Manneken Pis et Jeanneke-Pis se rebiffent (11/08/2021)
Manneke Pis est un petit garçon nu ou vêtu par une garde-robe qui ferait pâlir d'envie. Sous la forme d'une statue en bronze de 55,5 centimètres de hauteur, il pisse tellement qu'il en devient une fontaine devant laquelle les touristes aiment se prendre en photo. Symbole d'un gamin irrévérencieux, épris de liberté, capable de braver le qu’en-dira-t-on en « plus ancien bourgeois de Bruxelles ». Pour le Bruxellois, se réclamer de cette statue gentiment provocante contribua à l’élaboration d’une représentation de soi comme d'un être espiègle, moqueur, libre et doté d’un grand sens de l’humour. Tout ça à cause de la légende qui dit que ce ketje avait réussi à éteindre un incendie en urinant sur les flammes...
Il y a aussi Jeanneke-Pis, moins connue qui, dans la position Adhoc, pourrait lui faire la nique au niveau débit, mais qu'on n'habille jamais parce qu'on la garde derrière une grille bien cadenassée de peur qu'elle ne soit volée comme son homologue masculin.
Si les Brusselairs ne sont pas surréalistes, qui le serait.
Depuis la semaine dernière, j'avais présenté une version "dégraissée" de l'article "Nom d'une pipe" et une première version de ce billet-ci sur Agoravox.fr pour tester les réactions en France.
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Analyse des commentaires
1er billet - Ce serait sympa de porter ça à l’écran ?, dit Tesseract.
- Le couple Magritte joue au détective dans ce livre et il y a matière à se retrouver dans une série télé comme ce fut le cas pour le détective fictif, Hercule Poirot qui revendique d'être belge, dans les livres de Agatha Christie", répondis-je.
- J’ai rencontré Nadine Monfils qui a écrit un beau texte sur la page « blanche ». Une ressemblance avec Aleister Crowley, écrit Mélusine pour faire étalage de ses relations mondaines et de sa culture.
- Ce n’est pas le chapeau boule seul qui pourrait faire la communion d’opinions. Non, peut-être...
2ème billet. - J’ai bien aimé la tonalité de ce billet, proche d’écrits plus anciens. Personnellement, j’aime bien les Belges, leur humour et leur détachement des convenances. J'aime tout particulièrement l’esprit des Bruxellois. Une ville qui possède autant de fresques murales consacrées à la BD et qui a eu pendant des années un Musée du Slip.
- On voit en vous un connaisseur. J’aime. Un pamphlet, bien sûr. C’est parfois nécessaire de remettre l’église au milieu du village, comme on dit chez nous.
Très peu de réactions, il faut bien le dire. Pas très folichon.
C'est à partir d'ici que Manneken Pis et Jeanneke-Pis interviennent et se rebiffent.
Cela dénote l'imperméabilité des Français à tous les événements et faits en dehors de la France qui, comme tout le monde le sait, est le plus beau pays du monde, comme s'enorgueillit Stéphane Bern.
Depuis la parution du billet "Nom d'une Pipe", j'avais pris contact avec Nadine Monfils, l'auteure du livre "Nom d'une pipe". Bruxelloise d'origine mais qui vit depuis 22 ans à Montmartre.
Rien de stratégique dans ma conversation avec elle. Elle n'en sera pas vexée que je la reprenne ici dans les grandes lignes.
- Êtes-vous une voyageuse dans l'âme? Aimez-vous l'exotisme dans vos voyages?, lui demandais-je.
- La question est bizarre car je ne vois pas le rapport avec Magritte. Comme lui, je n'aime pas trop voyager, surtout maintenant avec toutes les paperasses. Je déteste les réservations via internet. Si je pouvais me faire téléporter ce serait bien. Aller dans certains pays me plait. Les trajets non. J'aime être chez moi à Montmartre. Et écrire", répond Nadine.
- Il n'y a, bien évidemment, aucun rapport avec Magritte. Si le voyage forme la jeunesse, il permet d'évaluer comment les problèmes sont résolus ailleurs. Georgette Magritte remet souvent son mari René sur les rails en lui insufflant un peu plus d'ouverture d'esprit et de réalisme. Le voyage est peut-être l'antidote aux vacances des juillettistes et des aoûtiens qui, sur une surface restreinte de plage, supprimerait l'incongruité. Le surréalisme imaginaire des toiles de Magritte se retrouve aussi dans la vie réelle de tous les jours. C'est là que les réalités ressortent avec un nez de clown et réactualisent ses toiles par une autre voix du surréalisme et réactualiser vos vôtres vu que vous avez quitté pour vous rendre à Montmartre. Question très courte mais qui nécessite une ou plusieurs réponses moins courtes: Pourquoi avez-vous quitté Bruxelles? Que ce soit à Montmartre ou ailleurs, il y a un esprit français qui demeure et me dérange parfois. Montmartre fait partie de Paris que vous le vouliez ou non avec seulement un esprit bohème en plus.
- J'ai ma vision de Montmartre. J'y vis depuis 22 ans. Et Montmartre n'a rien à voir avec Paris. Je reste toujours belge.
La réponse principale n'est pas arrivée. Elle fut détournée et la conversation s'est achevée à peu près ainsi.
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A la pêche aux moules avec frites
Le couple Magritte qui vivait donc leurs dernieres années à Schaerbeek dans le Quartier des Fleurs, a été contemporain du schaerbeekois d'origine, Paul Deschanel.
Celui-ci a été président de la Troisième République française de février à septembre 1920. Une période très courte qui s'explique par le fait qu'il ne parvient pas à rééquilibrer les pouvoirs de l’exécutif en sa faveur alors qu'il avait de grands projets, préparés dans des principes édictés dans son livre "La Question sociale". Sujet à la critique sous forme de caricatures, il bascule dans des crises d'angoisse et de dépression lorsqu’il se rend compte que sa marge de manœuvre est très réduite dans ses nouvelles fonctions présidentielles. Son prédécesseur, Raymond Poincaré l'avait prévenu des faibles pouvoirs d'un président. Deschanel meurt en mai 1922. Maigre consolation à titre posthume, il a une Avenue Deschanel à Schaerbeek et une Allée Paul-Deschanel à Paris.
Cette anecdote historique est révélatrice de l'état d'esprit français de résistance existant à cette époque.
Alors résister à un Belge, cela craint toujours un peu plus...
J'aurais pu ajouter: La France, le pays des Droits de l'Homme, est aussi le pays des droits de l'Ohm, l'unité de résistance électrique contre le modernisme. Frigide Barjot est le modèle du côté rétro de la France. Pas étonnant que l'on voit Eric Zemmour sur la liste des présidentiables. La Belgique a une avance sur la France dans beaucoup de domaines vis-à-vis de la France.
"Oui mais non" et "non peut-être", ce ne sont pas les seules marques de fabrique que nous partageons avec les frites. En Belgique, on n'a pas toutes les frites dans le même sachet. Borderline, le zinneke bruxellois pratique ses propres belgicismes bien cadrés parfois incompris du Français avec la zwanze comme boîte à outils de l'humour.
En 2014, sortait le documentaire "Oui mais non" pour expliquer ce que sont des compromis alors qu'une autre crise se produisait.
La vanne du Bruxellois et des deux Français dans le Thalis, faisait partie de la boîte.
Elle n'a pas reçu de contre-expertise donc on peut continuer.
J'avais osé écrire un jour "J'aime les Flamands". Dans le passé, beaucoup de Flamands dans l'équipe dont j'avais le management.
Observateur de l'évolution de la société Boris Cyrulnik va plus loin dans ses critiques en suivant la ligne de son livre "Aux âmes et des saisons".
"Il estime qu'on est passé de l'aristocratie de la force à celle du diplôme. Les filles plus vite matures et plus sérieuses que les garçons profitent de cette situation. Cela pourrait détrôner ces beaux mâles. La nouvelle hiérarchie sociale s'est enrichie par l'indépendance financière de la femme et le diplôme. Cela aggravé les inégalités et la détestation des élites personnifiée par Macron. Le bonheur facile a mené à la nausée en aspirant à la pureté des bonheurs difficiles dans le plaisir de la régression. Le fait de lire plus d'une page d'un trait, s'est transformé par des tweets. Le jeune de demain connaîtra au moins 6 métiers dans sa vie avec une formation continue et une anomie affective pour devenir parfois des self-made men. Il n'y a pas de fatalité. Les Belges sont devenus des virtuoses des débats entre Wallons et Flamands alors que les Français sont incapables de prendre la parole sans puer la haine. C'est inquiétant puisque les dictateurs sont élus démocratiquement.".
Quand on connait aujourd'hui le nouveau nouveau rapport du GIEC, c'est dire que le besoin de solidarité et de collaboration entre les pays devient urgent et important.
En 2007, j'écrivais déjà "Le bâton et plus beaucoup de carottes".
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La COP23 le disait déjà "agir avant qu'il ne soit trop tard".
Covid oblige, cette année, les Belges ont retrouvé leur pays en vacances pour éviter les problèmes de passage de frontières et à l'aéroport. Je peux pourtant dire que les nuisances du bruit des avions qui survolent la capitale en matinée, n'ont pourtant pas vraiment diminué. En voiture, la France est restée la destination préférée des Belges.
Les vacances, quand on oublie tout, sont toujours un moyen de tâter l'ambiance générale pendant un temps relativement court pour tout oublier dans l'ambiance du touristiquement vôtre. Pour un étranger, vivre en permanence en France, n'est pas le même topo et il ne s'y intègre pas aussi facilement.
Sur Agoravox.fr, j'ai eu le temps de recueillir plusieurs constatations au sujet de la pensée française et je ne manque pas de lancer quelques bombinettes en commentaire.
L'amalgame entre les mots "patriotisme" à la belge et le "nationalisme" à la française m'est resté au fond de la gorge.
Le chauvinisme demande aussi plus de précision.
Lors des compétitions de foot de l'Euro, l'édito de Bertrand Henne dit "qui seum récolte le chauvinisme" .
Geneviève Warland répond à la question "Sommes-nous devenus chauvins en Belgique?" : .
Le chauvinisme à la belge est né en réaction au chauvinisme français.
"Courrier international" donne la raison de notre susceptibilité quand les Français nous critiquent. Susceptibilité qui va jusqu'à ne plus aimer les Français.
En 2008, j'avais écrit au temps de Sarkozy "Ne m'appelez plus jamais France".
Mais depuis, il y a beaucoup d'eau qui a coulé sous les ponts.
Les rattachistes aux voisins du Nord et du Sud existent des deux côtés de la Belgique.
Les Bruxellois, eux, souvent belgicains, au milieu du gué et nageant entre deux eaux dans le jeu de quilles.
La fête de la Communauté flamande, c'est le 11 juillet.
Celle de la Communauté Wallonie-Bruxelles, le 27 septembre.
Pour y trouver un boulot à Bruxelles, il faut avoir des notions importantes en français, en néerlandais et ... au minimum, en globish, pour les relations internationales.
Avec plus d'une centaine de nationalités à Bruxelles, c'est souvent le globish qui devient la langue de communication entre elles.
Pour faire du tourisme bon marché à Bruxelles, il suffit d'arpenter quelques rues de la capitale en écoutant les conversations en langues étrangères et en imaginant leur pays.
Ce 8 août est la commémoration de la catastrophe du Bois du Cazier en 1956 pour les Italiens qui venaient extraire le charbon des mines. Les Italiens ont été les premiers à s'intégrer dans la population belge. On vient de fêter le 175ème anniversaire.
Le Français ne connaît rien de la politique belge. Il ne la comprend pas et il ne cherche même pas à la comprendre.
Pour lui, Bruxelles reflète seulement une haine de l'Europe alors qu'elle est le laboratoire de l'Europe avec l'UE et l'OTAN sur son territoire. L'idée de Frexit s'insère insidieusement dans un concept séparatiste.
Alors, trop compliquée l'histoire et la politique belges?
J'ai souvent tenté d'éclaircir le terrain de l'incompréhension mais il y a une obstruction quelque part.
Les émissions des "Quatre saisons" pourraient donner des indices.
Si cela ne suffit pas, il y a aussi le livre de Wouter Verschelden "Les Fossoyeurs de la Belgique".
Il a fallu dix mois à Alexandre De Croo, le fils du précédent Herman De Croo qui se trouvait dans le documentaire de "Oui mais non", pour devenir Premier ministre du gouvernement Vivaldi après un "gros accord" entre les deux hommes forts Paul Magnette et Bart De Wever. La politique c'est une affaire de famille au gouvernement belge. Cela se passe de père en fils ou en fille.
Oui, ce fut à nouveau, une crise profonde de 662 jours après Michel Ier suite à des conversations, des accords secrets faits de serments coûteux et des promesses non tenues pour arriver enfin à un gouvernement minoritaire en pleine pandémie. Heureusement, qu'il y a le règlement des affaires courantes. Vous savez celles qui coutent et qu'on a difficile à rattraper.
Deux grands à la tête du pays s'affrontent dans notre démocratie parlementaire.
Bart De Wever, le conservateur pur jus, intelligent, latiniste convaincu, chef du Club séparatiste, non révolutionnaire pour obtenir l'autonomie de sa "Flandre".
Paul Magnette, le gauchiste académique, bloqueur du CETA entre le Canada et l'UE.
"Cela vous dérangerait-il si nous gardions le nom Belgique" demande Paul Magnette à Bart de Wever.
"Le Super Kern? Ce n'est en réalité rien de plus que de s'occuper d'une bande de bambins" a dit Sophie Wilmes ex-Première pendant la transition.
Complexe, fédéral, régional, communautaire, "un pays inachevé ou à achever?" écrivais-je en 2009.
Je ne sais si j'ai pu, une nouvelle fois, clarifier la Belgique d'aujourd'hui. Pour combler le "Le chagrin des Belges" qu'avait écrit Hugo Claus en 1983.
Bruxelles est francophone à 86% mais se trouve en région flamande. Dans le jeu de quilles centrales, elle est plus une épine dans le pied de la Flandre qu'une valeur ajoutée.
C'est dire que l'humour et la parodie font partie des ingrédients de notre sauvetage avec l'autodérision, la forme principale de notre belgitude comme le mystère et les secrets l'ont été pour René Magritte.
C'est sûr que Nadine Monfils ne suit pas l'humour décapant typiquement belge dans une cure de Cactus quotidiens à la radio que je ressors sur mon antenne et du Grand Cactus hebdomadaire à la télé dont on avait, hier encore, un exemplaire.
Des humoristes belges sur France-Inter ou ailleurs retransmettent notre antidote à la morosité et se payent quelques tranches belgo-françaises avec l'humour particulier à la belge.
Et cela semble marcher. Grâce à cet esprit fanfaron, il n'y a apparemment pas d'exode massif de Belges vers d'autres pays si ce n'est pour exporter nos expertises. Il y a, en effet, une diaspora de Belges dans le monde est représentée par l'émission "Les Belges du bout du monde".
Il faut dire que le malaise et le mal-être français sont imprécis et profonds. Ils sont presque impossibles à cerner et à l'exprimer dans les détails mais ils restent stagner à la recherche de l'invincible étoile une fois sur un pied et une fois sur l'autre sans jamais trouver l'équilibre à cause de son système présidentiel.
J'avais apporté des différences notoires entre la Belgique et la France au sujet de la Covid Party dans "Le désamour envers la politique et la science?". Cela variait du Nord au Sud.
Dernièrement, sur Agoravox, je lisais le billet qui parle d'un éventuel passage à la VIème République française pour résoudre les problèmes du passe-muraille représenté par le Corona-pass qui oblige à présenter patte blanche si pas vacciné par la piquouse. La réponse donnée fut "on manifeste pour faire respecter notre droit le plus fondamental".
Non peut-être, mais le mal français semble bien plus fondamental.
Si chez nous, on devait avoir les mêmes réactions vis-à-vis du respect en Belgique et qu'on changerait de réforme de l'Etat, nous serions déjà à la version 136ème Point Bis si pas Point Ter.
Le Bruxellois est bon-enfant.
Il manifeste, aussi. A Bruxelles, il y a en moyenne une manifestation par jour pendant toute l'année à se farcir. A se farcir, parce que si les manifestations bloquent en partie la ville, quand ce sont les hauts personnages de l'Europe ou de notre monde qui viennent à Bruxelles se dégourdir les roues de leur voitures rutilantes, ce sont des embouteillages monstre.
L'agent fait bien le bonheur selon l'économiste Daniel Cohen était interrogé au sujet de son livre "Les Français et l'argent". "La relation des Français avec l'argent est souvent équivoque, paradoxale et ambiguë dans un jeu à somme nulle tout en générant du pessimisme. Il faut toujours avoir un euro en plus que son voisin", comme il le disait.
Pas de doute, Macron vient d'un milieu aisé. Je l'avais senti dès sa candidature avec "Macronite aigûe" . Il a pensé sortir de cette ambiguïté gauche-droite et s'est planté en faisant le grand écart.
Dans les années 80, Coluche aurait pu faire un bon président français parce qu'il est passé à tous les stades intermédiaires de la pauvreté à la réussite financière.
Le spectacle de la clôture des JO à Tokyo a bien montré qu'il y a moyen de fusionner passé et futur, tradition et modernité avec respect et humilité. Notre délégation sportive compte à 0,46 médaille pour un million d'habitants. La France est à 0,41, les Etats-Unis, à 0,3 et la Chine à 0,006. Cela malgré ce que raconte les spécialistes.
Macron n'a pas compris que l'on pouvait à la fois être modeste et résilient tout en saluant son interlocuteur.
N'est-ce pas une leçon principale pour les JO de 2024 à Paris?
Je dirais donc "Arigato Tokio".
Oui, il y a une folie française généralisée comme il y a eu une folie française avec le Didier Raoult à se fier à des bouées de sauvetage trouées.
Je lis actuellement "A Knocke-le-Zoute" de Nadine Monfils. Je m'en doutais avant de le lire mais plus j'avance dans la lecture, plus je trouve quelques caractères de ressemblance avec le couple Magritte et le mien. C'est troublant. J'en ferai peut-être un billet plus tard.
Comment terminer ce billet?
A mon avis, il y a au moins deux manières... .
Une très ancienne représentée, la pièce "Le Mariage de Mademoiselle Beulemans" qui prouve que la confrontation France-Belgique existait depuis longtemps
Cette pièce a été créée, il y a 111 ans, le .
Quand elle est programmée au Théâtre des Galeries à Bruxelles, elle fait le plein de spectateurs qui connaissent souvent toutes les répliques par cœur.
Et une autre de GuiHome qui parle de Bruxelles.
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(*) Je dédie ce billet à un ancien ami bruxellois du bout du monde, Alain alias Sapenhine qui en 2013 avait écrit sur Bruxelles
"Bruxelles ma belle, ce sont des mots qui vont si bien ensemble"
et qui est décédé en février 2019 à Madagascar.
Allusion
12/8/2021: Retour en 2015: "Juillet, un mois de fête nationale", le piétonnier qui traverse le centre de Bruxelles.
Commentaires
Didier Raoult : un médecin l'accuse d'être à l'origine de "milliers de décès"
L'un des plus influents médecins de Belgique a lancé de sérieuses accusations à l'encontre du professeur marseillais sur Twitter.
Il a longtemps été l'une des figures incontournables de la crise du coronavirus en Belgique. Dans une série de tweets postés ce lundi 20 septembre, Emmanuel André, microbiologiste de renom outre-Quiévrain et ancien porte-parole interfédéral de la lutte contre le Covid-19 pour le gouvernement belge, charge violemment l'infectiologue marseillais Didier Raoult.
"Didier Raoult tue à petit feu", accuse notamment le médecin belge, jugeant que son célèbre homologue, qui devrait prochainement quitter la tête de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée, est à l'origine de "milliers de morts" depuis le début de la pandémie.
https://news.gentside.com/societe/didier-raoult-un-medecin-laccuse-detre-a-lorigine-de-milliers-de-deces_art100092.html?utm_source=welcoming&utm_medium=email&utm_campaign=welcomingmulti&utm_content=pausetoujours
Écrit par : Allusion | 22/09/2021