Comment vaincre le boreout? (19/04/2015)

0.jpgLe "burnout", tout le monde en a entendu parler. Beaucoup en ont ressenti les effets dans notre époque de dingues. Les connaisseurs du mot "boreout" ne courent pas les rues. ARTE en parlait dans le magazine "X:enius" de lundi dernier

Je préviens, les allergiques à l'english vont avoir de l'urticaire à lire ce billet et ce ne sera pas des suites du pollen saisonnier:

"To burn", c'est (se) brûler.

"To bore", c'est s'ennuyer. 

Le "boreout" (ou "bore-out"), c'est l'inverse du "burnout" (ou "burn-out"), le passage du trop plein au trop vide dans lequel il ne reste plus que l'ennui. 

Les scientifiques distinguent deux types d’ennui: l’état de morosité passager et une lassitude permanente dans tous les aspects de la vie. Une personne qui s’ennuie constamment et n’est pas suffisamment sollicitée au travail peut finir par éprouver un « bore-out ».

Chacun se réjouit de faire la pause dans la vie dite "active", mais pas quand la pause devient chronique et qu'elle est imposée sans permettre de l'utiliser pour se détendre.

Sans occupations ou loisirs compensatoires, tout le plaisir disparaît.

Le jeune cherche un job rémunéré pour meubler son temps en relation ou en compensation avec les longues heures d'études pendant lesquelles il a usé ses fonds de culottes sur les bancs de l'école.

Un job ne veut pas dire "travail" dans le sens du bas latin "trepalium", la déformation de "tripalium", l'instrument formé de trois pieux, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les esclaves pour les punir.

D'ailleurs, ce travail-là, c'est presque ringard.

Les robots sont arrivés et vont bousculer tout cela en jetant les travaux répétitifs aux orties de l'histoire.

En attendant, les "jobs à la con" existent plus souvent qu'on ne l'imagine, à cause des absences de "challenges professionnels" et de défis à surmonter.

Un documentaire de ARTE parlait de cet ennui comme d’une pathologie professionnelle. Une jeune en avait écrit un "bestseller" de sa détresse (*)

Le sujet avait été évoqué avec un certain humour sous cet angle dans cet article: "Tu bores ou quoi?".

L'humour, j'aime mais il n'est pas toujours de rigueur quand le sujet mène à la dépression. 

L'utilisation d'Internet au bureau pour pallier ce phénomène, devient de plus en plus tolérée quand elle n'est pas filtrée.

Mais, même cela ne comble pas toujours le besoin d'(inter)activité. 

Stimuler les échanges d'informations peut aider par la possibilité de sortir de la "prestation de services" et donner le goût à entreprendre.

L'ennui peut favoriser la créativité mais, les prédispositions ne sont pas garanties sur facture.

0.jpgVient à l'esprit les fonctionnaires désœuvrés du secteur public et de l'administration, les "borés" (toujours "beurrés", comme on le croit).

Ce phénomène peut tout aussi bien se présenter dans le secteur privé.

Dans ce cas, il est souvent conseillé à l'employé de se former, de se préparer dans les matières susceptibles de servir dans le futur à l'entreprise.

"susceptibles" un mot en trop qui dépassent parfois l'entendement. 

Conseiller sans orientation, sans objectif, c'est faire tomber le conseil dans les oubliettes dès que l'effort d'apprentissage ne porte pas ses fruits et n'apporte aucune fierté à celui qui avait consenti l'effort.

"Time is money" et le "return on investment" n'est pas réservé uniquement en monnaies sonnantes et trébuchantes.

Sans activité, sans possibilité d'utiliser les temps morts, l'employé se retrouve parfois pire qu'en prison. 

Vous serez récompensé en fonction de votre rentabilité, dit la société. 

- Nous, on ne demande pas mieux, répond le jeune.

Il faut pouvoir rêver pour travailler, ai-je écrit.

D'accord, mais rêver se fait avec des incitants et une certaine orientation pour ne pas se perdre dans de grands écarts.

Le burnout, c'est avoir trop d'objectifs à remplir, à planifier, à classer, à définir entre important et/ou urgent.

Le boreout, un manque d'objectifs tout simplement.

Les causes peuvent être diverses.

Dans tous ces cas, l'habit peut faire le moine et certaines tronches de véritables habits.  

Une mauvaise gestion des ressources humaines entraîne des arrêts maladie, de l’absentéisme. 

Les DRH pensent que la pyramide des âges s'inverse pour prendre une forme de sablier avec les anciens au sommet et qu'avec le poids des budgets grandissant, ils feront effondrer la pyramide entière jusqu'à la momification de la société qui les emploie. 

L'ennui est démodé, puisqu'il faut rester agile, pas trop fragile et surtout pas trop cher.  

Ce dernier point permet de changer de volet.

Passons au papy et à la mamy, ceux que l'on classe parmi les "p'tits vieux". 

Le "boreout" ressenti pendant la phase dite "active" arrive aussi immédiatement, ou presque, à la retraite.

 

0.jpg"Papy continue à boomer"

Démoder un travailleur, c'est aussi l'inciter à prendre la retraite de cette vie active vers d'autres occupations rentables. 

Ici, on travaille. La rentabilité, il faudra la chercher ailleurs que chez nous.

Plus la première phase a été "active", plus le "boreout" sera ressenti à la retraite sans atterrissage en douceur.

Les vols d'Icare sont nombreux là haut dans les nuages de leur inconscience. 

La retraite est souvent espérée après une vie active souvent manuelle.

Une fois, la limite d'âge atteinte dans les professions privilégiées intellectuelles, le passage peut devenir très sensible au moment de tourner la page vers un autre chapitre.

Eux essayent même de passer même leur tour comme un poker "Impair et passe". 

L'homme vieillissant, corrodé de l'intérieur par l'entreprise, finit par confondre souvenirs lointains et mémoire courte.

Trop occupée à s'occuper de tout et de rien, il est difficile d'imaginer que l'envie d'en finir, elle-même, ait une fin et que l'on rêve parfois à reprendre le collier sans trop le serrer.

Imaginer le moment de "la grande casse", de la vaisselle d'une porcelaine à l'autre pour jouir de la vie, ils n'en ont parfois pas envie.

Ce "passage se vend difficilement" en fonction des espérances de chacun entre ceux qui s'en vont, ceux qui restent et ceux qui en rêvent.

Johnny chante "J'ai oublié de vivre", mais ne passe pas le flambeau.

Le dernier livre de Michel Drucker "De la lumière à l'oubli" accompagne ceux qui font partie du show-biz et remarque que leur chute est parfois vertigineuse sur les sentiers de la gloire dans laquelle il faut paraître avant tout.

"Bien vieillir sans se mentir", accepter les années, ça s'apprend d'après l'analyse du dernier magazine "Psychologies".

La liste des recommandations est longue dans le magazine:

Il y en a pour tous les goûts et les conseils peuvent être très similaires pour les anciens comme pour les nouveaux. 

0.jpgLe livre de Thierry Gaubert, "Ne trichez plus avec vous-même et avec les autres" (à écouter) nous apprend à gérer l'imprévu de la consommation à la santé, en passant par l'éducation, la psychologie, l'économie, l'environnement, la technologie... sans fuir et sans peur car cela ne fonctionne pas et ne donne pas la solution pour y échapper...

Être vieux est un état surréaliste qui pourrait commencer dès la deuxième phase de la vie quand on commence à se poser des questions existentielles.

Cela devient plus réaliste au moment où on paye un prix plus doux par l'annonce d'une place "Senior" au guichet pour assister à un évènement.

Supposons qu'on s'organise pour la retraite.

On a des plans financés.

Objectif n°1: Cela commence en général par des vacances bien méritées que l'on a pas eu le temps de prendre ou pas encore assez. Objectif n°2: Au retour, s'organiser. Tapissage, peinture des murs qu'il faut rafraîchir, bêcher le jardin... et j'en passe et des meilleurs pour que les vacances perdurent. Un vrai nettoyage de printemps... avant l'été, l'époque de tous les excès.

Quand l'hiver est là, que le sol dur ne permet plus de s'occuper du jardin et que les murs de la maison ont été repeints, il faut inventer son temps.

S'occuper de la cuisine, de tâches ménagères, de cuisine dont on a jamais fait qu'applaudir la réalisation de l'épouse au foyer et que l'on rangeait  dans l'intendance.

Au début, plein de bonnes initiatives à bien faire. Puis, insensiblement, cela lasse. L'intendance, c'est un métier.

Identifier le mal potentiel de la retraite sans fioritures, se fait avant de la prendre pour éviter les grognes de sa "consommation".

Plus de motivations, plus de guides de haut en bas, d'échelon en échelon.

Là, cela commence à coincer avec le manque qui se ressent plus vite qu'on le croit. 

Le toit au dessus de sa tête, c'est fou ce que cela assurait ses arrières. Le problème, c'est que les murs peuvent devenir des cages. Alors, heureusement, qu'il y a le chien qui force à en sortir par n'importe quel temps.

Les compétences, la beauté, la séduction n'ont pas disparu, mais elles se retrouvent sur l'écorce du bel arbre que l'on a été dont la sève ne remonte pas toujours jusqu'à son sommet.

Souvent après-coup, certains se raccrochent à ce qu'ils ont fait dans le passé. Ils essayent d'utiliser les compétences pour lesquelles on les payait.

- Cherchez pas Doc, c'est dans la tête et les jambes qu'il faut trouver des ressources.

Un beau physique de la belle carrosserie et le moteur dont il faut empêcher qu'il toussote quand les bougies (quand elles sont encore nécessaires) perdent le punch nécessaire au "starter". 

Alors, cela tourne en rond et on ronge le frein après avoir chatouillé un peu trop l'accélérateur...

Le mot cancer du boreout peut être plus drastique encore, mais ne brûlons pas les étapes. Là, c'est le retour du burnout dans un autre genre.

Oui, le retraité est payé "pour ne rien faire". La pension de retraite est assurée financièrement en partie. En partie, parce qu'elle ne permet pas des extravagances que l'on retrouve dans des sphères bien plus élevées.

Quand on ne naît pas avec l'expérience du rentier et quand on a quelques ambitions, c'est dur.

A la retraite, on arrive aux mêmes symptômes que les chômeurs.

Il y a du bénévolat, allez-vous dire.

C'est vrai, mais quelque part, c'est remplir un trou que quelqu'un aurait pu combler en juste cause dans un autre espace-temps.

Qui sont les plus touchés par ce phénomène de boreout?

Il y a des variantes dans les potentiels de monotonies.

On perd vite l'estime en soi. Cela passe par un complexe d'imposture, un sentiment de ne même pas mériter la maigre pension de retraite ou la moindre allocation de chômage.

On lit un peu plus, d'accord, mais le livre manque une certaine interactivité avec l'auteur.

0.jpgAlors, il y a Internet et les réseaux sociaux comme Facebook.

Attention, celui-ci a aussi pris un coup de vieux dans sa fréquentation.

Déserté par les très jeunes qui ont compris l'invasion par leurs aînés qui squattent ce qu'ils considèrent comme leur jardin secret privé, avec le but de les contrôler.

La société a pourtant tout prévu.

Elle veut rendre le troisième âge attractif par la civilisation des loisirs. 

Les "has been" font partie du "Syndrome d'Erostrate". 

Puisque certains ont gardé une signature connue, pourquoi pas? 

Ceux qui n'ont pas de signature et qui sont devenus des "inconnus célèbres" veulent aussi laisser leur pseudo à la postérité.

Tout cela pour dire, qu'avant de sombrer, il faut préparer sa sortie de piste au plus tôt avant l'échéance.

En parler, questionner ceux qui ont déjà franchi le cap.

- Que fait actuellement Victor, depuis sa retraite?

- Ben, c'est simple, il s'occupe de ses petits-enfants.   

Ah, oui, ceux qui vont en voyage avec eux et qui souffrent après du jeûne au ventre et ont perdu quelques kilos... C'est tout bénef, non?

Les enfants ont leur vie et ils ne veulent pas nécessairement avoir leurs parents dans leurs pattes ou dans leur sillage. Chacun dans son ornière. Quant aux petits-enfants, cela marche pendant les quelques premières années, mais après...  

Les sans-enfants n'ont qu'à faire comme si, quand tout est fait sur mesure dans la société béate d'admiration pour elle-même. 

Le bal des fonctionnaires n'est pas fait pour les chiens, non? 

La journée du p'tits vieux commence par un petit-déjeuner pris en longueur là où on apprend à mieux se (re)connaitre en couple.

Après Madame retrouve ses tâches ménagères et Papy retourne la télé voir le feuilleton et les séries dans une invasion de "binge-watching", le gavage télévisuel, pendant la journée. 

Les séries américaines lassent plus vite que leur ombre. 

- De mon temps, les programmes de la télé étaient plus intéressants. Ils ne sont plus ce qu'ils étaient...

Le lunch est souvent pris plus tôt qu'à midi. Ce n'est pas vraiment une conséquence d'une avance à l'allumage, mais parce que l'épouse a dit qu'elle avait vu dans les publicités quelques bonnes affaires à faire qu'elle se réservait pour l'après-midi.

Après ce sera le café dans un ambiance feutrée d'une taverne avant de rentrer pour suivre les autres actualités, les Koh-Lanta, les "The Voice" pour le pousse-café...

Un art de consommation de son temps.

Ah, oui, l'art, j'oubliais... l'émission d'ARTE parlait d'art-thérapie  (*)

L'art, c'est chouette, non?

Il y a tellement de trous dans la journée et tellement de moyens disponibles pour y remédier quand ce putain de temps vide prend le dessus.

Guillaume Musso, 40 ans et troisième vendeur de livres français avec 22 millions d'exemplaires après Marc Levy et Jean d'Ormesson.

Il assume sa position d'écrivain populaire en tant que "storyteller".

Pourquoi un tel succès?

N'est-ce pas à cause du fait qu'obnubilé par les questions de temps dans ses histoires, il turlupine aussi ses lecteurs?

Les titres de ses livres en témoignent: "7 ans après", "Et après", "Demain", "Central Park", "Seras-tu là?" qui se déroulait en temps réel et son dernier "L'instant présent" qui  déroule le temps avec un chapitre consacré à une année... 

Il disait à son sujet "Le temps gagne toujours à la fin. Notre arme la plus efficace est peut-être justement de vivre pleinement l’instant présent: en refusant à la fois de se laisser contaminer par les regrets liés au passé et par les projections liées au futur.".

Ceux qui souffrent de "bureout", trop fiers, ne  l'avouent pas. 

"Chacun son métier et les vaches seront bien gardées", dit-on.

Les vaches, elles, regardent les trains passer et ne s'en plaignent pas.

Trouver son propre trou au présent pour garder un futur n'est pas une affaire de tout repos.

Ce trou-là ne se creuse ni à partir d'une émission télé, ni par l'expérience de quelqu'un d'autre. 

La solution de l'un ne se transmet pas à l'autre. 

Très personnelle, elle se crée à faire le grand écart entre volonté, esprit de réussite et d'aventures, entre loisirs constructifs, éducatifs et indépendants d'un timing quelconque sinon le sien.

De ce temps, chacun en a une perception différente en fonction l'âge.

Le travail, lui aussi, est en pleine restructuration.

Quand il n'y a plus de assez de confiture dans le pot à étaler sur son pain, faudra bien l'étaler en l'étirant dessus.

Il faudra peut-être, demain, considérer le travail comme un loisir, un passe-temps par l'apprentissage universitaire en solitaire et assisté en MOOC

Nous vivons une époque jeuniste. "Jeune à tout prix", le titre de l'émission de RTL-TVI de ce dimanche. Pilules et hormones de décroissance seront de la partie au catalogue de la prévention du vieillissement.

Une époque qui refuse le droit de vieillir comme le dit Françoise Hardy dans son livre "Avis non autorisé".

 

 

L'actu, parlons-en puisqu'elle entre dans le cadre

Le Vif-Express parlait des dessous du meurtre de JMLP qui s'est produit le 8 avril 2015.0.jpg

Un crépuscule devenu une nuit.

Peut-être, mais je dirais que c'est plutôt un nouveau "Suicide français".

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Ni Jean-Marie Le Pen, ni Eric Zemmour n'ont compris ce qu'était l'évolution et que le monde changeait.

Si MLP veut se faire une nouvelle virginité, qu'elle le prouve dans ses actes. Qu'elle change son fusil d'époque de l'extrémisme de droite.

Quant à MMLP, Marion Maréchal, il faudra qu'elle prenne un peu de plomb pour qu'elle puisse s'adresser à quelqu'un sans avoir besoin d'un prompteur. 

0.jpgFaudra-t-il rejuger le has-been "Sarkozy", aux résultats sur le terrain de l'action plutôt que lors de l'effet d'annonce de "Mouvement pour l'Ouverture et l'Innovation"   (*)

- Jeunes vous lambiniez, J'en suis fort aise

- Jeunes-vieux, "happinez" maintenant.

 "Rock around the clock", le titre de la pièce en quatre actes que j'avais créé et joué le jour de mon départ de la vie active. 

Le premier acte s'intitulait "Hier et l'histoire".

Le second, le "Changement par le détail". 

Le troisième, "L'après", un nouveau challenge dans le futur avec sa moitié.

Le quatrième, "Préparez vos mouchoirs" dans lequel je suggérais comment passer l'énergie aux suivants qui,  pour réussir, devront prendre en considération, un véritable carré à la formule de Einstein E=MC²

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J'ai ébauché le sujet dans "Vieillir en douce".

En début 2005, j'avais pris en grippe le ponte américain, descendu chez nous pour nous avertir que notre futur dans la société allait prendre des allures de peau de chagrin après quelques "transformations" sensibles et que, pour y survivre, il fallait penser à "restructurer" ses ambitions dans d'autres horizons de pensées. 

Peut-être devrais-je le remercier après coup, lui qui a été viré après son travail de "warning".

Il m'a permis de terminer deux ans avant l'échéance fatidique pour me remettre en question dans un challenge personnel qui s'est traduit par l'écriture.

L'écriture, c'est aussi accepter la solitude. "C'est hurler sans bruit" comme disait Marguerite Duras

Elle oblige, au moins, de suivre l'actualité et d'y apporter l'imagination de personnages fictifs ou réels pour que le temps passe à la vitesse grand "V". Méditation contre dépression dans le désœuvrement dans un traitement préventif par une thérapie cognitive et consciente (Mindfullness-Base Cognitive Therapy).

Pierre Deproges dans "Vivons en attendant la mort", la pièce dont je parlais la semaine dernière, disait qu'il haïssait l'été parce que six mois après c'était l'hiver. 

J'ajouterais que j'apprécie le printemps pour son renouveau et l'automne pour ses couleurs.

Il parlait aussi du désœuvré avec son chien jaune: podcast

 

0.jpgLe quartier de d'humour?

Lors de ma visite médicale, j'ai demandé à mon médecin,

- Comment déterminez-vous si on doit placer un patient dans une maison de retraite pour personnes âgées ? 

- Bien, nous remplissons une baignoire, ensuite vous avez le choix entre une petite cuillère, une tasse à thé, et un seau et je leur demande de vider la baignoire.

- Oh, je comprends, une personne normale prendra le seau parce que c'est plus grand qu'une cuillère ou une tasse à thé.

- Non, une personne normale enlèvera le bouchon de la baignoire. Voulez-vous un lit près de la fenêtre ? 

 

Peut-être, Alex Vizorek vous réveillera avec son café serré en pensant à cultiver votre jardin dans la ferme mais en retrouvant votre latin: podcast

 

L'enfoiré, 

 

(*) L'erreur de plugin manquant sous Chrome ne sera pas corrigée. Prière de prendre un autre navigateur Firefox, ou IExplore. A la sortie de cette la vidéo d'ARTE est toujours visible à cette adresse

Fonctionne sous IExplorer et Firefox 

 

Citations:

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