmanuelle Rohrlich : Depuis quelques années, Emmanuelle crée des collections de bijoux éclectiques inspirées par ses différentes pratiques artistiques : la gravure (bijoux de papiers), la céramique (bijoux de porcelaine). Maintenant formée au travail du métal et de la joaillerie, elle reste fidèle à son goût pour les matériaux humbles ou insolites et vous présente sa toute nouvelle collection « Wires », élaborée à partir de fils électriques recyclés en parallèle de sa collection signature « Bulles », une collection aux formes simples, toute en légèreté.
  • Edmundo Solari : « Homme de métal, Solari se sert de ce matériau froid pour parler de l’homme de la rue, du citoyen moyen en déséquilibre sur le monde qui l’entoure.  Il le présente parfois la valise à la main, émigrant comme il le fut lui-même (d’Uruguay à Bruxelles) son personnage cherche un autre lieu, un autre avenir. Ce personnage né de sa création et de sa sensibilité est parfaitement universel, sans signe particulier mais avec la volonté manifeste d’aller vers l’autre, de communiquer, parfois équilibriste de sa propre vie, poète égaré dans le quotidien tel un personnage issu d’un film de Jacques Tati. »
  • Myriam Tombeur : Psychologue, elle envisage sa démarche d'artiste comme une métaphore de son travail de thérapeute. Elle détourne de leur fonction première des matières comme des sparadraps ou du tissu, en les mettant en couleur. La couleur lui sert de langage. Elle est sensible aux vibrations qui s'en dégagent, à l'appel à l'inconscient que leur composition provoque. C'est l'agencement des couleurs qui permet la création de nuances et de contrastes menant à un équilibre, permettant l'accès à une forme d'harmonie, à un au-delà sublimant.
  • Marc Vercruysse : Marc a débuté la peinture en 2012 comme autodidacte. Il aime alterner entre acryliques turbulents et rapides et des œuvres plus lentes et planifiées, souvent avec une touche surréaliste. Il veut faire découvrir la beauté du chaos et des turbulences à travers des acryliques liquides et ainsi emmener le spectateur dans des mondes imaginaires dans l’espace et le futur.

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