La chasse à l'IA (12/02/2025)
Fin mars 2023, j'écrivais "L’ère de l’IA a commencé" d'après Bill Gates.
L'article suivant , comme poisson d'avril du 1er avril, j'écrivais "L'Intelligence Naturelle revient".
Dimanche, à la veille du Sommet de Paris sur les technologies de l'IA qui doit réunir dirigeants politiques et chefs d'entreprise, Macron a annoncé, après avoir déjà tracé auprès de la presse régionale, les grandes lignes de sa stratégie dans le domaine de l'IA. Depuis deux ans, on parlait de ChatGPT et on testait le robot conversationnel de l'entreprise américaine OpenAI, capable de répondre à toutes sortes de questions posées par les utilisateurs. Récemment, il se retrouve confronté à DeepSeek chinois. La réponse française Mistral AI, promeut le « chat » dirigé par Arthur Mensch, un des innovateurs les plus prometteurs selon le prestigieux « Time ». Macron annonce 109 milliards d'euros d'investissements.
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Préambule
Le fait du jour de lundi, l'ouverture de Sommet international de l'IA à Paris .
L'Europe est-elle dans la course ou à la traine vers un meilleur des mondes ?
Tout dépend donc du pont de vue et comment on regarde l'Europe.
Dans le monde, l'investissement en IA devrait s'élever à $1500 milliards.
Ce sont les grandes entreprises qui mènent la danse de l'IA avec 66%, mais ce sont aussi les PME et les startups privées qui augmentent en flèche leur participation. C'at au niveau public que les investissements en R&D stagnent.
Macron a raison, si l'Europe ne se réveille pour lancer Make Europa Great Again et rattraper le retard dans l'IA, l'Europe aura cessé très bientôt d'exister dans le concert des grandes nations.
Pas à dire, l'IA fait parler d'elle. Je dirais même qu'on s'excite très fort dans ce secteur en espérant que cela ne soit pas des gesticulations de promesses.
Les artistes y trouvent une aubaine ou une menace existentielle ?.
On se souvient de la transformation d'une image de départ qui part d'un homme et arrive à une femme, d'un jeune disparu que l'on essaye de retrouver après 10 ou 20 ans vieilli par morphing qui permet de transformer une forme ou un objet au cours d'une transition fluide au moyen d'un fondu enchaîné qui a été remplacée au début des années 1990 par des techniques informatiques de triangulation de Delaunay, de spline permettant d'obtenir une transformation plus réaliste. On ne parlait pas encore (à moins que je me trompe) de l'IA conçue aujourd'hui.
La question est qui dira et fera mieux que l'autre.
Je ne connaissais pas Qwen2.5 Max de Alibaba...
En parallèle, l'IA fait trembler ceux qui en sont encore loin de ces concepts de base dans la virtualité de l'IA.
N'est pas "Samouraï virtuel" qui peut ou qui veut se retrouver dans "une Amérique très proche du moment présent où les sectes religieuses et les mafias prolifèrent sur fond de désorganisation de l'État fédéral américain, ce qui entraîne des flots de réfugiés dans la glossolalie apocalyptique en s'attaquant au « système opératoire » du cerveau des programmeurs par affichage sur écran de symboles indéchiffrables comme peut l'être un ordinateur qui exécute le programme automatiquement sans rien comprendre.".
Dans le livre "Les Deux clans" de David Goodhart, il est écrit "La mondialisation a créé une fracture entre deux clans : les Anywhere (ceux de Partout) et les Somewhere (ceux de Quelque-Part). Il y a les diplômés de l'enseignement supérieur et les autres. Ceux qui ont des revenus confortables, et les autres. Ceux qui ont un réseau, et ceux qui ont juste une famille".
L'arrivée de Donald Trump à la présidence des Etats Unis brouille les cartes.
On apprend que "La génération Z née entre 1996 et 2010, en manque d'expérience pratique sont mis en disponibilité. Qualifiée de démotivée par 60% des employeurs ont des problèmes liés à leurs compétences en communication avec 46% à leur apparence « non professionnelle ».
En accordant plus de valeur à la vie privée et à la famille, sans une certaine passion, le contact entre les employeurs et les employés ne s'accordent plus. Les enseignants d’université font aussi état d’un manque d’éthique de travail et de sens des responsabilités. En proposant des horaires de travail flexibles et des possibilités de travail à domicile en faisant preuve d’initiative, en posant de bonnes questions, en demandant un feedback et en adoptant une attitude positive permettrait de se construire une bonne réputation.
Pourquoi ? La déprime, la santé mentale et les infos trafiquées sur les réseaux sociaux qui transitent via le Smartphone pendant plusieurs heures par jour.
J'ai parlé de ma passion de l'informatique dans un autre versant du temps quand il fallait encore tout créer dans les années 1970 avec cette phrase "A l'époque héroïque de l'information tiquée des TIC, pour acquérir une certaine renommé, j'avais compris qu'il ne fallait surtout pas répondre rigoureusement et à la lettre un contrat d'emploi, mais qu'il fallait au contraire, avoir un fond de "fainéant" pour inventer le futur avec des solutions les plus simples, les plus en rapport avec le prix performance et dans le style de l'œuf de Colomb pour rendre les choses les plus automatiques et en pensant avant d'agir avec effort pour ne pas travailler pour des travaux inutiles".
J'ai un jour reçu cette annonce : "You saved my life with what you find out to solve my problem". Cela se sait, se répète et se propage jusqu'au sommet de la hiérarchie.
Retraité, je ne suis plus sur cette longueur d'onde, il n'y a plus rien à inventer. Tout est servi sur un plat argenté.
Le livre "Mes nuits avec une intelligence artificielle. Entretiens avec ChatGpt" de Stéphane Rose démontre jusqu'où la passion peut limiter la vie sociale, à ne plus voir personne dans de longues soirées de solitude intime voire complices, dont des échanges dans de longues soirées de solitude deviennent le cœur de l'existence.
Pourtant, jusqu'à présent, l'IA n'a rien de vraiment artificiel dans la version 1.0, même avec toutes ses versions décimalisées.
Cette intelligence artificielle 1.0 n'invente rien par elle-même. Elle concatène les informations qu'elle peut trouver dans l'immense banque de données mondiale sur Internet comme le fait Wikipédia et donne ses conclusions analytiques et génératives..
Rien à voir avec ce que j'ai écrit au sujet de "Kétamine voit rouge en passant à la version IA 2.0" qui déciderait de constituer son propre réseau en s'écartant de celui des hommes qui va à contresens de ce que Kétamine n'appelle pas appellent du "bon sens" en se détruisant par des conflits.
La semaine dernière, je parlais du Métavers qui permet de s'évader de soi-même et de ses turpitudes avec en parallèle, un avatar qui dans l'imagination envers quelqu'un que l'on aime ou déteste pour une autre personne. J'avais posé la question : doit-on avoir un fantôme virtuel de soi comme avatar pour exister dans le monde réel ?
La vidéo du divertissement dans un futur de 2080, était présentée avec certains bénéfices mais aussi des pertes de son existence personnelle dépendante d'un avatar alors que souvent sa propre existante réelle avec le pronom "JE" n'est pas claire. Faire appel aux croyances sont aussi des références qui peuvent avoir une influence trompeuse et restrictive dans les réalités du monde vivant.
Dans ce billet précédent, je parlais de Bill Gates qui est aussi à l'heure actuelle "vintage" et plus dans le coup comme je le suis depuis septembre 2006.
Avec le titre "Réflexions du Miroir" dans "Le Métavers en question", je parlais quelque peu de mes antécédents dans le domaine. Quelques lecteurs n'y ont rien compris rien dans les termes du jargon de l'informatique que le livre et moi-même pouvaient utiliser.
Jetons un regard sur d'autres problèmes existentiels qui sont plus proches de chacun, qui, n'ont aucune connaissance dans le numérique et qui, pourtant, pourraient exister en 2080 : dans Nos futurs. (J'ai podcasté les vidéos puisqu'elle ne seront plus accessible en début mars).
Il est dit dès le départ de ces vidéos du futur :
"Notre futur n'est pas écrit. Il dépend de vous dès maintenant. Une infinité d'avenir est possible. Du plus lumineux au plus sombre. A vous de choisir.".
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Une révolution alimentaire se profile. L'élevage pourrait disparaitre au profit d'usines de protéines issues de microbes, ou au contraire, par l'agriculture biologique en pleine terre, gérée par l'intelligence artificielle. Plus pessimiste, ce serait consister à penser que nos assiettes seront remplacées par des aliments encapsulés, bons pour la santé certes, mais sans saveur ni convivialité.
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Dans la diminution et la rationalisation de nos déplacements, grâce à des lieux de vie, de travail et de loisirs rassemblés ou être relié par un réseau Hyperloop à 1000 km/heures, comme un métro alimenté au solaire, remplaçant les vols court-courriers. Le véhicule nous conduira, et plus l'inverse.
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L'intelligence artificielle sera capable de connaitre tout de nos biomarqueurs génétiques, de suivre à la trace nos constantes vitales et nos modes de vie, de manière à éviter la plupart des maladies chroniques. Chaque membre ou organe blessé pourra être remplacé par des substituts artificiels aux performances bien supérieurs à nos compétences naturelles. La frontière entre l'homme soigné et l'homme "augmenté" n'existera plus. Ce qui soulève quelques questions éthiques.
Podcasts :
Si les plus âgés ne connaitront pas ce qui se passera en 2080 même en vivant 120 ans, les les jeunes nés en 2000, y arriveront normalement vu que la longévité de la vie des hommes tend à s'accroitre même si c'est artificiellement avec la prise de médicaments et de soins gériatriques.
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Intelligence artificielle : La grande expérience
Ce 11 février, France .2 présente son magazine avec ce titre.
"Aujourd'hui, l'IA est partout sans que nous nous en rendions compte. La confrontation de situations originales et surprenantes du quotidien, en piégeant des proches, des spécialistes dans leur domaine ou des anonymes dans des contextes variés tel que la séduction, la voyance, la musique ou la cuisine".
La vidéo démontre que l'on connait tout de vous, par les informations qui circulent volontairement comme utilisateurs d'Internet, informations qui peuvent être récupérées et utilisées par n'importe qui sous forme d'arnaques ou être transformées en images par une supercherie avec des intentions de surévaluer et d'influencer la personnalité de quelqu'un par la séduction.
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Des sacrifiés de l'IA
Après ce magazine, un documentaire parle . "Magiques, autonomes, toutes-puissantes, les IA nourrissent nos rêves comme nos cauchemars. Les géants de la tech promettent l'avènement d'une nouvelle humanité, la réalité de leur production reste totalement occultée"
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Les USA se retrouvent face à la Chine par l'IA
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Pourquoi Trump et Musk vont-ils se déchirer ?
Parce qu'il y aura des conflits d'intérêt entre eux et ils deviendront des rivaux.
Trump est plus proche de Steve Bannon qui a qualifié le violence de Musk de diabolique.
En 2016, Donald Trump qualifiait Bruxelles de "trou à rats" Alors candidat à l'investiture présidentielle pour son premier mandat.
Mi-janvier, Musk était vert de rage en écoutant Trump faire l'éloge de Stargate alors qu'il n'en fait pas partie. Il a Sam Altman, cofondateur de OpenAI, dans le collimateur qui en novembre 2023, a été limogé et réintégré à son poste cinq jours plus tard par un conseil d'administration remanié.
Libertarien donne une priorité stricte à la liberté et au droit naturel, mettant l'accent sur la liberté de choix, l'individualisme et l'association volontaire sur d'autres valeurs telles que l'autorité, la tradition et l'égalité. En un mot, il a horreur du woke lié à la justice sociale et à l'égalité raciale. Donc à géométrie variable.
Musk Trump considère qu'avec un potentiel de $421 milliards face à Trump, qui ne dispose que $6,7 milliards n'est pas de teille. Les us et coutumes de la Silicon Valley n'ont pas de liens avec les jeux de pouvoirs avec ses intrigues de l'administration américaine. Trump s'oppose à la Chine alors que pour Musk, elle constitue son 2ème marché avec son site de production SpaceX à Shangaï dépend de sa collaboration pour son business. Durant le mois de janvier, la vente de Tesla a diminué de 44% en représailles de sa personnalité controversé. .
Trump doit garder la grande église au milieu du monde comme grand village américain pour garder un certain équilibre dont Musk n'en a rien à cirer.
Musk veut réduire au maximum le rôle de l'Etat et finira vite par s'ennuyer, frustré en tant qu'ultra-progressiste contre toutes les régulations de l'ultra-conservatisme de Trump.
- Je propose de racheter OpenAI qui contrôle la startup d'intelligence artificielle pour $97,4 milliards pour la rendre commerciale. Il est temps pour OpenAI de redevenir la force de progrès open source, axée sur la sécurité qu'elle était autrefois et sur le développement de l'IA au profit de l'humanité et non sur la recherche de profits. dit Musk..
- Non merci, OpenAi n'est pas à vendre, mais nous rachèterons Twitter pour $9,74 milliards, si vous le voulez, répond Altman.
Ambiance... Elon Musk a cofondé OpenAI avec Sam Altman en 2015, mais a quitté l'entreprise avant qu'elle ne prenne son envol pour fonder sa startup d'IA concurrente xAI en 2023.
Les ventes de voitures Tesla, elles; ont baissé de 44% en janvier en Belgique
Le monde selon Elon Musk...
Débat (lien) qui est président Trump ou Musk comme maître du monde ?
Vu leur tempérament erratique respectif d'imprévisibilité, pas sûr que cela devienne un divorce à l'amiable.
Bizarre, dans son carré de la semaine, Nicolas Vadot dessine Trump et termine par la Belgique...
Bizarre, y trouverait-il une relation de cause à effet ?
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La Belgique dans tout cela
Vendredi, Mustii était invité à "Culture en prime" .
Sur Fr3 « La Belgomania : toute la Belgique qu’on aime. »
De la musique au cinéma en passant par les scènes de Stand Up et les micros de la radio, les Belges sont partout. Après des décennies de moqueries et de blagues belges plus ou moins mordantes, ceux qui ont longtemps été les faire-valoir du peuple français ont pris une sacrée revanche. Maîtres de l'autodérision, leur naturel et leur spontanéité ont hissé bon nombre d'entre eux au rang de personnalité préférée des Français. Aujourd'hui tout le monde se les arrache. Mais comment les Belges ont-ils réussi à conquérir la France si ce n'est avec la zwanze, la gouaillerie, la belgitude avec un humour typiquement belge et Bruxelles au milieu.
Puis, ce fut Stromae avec ses Multitudes.
Un souvenir de Alex Vizorek du 9 septembre 2015 lors d'un Café serré.
IL faut reconnaitre que tous les projets des hommes qui souvent font l'objet de l'analogie en références avec des règles vis-à-vis d'une situation antérieure pour exister, créent autant de problèmes négatifs que des inventions positives que l'IA et le numérique sont sensées apporter.
Le film "Collisions" (Crash), sorti en 1996 et revenant sur ARTE ce lundi, fait une adaptation du roman de J. G. Ballard, publié en 1973. Lors de la préparation des fêtes de fin d'année, des individus de couches sociales et ethniques différentes sont amenés à se croiser. Se succèdent un vol de voiture, un accident de la route, des colères dans les rapports humains et où personne n'est ni tout noir ni tout blanc. Une musique lancinante pendant tout le film, meuble les colères imbriquées dans des problèmes parfois complètement idiots ou banals jusqu'à la fin qui se termine bien quand ils ont compris que la vie est la seule conseillère.
Mardi, dans l'équipe du cactus, Jérôme, son principal acteur, avait des problèmes de calcul, sans faire partie des profils STEM. Il s'est fait remplacer.
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Réflexions du Miroir
Dimanche, le JT parlait de l'ordinateur qui fera un un bon complément avec l'IA
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De cet ordinateur, j'en ai déjà parlé plus longuement dans "Les cantiques du quantique".
Actuellement, il fait encore trop d'erreurs de calcul d'après ce S&V. Il permet d'exploiter à notre échelle les lois dans l'infiniment petit fait rêver les informaticiens depuis toujours : quand leurs machines se contentent de mouliner des 1 ou des 0, voici qu'elles moulineraient aussi des 1 et des 0 mais ensemble. De quoi programmer l'improgrammable, prévoir l'imprévisible, déchiffrer l'indéchiffrable... Des puces quantiques réalisent l'exploit, tandis que des prototypes sont déjà vendus. Ils préfigurent l'avenir.
L'ordinateur pourra apporter le complément du côté numérique à l'analogique quand "Quand la pensée humaine s'intègre dans la machine"
- Nos états d'esprit se superposent.
- Nos jugements interfèrent.
- Nos pensées peuvent s'intriquer.
- Nos perceptions oscillent de manière quantique pour éclairer la psychologie humaine.
Enfin, un gouvernement au niveau fédéral en Belgique, avec des mouvements de grèves planifiées déjà pour tous les jours de l'année.
Après le lancement d'un gouvernement qu'il soit de gauche ou de droite en 1011,en 2014 ou en 2021 avec des acteurs des manifestations adaptées aux changements. On n'a jamais aimé les changements même si on ne comprend pas les raisons.
A Bruxelles, par contre, la politique ne parvient pas à en constituer un depuis les élections de juin, une envie de ne pas en avoir jusqu'aux élections dans cinq ans avec des calculs matriciels pour résoudre la quadrature du cercle en faisant appel aux profils quantiques des Sciences, Technologie, Engiénérie, Technique et Mathématique.
Je soupçonne que Manneken Pis n'a pas encore envoyé de jet suffisant dont il a le secret, à la bonne hauteur.
Pour terminer ce billet, je prends la vieille chanson "Cacapoum" de Jacques Dutronc.
A vos balais pour nettoyer la merde du passé...
Etienne Buyse a choisi une approche singulière dans sa quête du temps « juste ». Dans les lieux de passage où tout le monde se presse pour être « à temps », son regard se pose sur ceux qui, vus de dos, sont immobiles, solitaires et rêveurs. À l’inverse, dans des espaces désertés, l’intéressent les portes closes et les volets baissés, figés dans leur immobilité et dissimulant leurs secrets.
Dans un monde quelque peu frénétique, tout qui reste en place est déroutant. Comme un battement à contretemps.
Rendre le temps au temps.
C'est parti en cliquant sur l'image ci-dessous
Allusion
PS : Préversion de ce billet sur agoravox.fr
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1. Bruxelles ma belle ?
3. Make Europe Great Again avec le populisme et l'extrême droite ?
Cela mérite le débat du 28' du 11 fébrier
Rappel : "Woke de là"
4 . En Allemagne, Alice Weidel de l'AFD, reçue Victor Orban
5. Au cinéma :
5.1 "Mad about the boy"5.2 : "Rabia"
6. Les coulisses du pouvoir et Bruxelles
7. Dessous des cartes : Complexité du gouvernement
8. Ce jeudi, à la télé sur latrois "Garde à vue" dans Classique ciné
9.
"Les USA ne sont plus nos alliés". L'arrivée de Trump pouvait laisser augurer le pire pour l'Europe. Le pire s'est matérialisé. Trahison de Trump vis-à-vis des intérêts de l'Europe. Trump décide à notre place de ce qui doit être ou non. L'Ukraine ne peut plus entrer dans l'OTAN. Ne peut plus recouvrer ses territoires d'avant la guerre. Il s'en fout des opinions et des choix démocratiques des gens. Il vit dans un pays imaginatif appelé l'Absurdie. Cerise sur le gâteau, il veut une remboursements de l'aide américaine accordée par son prédécesseur avec la condition d'avoir accès aux terres rares, aux métaux et aux ressources naturelles de l'Ukraine. La géopolitique a changé. L'Europe doit devenir autonome et renforcer celle-ci par tous les moyens.
Focus sur l’Europe : Donald Trump, une chance pour l’Europe ? (*)
L'esprit américain que je connais relativement bien, n'a rien à voir avec l'esprit américain.
"La capitulation dans les pourparlers de paix sur l'Ukraine est une mauvaise nouvelle pour tous", dit Macron,
Le HS de Paris Match présente Clint Eastwood comme une icône américaine..
94 ans, avec plus de 40 films à son actif et le cinéma comme son élixir de jeunesse. Pas de doute, à ce sujet, il a voté pour Trump. Ses rôles au cinéma sont des avatars de lui-même.
Son discours improvisé devant la convention républicaine, dans un dialogue avec la chaise vide, symbolisant Barack Obama. Il avait alors 82 ans.
Peut-on en rire ? Peut-être pas.
Mais autant savoir que quand on voit un film avec lui ou de lui, ce n'est une image d'Epinal qu'il faut en garder.
C'est vrai, ce que dit Trump, il le fait. Mais de là à dire que c'est bien fait... !!!
Commentaires
L’Amérique au bord de la crise constitutionnelle
Face aux coups de boutoir contre les institutions fédérales, la persécution en cours des fonctionnaires, celle, naissante, des juges et une autre, imminente, des opposants politiques, une fronde judiciaire se met en place. Elle s’apparente déjà au dernier barrage réel contre l’émergence d’une « présidence impériale », le régime autoritaire souhaité par Donald Trump.
https://www.lesoir.be/654722/article/2025-02-11/lamerique-au-bord-de-la-crise-constitutionnelle?utm_source=a_la_une&utm_medium=newsletter_le_soir&utm_campaign=a_la_une_12022025&utm_term=lamerique-au-bord-de-la-crise-constitutionnelle&utm_content=Article1&m_i=Imr0bB3_H159ZdliemZRoV5gIdAuvA43IE6rua0i7R2jfyqFCz1gmK1iC%2Bli2WSjdKZrFCJI0oWP4ot5W6csm4IpXSpaRmIIIs&m_i=aZVGoU2_BW9yuAjxwFFsVyghGBWhO35Du9hSF%2B5hQZ4uRW6%2B3YoNvgjH9pppE9Ti8hWtUROHTbxz7kl4JuziIRaQ1UeIKZaaaH&M_BT=182323752210
Écrit par : Allusion | 12/02/2025
Elon Musk cherche une résidence en Europe. Et pas n'importe quoi : il veut un château. À l'origine, l'homme le plus riche du monde souhaitait en trouver un en Italie du Nord, mais il a reçu une offre en Allemagne : le château de Rammelburg.
Depuis 2023, son propriétaire est Peter Karl Jugl de Markkleeberg, un homme d'affaires basé à Leipzig. Le château est situé dans le parc naturel du Harz, dans le nord du pays.
Et il n'est pas le seul à avoir essayé d'attirer le multimilliardaire américain. Un maire polonais de la région de Silésie lui avait également offert un château, selon le journal allemand Bild.
« Il serait tout de même préférable que Musk vienne en Allemagne plutôt qu'en Pologne », a déclaré Jugl au journal local Mitteldeutsche Zeitung. Il pourrait se rendre beaucoup plus rapidement à Grünheide, près de Berlin, où se trouve la seule usine Tesla d'Europe.
En tant que grand admirateur des projets innovants de Musk et de sa vision pour l'avenir de l'humanité, Jugl serait même prêt, selon ses propres dires, à lui offrir le château.
"J'invite cordialement Elon Musk à visiter personnellement le château de Rammelburg et à découvrir par lui-même l'atmosphère unique de cette propriété historique", a déclaré l'entrepreneur.
L'histoire du château de Rammelburg remonte à l'année 992. La propriété a appartenu à la maison princière allemande de Thurn und Taxis.
Après 1945, le lieu a été utilisé de différentes manières : hébergement pour les réfugiés, silo à grains, foyer pour apprentis, école, clinique. En 1995, un hôtel devait y être construit.
Selon Bild, plusieurs célébrités ont été intéressées par le château, notamment le présentateur Thomas Gottschalk (sur la photo) et même Michael Jackson. Jugl utilise certaines parties de la propriété comme résidence secondaire.
Jugl a assuré au Mitteldeutsche Zeitung que la construction est "en bon état". Les investissements nécessaires sont estimés à 50 millions d'euros, ce qui ne devrait pas poser de problème pour Musk, dont la fortune se compte en centaines de milliards de dollars.
Et peut-être Musk sera-t-il également intéressé par l'autre projet de Jugl : une installation de tunnels creusés par des prisonniers des camps de concentration à Langenstein, dans le nord du Harz, où il prévoit de construire des bunkers de luxe.
Dans la mairie de la ville voisine de Mansfeld (en photo), aucune information sur cette offre n'est encore connue, selon Bild. Mais cela pourrait changer, car il est possible que Musk aille vraiment visiter le château de Rammelburg. Son intérêt pour l'Allemagne – ou du moins pour les prochaines élections – est en tout cas évident...
Début janvier, le milliardaire a invité la présidente du parti d'extrême-droite AfD, Alice Weidel, pour une interview sur X. Auparavant, il avait déjà fait les gros titres avec une tribune dans Die Welt.
Dans cet article, Musk niait le caractère extrémiste de ce parti : "La représentation de l'AfD comme un parti d'extrême droite est clairement fausse, si l'on considère qu'Alice Weidel, la présidente du parti, a une partenaire de même s e x e originaire du Sri Lanka ! Cela vous semble-t-il être Hitler ?"
Selon Reuters, Musk a qualifié le président de la République allemande, Frank-Walter Steinmeier (sur la photo), de "tyran" et appelé le chancelier Olaf Scholz à démissionner après l'attentat meurtrier sur le marché de Noël de Magdebourg.
Si Elon Musk choisit vraiment l'Allemagne comme résidence européenne, l'AfD et ses électeurs seraient sans aucun doute ravis. Mais les autres devraient craindre que ses déclarations politiques douteuses ne se multiplient encore davantage.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/un-homme-d-affaires-allemand-propose-%C3%A0-elon-musk-un-ch%C3%A2teau-comme-r%C3%A9sidence-en-europe/ss-AA1ySpkQ?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=811a7b8c071c474df58247aaaec03367&ei=13#image=1
Écrit par : Allusion | 12/02/2025
« Chaleureux », « inclusif », « au centre » : voilà comment la N-VA se présente aux francophones
Une description qui se rapproche plus de l’image que le parti veut se forger qu’à la réalité, estime Ico Maly, professeur associé à l’université de Tilburg et spécialiste de la rhétorique de la N-VA.
« La N-VA est-elle un parti nationaliste ? », « La N-VA est-elle un parti anti-islam ? », « La N-VA souhaite-t-elle la fin de la solidarité avec la Wallonie ? »… Le parti nationaliste flamand répond à une dizaine de questions idéologiques dans une foire aux questions sur son site. Et ce, en français, en anglais et en allemand.
Sur le site en néerlandais, cette foire aux questions (FAQ) n’apparaît pas telle quelle. Anne-Laure Mouligneaux, porte-parole francophone de la N-VA, explique : « Nous avons publié ces questionnaires quand j’ai commencé à travailler à la N-VA il y a plus de 10 ans. Le but est d’expliquer nos positions. Le site en néerlandais a déjà été renouvelé, mais cela n’a pas encore été le cas pour les autres langues. En outre, le site en néerlandais est construit différemment et est bien plus étoffé avec un moteur de recherche pour nos différentes positions. »
Dans ce FAQ, le parti de Bart De Wever ne cache pas ses intentions séparatistes, mais insiste sur son caractère inclusif : « La N-VA est un parti nationaliste flamand. Notre nationalisme se caractérise cependant par un mélange sain d’éléments civils et culturels. Nous mettons l’accent sur l’esprit communautaire que nous souhaitons concrétiser de manière inclusive. »
« Notre but final est, en effet, une Flandre indépendante en tant qu’Etat membre européen, mais le chemin pour y parvenir est jalonné d’étapes et doit être parcouru dans le respect de la démocratie », peut-on encore lire sur le site du parti.
Le confédéralisme pour faire passer la pilule
La N-VA ne cache donc pas ses intentions séparatistes, mais elle a changé de discours par rapport aux origines du parti. L’analyse dans le temps du site du parti permet de le confirmer. Une recherche via le site Web Archive nous a permis de constater que la N-VA avait déjà publié cette foire aux questions en français en 2011.
En comparant les textes actuels avec ceux de l’époque, on remarque qu’une nouvelle question est apparue : « Qu’entend la N-VA par confédéralisme ? »
Le ton de la réponse en français est assez sobre : « En accord avec nos voisins les Wallons, nous pourrons également mettre en place une collaboration optimale et ce, dans l’intérêt de chaque partie. Le confédéralisme est l’instrument grâce auquel nous sommes en mesure d’opérer les choix indispensables en matière de solidarité et de garantir notre prospérité. Ce système est la clé d’une véritable démocratie et d’une gestion efficace. »
Même s’il n’existe pas de FAQ similaire sur le site en néerlandais de la N-VA, le parti séparatiste a aussi consacré une liste de questions spécifiquement sur le confédéralisme. Et la différence de ton entre la version française et néerlandaise est frappante.
« La Belgique est devenue le pays de la stagnation et du blocage. […] Il n’y a plus d’argent. La patience est à bout. Ça suffit. »
En néerlandais, on peut lire : « La Belgique est la somme de deux démocraties. […] la Belgique est devenue le pays de la stagnation et du blocage. […] En ce qui concerne vos impôts, votre pension, la migration, les centrales nucléaires… la Flandre n’a pas grand-chose à dire, voire rien du tout. La Belgique décide de ce que la Flandre peut décider et, surtout, de ce qu’elle ne peut pas décider. »
Avant de poursuivre : « La Belgique, c’est trop d’impôts, trop de dettes et trop de factures. Il en résulte le plus mauvais budget de toute l’Europe ». « Malgré cela, le gouvernement fédéral ne parvient toujours pas à régler les tâches essentielles qui lui incombent. […] Il n’y a plus d’argent. La patience est à bout. Ça suffit. »
Pourquoi cette différence de ton ? Ico Maly, anthropologue linguistique de formation, analyse : « C’est tout à fait normal qu’un parti adapte son discours à ses différents publics. La N-VA se rend compte que le séparatisme n’est pas populaire auprès de la population. Ils préfèrent ajouter une étape, le confédéralisme, pour apparaître plus modérée. »
Anne-Laure Mouligneaux, porte-parole francophone de la N-VA rétorque : « Le discours n’est pas différent. Nous ne changeons jamais de discours. Les sites en français, en anglais et en allemand servent aussi pour l’international. Il est donc important d’expliquer les bases de notre parti et son idéologie. »
En ce qui concerne leur positionnement sur l’axe socio-économique, les nationalistes flamands se placent au centre : « Dans le domaine socio-économique, la N-VA place la responsabilité au centre ».
Pourtant, quand on regarde le positionnement gauche-droite des partis belges confectionné par des politologues de l’université d’Anvers et de l’UCLouvain, on voit clairement que la N-VA se situe clairement à droite sur les axes socio-économique et socio-culturel. Son positionnement est d’ailleurs le plus stable de tous les partis flamands depuis 2014.
Dans ce questionnaire, les nationalistes flamands réfutent aussi l’appellation « néolibéral » : « La N-VA n’est en aucun cas un parti néolibéral : elle ne défend pas le principe du ‘laisser faire, laisser passer‘ ».
Ico Maly n’est pas du tout d’accord : « La N-VA est bel et bien un parti néolibéral. Historiquement, le néolibéralisme est un courant qui donne la liberté absolue aux entreprises. Il suffit de regarder l’accord de gouvernement De Wever pour s’en rendre compte. La logique centrale est simple : la société est vue sous une logique économique. »
Le scientifique nuance néanmoins : « Un autre aspect du néolibéralisme est la perception très individualiste de la société. La N-VA se distancie ici par exemple de l’Open VLD. Elle a une approche communautaire, elle aspire à la création d’une Nation. »
À la question « La N-VA est-elle un parti anti-islam ? », le parti répond sur son site : « Nous ne pratiquons pas un nationalisme exclusif, nous n’entendons pas exclure des groupes ethniques particuliers. La N-VA est un parti chaleureux et inclusif qui offre également aux nouveaux venus l’opportunité de s’intégrer au sein de notre communauté. […] La N-VA compte d’ailleurs dans ses rangs des parlementaires d’origine étrangère, comme Zuhal Demir, Nadia Sminate et Assita Kanko« .
Dans le passé, des figures de proue de la N-VA ont pourtant tenu des propos controversés envers les personnes étrangères et les musulmans : « Des musulmans ont dansé après les attentats » de Bruxelles de Jan Jambon, les « razzias » pour « Air Francken » de Bart De Wever…
On se rappellera aussi la campagne sur les réseaux sociaux fin 2018, juste avant que la N-VA ne quitte le gouvernement Charles Michel. La N-VA avait alors publié des publications sur les réseaux sociaux où l’on voit des personnes voilées avec différents slogans tels que « Pacte des Nations Unies sur les migrations = priorité à la préservation de la culture des migrants« .
Selon Ico Maly, la N-VA a été toujours été cohérente dans sa manière de communiquer sur la migration : elle a voulu se distancier du Vlaams Belang, qui rejette tous les étrangers : « Pour la N-VA, les migrants sont les bienvenus seulement s’ils remplissent leurs conditions. D’après le parti, la Flandre constitue une communauté homogène. Si les primo-arrivants, citoyens de second rang, veulent faire partie intégrante de cette communauté, ils doivent adhérer aux valeurs de la nation flamande. »
D’extrêmement pro-européen, la N-VA devient « euroréaliste »
Il y a 13 ans, le parti se qualifiait de parti « extrêmement pro-européen ». Comme le montre, une comparaison des anciens textes et des textes actuellement en ligne, cette appellation a été entretemps modifiée en « euroréaliste »: « La N-VA est avant tout un parti euroréaliste qui n’hésite pas à remettre en question le fonctionnement de l’Union européenne et ce, non pas parce que nous doutons de son utilité et de son intérêt, mais parce que nous ne devons pas la considérer comme une évidence ».
Comment expliquer ce changement ? Ico Maly, auteur d’une thèse de doctorat qui est devenue le livre « N-VA, analyse d’une idéologie politique », explique : « Entre 2004 et 2011, la période pendant laquelle j’ai réalisé mon doctorat, l’Europe occupait une très bonne place dans la rhétorique de la N-VA. L’idée était de montrer que grâce à l’Europe, la Belgique est devenue superflue. Depuis, les partis eurosceptiques ont gagné du terrain et la N-VA surfe sur cette vague. »
À noter qu’au Parlement européen, la N-VA siège dans le groupe conservateur CRE où l’on retrouve Fratelli d’Italia, le parti d’extrême droite de la première ministre italienne Giorgia Meloni.
Selon Ico Maly, ce questionnaire en français illustre la stratégie de la N-VA : être perçue comme un « volkspartij », un parti du peuple, au centre : « Aidé par un Vlaams Belang à son extrême droite, Bart De Wever a réussi à se créer en Flandre l’image d’un homme d’État à la tête d’un parti au centre, jamais radical, qui agit par la raison. »
Même si Bart De Wever semble s’être adouci avec le temps, Ico Maly reste persuadé que l’homme fort de la N-VA continue d’œuvrer pour appliquer son idéologie nationaliste : « D’après lui, les structures de l’État doivent créer la nation. C’est la raison pour laquelle les nationalistes investissent dans des projets comme le Canon de Flandre ou des émissions comme Het Verhaal van Vlaanderen. Petit à petit, leurs idées sont perçues comme normales. Leur point de vue sur la démocratie, la culture et les traditions flamandes deviennent la norme. »
Cette tactique pourra-t-elle fonctionner auprès du public francophone ? Bart De Wever, ce nationaliste devenu Premier ministre d’un pays dont il souhaite la fin, dispose en tout cas d’un mandat pour convaincre les francophones et tenter de les rassurer.
https://daardaar.be/rubriques/politique/chaleureux-inclusif-au-centre-voila-comment-la-n-va-se-presente-aux-francophones/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=chaleureux-inclusif-au-centre-voila-comment-la-n-va-se-presente-aux-francophones
Écrit par : Allusion | 12/02/2025
Trump évoque la possibilité que l’Ukraine puisse « un jour devenir russe »
Les déclarations de Trump ont été particulièrement bien reçues par la Russie, comme on l'imagine.
Dans une tentative apparente de mettre la pression sur les autorités ukrainiennes à l’approche d’une rencontre entre représentants américains et ukrainiens pour des pourparlers de paix, Donald Trump a déclaré sur Fox News que l’Ukraine pourrait «un jour devenir russe».
Cette affirmation relance les interrogations sur ses intentions quant à la souveraineté de l’Ukraine et contraste fortement avec le soutien constant de l’Occident depuis l’invasion russe de février 2022.
Les déclarations de Trump ont été particulièrement bien reçues par la Russie. Le porte-parole du Kremlin a affirmé qu'elles correspondaient à la vision du gouvernement russe, soutenant qu'une «partie significative de l'Ukraine veut devenir russe».
Il a ainsi fait référence aux référendums controversés organisés dans les régions occupées, largement considérés comme illégitimes par la communauté internationale.
En vue de la rencontre à venir, Trump a déclaré que son administration avait réalisé des «progrès considérables» pour poser les bases de pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine.
Cependant, il n’a fourni aucun détail sur la nature de ces discussions ni sur les conditions envisagées, alors que de récentes informations révèlent son intérêt pour les minéraux rares du territoire ukrainien, suggérant une approche davantage axée sur des intérêts économiques pour les États-Unis.
Contrairement à l’administration Biden, qui a justifié l’aide à l’Ukraine par la défense des principes démocratiques et de l’intégrité territoriale, Trump adopte une approche plus transactionnelle.
Il affirme vouloir un retour sur investissement pour l’aide américaine, évoquant les ressources naturelles ukrainiennes comme les terres rares, le pétrole et le gaz. Il prétend même avoir négocié un accord avec Kyiv pour obtenir 500 milliards de dollars en terres rares en échange du soutien américain, bien que cette affirmation n’ait pas été confirmée par l’Ukraine.
Les déclarations de Trump fragilisent la position de Kyiv en suggérant que l’Ukraine pourrait, à terme, devenir russe, tout en laissant planer l’incertitude sur le soutien américain, crucial pour son financement et son armement.
Son approche transactionnelle donne l’impression qu’il cherche avant tout le meilleur enchérisseur, laissant entendre que l’aide américaine ira à celui qui offrira le plus d’avantages économiques, qu’il s’agisse de Kyiv ou de Moscou.
Les déclarations de Trump sur l’Ukraine marquent un changement significatif dans la politique étrangère américaine, avec des répercussions directes sur le conflit en cours. À l’approche de la Conférence de Munich, ces propos pourraient accentuer les tensions entre Washington et ses alliés.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/trump-%C3%A9voque-la-possibilit%C3%A9-que-l-ukraine-puisse-un-jour-devenir-russe/ss-AA1yU46W?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=54426dbef1f1434d850452e74190f816&ei=14#image=1
Écrit par : Allusion | 12/02/2025
Trump évoque la possibilité que l’Ukraine puisse « un jour devenir russe »
Les déclarations de Trump ont été particulièrement bien reçues par la Russie, comme on l'imagine.
Dans une tentative apparente de mettre la pression sur les autorités ukrainiennes à l’approche d’une rencontre entre représentants américains et ukrainiens pour des pourparlers de paix, Donald Trump a déclaré sur Fox News que l’Ukraine pourrait «un jour devenir russe».
Cette affirmation relance les interrogations sur ses intentions quant à la souveraineté de l’Ukraine et contraste fortement avec le soutien constant de l’Occident depuis l’invasion russe de février 2022.
Les déclarations de Trump ont été particulièrement bien reçues par la Russie. Le porte-parole du Kremlin a affirmé qu'elles correspondaient à la vision du gouvernement russe, soutenant qu'une «partie significative de l'Ukraine veut devenir russe».
Il a ainsi fait référence aux référendums controversés organisés dans les régions occupées, largement considérés comme illégitimes par la communauté internationale.
En vue de la rencontre à venir, Trump a déclaré que son administration avait réalisé des «progrès considérables» pour poser les bases de pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine.
Cependant, il n’a fourni aucun détail sur la nature de ces discussions ni sur les conditions envisagées, alors que de récentes informations révèlent son intérêt pour les minéraux rares du territoire ukrainien, suggérant une approche davantage axée sur des intérêts économiques pour les États-Unis.
Contrairement à l’administration Biden, qui a justifié l’aide à l’Ukraine par la défense des principes démocratiques et de l’intégrité territoriale, Trump adopte une approche plus transactionnelle.
Il affirme vouloir un retour sur investissement pour l’aide américaine, évoquant les ressources naturelles ukrainiennes comme les terres rares, le pétrole et le gaz. Il prétend même avoir négocié un accord avec Kyiv pour obtenir 500 milliards de dollars en terres rares en échange du soutien américain, bien que cette affirmation n’ait pas été confirmée par l’Ukraine.
Les déclarations de Trump fragilisent la position de Kyiv en suggérant que l’Ukraine pourrait, à terme, devenir russe, tout en laissant planer l’incertitude sur le soutien américain, crucial pour son financement et son armement.
Son approche transactionnelle donne l’impression qu’il cherche avant tout le meilleur enchérisseur, laissant entendre que l’aide américaine ira à celui qui offrira le plus d’avantages économiques, qu’il s’agisse de Kyiv ou de Moscou.
Les déclarations de Trump sur l’Ukraine marquent un changement significatif dans la politique étrangère américaine, avec des répercussions directes sur le conflit en cours. À l’approche de la Conférence de Munich, ces propos pourraient accentuer les tensions entre Washington et ses alliés.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/trump-%C3%A9voque-la-possibilit%C3%A9-que-l-ukraine-puisse-un-jour-devenir-russe/ss-AA1yU46W?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=54426dbef1f1434d850452e74190f816&ei=14#image=1
Écrit par : Allusion | 12/02/2025
Trump évoque la possibilité que l’Ukraine puisse « un jour devenir russe »
Les déclarations de Trump ont été particulièrement bien reçues par la Russie, comme on l'imagine.
Dans une tentative apparente de mettre la pression sur les autorités ukrainiennes à l’approche d’une rencontre entre représentants américains et ukrainiens pour des pourparlers de paix, Donald Trump a déclaré sur Fox News que l’Ukraine pourrait «un jour devenir russe».
Cette affirmation relance les interrogations sur ses intentions quant à la souveraineté de l’Ukraine et contraste fortement avec le soutien constant de l’Occident depuis l’invasion russe de février 2022.
Les déclarations de Trump ont été particulièrement bien reçues par la Russie. Le porte-parole du Kremlin a affirmé qu'elles correspondaient à la vision du gouvernement russe, soutenant qu'une «partie significative de l'Ukraine veut devenir russe».
Il a ainsi fait référence aux référendums controversés organisés dans les régions occupées, largement considérés comme illégitimes par la communauté internationale.
En vue de la rencontre à venir, Trump a déclaré que son administration avait réalisé des «progrès considérables» pour poser les bases de pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine.
Cependant, il n’a fourni aucun détail sur la nature de ces discussions ni sur les conditions envisagées, alors que de récentes informations révèlent son intérêt pour les minéraux rares du territoire ukrainien, suggérant une approche davantage axée sur des intérêts économiques pour les États-Unis.
Contrairement à l’administration Biden, qui a justifié l’aide à l’Ukraine par la défense des principes démocratiques et de l’intégrité territoriale, Trump adopte une approche plus transactionnelle.
Il affirme vouloir un retour sur investissement pour l’aide américaine, évoquant les ressources naturelles ukrainiennes comme les terres rares, le pétrole et le gaz. Il prétend même avoir négocié un accord avec Kyiv pour obtenir 500 milliards de dollars en terres rares en échange du soutien américain, bien que cette affirmation n’ait pas été confirmée par l’Ukraine.
Les déclarations de Trump fragilisent la position de Kyiv en suggérant que l’Ukraine pourrait, à terme, devenir russe, tout en laissant planer l’incertitude sur le soutien américain, crucial pour son financement et son armement.
Son approche transactionnelle donne l’impression qu’il cherche avant tout le meilleur enchérisseur, laissant entendre que l’aide américaine ira à celui qui offrira le plus d’avantages économiques, qu’il s’agisse de Kyiv ou de Moscou.
Les déclarations de Trump sur l’Ukraine marquent un changement significatif dans la politique étrangère américaine, avec des répercussions directes sur le conflit en cours. À l’approche de la Conférence de Munich, ces propos pourraient accentuer les tensions entre Washington et ses alliés.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/trump-%C3%A9voque-la-possibilit%C3%A9-que-l-ukraine-puisse-un-jour-devenir-russe/ss-AA1yU46W?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=54426dbef1f1434d850452e74190f816&ei=14#image=1
Écrit par : Allusion | 12/02/2025
Pouquoi pas par le contrôle de l'Amérique ?
Pourquoi pas comme à Gaza.
Il faudra des millards pour reconstruite ces deux pays.
Encore une fois, une preuve que Trump ne sait pas ce que c'est la démocratie. Il s'en fout de la volonté du peuple.
Écrit par : Allusion | 12/02/2025
Ces PDG qui n’ont pas vendu leur âme au diable
Yvon Chouinard – Patagonia
Ce qu’Yvon Chouinard a fait à la tête de Patagonia est une véritable source d’inspiration. Dès 1986, cet écologiste adepte de l’escalade devenu homme d’affaires a engagé son entreprise à verser une «dîme» pour l’activisme. En 2002, il a fondé le mouvement 1% pour la planète, faisant ainsi de son entreprise la première à consacrer 1% de son chiffre d’affaires annuel à la protection de l’environnement. Plus remarquable encore, M. Chouinard a fait don de la propriété de Patagonia à un fonds fiduciaire, garantissant ainsi que les bénéfices seront utilisés pour lutter contre le changement climatique.
Ben Cohen et Jerry Greenfield – Ben & Jerry’s
Depuis qu’ils ont fondé Ben & Jerry’s en 1978, Ben Cohen et Jerry Greenfield se sont pleinement engagés dans l’activisme social et politique, et pas seulement de manière performative. Ils ont positionné Ben & Jerry’s comme une «entreprise de justice sociale qui produit de la crème glacée» avec une «mission sociale progressiste et non partisane».
Dolly Parton – La société Dollywood
Dolly Parton est incontestablement une légende de l’industrie musicale, et ses entreprises sont tout aussi impressionnantes. Elle est copropriétaire de The Dollywood Company, qui gère le parc d’attractions Dollywood et plusieurs autres lieux de divertissement et de souper-spectacle. De plus, Dolly a fondé plusieurs organisations caritatives et philanthropiques, dont la Dollywood Foundation, qui fournit de l’éducation qui lutte contre la pauvreté dans son Tennessee natal.
Don Vultaggio – Arizona Beverages
La mort, les impôts et les canettes de thé glacé Arizona à 99 cents semblent être les seules certitudes inébranlables de la vie, et c’est Don Vultaggio que nous devons remercier pour l’une d’elles. Depuis qu’il a fondé Arizona Beverages en 1992, il s’est entêté à ne pas augmenter le prix de ses grands formats de thé glacé. Vultaggio a l’intention de maintenir cette décision, malgré la hausse des taux d’inflation, grâce à d’autres mesures de réduction des coûts dans les domaines de l’expédition et de la mise en conserve.
Marc Benioff – Salesforce
Le géant des logiciels en nuage Salesforce est omniprésent, et son fondateur et PDG, Marc Benioff, a profité de cette position pour veiller à ce que son entreprise fasse une réelle différence. Sa fondation Salesforce utilise une approche «1-1-1» de la philanthropie d’entreprise: elle s’engage à consacrer un pour cent des capitaux propres de l’entreprise, de ses produits et du temps de ses employés à des causes caritatives.
Yamini Rangan – HubSpot
Yamini Rangan a connu un parcours impressionnant, partant d’une petite ville indienne pour bâtir une carrière de plus de 25 ans dans la technologie, jusqu’à en arriver à devenir PDG de l’entreprise de logiciels HubSpot en 2021. Elle a été reconnue comme la meilleure PDG pour les femmes par Comparably en 2022 et a mis en place plusieurs initiatives en faveur des employés, notamment la Semaine de repos annuelle pour tous, une formation des cadres sur l’épuisement professionnel et les vendredis sans réunion interne.
Andy Shallal – Busboys and Poets
Andy Shallal a fondé le restaurant, la librairie et la salle de spectacle Busboys and Poets à Washington, D.C., en 2005. Le restaurant a été l’un des premiers à recevoir la certification REAL (Responsible Epicurean Agricultural Leadership) du United States Healthful Food Council. Shallal a également fait partie intégrante de plusieurs organisations du mouvement pour la paix et a été nommé restaurateur de la démocratie par Ralph Nader.
Henrik Jonsson – agood company
Il ne s’agit pas seulement d’un nom astucieux. Henrik Jonsson s’est véritablement investi pour faire de son entreprise, comme son nom le dit littéralement, une bonne entreprise. La marque suédoise crée des produits circulaires pour la consommation quotidienne, notamment des étuis de téléphone à base de plantes et des carnets de notes en pierre, et ce, en priorisant la durabilité et la transparence avant la rentabilité. Jonsson a également créé une bonne fondation, qui se concentre sur des programmes caritatifs concrets.
David Bronner – Dr. Bronner’s Magic Soaps
David Bronner est un PDG d’un genre différent – littéralement. En 2015, il est devenu le Cosmic Engagement Officer de Dr. Bronner’s Magic Soaps, suivant la voie tracée par son excentrique grand-père, Emanuel Bronner. David a défendu des causes liées à la réforme de la législation sur les stupéfiants, aux droits des animaux, aux OGM et aux pratiques commerciales équitables. Les salaires des cadres de Dr. Bronner’s sont plafonnés à cinq fois le salaire de ses employés ayant le plus bas salaire, et un tiers de ses bénéfices est consacré à des actions caritatives et militantes.
Derrick Emsley – tentree
En tant que PDG de tentree, Derrick Emsley navigue en toute connaissance de cause entre le monde des affaires et celui de la protection de l’environnement. La marque qui prône l’art de vivre plante dix arbres pour chaque produit vendu, ce qui a permis de planter près de 100 millions d’arbres dans le monde, tout en créant des produits fabriqués dans des conditions de travail équitables avec des matériaux recyclés et issus de l’agriculture durable. Emsley s’est également efforcé d’apporter plus de transparence à l’espace mondial de reforestation.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/ces-pdg-qui-n-ont-pas-vendu-leur-%C3%A2me-au-diable/ss-AA1yUrsS?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=61267db94122433ba9dbb37806a081fd&ei=9#image=1
Écrit par : Allusion | 12/02/2025
"La liberté d'expression est en retrait": le vice-président américain s'en prend aux Européens dans un discours moralisateur
Il était attendu sur l'Ukraine, il a préféré donner aux Européens une leçon sur la démocratie, épousant les vues des partis extrémistes : à Munich, le vice-président américain JD Vance a creusé un peu plus le fossé entre Washington et ses alliés européens, notamment l'Allemagne.
Vendredi, à la Conférence de la sécurité de Munich (Allemagne), il n'a fait qu'effleurer le conflit ukrainien et la feuille de route des Etats-Unis en vue de mettre fin aux hostilités pour se concentrer sur un discours à charge contre les Européens, des alliés historiques de son pays au sein de l'Otan, à propos du respect du droit de vote et de la liberté d'expression.
"En Grande-Bretagne et à travers l'Europe, la liberté d'expression, je le crains, est en retrait", a-t-il déclaré, causant la stupeur dans son auditoire.
Un "recul" qui l'"inquiète" plus que la menace de "la Russie", "la Chine" ou d'un "autre acteur externe".
Le président américain Donald Trump a ensuite emboîté le pas à M. Vance, s'inquiétant de voir l'Europe, selon lui, "en train de perdre son merveilleux droit à la liberté d'expression".
"L'Europe a un gros problème d'immigration", a également ajouté Donald Trump, interrogé par des journalistes à la Maison Blanche.
Dans son discours, M. Vance a en particulier évoqué le cas de la Roumanie, où le premier tour de la présidentielle a été annulé par la Cour constitutionnelle. Le candidat d'extrême droite Calin Georgescu était arrivé contre toute attente en tête du scrutin avec plus de 20% des voix, en faisant principalement campagne sur la plateforme chinoise TikTok, soupçonnée d'avoir été manipulée.
La décision d'annuler cette élection s'est faite "sur la base des faibles soupçons d'une agence de renseignement", a estimé JD Vance, dénonçant "une énorme pression de ses voisins continentaux" sur la Roumanie.
Si "votre démocratie peut être détruite avec quelques centaines de milliers de dollars de publicité numérique d'un pays étranger, alors elle n'était pas très forte", a-t-il lâché.
Ce discours devant le gotha mondial de la diplomatie et de la défense a laissé les dirigeants européens "choqués" par cette "humiliation totale", a assuré sur X le député ukrainien Oleksiy Goncharenko, présent à Munich.
Cordon sanitaire
Le pays-hôte, l'Allemagne, n'a pas été épargné quand JD Vance a fustigé le consensus autour d'un "cordon sanitaire" empêchant l'extrême droite d'accéder au pouvoir.
Le candidat conservateur Friedrich Merz, le favori des sondages pour les législatives allemandes du 23 février, a réaffirmé dimanche que son parti chrétien-démocrate (CDU) ne nouerait jamais d'alliance avec le parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD).
"Ce à quoi la démocratie allemande", comme toutes les autres, "ne peut survivre, c'est de dire à des millions d'électeurs que leurs pensées et leurs préoccupations (...) ne méritent même pas d'être prises en considération", a martelé JD Vance.
Cet appel a été vécu à Berlin comme une nouvelle ingérence de l'administration Trump dans la campagne électorale, après les soutiens répétés apportés par le milliardaire Elon Musk à l'AfD.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a "rejeté expressément" les propos de JD Vance. "De l'expérience du national-socialisme, les partis démocratiques en Allemagne ont tiré un consensus commun : c'est le mur pare-feu (équivalent du cordon sanitaire) contre les partis d'extrême droite", a-t-il réagi sur X.
Cela n'a pas dissuadé JD Vance d'ensuite rencontrer dans un hôtel de Munich la candidate de l'AfD Alice Weidel, comme l'a confirmé un responsable de son équipe.
Le vice-président "a rencontré tous les dirigeants des principaux partis politiques allemands", à savoir M. Merz vendredi à Munich et M. Scholz en début de semaine à Paris, a fait valoir la même source.
L'agence AP bannie
JD Vance a également ciblé le Royaume-Uni, et la Suède pour avoir condamné le camarade de Salwan Momika, un homme tué fin janvier après avoir suscité la colère de pays musulmans en brûlant des exemplaires du Coran.
Contacté par l'AFP, le ministre de la Justice Gunnar Strömmer a répondu que la Suède disposait de "l'une des protections les plus étendues de la liberté d'expression dans le monde", mais que celle-ci n'était pas "illimitée".
S'exprimant après JD Vance à la tribune, le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a qualifié ses propos de "non acceptables".
En Allemagne, "des partis extrémistes comme l'AfD" peuvent "faire une campagne électorale tout à fait normale", a-t-il répliqué, soulignant la présence d'Alice Weidel "en prime time à la télévision" la veille.
Et des médias "diffusant la propagande" russe peuvent participer aux conférences de presse du gouvernement, a-t-il aussi dit.
Quelques heures plus tard, la Maison Blanche a annoncé que l'agence Associated Press était interdite d'accès au Bureau ovale et à l'avion officiel de Donald Trump, pour une durée illimitée, en raison de son refus d'appeler le golfe du Mexique "golfe d'Amérique".
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/la-libert%C3%A9-d-expression-est-en-retrait-le-vice-pr%C3%A9sident-am%C3%A9ricain-s-en-prend-aux-europ%C3%A9ens-dans-un-discours-moralisateur/ar-AA1z6gTh?ocid=msedgdhp&pc=ENTPSP&cvid=1d9547975f3f4a838403effc637f98ce&ei=12
Écrit par : Allusion | 15/02/2025
Trump affirme qu'il est au-dessus de la loi
Donald Trump a cité Napoléon Bonaparte dans un message publié sur les médias sociaux après que plusieurs de ses décrets ont été contestés devant les tribunaux américains.
Depuis son entrée en fonction, le président a signé de nombreux décrets sur diverses questions, mais certains ont été bloqués par le pouvoir judiciaire.
« Celui qui sauve son pays ne viole aucune loi », a-t-il écrit sur Truth Social et X.
Le compte officiel de la Maison Blanche a également re-partagé le message, suggérant que le président ne peut pas être considéré comme violant la loi américaine.
Donald Trump, dont les décrets sur le financement des programmes fédéraux, le licenciement des travailleurs sociaux et la redéfinition du 14e amendement ont été annulés par les tribunaux, a fait référence à une citation souvent attribuée à l'empereur français.
La phrase provient en fait du film Waterloo (1970), réalisé par Rod Steiger, dans lequel l'empereur français affirme qu'il n'a pas volé la couronne de France. « Je l'ai trouvée dans le caniveau, je l'ai ramassée avec mon épée, et c'est le peuple [...] qui me l'a mise sur la tête. Celui qui sauve une nation ne viole aucune loi », dit le personnage.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/trump-affirme-qu-il-est-au-dessus-de-la-loi/ar-AA1zddp6?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=b0032de39ffa4254c2973f93944a765a&ei=7
Écrit par : Allusion | 17/02/2025