Les cantiques du quantique (28/06/2019)

0.PNG 1. "Au-delà du quantique à la découverte d'un nouveau monde", tel est le titre du S&V du mois de mai.

2. Le quantique est revenu le mois suivant dans un autre S&V sous le titre "L'ordinateur quantique. Vers un mariage avec l'IA".

3. "La Conjuration de Göttingen", le livre de Jérôme Legras en explique les prémices sous forme de thriller historique, ce qui en fait toute son originalité...

Le quantique résonne comme une nouveauté alors qu'il a déjà cent ans d’existence.

Alors qu'est-ce qui créerait ce nouvel engouement en 2019 ?

Cent ans d'hypothèses et d'expériences sur la théorie du quantique et voilà que l'on pousse une nouvelle théorie qui viendrait au-dessus d'elle alors que la théorie de la relativité reste incompatible avec celle du quantique.

Si la théorie de la relativité semble plus concrète pour de plus en plus de scientifiques et de pseudo-scientifiques d'aujourd'hui, les effets de la théorie et des objets quantiques restent toujours pleins d'ubiquité et de télépathie déstabilisante et paradoxale puisqu'on ne peut la décrire avec des moyens pour en interpréter les formalismes et en extraire un énoncé sur la Nature.

Reconstruire cette théorie à partir d'assertions physiques simples a permis de créer plusieurs modèles mais qui contiennent trop de présupposés de natures différentes.

Passer par le "quasi-quantique", le "super-quantique" en tirant chaque fil de l'étrangeté quantique serait-il remonté à la source par émulation ?

En quantique, les effets peuvent précéder les causes et les causes précéder les effets jusqu'à en perdre la raison.

Un électron peut avoir une infinité de positions dans l'espace.

Un photon peut passer par deux trous à la fois dépendant de la mesure qu'un observateur ne pourrait plus que déduire qu'à un moment donné, un bit est "0" et "1" en même temps sous forme d'un qubit.

Le fameux "to be OR not to be" devient à cette échelle 'to be AND not to be" en même temps.

L'expérience de la double fente de Thomas Young explique cette ambiguïté via des ondes passant entre deux fentes

Le concept de causalité est déjà débattu au cœur de la relativité d'Einstein mais n'allait pas aussi loin. 

L'intrication quantique de deux particules forme un système lié dépendant l'une de l'autre quelle que soit la distance qui les sépare alors qu'un observateur en un temps local instantané ne pourrait déterminer sa position de manière assurée dans un temps global comme si l'espace n'existait plus. 

La nouvelle interprétation des phénomènes suppose que le quantique et la relativité seraient indépendants et constitués comme un sous-système ou un cas particulier d'un ensemble plus grand encore qui tisse des liens plus intenses en s'emboitant les uns dans les autres comme des poupées russes au risque d'invalider chaque particularisme.

Le principe d'indétermination se généralise dans cette nouvelle voie de la physique en suivant le principe d'incertitude d'Heisenberg qui prenait déjà à rebours notre bon sens classique relié à la position et la quantité de mouvement qui ne peuvent pas être mesurés simultanément.

Le théorème de Kochen-Specker prouve que l'on ne peut observer une situation que logiquement dans un contexte précis en fonction de sa probabilité d'y exister et pas dans sa globalité en mouvement. L'avantage quantique en calcul vient de cette contextualité qui permet d'espérer une puissance colossale par des ordinateurs quantiques.

Nous sommes devant le grand retour de la théorie du Tout avec d'un côté la relativité générale définissant la gravité comme une propriété de l'espace-temps plat et statique qui se courbe seulement sous la masse de l'Univers à grande échelle et de l'autre, la mécanique quantique définissant les échelles infimes des atomes, électrons et autres particules, bosselé et dynamique.

Depuis cent ans, il y a eu une multitude de tentatives pour réconcilier les deux sœurs ennemies.

L'inventeur de l'ébauche de la "Théorie du Tout", Hermann Weyl, débute dans cette voie dès 1918 qui se poursuit avec dans un désordre chronologique volontaire par Albert Einstein, Théodor Kaluza, Arthur Eddington, Roger Penrose, Andreï Sakharov, Stephen Hawking et enfin, Carlo Rovelli, Léonard Susskind, Alain Connes, Wolfgang Pauli, John Thomsson...

"La Théorie du Tout" a été évoquée en 2008 dans ce billet.

En 2013, il était question d'une nouvelle révolution de la physique dans cet autre billet et en 2014, de "La clé de psi ψ" avec son "saut quantique" de l'infiniment grand à l'infiniment petit.

C'est dire que ce qu'on n'a pas fini de parler du mot "quantique" vu qu'il passionne scientifiques et médias...

Juan Maldacena rêve d'un univers à dix dimensions dans lequel les particules seraient des cordes minuscules vibrant comme un violon se déroulant à la frontière de l'univers ou d'un multivers pour d'autres.

La théorie des ondes gravitationnelles quantiques à boucle prend le pas mais restent comme la plus aboutie.

En partant de la causalité, la non-localité, la contextualité, cette nouvelle voie quantique se lance vers l'idée d'une gravitation chercher liée comme dans un Tout simplifié.

N'est-ce pas le but de la Physique de chercher à simplifier notre vision de la vie? 

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Le S&V du mois de juin parle de l'ordinateur quantique qui organiserait un grand mariage avec l'Intelligence artificielle

1.PNGL'Intelligence artificielle et l'ordinateur quantique étaient fait pour se rencontrer, d'après Roman Ikonicoff.

En janvier, Antonio Corcoles parvenait à expérimenter un ordinateur quantique qui reconnaissait une forme sans être programmé en combinant les deux technologies d’extrêmement petit, disruptives et abstruses qui représentent le mariage idéal de photons et d'atomes où les qubits sont des microcircuits supraconducteurs, intriqués les uns avec les autres qui en perdant leur individualité, écrasent la puissance informatique classique.

Petite restriction, ils le font seulement pour quelques opérations avec une poignée du qubits, limitant les calculs à des cryptages de données et à la simulation de système élémentaires alors que l'IA qui n'a pas de soucis avec l'augmentation exponentielle de calculs.

Le hic, c'est sa sensibilité aux perturbations qui rend le processus inopérant quand les qubits deviennent plus nombreux.

En 2016, j'écrivais avec un humour sarcastique dans "Quand la pensée humaine s'intègre dans la machine" dans lequel il est dit que l'on pense quantique, que nos états d'esprit se superposent, que nos jugements interfèrent, que nos pensées peuvent s'intriquer et que nos perceptions oscillent quantiquement pour éclairer la psychologie humaine.

Un billet dans lequel la vidéo "Que sait-on vraiment en réalité" dit que "plus on étudie la physique quantique plus le mystère s'épaissit mais qu'elle est la physique des possibilités déterminées entre notre perception du monde immense et la réalité qui, selon les époques, est basée sur des hypothèses spécifiques avec des assomptions cachées vraies ou fausses mais dont l'histoire nous conte les péripéties a posteriori. Elle nous fait porter l'entière responsabilité sans fournir de réponses explicites et réconfortantes. Le véritable art de vivre, ce n'est pas la connaissance, mais la réceptivité au mystère".

L'ordinateur que nous utilisons le plus couramment est numérique alors que nous pensons de manière quantique et souvent analogique par les comparaisons entre les choses.

D'où le retour au S&V précédent qui parle des robots en quête de savoir-vivre car rien ne sert d'être une intelligence artificielle, il vaut mieux qu'elle ressemble le plus à celle des humains qui s'adaptent à certaines règles de bonne conduite, de psychologie pour garder leur efficacité dans leurs interactions par les émotions, l'intimité, l'échange des regards et l'identification des groupements avec les humains.

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"La conjuration de Göttingen"

0.PNGLe thriller de Jérôme Legras mêle suspense, faits historiques et enjeux scientifiques, tout en plongeant le lecteur au cœur de la guerre froide et du maccarthysme.

"Jérôme Legras réussit le tour de force de rendre la physique nucléaire aussi attrayante qu'un polar", d'après un commentateur.

C'est en effet, une fiction (surtout vers la fin) mais avec des moments intenses de vérités historiques.

Toute cette histoire débute avec la découverte d'un homme retrouvé assassiné dans un cimetière.
Une enquête va débuter et entraîner deux enquêteurs dans une conspiration qui tourne autour de la science, du nazisme, de l'arme nucléaire, de la science quantique...

Ce thriller se décline autour d'une lettre disparue et d'une lettre grecque "∈", dessinée par la victime, lettre liée à une "opération Epsilon" pour lesquels certains sont prêts à tuer.

Deux périodes parallèles dans le temps se juxtaposent avec à l'origine des rencontres dans l'université de Göttingen où il y avait une pépinière de mathématiciens et une bibliothèque contenant 8 millions de références.

Max Planck fut l'un des fondateurs de la mécanique quantique, lauréat du prix Nobel de physique de 1918 pour ses travaux en théorie des quanta, la médaille de Lorentz en 1927 et le prix Goethe en 1945.

L'ère de Planck conceptualisée dans une période de l'histoire de l'Univers au cours de laquelle les quatre interactions fondamentales étaient encore unifiées.

1ère période, juin 1904, Max Planck se fâche en lisant l'article de son assistant Lorentz qu'il ne trouvait pas géniale avec sa théorie des électrons alors qu'il est attiré par son maître, Félix Klein  qui le fait rêver au programme d'Erlangen concernée par l'unification géométrique, initiée par le mathématicien David Hilbert.

Copiné avec Max von Laue, celui-ci embarque Max Planck dans un princeps relatif à la puissance allemande qui n'hésite pas à perpétrer le génocide des Herreros et plus tard, dans la 2ème période celui des juifs lors de la Shoah.... 

Tout en imposant le secret de sa parole donnée, Max Planck entraîne sa responsabilité avec la certitude d'avoir commis une erreur qui le hantera toute sa vie.

L'auteur du livre parle des savants intéressés par la liberté absolue des moyens qui leurs sont offerts pour réaliser leurs expériences avec l'impunité prise comme une vertu tout en se jaugeant l'un par rapport à l'autre. 

Considérés souvent brillants, ils risquent de devenir prétentieux à la frontière entre psychose et mal-être qualifié de trouble de la personnalité.

Mais à la fin de leur vie, ces savants se rendent comptent des erreurs commises en coopérant au bonheur et/ou au malheur du monde dans lequel on ne se fait pas de cadeau et où la confiance peut être enrayée par un besoin d'être le premier ou le meilleur dans une course sans fin aux alouettes parfois en chevalier de l'Apocalypse.

Par nature, un scientifique ne s’intéresse pas à la politique mais il se retrouve bien vite impliqué malgré lui à cause de ses découvertes sont embrigadés par les militaires dans des double-jeux, tour à tour comme héros, en bouc émissaires d'une idéologie glorieuse, soit par le besoin du savant de laisser son nom à la postérité par leur science, soit par patriotisme au risque de faire basculer l'humanité toute entière dans un monde nouveau vendu au comptant à ceux qui n'ont pas la science infuse pour réagir dans une conjuration, en y mêlant mensonges si nécessaire.

Dans ce monde, transitent espions et contre-espions allemands, russes et américains.

David Hilbert a maîtrisé l'école de l'université de Göttingen mais il a été précédé par les recherches de Woldemar Voigt,et peut-être influencées successivement par celles de George Fizgerald, de Hendrik Lorentz, et de Henri Poincaré qui, génie oublié de l'histoire, s'est fait dépasser sur le fil de la course des faussaires souvent allemands dans une ambiance d'avant la Guerre 14-18.

L'humble Poincaré écrivait : "Si nous travaillons, c'est moins pour obtenir des résultats positifs auxquels le vulgaire nous croit uniquement attaché que pour ressentir cette émotion éthique et la communiquer à ceux qui sont capables de l'éprouver"

La chanson de Barbara "Göttingen" évoque les guerres franco-allemandes qui ont divisé les deux pays et leurs nombreuses victimes dans des deuils qui unissent les deux nations comme un hymne à l'amitié franco-allemande.

2ème période, juin 1953, l'exécution des Rosenberg, se prépare parce qu'il sont considérés comme coupables idéals et providentiels pour McCarthy et Edgar Hoover du FBI, à la suite des fuites du "projet Manhattan" à Los Alamos lors de la construction de la bombe A qui auraient permis les bombes soviétiques avant les essais de la version H plus destructeurs.

Le téléfilm "Day One" rappelait les prémices de la création de la 1ère bombe atomique.

Ce projet "Manhattan" a opposé Robert Oppenheimer et Edward Teller qui a haï son concurrent, le jour où il a été désigné comme leader du projet.

Bien après, en 1953, l'habilitation de sécurité d'Oppenheimer a été révoquée en raison de son opposition au développement des armes thermonucléaires.

En 1960, il a rejoint ses alter-égos, Albert Einstein, Bertrand Russell, Józef Rotblat et d'autres universitaires scientifiques renommés pour fonder la "World Academy of Art and Science".

En 1963, à la suite de pressions d'amis occupant des postes politiques importants, le président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy, le réhabilite politiquement en lui remettant officiellement le prix Enrico-Fermi sous les recommandations de son ancien "ennemi" Edward Teller dans un but de réconciliation.

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Conclusions personnelles au sujet de ce livre

Ce thriller soulève beaucoup de lièvres cachés.

Des physiciens et mathématiciens prestigieux souvent allemands qui se retrouvent aux États Unis après la guerre 40-45 comme Albert Einstein, Niels Bohr, Otto Hahn, Enrico Fermi, Louis Slotin, Jean Perrin, Werner Heisenberg, Marcel Grossman, Paul Drude ..

Tous parfois en jouant des coudes ou à coups de poker ont tous cherché à être le premier à découvrir cette science infinie qui expliquerait tout au sujet de l'histoire du quantique qui relierait toutes les théories.

De Einstein, j'en avais déjà touché quelques mots dans "Le monde d'Einstein"

Johannes Stark et Philipp Lenard n'y ont pas cru et Klaus Fuhs n'y a été que l'exécutant.

Les ressemblances entre ce monde scientifique et celui des nouvelles technologies numériques est assez troublant dans leurs concepts théoriques et leurs "gadgets" évolutifs.

Peu de physiciens, de mathématiciens ou faisant parties des nouvelles technologies ont été réellement révolutionnaires mais seulement évolutionnaires.

Il y a les suites des inventions et des idées que les "vendeurs" en ont tirés sous forme de "marketing" qui avec l'aide des médias parfois complices des mensonges malgré eux, sont devenus des symboles scientifiques à l'échelle mondiale ou des gourous dans les nouvelles technologies qui se sont construites derrière les voiles de la complexité des problèmes alors qu'au fond, ce sont les simplifications de ces concepts complexes par la vulgarisation qui forment les vrais génies.

Dans le monde d'Internet, il me viendrait tout de suite à l'esprit l'inventeur des hyperliens dont il était question dans "The light and the dark of the Web" et probablement quelques autres dans le monde du numérique comme l'inventeur de la souris qui a pris tellement de formes par la suite...

Dans le monde scientifique, la formule E=MC2, imaginée par Poincaré reste la seule entrée dans l'esprit du commun des mortels qui ne demande pas dix ans de cours de physique ou de mathématique...

Dans ces multiples recherches, la paternité des découvertes a quelquefois été usurpée tout comme la responsabilité pour le moins de ce qu nous connaissons aujourd'hui ou la culpabilité pour le plus, ont été effacées derrière des fantasmes.

Amusant de constater que la science numérique et la science nucléaire, même parallèles, c'est à dire sur des lignes qui ne se touchent pas au premier coup d’œil ou alors à l'infini, utilisent les mêmes concepts de recherches d'un monde meilleur par ses applications à des fins humanistes et qui se révèlent désastreuses pour l'humanité au côté verso d'une même pièce.

C'est par manque de recul sur le temps, sans vue globale que les niveaux locaux sombrent au niveau général en se révélant négatif voire nocif et dangereux.

Je me trompe peut-être, j'oublie beaucoup de choses dans mes conclusions, j'en suis conscient...

Ce mercredi, le 28' de ARTE présentait un débat sur le nucléaire:podcast.

L'énergie nucléaire se produit via deux procédés différents dont le deuxième n'était même pas évoqué dans le débat par manque de vision globale d'un même problème "énergétique":

  1. la fission nucléaire des atomes lourds pour laquelle il a fallu 4 ans pour mettre en production
  2. la fusion nucléaire des atomes d'hydrogène qui est utilisé par le soleil pour fournir son énergie et qui elle n'a pas les points négatifs de la fission mais qui demande beaucoup plus de temps au stade de l'exploitation. 

Dans un logiciel informatique, chaque élément, module ou objet est le plus souvent conçu et testé séparément pour raison de facilité fonctionnelle.

Les problèmes se produisent au moment de les faire travailler ensemble dans un environnement réel et entier dans une réaction en chaîne non contrôlée.

Le cas des deux avions Boeing 737 MAX 8 qui se sont écrasés récemment, ne sont qu'une preuve de plus dans ce lien avec la conformité réelle du terrain et de l'environnement dans lesquels ils sont confrontés quand deux systèmes s'opposent dans leur action : les capteurs d'incidence de l'angle d'horizontalité de l'avant de l'appareil et le système anti-décrochage des stabilisateurs à l'arrière. 

Les données input sont parfois tellement invraisemblables théoriquement qu'elles en deviennent non prévisibles pratiquement.

Malgré cet aspect pléthorique des thématiques, Jérôme Legras a réussi son pari de faire comprendre que la science peut-être un alibi et les technologies, des complices, en pouvant entraîner les fanatismes imaginatifs vers des extrémités qui n'ont rien d'enviables.

En Postface du livre de Jérôme Legras, celui-ci écrit "Tous les faits historiques relatés sont réels. La réalité, comme toujours, est plus subtile même si je crois n'avoir rien dénaturé sinon par une légère entorse chronologique. Le "Vril" à l'origine antique des Aryens, la mythique Ultima Thulée puisent dans l'antisémitisme sa renaissance dans les théories occultes qui ont contribué à l'abominable édifice idéologique nazi."

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L'année 2019 serait selon le S&V de mai celle qui irait par 4 pistes au-delà du monde quantique au travers de 5 énigmes. Mais pourquoi est-ce que je parle de quantique alors que les vacances arrivent et que plus personne n'a envie de parler de cela ?

Bien sûr, j'ai lu ce livre de Jérôme Legras pendant mes propres vacances dont j'ai parlé dans les deux précédents billets et ces deux derniers S&V et j'avais rencontré un couple français dont le mari avait eu aussi une formation de chimiste.

Lui, en avait fait sa profession et moi, seulement une carte de visite.

Lui avait des problèmes à lire sur écran informatique et avait un besoin de toucher du papier et moi j'avais utilisé ces écrans dans leur virtualité dans une profession de foi pour lire les informations du monde.

J'ai aussi pensé aux étudiants en physique et en chimie qui doivent avoir encore beaucoup de cantiques de quantique dans la tête après leurs examens.

Vadot pourrait les remettre sur les pieds de l'actualité, du sport et de la politique ou les en éloigner définitivement.

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Je ne sais si les deux manières d'appréhender celles-ci vont se réunir un jour, mais peut-être deviendra-t-il lui-même lecteur de ce blog dans, au moins, une réconciliation de la société civile dans des différences de cantiques devenus tout aussi quantiques entre une ou deux fentes...


Alors que dire ?

Le super-quantique deviendrait-il un cantique au chant de grâces en langue commune par la simplicité de fonctionnalités du "Tout unifié" ?

Non. Probablement que la meilleure idée est celle qui n'existe pas encore...

Il fait trop chaud pour travailler, pour penser ou même pour en rire et pourtant je vous invite...

C'est la fin du mois de juin et la fin des "Instants" de la Première radio

Il y a eu la dernière chronique de Manon Lepomme podcast
Bruno Coppens trouvait que dans les deux mois qui nous séparent, c'était un cauchemarpodcast2.PNG

0.JPGL’au-revoir de Thomas Gunzig tentait d'identifier la société civile, le RIC comme on dit en France podcast
Jannin et Liberski (par la vidéo) avaient des tronches pour l'occasion derrière des gadgets fournis sur le Webpodcast
Alors, si en plus, le résumé de la semaine de Walid dit qu'elle a été inutile... podcastalors ...

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Bonnes vacances à tous,

Pensez au climatiseur,

Faites du sport,

N'allez pas du côté du Golfe persique où il fait une chaleur non sceptique mais torride-neurologique...

Et, si vous allez en avion choisissez le standing de SN puisque 0.JPG

0.JPGmême si comme dans le temps avec la Sabena vous y seriez déjà,

 

 

Eriofne,

 

26/7/2019: Microsoft investit un milliards de $ dans le projet OpenAI 
Le but
concevoir une intelligence artificielle meilleure que l’Homme sur tous les plans.

Le projet d’OpenAI porte le nom d’AGI ou Artificial General Intelligence. Il s’agit de concevoir un système d’intelligence artificielle avec les mêmes capacités intellectuelles et les mêmes capacités d’adaptation qu’un être humain mais plus performantes. Des capacités qui permettront à l’IA de surpasser l’Homme dans absolument tous les domaines. Selon Greg Brockman, directeur de la technologie chez OpenAI, « la création d’AGI bénéfiques constituera le développement technologique le plus important dans l’histoire de l’humanité, avec le potentiel de façonner la trajectoire de l’humanité ».

 

31/10/2019: L’œil de Pasquale Nardone sur les algorithmes de la physique quantiquepodcast.

14/11/2021: Pasquale, cette fois, c'est sur les ordinateurs quantiques
podcast

15/2/2023: La plume de Thomas Gunzig associe le quantique à la politique belge
podcast
 
 

 

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