Polémiquons en douce (05/12/2025)
La semaine dernière, j'écrivais "Tout devient polémique aujourd'hui.
Réflexion que je poursuivais par écrire "ce n'est pas les polémiques et même les insultes qui sont importantes, c'est ce que vous y répondez qui l'est" dans "Le Syndrome de Eriofne".
Polémiquer est manifester une attitude critique ou agressive d'après sa définition mais il y a moyen de jaser par la dérision ou mieux encore par l'autodérision.
Les polémiques m'ont toujours amusé pour répondre aux situations scabreuses. "Tabou, casse-toi"
Cette semaine, j'ai eu envie de (r)ouvrir les anciennes et les nouvelles polémiques avec un esprit critique en prime.
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Black Friday ou Black Weeks ?
Cette année, Black Friday a duré pendant 13 jours, du 20 novembre au 2 décembre, dimanche compris.
La semaine dernière, je recevais un mail pour protester en guise de protestation contre le Black Friday qui disait "Le 28 novembre, nos magasins pilotes et notre boutique en ligne seront exceptionnellement fermés".
Rien à dire de plus.
Lundi, je recevais un long email de ma banque
La tradition du Black Friday a conquis le monde. Le phénomène fait marcher les affaires et incarne la domination culturelle et économique des Etats-Unis. Quels atouts l’Europe peut-elle opposer à cette suprématie?Black Friday
Si César et les siens avaient encore voix au chapitre, Black Friday aurait sans doute, lui aussi, pu prétendre au statut divin. Cette grande fête du consumérisme est devenue un véritable festival de réductions et de promotions – réelles et fallacieuses. De plus, le phénomène ne se limite plus à un seul jour. Ce lundi, par exemple, a été rebaptisé Cyber Monday, le petit frère en ligne de Black Friday. A eux deux, ces enfants terribles du commerce décident de la réussite ou de l’échec de l’année entière de nombre de distributeurs et détaillants. Et reconnaissons qu’ils déçoivent rarement les attentes. Année après année, les ventes augmentent dans des proportions qui dépassent généralement de loin l’inflation
Sans compter cette flexibilité qui est de plus en plus souvent proposée d’acheter maintenant et de payer plus tard…
Quoi qu’il en soit, la tradition du Black Friday et les coutumes apparentées donnent le tournis aux caisses enregistreuses, physiques ou virtuelles, et profitent à l’ensemble de l’économie. Un phénomène que nous savons apprécier à sa juste valeur, tout comme les Romains en leur temps…
Résilience
Aujourd’hui, on évoque la "résilience" de l’économie, du moins, aux Etats-Unis où, en dépit de l’affaiblissement du marché de l’emploi, la croissance économique proprement dite évolue toujours favorablement. En Europe, la résilience se matérialise plutôt dans un redressement, quoi que timide, de la conjoncture économique. Le coût élevé de l’énergie, l’endettement important, la guerre toute proche qui fait rage et fait s’envoler les coûts, des partenaires commerciaux qui font pleuvoir les taxes douanières… : le Vieux continent a son lot de revers à encaisser. Il est rare qu’on lise encore quelque chose de positif à son sujet, pour autant que le sujet soit d’ailleurs abordé d’ailleurs … car nombre d’études ne semblent plus se focaliser que sur les Etats-Unis et la Chine…
Une opportunité
Ceci dit, ce pessimisme pourrait être une opportunité pour l’investisseur. Car moins il y a de raisons de croire au potentiel d’une région, plus il est aisé pour cette région de surprendre agréablement le marché. C’est exactement ce qui est arrivé cette année en Chine. Pourquoi l’Europe n’y parviendrait-elle pas, elle aussi? Pour y arriver, sans doute devra-t-elle s’affranchir de son excès de réglementations. La sphère politique semble l’avoir compris grâce, notamment, à la prise de conscience déclenchée par le rapport Draghi… Mais, dans la pratique, il reste du pain sur la planche. Il faudrait aussi renoncer à l’attitude pontifiante que nous affichons volontiers à l’égard des autres pays et régions. L’heure est à la realpolitik, un monde où la loi du plus fort l’emporte sur les nobles principes (occidentaux) sur lesquels repose – ou devrais-je dire "reposait"? – l’ordre mondial d’après-guerre.
Au boulot!
Le moment est donc venu de passer à l’action. L’Europe dispose toujours d’énormément de connaissances et de capitaux. Des capitaux qui devraient, idéalement, être investis en faveur d’une expansion de l’économie européenne. Contrairement aux Américains, les Européens investissent beaucoup moins en actions et beaucoup plus en obligations. Et lorsqu’ils optent pour des actions, une part importante de leurs capitaux prend la direction des actions américaines.
En soi, cela n’a rien d’étonnant. En ce 21e siècle, l’indice boursier américain a grimpé en moyenne d’environ 6,5% par an. Son homologue européen, le Stoxx Europe 600, a dû se contenter d’une progression annuelle de 1,6%. Si nous voulons que cela change, il va nous falloir redessiner l’environnement concurrentiel de nos entreprises. Et là, les regards se tournent à nouveau vers Bruxelles et Strasbourg… Les plans d’investissement colossaux, surtout en Allemagne, sont prometteurs mais l’argent ne doit pas venir que des pouvoirs publics. Le capital privé doit être mobilisé. Ce capital existe mais, aujourd’hui, il n’est pas suffisamment exploité. Cette mobilisation est possible mais lorsqu’elle peut déboucher sur de bonnes affaires …
Pas de Black Friday en bourse
En bourse, l’enthousiasme des investisseurs ne faiblit pas. Black Friday ou non, pas de prix bradés au pays des actions… D’une manière générale, les actions affichent des valorisations correctes, voire exigeantes pour certaines. Mardi, nous aurons l’occasion de découvrir les chiffres de l'inflation en Europe. Selon les prévisions, celle-ci devrait ressortir à un peu plus de 2%, ce qui pourrait dissuader la BCE de donner un coup de pouce à l’économie en abaissant à nouveau les taux.
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Polémique sur la publicité
La publicité est une forme de communication de masse, dont le but est de fixer l'attention d'une audience cible (consommateur, utilisateur, usager, électeur, etc. afin de l'inciter à adopter un comportement souhaité par un vendeur : achat d'un produit, élection d'une personnalité politique, incitation à l'économie d'énergie, etc.
J'ai envie de révéler que la publicité va nous manger tout cru.
La publicité est une forme de communication de masse, dont le but est de fixer l'attention d'une audience cible afin d'inciter à adopter les comportements souhaités des consommateurs, des utilisateurs, des usagers, des électeurs pour des achats souvent compulsifs de produits, d'incitation à l'économie d'énergie, d'élections d'une personnalité politique, etc.
J'ai relu le vieux billet "La séduction n'est qu'un jeu "
Je le terminais en écrivant : "Venez lire les Blogs de l'enfoiré. Les Blogs qui vous feront passer du passé au futur en passant par le présent. Les Blogs inoxydables à un prix imbattable. Les Blogs..." dou, dou, dou, dou... Je dis cela, tout simplement "Parce que que vous le valez bien" et puis "Vous en avez l'énergie", non? Et sinon, "Ne changez pas de métier, changez de patron".
Qu'est-ce qui a changé depuis lors ? Qu'est-ce qui est resté ?
Dans cet ancien billet, je parlais de cibler les prospects pour qu'ils deviennent clients et en définitive, je préfère encore cette manière que de jeter n'importe quelle pub à la tête de gens qui n'en ont, en fait, rien à foutre.
Nous sommes de plus en plus harcelés par les pubs.
On a pris des précautions contre les publicités pour les enfants mais pas pour les adultes. L'éducation des enfants est le miroir des angoisses contemporaines selon Alain Ehrenberg.
Les jouets sont confrontés à la règle du prix et de la performance
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Rien de véritablement changer en apparence dans la manière de faire du marketing sauf sur et l'intensité de la fréquentation forcée des pubs qui n'a fait qu'augmenter pas juste pendant les périodes propices à faire la fête quand les gens sont prêts pour dépenser plus que d'habitude.
Avant d'accéder à une info sur Internet, deux minutes de pub. En plus, comme si on n'avait pas bien compris une première fois, elles sont repassées immédiatement dans un autre ordre pour faire varier les menus.
Avant d'arriver chez nous, les chaines de télé américaines ont montré les prémisses de cette débauches d'informations enrobées de publicité. Elle crée une envie d'idéal et par là, un manque de temps à gagner en s'introduisant dans tous les interstices et toutes les failles de l'existence.
Si on supprimerait au moins 50% de publicités, on n'étoufferait plus les consommateurs qu'avec l'essentiel du nécessaire.
Un QR à la RTBF sur le placement des produits à la télé a reçu cette réponse
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On fait même de la pub de la publicité à la performance au-delà du search et du social en trois étapes et il suffirait de :
Si vous voulez en être exempt, il faudra payer ce surplus de manque à gagner des annonceurs de bonnes nouvelles sur Internet, par des utilitaires du type Adblock mais c'est aussi à payer pour ne pas succomber sous les pubs avec un licence ad-hoc. Amusant de constater qu'une fois installé, vous risquez d'avoir un refus de vous inscrire sur un site si vous ne le dessablez pas..
Un cours de marketing permet de mieux comprendre d'où on commence et jusqu'où aller pour influencer un choix commerciale.
« Ni science, ni art », la publicité est une technique largement empirique qui emprunte à l'économie, à la sociologie et à la psychologie et qui teste ses intuitions via des panels et des études de marché. La créativité en est le cœur mais elle n'est pas un art, même si elle en utilise en écho sur dans le public. Elle n'est ni gratuite, ni objective mais assimilée à une propagande.
Ce ne serait pas trop grave si le marketing ne générait pas un problème pour la santé comme le révèle l'enquête sur l'utilisation des protéines
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Il n'y a plus de pubs essentielles. Elles créent uniquement l'envie des consommateurs.
Réserver ses vacances, il faut le faire de plus en plus tôt pour obtenir des réductions supplémentaires et jusqu'à 450 euros de plus pour réservation rapide.
Il y a seulement un petit problème : pour les réserver, il faut payer 30% d'acompte pour fermer tourner le système.
Rien n'est gratuit même si j'ai écrit un jour Presque tout gratuit? par inadvertance.
Quand c'est gratuit, c'est qu'on est soi-même le produit à vendre.
Une fausse idée de gratuité vous guette avec le risque de vous écraser sur le mur de Facebook.
J'ai demandé à un coéquipier blogueur ce qu'il payait pour publier des billets sur son blog. Il ne m'a pas répondu comme je m'en doutais. Il y reçoit des pubs comme Agoravox.fr.
Quand j'ai commencé avec un blog et des articles plus ou moins courts, c'était alors gratuit.
Désormais, je paye tous les ans. Je ne rencontre plus de pubs sur mon chemin et je me permets d'ajouter à mon journal personnel du son, des vidéos, des podcasts, des images sur 9 antennes différentes....
Autant savoir : tout se paye d'une manière ou d'une autre.
Je vais y voir de plus prêt sans foncer sur toutes diminutions de prix. J'achète quand il y a un besoin. Si la période de concourt par coïncidence, d'accord, mais pas de manière forcée par la période.
Je n'ai jamais été soldé.
De nouveaux métier d'influenceurs et influenceuses se délectent par le nombre de followers pour, en principe, vous informer à partir du paradis ensoleillé de Dubaï, où la TVA n'est que 5% contre 20% en France.
Il y a des publicités qui amusent et d'autres me bouleversent au forcing des influences.
Plus rien à voir avec les sketchs de Coluche du plus blanc que blanc du sketch de Coluche qui me faisait rire
Toutes publicités doit évoluer avec l'époque dans laquelle elle se produit.
Le cinéma est en crise de fréquentation et faire de la pub permet d'attendre des jours meilleurs.
La pub "Nespresso, What else ?" m'amuse. Il faut de l'imagination pour la faire évoluer. Elle s'adapte dans le temps avec Georges Clooney. Il est accompagné de Jean Dujardin et dernièrement il se retrouve dans le mystère du roman policier.
La pub vieillit au même rythme que ses acteurs qui les représentent.
Leurs tarifs à la seconde ne devait pas correspondre à vos propres tarifs mensuels.
Le choix de Clooney démontre le souhait de la marque à se positionner dans le monde du luxe, tout comme l'ouverture de boutiques au décor soigné dans les beaux quartiers des grandes villes.
Ce monde-là est un autre monde qui ne touche pas le commun des mortels.
En 2014, j'écrivais L'avenir à la burqa?
Et bien, cet avenir-là, nous y sommes revenu d'une manière ou d'une autre.
La formule des magasins "Cora", près de chez moi, s'éteint.
Tout est à vendre avec 30 ou 40% de réduction.
J'ai demandé à une préposée qui avait été virée qui travaillait encore pour réduire les trous,
- Les machines à vendre ont-elles une garantie ?
- Il faudra rapporter ou envoyer ces machines aux fournisseurs.
- Et si les fournisseurs sont en Chine ou au Japon ? Faut-il les y envoyer aussi ?
- ???? ... mais il y aura un numéro temporaire pour les réclamations.
Que va devenir Cora ?
Probablement Un nouveau temple de la consommationcomme DOCXS
L'Echo lançait la rumeur selon laquelle Carrefour allait quitter la Belgique.
Idée contestée par le patronat, la solution était trouvée en ouvrant les magasins le dimanche matin.
Quand on sait que le dimanche est sacré pour le christianisme, que le samedi l'est pour judaïsme et que le vendredi l'est pour le islamisme, on va vite trouver des compromis à Bruxelles. Pour les mécréants, pas de jours de semaine précisés. Une seule date, le 20 novembre, le jour de la Saint Verhaegen quand les étudiants de l'ULB et de la VUB vont solennellement en cérémonie en ville avec le slogan avec le silence complice contre le fascisme en marche et vienne fleurir la tombe de leur Saint patron.
Les chaines de télé se sont mises à la pub aussi.
En générale, les chaines publiques diffusent les pubs entre les films et pas pendant les films, comme le font les chaines commerciales qui s'arrêtent en plein milieu d'un suspense pour casser l'ambiance en vous réveillant subitement parfois avec un son qui remonte automatiquement d'un cran les décibels avec les zakouskis de la télé.
Nicolas Cage est à Marchienne-au-Pont pour interpréter le second volet de "The Lord of War" dix après.
"Les pages jaunâtres". Avant il y avait ces pages jaunâtres que l'on recevaient tous les ans en janvier.
L'eCommerce a explosé avec les Fast Fashion et le Shein moins chère online qu'offline.
Bpost a tendu la main à Temu… en pleine fronde contre les géants chinois?
Dans le mépris, d'une controverse sur les pratiques de l’e-commerce low cost, discrètement annoncé, le partenariat logistique dans l'addiction suscite l’indignation du monde économique belge.
Le commerce en ligne transforme la tentation d'hyperchoix de colis en déception dans des interfaces truquées et autre désillusions éphémères et compulsives dans conpulsive dans un espace-temps infini.
Après Black Friday, ce seront les soldes de janvier.
En 2008, j'écrivais "Sketches en soldes".
En 2011, "Blocages soldés ?"
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Polémique sur les promotions
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La polémique sur l'Intelligence Artificielle
Ce lundi, LaTrois avait un débat "Le Grand Dossier" avec la question : "L'IA va-t-elle nous voler nos jobs ? " : "Demandez à ChatGPT si les IA vont tuer nos emplois, et vous verrez que l'agent conversationnel se montre rassurant : "Certains emplois vont être transformés, mais l'IA va surtout en créer de nouveaux. L'adaptation sera la clé !". Dans le même temps, d'autres prédisent l'apocalypse ou presque, pronostiquant la disparition d'un emploi sur deux.
Extrait :
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L'informatique et le numérique a volé des jobs bien avant l'IA comme je l'écrivais dans "Arpentage du numérique" . Il ne faut pas rêver, d'était son rôle principal pour diminuer la charge physique de travail des hommes, d'éviter les tâches répétitives avec des robots et évidemment de diminuer les coûts d'exploitation.
Dès le début de l'idée du numérique, les jobs ont été remplacés par d'autres avant d'être remplacés à leur tour, par d'autres jobs à une allure exponentielle et un roulement qui désarçonnent.
Trouver des jobs est devenu une obsession avec une compétence mais pourtant expulsé
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Mercredi, le débat après avoir questionné les auditeurs
Après la référence du modèle suédois
, celle du miracle portugais est proposé et donne une autre idée
dans l'existentiel essentiel et les low-tech cities encore une autre
Le livre « Les deux clans » de David Goodhart qui se présentait comme "L’homme qui veut réconcilier populistes et progressistes" dans un clivage entre les « Somewhere » le peuple qui se sent ancré quelque part et les « Anywhere », qui se sentent à l’aise n’importe qui, selon lui, sont ceux qui dominent aujourd’hui les démocraties occidentales et libérales.
Il y a le "POUR" et le "CONTRE"
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Polémique aux Etats Unis
Certains livres deviennent interdits.
Le lien avec le gouvernement de Trump qui a été poussé par les évangélistes n'n'y est pas étranger
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Terminer la guerre entre la Russie et l'Ukraine, un objectif où Trump intervient en oubliant l'intervention de l'Europe bien plus impactée 
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Polémique bruxelloise
Avec plus de 541 jours sans gouvernement à Bruxelles, on dépasse le record mondial. 541 jours pour rien
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Sans gouvernement, certains secteurs sont en panne
Birmingham est en faillite mais pas encore Bruxelles
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Polémique à l'école
Le' livre du Dr Laurent Alexandre "Ne faites plus d'études : apprendre autrement à l'ère de l'IA" avait créé un polémique avec les professeurs.
En 2018, le billet "Guerre et paix des intelligences", il avertissait des risques du numérique qu'il a renforcé par son nouvel opus de métaphores qui disait qu'il ne fallait plus faire des études.
Comme le disait la patronne d'Agoria "La compétitivité se retrouve dans la créativité, l'esprit critique, le sens relationnel, la capacité de convaincre face à une base énorme d'informations".
Nous avons eu un GM local qui est devenu en 2021 un des patrons d'Agoria dans le passé.
Cette correspond exactement à ce billet de 2007, "La technicité n'est plus seule", quand l'IA était encore dans les limbes.
J'ai écrit que l'argent est le lien entre les hommes.
"Dieu, c'est peut-être dans le ciel pour les croyants mais l'argent est surement sur Terre".
Quand j'ai acheté mon premier PC en 1983, j'ai participé à l'écriture d'un logiciel de Bourse qui permettait de suivre quelques sociétés dont je raconte l'histoire dans "Spéculons en paix". A l'époque, pas d'internet. Pas d'On Line. tous les cours étaient introduit à la pogne.
La mentalité des Américains d'avant Trump, favorable à l'Amérique profonde, je l'ai bien connue puisque j'ai travaillé avec eux et pour eux. Pour faire du profit, ils ne connaissaient que de vendre avec le plus de quantité pour diminuer les prix. Vendre dans le monde entier au prix le plus bas. La qualité allait devoir venir dans le futur par le fameux ruissellement. Enfin, ils l'espéraient avant que les Chinois se sont intégrés dans le même processus avec plus de vigueur.
Les Américains ont toujours été en guerre commerciale avec le monde. Elle l'a continuée souvent par la force en voulant être le gendarme du monde.
Ce vendredi, Bart De Weber était invité pour discuter du gèle des avoirs russes.
Le cactus donne sa vison des risques.
Sheila, toutes ces vies-Là. 60 ans de carrière de Sheila et 70 millions de disques vendus. Légende de la chanson française sans concessions ni faux fuyant, ses succès, ses adieux son retour, ses deuils.
Ce vendredi encore, L'Heure H rappelait Sandra Kim : J’aime la vie
En 1986, à seulement 13 ans et demi, Sandra Kim représente la Belgique au Concours Eurovision de la Chanson à Bergen, en Norvège. Portée par sa voix puissante et la fraîcheur de son titre J’aime la vie, elle conquiert le public européen en quelques minutes. Derrière les coulisses, la délégation belge mène un pari risqué : faire croire que la jeune artiste a 15 ans, pour maximiser ses chances de succès. Une fois sur scène, Sandra livre une performance éclatante qui la propulse rapidement en tête des votes. La Belgique réalise alors l’impensable : remporter sa toute première victoire à l’Eurovision. La polémique sur son âge déclenche une plainte de la Suisse, finalement rejetée car aucune limite n’existe encore dans le règlement. Le triomphe de Sandra Kim devient historique, son single bat des records, et elle reste, depuis 1986, la plus jeune gagnante de l’histoire du concours. Une icône belge née en trois minutes, sous les projecteurs d’un soir nordique.
Peu de polémiques pendant ces années-là.
Phénomène culturel français des années 60, lancé par une émission radio sur Europe 1, puis un magazine, qui a popularisé le rock français et les "Yéyés" (Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, etc.)
"Saluts des copains" de solidarité qui n'existent plus vraiment.
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Des films de la semaine,
je n'en retiens qu'un seul et j'y ajoute un ancien
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Les enfants vont bien
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Mon nom est personne |
Mardi, j'ai adoré revoir le film "Mon nom est personne" de 1973
Les citations y sont nombreuses et toujours d'actualité
- « On rencontre souvent son destin sur la route qu'on a prise pour l'éviter »,
- « Le seul moyen d'allonger la vie, c'est d'essayer de ne pas la raccourcir »
- « Bienheureux est celui qui partage avec son prochain le poids de la vie ».
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Conclusions
Les polémiques sont devenues traditionnelles.
Mercredi, la Plume de Thomas Gunzig glissait sur le papier de gauche à droite
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La série "Ceci n'est pas un crime" était présenté sur RTL TVI ave René Magritte et Salvador Dali comme artiste surréalistes (cf Pataques à Cadaquès).
Ce vendredi, c'était la gelée des avoirs russes
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A la fin de l'année, Saint-Nicolas et le Père Noël génère aussi des polémiques.
Qui se souvient de la conversation dans Saint-Nicolas est furieux, c'est un pourri,
C'était le 6 décembre 2012.
L'arbre, placé sur la grand place, était électronique et a créé la polémique.
On l'appelait "L'Arbre Ferrari"
Pour éviter tout accident, il sera démonté parce que les autorités de la ville craignaient que des personnes montent dessus de manière anarchique la nuit du réveillon de nouvel an, lorsque la Grand-Place est noire de monde.
Jeudi, c'était le Grand Cactus qui invitait le pince-sans-rire, Laurtent Baffie
Je dis pince-sans-rire, parce que regardez-le et vous comprendrez.
Un Quiz sur Noël pour être moins bête ?
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Cette année, ce n'est pas le sapin mais la crèche qui crée la polémique et a fait parlé de multiples visiteurs avec humour sarcastique.
Lundi, le cactus destinait son humour à la crèche de la Grand-Place
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Je m'adresse aux enfants en bas âge, n'oubliez pas de mettre vos carottes dans la cheminée que vos parents vous auront données.
Ces carottes sont de plus en plus chères.
Cette année, ce n'est pas le sapin mais la crêche qui crée la polémique et a fait parlé de multiples visiteurs avec l'humour da cactus
Lundi, le cactus destinait son humour à la crèche de la Grand-Place
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J'ai demandé à ChatGPT de me faire un dessin d'une crèche avec à l'intérieur des animaux de la ferme et un arbre en son centre en forme de palmier.
Ce sera plus facile à installer que l'arbre de Noël de 20 mètres de hauteur
Cela devrait plaire à Gaia et à Brigitte Bardot qui affaiblie : l’évacuation de ses animaux de la Garrigue en son absence déclenche une vive polémique, son mari sort du silence
Le palmier fera plaisir aussi à ceux qui pensent déjà aux vacances d'été au soleil.
Le weekend je suis aller en promenades au centre de Bruxelles pour les Plaisirs d'Hiver.
J'ai vu la crèche litigieuse et je suis allé dans la cathédrale pour voir d'autres crèches.
Les photos sont à cette adresses
et en cliquant sur l'image
Allusion






















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Commentaires
Le ton monte entre la Russie et l’Union européenne. Dmitri Medvedev, ancien président de la Russie et aujourd’hui vice-président du Conseil de sécurité russe, a lancé une mise en garde très claire : si l’Union européenne décide de saisir les avoirs russes gelés, Moscou pourrait y voir un casus belli, autrement dit, un motif de guerre.
Des menaces directes contre Bruxelles
Sur ses réseaux sociaux, Dmitri Medvedev a vivement réagi à la proposition européenne d’utiliser les avoirs russes bloqués pour aider l’Ukraine. Il a écrit : « Si la folle Union européenne vole malgré tout les avoirs russes bloqués en Belgique sous couvert d’un prétendu ‘prêt de réparation’, la Russie pourrait considérer cela comme un casus belli, avec toutes les conséquences que cela impliquerait pour Bruxelles et Compagnie ».
Il a ajouté une menace à peine voilée : « Ces fonds pourraient devoir être rendus, non pas devant un tribunal, mais sous forme de véritables réparations payées en nature par les ennemis vaincus de la Russie ».
La déclaration de Dmitri Medvedev intervient au lendemain d’une proposition de la Commission européenne : utiliser les avoirs russes gelés – ou émettre des emprunts internationaux – pour financer une aide de 90 milliards d’euros à l’Ukraine. Cette somme servirait notamment à soutenir l’armée ukrainienne et les services publics du pays, durement touchés par la guerre.
Une grande partie des avoirs russes gelés se trouve en Belgique, à Bruxelles, au sein d’Euroclear – un organisme qui gère des titres financiers. Environ 140 milliards d’euros appartenant à la Banque centrale de Russie y sont actuellement immobilisés. Le Premier ministre Bart De Wever continue de s’opposer fermement à l’idée d’utiliser ces fonds. Il estime que cela représente un trop grand risque juridique et financier pour la Belgique. Il l’a encore répété récemment : « Ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais »
Écrit par : Allusion | 05/12/2025