Psychose (15/07/2017)

4.JPGLe terme de « psychose » a une utilisation très variée et peut désigner toute expérience délirante ou aberrante exprimée dans les mécanismes complexes et catatoniques de la schizophrénie et du trouble bipolaire.

Comment devrait fonctionner une bonne démocratie ?

Limiter la démocratie aux élections cacherait souvent les gouvernances bananières ou dictatoriales avec des pouvoirs rassemblés par une minorité et tronqués pour la masse.

Le fédéralisme "à la belge" a tenté de résoudre la différence majeure entre le nord du pays en gardant quelques rennes de compétences au niveau du pays, majoritairement libéral et le sud, majoritairement socialiste.

0.JPGCe mode du compromis avait reçu un premier putsch à la "suédoise" en tirant plus vers la droite au niveau fédéral alors que chaque entité fédérée qui en font partie, avait choisi la gouvernance reliée à ses propres affinités. Le nord, libéral et le sud, socialiste, avec le centre bruxellois qui se perdait au milieu du jeu de quilles. 

Dernièrement, coup de théâtre.

Les affaires ont entaché la politique belge dans le sud.

Le parti du CDH qui faisait partie du gouvernement Wallonie-Bruxelles, a perdu la confiance envers le PS et a tiré la prise.

La crise était inévitable.

De nouvelles alliances étaient à rechercher mais trois semaines n'ont pas encore suffi pour trouver le sésame.

Cela valait-il une crise ? Une question psychotique qui reste ouverte.

Préalable : Dans l’air du temps, les médias français et les belges prennent position, cachent des vérités qui ne leur sont pas propices, organisent l'amnésie de de l'histoire, font des amalgames, organisent des analyses, diabolisent alors que les dérapages dans tous les domaines ont deux sources communes. La présence d’un contre-pouvoir effectif est la condition nécessaire et suffisante pour continuer et accélérer un partage des richesses de moins en moins éthiques et soutenables.

Dernièrement, un contact plus privilégié avec un jeune "Vilain petit canard" (oui pour moi, il l'est) était né suite au fait qu'il exerce la profession que j'avais exercé pendant 40 ans et qu'il était belge.

Tout avait bien fonctionné au départ.

Chacun avait raconté sa vie, exprimé ses conceptions et les visions qu'il en avait de celle-ci.

J'ai relu les échanges en privé et je me souviens d'une des répliques de ce "jeune" "C'est pour cela que découvrir des personnes comme toi, c'est un coin de soleil dans un paysage bouché.".

Au fur et à mesure, pourtant cela tourna à l'aigre de manière manichéenne et dénigrante.

Je m'apercevais que tous les interlocuteurs du forum Agoravox se retrouvaient également traités de cons, s'ils insistaient trop longtemps "à ne pas comprendre".

"Mon temps est trop précieux pour répondre aux questions idiotes des trolls" et je me suis demandé comme Molière "mais que diable, est-il venu faire dans cette galère ?".

Un forum sur Internet est un endroit où l'on discute et où on s'y expose.

Pas nécessairement d'attaques "ad hominem" mais plutôt des réactions contre les "systèmes".

Comme cheval de bataille, presque tous ses billets vont et viennent dans le sens de contrer le média de la presse qui selon lui, ne sortent que des nouvelles fausses.

C'est parfois vrai, mais c'est aussi aller un peu loin de manière tendancieuse de porter en épingle ce qui n'a aucun impact pratique et réel dans la vie de tous les jours.

Google investit dans le logiciel RADAR (Reporters And Data And Robots) capable de générer plus de 30.000 articles de presse par mois.

C'est dire que décortiquer la presse, ce n'est pas demain que l'intérêt augmentera.

Mais, bon, chacun son truc à plumes ou à poils et on ne va pas en faire une maladie.

0.JPGSauter les médias officiels quand ils déplaisent, une tendance que Donald Trump a adoptée et qu'il a remplacé par des tweets en qualifiant la presse de mensongère.

Emmanuel Macron utiliserait un site en son nom sur le Web pour informer la population de sa politique qui serait, d'après lui, trop complexe.

Les interviews sur le vif peuvent toujours devenir dangereux quand les moindres paroles peuvent être interprétées et déroutées de leur objectif premier par la presse et ... par des internautes très (ou trop) zélés pour faire du buzz.

Parce que ces derniers affabulent à leur tour sans même vérifier ce qu'ils annoncent.

Les internautes n'analysent plus et sautent sur les failles qui restent ouvertes et le Web, l'outil de la modernité, de la liberté de paroles, s'y mettent dans la "démesure de l'interactivité".

D'après une étude de l'UE de "Trust in Media 2017", "les médias les plus dignes de confiance en Europe sont audiovisuels : la radio pour 59%, la télé pour 50% avec une crédibilité reconnue comme en constante augmentation depuis cinq ans.

Les médias traditionnels recoupent et vérifient les informations tarabustées par leur déontologie et une armada de garde-fous. A contrario, Internet grimpe péniblement à 36% et les réseaux sociaux à 21%. Mais il est vrai que l'intérêt du public pour l'actualité est en baisse d'après l'étude Kantar Public". 

Les associations de journalistes d'investigation (FEJ) s'insurgent: « Comme en France avec François Fillon ou aux États-Unis avec Donald Trump, il y a un mouvement de fond désormais alimenté par le monde politique qui consiste à s’attaquer à la presse ».

Un article cite "dix comportements humains les plus destructeurs": le commérage, le jeu, le stress, la décoration de notre corps, le harcèlement, les mauvaises habitudes, la tromperie, le vol, la violence et le mensonge.

"Je suis de gauche" disait "Vilain petit canard".

Pas de problèmes intrinsèques dans la défense d'une cause de gauche ou de droite.

J'avais écrit un billet sous forme de conversation "anonyme" dans le cadre d'un printemps qui donnerait de la fougue et du renouveau tout en écrivant que trop d'information tue l'information.

Blackout et mutisme ont suivi.

Je me suis retiré sur la pointe des pieds en attendant des jours meilleurs.

Son mutisme a duré jusqu'au moment où il ne pouvait plus se cacher derrière des faux-semblants et finir par sortir une formule bien belge du style "OUI mais NON".

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Le mot péjoratif de "gôche" qu'il avait utilisé, était rectifié dans sa conclusion très personnelle tout auréolé de gloire : la gauche n'est plus la "gauche". (fil complet)

De quelle gauche parlait-il d'ailleurs ?

Wiki dit : "De nos jours, les partis de gauche se rassemblent dans la promotion d'idéaux progressistes et d'égalité, la critique de l'ordre social et le souci d'une plus grande justice sociale. Elle comprend la social-démocratie, le radicalisme, le socialisme, le communisme et certains courants de l'anarchisme".

Y répondre resta lettres mortes, jusqu'au moment où un autre interlocuteur intervienne et qu'il m'a répondu "Guy, je suis aux abonnés absents quand TU écris, nuance. J’ai compris depuis longtemps que tu es vide, et tiré les conclusions qui s’imposaient, parce que je n’ai pas de temps à perdre en discussions stériles".

Là, on entre vraiment dans le mépris de l'autre en apprenant à dire "NON" à tout.

Ça peut se dire, mais ça ne peut pas se faire

Après ce "NON" ou "NON PEUT-ÊTRE" (comme une autre expression belge), à une question, il avait répondu : "À 50 ans, ma crise d’ado est derrière moi depuis 35 ans. Dire « non » pour dire « non », ça va bien à 2 ans et demi, après on passe aux « pourquoi » et puis on se fait une vie. On est bien d’accord là-dessus, je crois. Pratiquement tous les articles que j’écris sont détaillés, sourcés et disent bien contre « quoi » je suis, le système que je refuse. Cette argumentation qui couvre aujourd’hui des centaines de pages n’a pas sa place dans les commentaires, il ne faut donc pas l’y chercher.

0.JPGEn fait je m’insurge contre un certain nombre de choses que j’estime parfaitement injustes... Non, ce n’est pas une philosophie de vie, mais le refus de l’imposition d’une certaine philosophie de vie, que personne, jamais, n’a approuvé, notez bien. Le « non » de La Boétie, c’est de refuser consciemment de participer même passivement à un système dont on sait qu’il nous asservit. Cela ne tient qu’à nous, mais qui le sait ?"

Fin de citation.

Donc, il est "contre" sans dire dans quel cas, il est "pour".

Tous ceux qui ne planerait pas à des altitudes au plafond des hiérarchies de manière impersonnelle, le savent.

Partager avec quiconque est un noble principe avec lequel je n'ai aucun mal, mais pas jusqu'au stade de la radicalité et de l'intégrisme dont on sait où il amène spirituellement ou temporellement.

Il y a presque 6 ans, j'avais écrit "Gauche, droite, gauche...".

7.JPGA l'époque, d'après Alain Winants,  patron de la Sureté de l’État belge, l'extrême gauche serait plus redoutée par ses services que l'extrême droite.

Les manifestations anti-G20 à Hambourg avait dégénéré en combats de rues et près de 500 personnes dont plus de 200 policiers, avaient été blessés pas des casseurs souvent d'extrême-gauche.

« A Hambourg, nous avons vu ce qu'était l'anarchieUne telle violence est alimentée par le sentiment d’être traité de manière injuste. Les auteurs ne ressentent pas qu’ils appartiennent à ce monde. Ils ne veulent pas le changement, mais la destruction. […] Merkel a voulu montrer qu’une démocratie mature pouvait gérer la critique et les désaccords. Mais les choses ne se sont pas passées comme ça », affirmait le président.

Les crises politiques, elles-mêmes, arrivent toujours au stade de l'absurde, en se sabordant et c'est le socialiste, Paul Magnette, qui le disait.

Un principe de sagesse dit qu'il faut avoir les moyens de sa politique et faire correspondre la politique à ses moyens. Rien de plus, rien de moins.

L'initiative privée et le goût d'entreprendre, ce n'est pas la gauche qui les privilégie.

"Pourquoi les riches triomphent?", un billet qu'il ne faut pas nécessairement lire, mais qui donne des indices de l’indicible légèreté de l'âme des hommes.

1.JPGAujourd'hui, avec humour on pourrait dire que :

Je rappelle que le numérique et l'informatique ne sont pas des inventions du socialisme. 

Un informaticien a pour mission d'inventer le futur, de corriger les lacunes et les oublis d'une version précédente mais ne réinstalle pas une version ancienne.

2.JPGJe ne suis pas politicien, là, je suis "vide" mais j'ai été informaticien presque au depuis les débuts de paradigme. Peu importe la politique qu'elle soit gérée par la gauche ou par la droite, elle correspondrait très peu à une révolution.

Là, j'ai quelques bases à ce sujet dont j'ai assez parle par son évolution de sa révolution car elle ouvre une troisième institution idéologique parallèle.

C'est dans ce domaine que j'ai exercé "quelques talents mais pas en politique.

L'humain a déjà disparu face à des décisions stratégiques. Il n'est plus rentable par rapport à la machine.

Cette révolution numérique aujourd'hui, s'associe aux chiffres, aux quantités et pas naturellement à la qualité de celles-ci.

C'est là, la question primordiale et principale sur l'avenir à se poser alors que la technologie détient déjà une grande partie des potentiels pour tout bouleverser par ses outils technologiques.

Je suis parmi les constructifs optimistes mais, "Vilain petit canard" n'en parle pas tout informaticien qu'il se dit être.

0.JPGQuant à l'antiaméricanisme primaire, il est tellement simpliste qu'il me fait sourire quand on pense que nous sommes en Europe des utilisateurs et nulle part en tant que créateurs.

Conclusions : Nous sommes tous différents. Nous avons tous des objectifs de vie qui ne le sont pas moins.

Un activisme engagé de gauche ou de droite, pourquoi pas ?

A part les extrémistes, j'ai déjà voté pour l'éventail complet.

Ce n'est pas du vogelpik mais suite à des projets qui plaisent.

"In medio stat virtus" et pourquoi pas, en généraliste, au milieu du gué ?

Au diable, les partis... au diable, les idéologies quand elles sont à bureau fermé à ses opposants ou qui ne font qu'insulter les autres.

L'ermitage est alors programmé seul au fond des bois ou d'une cave à bougonner.

C'est creuser sa tombe et irresponsable de tirer la prise par intransigeance quand des objectifs importants ont déjà été signés autour d'une table.

On corrige les erreurs après les avoir constatées et avant de reprendre la route ensemble.

Les objectifs sont plus importants que les délires partisans que ce soit au niveau gouvernemental ou entre particuliers.

Défendre ses opinions, rien de plus normal.

Dénigrer les autres, c'est rencontrer le cave qui se rebiffe. 

0.JPGAux Cafés serrés belges, Mardi, Manu Di Pietro précédait et questionnait un libéral pur jus, Jean-Luc Crucke : podcast

Vendredi, Cindya Izzarelli précédait Olivier Maingain en utilisant l'antiphrase, expliquait ce qu'est la politique de la terre brûlée des Shadock et dont la devise est "quand on ne sait pas où on va, autant y aller le vite possible" podcast.

Puis quand, à court d'arguments, on n'a plus rien à dire pour sa défense, il faut faire une chronique à trou comme l'a fait Cyndia Izzarelli après un droit de silence : podcastavec une conclusion des années 90 : "les deniers publics, c'est comme les frites, c'est ceux qui en parlent le moins qui en mange le plus".
Les scientifiques ont découvert un tout nouveau type de trous noirs, alors pourquoi pas les politiciens et ceux qui les galvanisent.

Mais, c'est bien connu, le cerveau chasse les pensées négatives par la nourriture, alors il insiste quitte à en devenir boulimique.

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Retournons aux médias et à une télé qui nage entre deux eaux, francophone et allemande : ARTE...avec son "28 minutes" qui présente l'actualité par thèmes.

Celui du 7 juillet, considéré comme spécial, reprenait les étapes suivies parfois de manière irresponsable des gouvernements.

Sous le titre de "Les promesses n'engagent jamais que ceux qui y croient", il était dit que le premier ministre Philippe semble découvrir que les caisses de l’État sont vides et qu'il renonce déjà à ses promesses de campagne.

Présent, l'auteur du livre "Le coureur et son ombre" expliquait la philosophie de l'effort en groupe du coureur cycliste amateur qui a été la sienne.

Pour lui, la tendance actuelle épuise la vérité quand on la mesure dans une "nombrilification du monde".  

"Comment gagner le Tour de France ?"

La réponse que je partage, se retrouve-elle en cliquant ci-dessous ?

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0.JPG1.JPG<<<---Un des articles du Vif donnait la raison au fait que la gauche radicale supplante le PS.

"La stratégie politique du 'tout sauf la méchante droite' ne fonctionne plus", dit l'auteur, Jean-Numa Ducange.

Les électeurs ont changé.

Jean-Luc Mélanchon ne respecte même plus le socialisme historique qu'avait le PCF de Georges Marchait qui lançait à l'époque "C'est un scandale".5.JPG

Le parti 'France Insoumise' a pris ses distances avec le parti communiste français.

La première version du socialisme-communiste de Mélenchon a été mise en congé en 2008 pour gagner des électeurs dans une évolution plus "douce".

Si cela n'avait pas été le cas, les vieux idéaux d'égalité sociale de la gauche révolutionnaire n'auraient pas percé lors des élections françaises en arrivant 3ème.

Le PTB belge prendrait la relève du PS en premier parti en Wallonie.

Marcel Sel rappelle ce qu'il contient en arrière-plan.--->>>>

0.JPGLe Vif de cette semaine, reparlait du PTB et posait la question : "Et si le PTB avait raison".

Ce parti de la gauche radicale a le vent en poupe avec 24,9% de participants d'après un sondage.

Le parti souvent pointé comme populiste, a des chantiers importants devant lui-même (et pour lui-même) parce que beaucoup de propositions apparaissent souvent irréalistes et même incohérentes.

Puisqu'il manquait des "pour" dans les réponses de "Vilain petit canard", je cite les options de l'hebdomadaire :

Il faudrait un article pour chaque point pour y répondre si je ne l'ai déjà fait. Je pourrais y revenir dans 15 jours après lecture.

Le problème, le PTB n'est pas prêt pour gouverner, il le dit lui-même et beaucoup de points demandent bien plus qu'un taxe shift de la droite.

Toutes options doivent être validées, chiffrées quand les caisses sont vides.

Il faut faire partie de son temps, aller de l'avant, faire son deuil du passé et ne pas avoir la nostalgie d'une époque en espérant la revivre un jour.

Qui se souvient encore du jeune Olivier Besancenot, au cours des élections présidentielles de 2007 ?

Qui se souviendra de Philippe Poutou qui s'opposait lors des dernières élections présidentielles ?

"Que reste-t-il de Carl Marx?"

L'ultralibéralisme de l'extrême-droite et le socialisme intégriste de l'extrême gauche, se rejoignent avec le même langage par des slogans court-termistes pour s'attirer des voix aux élections.

0.JPGIl y a exactement dix ans, la crise des subprimes révélait, par le secteur de l'immobilier, la faiblesse de l'économie mondiale ainsi que la faiblesse des espérances dans une avenir radieux.

La solvabilité des crédits était prise en défaut et les emprunts des ménages n'étaient plus couverts.

Un engrenage fatal vers l'abîme commença dans un effondrement systémique : banques, assèchement des crédits, faillites, licenciements, baisses de la consommation...

Quand un vent de tempête souffle, la gauche tente de s'accrocher à un fil de soie pour préserver les plus fragiles.

Mais c'est la classe moyenne qui continue à construire vaille que vaille le chemin du renouveau et du futur.

Il y a un an exactement, j'écrivais lors de la fête flamande pour des raisons de pragmatisme "J'aime les Flamands".

En tirer des conclussions donnerait probablement des réponses fausses...

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Peut-on changer le monde en quelques mots ?, se posait la question ARTE.

"Le pouvoir des mots : « I have a dream », « No pasarán », « Let Europe arise » – ces phrases de Martin Luther King, Dolores Ibárruri et Winston Churchill ont marqué les mémoires. Mais que sait-on de leur histoire et des coulisses de leur fabrique ? Les grands discours et les célèbres orateurs quelle sont leurs façons dont ils ont changé notre présent ?".

La musque adoucit les mœurs, dit-on si l'humour reste en rade alors je ferai appel à elle.0.JPG

La semaine dernière sur France3, un documentaire rappelait "La fièvre des années disco".

Le disco me revenait en mémoire, parfois étonné de constater comment certains chanteurs avaient pu évoluer, soit disparus, décédés ou rentrés avec l'âge.

Durant sept ans de la décennie des années 70, le disco, en véritable phénomène de société avait envahi la planète pour le meilleur et pour pire le jusqu'à provoquer sa propre éclipse.

0.JPGAprès 40 ans, Madonna, Mika et Pharrell Williams font encore revivre ces années dans une sorte d'hommage pour détonner de l'ambiance morose politique sous le rythme saccadé et dansant qu'il apportait et dont on oubliait jusqu'aux paroles. Même le Rap et et le HIP-HOP d'aujourd'hui ont repris la relève

Politique et musique, vont souvent de concert.

Ce BestOf permet d'avoir une rétro-vision.

L'année 1978, souvent mentionnée comme point central de ce documentaire et je me suis concentré sur elle pour rappeler cette époque.

J'avais trente ans et "Vilain petit canard", dix.

En Belgique :

En France :

En économie :

Une libération sexuelle et l'acceptation du statut de gay.

Comme toujours, un retour de manivelle de cette liberté, s'est produit dans les "années Mitterrand" sous forme de Sida.

La "social-démocratie" a fait son entrée lors de la présidence du socialiste, François Mitterrand.

Il se trouvait sous le rouleau compresseur de la Dame de Fer, Madame Thatcher et de Ronald Reagan et il a dû adoucir sa politique parce que sans le dire la population a des goûts cachés de calme, de luxe et de volupté.

3.JPGHier, c'était le 14 juillet et la fête nationale française.

Emmanuel Macron était côte à côte avec Donald Trump.

En fin limier, il a très bien compris qu'il ne faut jamais couper les ponts et qu'un ennemi peut devenir un jour un ami et vice-versa.

Les alliances ne sont jamais éternelles et tout n'est que cycles avec des hauts et des bas...

Alors, quand on ne sent pas bien dans sa peau à l'endroit où l'on vit, on en change drastiquement, pragmatiquement de "crémerie"... 

De toute cette période du disco, j'en choisirai quatre et j'expliquerai pourquoi.

On chantait à l'époque "Le Freak, c'est chic".

Freak, mot qui signifie 'monstre humain, bizarrerie de la nature, maniaque, ironie du sort' et qui crée donc une psychose.

Arrivait alors l'âge d'or de la contre-culture hippie des années 68 sur la côte ouest américaine avait de nombreux adolescents et jeunes adultes, déçus par l'austérité morale et politique de l'après-guerre, par le mode de vie banlieusard américain et donc aussi par les mouvements de gauche de leur époque, définis comme des freaks avec l'idée de "Tous les révolutionnaires sont des freaks".



 

 "Money, money, money", un mot qui définissait l'époque et la qualifiait par son manque

Et "Shame, shame, shame on you" préfigurait un sentiment de trop plein pour certains

Gloria Gaynor chantait "I will survive" pour que toute "psychose en l'avenir" se transforme en "espoir"...

Si on peut ou on veut bien s'y adapter.


 

C'est le temps des grandes vacances, le temps de partir loin entre potes pour se vider la tête...

Les duels psychologiques et philosophiques, cela épuise les méninges...

La semaine prochaine, je remets mon bâton de pèlerin avec un autre article "vacances" pour les uns et qui sait, un "drame" pour les autres qui agissent au nom d'un socialisme autrement bien plus nécessaire.

Quant à chercher à savoir qui sera le méchant en été, il ne faut pas brûler les étapes, il n'y aurait plus de surprises...

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En attendant, "presque sérieux", chantons cette petite chansonnette

podcast

en morgane de toi pour déterminer

qui serait au moins, le plus content,

si j'étais président ou non,

Georges ou Philippe ?


Eriofne,

 

Citations:

 

2.JPG24 août 2017: Le Paris Match de la semaine dernière parlait de la décennie des années 70 en ces termes :

"Les années 70 incarnent la jeunesse du 21ème siècle. Aucune décennie ne sera plus jamais aussi jeune".

 

20 décembre 2017: Il faut être courageux ou inconscient pour faire de la politique. Plusieurs anciens donnent leur démissionpodcast

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