La guerre moderne (2-3) (21/11/2025)
Le mois dernier 1er opus "Le Grand Maitre virtuel" écrit en 2008.
2ème opus : "Le dauphin virtuel" écrit en 2019.
Pourquoi 11 ans de décalage ?
Question sans réponse ?
Non, elles suivent l'évolution des personnages tout simplement dans le temps.
...
Journal de la semaine
Début octobre, LN24 invitait Nicolas Vadot pour son nouveau livre de dessins au sujet de "Les années Trump saison 2" alors que je venait de lire "Quitter le monde" de Douglas Kennedy.
Cette semaine, à la même place, c'était Pierre Kroll pour son nouveau livre "Dans quel monde on rit". Interview
Je reprends mes deux dessinateurs préférés pour présenter l'actualité de cette semaine
Samedi, à la FNAC, Pierre et son livre à dédicasser. Je lui ai dit qu'il avait choisi une mauvaise place ou un mauvais temps. Lui, dans un coin, sans bruit, avait la concurrence musicale de Alice on the Roof au piano en chantant. Mais il semblait satisfait avec la file de personnes qui attendaient pour recevoir le dessin personnalisé dans son livre.
Ce mois, perso, je me suis payé (verbe qui établit un prix pour celui l'écriture du donneur et un peu moins pour le lecteur receveur) une révision de mon passé en 4 épisodes
- Si pas de patrimoine, pas de futur
- Arpentage du numérique
- L'heure des prédateurs
- Un Geek après l'heure
Pour couronner le tout ou pour le prouver, une visite dimanche lors de la "Journée de l'artisan" de "Concept chocolate".
Non, je n'ai rien d'un artisan, et encore moins d'un artiste.
J'ai suivi les concepts du numérique en testant les machines pendant 40 ans, concepts que j'ai poursuivi pendant plus de 20 ans de tests des hommes en signant "L'enfoiré" puis "Eriofne" et enfin "Allusion" (Manière d'éveiller l'idée d'une personne ou d'une chose sans en faire expressément mention) avec le prénom d'Alfred d'origine anglo-saxonne, composé des mots « ælf » (elfe) et « rēd » (conseil). Il signifie donc « conseil de l'elfe ». Son utilisation en France est un emprunt plus récent à l'anglais.
En définitive, après toutes ces dernières années, j'ai trouvé que les machines étaient plus faciles à comprendre que la psychologie des hommes.
On fait ce qu'on pneu, on n'est pas des chambres à air, non ?.
Cherchez pas Doc, un intello comme moi, a deux mains gauches, tout est dans la "Tête et les Jambes", comme le jeu télévisé des années 60 et 70.
Cette année, je me suis payé deux IRM : une pour le genoux er une autre pour la têtes. C'est pas peu dire.
Entre les deux, je m'en occupe autrement.
...
Résumé du 1er épisode le "Grand Maitre virtuel".
Ce 1er épisode, fut mon 1er eBook. Dans les années 2008, les hackeurs sur Internet commençaient leur vie de corruption des internautes.
Mon héros Vic, hackeur idéologique, se faufilait dans des réseaux sociaux comme dans du beurre.
Tout changea quand son manège avait été découvert par Greg, un gars plus jeune que lui. Celui-ci ne suivait aucune idéologie mais une solution pour faire sa fortune personnelle.
Obligé de l'accepter Vic ne se rendait pas compte qu'il avait introduit le diable dans sa tannière.
Après un gros coup, Greg a assassiné Vic, il s'est enfuit et a été capturé par la police à l'endroit où il voulait s'installer.
Aujourd'hui, le hacking sur internet est devenu money courante. Pour arnaquer, le spoofing qui consiste à usurper le rôle des autorités compétentes dans le but de soutirer l'argent des innocents aux mains pleines.
Des logiciels de précaution payants ou gratuits existent et apportent une première protection nécessaire sur Internet mais avec un effet retard.
Tout le monde s'espionne dans les réseaux dits "sociaux".
C'est dans les airs que l'espionnage se manifeste désormais.
On ne parle plus que du survol de drones.
"Des drones pas drôles", dira-t-on.
Mais si, ils peuvent l'être quand on prend encore plus d'altitude que les drones eux-mêmes comme fait le cactus
.
Quels sont les zones sensibles ?
Quand j'ai écrit "OTAN suspend ton vol", je ne ne pensais pas mieux dire même sans parler de drones. "Le site de l'OTAN donne les dernières évolutions, non par des drones mais par des satellites pour donner la photo de Google Map qui montrait une vue du ciel alors qu'il était interdit de prendre les moindres photos de l'OTAN à partir du sol. Amusant non... En me rapprochant, je parvenais à voir ma voiture garée à l'époque, là où je travaillais.
En s'élevant un peu, les coulisses de l'Europe expliquent notre situation
.
"Le Dauphin virtuel" est toujours une fiction. Mais son texte n'est plus narratif come dans le 1er opus. Il n'est pas décrit de manière subjective par un observateur. C'est Greg lui-même qui devient le personnage principal et qui parle à la première personne du singulier en utilisant le pronom "JE". Un avantage pour celui qui écrit, qui se met ainsi dans la peau de son personnage pour mieux le comprendre.
Ce n'est pas moi, bien entendu, mais il y a des caractères de ressemblance qui apportent un goût de déjà vu.
Il habite désormais dans une cellule de la prison de Forest pour purger un crime et avoir abusé de la confiance envers ceux qu'il a hacké avec Vic après sa condamnation...
Nicolas Sarkozy, un tour à la Santé et puis rentre après 3 semaines pour des abus financiers avec l'entremise de la Libye
Sarkozy constate que la prison, c'est dur, très dur et éreintant.
Greg raconte sa vie en taule depuis près de 10 ans avant de connaitre une nouvelle aventure.
La plume de Thomas Gunzig s'interroge sur la différence entre les manières de faire fortune
Généralement, on apporte des oranges en prison pour des raisons symboliques, notamment en raison de sa rime avec le mot "ange" et de son aspect réconfortant, et non pour des raisons pratiques liées à l'alimentation. Historiquement, l'orange était un cadeau de luxe, et elle est devenue un symbole de joie et de soleil pendant l'hiver, en particulier à Noël.
Alors, je me suis rappelé de mon chanteur favori de ma jeunesse avec l'Orange
Oui, il peut y avoir du bon d'être en prison.
On peut intéresser les gens du dehors.
La prison sera-t-elle par la grande évasion des mots ?
Le mois prochain l'épisode 3 de la guerre moderne
Allusion













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Depuis le 19 novembre 2025, un projet de plan de paix en Ukraine, voulu par Donald Trump et rédigé par l’émissaire américain Steve Witkoff en lien avec Moscou, circule discrètement entre chancelleries. Révélé par Euractiv, il prévoit que Kiev cède des territoires au Kremlin et réduise ses capacités militaires. Pourtant, « les Européens n’ont pas été consultés », a confirmé la Haute représentante Kaja Kallas, ajoutant : « Pour qu’un plan fonctionne, il faut que les Ukrainiens et les Européens y adhèrent ». Ce désaveu diplomatique inquiète Bruxelles : la paix, si elle est obtenue au prix d’une déstabilisation des marchés énergétiques et d’une perte d’influence stratégique, pourrait coûter cher au continent.
Bruxelles tenue à distance d’une paix américano-russe
Les négociations du plan Trump-Poutine se sont déroulées dans le plus grand secret, à Washington, Doha et Istanbul. Selon Le Point, l’administration Trump et la Russie ont rédigé un document en 28 points « orienté en faveur de Moscou », prévoyant la reconnaissance de la Crimée et du Donbass comme territoires russes et la neutralisation de l’armée ukrainienne. Mais pour l’Europe, c’est moins la géopolitique que la méthode qui choque : la décision de discuter de la paix sans l’Union européenne. À Bruxelles, plusieurs responsables estiment que cette mise à l’écart mine l’unité transatlantique et marginalise les efforts de médiation menés depuis 2022.
« L’Europe est le principal soutien de l’Ukraine, tant sur le plan financier que militaire », a rappelé le ministre polonais des Affaires étrangères Radosław Sikorski. Selon l’Institut de Kiel, les États membres de l’UE ont déjà consacré plus de 88 milliards d’euros à l’aide militaire et humanitaire à Kiev depuis le début de la guerre. Pour les capitales européennes, être exclues d’un accord sur la paix revient donc à en subir les conséquences sans en maîtriser les termes.
Cette inquiétude est partagée par plusieurs diplomates. Le ministre danois Lars Løkke Rasmussen a souligné que « le soutien général à ce plan restait incertain », précisant qu’il fallait d’abord « déterminer si ce sont réellement les grands acteurs qui sont à l’origine de ce plan ». L’Europe redoute un scénario où Washington et Moscou scelleraient une entente bilatérale au détriment de son équilibre énergétique et de ses échanges commerciaux.
Les marchés européens face au risque d’une paix instable
Derrière la promesse d’une paix rapide, les économistes européens voient un risque majeur pour les marchés. Selon Les Échos, la perspective d’une levée partielle des sanctions américaines sur la Russie pourrait « déstabiliser la politique énergétique européenne », alors que le continent a investi plus de 210 milliards d’euros dans la diversification de ses approvisionnements depuis 2022. La possible réouverture du commerce énergétique avec Moscou, encouragée par Washington, fragiliserait les contrats signés par les États membres avec la Norvège, le Qatar ou les États-Unis pour compenser le gaz russe.
De plus, le plan de Donald Trump inclurait, selon Le Point, des clauses restreignant les exportations d’armes européennes vers l’Ukraine et limitant la taille de son armée. Ces dispositions inquiètent les industriels de la défense, déjà touchés par la baisse de la demande. En France, l’action de Thales a reculé de 3,2 % à l’ouverture de la Bourse le 20 novembre, tandis que Rheinmetall a perdu 2,7 % à Francfort. Pour le politologue britannique John Lough, du Chatham House, « ce plan n’a aucune chance d’être appliqué », mais il « envoie déjà un signal néfaste aux investisseurs européens, qui craignent un gel prolongé des contrats de reconstruction ».
Enfin, la question du coût de la paix préoccupe Bruxelles : si Kiev devait céder 15 % de son territoire, comme le prévoit la version divulguée du document, le plan de reconstruction européen de 50 milliards d’euros serait à renégocier, avec des incertitudes sur la gestion des zones annexées.
Une paix qui redessine l’ordre économique européen
En coulisse, les chancelleries européennes redoutent qu’une paix imposée par Washington et Moscou ne marque la fin du leadership économique européen sur l’Ukraine. D’après Euractiv, « l’Europe exige d’être impliquée dans ces décisions », car sa sécurité — mais aussi ses intérêts industriels — dépendront de l’issue du conflit. Le ministre français de l’Europe, Jean-Noël Barrot, l’a résumé sans ambiguïté dans Le Point : « Nous voulons la paix, les Ukrainiens veulent la paix, une paix juste qui respecte la souveraineté de chacun […], mais la paix, ça ne peut pas être la capitulation ».
Au-delà de la morale politique, cette mise en garde traduit un enjeu économique. L’Union européenne est le premier partenaire commercial de l’Ukraine, avec 40 % de ses échanges extérieurs. En cas d’accord unilatéral piloté par Washington, Bruxelles pourrait voir son rôle dans la reconstruction marginalisé au profit d’entreprises américaines ou russes. Selon Les Échos, les milieux financiers de Francfort et Paris craignent une « diplomatie du deal » à l’américaine : Washington proposerait d’alléger les sanctions contre Moscou en échange de contrats énergétiques et d’investissements massifs, notamment dans le secteur pétrolier.
Enfin, certains experts redoutent que le plan de Donald Trump ne vienne fissurer le marché unique européen en matière d’énergie. Une levée partielle des sanctions sur les hydrocarbures russes créerait une concurrence inégale entre États membres encore dépendants du gaz russe (comme la Hongrie ou la Slovaquie) et ceux qui ont engagé des efforts de transition coûteux. Comme le souligne Euractiv, « la sécurité de l’Europe sera renforcée ou affaiblie en fonction de l’issue de cette guerre ».
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/plan-de-paix-de-trump-l-europe-marginalis%C3%A9e-les-march%C3%A9s-s-inqui%C3%A8tent/ar-AA1QSjaV?ocid=msedgntp&pc=HCTS&cvid=692038fd384c46f1b7b1027e6be7fd9b&ei=8
Écrit par : Allusion | 21/11/2025
Nvidia balaie les craintes d'une bulle IA... mais le doute revient sur le secteur tech
Elle relève ses prévisions grâce à la forte demande en puces IA
La société a publié des résultats trimestriels qui ont dépassé toutes les attentes, soufflant un vent d'apaisement bienvenu sur les valorisations liées à l'intelligence artificielle. Qui n'aura pas duré.
S'il fallait résumer en trois mots les résultats trimestriels du mastodonte Nvidia , ce serait: "Quelle bulle IA?". Tout le secteur lié à l'infrastructure de l'intelligence artificielle a poussé à l'unisson un ouf de soulagement en voyant les chiffres délirants de la plus chère entreprise au monde.
Le chiffre d’affaires a bondi de 62%, à 57 milliards de dollars et le bénéfice s'est établi à 1,30 dollar par action, dépassant tous deux les attentes des analystes. L’activité principale liée aux data centers a généré 51,2 milliards de dollars de revenus, également mieux que les 49,3 milliards prévus.
L'entreprise place donc la barre haut pour le trimestre en cours, s'attendant à un chiffre d'affaires de 65 milliards de dollars, plus ou moins 2%, contre une estimation moyenne de 61,66 milliards de dollars, selon LSEG. On retiendra ici les mots particulièrement édifiants du CEO Jensen Huang, selon qui "les ventes des puces Blackwell sont hors normes" et les "GPU cloud en rupture de stock".
La réaction des marchés ne s'est pas fait attendre, le titre Nvidia bondissant d'emblée de 5% dans les échanges après-bourse et de plus de 4% à l'ouverture ce jeudi, portant le Nasdaq à plus de 2% et d'autres grands noms technologiques, comme Alphabet , mais avec des gains considérablement réduits dans le courant de l'après-midi... Jusqu'à ce que Nvidia chute finalement dans le rouge, 2h30 après le début de la séance.
https://www.lecho.be/les-marches/actu/actions-bourses-etrangeres/Nvidia-balaie-les-craintes-d-une-bulle-IA-mais-le-doute-revient-sur-le-secteur-tech/10636790.html?utm_term=LECHO_HOMEPAGE-1_0%20-%20Nvidia+balaie+les+craintes+d%27une+bulle+IA...+mais+le+doute+revient+sur+le+secteur+tech&utm_id=140502&utm_medium=email&sfmc_id=10254790&utm_source=sfmc
Écrit par : Allusion | 21/11/2025