Adieu monde de brutes, Bonjour monde d’abrutis (20/01/2024)

Capture d'écran 2024-01-18 085916.png"Le monde des brutes, on le connaissait. Le monde des brutes, on le découvre chaque jour un peu plus. Progressivement, inexorablement, le second s'installe dans les pantoufles du premier, avec son raz-de-marée d'égoïsme et de méchanceté, mais surtout  -nouveauté - de bêtise. Le migrant indésirable, l'agriculteur encombrant, l'enfant tyran adulé, le pollueur impuni, le fashiste du clavier, l'exploiteur de misère assumé... chacun victime ou bourreau, à droit à son couplet" écrit Dominique Watrin en postface de son livre.
I
l le dédie à ceux qui veulent survivre dans une société à réinventer de fond en comble jusqu'à l'ivresse de rire, il ajoute l'absurdité délibérée à l'absurdité imposée en taillant en pièce, par des sarcasmes, cette communauté des humains devenus invivables de la bêtise et de la haine par davantage de haine.

Pour Noël, j'avais écrit un billet qui posait déjà la question philosophique "Y a-t-il des bons et des méchants ?" en disant que cette fois il fallait mettre au pluriel "Les bons, les brutes et les truands". 

Je mets ci-dessous la "Préface-à-face" et "comment il faut critiquer le livre de Dominique Watrin.

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Depuis 19 ans, j'ai créé "Réflexions du Miroir" et je suis sur les réseaux sociaux.
L
es fascistes du clavier, je connais.

Ce livre n'est pas récent et j'ai déjà repris quelques chapitres de ce livre à la suite de billets personnels dont sept ont été dits oralement .

Chapitres que j'ajoute sans podcasts :

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Commenter, c'est quoi ?

Aux commentaires, j'y réponds toujours quand je trouve une réponse adéquate, sans croyances, sans préjugés et sans convictions et je l'assume dans ses suites positives ou négatives sans tergiverser.
L
a pérennité du concept "blog" n'étant plus assurée, j'ai abandonné mon pseudo "L'enfoiré" et l'ai transformé en verlan en expliquant "Le Syndrome de Eriofne". Les problèmes de polémiques et d'insultes ne pourraient pas subsister s'il n'y avait la fiction et l'imagination pour y répondre et y remédier souvent dans la catégorie "Parodie et humour". J'ai passé ce premier cap. Depuis la signature "Allusion", il n'y a plus de syndrome complémentaire. Bref, je ne fais pas partie des bisounours. 
 "Réapprendre à débattre et à dialoguer" et "Garder la santé sur les réseaux sociaux" deviennent des obligations.
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ans "Au diable les convictions et les préjugés",  je parlais de Mélusine ou la Robe de Saphir qui annonçait que  "Je ne vois pas pourquoi vous répondre encore. Vous n'avez rien fait de ce que je vous ai demandé. Vous n'êtes pas mon ami.".
F
aut-il être ami pour parler et dialoguer ? Avant cela, psychologue retraitée, elle m'avait asséné de commentaires passéistes plus ou moins hors contexte par du spiritisme, de l'ésotérisme et de l'alchimie (alors que je suis chimiste de formation) sensés commenter mes billets. Par soucis d'ouverture d'esprit, je ne l'ai jamais défendu. Sur le réseau social agoravox.fr, elle se contentait de le "badigeonner" de 40.479 commentaires pour occuper sa solitude sans jamais avoir écrit un seul billet, ce que d'autres commentateurs n'avaient pas manqué de remarquer et de mentionner. Sentant sa solitude, j'ai été la voir physiquement pour lui redonner de l'humour avec elle. Deux billes écrit à son sujet :  "J'ai des relations mondaines", Les psys ne sont-ils pas les victimes de leur propre science humaine ? Je l'ai aidée à s'exprimer en invité. Depuis mi-octobre 2023, elle a été éjectée de ce forum citoyens et ses commentaires ont été dévié sur mon site sans changer une note.

Je transmettais une préversion de mes billets sur Agoravox, jusqu'à ce qu'un autre remarquait qu'il y avait du favoritisme dans la médiation, un risque de propagande et une certitude quant aux bénéfices du site par l'intermédiaire de la pub. Lui et moi, arrêtons cette diffusion.  

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Ce 17 janvier...

... alors que je n'avais pas compris son silence, voilà que Mélusine me l'a fait comprendre "Avec le mot magique "imagination, vous m'avez à nouveau appâté. Juste pour dire que cette année, une expo consacrée au surréalisme aura lieu à partir du 21 février. Sur ce, je ferme la parenthèse. Arthur m'interdit de vous écrire et j'ai obéis... Pas toujours".
L
à, on touche à deux problèmes majeurs :

1. Devenir une esclave d'un maître dont elle ne connaissait rien par assujettissement inapproprié.

Nous sommes construit avec "Le cerveau câblé pour obéir" depuis plus tendre enfance, mais à l'âge adulte, cela semble un peu surfait et surtout intéressant pour les dictateurs de notre monde.
C
'est évident, il faut des abrutis qui les suivent ou qui les précèdent avec de l'Humour noir dans un monde de brutes ou d'abrutis.

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Le savoir apporte le pouvoir

2. Se liguer à d'autres pour raison d'ostracisme.

Là, on entre dans un autre registre de la lâcheté, de faux-cul et d'hypocrisie de celui qui lui a interdit de m'écrire à ceux qui ne sont pas dans ses propres normes de vie.

Tant que je n'étais pas au courant de ce qui se tramait dans mon dos, je ne pouvais pas réagir. Je n'ai pas de problème pour répondre et réagir aux critiques, mais il faut en être au courant. Cette fois, le jour de la parution de "Le siècle des catastrophes", le pot aux roses avec le froid glacial du verglas était cassé.

Après ma réponse à Mélusine dans ce sens, la sienne a été on ne peut plus innocente : "Il a raison. Vous piquez mes idées et vous les re-mitonne à votre sauce. Je réclame des droits d'auteur".

Ce n'est pas une question d'avoir raison mais un état d'esprit qui consiste à être adaptée à son époque, à son environnement et de refuser ce genre proposition.
Capture d'écran 2024-01-19 200702.pngS
ommet de l'ignorance de l'utilisation d'internet quand on sait que tout ce qui y est disponible devient public. Toutes les interventions du public son récupérées et retransmises par des questions posées sur OpenIA & ChatGPT. 
P
our informer avec des idées complémentaires, je n'attends aucune autorisation quand il n'y a pas de copyrights mentionnés. Elle ne connait pas les règles d'internet.
I
l s'agit ici de discrimination que l'organisme ENIA sanctionne. Mon esprit charismatique, porté par l'humour et le surréalisme ne le justifient pas et étaient bien au-dessus de ces considérations.
J
e n'en ai pas la preuve, mais je soupçonne que mon éradication du circuit de la réflexions tout azimut a été exercé plus qu'avec l'intermédiaire Mélusine.
I
l fait aussi partie des abrutis du livre dont je parlais en préambule. Bien loin de la bravoure que j'ai pu conster dans le Secret d'Histoire du "Roi Arthur et des chevaliers de la table ronde" (vu cette semaine) et qui n'avait pas que des bons points associés à son nom.
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uoiqu'on dise ou écrit aujourd'hui, il y aura le pour et le contre. On ne peut pas plaire à tout le monde mais le respect envers la liberté d'expression ne peut faire exception.
Le cactus de ce vendredi de Gérôme de Warzee qui humoriste entre parfaitement tous les jours, dans mes préférences humoristiques

Cette fois, le cactus parle de "La neige, le jour d'après"  podcast.

J'ai déjà parlé d'une anecdote avec lui lors de nos anniversaires en commun.

Nés le 1er septembre à Uccle mais, pour moi, avec 23 ans en plus pour moi.

Il était interrogé par la juge Anne Gruwez (Ni juge, ni soumise).

Assez parler de Gérôme, c'est ce que faisait Nicolas Lacroix dans un cactus sans alcool avec la conclusion "résiste, Prouve que tu existes. Dans ce monde égoïste. Cherche ton bonheur partout"podcast.

Le jour après ce 17 janvier fatidique pour la mobilité, je me suis promené dans la neige poudreuse. J'adore.

Alors on glisse avant de dire "alors on danse".

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Dans "Un autre monde est possible", Arthur y apparaissait.
Don Quichotte, aussi qui m'a demandé d'arrêter les communications et ce fut fait sans aucune contestation de ma part tout en ne cherchant pas à attirer des autres dans une conspiration.

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Y répondent dans un "monde comme il me parle si j'osais" alors que quand le "monde est sous influence", ce n'est pas une sinécure. Oser, c'est prendre des risques en fonction de sa personnalité introspective ou extravertie comme la mienne qui se doit de garder l'humilité.
M
on exaspération commençait à monter jusqu'à à la pointe de mes cheveux quand j'ai écrit "La prise de bec".
Le problème a persisté avec des communications à l'aigre-doux sur un fond essentiel de la pensée entre un progressiste, comme moi, opposé à des conservateurs ou entre un mécréant, comme moi, et un croyant.
J
e fais partie du profil STEM avec une formation scientifique déviée vers les sciences numériques. Si mon job était parfaitement dans la note de mon choix de vie, cela n'est pas sûr avec mes interlocuteurs. Il n'avait rien à voir avec l'usine de créations de poupées pour jeunes filles bien sages. "Money first".Capture d'écran 2024-01-19 202007.png
A
vec Arthur, ancien collègue proche, il n'y a jamais eu de problèmes relationnels pendant la période de travail. Je l'ai même aidé quand il était en conflit avec la société qui nous employait.
L
e clash avec lui est survenu à cause de mon athéisme futuriste, éclectique, voyageur, ouvert à 360° sur tous les sujets, opposé à son catholicisme acharné.Capture d'écran 2024-01-22 081721.png
L
es billets "Pratiquer sans croire" et Le Miroir pour professeuront du le mettre hors de lui d'après ses commentaires sortis de l'ombre.
E
n fait tout m'opposait à lui: son esprit de famille, sa vie campagnarde et tellement d'autres choses. J'aime la complémentarité mais pas l'opposition qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez.
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l m'avait dit un jour, qu'il nageait entre deux eaux. C'était son problème, pas le mien.

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Je lui ai demandé de s'exprimer en invité et il m'a envoyé ce billet "Conversion autonome de la Corée du XVIIIème siècle".
B
ref, après mes souhaits pour 2024, j'en ai marre de ses commentaires tendancieux et hypocrites qui essayent de me déstabiliser dans mes positions retranchées derrière "Réflexions du Miroir".

Il n'existe pas d'autre voie vers la solidarité humaine que la recherche et le respect de la dignité individuelle”, disait De Pierre Lecomte du Noüy dans le livre "L'Homme et sa destinée" dont les méditations l'ont fait passer du positivisme plus ou moins agnostique à la foi chrétienne. Pas de problème s'il ne force pas les autres dans sa foi.
Conclusion : chaque fois que j'en aurai marre, je fermerai le ban, tout simplement.

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Question posée à ChatGPT

Que faire quand on est victime d'un complot ?
 
Réponse : Il est important de noter que les complots sont souvent basés sur des idées non fondées et peuvent ne pas avoir de base réelle. Cependant, si vous avez des préoccupations légitimes concernant des activités malveillantes dirigées contre vous, voici quelques étapes que vous pourriez envisager :
  1. Restez calme : Évitez de céder à la panique. Prenez du recul pour évaluer la situation de manière objective.
  2. Collectez des preuves : Si possible, documentez toutes les informations pertinentes. Cela peut inclure des captures d'écran de messages, des enregistrements audio, des vidéos, etc.
  3. Parlez-en à quelqu'un de confiance : Partagez vos préoccupations avec un ami, un membre de la famille ou un collègue en qui vous avez confiance. Parfois, une perspective extérieure peut aider à évaluer la situation de manière plus réaliste.
  4. Consultez les autorités compétentes : Si vous croyez que vos préoccupations sont graves, contactez les autorités compétentes, telles que la police, et fournissez-leur les preuves que vous avez collectées.
  5. Maintenez un profil bas : Évitez de partager des informations sensibles en ligne et soyez prudent avec les détails personnels que vous partagez. Il peut être utile de revoir vos paramètres de confidentialité sur les réseaux sociaux.
  6. Consultez un professionnel : Si vous avez besoin d'un soutien émotionnel ou si la situation vous affecte psychologiquement, envisagez de consulter un professionnel de la santé mentale.
  7. Conservez la confiance en soi : Il est important de rester confiant en vous-même. Si les allégations contre vous sont sans fondement, continuez à vivre votre vie de manière positive et à maintenir vos relations.

Si vous êtes confronté à des menaces sérieuses ou à des activités illégales, il est crucial de rechercher l'aide des autorités compétentes dès que possible. La communication et la collecte de preuves sont des éléments clés pour résoudre ces situations.

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Conclusions

Personnalité suffisamment forte mêlée d'humilité, je dirais que je n'ai jamais eu besoin d'une autorité quelconque pour me commander et imposer mes actes.

Je reste responsable en toutes circonstances de mes actes et de mes paroles par une autorégulation préliminaire sans avoir des envies de dénigrer qui que ce soit.

Le problème, on n'aime pas trop les gens qui parlent avec franchise des problèmes de notre temps quand ils sont contraires à soi-même ou qui ne sont pas dans les normes d'application religieusement vôtre.
J
'ai clôturé toutes les relations trop restrictives aux normes imaginaires de la cour des miracles des charités chrétiennes où une autre forme d'extrême pousse à l'éjection de ceux qui ne pensent pas d'office au soutien de Dieu comme une solution aux problèmes sur Terre quand c'est l'argent qui y décide de tout.
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ls ne font plus partie de la liste des réceptionnaires de mes news.
Probablement, les interlocuteurs dont j'ai parlés, ne liront pas ce billet et je m'en fous complètement. Sinon et s'ils répliquent, je répondrai comme je l'ai toujours fait.

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Capture d'écran 2024-01-19 201350.pngFrédéric Taddei

...respecte l'application des principes d'autorités publiques : « Tout ce qui n'est pas interdit est permis »  en jouant à l'ombudsman et à l'arbitre. Il animait les débats sur France 3, puis France 2 dans "Ce soir (ou jamais)" de 2006 à 2016. Emission reprogrammée le soir en "Hier, aujourd'hui, demain" avant d'être supprimée. De 2018 à 2022, il présentait et animait "Interdit d'interdire" sur RT France. Aujourd'hui, à la radio, il anime Social Club et présente, depuis , une émission culturelle et d'entretien hebdomadaire sur Europe 1. Depuis avril 2022, en plus, il anime et présente un podcast d’entretiens avec des personnalités. Depuis février 2023, il anime et présente l’émission "Les visiteurs du soir" dans laquelle il déclarait : « Dans un paysage télévisuel sinistré, où les intellectuels, les chercheurs, les savants, les contestataires n'ont plus la parole et où les vrais débats ont totalement disparu, sur la seule chaîne de télévision qui m'ait donné carte blanche pour faire ce que je faisais dans Ce soir ou jamais : des émissions intelligentes, sans parti pris, dans lesquelles on pourra discuter de tout, entre gens responsables qui savent de quoi ils parlent (même si un dialogue peut-être difficile), qu'on ne voit pas ailleurs, et qui ne sont pas d'accord entre eux.".Capture d'écran 2024-01-19 201239.png
Personne n'a-t-il jamais changé d'opinion et d'avis sur un sujet dans une vie ?

Le journal personnel "Réflexions du Miroir" me sert personnellement pour me souvenir du passé avec une vue vers le futur et à voir l'évolution. Oublier le passé, c'est toujours finir par se perdre. J'y reprends de vieux billets du temps où c'était encore un blog avec des sujets souvent limités et ancrés à un seul sujet. Tout me sert pour capter et rassembler toutes les informations là où elles résident pour informer ceux qui veulent. Eclectisme veut dire "des infos recherchées qui m'intéressent ou non". En écrivant, on apprend beaucoup pour soi-même avec ou sans interlocuteurs après avoir capté et rassemblé toutes les informations là où elles résident. 99% des commentaires ont été introduits par moi-même en complément aux articles préliminaires.

Je lisais dans le Vif de cette semaine : "Ce qui rend heureux n'est pas la compétition, mais la coopération. Le problème, c'est que le système dans lequel nous vivons est basé non pas sur la satisfaction mais sur l'insatisfaction. Nulle part, on considère que c'est l'argent, une voiture ou une belle maison font le bonheur. L'effondrement du centre, de  la sociale démocratie, est une source de crises futures. L'innovation est une des grandes forces de l'esprit collectif. C'est affligent de constater que la majorité des jeunes se veulent influenceurs. Il faut rester sceptique sur l'utilité de l'intervention du monde politique dans la vie de la collectivité", Leo Bormans, chercheur en psychologie et Bari Weiss, fondatrice de The Free Press.

J'ai écrit récemment "L'esprit démocratique s'étiole" et Thomas Gunzig prend sa boule de cristal pour déterminer ce qui se passera après les élections de 2014
podcast.

En 2018, je parlais de Josef Schovanec avec son livre "Nos intelligences multiples"  sous-titré avec "Le bonheur d'être différent" et quelque part il a raison.

Un bon livre ne donne pas de leçons mais expose ce que la société voudrait masquer. La littérature ne doit pas être édulcorée, nettoyée et purifiée. Elle se doit d'être originale parfois caustique et nocive pour ceux qui sont frileux de la feuille.

Je vais revenir à ce sujet la semaine prochaine.

Du 22 au 28 janvier, les artistes émergents belges seront célébrés dès lundi dans les matinales pour des prestations live et interviews sur Vivacité. Le 8/9 recevra des artistes confirmés comme Axelle Red, Jean-Luc Fonck, Doowy et Puggy avec le cactus en prime. Une programmation 100% belge continue dans "Nos chansons ont une histoire" (14h -15h), avec les interviews de Lara Fabian, Typh Barrow, Pierre De Maere et Frédéric François
podcast.

Mais avant cela, je reprends la chanson que j'avais déjà mentionnée.

 Allusion

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