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06/08/2012

Troublé par la personnalité?

0.jpgDans l'article précédent, je parlais de "psychopathes" avec un peu d'humour.

Un documentaire sur ARTE (1ère partie et 2ème partie) allait plus loin et présentait un certain Sam Vaknin qui disait de lui "Je suis un psychopathe". Un documentaire nous apprenait qu'il y a 1 % de la population, si l'on en croit certains experts tels que le neurobiologiste allemand Niels Birbaumer. Celui-ci estime que l'on n'étudie pas assez les ravages causés par ces patients qui s'ignorent. Le professeur Robert D. Hare doute que quiconque ayant des capacités normales de ressentir et d'agir puisse se protéger entièrement du pouvoir subtilement destructeur des psychopathes. Un psychopathe est antinomique à l'empathique.


...

Sam voulait se définir en tant que psychopathe. Un véritable feuilleton analysé par un cinéaste commençait, se poursuivait chez les médecins pour être sûr en passant par le psychologique et le neurologique.

En voici la liste des différents points dont il ressentait dans sa personnalité:

il s'affiche comme narcissique destructeur

il se dit intelligent, surdoué avec un QI de 180

il se reconnaît comme sincère

il est mégalomane

il est contradictoire

il est imprévisible

il est homophobe

il est sans scrupules 

il n'est pas sentimental

il est sans gêne sans remords

il dénie la réalité de l'autre.

il est charmeur en restant non influençable 

il est menteur porté par le seul but personnel

il a un ego surdimensionné

il est manipulateur pour suivre son instinct

il est un créatif

il jouit d'une excellente mémoire

il est capable de détruire la vie de quelqu'un autant que la sienne sans pouvoir s'en empêcher

il manifeste une violence verbale mais jamais physique

il peut être drôle surtout quand il en tire avantage de sa drôlerie

il cherche un avantage social en tout

il est harceleur par l'intermédiaire d'un poison lent

il rassemble échecs et réussites sans s'émouvoir pour autant. L'argent n'est qu'un outil, comme les autres pour arriver à ses fins

il n'a pas de vie affective stable

il donne une image cachée de lui-même avec une fausse modestie

il ne respecte que ses propres règles

il aime les personnages importants pour s'élever avec eux

il n'aime pas être contredit

il a la simulation comme étendard

il reconnaît ne pas être facile à vivre

il aime les musculations mentales comme un tordu

il insulte en permanence mais hors caméra

il est tortionnaire volontaire ou involontaire

il a parfois des pulsions morbides tout en se disant qu'il ne peut faire autrement

il ne se sent pas comme unique, mais qui fait des choses uniques

il alterne l'hypotension et l'hypertension pour augmenter le stress de sa victime

il a souvent une double vie, mais pas nécessairement sexuelle. Plutôt une attitude schizophrénique 

il regrette les talents qu'il n'a pas pu utiliser dans sa vie

il aime tester et programmer les autres 

il fait semblant de vouloir être corrigé

il sait que ses victimes font preuve d'empathie nées par la peur

il a des émotions "froides" qui ne le contracte pas après avoir eu une douleur (insula plat)

pour lui "aimer" n'est qu'une assurance loin de l'amour qu'il ressent comme fondée sur la pitié

il ne connaît pas d'ange gardien pour lui rappeler d'une quelconque morale

il se sent parfaitement adapté dans son environnement du chacun pour soi en s'intégrant dans les comportements dit "normaux"

il se sait intéressant pour tout dirigeant d'entreprise

il représente le prédateur social type

il a des affinités avec un dictateur

il est performant quand il parvient à faire faire ce qu'il pense à d'autres mais sans en prendre la responsabilité

il est considéré comme antipathique par son entourage tout en restant intéressant si pas attachant

il manque de (fou) rires, de sourires vrais

...

Michel Daerden, socialiste & psychophile

0.PNGCoïncidence de l'actualité, la Belgique vient de perdre son opposé complet en la personne de Michel Daerden. Un homme politique que la population appelait "Papa", dans sa ville et sa commune d'Ans avec l'empathie comme pouvoir sur les gens. Je l'avais décrit en 2006 comme "Notre Gainsbarde à nous". Homme de foire par son côté pitre, mais avec un QI qu'il n'a jamais essayé à connaître et qui pourtant atteignait un point du même ordre. Lui ne se proposait pas pour écrire un livre sur la Daerdenmania. On le lui demandait.

Pour le définir, je ne parle pas d'organismes psychrophiles. Mais en remontant à son origine grecque, on s'en rapproche: Un psychrophile (du grec ψυχρός / psukhros, « le froid », et φίλος / phílos, « ami »), psychrotolérant ou cryophile (du grec κρύος / krúos, « froid »).   

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...

Guy Spitaels, socialiste

Le 21 aout 2012, un autre homme politique belge vient de mourir: Guy Spitaels que tout le monde appelait "Dieu".
 
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Caricatural tout cela? Des énigmes de la personnalité? Des extrêmes mais qui se rejoignent par la séduction qu'ils manifestent mais pas sur les conséquences. Rares sont ceux qui comme Sam Vaknin tentent d'aller au fond d'eux-mêmes pour essayer d'analyser leurs pulsions et s'y reconnaître ou non. Il en vit des droits d'auteur de ses livres. C'est donc son fond de commerce, mais personne ne lui a demandé d'aller aussi loin dans sa recherche surtout avec son épouse, son antithèse, son égérie. Coupable repenti? Pas vraiment.

Intéressant de comparer des manières d'appréhender la vie.

Le cinéaste disait de Sam à la fin du reportage qu'il ne désirait plus jamais le voir dans le futur. Preuve de l'échec de son opération.

Un des points positifs de Sam, c'est qu'il ne joue pas à la violence physique comme ceux qui ne pourraient assumer leurs différences qu'en montrant leur force physique.

Décrit sur Wikipedia. C'est alors, que m'est venue l'idée d'aller sur Facebook et de le retrouver là. Là, où on trouve, peut-être, des murs mais, en principe, des amis. On l'y retrouve, en effet, comme sur tous les autres forums sociaux. Total: 1523 amis. (Michel en a 404) Étonnant. Avons-nous affaire à des amis masochistes dans le cas de Sam? Sont-ils dans les 1% de psychopathes de la population?

Je crois que ce serait mal comprendre le problème.   

La complexité du cerveau reste entière. On ne connaît presque rien de lui. Ceux qui sont opposés à Sam, ne sont pas sauvés pour autant, même pas par le gong... Ceux qui aimaient Michel  se retrouveront orphelins. Ceux qui détestent Sam, peut-être plus heureux. 

Aucun test psychologique ne détermine de manière précise et définitive, sa manière d'être, mais il donne quelques indices. 

Alors, si on jouait à s'évaluer soi-même ou par l'intermédiaire de son conjoint? Cochez les phrases qui vous (ou, si vous êtes le conjoint, qui le) concerne. Puis additionnez. Cela peut être amusant ou révélateur.  

Combien de points obtenez-vous? Attention! Avoir zéro, n'est pas nécessairement normal, tout comme le maximum, d'ailleurs....

Que veut dire la "normalité"? Existe-t-elle vraiment? Ce serait donner un autre cliché ou une caricature que de la définir.

L'enfer est pavé de tellement bonnes intentions.

Si vous voulez en apprendre plus, en connaître les raisons, c'est peut-être par la Science et par le livre "Tous narcissiques"podcastpodcast

... en effet, nous tous quelque chose de Tennessee


 

L'enfoiré,

 

Citations:

  • « Jamais la psychologie ne pourra dire sur la folie, la vérité, puisque c'est la folie qui détient la vérité de la psychologie.  », Michel Foucault 
  • « Ne fais pas de psychologie dans la colère, tu verrais trop juste. », Jean Rostand 
  • « La psychologie, c'est l'art de faire croire aux autres que nous les comprenons. », Benoît Gagnon
  • « Pour changer d'altitude, il faut lâcher du lest et explorer pour aller au-delà des évidences", Bertrand Picard 

 

05/9/2021: Pasquale Nardone en parle de la détection d'un psychopathe par la gestuelle

podcast

 

Commentaires

Un clown, Michel Daerden, comme semblait le dire les Flamands?
Absolument pas. Un amuseur public et pas un gaffeur. Il est sanctifié après avoir shooté les autres par sa chaleur humaine.
Un socialiste à la Porsche, mais personne ne s'en souciait.
Une notoriété publique à coup de médias.
Une excentricité entrée dans son identité et qui n'étonne plus.
Un populisme bon enfant dans le registre de l'émotion.
Un Gainsbourg dans les affaires et un Gainsbard dans la vie.
Un caractère qui passe d'abord comme jovial, puis dégressive, comme consciencieux, querelleur, ambitieux, dominateur...
Partir au cinquantième anniversaire de la disparition de son égérie?

Écrit par : L'enfoiré | 06/08/2012

Demander de faire le test et ne pas le faire soi-même?
Cela ne se peut pas...
Alors, pour l'enfoiré, disons de pointés 14 ou 15 sur 50.
Si cela vous va?

Écrit par : L'enfoiré | 06/08/2012

Je n'ai pas fait le test. Je me suis simplement contenter de le lire.
Mais on est tout le monde un peu fou, alors..

Écrit par : Denise | 09/08/2012

Tout compris.
La psychologie n'est pas une science exacte. En fonction de sa propre expérience, de son éducation, il y aura différentes manières de l'appréhender.
Je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas, écrit Paul de Tarse
Mais qu'est-ce le bien ou le mal? Une définition qui dans la bouche d'un chrétien ne sera pas la même qu'un athée ou quelqu'un qui a la philosophie asiatique. Le bien et le mal n'existent pas. Pas de vérité biblique intouchable.

Il y a une règle qui est commune, c'est ce qu'a découvert Charles Darwin, l'évolution.
L'évolution qui ne s'intéresse qu'à tester toutes les formes possibles du vivants et qui va parfois en opposition avec les autres par la prédation pour survivre lui-même et pour ainsi perdurer dans sa forme "hard".
L'inné que l'on veut prolonger et l'acquis qui pousse à le faire progresser.
Pour cela il y a beaucoup de sciences qui tournent autour des psys et du psychisme.
Psychologues, psychiatres, psychothérapeutes, psychanalystes, psy... psy....
Avant (et d'après ce que j'ai entendu, encore, aujourd'hui, par mon médecin) on traitait par des électro-chocs.
Le pouvoir et le sexe comme (dé)régulateur.
Freud n'est que l'un d'entre eux bien qu'il n'ait soigné personne.
L'opposition que je faisais dans cet article montre que par l'intermédiaire de l'empathie ou le fait d'être psychopathe, les méthodes sont différentes, mais le résultat est le même "régner sur son semblable"

Écrit par : L'enfoiré | 09/08/2012

Une docu fiction?

À quoi servent encore les astronautes face à la puissance des sondes? Portrait sans concession d'un métier en chute libre.
Connaissez-vous Gene Cernan? La colle de l'été… Il ne s'agit pas d'un quelconque bellâtre de série B américaine, ni d'un nageur olympique aux abdominaux proéminents. Non, Gene Cernan appartient à un club plus fermé encore.
Il est le dernier homme à avoir mis le pied sur la Lune. C'était en décembre 1972. Petit, Cernan était fasciné par les pilotes d'avion qu'on glorifiait aux actualités du cinéma, mais quand il vit Al Shepard devenir le premier astronaute américain dans l'espace, son choix de carrière était définitivement arrêté.
Aujourd'hui, Cernan est un homme amer. Oui, l'exploration spatiale a été glorieuse mais, reconnaissait-il il y a plus de dix ans, "Je suis toujours le dernier homme à avoir marché sur la Lune, c'est décevant. En quarante ans, nous n'avons pas avancé". Pourtant, à son retour de la Lune, Cernan en est persuadé: Mars sera la prochaine boule cosmique à succomber à la grande odyssée de l'espace.
Aujourd'hui, le métier de spationaute a du plomb dans l'aile et La fin des astronautes ne ravira pas tous les aspirants au vol intergalactique. Déjà à l'époque des belles missions Apollo, fortes en phrases cultes et photos hallucinantes, les Soviétiques parvenaient à ramener de la roche lunaire… pour un centième du budget dépensé par les Américains.
Leur secret: utiliser des sondes, et encore des sondes, à la place d'êtres humains. Leur précision imbattable et leur résistance (quasi) infaillible face à des conditions on ne peut plus inhospitalières en font désormais un atout plus payant, scientifiquement parlant, que l'œil de l'être humain. De Moscou à Houston en passant par Paris, les astronautes eux-mêmes questionnent l'avenir de leur profession.

Source: http://www.moustique.be/television/147135/docu-science-la-fin-des-astronautes?utm_source=messagent&utm_medium=e-mail&utm_campaign=20120809_Moustique&utm_content=Docu+-+Science%3A+La+fin+des+astronautes

Écrit par : L'enfoiré | 09/08/2012

LA FIN DES ASTRONAUTES ?
Les astronautes rêvent d'aller sur la Lune, de poser le pied sur Mars et d'aller bien plus loin encore... Dans notre seule galaxie, mille milliards de planètes s'offrent à eux. Mais a-t-on vraiment besoin d'eux ? Les robots, les sondes et les satellites ne sont-ils pas les meilleurs alliés de la science ? Ce documentaire interroge de nombreux astronautes. Les réalisateurs ont aussi rencontré Eugene Cernam, le dernier homme à avoir marché sur la Lune. À son retour, il pensait que Mars constituait la prochaine étape de la conquête de l'espace. "Aujourd'hui, nous en sommes au même point qu'il y a quarante ans", constate-t-il, un brin amer. Le film revient, entre autres, sur l'aventure Apollo, grand succès scientifique, certes. Mais le jeu en valait-il la chandelle quand on sait que, de leur côté, les Soviétiques ont obtenu des résultats presque équivalents pour un centième du coût d'Apollo ? Ils ont eux aussi rapporté des roches lunaires sur Terre, automatiquement, avec leurs sondes. À quoi donc servent les astronautes ? Entre Moscou et Houston, Cologne, Paris, Los Angeles et Washington, un documentaire sans complaisance sur l'état actuel de la conquête spatiale, ses impasses et son avenir.


Une vidéo pour l'expliquer:
http://videos.arte.tv/fr/videos/la_fin_des_astronautes_-6849208.html

Écrit par : L'enfoiré | 10/08/2012

Un autre voyage intérieur vous plairait?

Né dans une famille de missionnaires évangéliques, Hermann Hesse a été marqué par le piétisme de la région de Souabe où il a grandi. Il fuit la carrière religieuse à laquelle il semblait promis et envisage d'être libraire. En 1911, il part en Inde. La culture qu'il y découvre aura une influence durable sur son oeuvre. À son retour, il fulmine contre la politique belliciste de l'empereur Guillaume II et sympathise avec Romain Rolland. Entre 1914 et 1918, depuis Berne, il envoie des livres aux prisonniers de guerre. Il s'installe ensuite définitivement en Suisse et en acquiert la nationalité. Il écrit alors ses plus grands succès, dont "Siddharta" et "Le loup des steppes". Il milite contre les nazis, aide les émigrés et les réfugiés de 1933 à 1945. Malgré "Le jeu des perles de verre" (1943) et le Nobel de littérature en 1946, Hesse sombre peu à peu dans l'oubli. Il sera redécouvert une vingtaine d'années plus tard aux États-Unis par le mouvement hippie et les opposants à la guerre du Viêt-Nam.

http://videos.arte.tv/fr/videos/voyage_interieur-6847568.html

Son acces est aussi limité dans le temps d'une semaine.

Écrit par : L'enfoiré | 09/08/2012

Pour expliquer le cercle vertueux du succès

1/ La bonne humeur
2/ La séduction
3/ L’apprentissage
4/ La liberté de se concentrer
5/ La culture du respect mutuel
6/ Un système d’appui solide
7/ Une meilleure presse
8/ Les invitations aux meilleures soirées
9/ L’auto-détermination
10/ La continuité

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=10-raisons-pour-expliquer-le-cercle-vertueux-du-succes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 11/08/2012

Pourquoi les personnes désagréables parviennent-elles tout de même à grimper les échelons des entreprises?

Comment se fait-il que les personnes avec des personnalités désagréables réussissent souvent dans les entreprises ? Dans Forbes, David DiSalvo explique que ce ne sont pas leurs actes qui leur permettent de se faire remarquer, mais le fait que les autres les portent aux nues.
L’un des aspects de ce phénomène avait été illustré récemment dans un article du Wall Street Journal, «Why Are We Overconfident? » (pourquoi avons-nous excessivement confiance en nous ?). Il explique notamment que les personnes qui sont trop confiantes commettent souvent des erreurs, mais que celles-ci ne nuisent pas à la perception positive que les autres ont d’elles.
Les chercheurs, qui ont posé des questions de géographie à des sujets à qui ils avaient préalablement demandé de s’auto-évaluer dans cette matière, se sont rendus compte qu’en général, les gens surestimaient leurs capacités en géographie, et que ceux qui s’attribuaient les meilleures notes étaient aussi ceux qui étaient le mieux notés par les autres dans le domaine du respect et de l’admiration qu’ils inspiraient, de l’influence qu’ils pouvaient avoir sur les décisions que les autres devaient prendre, parce qu’ils menaient le processus de décision, et contribuaient à la prise de décision. Les personnes qui ont le plus de confiance en elles sont donc également perçues comme ayant un statut social plus important.
Une autre étude, publiée dans le journal Social Psychological and Personality Science, est venue ajouter une seconde explication. Elle a démontré que plus une personne était désagréable et impolie, plus elle dégageait une aura de puissance, et plus il semblait aux autres qu’elle n’était pas soumise aux mêmes règles qu’eux. Ainsi, au cours d’une étude, un visiteur d’une entreprise se servait tranquillement du café d’une cafetière ostensiblement réservée au personnel. Dans une autre étude, un comptable négligeait de respecter les règles professionnelles. Les participants ont mieux noté ces personnes sur le plan du contrôle et du pouvoir. Dans une 3ème étude, il s’agissait de noter un homme qui mettait ses pieds sur une chaise, répandait sa cendre de cigarette sur le sol et ordonnait son repas sans aucune politesse. Comparé à un homme poli qui faisait les mêmes choses dans une seconde vidéo, les participants lui donnèrent de meilleures notes sur le plan de la prise de décision et de la capacité à se faire entendre des autres.
Ce que ces expériences semblent indiquer, c’est que ne pas respecter les normes est considéré comme un signe de puissance, quand bien même ces violations sont considérées comme grossières ou inappropriées. Ainsi, les personnes désagrables s'imposent parce qu'elles semblent avoir les qualités managériales que les entreprises recherchent chez un leader... alors même qu'elles ne les ont pas.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=pourquoi-les-personnes-desagreables-parviennent-elles-tout-de-meme-a-grimper-les-chelons-des-entreprises&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 22/08/2012

Lequel de ces 8 traits de personnalité du psychopathe classique avez-vous?

Pendant longtemps, le terme psychopathe évoquait des déséquilibrés dangereux, tels que le personnage de Norman Bates dans Psycho d’Alfred Hitchcock, ou celui d’Hannibal Lecter dans le Silence des Agneaux de Jonathan Demme, rappelle le psychiatre Kevin Dutton dans le Times of London. La psychopathie était une maladie bien délimitée, selon les psychiatres. On était fou, ou on ne l’était pas, et lorsqu’on l’était, cela ne faisait aucun doute.
Mais récemment, les chercheurs ont compris que ce n’était pas une question aussi tranchée que cela, et qu’il y avait des degrés intermédiaires, qu’on était plus ou moins fou. La psychopathie a des points communs avec la lumière : comme elle, elle apparaît sous forme de spectre. Le spectre de la lumière a 7 couleurs, mais le spectre de la psychopathie comprend 8 tendances :

Le machiavélisme
La persuasion
La cruauté
L’audace
La force mentale
La spontanéité
Le narcissisme
Le non-conformisme

Chacun de ces traits de caractère est plus ou moins prononcé dans la personnalité de chacun, et c’est lorsqu’ils sont tous au maximum que l’on peut être caractérisé comme un dangereux psychopathe. Certaines tendances psychopathes peuvent être positives, dans la vie personnelle comme dans la vie professionnelle ; en pratique, elles peuvent même être un facteur de réussite professionnelle pour certaines carrières. Le non-conformisme est par exemple considéré comme un signe de puissance même lorsqu’il s’accompagne d’impolitesse ou de comportements inappropriés.
Les personnes qui présentent les traits de psychopathes les plus marqués réussissent bien d’ailleurs en entreprise : Paul Babiak, un chercheur, a ainsi déterminé que 4% des cadres d’entreprise pouvaient être considérés psychopathes, soit 4 fois plus que leur proportion normale dans la population (ils représentent 1% de la population). A Wall Street, on compte même 10% de psychopathes parmi les traders. Babiak a expliqué que leur tendance à charmer leur entourage est souvent assimilée à un charisme managérial, ce qui leur permet d’accéder à des responsabilités, alors qu’en réalité, ils font de piteux responsables.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=lequel-de-ces-8-traits-de-personnalite-du-psychopathe-classique-avez-vous&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 03/10/2012

Pourquoi sommes-nous parfois charmés par les salauds?

Comment peut-on expliquer que des personnes a priori peu charmantes du fait de leurs traits de caractère repoussants (narcissisme, égoïsme, et psychopathie) nous séduisent tant? Quel est le secret de leur magnétisme ? Selon Psychology Today, cela s’explique parce qu’ils ont des talents particuliers pour mettre en valeur leurs atouts naturels (la symétrie de leur visage par exemple), et, lorsqu’ils en manquent, d’optimiser leur présentation pour compenser (un bon maquillage, des vêtements élégants). C’est en effet la combinaison de cette séduction naturelle et de ces artifices qui définissent le charme d'un individu.
Nicholas Holtzman de l'Université Washington de St Louis et ses collègues se sont demandés ce qui faisait la différence entre la séduction naturelle et artificielle, et ce qui donnait son efficacité à cette dernière. Ils ont rassemblé un échantillon de 111 étudiants âgés de 19,35 ans en moyenne. Ils les ont pris en photo, tels qu’ils étaient entrés dans le laboratoire (dans leur présentation « ornée »), puis une seconde fois, mais après leur avoir demandé de se démaquiller, de retirer leurs bijoux, d’attacher leurs cheveux pour les femmes, de se raser pour les hommes, et de porter des vêtements de forme et de couleur neutre, pour révéler leur beauté naturelle (ou son absence). Ensuite, ils ont analysé leur profil psychologique, en leur demandant de remplir un questionnaire, et en demandant à leurs amis de les décrire, et ils ont mis en relation leur capacité se montrer sous un jour élégant malgré leurs handicaps physiques de départ, et ce profil psychologique.
Ils concluent que les personnes qui obtenaient un score élevé sur la "Triade Psychologique Sombre" - le narcissisme, la psychopathie et le machiavélisme – s’avéraient très talentueuses pour utiliser de façon optimale les ornements artificiels. Et les psyshopathes étaient les plus doués dans ce domaine. En d'autres termes, les salauds savent ce qu'ils doivent faire pour charmer les autres. Les auteurs l’expliquent par le fait qu’ils obtiennent de la satisfaction de l’attention supplémentaire qu’ils obtiennent en soignant leur présentation. Il est également possible que leur style leur permette de séduire plus facilement, notamment pour des relations romantiques de courte durée.
Donc, si vous rencontrez quelqu’un dont vous admirez particulièrement le « look », faites attention : cela ne signifie pas nécessairement que c’est une personne psychopathe, mais que vous devez rester attentif.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=pourquoi-sommes-nous-parfois-charmes-par-les-salauds&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 31/10/2012

Quelles sont les professions dans lesquelles on trouve le plus de psychopathes?

Les psychopathes ne sont pas tous des assassins sanguinaires, même si la majorité de ceux-ci sont des psychopathes. Ils se caractérisent par la superficialité de leurs émotions, notamment la peur, une plus grande tolérance au stress, un manque d’empathie, un cœur froid, l’absence de scrupules, un charme superficiel, une tendance à la manipulation, l’irresponsabilité, l’impulsivité et des comportements antisociaux, comme le parasitisme, ou la délinquance.
Dans son livre, The Wisdom of Psychopaths: What Saints, Spies, and Serial Killers Can Teach Us About Success, Kevin Dutton dresse la liste des professions dans lesquelles on retrouve le plus de psychopathes, et celles où l’on en trouve le moins :

Professions où ils sont les plus fréquents :

1. CEO
2. Avocat
3. Média (Télévision, radio)
4. Ventes
5. Chirurgien
6. Journaliste
7. Policier
8. Clergé
9. Chef cuisinier
10. Fonctionnaire

Professions où ils sont les moins fréquents :

1. Aide à domicile
2. Infirmière
3. Thérapeute
4. Artisan
5. Esthéticienne/Styliste
6. Employé pour une ONG
7. Enseignant
8. Artiste créatif
9. Médecin
10. Comptable

La plupart des professions où les psychopathes sont sous-représentés sont des métiers de contact humain, impliquant les sentiments, et la plupart d’entre eux ne font pas intervenir les questions de pouvoir.
En revanche, les professions où l’on retrouve le plus de psychopathes sont celles qui confèrent du pouvoir, et une grande partie d’entre elles nécessitent une capacité à prendre des décisions objectives, coupées des émotions.
Conclusion : faites bien attention si vous connaissez un chef cuisinier qui a fait graver ses couteaux de cuisine à ses initiales…

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=quelles-sont-les-professions-dans-lesquelles-on-trouve-le-plus-de-psychopathes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 05/11/2012

Où trouve-t-on le plus de psychopathes? Dans les hôpitaux psychiatriques ou dans les conseils d'administration des entreprises?

Les caractéristiques d’une personnalité psychopathe se rencontre beaucoup plus fréquemment dans le monde des affaires que parmi les tueurs en série.
Dans son livre, The Wisdom of Psychopaths: What Saints, Spies, and Serial Killers Can Teach Us About Success, Kevin Dutton évoque une étude menée par Belinda Board et Katarina Fritzon de l’Université du Surrey pour déterminer ce qui faisait que certains profils psychologiques se retrouvaient finalement plus souvent dans les bureaux que dans les hôpitaux psychiatriques ou dans les prisons.
Elles séparèrent les participants de leur étude en 3 groupes : les patrons, les patients d’ hôpitaux psychiatriques et les criminels internés, qui pouvaient être d’authentiques psychopathes, ou des malades souffrant d’autres pathologies psychiatriques, et elles ont comparé comment ils répondaient à un test de profil psychologique.
Leur analyse révèle qu’un certain nombre de caractéristiques propres à la personnalité de psychopathe – le charme superficiel, l’égocentricité, la force de persuasion, le manque d’empathie, l’indépendance, et l’obstination - étaient plus répandues parmi les managers que parmi les authentiques criminels psychopathes. La principale différence entre les managers et les tueurs étant que chez ces derniers, certains aspects du syndrome, et notamment les caractéristiques les plus antisociales (la propension à enfreindre la loi, l’agression physique, et l’impulsivité) étaient plus marquées.
Les sociétés offrent de l’argent, du pouvoir, un statut et le contrôle, des attributs qui attirent les psychopathes candidats aux postes de managers. Comment expliquer cependant que le commun des mortels ne s’aperçoive pas de ces facettes déplaisantes de leur personnalité ? Parce que ces caractéristiques sont déguisées sous des vocables différents :
-Le charme superficiel devient le charisme ;
-Le délire de la grandeur devient la confiance en soi ;
-La manipulation devient l'habileté à influencer ;
-La propension à la tromperie devient la capacité de persuasion ;
-La capacité à affabuler devient la pensée visionnaire ;
-L’impulsivité devient l’acceptation de la prise de risques ;
-La recherche de sensations fortes devient l’orientation à l’action
-Le manque d’empathie devient la capacité à prendre des décisions difficiles.

Source : http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=ou-trouve-t-on-le-plus-de-psychopathes-dans-les-hopitaux-psychiatriques-ou-dans-les-conseils-dadministration-des-entreprises&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&

Écrit par : L'enfoiré | 22/11/2012

'Les Nazis n'étaient pas de simples exécutants d'ordres dans les camps de concentration'

Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque la libération des camps a révélé toute l’horreur de l’Holocauste, on s’est demandé comment les nazis avaient pu commettre tous ces crimes. Des expériences menées par Stanley Milgram entre les années 1960 et 1963 et qui avaient cherché à évaluer le degré d’obéissance des individus soumis à une autorité avaient montré que près de 62,5% des sujets étaient prêts à infliger 3 décharges électriques de 450 volts parce qu’ils en avaient reçu l’ordre (Ci-dessous, un extrait du film « I comme Icare de Henri Verneuil qui avait présenté cette expérience fascinante). Plus tard, les recherches de Philip Zimbardo dans la prison de Stanford permirent de conclure que les gens se contentaient de suivre les ordres. Au cours des procès de Nuremberg, les responsables des camps se sont appuyés sur ses conclusions pour expliquer qu’ils n’avaient fait que suivre les ordres.
Mais une nouvelle étude menée par une équipe écossaise vient de bouleverser ces notions. Le professeur Stephen Reicher de l’Université de St Andrews et le Professeur Alex Haslam de l’Université de Queensland, en Australie, ont étudié les réactions de détenus qui se voyaient confier le rôle de gardiens. Ils ont constaté que ceux-ci pouvaient être brutaux mais seulement lorsqu’ils s’identifiaient à ce poste de gardien et lorsqu’ils croyaient que leurs actions étaient nécessaires pour garder le contrôle.
« Une série d’examens minutieux de faits historiques ont testé l’idée selon laquelle les bureaucrates nazis étaient de simples exécutants d’ordres. Cela a pu être la défense sur laquelle ils se sont fondés pour minimiser leur culpabilité, mais les preuves montrent que des fonctionnaires comme Eichmann (pendu en 1962 pour le rôle qu’il a joué dans l’organisation de l’Holocauste) avaient une très bonne compréhension de ce qu’ils faisaient et qu’ils étaient fiers de l’énergie et de l’application qu’ils consacraient à leur travail », écrivent-t-ils.
« Typiquement, les rôles et les ordres donnés étaient vagues, et de ce fait pour ceux qui souhaitaient faire avancer la cause nazie – tous ne le voulaient pas – la créativité et l’imagination étaient nécessaires pour atteindre les objectifs assumés du régime et pour surmonter les obstacles associés à toute tâche donnée », expliquent les chercheurs. « Le point fondamental, c’est que la tyrannie n’éclot pas parce que ceux qui les perpètrent sont impuissants et ignorants de leurs actions. Elle se développe parce qu’ils s’identifient activement avec ceux qui présentent ces actes mauvais comme étant vertueux. Cette conviction leur donne la détermination de faire leur sale boulot et elle les fait travailler avec énergie et créativité pour s’assurer de leur succès. De plus, ce travail est quelque chose qu’ils revendiquent activement et dont ils veulent prendre la responsabilité, du moment que cela leur permet d’obtenir l’approbation de ceux qui commandent ».
Ils affirment que les actions des gens sont motivées par une « moralité à laquelle ils croient ». « En bref, les gens font du mal non pas parce qu’ils ne savent pas que ce qu’ils font est mal, mais parce qu’ils croient que ce qu’ils font est bien », conclut Haslam.

http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=les-nazis-netaient-pas-de-simples-executants-dordres-dans-les-camps-de-concentration&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 28/11/2012

on m'a rapporté que les kapos juifs étaient les les pires avec leurs coreligionnaires

Écrit par : zelectron | 13/08/2013

Cela ne m'étonne pas.

Écrit par : L'enfoiré | 13/08/2013

Vient de sortir un complément intéressant à cet article
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-match-psychopathes-vs-pervers-128877

Écrit par : L'enfoiré | 18/01/2013

L'homme est-il fondamentalement bon ou mauvais?

Les humains sont-ils fondamentalement bons ou mauvais ? Pendant des millénaires, des philosophes ont conclu que les hommes étaient des êtres fondamentalement bons mais qu’ils étaient corrompus par la société, ou au contraire, qu’ils étaient mauvais au départ, mais que la société les dotait d’une morale salvatrice. Une façon de trancher ce problème serait d’examiner les bébés, parce que ce sont des êtres humains purs qui n’ont pas encore subi d’influence culturelle qui pourrait dénaturer leur personnalité à l’avenir.
Tom Stafford de la BBC rapporte ainsi les résultats d’une récente étude menée à l’Université de Yale, qui a montré que les bébés avaient le sens du bien et du mal. Les chercheurs ont contourné le problème de l’incapacité des bébés à s’exprimer en observant qu’ils avaient tendance à chercher à se rapprocher des choses qu’ils voulaient ou qu’ils aimaient, et qu’ils regardaient plus longuement les choses qui leur causaient de la surprise.
Ils ont mis au point une petite scène avec des personnages de formes géométriques colorées. Dans leur scénario, l’une des formes essayait de grimper la pente d’une colline, mais elle retombait à chaque fois. Une autre forme tentait de l’aider tandis que la troisième cherchait à l’en empêcher, en la repoussant. Après ce petit spectacle, on a laissé aux enfants la possibilité de se rapprocher de la figure aidante ou de la contrariante, et les chercheurs ont constaté que les bébés recherchaient plutôt à se rapprocher de la première.
Les chercheurs menèrent une seconde expérience. Ils montrèrent un nouveau spectacle avec les formes aux bébés. Cette fois-ci, la forme qui voulait grimper la colline devait choisir entre se rapprocher de la forme qui voulait l’aider, ou de celle qui voulait l’en empêcher. Ils constatèrent que lorsque cette forme se rapprochait de celle qui voulait l’empêcher de grimper la colline, les enfants la regardaient beaucoup plus longtemps, manifestant ainsi leur surprise, comme s’ils comprenaient qu’il n’était pas naturel de chercher à se rapprocher d’une figure contrariante. Tout se passait donc comme si les enfants avaient déjà des notions de la façon dont les gens devaient se comporter. Ils parvenaient à interpréter les comportements des formes, et ils préféraient la forme la plus généreuse à l’autre.
Les esprits chagrins objecteront que les enfants pourraient aussi avoir manifesté qu’ils sont intéressés et qu’ils s’attendent à ce que les autres soient pareils, et ils se pourraient qu’ils aient raison. Cependant, cette expérience montre que très tôt dans notre histoire, nous sommes capables de percevoir les motivations des gens qui nous entourent et que nous manifestons une préférence instinctive pour les intentions amicales sur les mauvaises.

Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=lhomme-est-il-fondamentalement-bon-ou-mauvais&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 22/01/2013

Enfoiré

Je ne fais pas de test

Je crains trop de me voir afficher au ban de la société

Je sais que mon âme est noire, ma folie grande et mes savoirs minusculs ...

Alors, à quoi bon ?

Écrit par : C’est Nabum | 11/06/2013

:-)) :-)) :-)) ....
Défaitiste, vas.

Écrit par : L'enfoire | 11/06/2013

Beaucoup trop court, merci beaucoup pour le bon moment passe sur votre page.

Écrit par : Travail a Domicile | 09/08/2013

Un an, déjà...
Et après le test, combien de points obtenus?

Écrit par : L'enfoiré | 09/08/2013

Quels sont les 7 sortes de personnes à bannir de votre vie pour être heureux ?

Votre succès et votre bonheur dépendent pour une bonne part des gens que vous fréquentez. Il vous appartient donc, d'une part de vous entourer de gens positifs qui stimulent votre développement, et d'autre part de prendre vos distances avec ceux qui constituent des obstacles dans votre quête du bonheur.

Voici les types de gens qu'il vaut mieux éviter:

1. Le Négatif. C'est le genre de personne que vous ne voyez de bonne humeur que lors de soirées bien arrosées. Le reste du temps, il se contente de se plaindre, sans fournir la moindre alternative valable.
2. Le Déprimant. Celui-là, vous ne l'invitez jamais, sauf si vous êtes sûr de pouvoir compter sur la présence d'au moins trois autres de vos amis. Le Déprimant ne critique pas automatiquement chacune de vos propositions, mais si vous le laissez faire il fera retomber la bonne humeur du groupe, avec ses problèmes et ses angoisses.
3. Le Juge. En sa présence, vous ne pouvez jamais être vous-même, car le Juge contrôle les plus infimes détails de votre vocabulaire et de votre comportement, sur lesquels il émettra ensuite un jugement.
4. La Sangsue. Elle prend, prend encore et n'apporte quant à elle rien du tout à la relation. Elle est en permanence à votre porte pour tout et pour rien, mais si un beau jour vous avez besoin d'elle, il n'y a plus personne.
5. Le Manipulateur. Les Manipulateurs savent retourner toutes les situations à leur avantage. Ils n'ont qu'une seule priorité dans leur vie, et c'est eux-même.
6. Le Contrariant. Un ami est quelqu'un qui vous soutient, même s'il n'est pas d'accord avec vous. Le Contrariant est l'exact opposé. Il prend plaisir à faire voler en éclats vos rêves, et espère secrètement que vous restiez un loser, tout comme lui.
7. L'irréconciliable. Certaines personnes sont incapable de pardonner. Or, les gens font des erreurs, et c'est nécessaire pour en tirer des leçons. Un ami qui ne peut absolument pas trouver dans son coeur de quoi vous pardonner, n'est pas un véritable ami. Pensez au fait que le pardon concerne l'avenir, et non le passé.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=hr&item=quels-sont-les-7-sortes-de-personnes-a-bannir-de-votre-vie-pour-etre-heureux&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 11/10/2013

Là, chez ton compatriote, on trouve encore plus !
http://www.4p8.com/eric.brasseur/les_impostures.html

Écrit par : zelectron | 11/10/2013

Oh, là...
Ce n'est plus un concerto pour la main gauche, mais une symphonie satanique
http://www.youtube.com/watch?v=KJS8QXCjwHI
:-)

Écrit par : L'enfoiré | 11/10/2013

Guerre d'héritage entre les enfants de Michel Daerden

Un an et demi après, les trois enfants de l'ancien ministre socialiste ne sont toujours pas tombés d'accord pour partager l'héritage de leur père défunt.
A défaut d'un testament écrit, les trois enfants de Michel Daerden devaient s'entendre pour assurer une répartition équitable de l'héritage de leur père, estimé à environ 5 millions d'euros, mais aucun accord n'a été trouvé, selon une source proche du dossier citée par L'Echo.
Face à ce blocage, Aurore Daerden a introduit une action devant le tribunal de première instance de Liège contre son frère aîné, Frédéric Daerden, et sa demi-soeur, Elena. Elle veut obtenir une liquidation judiciaire de la succession avec désignation d'un notaire.
Elena Daerden estime de son côté que l'actif net de la succession devrait être plus élevé et demande qu'il y soit tenu compte de plusieurs éléments qui n'y figurent pas pour l'instant, comme des libéralités dont Frédéric Daerden a bénéficié. Ce dernier assure que son père lui a fait cadeau d'une réduction de créances sur le prix auquel il lui a cédé son cabinet révisoral. Elena Daerden voudrait également qu'Aurore reconnaisse les libéralités dont elle a bénéficié.
Par ailleurs la mère d'Elena a introduit une action devant le juge de paix à Liège pour obtenir la désignation d'un administrateur pour la gestion des biens d'Aurore, car elle estime qu'elle ne dispose plus de toutes les facultés physiques et intellectuelles nécessaires pour se prendre en main. Selon L'Echo le juge aurait rejeté cette demande en arguant qu'elle ne contient pas un certificat médical attestant son constat mais la mère d'Elena ne compte pas en rester là.
Toutes les parties doivent se retrouver le 17 mars prochain devant le notaire pour faire valoir leur position. D'autres actions judiciaires pourraient être initiées sur aucun accord n'est trouvé.

http://www.dhnet.be/actu/belgique/guerre-d-heritage-entre-les-enfants-de-michel-daerden-532293b135701fd1bccd260e

Écrit par : L'enfoirél | 14/03/2014

Ça rapporte d'être socialiste, n'est-ce pas ?

Écrit par : zelectron | 14/03/2014

Des pervers narcissiques (les PN) , il en était question dans le JT de hier.
Ils se retrouvent dans les entreprisescomme séducteurs dans un premier temps avant de de changer dès qu'ils subissent une concurrence dans leur propre activité.

http://www.rtbf.be/video/detail_jt-19h30?id=1908440#

Christine Calonne en parlerait dasn le livre "Les violences du pouvoir"
http://www.v2.traiter-manipulation.be/ftp/Interview.pdf

Écrit par : L'enfoiré | 04/04/2014

Interview de l'auteur du livre de Jean Cottraux "Tous narcissiques"

Sommes-nous tous des narcissiques en puissance ?

Il existe toutes sortes de personnalités narcissiques : le narcissisme positif est celui qui conduit à la créativité, à réaliser des œuvres littéraires, politiques, ou des découvertes scientifiques.

Mais il y a aussi un narcissisme négatif, celui des personnalités narcissiques instables et dépressives, et enfin un narcissisme sombre et malveillant.

Ce livre vous propose des solutions pour mieux vivre avec ces personnalités, ou s’en séparer sans dommage. Il permet aussi d’apprendre à se protéger du narcissisme machiavélique de ceux qui veulent à tout prix vous dominer.

Il présente enfin une réflexion originale sur l’éducation positive pour apaiser la génération « moi je » et tempérer le choc des narcissismes culturels, largement présents dans la société d’aujourd’hui.

Un livre pour aider et soigner ceux qui en ont besoin, afin de les réconcilier avec une bonne estime de soi, respectueuse des autres.

Jean Cottraux est psychiatre honoraire des hôpitaux, habilité à la direction de recherche, ancien chargé de cours à l’université Lyon-I, et membre fondateur de l’Académie de thérapie cognitive de Philadelphie. Il est l’auteur de : La Force avec soi. Pour une psychologie positive, Les Ennemis intérieurs. Obsessions et compulsions,

http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/01/896020394.mp3 http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/02/1925731706.mp3

Écrit par : L'enfoiré | 18/05/2017

La chose n'est pas nouvelle: les personnalités narcissiques ont tendance à apprécier les positions de pouvoir. Pour certains psychologues et psychiatres, Donald Trump en serait le parangon, le type prêt à tout pour rester au sommet de la chaîne alimentaire, y compris et surtout en avilissant ses congénères et en se pensant au-dessus des lois et des normes applicables au commun des mortels.
Une étude dans la revue Journal of Experimental Psychology: General va un peu plus loin: non seulement les égocentriques seraient attirés par le pouvoir, mais le pouvoir agirait comme un révélateur à tendances narcissiques.
«Les individus narcissiques se croient tout permis», explique Nicole Mead, professeur associé à l'université de Melbourne (Australie) et auteur principal de l'étude. «Ils exigent qu'on les respecte et attendent qu'on leur accorde des privilèges exclusifs. Ils sont disposés à exploiter autrui pour obtenir ce qu'ils veulent. Mais le pouvoir ne transforme pas tout le monde en tyran, par contre, s'il vient à tomber entre les mains de ceux qui le désirent le plus ardemment, ses effets peuvent être très pernicieux.»

Certains facteurs alimentent le narcissisme
Cette soif de pouvoir et les risques d'en abuser semblent avoir une source hormonale. Mead et ses collègues montrent en effet que les individus dotés d'un taux élevé de testostérone –hommes comme femmes– sont les plus susceptibles de vouloir dominer les autres, quitte à en passer par l'oppression et la persécution.
«Cette étude est l'une des premières à examiner les facteurs alimentant la montée du narcissisme et à mettre en évidence les changements dans les opinions personnelles peuvant expliquer l'influence corruptrice du pouvoir», précise Mead.
Pour tester leur théorie, les scientifiques ont recruté 206 hommes et femmes, avant de leur dire qu'ils participaient à une étude sur la dynamique collective. Chaque volontaire devait fournir un échantillon de salive.
Parce que les hommes ont en moyenne davantage de testostérone que les femmes, les chercheurs ont normalisé cette donnée pour chaque sexe, ce qui leur a permis d'examiner la réaction des individus au pouvoir en fonction de leurs taux hormonaux –relativement élevés ou faibles.
Lors de l'expérience, les volontaires allaient devoir accomplir des tâches censées mesurer leurs capacités de leadership. Ensuite, les chercheurs ont annoncé à tous les participants qu'ils avaient obtenu la meilleure note de leadership, avec seulement la moitié d'entre eux recevant la distinction de «chef», signifiant le droit de contrôler comme bon leur semblait leurs subordonnés et les récompenses associées à l'exercice collectif.
Il en ressort que les hommes et les femmes ayant un taux de testostérone inférieur au taux de référence de leur sexe ne deviennent pas narcissiques lorsqu'ils sont mis en position de pouvoir. À l'inverse, lorsqu'ils obtiennent le rang de «chef», les individus les plus testostéronés voient augmenter deux traits essentiels du trouble de la personnalité narcissique: l'idée que tout vous est dû et la propension à l'exploitation d'autrui pour arriver à vos fins.

http://www.slate.fr/story/161458/pouvoir-generateur-connards

Écrit par : L'enfoiré | 22/05/2018

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