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06/04/2019

Guerre et paix des intelligences (1-2)

0.JPGAprès la lecture de "La guerre des Intelligences - Intelligence Artificielle versus Intelligence Humaine" du Dr Laurent Alexandre que j'avais rencontré lors de la Foire du livre où j'avais enregistré son interview, je me devais d'en faire un résumé.

Sa vision sur notre futur interpelle.

C'est le moins qu'on puisse dire...

Rien à voir entre la guerre entre le cerveau crânien et celui du microbiote.

Houellebeck risque d'en perdre ce qui lui reste d'espoir et de sérotonine.

Je n'aime pas le mot "guerre". Après la guerre, il faut trouver la paix, j'ai donc changé le titre.

Ci-après la première partie jusqu'au chapitre 6.


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Un résumé bien fait par Vincent

Quelques phrases types du livre ont déjà été citées dans la vidéo.

Quelques autres que je livre ci-dessous de la 1ère et de la 2ème phases.

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Introduction:

L'intelligence est le moyen dont l'humanité a été pourvue par l'évolution darwinienne pour survivre dans un environnement sauvage.

Les diplômes eux-mêmes sont moins la sanction du travail fourni qu'un signal de performance intellectuelle, quel que soit l'effort accompli pour l'atteindre.

L'intelligence, la chose au monde la moins bien partagée, est l'inégalité que la société corrige le moins bien aujourd'hui.

Au pied du mur, nous sommes dans un monde inégalitaire où l'Homme subirait son futur où seuls les meilleurs sortiraient vainqueurs, laissant la multitude à la merci d'une neurodictature.

Nous devenons des barbares où nos coutumes et notre savoir deviennent obsolètes, dépassés par une civilisation qui va plus vite que nous et qui nous fait comprendre que nous sommes devenus gênants dans un monde qui n'attend plus.

...

Le printemps de l'IA

Le cerveau est un ordinateur très complexe d'une nature différente des circuits intégrés mais capable d'appréhender des situations inconnues, d'inventer, de réagir et de se reprogrammer en permanence.

La morale est une science inexacte, pleine de contradictions et d'à-peu-près contraire au calcul informatique et à une équation.

L'IA, la robotique et les neurosciences sont les trois composantes de cognitique qui vont transformer le concept de l'école.

...

Le nouvel évangile transhumaniste apôtre de l'IA

L'information est la matière première quasi infinie qui vient de nous-mêmes et qui croît de manière exponentielle en fonction de ses utilisateurs.

Nous dépendons de l'IA car le monde créé par elle n'est lisible et contrôlable que par elle.

Comme il est impossible à un cerveau humain de différencier le vrai du faux, c'est l'IA qui nous protégera contre les manipulations.

La crainte de la télépathie 2.0 est de conduire à la pensée unique parce que la pensée sera orientée, prédéfinie, calibrée par les ordinateurs.

Si le développement de l'IA conduit à développer des implants cérébraux pour mettre à la hauteur, cela changera radicalement la politique et notre humanité.

Explosives, les technologies NBIC justifieraient une réinvention du rôle régulateur de l’État par le "philanthro-capitalisme". Sans cela, l'impuissance politique conduira inéluctablement à une demande croissante d'autoritarisme ou se diriger vers une oligopole d'une dizaine de sociétés américaines et chinoises contrôlant l'IA, grâce à la maîtrise simultanée de bases de données et de microprocesseurs propriétaires.

L'effet James Flynn montre que les individus ont bénéficié d'un environnement intellectuellement plus stimulant avec l'allongement des études, l'égalité homme-femme et une grande attention parentale, mais le QI moyen en Occident a baissé de 4 points entre 1990 et 2009. On néglige d'autres formes d'intelligence corrélée à la capacité de résoudre les problèmes abstraits du langages ou des mathématiques

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La guerre des cerveaux a déjà commencé

Le neurone biologique ou artificiel est le nouveau pétrole.

L'objet de toutes les convoitises est devenu le moteur de la société numérique par la surabondance de l'information et l'évolution extrêmement rapide des technologies reposant sur un besoin constant d'innovation.

Depuis 2001, en Chine, la politique volontariste de développement de l'enseignement supérieur et de sa recherche scientifique a fait augmenter ses dépenses de 300% et a poussé le pays à devenir un leader mondial pour le nombre de brevets déposés. Confucius n'a pas les états d'âme de nos humanistes occidentaux.

En France, le dédain affiché par la classe politique pour les nouvelles technologies trahit une grave erreur de jugement puisque les technologies ne fonctionnent pas par cycle mais par cliquet. Mais, selon les Droits de l'Homme, "tous les hommes naissent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune". 

Un bas QI augmente les malchances d'avoir un revenu faible et les chances de marginalisation sociale.

Quand une nouvelle technologie apparaît, les Américains en font un business, les Chinois la copient et les Européens la régule.

...

L'école est déjà obsolète

L'école est chargée d'enseigner les savoirs de base, lire, écrire, compter, mathématique, histoire, littérature, langues...tandis que l'intelligence est traduite par la capacité à acquérir, retenir, utilise et marier ces savoirs.

L'école est incapable de réduire les inégalités. Elle arrive trop tard à l'âge de six ans des enfants puisque l'on naît intelligent grâce à des caractères innés établi pour 50% dans notre ADN plus qu'on ne le devient par des caractères acquis.

Le QI est encore le grand absent des politiques. Les différences d'intelligences, et leur lourdes conséquences, sont une réalité indicible pour les pouvoirs publics et silencieux dans les discours publics..

il est plus facile d'expliquer aux catégories sociales les moins favorisées que leur situation est due à des causes extérieures malignes et qu'elles n'en sont que les victimes alors qu'en théorie rien ne devrait les empêcher de réussir aussi bien que les autres. C'est sur de telles explications que prospèrent les discours anti-capitalistes pour qui les hiérarchies de classes ne sont que la conséquence d'une mondialisation ultra-libérale où certains, parce qu'ils sont plus chanceux ou plus malhonnêtes, dominent les autres.
Les discours conservateurs, diamétralement opposés, n'acceptent pas non plus l'explication du déterminisme génétique puisque il est plus commode de penser par les différences sociales, le reflet du mérite des gens dans l'absolu par leur réussite dans la vie.
Explication confortable mais stérile rendant les premiers dédouanés de leur responsabilité revendiquant des compensations face à l'injustice sociale et les seconds rendant les plus pauvres responsables de leur situation.
Dans quelques années, une intelligence supérieure ne sera pas le fruit du hasard réservée à une aristocratie mais un kit de survie minimum comme prérequis.

...

Dans l'économie de demain, l'intelligence n'est plus une option.

La hausse de la productivité a été compensée par la hausse de la demande de biens et par la montée en compétence des travailleurs qui trouvaient ainsi de nouveaux emplois.

L'ère NBIC ressemble de moins en moins à une révolution classique avec des effets sur l'emploi moins idylliques.

Les NBIC vont détruire plus d'emplois qu'ils n'en détruit et porte la possibilité d'un déséquilibre rapide de tout notre système économique et social face aux géants quasi monopolistiques, propriétaire de milliards de milliards de données laissant peu de place aux acteurs marginaux et créant le syndrome du 'Winner takes all' à cause de l'écart dans la qualité de l'IA que l'on éduque.

La plupart des milliardaires du numérique défendent le revenu universel parce qu'ils anticipent des destructions massives d'emplois du fait des robots intelligents et parce qu'ils ne croient pas que l'ajustement schumpetérien va fonctionner lors du remplacement rapide des anciens emplois par les nouvelles activités. Le revenu universel n'est nécessaire que temporairement pour mieux s'adapter à l'IA tandis que permanent, il serait suicidaire face à l'IA.  

En 2030, il y aura un million de fois plus de données dans un dossier médical qu'aujourd'hui comme fruit du développement parallèle de la génomique, des neurosciences et des objets connectés dans une mutation radicale et douloureuse du pouvoir du médecin, outsourcé dans le "cloud computing" et subordonné aux algorithmes comme l'est aujourd'hui l'infirmière.

Les emplois de demain nécessiteront une très grande flexibilité, une forte complémentarité avec l'IA et une transversalité intellectuelle dans une dualité opposant les élites à des masses de travailleurs hyper précarisés ou inemployés par la manipulation de l'abstraction.

En 1970, le futurologue Alvin Toffler prédisait déjà que les illettrés du 21ème siècle ne seront pas ceux qui ne savent pas lire ou écrire, mais ceux qui ne savent pas apprendre, désapprendre et réapprendre.

L'école est une impasse en ne représentant qu'une part très faible des mécanismes générateurs de l'agilité cognitive.

La réforme sera imposée de l'extérieur par les neurotechnologies américaines ou chinoises qui vont faire un hold-up sur l'éducation.

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Premières remarques

Concurrencer avec la machine serait périmé quand on sait que le superordinateur Aurora accomplira 1.000.000.000.000.000.000 opérations à la seconde devient difficile vu ce que j'écrivais déjà en 2014 dans "Presque humain" et en 2016, dans "Quand la pensée humaine s'intègre dans la machine" quantique qui allie les bénéfices du numérique à ceux de l'analogique de l'homme.

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Donc, il faut trouver autre chose et remettre les pendules à l'heure pour s'adapter à cette situation souvent décrite comme apocalyptique.

Quelques billets font réfléchir:

  • Mark Zuckerbeg, patron de Facebook & Co, veut plus de réglementations gouvernementale et régulatrice. Il a lancé son bébé sans se rendre compte  qu'il pouvait être dépassé par les événements de son 'core business'. De plus, le Big Data pourrait signer l'arrêt de mort de la publicité devenue inutile alors que la publicité est actuellement la vache à lait de Facebook.
  • La Chine emprunte désormais plus d'argent qu'elle n'en prête augmentant son déficit courant. Pendant près de 25 ans, la Chine a exporté plus qu’elle n’importait. Le solde du compte courant du pays  représentant le différentiel entre les exportations à l’étranger et les importations émanant d’étrangers, a toujours été positif. Ce n'est plus le cas. Investir dans le futur coûte de plus en plus cher.
  • Si le billet "Un quart des Européens préféreraient être gouvernés par l’IA"  est exact et que l'état d'esprit envers les nouvelles technologies engendre un sentiment d’insécurité et d’incertitude à cause de la méfiance des citoyens augmente à l’égard des gouvernements et des hommes politiques en remettant en question le modèle européen de démocratie représentative, c'est inquiétant. Il est évident qu'il n'y a pas de corruption ni de gains personnel ni des croyances dans la "communauté des robots". Ce n'est pas des machines qu'il faut avoir peur, mais de ceux qui les programmes. Céder ses pouvoirs de décision à la machine, n'est-ce pas plus risqué encore sans s'instruire au contenu des algorithmes qui manipulent ce Big Data?
  • Le dossier "Qui tire les cordons de l'info?" rappelle que les machines ne rétribuent pas ceux qu'elles ont éliminés de la course dans les médias. "Les journalistes n'ont pas besoin d'un milliardaire pour défendre l'ordre établi". Les cost-killers créent des galériens de l'info avant que les machines elles-mêmes ne créent l'info sans interventions humaines.(cf "Cannibalisés par le Web")
  • Les bénéfices que les machines apportent ne rendent pas la société plus juste, plus solidaire, plus responsable.
  • Un article du Vif parle de l'obsession de la compétition en philanthropie:
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  • 0.JPGLes inégalités étaient le sujet de débat du 3 avril au 28' de ARTEpodcast. Ce que confirme le documentaire de cet autre type de vie à partir de "San Francisco, capitale du monde 3.0". Là où les plus grandes fortunes ont créé les plus grandes inégalités. Le cas "Carlos Ghosn" était discuté vendredi matin à "Parti-pris"podcast

  • 0.JPGLa Belgique serait donc un des pays les plus égalitaires.
  • Cette semaine en Belgique, le Pacte d'Excellence de l'éducation était lancé avec comme pièce maîtresse et "tronc commun" podcastdont les "Coulisses du Pouvoir"podcastrapellait les prémisses.
D'après le Dr Alexandre, ce ne serait pas encore la bonne solution pour résoudre les problèmes d'éducation de demain puisque pour lui, l'école est déjà obsolète.. 

Des futurs possibles de l'éducation, il en sera question la semaine prochaine dans la suite du réel feuilleton de la guerre des intelligences, par l'intermédiaire de quelques autres phrases types du livre.

 

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Eriofne,

Suite dans le prochain numéro la semaine prochaine.

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Compléments:

Vidéo résumé et commentaires

Nos enfants irons dans une école eugéniste

Le recul de la mort

L'intelligence artificielle

 

8/4/2019: Le salaires des enseignantspodcast

18/4/2019: Rappel de l'ordinateur quantique

 

14/8/2019: Le JT parle de ce qui est dit dans ce billet:podcast

Commentaires

Lis Le Point de cette semaine,
ITV passionnante et inquiétante d’un des pontes chinois de l’AI. Ces docteur Folamour vont nous précipiter vers l’abîme.
Ils rêvent tous de surpuissance, donc d’immortalité, donc de négation de l’être humain. Ce seront les génocidaires du XXIè siècle.
je viens de lire « 21 leçons pour le XXIè siècle", de Harari. Flippant.
J’ai fait quelques Carré dessus l’année passée

Écrit par : Nicolas Vadot | 06/04/2019

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Ok. Pour Le Point.
Ok. Pour le Point. Je vais me ruer dessus.
J'ai une certaine avance sur ce sujet puisque j'en ai vu les prémisses et que c'était ma profession.
L'anecdote du "Allô Virtuel ici Fantôme" n'a rien exceptionnel ou d'incorrect.
C'est du vécu.
L'agence de BNP où je vais, ne dit pas quand les machines vont disparaître.
ING prévoit de le faire en juin.
Mais c'est déjà le cas dans une autre qui n'envoie plus le courrier des comptes mais celui des opérations sur les titres..

Écrit par : L'enfoiré | 06/04/2019

L’humanité va-t-elle devoir fusionner avec les robots pour éviter l’extinction ?

De brillants scientifiques ont évoqué cette possibilité
C’est en tout cas ce que considère Michio Kaku, un physicien et théoricien de renom. Nous le savons, les IA deviennent de plus en plus intelligentes au fil des années et le moment où elles auront une conscience incluse se rapproche à grands pas. Savoir prendre des décisions par soi-même, savoir se situer dans l’écosystème mondial, comprendre sa valeur et réfléchir sont des thèmes qui seront à coup sûr abordés dans un futur proche. Beaucoup de dystopies comme iRobot font état de cette peur commune qui consiste en une rébellion contre l’homme de la part des robots et autres machines, mais peut-être que la solution afin d’y pallier est de simplement fusionner avec elles.

Que penser de l’état actuel des I.A. ?
Pour le moment, les robots et autres intelligences artificielles peuvent être considérés comme des personnes stupides. Ils se développent chaque jour un peu plus, battent régulièrement des humains à certaines épreuves (échecs, Starcraft) mais leurs réflexions ne sont qu’à un stade très embryonnaire. En revanche, à terme, selon Michio Kaku, ils seront à court terme aussi intelligents qu’une souris ou qu’un rat, et progresseront par la suite graduellement. Selon lui, il se pourrait que d’ici la fin du siècle, les robots aient atteint le stade d’intelligence des grands singes. D’ailleurs, le Daily Geek Show ne manque pas de vous alerter des dernières avancées dans le domaine, comme le fait qu’une IA soit capable de lire dans nos émotions, ou qu’elle soit capable de détecter la maladie d’Alzheimer 6 ans avant l’Homme. D’ailleurs, vous avez été 68 % à vous déclarer inquiet quant à l’évolution des intelligences artificielles, dans notre sondage.
Il faut donc réfléchir à court terme, car la progression est rapide. Elon Musk, l’inventeur de génie, avait notamment mis en garde l’humanité en expliquant qu’ils pourraient représenter une grande menace si ces derniers peuvent un jour devenir “conscients d’eux-mêmes”. Michio Kaku explique qu’Elon Musk a raison sur ce point et que si ce stade est atteint, les robots représenteraient une menace sérieuse pour l’Homme. Enfin, de son côté, Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook, explique qu’au contraire, les robots représentent une aubaine pour l’humanité. Selon lui, les intelligences artificielles vont nous permettre de battre des records dans plusieurs domaines, et notamment dans le domaine du business. Kaku pense que lui aussi a raison, mais seulement à court terme : l’arrivée de ces nouvelles intelligences dans plusieurs emplois va redynamiser bon nombre de professions, en créer d’autres, et ainsi amener un certain dynamisme. Mais à long terme, nous pouvons envisager que l’homme ne soit plus nécessaire, et le risque serait alors immense.
Le Dr Kaku avance ensuite son hypothèse de la fusion entre l’humanité et les intelligences artificielles. Selon lui, elle est inévitable et logique. Il met d’ailleurs en garde la naïveté des humains, qui ne prennent pas suffisamment de sécurité à propos de ses créations, et qui pourraient disparaître. Il dresse ainsi le parallèle avec les dinosaures, qui se sont éteints “du fait de leur naïveté”. Il convient de nuancer ses propos en expliquant que les causes ne seraient bien évidemment pas les mêmes, mais on peut saisir son point de vue à travers une sous-évaluation des risques. Pour finir, il estime que le moment de choisir si nous devons fusionner ou non avec les robots interviendra au cours du XXIIe siècle.

Comment peut-on fusionner avec des robots ?
Fusionner avec un robot ou une I.A., ça se traduira vraisemblablement dans les faits par une intégration d’une fonctionnalité robotique au sein même de notre organisme. Pour cette raison, nous pouvons imaginer que la majorité du produit issu de cette fusion demeurerait à très large majorité humaine, du moins dans un premier temps. Ici, il n’est pas question de se transformer en robot à partir d’un humain, avec des électrodes plein la tête qui nous déshumaniserait totalement. « Nous n’allons pas avoir un cerveau dans une cuve de liquide qui pense à notre place non plus », a également déclaré Kaku, qui se veut rassurant sur sa perception des choses.
Alors, qu’allons-nous prendre de la part des robots ? Pour l’essentiel, ce seront des membres. D’ailleurs, les chercheurs travaillent déjà d’arrache-pied pour développer des muscles synthétiques bien plus puissants que les nôtres, ou encore un objectif bionique qui pourrait révolutionner la vision humaine. En somme, selon l’hypothèse du physicien de renom, il est fort probable que l’humanité s’améliore en s’ajoutant des membres développés nous conférant des pouvoirs surhumains (dans le sens contemporain du terme). D’autres projets, comme la traduction de nos pensées par un code informatique par le biais d’un implant digital, sont déjà en pleine recherche.
Alors oui, pour le moment, tout cela sonne comme de la science-fiction, et Kaku l’assume parfaitement. En revanche, le questionnement est essentiel et devra se poser dans une échéance qui semble plus proche que nous ne l’aurions imaginé il y a quelques années. Comme nous vous l’avons dit, le physicien estime que ce niveau de développement surviendra d’ici une centaine d’années.

https://dailygeekshow.com/humanite-robot-fusion/

Écrit par : L'enfoiré | 07/04/2019

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Le latin devient obligatoire dans l’enseignement secondaire wallon, mais pas le néerlandais

La Communauté française (Fédération Wallonie-Bruxelles) travaille à une réforme en profondeur du système éducatif. C’est une nécessité, car actuellement, un élève sur deux redouble au moins une fois avant d’avoir 15 ans. C’est un record européen. Les grandes victimes de cette réforme semblent être les cours de néerlandais.

La grande réforme de l’éducation: le pacte d’Excellence
Des années de débats ont précédé ce que l’on a appelé le « pacte d’Excellence ». Ce pacte prévoit une formation commune de la troisième classe de maternelle à la troisième année de l’enseignement secondaire. C’est une réforme considérable, étant donné qu’aujourd’hui le « tronc commun » ne s’applique que sur les deux premières années du secondaire.
À partir de 2020, un programme uniforme sera introduit dans toutes les écoles bruxelloises et wallonnes, à partir de la première année de maternelle jusqu’à la troisième année du secondaire. Le programme sera donc pleinement opérationnel pour l’année scolaire 2028-2029.

Néerlandais contre Anglais
Le gouvernement de la FWB parle d’une réforme en profondeur. Elle repose sur de nouvelles techniques d’apprentissage, de nouveaux horaires, mais surtout de nouvelles leçons avec de nouveaux supports. Par exemple, une troisième heure de sport est incluse dans les programmes des 5ème et 6ème. Aujourd’hui, il n’y en a que deux. Mais l’accent sera surtout mis sur l’apprentissage des langues vivantes, qui seront introduites dès la 3ème primaire.
Les élèves devront alors choisir entre l’anglais ou le néerlandais.Aujourd’hui, ce n’est qu’en cinquième année qu’ils doivent choisir leur première langue. En seconde année du secondaire, ils apprendront une seconde langue moderne, à raison de 2 heures par semaine, aux dépens du français. Le nombre d’heures d’enseignement du français passera en effet à 4 heures par semaine au lieu de 6.

Latin obligatoire au secondaire
En deuxième et en troisième secondaire, le latin devient obligatoire, l’accent étant mis sur le vocabulaire, la grammaire et la conjugaison. Ces leçons de latin serviront surtout à soutenir le français.
Les élèves bénéficieront également d’un accompagnement personnalisé de 2 heures par semaine à partir de l’école secondaire.
Le projet de réforme doit être approuvé après les vacances de Pâques.

https://fr.express.live/enseignement-langue-fwb-neerlandais/

Écrit par : L'enfoiré | 07/04/2019

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quelqu'un de ma famille est venu me trouver hier : notre banque commune refuse de lui fournir une attestation autrement que par mail (il n'en a pas)
Je vais donc demander à ma banque de me l'envoyer dans ma boite. Ca ne fait qu'un an que je suis pensionné, il me semble en voyant ça que c'était il y a un siècle

Écrit par : Jean-Marie HENROTTE | 08/04/2019

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L'anecdote soi-disant humoristique que je raconte ne l'est pas.
Elle est bien réelle.
J'ai pensé en faire écho sur Facebook dans une pétition.

La différence avec la réalité est que que le "Fantôme" de l'histoire n'a pas 82 ans, mais 87.
Il n'utilise pas les "bienfaits de la numéricité des choses".
Il a encore des communications avec d'autres dans des têtes à têtes mais pas dans la virtualité d'Internet.
Il vit dans le réel avec l'octroi d'une petite pension de retraite dont il doit désormais déduire les frais sous forme d'un euro à chaque transaction et dans les frais de timbres pour son courrier.

Écrit par : L'enfoiré | 08/04/2019

L’avenir d’Internet, ce sont les personnes âgées. Sommes-nous prêts pour cela ?

Au Etats-Unis, les personnes de plus de 65 ans seront bientôt plus nombreuses que celles des autres classes d’âge. Une situation démographique similaire se produira dans divers pays d’Europe et d’Asie. Cela continuera d’être le cas pour les décennies à venir. L’Internet est-il prêt pour cela ?
Le Financial Times s’est intéressé à la Finlande (€) la semaine dernière, un pays qui compte aujourd’hui plus de personnes de plus de 65 ans que de moins de 14 ans. D’ici 2070, ces personnes âgées constitueront le tiers de la population, contre la moitié pour les 25 à 64 ans et 10 % pour les enfants. Si les personnes âgées de plus de 85 ans représentaient à peine 1,5 % de la population finlandaise en 2000, elles en représentent 2,7 % aujourd’hui, et en 2070, cette proportion passera à plus de 9 %.
Cela a des conséquences majeures pour la société. Des recherches néerlandaises récentes montrent en effet que les personnes âgées sont de plus en plus présentes sur Internet. Au Royaume-Uni, les personnes de plus de 55 ans constituent le groupe de population le plus important sur Facebook. Mais ces groupes plus âgés ont également des difficultés avec la vitesse à laquelle la société se numérise.

Les personnes de plus de 65 ans: un groupe vulnérable
Les habitudes en ligne de ce groupe ont fait l’objet d’une série d’études américaines récentes. Il en ressort des conclusions remarquables :
Les personnes de plus de 65 ans lisent et partagent jusqu’à 7 fois plus de «fake news» sur des plateformes telles que Facebook et Twitter.
Elles ont plus de difficultés à comprendre le rôle que jouent les algorithmes dans la détermination du contenu affiché en ligne.
Les personnes âgées ont également plus de difficultés à distinguer les informations des articles d’opinion.
Elles sont souvent bombardées de publicités de groupes Facebook extrêmes et de faux sites d’information.
Les personnes de plus de 65 ans restent les cibles les plus faciles pour les fraudeurs, les logiciels malveillants et les autres auteurs d’actes malveillants en ligne.
Besoin de programmes qui prennent en charge les utilisateurs d’Internet âgés
Un autre fait important est que les campagnes d’alphabétisation numérique suscitent beaucoup d’enthousiasme et d’intérêt, mais qu’elles s’adressent généralement aux jeunes. Les enfants reçoivent un enseignement à l’école, mais leurs parents et grands-parents sont généralement négligés dans ce domaine.
Ce à quoi ressemblera l’avenir d’Internet et des médias sociaux avec une masse de personnes actives de plus de 65 ans sur Internet reste un point d’interrogation. Mais ce groupe d’âge devra certainement être pris en compte. La société est mieux préparée à ces changements démographiques. Beaucoup de jeunes sont déjà aux prises avec un environnement d’information chaotique. Il n’est donc pas si surprenant que les personnes âgées soient également confrontées à des difficultés. Il est donc nécessaire de mettre en place des programmes qui prennent en charge le grand nombre de personnes âgées, qui seront désormais massivement présentes sur Internet au cours des prochaines décennies.

https://fr.express.live/internet-personnes-agees/

Écrit par : L'enfoiré | 09/04/2019

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Les 7 habitudes de personnes médiocres extrêmement efficaces

Pour chaque Mark Zuckerberg, on compte 1.000 Jack Zuckermans. Qui est ce dernier ? « Aucune idée », écrit l’entrepreneur James Altucher. Altucher se décrit comme une personne très médiocre dont la carrière est remplie tant de succès que de revers, tout comme la majorité de la population.
Toutefois, cet entrepreneur est extrêmement efficace. Il est l’auteur de sept livres. Il a en outre fondé et vendu plusieurs sociétés. Il écrit pour le Financial Times et le Huffington Post et tient un blog populaire sur le bonheur et le succès.
« Si vous voulez devenir riche, vendre votre entreprise, disposer de temps pour vos passe-temps, avoir une famille décente (avec des enfants médiocres) et profiter du coucher de soleil avec votre femme lorsque c’est possible, voici sept recommandations très efficaces », écrit-il dans un billet sur The Rumpus.

1. Procrastinez
Il y a une raison à votre procrastination. Vous travaillez peut-être trop et vous avez besoin d’une pause urgente. Vous avez peut-être besoin de déléguer une part de votre travail. Des personnes comme Steve Jobs étaient des maniaques du contrôle qui n’avaient jamais besoin de pause. Cela ne s’applique pas à la plupart d’entre nous. Ecoutez votre corps et essayez de comprendre la raison pour laquelle vous tergiversez.

2. Renoncez au multitâche
99% de la population n’appartient pas au top des 1% capables d’effectuer plusieurs tâches à la fois. Ne faites qu’une seule chose à la fois et utilisez toute votre concentration. Altucher va encore plus loin. Selon lui, l’entrepreneur médiocre devrait viser l’excellence en termes de tâches zéro. « Ne faites rien. Parfois, il vaut mieux rester silencieux et ne rien penser du tout », explique-t-il.

3. Apprenez de vos erreurs
Altucher a commis un grand nombre d’erreurs en tant qu’entrepreneur. L’entrepreneur médiocre apprend deux choses des échecs. D’une part, il apprend à surmonter un échec spécifique. D’autre part, il apprend à faire face à l’aspect psychologique de l’échec. Les entrepreneurs médiocres échoueront beaucoup. Par conséquent, ils apprennent à gérer adéquatement les échecs. « Continuez d’échouer jusqu’à ce que vous atteignez la ligne d’arrivée« , conseille Altucher.

4. Volez des idées
Altucher n’a jamais eu une idée originale de toute sa carrière. Ce n’est pas nécessaire, explique-t-il. Les idées les plus novatrices sont des combinaisons d’idées existantes. Cela s’applique même à Facebook (combinaison d’Internet et de harcèlement), à ​​Twitter (Internet et anciens principes SMS) et à eBay (e-commerce et enchères).

5. Ayez de mauvaises compétences de réseautage
Un entrepreneur qui ne construit pas de relations avec les autres est voué à l’échec. Cependant, beaucoup de personnes réseautent trop, explique Altucher. L’entrepreneuriat est déjà assez difficile en soi. Vingt heures par jour sont consacrées à la gestion des employés, aux clients, aux réunions et au développement de produits. « Et après, vous allez réseauter toute la nuit ? L’entrepreneur médiocre travaille ses vingt heures puis se détend lorsque c’est possible. Il est difficile de gagner de l’argent avec l’entrepreneuriat, ce n’est pas une fête. »

6. Faites n’importe quoi pour obtenir un « oui »
Altucher se décrit comme un vendeur moyen et un mauvais négociateur. Il a échoué à maintes reprises lors de transactions. Toutefois, selon lui, le « oui » d’un client important peut sauver votre société, même si cette transaction n’est pas aussi rentable que vous ne l’espériez.

7. Apprenez à connaître les personnes
Selon Malcolm Gladwell, vous pouvez juger des personnes correctement en quelques secondes. Cependant, les personnes médiocres telles qu’Altucher ont besoin de beaucoup plus de temps. Son conseil est le suivant : écoutez les gens, sympathisez avec eux et apprenez à les connaître avant de leur faire confiance ou de les critiquer.

« Être médiocre ne signifie pas que vous ne pouvez pas changer le monde. Cela signifie que vous devez être honnête avec vous-même et avec les personnes qui vous entourent. Et être honnête sur tous les plans est véritablement l’habitude la plus efficace si vous voulez aboutir au succès », conclut l’entrepreneur.

https://fr.express.live/les-7-habitudes-de-personnes-mediocres-extremement-efficaces/

Écrit par : L'enfoiré | 09/04/2019

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En Estonie, le juge sera bientôt une intelligence artificielle

En Estonie, le gouvernement continue d’introduire des systèmes d’intelligence artificielle et d’apprentissage automatique dans ses ministères afin d’améliorer et de rationaliser les services proposés à ses résidents. L’un des prochains domaines concernés n’est autre que la Justice. Tallinn envisage en effet d’automatiser les décisions de justice par l’introduction d’algorithmes dans les tribunaux.
Dans ce petit pays balte, la numérisation des services publics va bon train. Les 1,3 million d’habitants sont habitués à effectuer de plus en plus de démarches en ligne, comme payer leurs impôts ou voter via internet : pratiquement tous les services gouvernementaux en Estonie sont accessibles en ligne.

L’intelligence artificielle remplace graduellement des fonctionnaires
Le dernier projet en date est le juge-robot, une intelligence artificielle qui pourra arbitrer de façon autonome des affaires de délits mineurs, et qui permettra de soulager le travail des juges et greffiers et de désengorger les tribunaux.
Les algorithmes remplacent déjà les fonctionnaires dans d’autres services. Par exemple, avant, les inspecteurs du gouvernement devaient se déplacer pour effectuer des visites de contrôle auprès de fermiers recevant des subventions. Maintenant, la « visite » se fait à l’aide d’images satellite analysées par un algorithme d’apprentissage. Ce système a permis de libérer du temps pour les inspecteurs qui peuvent désormais se concentrer sur d’autres mesures d’application de la loi. Dès la première année d’entrée en vigueur de ce dispositif, 665 000 euros ont pu être économisés.
L’intelligence artificielle est aussi utilisée pour aider les demandeurs d’emploi à trouver du travail en analysant leurs CV pour les mettre en relation avec les employeurs les plus adaptés à leur profil. Le premier bilan est concluant : 72 % des personnes ayant obtenu un emploi avec l’aide de l’I.A. occupent toujours leur poste 6 mois plus tard. Ce taux était de 58 % avant l’introduction de ce programme informatique.

Un juge-robot pour désengorger les tribunaux
Dans un nouveau projet, le plus ambitieux à ce jour, le gouvernement veut introduire l’I.A. dans son appareil judiciaire avec la création d’un « juge robot » qui pourra se prononcer sur des délits mineurs portant sur des faits aux dommages inférieurs à 7000 euros. Le projet est à ses débuts et devrait être introduit plus tard dans l’année avec un programme-pilote sur des litiges contractuels.
L’Estonie n’est pas le premier acteur à utiliser l’I.A. dans un cadre judiciaire, mais il sera le premier à donner un pouvoir de décision à un algorithme, ce qui soulève des questions éthiques.
La présidente Kersti Kaljulaid déclarait récemment à une conférence sur l’I.A. à Tallinn que l’utilisation accrue de l’I.A. dans les services gouvernementaux « nous permettra de nous spécialiser dans des domaines que les machines ne pourront jamais approcher. Je veux me consacrer à devenir un être humain chaleureux et plein de compassion. Pour cela, il est nécessaire que l’I.A. soit fiable, et que cette fiabilité soit démontrée. »

https://fr.express.live/estonie-intelligence-artificielle-justice-juge/

Écrit par : L'enfoiré | 10/04/2019

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Xénius: Comment l'intelligence influence notre vie

Un quotient intellectuel élevé est-il le garant d’une vie personnelle et professionnelle épanouie ? Pour le savoir, "Xenius" plonge dans le quotidien d’une personne à haut potentiel. Les présentateurs se rendent également dans un centre spécialisé à Graz, en Autriche, pour tester leurs dons et aptitudes. Quel lien ont-ils avec l’intelligence ?

https://www.arte.tv/fr/videos/086129-001-A/xenius-comment-l-intelligence-influence-notre-vie/

Écrit par : L'enfoiré | 11/04/2019

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Cette nouvelle machine quantique voit simultanément tous les futurs possibles

Les IA vont pouvoir mesurer toutes les conséquences de leurs décisions
Une équipe internationale composée de chercheurs singapouriens et australiens vient de mettre au point un prototype de machine à même de générer tous les futurs possibles de façon simultanée. Lumière sur ce phénomène connu sous le nom de superposition quantique.

Une avancée scientifique importante
À la différence des particules classiques, les particules quantiques peuvent être dans plusieurs états à la fois : une spécificité connue sous le nom de superposition quantique. Si la possibilité de pouvoir observer simultanément tous les futurs possibles semble tout droit sortie d’un roman de science-fiction, des chercheurs de l’Université technologique de Nanyang à Singapour et de l’Université Griffith en Australie ont exploité ce phénomène physique afin de créer un dispositif à même de générer une superposition quantique simultanée des différents futurs envisageables.
Comme l’a expliqué le chercheur Mile Gu, qui a supervisé le développement de l’algorithme utilisé par le prototype : « Lorsque nous pensons à l’avenir, nous sommes confrontés à un large éventail de possibilités. Elles augmentent exponentiellement à mesure que nous avançons dans le temps. Si, par exemple, nous considérons que n’avons que deux choix possibles chaque minute qui s’écoule, en moins d’une demi-heure il y aurait déjà 14 millions de futurs possibles. En moins d’un jour, le chiffre dépasserait la quantité d’atomes présents dans l’univers observable ».
Pour réaliser ce prototype, l’équipe a conçu un processeur d’information quantique photonique, dans lequel les futurs résultats potentiels d’un processus décisionnel sont représentés par des photons, particules de la lumière.

Le prototype actuel est capable de simuler 16 futurs simultanés
Comme l’a expliqué le docteur Jayne Thompson, membre de l’Université de Singapour ayant participé au projet : « Le fonctionnement de cet appareil est inspiré par le lauréat du prix Nobel Richard Feynman. Lorsqu’il a commencé à étudier la physique quantique, il s’est rendu compte que lorsqu’une particule voyage d’un point A à un point B, elle ne suit pas nécessairement un seul chemin. Au lieu de cela, elle traverse simultanément tous les chemins possibles reliant les points. Notre travail étend ce phénomène et l’exploite pour modéliser des futurs statistiques ».
De son côté, le chercheur Farzad Ghafari a précisé que cette approche consistant à « synthétiser une superposition quantique de tous les futurs possibles pour chaque biais » pourrait également permettre aux IA quantiques améliorées d’apprendre l’effet de leurs actions beaucoup plus efficacement dans les années à venir. Pour l’instant, le prototype mis au point par l’équipe simule au maximum 16 futurs simultanés, mais l’algorithme sur lequel il est basé peut en principe évoluer sans limite, ce qui ouvrira la voie à de nombreuses applications à mesure que la technologie utilisée par les chercheurs progressera.
En toute logique, la première application dont le prototype a fait la démonstration consistait à mesurer à quel point notre parti pris pour un choix spécifique fait le présent pouvait impacter l’avenir.

https://dailygeekshow.com/machine-quantique-futur/

Écrit par : L'enfoiré | 18/04/2019

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Le JT de 14 aout parle de Facebook qui reprend les conversations pour en faire de la pub
et des extraits de comptes que les banques ne donnent plus à ses clients

http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/01/1018608576.mp3

Écrit par : L'enfoiré | 16/08/2019

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