Cultiver les relations vraies... (27/07/2014)

0.jpgLes élections sont derrière nous. Les patates sont précuites. Le grand jeu de chaises musicales parmi les élus, a commencé. Il y eut des débats et des foires d'empoigne. 

En mai, comme si de rien n'était, le magazine "Psychologies", dans sa version belge, lançait une étude qui titrait en première page "Cultivez les relations vraies".

Psychologie et politique s'associent.

A décanter, tout de même. 

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Préface

Sans référence à la politique, la rédactrice en chef du magazine donnait l'étymologie du mot "relation". Celle-ci ne se réfère pas aux liens mais au latin "relatio" qui signifie "récit ou narration". 

Les premières questions à se poser sont: 

Parler de "récit ou narration" pour suivre l'étymologie, cela semble commencer plutôt mal.

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La consistance

Pour qu'une narration soit consistante, il faut que la sauce prenne des deux côtés de la barre. Pour qu'un récit tienne la route, il faut y ajouter de l'information vraie ou de l'expérience vécue.

Emportée par sa métaphore, des mots comme "dépendance", "influence réciproque", "résonance", "subjectivité" se sont ajoutés à sa liste.

Là, on s'approchait de substantifique moelle de la "culture des âmes sensibles".

"L'analyse de ce qui se joue dans nos relations se trouve à l'intersection de nos systèmes de croyances. Cela peut ouvrir des brèches, nous permettre d'inventer de nouveaux scénarii de vie et d'enrichir nos rapport aux autres", ajoutait encore la rédactrice.

0.jpgUn système de croyance qui ne présageait rien de vrai.

Tout est interprété en fonction de paramètres très personnels en fonction de l'expérience vécue ou de l'enseignement reçu avec le miel, le sel, le poivre et toutes les épices.

Dans ce labyrinthe d'opinions, cultiver les relations intimerait l'intention d'y trouver une sortie avec une vérité entre un fond maquillé par la forme.

D'après le dossier du magazine Psychologie, quand cela craque à la base, c'est souvent une suite de malentendus, de doutes, de jalousies dans des liens de plus en plus complexes ou les lieux communs. Là, on se rapproche de la politique après avoir ajouté l'envie d'avoir un siège, même un strapontin pour exister. 

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Contacts virtuels

Déjà abordé de nombreuses fois sur cette antenne, ce sujet remonte les bretelles de temps en temps avec l'espoir que ces bretelles permettent de tenir le pantalon virtuel à la bonne hauteur.

Il s'agit de se protéger, de ne pas accepter le premier venu qui viendrait vous tendre une perche en devenant votre interlocuteur "papoteur", "loueur de temps et d'espace", de propagandiste ou de propagateurs de pub qui traînent derrière des papouilles sucrées et qui finiront par vous prendre par la barbichette pendant des heures. Inconsciemment, ces personnes deviennent toxiques en développant une intelligence dite "relationnelle".   

Nous sommes dans une époque de partage d'informations mais pas de sécurité. La cyberguerre et la cybercaresse mènent à disjoncter toutes communications.

"Amitié, échange de bons procédés"?

Sans mauvais? C'est presque croire au Père Noel.

La nouvelle tendance forumeuse incite à communiquer n'importe quoi avec n'importe qui. Exister, ce but implicite, demande un certain doigté. Les réseaux sociaux s'en sont chargés en version "non-stop". Skype y a mis une couche supplémentaire indélébile. En finale, éviter toutes manipulations devient un jeu d'équilibre délicat.

Internet est un sub-système de la vie dans lequel on a effacé la couche de précaution et de la bienveillance habituellement utilisée avec un interlocuteur dans le monde du tangible. Universel, Internet agrandit l'audience mélangeant les cultures, entraînant surprises et dérapages incontrôlés.

Sur les chapeaux de roues, les tweets sont le reflet instinctif des porte-à-faux.  Dans son propre instant de disponibilité, le tweeteur ne pense plus, il clique.

Les polémiques se construisent sans même en comprendre le fin mot et tout finit par s'emballer avec ses extrapolations. Du buzz relevé avec plaisir par les médias spécialisés.  

Sur Facebook, les rapports semblent plus sympathiques que confrontationnels mais cela ne change rien sur le bien-fondé d'une relation constructive avec un intérêt partagé. 

"Pour vivre heureux, restons caché", dit la maxime.

Internet est justement une occasion unique pour apprendre, en première ligne, ce qui se cache derrière nos petites frontières du savoir commun en dehors des diffusions médiatisées. En porte-bagage, chacun a son éducation, son histoire, ses désirs, ses émotions, à confronter et comparer pour se positionner dans ce jeu de quilles mondialisé qui ne se passerait jamais dans le monde réel de tous les jours.

S'ouvrir dans un échange, c'est sortir de soi, pour entrer dans un jeu de rôles à essayer de comprendre l'interlocuteur. Tous les chemins ne mènent pas nécessairement à Rome. Mais il faut des règles de conduites qui apportent du fond et des formes.

Sur une antenne forumeuse, certaines relations peuvent avoir des départs difficiles qui s'assouplissent en dehors de ce milieu brumeux pour garder le plaisir de confronter un avis personnel. Des dérives existent aussi.

Quand "le rituel est bien moins étendu dans le virtuel", il se déglutit plus vertement. Est-ce grave, Docteur?

Pendant cette période de crise institutionnelle belge, j'avais imaginé un débat interactif ou radioactif qui dégrisait et un duel imaginaire avec un modérateur bidon avec plus ou moins d'humour. 

Pas d'inquiétude. 

0.jpgEn général, on se retrouve dans une confrontation entre optimistes et pessimistes, entre individualistes et pluralistes, entre introvertis et extravertis, entre idéalistes et réalistes, entre dominants et dominés avec des relations parents-enfants qui ne disent pas leur nom. 

"Une haute idée de soi-même", comme l'écrivait Nabum, peut-être aussi à l'origine de raté de première classe. 

Sur Internet, les conflagrations d'opinions contraires sont parfois plus musclées que dans le monde réel, mais il y a aussi les OVNI.

Non, pas ceux des "Objets Volants Non Identifiées".

Je parle des "Ombres Virtuelles Non Identifiées".

Des ombres portées qui vous lisent et qui vous cotent ensuite, sans rien dire en vous apportant dans la charrette qui mène vers l'échafaud de l'innocence. D'autres aussi qui pendant un temps, vous envahissent de commentaires, vous utilisent comme un exutoire de leur flammes fougueuses et qui s'évanouissent dans la mémoire d'un temps jadis.

Puis, les petits derniers, les malins qui font leur pub, leur propagande sur votre compte et qui retournent toujours à l'endroit qu'ils n'auraient jamais dû quitter. 

Ces ombres "rédactrices" sortent des billets, des papiers comme ils disent, ou des commentaires sans se rendre compte qu'ils peuvent s'épuiser avec un rythme trop soutenu et qui doivent, en bout de course, s'écrasent sans matière et sans souffle.

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La psychologie de la relation

"C'est en voyant un moustique se poser sur ses testicules qu'on réalise qu'on ne peut pas régler tous les problèmes par la violence", dit la sagesse chinoise.

Oui, mais, le cerveau est loin des testicules et la polémique est un sport très humain.

L'article "Troubles de la personnalité" rassemblait le vrai psychopathe au "psycho_matheux" qui utilisait l'empathie dans toutes relations. 

Le fameux pervers narcissique n'est pas toujours celui que l'on croit.

La psychologie est encore à des années lumières pour en comprendre toutes les formes de nuisance du cerveau et y répondre.  

Vendredi, ARTE en parlait "Qu'est-ce que le mal". Ce serait une absence d'empathie dont les neuropsychiatres se demandent si elle est innée ou acquise et que l'IRM permettrait d'entrevoir et de localiser les stimuli dans le cerveau. C'est aussi remarquer que ce qui est mal pour quelqu'un pourrait être bien pour un autre.

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"Un Belge sur 50 serait psychopathe!" titrait l'article ci-dessus. Extrapolation gratuite de son auteur, car il n'en était pas question en ces termes dans l'émission enregistrée en Allemagne. Ce qui était dit en fin du documentaire était plus objectif.

"Le désir de violence pour obtenir quelque chose qu'on ne peut obtenir sans elle est lié à l'évolution. Les génocides n'ont jamais été en manque de génocidaires.".

0.jpgUne question me vient: n'est-ce pas la société elle-même qui crée des psychopathes par le fait de l'instruction dès le plus jeune âge, qui pousse à la compétition, ce qui implique d'éliminer un concurrent de la course parce qu'il gène sa propre progression? Dans un système totémiquecela devient inquiétant. L'expérience de Milgram est assez explicite des dérives potentielles de ce que l'autorité sur le disciple peut avoir de conséquences désastreuses.  

Détecter un psychopathe derrière les filets de la Toile serait encore plus difficile et ne se ferait à coup de tests de résistance. 

Des sommes folles ont été investies dans l'étude du cerveau pour ne pas tomber dans les mêmes travers par l'intermédiaire de l'intelligence artificielle intégrée dans les robots du futur.

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« On est toujours l'imbécile de quelqu'un. Ce sont mes imbéciles à moi, qui m'énervent. », disait Francis Blanche.

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Les techniques.

Apprendre à connaître l'autre, ce n'est pas la panacée, mais, une première approche à tenter. 

Cela ressemble à l'art de le la guerre de Sun Tsu sans connaitre la force de son interlocuteur avec des actions par coups de sonde, provocateur, tatillon sans placer tous ses pions sur le même champ de bataille.

En laissant une porte entrouverte après une échauffourée, chacun peut trouver une compétence à partager si minime soit-elle.

Une bonne relation se construit en acceptant de reconnaitre son erreur, en ne dénigrant pas toutes les interprétations d'une situation donnée, en lui donnant raison temporairement à l'autre interlocuteur ou en lui demandant des précisions quand on n'est pas d'accord à première vue.

C'est une règle de diplomatie essentielle qui se produirait le mieux dans un tête à tête en voyant les mimiques réprobatrices de manière proactive. 

Dans ce cas, parfois, le méchant devient bon. 

Mesurer les progrès de la relation n'est valable que si les régressions sont aussi mesurées et mesurables. 

Cela fait partie des "Goals by objectives" dans lesquels tenir des moyennes sans excès est parfois bien plus proche de l'objectivité que de mettre en exergue échecs et succès.

Les relations humaines sont complexes. Elles mettent en scène des hotspots humains. 

Sans douceurs, sans zizanies. Les relations sont recherchées comme un miroir de soi-même. 

L'écoute de ce qui se fait différemment tout en restant humble de ce qu'on ne sait pas, est une formule de sagesse.

Peur de l'enfer que seraient les autres, c'est s'exclure de fait.

Se rappeler que les rapports les plus simples entre les hommes sont souvent ceux qui existent en mode ultra-hiérarchiques, de dominant-dominé.

Ce sont des rapports qui se calquent sur un des modèles prédéfinis. 

Le "self-love" en valeur absolue est à éviter. Il ne faut pas subir ses émotions mais en être conscient.     

Nous faisons partie de la théorie des ensembles avec des points en commun de participations dans des bulles de concepts. Dans les pays les plus civilisés, c'est du "Je t'aime, moi non plus".

Dans le monde réel, il se retrouve derrière des indices vestimentaires, dans la manière de parler. L'environnement fait partie des acteurs de ce drame des relations conflictuelles. 

Dans la virtualité, c'est par la manière d'écrire, par le fond et par la forme. 

Dans les deux cas, donner confiance, c'est prendre des risques et assurer la responsabilité de la rencontre.

Les amitiés fusionnelles connaissent des trahisons obligatoires ou sans même qu'elles s'en rendent compte. Un secret partagé entre deux rend son receveur, otage, comme peut l'être le curé à confesse.

Bien sûr, plus on se sent sécurisé, moins on aura peur de l'abandon, mais les risque-tout auront plus de résultats globaux en finale.

Les béquilles ne sont plus qu'un compagnonnage avec une pratique de l'intelligence relationnelle qui dit de:

Ce n'est qu'un trouble diffus qui peut rendre anxieux, déboussolé, sans joie. S'il survient, c'est le moment où il faut fermer le ban pour annihiler l'effet nocif à la relation. Tromper sur la "marchandise", sur l'information présentée comme essentielle et qui n'est que de la poudre aux yeux, mérite le troll et la dérive. 

Avoir une meilleure écoute active ne veut pas dire attendre que son interlocuteur parle via de brèves réponses telles que « je comprends » ou un bon contact visuel ou virtuel.

Elles ne suffisent pas. Il faut un candide parmi les interlocuteurs et un meneur de jeu comme arbitre qui calme les instincts d'écraser l'autre par son "savoir" qui n'est toujours qu'une interprétation d'une réalité parmi une série de vérités. 

Il faut y ajouter la paraphrase, les renseignements et la confirmation à ce que vous communiquez.

 

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Catégoriser?

Les psys aiment catégoriser leurs clients avec des tests psychologiques.

Dans le magazine dont je parlais au début, un questionnaire d'une quinzaine de questions serait suffisant pour répartir les clients par positions, par types et par objectifs pour englober:

0.jpgC'est dire que cultiver une relation avec quiconque demande bien plus que quatre positions. 

Dernièrement, Le Vif classait les candidats aux élections dans une échelle de valeurs dont les niveaux atteints déterminaient qui était dominateur, audacieux, ambitieux, jovial, accommodant, désappointé, querelleur, consciencieux, fermé, réservé et méfiant.

J'ai relu mon billet poisson d'avril, "Zo dom & Go more".

Quand est-il resté? 

La dernière phrase: "Un plaisir fou à danser un dernier Moonwalk" et des ennemis d'hier qui sont devenus des amis d'aujourd'hui avec un siège ou un strapontin sous les fesses à bord de la gestion de la Belgique.

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Critiquable? Pas vraiment, qu'auriez-vous fait à leur place?

Les exclus sont toujours les plus grincheux. 

Le mélange de toutes les affinités idéologiques se confondent toujours dans un hasard calculé.

D'après un article, les habitudes de personnes extraordinairement sympathiques seraient:

 C'est tout l'art d'être fin que le Dr Varella explique ci dessous

(après un clic sur l'image):0.jpg

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Quand les sciences humaines interviennent

Comprendre, c'est entrer dans des cultures différentes, transiter par l'anthropologie, la sociologie, la psychologie et les neurosciences. 

Dans l'histoire, avec l'aide des philosophes et des neurologues, ces sciences humaines, chacune à son niveau respectif, tentent de catégoriser les populations pour en extraire des vérités. Vérités qui comme toutes les parallèles, ne se touchent qu'à l'infini.

Henry Sumner Maine était un critique vigoureux de la démocratie en montrant la dissolution graduelle d'un modèle social où la famille patriarcale joue un rôle de premier plan dans la définition des liens sociaux. 

Il entrait en compétition avec Edward Tylor  qui abordait les faits culturels avec une visée générale et systématique avec l'expérience du rêve que fait chaque être humain, en le poussant à dissocier le corps physique du corps psychique et arriver à concevoir que l'être humain a une âme. Selon lui, la culture serait "L'ensemble complexe qui englobe les notions, les connaissances, les croyances, les arts, la morale, les lois, les coutumes, et tout autre capacités et habitudes acquises par l’Homme en tant que membre d’une société".

Visions qui peuvent paraître complètement dépassées à notre époque du "chacun pour soi" ou de celle d'une solidarité exacerbée.

L'Homme est un animal grégaire. Il aime vivre entouré d'admirateurs dans des groupes plus ou moins homogènes avec un leader au sommet de la hiérarchie. Ses phéromones agissent pour rassembler ou pour différencier.

Le journal Le Monde du 14 juillet écrivait "Entre amis, une ressemblance génétique étonnante" parce qu'elles sont proches comme des cousins au quatrième degré. 

« D'une certaine manière, nous parvenons, parmi une myriade de possibilités, à choisir comme amis des gens qui ressemblent à notre famille », décryptait M. Christakis.

Qu'on le veuille ou non, plaire commence par soi-même mais il y a des mécanismes d'attirance et tellement de cas particuliers.

"La moule se nourrit de nous" disait l'humoriste, Sttellla.

Elle s'incruste dans les interstices des rochers pour trouver les meilleurs prises contre les lames de la mer.

Non, à la pêche aux moules, je veux plus aller, maman.

C'est promis, Sttellla.

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Le vivre ensemble, doit-il être vivre obligatoirement entouré?

0.jpgLa fiabilité n'est pas une garantie par contrat et les risques augmentent dans la virtualité et où aucun pacte de non-agression ou de béatitudes n'a été signé.

La fidélité doit-elle être la seule règle du jeu avec la fiabilité en arrière-plan?

Dans un monde de compétitions à tous niveaux, chacun a ses propres modèles de vie auxquels il s'est accommodé dans son entourage proche.

Il s'effiloche au travers du fameux "net" ou par le fait que à cause de l'éloignement, l'interlocuteur d'une relation ne risque aucun danger pour lui-même et par le sentiment d'impunité qui en découle. 

Si tout contact est un pari qui commence, sans contact "en dur", le furtif et le temporaire sont très souvent du parcours par l'intermédiaire du net. 

Est-il plus rassurant dans le concret avec des gens que l'on rencontre, que l'on croit connaître jusque dans l'intimité, face aux réalités de tous les jours?

Pas si sûr.

Connaître quelqu'un demande parfois plus qu'une vie et cataloguer quelqu'un avec une étiquette indélébile manquerait de réalisme. 

La psychologie d'un individu peut changer avec le temps et son avancée en âge.

Tout l'art réside dans une sorte de "Comedia del Arte" avec un "interlocuteur qui vous veut, en principe, du bien".

Résister aux polémiques avec humour, dans la bonne humeur et avec les mêmes règles du jeu est une bonne procédure de rapprochement.

L'enrichissement devient ainsi commun.

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 Conclusions 

0.jpgUn contact, c'est tout cela avec le Ying et le Yang qui intervient dans toutes les relations. Un Asiatique ne réagira pas de la même façon qu'un Occidental face à un problème existentiel. 

Une discussion avec une relation en tête à tête ne sera pas la même que dans la virtualité d'Internet. Les bosses et les cris sont remplacés par des mots dans cette deuxième approche.

Que l'on soit de gauche ou de droite, croyant ou non, trouver les points communs qui pourront fonctionner et faire avancer le schmilblick, sont à tenter mais ne sont pas à la portée de tous. 

Dans une relation, écouter patiemment, capter les idées instructives, novatrices, parfois antagonistes et ne rien prendre d'office pour argent comptant, sont des règles qui demandent de la souplesse d'esprit.

Un billet qui dans un forum virtuel, ne respecte pas des règles de partages, se verra d'office dévié, embourbé par quelques interlocuteurs en troll_et_bus.

Alors, faudrait-il garder son sérieux ou en rire pour ne pas en pleurer?

Bien sûr, mais seulement physiquement, dans les formes. Dans le fond, c'est autre chose. 

Vieux loup du net depuis plus de neuf ans, l'article de ce magazine de "Psychologies" m'a amusé et m'a fait remonter dans le passé parmi les copains d'avant.

Que dire, sinon "The best is yet to live" et que cultiver les relations avec doigté, franchise et persévérance, reste le meilleur moyen d'aborder un contact potentiel.




 

L'enfoiré,

 

Citations:

 

Époque où les juillettistes rencontrent les aoutiens.

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