Arpentage du numérique (25/10/2025)
Le
vendredi 17 octobre, j'ai assisté à un nouvel arpentage pour discuter au sujet du livre "Tendre vers la sobriété numérique" de Frédéric Bordage. Après la lecture d'un chapitre du livre, une discussion collective pendant laquelle laquelle a exprimé son ressenti.
Une occasion d'aborder l'empreinte carbone des usages numériques et les façons de la réduire, tout en donnant des pistes pour se parer face aux risques de surmenage et d'addiction.
Ce billet-ci est jumelé et à considérer comme une suite au billet précédent "Si pas de patrimoine, pas de futur"
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Résumé du livre de Frédéric Bordage
Aujourd’hui il est difficile d’imaginer un monde sans numérique tant les écrans ont envahi notre quotidien, nos communications et même nos loisirs. C’est pourtant l’avenir qui se profile ! Car, malgré son image immatérielle, le numérique est fabriqué à partir de minerais et d’énergie dont les réserves s’épuisent à grande vitesse. Des ressources non renouvelables extraites à l’autre bout du monde dans des conditions effroyables, tant pour les écosystèmes que pour les populations locales. Insoutenable pour la planète, notre usage du numérique l’est aussi pour nos cerveaux surchargés. Entre l’emprise des écrans sur nos enfants et les burn-out de nos collègues, il est urgent de se désintoxiquer et de freiner la production effrénée d’appareils voués à une obsolescence accélérée ! D’autant que, au-delà de ces impacts négatifs, le numérique est un formidable outil pour relever certains grands défis du XXIe siècle. Alors, il va falloir l’économiser si nous souhaitons pouvoir le léguer aux générations à venir. C’est tout l’enjeu de la sobriété numérique qui consiste à adopter une hygiène quotidienne : ne pas céder aux sirènes du tout technologique, privilégier le reconditionné, acheter des équipements durables et réparables, maîtriser ses usages, etc. Faire évoluer nos habitudes est plus simple et rapide qu’il n’y paraît.
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Arpentage du 17 octobre
J'avais avant de venir tenter d'acheter le livre de Bordage, mais il fallait le commander et je je ne l'ai pas fait.
Les cinq membres présents à cet arpentage a reçu un exemplaire du livre du livre de Bordage.
Chacune a apporté ses réflexions à la suite de la lecture d'une partie du livre "Tendre vers la sobriété numérique".
En introduction d'une discussion qui avait des questions de réflexions en donnant au préalable son impression sur la couverture du livre sans l'ouvrir suivie par la lecture d'un chapitre de quelque pages à lire.
Les questions posées : "De quoi s'agit-il ?", "J'en pense quoi ?", "Quelle citation trouvez-vous intéressante et pourquoi ?".
J'avais reçu le chapitre du chapitre "Se lancer" à lire et à commenter entre les pages 40 et 44.
Questions posées et mes réponses notées dans une série de points. :
- De quoi s'agissait-il ? La réduction de l'emprunte quotidienne.
- Ce que j'en pensais ? Le Smartphone partout
- Quelle citation et pourquoi ? le passage du statut de Patawan au Jedi en réduisant notre emprunte quotidienne. Les réflexes sont ancrés en nous. Parce que le Smartphone est partout. Les mots de passe tous différents dont il faut se souvenir pour pouvoir entrer dans les système, sont une calamité. La recharge des batteries encore un problème si on a oublié de le faire.
En fin de soirée, nous avons reçu un fascicule avec le titre "Numérique durable". Son thème correspond parfaitement au livre de Frédéric Bordage et à l'idée majeure de limiter l'impact de l'usage numérique.
Les pages 48 et 49 sont une sorte de conclusions.
Une feuille "La face cachée du clic. Pour aller plus loin" avec des liens était donnée à la fin de l'arpentage.
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Réflexions du Miroir
Réflex immédiat au sujet de ce fascicule : à mon humble avis, je ne suis pas sûr que la voie du numérique soit sobre et que sa longueur de vie ne soit plus que longue.
Linux, présenté comme un service d'exploitation durable, je l'ai essayé comme une autre dame présente mais elle et moi l'ont abandonné parce que Linux reste compliqué pour ceux qui ont l'habitude d'utiliser Windows comme dans beaucoup d'entreprises dont la mienne. Bien entendu comme il y était écrit "Les géants du Web nous y ont accoutumés, motivé par des logiques commerciales, créant toujours plus de besoins et de dépendance à des systèmes technologiques toujours plus gourmands"", mais changer ses habitudes
Les systèmes "Open Source" resteront parallèles à Windows.
Cela m'a fait sourire de lire la dernière phrase de ce fascicule qui dit que ce serait "pour favoriser et pérenniser un numérique plus durable à grande échelle".
Tout évolue plus vite et aller à contre courant, c'est disons "peine perdue".
Il a fallu attendre la version suivante à Windows 95, pour qu'elle soit relativement stable sans crash en recevant un écran bleu.
J'ai toujours été un testeur de logiciels souvent en freewares, en acceptant les risques.
Actuellement, j'ai un PC avec la version Windows officielle et un autre, j'ai accepté de valider une version de test appelée "Windows Insider Program" qui a engendré plusieurs crashs avec dumps mémoires envoyés à la société Windows. Quasiment toutes les semaines, j'ai encore une mise à jour.
Il était dit de faire des mises à jour utiles. Plusieurs mise à jour demandées sont pour apporter des encensements mais aussi pour rectifier des failles du système qui a peut-être été attaqué dans la semaine.
Les grands noms de la science-fiction savent que pour deviner l'évolution, il n'y a pas de meilleur exercice de pensée que d'imaginer son fonctionnement avec des technologies différentes, plus avancées.
Aujourd'hui, l'IA bouleverse tous les domaines...
Jusque quand ? Réponse : quand on aura trouver mieux.
Les serveurs connectés consomment énormément d'énergie mais on continue d'en consommer.
Au sujet des présents à l'arpentage :
Dans cet arpentage, pour discuter de ce qu'est le numérique, quatre femmes, une présentatrice et moi-même.
La présentatrice faisait partie de la Ligue des familles avec des liens avec l'écoféminisme.
Comme à chaque arpentage, chacun s'est présenté. L'une d'elle ne se sentait pas concernée par la sobriété numérique mais désiraient se conscientiser. Une autre se disait technophobe.
Il était clair que j'allais être souvent l'opposé à toutes en me présentant bien que j'étais parfaitement conscient des impacts environnementaux, sur la santé, par ses déchets, par la pollution et la dépendance qui mène au burnout dus à l'utilisation du numérique comme l'a récapitulé une participante à l'arpentage. C'est une addiction comme une drogue dure qui est de plus, transmis aux enfants !!!
On ne communique plus en direct avec des humains mais avec des écrans en interface.
Parfaitement dans mes cordes, je n'avais pas à défendre le numérique et vouloir m'opposer à ce que j'entendais. J'étais là pour écouter avec attention.
Mon expérience dans le domaine du numérique.
Pour moi, le numérique avait commencé dans les années 70 au début de ma carrière.
Dans ces années-là, l'informatique n'avait pas beaucoup intéressé la gente féminine.
Pourtant, dans l'histoire du numérique, il y eut Grace Hopper surnommée « la mère du langage Cobol » qui a fait partie de l'informatique.
Il y a bien longtemps, ma mère avait donné sa démission et pris sa retraite anticipée quand les machines sont arrivées et ont supplanté une partie de son travail administratif dans une banque.
Peut-être pour faire opposition à elle, ai-je orienté et choisi mon métier dans le domaine du numérique qu'elle n'aimait pas ?
Vu à partir de mon point de vue, beaucoup de choses à dire à ce sujet.
Avoir reçu une formation en science chimique, jamais l'avoir utilisée en pratique comme profession en entreprise, je me suis tourné vers les concepts du numérique qui m'intéressaient bien plus par leurs nouveautés.
A l'époque de pionniers très peu de femmes sur les rangs. Les étudiantes se tournaient plus vers les études reliées aux humains.
Pas d'université pour prodiguer un cours d'informatique. Le train du numérique était quasiment à l'arrêt et ne demandait qu'à prendre son départ à la conquête des entreprises. Il y avait la société IBM qui possédait et dépassait à elle-seul, tous les autres challengers avec son seul slogan "Think".
Seulement des constructeurs d'ordinateurs s'empressaient de vendre leurs belles machines en formant un personnel adéquat par des cours précédés par des questionnaires pour déterminer quel était le niveau de logique des participants comme IBM et d'autres. A cette époque, les grandes machines avaient été louées avant d'être achetées bien plus tard.
C'est vrai, l'informatique était quasiment dans les limbes. Il fallait tout inventer, tout développer pour communiquer avec ces machines qui avaient un langage s'exprimait en binaire, en bits, en octal ou en hexadécimal.
Après les études, j'avais eu l'idée de m'expatrier dans la Silicon Valley. Le qualificatif de "fucking" dans ces vidéos "Silicon Fucking Valley" est évidemment humoristique. En Californie, quelques pionniers y sont allés et y ont fait fortune.
J'ai abandonné l'idée de ce départ vers les Etats Unis. Ce n'était d'ailleurs pas nécessaire de m'expatrier. Pas vraiment intéressé à faire fortune comme eux, mais seulement à m'assurer un futur rentable comme je l'écris dans "Woke de là".
En Belgique, dans ces années 70, les informaticiens étaient relativement peu nombreux. Le bouche-à-oreille faisait mieux le recrutement que par le tamtam. Les entreprises privées recherchaient des informaticiens. Pour eux, pas besoin d'avoir à écrire un CV pour se présenter. Pour les informaticiens, qui souvent, étaient surnommés "gourou", changer d'employeur, c'était multiplier, à chaque fois, son salaire pour un résultat qui n'avait aucun rapport avec l'index habituel correspondant avec l'indice des prix à la consommation.
Quand l'université eu une section numérique, progressivement, un peu plus de membres féminins au cours de programmation et à l'usage du numérique.
Un nouvel engouement pour les chiffres et les maths, est né confirmé par Aurèle Jean, spécialisée dans la modélisation numérique.
Aujourd'hui, le centre des développements s'est déplacé vers le Texas et la Floride.
Elon Musk finance l'Astra Nova School, une école privée réservée à ses enfants et à ceux de ses amis. L'enseignement y est orienté vers les sciences dans la résolution de problèmes, ne comprenant ni langues, ni art, ni sport.
Dans les dernières années avant ma retraite, je suis retourné à cet esprit américains en travaillant pour eux.
Pendant cet arpentage, j'ai posé d'emblé la question "qui aime les maths ?".
Aucune n'a levé la main en souriant.
Question bien vite déviée par un autre réflexion.
Cela commençait plutôt mal pour faire comprendre que les chiffres et la logique font partie du jeu des concepts du numérique.
J'ai toujours été un peu opportuniste en choisissant l'informatique et la modernité des automatisme dans lesquels il fallait avoir une dose de fainéantise pour ne pas aimer répéter les mêmes actions plusieurs fois. J'utilisais, sans en connaitre le nom, une sorte de base de données distribuée, de blockchain, dont les informations envoyées par les utilisateurs et les liens internes à la base sont vérifiés, puis groupés à intervalles de temps réguliers en « blocs » pour former une chaîne de plus en plus longue de manière automatique. Pour moi, l'homme a été conçu dans l'évolution pour réfléchir et pas pour correspondre à l'étymologie du mot "travail". J'ai très vite compris que le monde allait s'informatiser si pas avec plaisir, par la force des habitudes.
Pas de "nuits avec une intelligence artificielle" sans apporter une intelligence en bottom-up
Cette profession m'a engendré beaucoup de travail avant de passer la main à la production en cherchant les meilleures solutions et les moins coûteuses. Du stress quand il fallait installer en production, un nouveau projet qui impliquait le monde entier dans ma multinationale américaine. Un peu de stress, c'est se sentir vivre, motivant en tant que maillon faible du système.
Dans les années 70, il fallait trouver et partager du temps machine, en time sharing, avec les sociétés qui possédaient de grosses machines pour tester les programmes qui avaient été encodés par des performatrices. Toutes les informations et les programmes transitaient par des cartes perforées qu'il fallait tester souvent en soirée ou de nuit quand les travailleurs étaient retournés chez eux. Timing plutôt négatif pour les épouses.
Les différences entre les hommes et les femmes font partie "du Martien et de la Vénusienne".
"Si pas de patrimoine, pas de futur". écrivais-je la semaine dernière
"Pendant près de 40 ans, j'ai testé les machines numériques qui cherchaient l'exactitude dans les chiffres", y écrivais-je
Dimanche dernier, invité à la radio Manu Houdart disait que les Maths étaient amusantes dans son spectacle "Math, c'est Wooh' grâce à des histoires drôles au sujet des mathématiques
. C'est vrai, on peut tout connaitre et rire de tout, mais pouvoir le faire reste dépend de paramètres très personnels.
Que dire aujourd'hui alors que d'énormes différences se sont intégrées depuis cette époque héroïque de pionniers que j'avais connu et que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître ?
La génération GenZ ne connait plus que le portable et pas le téléphone fixe.
Qui se rappelle encore de l'époque où Internet et le Smartphone n'existaient pas ?
L'arrivée d'Internet a relié tous les engins numériques dont le nom commence par "Smart" en les connectant entre eux.
Tout est smart sur son Smartphone comme dans une usine à gaz.
En 2014, j'écrivais "Soyons "smart" jusqu'au bout des ongles"
Il n'y a plus que des allergiques au numérique et aux communications ou les geeks fastoches solitaires qui n'ont pas encore cherché d'accès via le numérique et Internet. Fastoche que j'aurais pu être aussi à mon âge, sans être passé par la filière de l'histoire du numérique.
Les moteurs de recherches, servant longtemps des outils de Google pour accéder aux informations par l'intermédiaire de mots clés répondaient par une foule de liens correspondants qu'il fallait affiner pour en réduire le nombre.
Avec l'intelligence artificielle, ChatGPT et ses émules, poser des questions se fait désormais par des phrases entières dans le langage humain habituel et en toutes langues. Des discussions avec ChatGPT se font même pendant les nuits avec une intelligence artificielle.
J'ai utilisé ChatGPT et souvent ses réponses artificielles n'étaient pas assez piquantes par rapport à celles du monde réel. Tout est fait pour conserver l'interlocuteur humain en ligne.
La catégorie "Numérique et Internet" de mon Réflexions du Miroir ne va pas jusqu'à cette extrémité. Je dors parfaitement la nuit. Je réfléchis de jour après avoir réfléchi et pensé écrire quelques billets détaillées dans lesquels, des maths et de logiques trouvent leur place. ChatGPT, je l'utilise aussi tout en précision d'où les écrits proviennent.
Au début, donc, très peu de femmes dans l'informatique.
Dans la santé, un Matière Grise disait que les hommes et les femmes étaient inégaux devant la santé. Les femmes meurent moins vite que les hommes. Est-ce parce qu'elles bénéficient d'une meilleure immunité face aux agressions de l'environnement ? Est-ce plutôt dû aux différences notables entre les modes de vie ? Ou encore y a-t-il des caractéristiques biologiques méconnues ?
La manière de réfléchir est tout aussi différente entre les hommes et les femmes. Les hommes le font généralement en séquentiel, un sujet de réflexions après l'autre alors que les femmes réfléchissent surtout en multi comme cheffe d'orchestre d'idées en pensent à plusieurs choses en même temps comme par exemple, en plein travail devant l'écran de son PC, en pensant au choix de la nourriture du soir, à qui va chercher les enfants à l'école ou d'autres questions spécifiques dans l'esprit de dames mariées.
Quand j'ai dit que j'avais pris ma retraite à 59 ans, dans un élan, les "collègues" de l'arpentage disaient en cœur que j'avais eu de la chance alors que ce n'était pas vraiment mon sentiment intime. A 59 ans, on n'est pas fini. Une autre vie commença. renaître avec l'écriture alors que je n'avait jamais eu le temps avant la retraite.
Je passé par un blog qui s'est transformé en journal personnel en imaginant avec humour ce qui adviendrait dans le futur en reprenant le passé, en le comparant au présent pour, enfin, l'imaginer ce que pourrait être le futur.
Dans ma carrière numérique, la créativité et l'inventivité était nécessaire en reliant les chiffres à la logique. Elle ne s'est jamais arrêtée, d'ailleurs.
Elle n'a fait qu'exploser dans la suite.
A la retraite quand je suis sorti des "artistes du numérique", j'ai créé un petit show théâtral avec le nom "Rock around the clock" dans lequel j'avais repris ma carrière du style les étapes en quatre actes : Avant, Maintenant et Après. Extrait :
Mon premier employeur fut une start up où j'ai concrétisé l'apprentissage du métier d'informaticien, mais aussi en comprenant "comment on gère une entreprise commerciale".
Ce fut lors de la plus belle époque du Traitement de l'Information pendant laquelle il fallait presque tout créer. Elle s'est tassée progressivement quand les Communications se sont intercalées par les connexions via Internet.
Il y a bien longtemps, les langages comme l'Assembler et toute sa suite de logiciels ont permis de parler avec la machine qui n'ont au départ que d'informations en chiffres exprimés en binaire. A l'époque, un programme était écrit totalement inscrit entre le START et le END. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas, on rassemble une foule d'objets séparés, nourris par des algorithmes qui se bousculent entre eux avec le risque de s'y perdre quelque peu. Un risque subsiste qu'un jour, quelqu'un qui reprend les packages de software, ne puisse plus les comprendre et les corriger.
Dans ma start up, j'ai participé à l'émulation dune grosse machine IBM 360 avec un Assembler sur une mini-machine Singer, pas encore appelée Personnal Computer, un écran monochrome d'une dizaine de centimètres, des capacités de mémoire et d'instructions minimalistes. Une comparaison entre deux mots, un mouvement d'une phrase se faisait par l'intermédiaire une boucle caractère par charactère. Une fois réalisé, l'étape suivant a été la génération d'un RPG et d'un Cobol pour les utiliser en exploitation commerciale.
Je suis passé ensuite par une multinationale américaine américaine d'informatique. Devenu manageur d'une équipe en 1990 entre le marteau et l'enclume. Une série de postes de management hiérarchique se positionnait avant d'arriver au CEO aux Etats Unis dont je n'avais que foutre en tant que créateur de solutions en oubliant cette échelle des valeurs ne voulant pas passer à une étape supérieure.
Ma conclusion générale, est de dire que comme presque toutes les inventions et leurs exploitations humaines, il y a eu dans le monde de l'informatique, des hauts et des bas, du bon et du moins bon avec l'argent et les bénéfices que chacun en tire ou non.
S'adapter à l'évolution de manière progressiste dans le numérique était devenu au fur et à mesure, vital au moins dans les concepts numériques en mutation sous peine de devenir aujourd'hui un des geeks fastoches, quelque peu malheureux.
Le nombre d'emplois dans le domaine du numérique via l'informatique, est monté sur une courbe de Gauss pour arriver au sommet à une apogée temporaire avant de baisser par ses licenciements en fonction des besoins et des liquidités disponibles. Il ne fut pas rare d'avoir eu une personne parmi les collaborateurs informaticiens qui prenait la porte en périodes creuses. Non croyant à tous type d'autorité, je n'ai jamais été dupe pour autant. Je suis pratiquant mais pas croyant.
Pour moi, le job n'était en plus un travail, mais était devenu un hobby comme un autre.
Depuis que l'IA est née en 2023, on réengage du personnel avec la fougue de l'inventivité. L'intelligence artificielle a redonné du tonus dans ce domaine.
A peine un an après ma lancée dans l'informatique, je savais qu'on arriverait à l'IA ou quelque chose du même type et que, pour arriver, on allait devoir se plier à des normes très différentes auxquelles il fallait s'y adapter pour survivre dans un monde qui change en permanence.
Les deux derniers chapitres de la "Grande gaufre" qui raconte l'histoire insolite et insolant de l'informatique reprennent la vielle chanson "Je ne suis pas bien portant" de Ouvard qui transformée, devenait la chanson de l'informatique. La chanson "Félicie aussi" de Fernandel devenait "l'IA aussi" .
Après avoir testé les machines pendant 40 ans, j'ai testé les gens dans "mon histoire sur les réseaux sociaux " qui a commencé, il y a plus de 20 ans souvent sous le tempo du surréalisme.
Il n'y a pas uniquement que du texte sur mon site. J'y introduis des liens, des images dessinées par Nicolas Vadot, des rappels de films et je podcaste pour donner l'origine de ce qui est écrit en texte. L'arpentage pour réduire l'utilisation par la sobriété de la bande passante, proposait de ne pas le faire. Si ce que je podcaste restait présent ad vitam, ce ne serait pas nécessaire. Les billets d'humour sont podcastés parce que la date de péremption est relativement proche. Pas un billet ne vienne sans une touche d'humour. 
Lundi, quand Sarko allait en prison, les cactus étaient cinq tous piquants
.
Oui, bien sûr, c'est piquant et cela peut ne pas faire rire à ses fans.
Pas de plume de Thomas Gunzig... Son édito de la semaine dernière n'a pas dû plaire à tout le monde.
Un Belge sur cinq parait-il, ne peut plus se passer des réseaux sociaux via leur Smartphone en pensant partager leur sort, trouver la solution à leurs problèmes intimes et et là, ils se sont fracassés sur des murs de Facebook et de tous les autres outils mobiles
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Ils se sont fait influencer par la pub et le nouveau métier d'influenceur.
Je n'ai plus que WhatsApp pour des contacts rapides, Instagram en dilettante et LinkedIn qui permet aux jeunes de se présenter par des articles sur le marché du travail.
Je n'envoie plus mes billets en préversion au forum agoravx.fr.
Ce mardi, on parlait de la version occidentale de TikTox à la radio. Je ne connais pas mais il a généré un rapport négatif désopilant avec le suicide comme solution finale
.
Là, nous entrons au niveau psychologique où un psychiatre devrait entrer en jeu.
Et on voudrait que je ne rigole pas en écoutant ça et en restant insensible à ces pauvres jeunes alors qu'il faudrait supprimer TikTok de son SmartPhone ?
TikTok, c'est pas mon truc.
Avec une mauvaise mémoire, je suis obligé de tout créer et de noter toutes mes idées, parfois des mois à l'avance.
Quand je suis à bord d'un bus, je regarde souvent les passagers qui consultent leur Smartphone. La plus part du temps, il sert pour scroller au travers de vidéos, d'images, parfois de mails répondus avec deux pouces mais très rarement du texte ou un livre puisque le texte reste toujours plus abstrait.
Mon Smartphone me sert de warning, un outil d'avertissement et pas pour raconter ma vie avec un contrat minimal de 3 euros par mois (ceci n'est pas une pub). Le reste se fait chez moi avec Wifi.
Je suis un dinosaure du numérique.
Cela me rappelle "Le futur antérieur des pouvoirs selon Alvin Toffler" écrit il y a 7 ans... Tout était déjà dans la boîte aux souvenirs
Les réseaux sociaux se sont insérés aussi par les interstices et les failles d'un système généralisé dont j'ai parlé dès 2008, dans un eBook "Le Grand Maître virtuel".
Devenons-nous "Tous crétins digitaux ?"
Oui, probablement, c'est très possible de le devenir si l'on introduit pas de balises. Je suis encore de la vieille école qui a besoin d'un grand écran et d'un grand clavier dont j'entends presser les touches pour confirmer que je veux entrer avant le fatidique "Enter" par le clavier en bonne et due forme et pas avec un logiciel qui tenterait de m'aider en me poussant des mots qui n'ont parfois rien à voir avec celui que je veux exprimer.
IL y a deux ans à peine, "l’ère de l’IA a commencé", lançait Bill Gates.
Le livre "IA Grand remplacement ou complémentarité ?" de Luc Ferry le raconte de manière philosophique.
La sobriété numérique serait-elle la réponse à la question de cet arpentage ?
Amazon investit un milliards de $ et Google, 5 milliards de $ en Belgique. C'est dire que cette sobriété ne risque pas trop d'arriver dans les mois qui viennent. Ces grandes sociétés n'investiraient pas si elles n'y voyaient pas un intérêt futur.
Le numérique se réfère aux sciences exactes parfaitement reproductible sous forme de robots.
Le billet "Quand la pensée humaine s'intègre dans la machine" contient la réflexion "C'est une vérité d'une des réalités que l'on observe figée au moment où on la voit".
Reproduire les pensées humaines ne donne presque jamais le même résultat en fonction des caractères de chaque personne et de l'heure pendant laquelle une question se pose, auquel l'humain répondra.
Les communications entre les différents éléments d'informations contenus dans des bases de données se construisent via des clés d'accès aux information en One by One, en One to Many pour former des liaisons. Cela se complique avec liaisons Many to Many et les programmes numériques jettent le gant. Reproduire cette dernière situation dans le monde analogique des humains peut devenir cauchemardesque. On n'y reconnait plus ses jeunes.
C'est pour cela que j'avais déclaré que, moi habitué à très pragmatique et cartésien, j'avais des problèmes relationnels avec certains contacts rencontrés sur la toile. Souvent j'ai eu besoin d'un ombudsman, d'un médiateur quand une dispute s'amorce dans "une prise de bec".
Tout dernièrement, je republiais mon premier eBook écrit en 2008 qui relatait les débuts des arnaques en ligne. Arnaques entre particuliers à l'époque.
Cette semaine, on apprend que les arnaques reviennent devenues gigantesques
impliquant des sociétés et même des Etats qui se font une guerre sourde
Le monde numérique a commencé par impacter la photo argentique par le numérique dans les années 80. Avant cela, je développais mes photos et j'en faisais le tirage sur papier dans le laboratoire qu'était ma cave. Quand le numérique est arrivé avec ses pixels, j'ai tout arrêté. Comme un package, j'ai vendu agrandisseurs et tous les accessoires nécessaires. Comme souvenir, j'ai seulement gardé un appareil photo argentique et un grand objectif qui ne se connecte pas aux appareils numérique de cette époque héroïque.
Le numérique a entraîné une foule de changements.
"La messagerie du crime" cryptée est mal vue par les autorités.
Les titres au porteur, les titres de transport ont été dématérialisés
Le permis de conduire se prépare à se digitalise aussi pour permettre un meilleur contrôle
Les PC d'aujourd'hui sont devenus extra-mince pour diminuer le poids. Ils n'ont plus de lecteurs de CD et de DVD pour charger leurs logiciels ou pour écouter les musiques et les films. Les logiciels se téléchargent sur Internet.
Les lecteurs de magnétocasettes et de VHS ont disparu de la circulation et ne permettent plus de voir les vidéos de vacances d'avant que l'on peut encore posséder.
Les cols blancs disparaissent progressivement remplacés par l'IA et ce serait le bordel comme le révèle le présentateur de la vidéo
.
L'utilisation d'Internet est en principe moins cher en temps. On ne doit plus se déplacer pour se rendre à la banque. On fait le travail de gestion de compte et de manipulation des transactions chez soi.
Le patrimoine s'efface devant le numérique comme je parlais dans "Si pas de patrimoine, pas de futur"
On a accéléré tous les processus via numérique, mais comme leur complexité a augmenté relativement d'autant, on n'a pas vraiment pas progressé de manière absolue.
Les gains d'exploitation sont indéniables mais il faut les mettre en balance avec ses pertes.
A y réfléchir, à tout, il y a toujours de bons côtés, positifs qui se cachent derrière des actions que l'on prend et qui le sont moins du côté du prix de la liberté.
L'Intelligence Naturelle revient toujours sous une forme ou sur une autre.
Puis, tout à coup, on ne sait pourquoi, voilà les disques 33 tours reviennent chez les disquaires comme des reliques et reprennent de la valeur comme une chanson populaire.
La maxime "La musique adoucit les mœurs" suggère que la musique a un effet apaisant et éducatif sur les individus et sur la société. Cette idée remonte à des philosophes comme Platon et est soutenue par des études qui démontrent que la musique peut améliorer l'humeur, réduire le stress, favoriser la concentration et même avoir des bienfaits thérapeutiques.
La musique influence, oui, le commerce en impactant les intentions d'achats grâce à une musique crée par l'IA dont les créateurs de musiques humaines se plaignent.
La série de documentaires "Nos futurs" (cf Etre démocrate, c'est quoi ?) imagine à quoi le monde ressemblera en 2080, en donnant des réponses parois utopiques, parfois dystopiques pour se divertir dans un monde avec des avatars virtuels que l'on choisit dans une réalité vécue. "Avec les concepts d'aujourd'hui, cela paraît inimaginable. Certains points paraissent très bien, d'autres beaucoup moins. C'est une anticipation probablement trop lointaine dans le temps, mais comme les choses vont plus vite que dans le passé, les idées pourraient ou devraient s'y adapter en difficulté pour les uns et normales pour les autres", écrivais-je comme commentaire.
Quatre vidéos documentaires comportaient les sujets
- "Se divertir" avec des avatars représentant son égo,
- "Se soigner" avec des obligations pour se sentir en bon état physique,
- "Se nourrir" plutôt écologique
- "Se déplacer" avec des moyens de transport. Un oubli peut-être les moyens de la téléportation.
Elles ne sont plus disponibles mais ce podcast en parle
.
Talkpal est un Professeur de langue IA
L'Intelligence artificielle est dans tout l'actualité des discussions et des débats.
Invité par RTL, le Dr Laurent Alexandre avait écrit un livre dans ce sens avec le titre "ChatGPT va nous rendre immortel"
Il lance cette fois un autre livre avec un titre plutôt surprenant :"Ne faites plus d'études, cela ne sert plus à rien" parce que l'intelligence artificielle et ChatGPT n'est pas utilisé dans les grandes écoles
.
Le lendemain, cela a été contesté par les autorités scolaires compétentes
.
Le 4ème épisode des Clés de Arnaud Ruyssen, différent des 3 clés précédents, prouve également le contraire en récoltant les impressions sur l'utilisation des jeunes de ChatGPT et celles d'un philosophe pour répondre à la question "L'IA rend-elle moins intelligent ?"
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L'Echo affirmait ce vendredi que les agents de l'IA allaient booster la concurrence entre les banques et rendre les clients moins fidèles à l'avenir, selon McKinsey qui y voit un risque majeur pour la rentabilité future.
Aujourd'hui, mon site Réflexions du Miroir me sert principalement pour garder une trace du passé. 95% des commentaires sont introduis par moi-même, pour donner des suites à l'article qui les précèdent. Ainsi, je pourrai relire longtemps après le passé pour contrôler si les billets et les idées d'une époque sont toujours d'actualité ou ont été dépassés par elle.
Arrivera-t-on un jour à avoir une "Madame Web" qui voit l'avenir ?
Lundi, sur LN24, l'émission "Le monde ou rien", avait pour invité Stéphane De Groodt connu dans son monde de l'absurde. Il a écrit, enfin, son livre "En mémoire de mes souvenirs" comme je l'avais fait avec mon autobiographie romancée "L'envie dans le regard".
Mardi, le Thema sur ARTE était "L'IA va-t-elle tuer Internet par un tsunami ?".
«Le médium est le message», prévenait le théoricien des médias Marshall McLuhan dans les années 1960. Mettant en garde contre l'influence des techniques de communication en pleine expansion, le philosophe canadien anticipait les conséquences phénoménales de la révolution numérique sur notre perception la plus intime comme sur la société. Si, en 1994, Internet a transformé nos vies, trente ans plus tard, la submersion par un tsunami d'informations nous plonge dans une confusion encore amplifiée par les algorithmes qui mettent en avant des contenus destinés à susciter et à s'approprier nos émotions".
"C'est toujours au nom du bien qu'on apprend à vivre sous l'œil du pouvoir" disait George Orwell
...
Mes conclusions
Je n'ai pas de boule de cristal pour savoir quel sera le futur.
Serais-je plus sobre dans le futur ?
Oui, quand je n'aurai plus d'autres moyens que d'être sobre ou que les moyens disponibles seront plus fiables.
J'aime les sciences exactes avec l'exactitude des chiffres et moins les résultats analogiques approximatifs qui manquent parfois de précisions dans les sciences humaines. Je peux espérer que les sciences exactes apporteront un peu plus de clairvoyance aux sciences humaines, le jour où le numérique et l'analogique s'intègreront dans "les cantiques du quantique".
Je n'ai pas d'avatar.
Je consulte Internet.
J'écris sur Internet pour mon propre usage.
Je ne tweet pas.
J'arpente la ville et la nature qu'il pleuve ou qu'il vente en estimant qu'il fait toujours beau quelque part.
"Auprès de mon arbre, je vivais heureux, j'aurais jamais dû le quitter des yeux", chantait Brassens.
L'automne est pour moi, la plus belle saison pour ses couleurs.
Et mon Smartphone sert pour en prendre des photos
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Allusion
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Commentaires
Voici les paroles de la chanson "Tout l'temps" : de Jean-Luc Fonck nous invite à ralentir le rythme dans sa chanson "Tout l'temps"
Face à un monde qui va de plus en plus vite, Jean-Luc Fonck prend le contrepied. Là où tous les autres appuient sur le champignon, lui a compris que "l'urgent ne fait pas le bonheur", et préfère ralentir, pour croquer la vie à pleines dents ! Une leçon pleine de sagesse, qu'il partage avec humour dans le 8/9, avec sa nouvelle chanson "Tout l'temps".
Y’A UNE TACHE D’ENCRE SUR MON PEIGNOIR
ALORS J’APPELLE QUI ? PHILIPPE BUVARD
IL ARRIVE ILLICO SUR SON PAQUEBOT
FINIE, LA TACHE MON PEIGNOIR EST TOUT BEAU
JE SUIS PARTI DE RIEN POUR ARRIVER NULLE PART
COMME LA LUMIERE D’UN GYROPHARE
JE TOURNE-TOURNE EN ROND AUTOUR DE LA PISCINE
MAIS Y’A PAS DE PLACE, Y’A PAS DE PARKING
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS ON A TOUT L’TEMPS
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS …TOUT L’TEMPS
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS ON A TOUT L’TEMPS
MAIS POURQUOI TOUT LE MONDE VEUT ALLER
TOUJOURS DE PLUS EN PLUS VITE
ET ENCORE DE PLUS EN PLUS VITE
TOUT L’TEMPS ?
MA GRAND’MERE QUI ETAIT PLUS VIEILLE QUE MOI
M’A DIT " VIENS MON BIJOU …ECOUTE-MOI "
SOUVIENS-TOI QUE L’URGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR
Y’A QUE L’BONHEUR QUI FAIT LE BONHEUR
ALORS JE ME SUIS ACHETE UN VELOMOTEUR
C’EST COMME UN VELO ,MAIS AVEC UN MOTEUR
JE SUIS PARTI A DU VINGT A L’HEURE
EN DISANT T’INQUIETE PAS MEME, JE R’VINS T’A L’HEURE
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS ON A TOUT L’TEMPS
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS …TOUT L’TEMPS
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS ON A TOUT L’TEMPS
MAIS POURQUOI TOUT LE MONDE VEUT ALLER
TOUJOURS DE PLUS EN PLUS VITE
ET ENCORE DE PLUS EN PLUS VITE
TOUT L’TEMPS ?
…
T’AS DECROCHE, ET PUIS T’AS DIT : " ALLO, C’EST QUI ? "
J’AI DIT " C’EST MOI " T’AS DIS " C’EST TOI? " J’AI DIT " BEN OUI…
SINON JE NE DIRAIS PAS : " C’EST MOI "; JE DERAILLE MAIS PAS A CE POINT-LA "
ON EST ALLES AU CINEMA
LE CINEMA C’EST UN PETIT PEU COMME LE THEATRE,
A PART QUE LES ACTEURS SONT PLATS
Y EN A QUI DISENT QUE C’EST UNE FORGERIE
NOUS ON SAIT BIEN QUE C’EST PAS CA
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS ON A TOUT L’TEMPS
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS …TOUT L’TEMPS
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS ON A TOUT L’TEMPS
MAIS POURQUOI TOUT LE MONDE VEUT ALLER
TOUJOURS DE PLUS EN PLUS VITE
ET ENCORE DE PLUS EN PLUS VITE
TOUT L’TEMPS ?
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS ON A TOUT L’TEMPS
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS …TOUT L’TEMPS
TOUT L’TEMPS TOUT L’TEMPS ON A TOUT L’TEMPS
MAIS POURQUOI TOUT LE MONDE VEUT ALLER
TOUJOURS DE PLUS EN PLUS VITE
ET ENCORE DE PLUS EN PLUS VITE
TOUT L’TEMPS ?
https://www.rtbf.be/article/jean-luc-fonck-nous-invite-a-ralentir-le-rythme-dans-sa-chanson-tout-l-temps-11621743
Écrit par : Allusion | 25/10/2025
Pas facile de ralentir le rythme quand quelqu'un nous pousse à aller plus vite. On a tous vécu des moments de grande intensité. Mais quand on le peut, chez soi par exemple, quand on est seul, on peut ralentir le rythme. Bon dimanche.
Écrit par : ELISABETH | 26/10/2025
Bonsoir Elisabeth,
Rien à ajouter à votre commentaire.
Le dimanche matin, je pars seul soir à pied, soit à vélo, soit en bus.
Ce matin, ce fut en bus pour voir une exposition en ville dont je montrerai les photos en fin de l'article suivant.
Bonne semaine.
Écrit par : Allusion | 26/10/2025