Bye-Bye démocratie? (13/10/2021)
La semaine dernière, je parlais de Angela Merkel qui a conservé son pouvoir en Allemagne pendant 16 ans et qui aurait pu continuer si elle n'avait pas voulu prendre sa retraite.
Cette semaine, en Belgique, la démocratie a été remise en question. En tirer une conclusion unique à toutes les sources des phénomènes pour y apporter une conclusion, devient difficile. Selon les résultats de cette consultation populaire, il en ressort des idées surprenantes et inquiétantes à la fois.
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Sondage de la RTBF
Un quart des Belges veulent la fin de notre démocratie parlementaire et voudrait la remplacer par un autre système.
Plus d’un citoyen sur trois trouve que notre société serait mieux gérée si le pouvoir était concentré dans les mains d’un seul leader fort.
Toujours est-il que 77% des citoyens considèrent la sociale- démocratie comme molle et peu efficace.
On parle d'un autre régime, celui que l'on pourrait appeler "despotisme éclairé".
Issu des idées des philosophes du xviiie siècle pendant la période des Lumières, il a été défendu par Voltaire, D'Alembert et les physiocrates. Cette doctrine politique combine, chez celui qui a le pouvoir, une force déterminée et une volonté progressiste.
Ils en deviennent des monarques de droit divin capables de prendre des décisions guidées par la seule raison.
La particratie est née avec la démocratie dans un système globalisé alors qu'elle devrait se retourner en même temps vers chaque individu en particulier qui a aussi son rôle à jouer pour convaincre.
Le problème de lenteur d'exécution de la démocratie provient de ses intervenants décideurs mais aussi de ses citoyens.
Il y a deux modèles de gouvernement qui s'affrontent, celui de l'Occident dit "démocratique" et de la Chine qui ne l'est pas.
En Belgique, il y a, en plus, une obligation de respect au principe qui dit "si on n'est pas d'accord sur tout, on n'est d'accord sur rien" et qui entrave l'installation d'un changement.
Les premières conclusions d’un sondage RTBF exclusif mené dans le cadre de l’opération "Bye-Bye, la démocratie ?" est éclairante sur l'évolution de notre démocratie, et révèlent nos mœurs et coutumes.
Mercredi, un "QR débat" de la RTBF a été organisé et a réuni politiciens et citoyens.
Son résumé était de dire que tous les gens présents à l'unanimité d'ouvrir la politique dans la transparence à tous avec si nécessaire une commission citoyenne qui demanderait au besoin, une réforme des institutions pour les simplifier pour effacer le fossé qui subsiste entre politiciens et citoyens.
N'est-ce pas un peu trop théorique ?
J'ai rassemblé les conclusions dans ce podcast intéressant parce que les Flamands y sont aussi avec leurs avis .
Je retiens la définition lyrique de la démocratie représentée par une rose qui perd des pétales et qu'il faut en permanence arroser pour qu'elle survive.
Le mot "démocratie" possède plus de 200 citations tellement il y a de concepts non partagés.
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Remise à niveau
Les gouvernements démocratiques sous forme de régime parlementaire ont donc du plomb dans l'aile et pas uniquement en Belgique d'ailleurs. Parfois, la population veut jouer à qui perd, gagne. Elle ne se rappelle même plus de ce que la démocratie contient de droits et de devoirs, de potentiels et de risques de la perdre.
A l'origine, la démocratie désigne un régime politique dans lequel tous les citoyens et donc le peuple, sont souverains et participent aux décisions politiques au moins par le vote.
Rien de plus, rien de moins.
C'est peut-être un peu mince si elle ne s'oblige pas à atteindre ses objectifs.
Cela parait très beau la séparation des pouvoirs comme clé de voûte d'une démocratie : le législatif, l'exécutif et le judiciaire.
Mais est-ce que cela tient vraiment sans liens plus intimes et plus secrets ?
On s'y oppose avec une gauche multiple et une droite multiple jusque dans les extrêmes et un centre qui ne rassure plus et rassemble des opinions de plus en plus controversées. Progressistes et conservateurs ne trouvent plus de chemin en commun dans un dédale de compromis jusqu'aux compromissions.
Avec les crises, les réactions deviennent plus extrémistes encore dans les discours et la grogne s'intercalent dans les débats de la population.
Remplaer la démocratie représentative par la démocratie participative, est-ce que cela fonctionne mieux ou encore moins bien ?
Le diable se cache derrière des détails.
Cette participation demande beaucoup d'investissement personnel en temps, en analyses et en compréhension des problèmes. Tellement d'autres préoccupations plus intéressantes s'immiscent dans les processus.
Le temps cadenassé par le métro, boulot, dodo ne permet plus d'ajouter beaucoup d'autres activités plus ludiques.
La liberté d'expression sur le Web a apporté une couche officieuse aux débats en traversant tout le spectre des citoyens de haut en bas de la hiérarchie et qui influencent peut-être plus encore des instincts primaires.
Le dernier Prix Nobel de la Paix récompense est attribué aux journalistes Maria Ressa et Dmitry Muratov qui prônent la liberté d'expression mais qui en sont souvent les victimes.
La démocratie prend tous les contrecoups de cette grogne. .
"La démocratie détient les germes de sa propre destruction" ai-je constaté.
Quelques sujets avaient déjà été évoqué dans des gènes névrosés.
"Les quatre saisons" laissaient déjà comprendre l'arrivée d'un clash entre politiciens et citoyens.
La démocratie manipulée par les médias en donnait des techniques.
Le caractère social, l'imagination.
Le radicalisme, une fausse réponse, si on prend en considération le passé de guerres sanglantes.
On en oublierait presque le pourquoi et l'intérêt à être élu, suite aux clivages nécessaires pour exister.
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Le pouvoir de l'argent domine la démocratie
Dans le débat, les mots "pouvoir d'achat" et "pouvoir de vente" n'ont jamais été cités et s'ils l'ont été, ils n'ont jamais été discutés.
Quand j'avais parlé de comment contrer le système, on m'avait répondu "le système est géré et influencé par l'argent".
Pour voir venir l'avenir sereinement, du coup, il faut avoir les moyens de sa politique et la politique de ses moyens.
Quand il n'y a plus d'adéquation entre les deux, cela ne finit toujours pas à coincer et à nuire les belles idées philosophiques établies par la logique et l'expérience.
Les coulisses du pouvoir faisaient mention de ce premier problème.
Les créatifs se sont rendu compte que pour progresser, il faut des outils à échanger. Les vendeurs les font suivre par une répartition jusqu'aux clients qui doivent, eux, se débrouiller instinctivement, pour déterminer leur bien ou mal fondé quitte à créer des dettes.
Je me souviens d'une remarque d'un commentateur qui disait "à qui faudrait-il rembourser des dettes quand tous les pays sont endettés ? Il n'y aurait plus de dettes.".
"La dette est une vue de l’esprit à un moment donné. Être endetté n’est pas grave en soi si à l’origine, c’est un investissement pour apporter une amélioration à la vie de tous les jours. Il y a des dettes fictives, des dettes publiques au niveau des Etats qui doivent prouver leurs potentiels de réaction et des dettes personnelles. Wiki est assez complet pour l’expliquer ", répondis-je.
Dans les échanges, qui se font avec de l'argent qui n'est en fait qu'une facilité apportée au troc, la confiance doit exister. Sans elle, pas d'échange et pas d'économie. La faillite vient quand la confiance disparaît et que la monnaie d'échange ne vaut plus rien comme au Venezuela actuellement. Il y a des pays qui progressent avec des dettes gigantesques et qui, pourtant, n'effraient pas les autres comme le Japon avec une dette publique importante mais qui, dans l'ombre, cache une épargne qui ne l'est pas moins et en plus, on y aime le travail et la durée des vacances sont minimales (cf 'Irrésistible printemps japonais').
La semaine dernière, j'avais mentionné intentionnellement les PIB par personne dans les pays voisins de l'Allemagne qui se situe en bonne place (LUX:115.873$; CH: 86.601$, NL:52.304$, AUS:48.105$, D:45.723$, B:44.594$, F:38.625$, I:31.676$, PL:15.656,$).
L'extrême-droite et même l'extrême-gauche fleurissent et s'introduisent dans les brèches d'une démocratie mal comprise, via le nationalisme, le séparatisme, le souverainisme, les différences de cultures, de religions et de couleurs de peau.
L'œil dans le rétro, Pierre Marlet rappelle l'histoire de l'extrême-droite et les processus pour y arriver.
Faire de la politique progressiste dans ce cas est un véritable challenge.
Les politiciens ont peur qu'une de leurs phrases, qu'un mot qui finit par se retourner contre eux.
Depuis ce weekend. Sept partis se réunissent pour établir les budgets de 2022 en sortant du gouvernement d'urgence liés aux catastrophes et au Covid, ils espèrent trouver dans une croissance qui se manifeste quelques milliards dans les fonds de tiroirs. Cela se discute en secret. Le fameux rapport prix-performance est toujours en arrière-garde avec comme projets, le climat, le développement durable et la numérisation.
Les "Coulisses du Pouvoir" l'explique mieux que je ne pourrais le faire.
Le management à l'échelle d'un pays demanderait une consultation et des débats entre politiciens et citoyens au sujet des stratégies et des objectifs à atteindre dans un timing plus ou moins précis. Mais c'est du rêve ou du cauchemar en fonction de son humeur du jour.
En septembre, était fêté les 50 ans de l'association Wallonie-Bruxelles après sa création. La constatation est qu'elle est toujours en ballotage en manque de moyens financiers. La langue partagée ne fait pas toute la chanson.
A 84 ans, un vieux de la vieille en politique belge, Herman De Croo. a placé pour son fils, Alexander De Croo sur cette première marche. Depuis un an, ce dernier exerce le rôle de Premier ministre après des tractations à rallonges avec d'autres partis pour former ce qu'on a appelé "gouvernement Vivaldi".
Herman De Croo. a probablement été un autre bon professeur pour son fils, Alexander De Croo qui depuis un an, exerce le rôle de Premier ministre après des tractations à rallonges avec d'autres partis pour former ce qu'on appelé le gouvernement "Vivaldi".
Le Vif avait une première page qui disait "Le gouvernement De Croo. Un an de voyage immobile".
Ici, rien à voir avec le culte de la personnalité qui intervient dans des pays dictatoriaux et dont il faut tirer un peu de bons côtés et surtout de mauvais en même temps.
Dans un article, il est dit: "Le voyage immobile connaît des turbulences avec des accords édifiants de platitude, disharmonieux sous le concept de pays solidaire, prospère, durable, sécurisé, coopératif avec une voix forte en Europe et dans le monde jusqu'en 2024. [...] Si le système n'a pas bougé, les gens qui le combinent bien et la machine semble tourner alors que les gens d'avant pensent que le système empêche la machine de tourner avec des symptômes de grippage à travailler plus pour travailler moins.[...] Être en faveur des uns se fait aux dépens des autres et vice-versa. Les contraintes rendent solidaires quand il n'y a rien à faire d'autre en croyant avoir fait quelque chose en étant heureux. [...] Sous la pandémie les codes se sont serrés et ont cogné quelques mâchoires. La peur de perdre des points anime bien plus la majorité que l'envie de gagner".
Comment la démocratie peut résister quand un gouvernement explose ou implose, si l'on en croit son auteur ?
Angela Merkel l'a compris pour rester au pouvoir : le statu quo.
Les populations sont rarement progressistes.
La volonté de changement n'est qu'apparente et théorique face aux habitudes malgré le protocole du vedettariat et de la séduction.
Plaire avec une belle gueule, du charisme et faire penser à des miracles, c'est bon pour les élections.
Les anonymes le restent et sont rarement invités par les médias pour exprimer leur ressenti. Les célébrités, elles, font de la pub pour leur propre business en se faisant voir sous leur meilleur profil.
Dans les réseaux sociaux, les anonymes se vengent parfois de ne pas être consultés et pour dire qu'il faut tout changer pour que cela aille mieux. Ils pensent pouvoir y arriver et butent sur les plis du tapis.
Quand la démocratie vacille sur ses bases, elle passe d'abord par la démocrature le stade avant de sombrer irrémédiablement dans la dictature dans une régime totalitaire qui a besoin de la propagande pour exister, qui sait qu'il a un destin de sortir le peuple des injustices et que pour y parvenir il faut user du mensonge que la population va suivre les yeux fermés.
Attention, pour exercer la justice, la police fait peur d'après le cactus
La différence quand on devient-on dictateur, on devient un tyran avec tous les droits et plus de devoirs.
Alors, quels sont les raisons du rejet de la démocratie ?
Probablement essentiellement à la corruption, à la confiance qui s'effrite très vite de manière inconsidérée en s'écartant des réalités.
Est-ce Liberté, égalité, identité, pour arriver à destination, alors ?
Jusqu'où faut-il aller pour connaître son identité.
Jusqu'à sa cellule familiale ?
Ce n'est même pas sûr que la famille reste le pont d'ancrage dans le calme, le luxe et la prospérité, le jour du partage de l'héritage familial.
Les incertitudes et l'inquiétude des gens vis-à-vis de demain reprennent le dessus.
Puisque c'est le centième anniversaire de la naissance de Yves Montand, petit retour très intéressant sur la situation de 1984...
"Vive la crise" présenté par Yves Montand
En ce temps-là, on imaginait la situation prospective trente ans après, en 2014, avec une croissance zéro, sans filet, avec la démocratie qui se porte mal...
Avant cela, comme intermède, vint la crise financière de 2008, non ?
Aujourd'hui, 2021, une question : parle-t-on de 1984 ou 2021 ?
Les noms propres et les sociétés ont changé, mais les idées fondamentales sont restées identiques.
Un retour en 2007 avec un certain Yannick Noah qui prépare la suite de l'histoire écologique, "Aux arbres cytoyens"...
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La pub dans les processus humains.
Pour influencer les citoyens, on est passé dans le monde des relations publiques à celui du des armes de communication sans frontières géographiques propices aux conflits en associant des slogans de séduction pour influencer les masses sensibilisées par le goût du luxe et du bien-être artificiel avec la démocratie au plus offrant mais fantasmé par la pub.
"Si à 50 ans on n'a pas une Rolex, c'est qu'on a raté sa vie"". dit la pub.
Les fadaises de ce style sont nombreuses quand on se rappelle qu'une montre sert surtout à voir l'heure, rien de plus et rien de moins.
Mais il faut impressionner l'autre et montrer que l'indispensable qui ne l'est pas vraiment, est tendance surtout quand on se rappelle les petits cadeaux de 100.000 à 200.000 euros qui entretiennent l'amitié, chez les footballeurs belges.
Pour arriver à ses fins, il faut donner une image mirifique qui impressionne au premier regard au niveau dur du hardware et laisser le niveau mou du software pour plus tard quand le hardware est en place.
Les partis politiques ont dépensé 80,6 millions d’euros en 2020 et trois quarts de ce montant est payée par l’État, notamment grâce aux votes.
L’analyse des rapports financiers, et plus particulièrement par la comptabilité analytique, permet de voir si la stratégie est en rapport avec les budgets et si les investissements sont à la hauteur des volontés de réalisations. Alors que les dépenses des partis tournent autour des 95 millions en 2018-2019, elles n’étaient “que” de 80,6 millions d’euros en 2020, le montant le plus bas depuis 2001. Les dépenses de l’ensemble des partis fluctuent autour du même niveau depuis au moins 2005 avec une tendance à la baisse. Les charges de fonctionnaires représentent environ 30% des dépenses. Les partis de gauche dépensent plus que ceux de droite. Les différences vont jusqu'à enregistrer un rapport d'un quinzième.
Tous ces coûts mis ensemble montrent que les frais liés à l'organisation représentent 61,8% en moyenne des dépenses des partis.
L'ASBL "CIVICS" veut réconcilier les jeunes avec la démocratie, .
Tant mieux, mais elle aura ainsi un CDI à long terme.
L'argent-monnaie subit une évolution vers le transactionnel et la virtualisation des biens matériels tout en limitant au maximum l'argent-noir.
Les fonds de roulement s'épuisent comment voulez-vous que des fonds de réserves grossissent ?
Mais la cupidité reste quelque chose qui, dans le monde du vivant, n'existe que chez l'homme.
En attendant, cette semaine, les Pandora Papers se sont ajoutés à la panoplie des Papers qui avaient déjà plusieurs versions
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Les coulisses du pouvoir y répondent avec sérieux
et un cactus avec humour .
"Ne faut-il rien céder ce qui a été acquis d'une dure lutte dans la compétition", se disent les riches et les classes moyennes. Des taxes sur les taxes (accises), n'est-ce pas beurrer la situation alors qu'initialement, la TVA est une taxe sur la valeur ajoutée ?
Les super-riches préfèrent faire des dons à des associations dont ils connaissent les activités plutôt que de diluer leurs dons dans des taxes dont ils ne connaissent pas les destinataires.
Dès lors, un paradis fiscal disparaît et deux autres naissent en même temps.
Et c'est la "culture woke" de l'intello qui avec deux mains gauches prend la place
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Réflexions du Miroir
Dans mon évocation des vacances Magritte, il y avait de cela.
La restauration de l'hôtel lui avait donné une 5ème étoile. L'immobilier et l'infrastructure étaient parfaites. Restait l'augmentation de personnel dans l'opération de séduction des clients pour garder la convivialité dans la transformation. Le "do it yourself" était toujours de rigueur plutôt qu'un service à table. Le surréalisme de Magritte est toujours d'actualité. Les contraintes physiques sur notre belle planète bleue peuvent encore attendre la machine à créer de l'argent puisqu'un homme en veut toujours plus.
Parfois, le "nice to have" se réfugie dans des dépenses de prestige qui n'a plus rien à voir avec l'essentiel et le fonctionnel. Pas étonnant que la droite investit plus dans l'immobilier que dans les hommes et le social. L'immobilier ne change pas à par la vétusté et par la dépréciation du matériel.
Aux études, on apprend un métier et, par-là, comment gagner de l'argent, mais pas comment le conserver pour un futur dont on ne sait rien ?
La population a considérablement vieilli dans nos pays occidentaux.
Aujourd'hui, les mots "progressiste" et "raison", n'ont plus la cote.
Chez les plus âgés, il y a même une impression de déglingue qui en ressort et engendre des rebonds de conservatisme. Pour eux, le progrès va trop vite sans pouvoir suivre le rythme qu'impose ce progrès. Ils disent que c'était mieux avant... Au bon vieux temps, quoi...
Stratégies et objectifs en deviennent personnelles pour obtenir les siens.
Tout le monde le dit d'ailleurs.
Objectif bonheur révèle l’incroyable succès du développement personnel qui apporte un pouvoir que nous avons sur nos émotions et sur nos ressources insoupçonnées qui se cachent en nous.
Effet de mode ou symptôme d’une société en perte de repères ?
L'économie ne parvient plus à augmenter le bien-être et l'essentiel ne suffit plus. La pub s'en est chargée.
Le problème, c'est que le serpent se mord souvent la queue.
Faudrait-il un paradigme plus drastique encore à la démocratie dans laquelle tout le monde se retrouverait, aurait la même formation et les mêmes idées pour gérer le monde ?
Nous restons encore tous différents avec des particularismes évidents même si Malgré la marche vers l'égalité est irréversible comme écrit Thomas Piketty.
"La libre circulation des capitaux, devenue une sorte de droit sacré, est une machine à faire détester la mondialisation", écrit-il dans son livre "Une brève histoire de l'égalité".
Il entre en contradiction avec les idées européennes en disant "Le souverainisme universaliste est une idée que chaque communauté politique doit pouvoir fixer ses propres conditions à la poursuite des échanges avec le reste du monde".
Il oublie que produire est très dépendant de l'environnement où on vit et que de ce fait, on ne peut pas produire n'importe quoi, n'importe où.
Le plus amusant est de constater que ceux qui font partie de l'Europe veulent en sortir et ceux qui n'en sont pas veulent y entrer. Le Brexit a ouvert un fossé, un "gap".
Tout récemment, c'est la Pologne qui pense à un PolExit . Elle n'avait pas lu que des articles de la Constitution européenne surpassaient celle d'un Etat en les signant.
Les multinationales n'ont pas de frontières nationales et ont compris l'intérêt qu'elles pouvaient en tirer dans l'aventure.
Aujourd'hui, la mondialisation est pointée comme la source de tous les problèmes du monde. Elle donne l'impression aux citoyens de faire partie d'un monde dans lequel on ne fait plus partie comme des "jouets" entre les mains de politiciens. C'est ainsi que des fossés se sont creusés avec eux. Le malheur, c'est qu'on produit parfois bien plus aujourd'hui qu'on ne peut plus assumer la consommation localement avec l'aide des machines.
Ne plus exporter, c'est finir par imploser.
Pour répondre aux problèmes politiques, on arrive parfois à parler de gouvernance augmentée par ordinateur. Au Japon, il existe un parti géré de cette manière.
Nous ne sommes pas des robots avec des plaquettes uniformisées de processeurs et mémoires dans la tête mais certains y pensent très certainement pour uniformiser un chaos d'idéologies.
Si l'ordinateur donne parfois des idées constructives, il renforce aussi les consciences en réseaux neuronales.
Peur des ordinateurs et de l'intelligence artificielle ?
Vont-ils nous dépasser ?
Oui, mais non, pas d'eux mais des gens qui programment les algorithmes qu'ils renferment. Un ordinateur n'est pas susceptible d'influencer et de trouver un intérêt personnel lié à l'argent. Programmé avec une stratégie purement quantique en associant l'analogie de l'homme avec le numérique, cela pourrait bien marcher.
Parler d'économie, d'argent et de pouvoir, c'est prendre en considération les failles du système et celles des hommes eux-mêmes.
Les entreprises ont rebondi après le Covid, la demande en énergie a décuplé.
Résultat des courses, le prix de l'énergie gonfle d'autant. La plume de Thomas Gunzig, parle de la peur de l'augmentation des prix et du bruit de fond qui fait partie de la politique .
Mais, il suffit de patienter quelque peu...
Tout de suite après, selon une étude, on prévoit un rebond prévu des défaillances d'entreprises en 2022, et donc une diminution des prix de l'énergie pour le printemps (situation en septembre).
Tout ne se tient pas par la barbichette dans un balancier de la Bourse qui a quelques extrasystoles avec un cœur mal équilibré à gauche et à droite.
Retour en 2012 avec Lucchini et Laurent Gerra...
Les coulisses du pouvoir, une nouvelle fois, rappellent que le système belge répond à des augmentations de l'énergie par un index automatique en Belgique .
La meilleure énergie reste celle que l'on ne consomme pas et que l'on produit à la force des muscles. Réduire les consommations inutiles.
Les pays les plus heureux ne sont pas toujours ceux que l'on pense et puis, cela varie tous les ans en fonction de la conjoncture et des aléas auxquels ils sont confrontés.
Lundi, le JT parlait du Costa Rica où la population vit toujours alerte à 100 ans loin de la vie trépidante alors qu'en nos pays occidentaux, la santé mentale est devenu un problème où les instituts psychiatriques ne désemplissent pas même en étant sujet à la misophonie.
La politique, la sociologie et la psychologie interviennent ainsi dans un concert cacophonique car l'objectivité sans subjectivité n'existe pas.
La démocratie n'a pas encore compris qu'on entre dans un autre paradigme plus écologique.
L'énergie de la fission nucléaire a toujours été synonyme du mot "nucléaire".
Le soleil sur Terre: la fusion nucléaire, on n'y pense même plus.
"Pour contrer le système, philosopher sportivement" ai-je écrit.
Pour le confirmer, dans la semaine, j'apprenais par l'envoyé spécial de la RTBF que l'Italie qui était au plus bas en 2018, en constatant une situation de bordel, s'est redressée après le Covid, grâce aux résultats sportifs et à la musique .
"Le pain et les jeux" ("panem at circenses") est un moyen vieux comme le monde, pour oublier les problèmes en changeant les idées temporairement et de calmer le jeu des affres de la gestion politique dont on parle plus longuement dans la sociologie et la psychologie.
Ce dimanche, le physicien Pasquale Nardonne arrivait avec les résultats d'une enquête qui va plus loin dans nos instincts darwiniens en disant que le comportement pro-écolo arriverait mieux à supporter l'autre et à vivre mieux ensemble.
En 2019 déjà, dans un papier intitulé "Tout cela au nom de Darwin", il parlait des restructurations de nos sociétés qui n'avaient rien de scientifique mais n'étaient qu'idéologiques.
L'EcoNoLogie n'a pas encore atteint son rythme de croisière et dimanche, c'était le but de la manifestation pour le climat qui ressortira à la COP26 à Glasgow.
C'est après coup, que le politique se rend compte que l'inondation de juillet n'avait pas de gestion des risques. Dans le privé, cela s'appelle le "Disaster plan".
Je dois avouer que j'ai toujours eu un problème avec les sciences humaines qui recherchent des gagnants et des perdants, des forts et des faibles qu'il faut soutenir ou ponctionner.
Une espèce de perte de confiance s'en est suivie que je supporte grâce à la philosophie, à l'éclectisme et à l'humour.
Dans le monde du vivant, en dehors des hommes, il n'y a que des prédateurs et des proies. Chacun vit en fonction de ce qu'il trouve sur son chemin pour vivre.
L'homme a changé la donne et est passé à "humanisme" pour faire bonne figure.
J'ai appris que juste après les études, en une dizaine d'années, dans notre société humaine, il fallait construire son présent et son avenir. Après cela, on entre sur des listes noires pour finir par revenir à la case départ quand c'est encore possible ou de tenir contre vents et marrées quand l'ancienneté et l'expérience commence à couter trop cher aux yeux de certains.
Tomber dans le trou de la politique et c'est s'obliger à énormément de sacrifices dans un calcul de quadrature du cercle. Les hommes sont trop difficiles à comprendre dès qu'ils expriment leurs trop nombreuses idées souvent trop versatiles.
Comme le dit Christoph Waltz dans "Méchant bien charmant": J'aime rencontrer des gens surtout quand c'est temporaire. J'aime m'effacer derrière le rôle à jouer. Je suis nul en improvisation. On ne peut être bon que quand cela sonne juste. Je n'ai pas peur de rater quelque chose mai, j'ai toujours saisi les occasions qui m'étaient offertes. Il faut avoir une confiance en soi sans en abuser.".
J'ai la même conception de vie. Comme je l'écrivais à quelqu'un, "il y a un temps pour signer 'L'enfoiré' et un autre pour ne plus signer que par 'Allusion'. Je suis lent et j'ai mis 15 ans pour arriver à la transformation".
Maîtres des outils de la communication, se parler, dialoguer, débattre, partager les idées contraires et les stratégies diverses de l'intelligence, n'est pas encore compris comme la panacée de la sagesse sans magouiller.
Mardi, le brouillon de GuiHome parlait de gentillesse .
C'est pour cela que je termine par Lucile Poulain qui venait à la radio pour parler du livre "De la gentillesse et du courage" de Gianrico Carofiglio.
Ce livre propose de s'habituer à l'idée que nous passons une grande partie de notre vie à avoir tort. Nous prenons tous de bonnes et de mauvaises décisions. La véritable différence se situe entre ceux qui sont prêts à reconnaître les mauvaises et à les rectifier, et ceux qui cherchent à les dissimuler, à eux-mêmes et aux autres. Faire preuve de gentillesse et de courage, c'est assumer la responsabilité de nos actions et de notre être au monde.
Le nouveau film "Les intranquilles" me semble une bonne fin avec la confiance bipolaire.
Allusion
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13/10/2021: Le cactus Négociation au bout de la nuit du gouvernement (minute par minute)
Il fallait peut-être un gardien de nuit du style de Cabrel...
14/10/2021: "Nous tous", un documentaire qui vient à propos
Le cactus remarque que les célibataires sont désormais les plus taxés.
15/10/2021: Dansons "Santé" le nouveau Stromae
"Squide game" le massacre de la démocratie. Le principe de la série est simple. Des joueurs participent à un jeu. Mais, en vrai, s'ils perdent ils meurent et ce, jusqu'à ce qu'il n’en reste plus qu’un. Les joueurs signent un contrat social qui intègre la possibilité de vote tout en donnant du pouvoir à l'Etat. Ils peuvent choisir, à la majorité, d'arrêter le jeu. La série plonge au fondement de la théorie politique moderne. Face à l'insécurité, l'Individu accepte un contrat social qui donne du pouvoir à l’Etat mais qui donne également naissance aux libertés civiques. L’Homme en devient un loup pour l’Homme que dans l’état de Nature. La démocratie ne peut se construire sans liberté réelle qui doit intervenir sur les conditions matérielles. C’était le grand moteur de l’après-guerre pour une politique de croissance et de plein emploi. Centrées sur l’idée de la compétition entre les humains plutôt que sur l’idée d’égalité, elles se consument et conduisent à la destruction de l’humanité.
19/10/2021: Une histoire d'amour en politique, ça vous chante
20/10/2021: 25 ans depuis la marche blanche à la suite de l'affaire Dutroux
28/10/2021: "Belgiques"
Laurent Demoulin en parle
8/11/2021: Un coup d'œil dans le rétro avec le rappel du 8 novembre 1923, un jour qui a vu Hitler poussé dans les cordes, près un putsch raté
Commentaires
Le gouvernement s’engage à nouveau sur la voie d’un rétablissement budgétaire»
Mardi après-midi, le Premier ministre Alexander De Croo était attendu à 14h30 devant la Chambre pour sa déclaration de politique générale ainsi que pour présenter le contenu définitif de l’accord sur le budge 2022 conclu au petit matin.
Le Premier ministre a ouvert la séance en mentionnant la crise sanitaire. « Grâce à un solide train de mesures de soutien, nous avons fait de notre mieux pour préserver notre tissu économique. Tous niveaux de pouvoir confondus, nous avons dégagé une somme de presque 35 milliards pour protéger autant que possible nos familles et nos entreprises. » Il souligne les efforts fournis. « Nous n’avons laissé personne de côté. Jamais la solidarité n’a été aussi tangible, concrète. Nos efforts ont permis de limiter le nombre de faillites d’entreprises et de contenir la hausse du chômage. Ils nous permettent aujourd’hui de récupérer plus rapidement. »
Sur la voie d’un rétablissement budgétaire après la crise
Pour Alexander De Croo, la Belgique va au-delà des demandes de l’Europe en matière de Pacte de stabilité et de croissance. « Comme nous l’avons déjà communiqué à la Commission européenne dans le programme de stabilité, le gouvernement s’engage à nouveau sur la voie d’un rétablissement budgétaire. Nous produirons un effort budgétaire net de 0,4 % du PIB l’an prochain. » Par ailleurs, la Belgique va dégager une marge supplémentaire de près de 400 millions d’euros pour l’aide de politiques structurelles nouvelles.
Lutte contre la fraude fiscale et sociale, taxe comptes-titres, incapacité de travail… l’accord du budget 2022 prend en compte un ensemble d’éléments qui permettront de rétablir un budget d’après crise.
De nouveaux emplois
La nouvelle croissance rime avec de nouveaux emplois. « Cet été, nous avons recensé en Belgique quelque 172.000 emplois vacants. Or, parallèlement, les groupes vulnérables aspirent à davantage d’opportunités. » Le gouvernement propose une « approche globale » en donnant la possibilité aux travailleurs au chômage de cumuler une partie de leur allocation de chômage avec leurs premiers salaires s’ils retrouvent un emploi dans un secteur en pénurie. Par ailleurs, le salaire minimum augmentera conformément aux dispositions de l’accord social dès le 1er avril.
Investissements majeurs
La Belgique souhaite investir et mettre l’accent sur deux transitions essentielles pour « notre époque » : la numérisation et la durabilité. Parmi les principaux projets d’investissement ; compétences numériques, intelligence artificielle, cybersécurité et 5G. « Nous investissons également dans la recherche sur la 6G afin que notre pays puisse contribuer à établir les normes pour les connexions rapides du futur. »
Les réussites de Tax-on-Web et de My Pension, de véritables succes stories, seront étendues à d’autres services. « Dans le même temps, nous nous assurons que chacun peut suivre cette évolution », souligne le Premier ministre qui souhaite réduire la fracture numérique.
Changement climatique
Le gouvernement souhaite faire plus en matière de transition écologique. Il souligne le rôle primordial de la Belgique pour le futur, notamment grâce à la production de voitures électriques, qui créent de nouveaux emplois, mais aussi grâce à la production d’acier « vert ».
« Tout le monde sait bien qu’un petit pays comme le nôtre, avec ses seuls efforts climatiques, est incapable de sauver le monde entier. En revanche, nos technologies belges, elles, changeront le monde. Si nous adoptons cette approche, la politique climatique ne sera pas un coût, un poste dans un budget, mais une opportunité de croissance nouvelle. »
Energie
« Le gouvernement a décidé de prolonger le tarif social jusqu’après l’hiver et nous prévoyons également une réduction hivernale de 80 euros pour les plus vulnérables. » En outre, « à partir du 1er janvier 2022, nous introduirons une norme énergétique. Nous simplifions la facture d’énergie et transformons les taxes fédérales et les obligations de service public en accises afin de mieux maîtriser les augmentations ».
Actualiser la vision stratégique de la Défense
« Notre vision stratégique en matière de Défense date de 2016. Cela ne semble pas si lointain pourtant, en cinq ans, la situation géostratégique a fortement évolué. Le gouvernement va donc actualiser la vision stratégique de la Défense, avec pour horizon l’année 2030. » Il souligne entre autres la lutte contre le crime organisé et se veut ferme quant aux peines d’emprisonnement.
Alexander De Croo a conclu son discours en demandant la confiance de la Chambre. Ce vote interviendra jeudi, après le débat parlementaire sur la déclaration prévu demain/mercredi à 10 h.
https://www.lesoir.be/400101/article/2021-10-12/alexander-de-croo-le-gouvernement-sengage-nouveau-sur-la-voie-dun-retablissement
Écrit par : Allusion | 12/10/2021
Commémoration des 25 ans de la Marche blanche suite à l'affaire Dutroux
20 octobre 1996. 300.000 personnes dans cette marche.
Un pouvoir des parents qui aurait pu générer une révolution.
Pourquoi cela n'avait été pas le cas?
Les parents ne voulaient pas de violence.
Puis, surtout, il n'existait pas encore Internet.
La liberté d'expression a un effet pervers par sa diffusion et son influence.
https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_il-y-a-25-ans-la-marche-blanche-rassemblait-plus-de-300-000-personnes-a-bruxelles?id=10863212&utm_campaign=RTBFinfo%2020-10-2021&utm_medium=email&utm_source=newsletter
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/02/2767330994.mp3
Écrit par : Allusion | 20/10/2021
Démocratie en Question(s) : La démocratie est-elle adaptée à l’urgence climatique ? (Saison 2)
Trois ans après une première série consacrée à la crise de nos démocraties, Arnaud Ruyssen remet le couvert. " Démocratie en Question(s) – Saison 2 " est conçue comme un road-movie démocratique, à la rencontre de citoyens, d’experts, de politiques. Qui sont ceux qui ne croient plus à la démocratie ? Certains ont-ils raison de considérer que leur voix ne compte pas ? Les États sont-ils sous la coupe des multinationales ? Quelle citoyenneté construit-on pour demain ? Une série réalisée par Arnaud Ruyssen et Jonathan Remy, avec le soutien du Fonds pour le Journalisme.
Episode 1: Prologue, 3 ans plus tard
Il y a 3 ans, sortait la première saison de Démocratie en Question(s). En guise de prologue à cette 2e saison, Arnaud Ruyssen est retourné voir certains grands témoins qui l‘avaient accompagné pendant la première saison. Retour avec eux sur quelques grands évènements marquants de ces 3 années. La défaite de Trump aux USA, l’extrême difficulté à former un gouvernement chez nous, la montée continue des partis d’extrême droite et la gestion de la crise Covid. Avec Benoît Frydman, Vincent de Coorebyter, Caroline Sägesser et David Van Reybrouck.
Episode 2: Ceux qui n’y croient déjà plus…
Au fil des ans, la méfiance gagne du terrain. Pour certain.e.s, il faut même parler de défiance totale, voire de conspirationnisme. Qui sont ceux qui ne croient plus du tout à notre système politique et démocratique ? Pourquoi ont-ils basculé ? Comment recréer les conditions de la confiance ? Enquête chez les " coronasceptiques " et les " anti-système ", avec Jacinthe Mazzochetti (UCL) et Edgar Szoc.
Episode 3: Les oubliés de la démocratie
Il y a, dans notre démocratie, des voix que l’on n’entend jamais. Des invisibles. Non seulement ils peinent à se faire entendre, mais ils et elles sont aussi très peu pris.es en compte dans les choix politiques. Enquête et reportage chez ces " oubliés de la démocratie ", dans les Marolles, à Cureghem… Avec Céline Nieuwenhuys (Fédération des services sociaux) et Vincent de Coorebyter (ULB)
Episode 4: Un parlement endormi ?
C’est une phrase que l’on a souvent entendue durant cette crise COVID. Le parlement se serait endormi, laissant tout pouvoir au gouvernement. On a voulu savoir ce qu’il en était vraiment. Reportage dans les coulisses de la Chambre. Découverte aussi d’initiatives visant à reconnecter le parlement et les citoyens (commissions mixtes citoyens-députés à Bruxelles). Le pouvoir législatif est-il sur la touche ? Faut-il le revoir en profondeur ? Avec Caroline Sägesser (CRISP).
Episode 5: Big Pharma, plus fort que les États ?
Ils apparaissent comme " le grand méchant loup ", qui feraient passer les profits avant les enjeux de santé. Alors on a voulu y voir clair. Comprendre le pouvoir réel des ces entreprises multinationales face aux États. Comment fonctionnent les lobbys ? Réponses avec Jean Hermesse (expert en soins de santé), Martin Pigeon (qui a étudié le pouvoir des lobbys européens pendant 13 ans) et Nathalie Moll (directrice de l’EFPIA – fédération européenne de l’industrie pharmaceutique)
Episode 6: L’État et nos données : la tentation Big Brother ?
De plus en plus, et dans tous les aspects de notre vie, nous semons des données qui en disent beaucoup sur nous. Elles sont utilisées par les géants du numérique, mais aussi par l’État. Est-ce un + pour le citoyen ? Un moyen de rendre les services publics plus efficaces ? Ou bien est-ce un moyen de nous fliquer sans que l’on s’en rende compte ? Voyage au cœur de la galaxie complexe de la gestion de nos données par l’État avec Élise Degrave (Unamur) et Frank Robben (patron de la Smals).
Episode 7: La démocratie est-elle adaptée à l’urgence climatique ?
C’est l’enjeu majeur qui se profile pour les années qui viennent. Dans les dix ans à venir, il va falloir faire 7 fois plus d’efforts que ce que l’on en a fait durant les 30 dernières années. Est-ce vraiment possible ? Le tempo de la démocratie est-il vraiment compatible avec cet enjeu ? Qui sont ceux qui croient qu’il faut changer de système politique pour y parvenir ? Plongée dans les enjeux de " la mère de toute les batailles ", avec François Massonnet (UCL), Edwin Zaccai (ULB) et David Van Reybrouck.
Episode 8: Pour que la démocratie fasse à nouveau rêver…
Pour ce dernier épisode, Arnaud Ruyssen est allé voir les citoyens de demain. Ceux qui n’ont pas encore le droit de vote. Comment sont-ils préparés aux enjeux de philosophie et de citoyenneté ? Comment voient-ils la démocratie ? Quelles sont leurs attentes vis-à-vis de celle-ci ? Et, plus fondamentalement, comment s’y prendre pour que la démocratie fasse à nouveau rêver ?
https://www.rtbf.be/lapremiere/emissions/detail_les-podcasts-de-la-premiere/accueil/article_democratie-en-question-s-la-democratie-est-elle-adaptee-a-l-urgence-climatique-saison-2?id=10795790&programId=16224&utm_campaign=LaPremiere%2026-10-2021&utm_medium=email&utm_source=newsletter
Écrit par : Allusion | 29/10/2021
Tout à fait d'accord. Freud rêvait d'une royanté éclairée (avec PHIL ou FIL on fil on file plutôt du mauvais coton. Mon modèle est le Maât.... Maât1 est, dans la mythologie égyptienne, la déesse de l'harmonie cosmique, de la rectitude (ou conduite morale), de l'ordre et de l'équilibre du monde, de l'équité, de la paix, de la vérité et de la justice.
Elle personnifie l'ensemble de ces concepts, et à ce titre elle est la régulatrice de la course des astres, des saisons, ainsi que des actions des mortels et des dieux qui ont fait surgir l'ordre du chaos au moment de la création. Elle est l'antithèse de l'isfet (le chaos, l'injustice, le désordre social, la corruption, la violence, la malveillance...).
« Maât est également la fille de Rê (dieu solaire et créateur) et compagne de Thot (dieu érudit ayant enseigné les hiéroglyphes aux hommes)2. »
Écrit par : Mélusine 888 | 05/11/2021
Le soi-disant freudo-marxisme de Freud était une connerie. Il était pourtant clair: mon Dieu, c'est le verbe, ami de Jung, il se référait à THOT HERMES TRISMEGISTE bien sûr. Dans son Moïse, Freud dit clairement (pour un athée....) que Möise descend d'EGYPTE. Dans son livre: les vertus démocratique: Raymond Queneau décrit parfaitement le MAAT. Si Dieu existe, il réinventerait… la démocratie - LeSoir.behttps://www.lesoir.be › node › comments
Relire: Les vertus démocratiques de Raymond Queneau qui remet le Maât à l'honneur. Verticalité avec ascenseur social. Un élu incompétent doit pouvoir être ...éjecté. Queneau était dans le GNOSE
Écrit par : Mélusine 888 | 05/11/2021
revoir l'excellente série: Nicolas le FLOCH....https://www.youtube.com/results?search_query=nicolas+le+floch%3A+rose-croix+et+francs+ma%C3%A7ons.+bagarre
Écrit par : Mélusine 888 | 05/11/2021
Quelle est la différence entre le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel ?
Le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel sont tous les deux garants du respect de la Constitution française. Néanmoins, le Conseil constitutionnel est chargé d'examiner la constitutionnalité des lois tandis que le Conseil d'État vérifie la régularité des actes administratifs.
Institution récente, le Conseil constitutionnel a été instauré par la Constitution de la Cinquième République du 4 octobre 1958. À l’inverse, le Conseil d’État a été instauré par l’article 52 de la Constitution du 22 frimaire an VIII, soit le 13 décembre 1799. Il avait, à l’époque, une mission administrative qui consistait participer à la rédaction de certains textes importants et une mission contentieuse dans le cadre de laquelle il examinait les litiges liés à l’administration.
Le Conseil constitutionnel : un « Conseil des Sages »
Le président de l’Assemblée nationale, le président du Sénat et le président de la République vont nommer 9 membres, qui vont constituer le Conseil constitutionnel, accompagnés des anciens présidents de la République. Le Conseil constitutionnel examine la conformité des lois avec la Constitution, mais il a également d’autres responsabilités. Par exemple, les mesures prises dans le cadre de l’article 16 de la Constitution – qui permet de donner des pouvoirs étendus au président de la République en cas de crise – doivent être examinées par le Conseil. De plus, le Conseil constitutionnel veille à la régularité des consultations électorales. Le contrôle de constitutionnalité ne se limite pas à la vérification de la conformité à la seule Constitution, mais aussi au « bloc de constitutionnalité » qui fait référence, notamment, à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et au préambule de la Constitution de 1946.
Le Conseil d’État : une juridiction administrative
À la différence du Conseil constitutionnel, le Conseil d’État est une juridiction. Il joue le rôle de juge de cassation des arrêts des cours administratives d’appel. En premier et dernier ressort, il juge certains litiges, dont les recours pour excès de pouvoir formulés contre les décrets. Il a également un rôle de conseiller : il est, par exemple, saisi des projets de loi avant leur passage en Conseil des ministres. Il connaît également des projets d’ordonnance comme le prévoit l’article 38 de la Constitution ainsi que des projets de décrets les plus importants qualifiés de « décrets en Conseil d’État ». Le Gouvernement peut saisir le Conseil d’État pour qu’il rende un avis sur tout autre texte réglementaire ou sur une question juridique particulière.
https://www.caminteresse.fr/economie-societe/quelle-est-la-difference-entre-le-conseil-detat-et-le-conseil-constitutionnel%e2%80%89-11175147/?utm_source=welcomingpointdinterrogation&utm_medium=cpc&utm_campaign=pmo_cam_article
Écrit par : Allusion | 12/11/2021
Rolex SA è una società svizzera (con sede a Ginevra) importante nella produzione di pregiati orologi da polso, nonché una delle più grandi aziende operanti nel settore dell'alta orologeria.
Écrit par : orologilusso | 28/11/2021
Je traduis.
"Rolex SA est une entreprise suisse (basée à Genève) importante dans la production de montres-bracelets fines, ainsi que l'une des plus grandes entreprises opérant dans le secteur de la haute horlogerie."
Et qui vend le plus de montres?
Grand Seiko est l’une des très rares manufactures horlogères au monde à être totalement intégrée. À ce titre, elle maîtrise toutes les étapes des procédés de fabrication des montres, depuis la recherche et le développement des matériaux des composants jusqu’à la fabrication, l’assemblage, le réglage, le contrôle et l’expédition.
Grand Seiko définit l’essence de l’horlogerie en termes de précision, de beauté, de lisibilité, de
durabilité et de facilité d’utilisation. En tant que manufacture horlogère de premier plan, Grand Seiko insuffle ces caractéristiques essentielles dans chacune des montres porteuses de sa marque qu’elle présente au public.
— Le Grand Seiko Studio Shizukuishi fabrique des montres mécaniques de très haute qualité, dotées de mouvements extrêmement précis et d’un habillage très raffiné.
— Le Shinshu Watch Studio lance les idées novatrices et les technologies nouvelles que l’on retrouve dans les montres à quartz d’exception et les montres Spring Drive tout à fait propres de Seiko.
Chacun de ces studios horlogers de premier ordre joue un rôle déterminant dans l’alliance de la
technologie de pointe et de l’excellence artisanale nécessaire pour atteindre le niveau de perfection que représente Grand Seiko
Écrit par : Allusion | 28/11/2021
J'en possède une Kinetic Perpetuel sans piles qui fonctionne avec mes mouvements
Écrit par : Allusion | 28/11/2021
l'excellent article de LA LIBRE résume ma pensée: Une somme d'égos ne fait pas la démocratie... Le grand retour de la philosphie. A tout malheur, il y a des bon côtés. Sous la profanation de l'EGO subsiste le socle du SACRE. Seul le Sacre fait démocratie car il rassemble autour d'une loi commune. Comme le TOTEM dans les tribus africaine..
Écrit par : Mélusine 888 | 28/11/2021
Pourquoi je n'ai pas aimé le mariage homo. Parce que l'on désacralisait une institution, pilier de notre civilisation. L'union des opposés. C'est bien le sens de l'alliance. quelle soit légale ou symbolique. L'égalitarisme est devenu un grand supermarché du n'importe quoi. La preuve, l'invétable suite: ah moi, je vais me marier avec mon chien, un arbre, une voiture et que sais-je. La perte du sacré ne révèle que le profane. Heureusement: profaner une tombe juive révolte encore. Tout n'est pas perdu...
Écrit par : Mélusine 888 | 28/11/2021
On s'en fout de la sacralisation du mariage. Tout comme le curé qui le proclame au moment du mariage et qui s'en fout par après, en pensant au suivant.
Nous avons tous les ans la Gay Pride.
Quelques photos:
https://photos.google.com/share/AF1QipMnXtBlz2VCRL9z8wj1iG6Hp99ER2I_cg4V_QMTJsi1R1XFwqARcN8An-WszjAE0A?key=TVZTa1MwN1hyR1U1RTVkc1pQRFZxT1ZfSDFXOXpB
https://photos.google.com/share/AF1QipMlrbLBG30HEnk5nIAbKKPw5mS-DRiyEQ-cEYN4sNBp4d-71Hz9vgsqKGiul8gmBA?key=VVJibWtZZzQ4WUhWS2xrODQ0cUVQRXdIV3lmVTRn
On n'est pas prude à Bruxelles.
C'est quand on ne suit plus l'évolution que tout est perdu
Écrit par : Allusion | 28/11/2021
Que reste-t-il encore de Sacré en Belgique? J'aurais pu prendre un autre PAYS. Par exemple: le plantation du fameux MEYBOOM a un sens symbolique plus profond que le simple Quidam ne le s'imagine..... Et qui remonte aux celtes...
Écrit par : Mélusine 888 | 28/11/2021
Souvent le Meyboom passe inaperçu
On le voit pendant 5 minutes lors du JT
Écrit par : Allusion | 28/11/2021
Je ne me suis pas mariée..... Parce que pour moi le mariage est SACRE. IL s'agit d'unir les opposés. Le féminin et le masculin. Notre socité tomberait dans un gouffre si une maison n'était pas construite sur le principe des contraire. Et l'électricité de même. Il y aura TOUJOURS une prise mâle et femelle. l'ombre et la lumière. Le yin et le YANG. Une viseuse et une perceuse. Sans ceal toute l'architecture d'une maison s'écroule. Et d'ailleurs actuellement c'est le chaos, preuve que le mariage homosexuel de Taubira n'a pas tenu ses promesses. Rappelons ces derniers mots: Et nous sommes si fiers de ce que nous faisons que je voudrais le définir par les mots du poète Léon-Gontran DAM AS: «L'acte que nous allons accomplir est beau comme une rose dont la tour Eiffel assiégée à l'aube voit enfin s'épanouir les pétales. Il est grand comme un besoin de changer d'air, il est fort comme le cri aigu d'un accent dans la nuit longue». Merci à vous.
Christiane Taubira
JE DEMANDE DES COMPTES A MADAME TAUBIRA. Les psychologues de crouler sous les appels à l'aide.... Population belge au trois quart en dépression et burn-out. Quant un politique s'est trompé, le minimum est de le reconnaître. Même le psy chouchou des homos officiant chez libé: SERGE HEFEZ reconnaît que ce n'est pas la société à laquelle il s'attendait. Au moins lui a le courage de reconnaître son échec. Un peu d'humilité. Je rêvais d'un autre monde avec Dounia Bouzar, Stock, 2017. quant à roudinesco elle a tourné sa veste: épidémie de transgenre: Soi comme un ROI (son dernier livre). Et le desastre ne fait que commencer....
Écrit par : Mélusine 888 | 29/11/2021
«La démocratie est le pire des systèmes, à l'exclusion de tous les autres.» Signé Winston Churchill, cet aphorisme est un des plus inusables du débat politique.
Le mariage pour moi, suit un principe de contraire.
Ce serait plutôt une lâcheté de penser le contraire.
Cela pourrait tout aussi bien de le refuser si un des deux partis le désire.
C'est une erreur qui est colossale de penser que ce principe d'opposition n'existe pas chez les homosexuels.
Moi qui ai passé mes vacances dans un environnement dans lequel les homos sont reconnu
Ce que j'ai écrit récemment dans l'eBook
http://lesyndromedusaumon.hautetfort.com/archive/2021/08/02/surrealismes-canaries.html
L'exemple de l'aventure amoureuse entre Verlaine et Rimbaud, le prouve en se terminant très mal par une tentative de meurtre dans la Galerie de la Reine à Bruxelles.
https://www.pariszigzag.fr/secret/histoire-insolite-paris/verlaine-et-rimbaud-5-anecdotes-sur-leur-passion-amoureuse
Le mariage qu'il soit homo ou hétéro, a une moyenne de 7 ans de vie commun.
Dans un couple pareil, il y a un élément qui est plus mâle que femelle.
Ce qui veut dire que s'il y a une envie d'adopter une enfant, que cela peut très bien marcher.
La bipolarité n'est qu'apparente. Elle est cousue d'une foule de nuances.
S'il y a des exceptions qui perdurent, c'est qu'il y a des compromis à la clé.
Écrit par : Allusion | 29/11/2021
La notion de mariage est bien la rencontre par essence contraire de l'HOMME et la FEMME (le rappel de l'absence de l'objet phallique signe l'impossibilité de la FUSION psychotique). IL scelle l'alliance de l'eau et du feu (de MARS et de VENUS, ou du soleil et de la lune).... Le PAC était suffisant. Le mariage pour tous était une profanation du Sacré. C'était bien le but..... Je ne me suis pas mariée réellement parce que justement, c'est un engagement bien trop SACRE. L'alliance, c'est bien une forme féminine en OR au doigt de l'autre: le masculin.... Maintenant ce symbolisme n'a plus aucun sens. Et je comprends parfaitement les couples mariés qui ont renvoyé leur alliance à Hollande. Ils savent que celle-ci s'est transformée en plomb. Jeunes, les amis scellaient parfois leur alliance en se coupant et en mélangeant leur sang..... Je me suis mariée trois fois, mais de manière symbolique... Ce sont des reliquats de la Révolution française et de ce malade homosexuel refoulé qu'était Robespierre. Mais cela ne va plus durer longtemps. L'égalité est un leurre..... Rimbaud et Verlaine. Les homos ont voulu le beurre et ll'argent du beurre. La plupart sont reconnus par leur art qui lui est bien plus immortel: PLATON, SOCRATE, LEONARD de VINCI, Jean MARAIS et JEAN COCTEAU. Pourquoi alors dégrader leur oeuvre en tombant dans la marmite de l'embourgeoisement si "normatif". Quand on est pervers, au contraire: on assume.... J'ai d'ailleurs lu quelques articles. Les homos dès qu'ils sont mariés et ont un poupon perdent leur désir pour leur compagnon... Le train-train quoi.. Mais que sont sont devenus nos célèbres pervertiseurs? : tombés dans des couche culottes....
Écrit par : Mélusine 888 | 30/11/2021
Et d'ailleurs PLATON aurait été opposé au mariage homosexuel (alors que la pratique, du moins "initiatique était courante en Grèce..., normalement, l'homme plus âgé se mettait derrière un jeune, mais sans pénétration et c'est quand les moeurs périclitèrent que la démocratie fut emprtée dans le vent de l'histoire: un âge d'OR qui n'aviat rien à voir avec l'actuel). Platon était CLAIR: la perversion de la Cité commence par la perversion des mots. Et papa 1 et papa 2 n'existent pas..... le papa 2 s'appelle alors: beau-père ou oncle comme dans les tribus africaines...
Écrit par : Mélusine 888 | 30/11/2021
Voilà, ce que je reproche à ce genre de rapprochement avec le passé.
Ce qu'on pense faire un lien avec lui, ne tient que par certaines fibres théoriques et historiques mais s'efface avec le temps et le modernisme.
J'aime retourner dans le passé comme une assise initiale, mais j'en sors complètement quand c'est du sur-place dans un voyage immobile.
La perversion n'y a plus sa place quand on parle de pratique.
Écrit par : Allusion | 30/11/2021
Certes, dans les couples homos, il y a toujours un "passif" et un "actif". Mais de là à dire qu'ils sont aptes à élever un enfant, c'est un pas que je ne franchirai jamais. Déjà que les hétéros ne sont pour la plupart pas des exemples.... Le maraige n'a qu'accentué la fusion de l'indifférencié... PORTE OUVERTE SUR LA NUIT: quelques films: CABARET, PORTIER de NUIT, LES DAMNES DE VISCONTI. L'inconscient ne peut intégrer le déni de la différence (ou les opposés). C'est ainsi que la théorie du genre (qui vise à nier la différence) se reporte ailleurs: la race et tous les particularismes. L'adoption d'enfants par des homosexuels en Belgique fut votée je pense en 2008. 2010: LA N.V.A. au pouvoir. Le lien est direct. Le déni de la différence fait le lit du fascisme.... Mais un fascisme à l'échelle planétaire, chacun revendiquant son partiCULarianisme (néologisme). La belgitude, moi je suis normand. Cela s'appelle le WOKISME (black power, gay power, vlaamse power, white power, ...). Bientôt 8 milliards d'individus et moi et moi et moi..... L'universalisme qui n'est pas le mondialisme économique, de s'éparpiller dans le chaos.... Et alors, on aspire à un ETAT bien TOTALITAIRE. Chacun de se créer sa prision... Confinement.
Écrit par : Mélusine 888 | 30/11/2021
Bon, une précision s'impose. Ce n'est pas la pratique que je qualifie de perverse puisque les hétéros s'y adonnent aussi. Non! c'est le mental. Au sens de perversion-narcissique ou tueur masqué. Ce qui est le propre tant des homos que des hétéros. Donc, pas de ségrégation... La différence entre la partie profane du corps, ce sont les nerfs. Autour du vagins et de la matrice il y a des nerfs dit SACRES, pas autour de l'anus... Le Sacré et le profane sont utiles l'un à l'autre. Pour qu'il y ait du SACRE il faut l'inverse: le profane.....
Écrit par : Mélusine 888 | 30/11/2021
J'ai bien compris.
Mon mental est moins traditionnaliste.
Il n'y a pas de perversion classique.
L'article sur les sorcières fait exploser en éclats la partie sacrée au bénéfice du profane
C'est le cerveau qui est le moteur et l'unité centrale de tout.
Écrit par : Allusion | 30/11/2021
La sorcière et la représentation de la femme phallique: le bâton, la verrue, le chapeau pointu... Je préfère de loin les fées...
Écrit par : Mélusine 888 | 30/11/2021
Soyons clair: quand je parle de perversion, c'est dans le sens de transgression (empêcheurs de tourner en rond). Prenons l'image du moulin. C'est en contrariant le sens de la rivière que le moulin produit son énergie. Le problème est dans l'éeqilibrage. Trop de transgression tue la transgression. Dit autrement: quand il n'y a plus d'obstacle auquel se confronter, il n'y a plus d'élan ou de motivation.. Mais la perversion narcissique est bien le mal absolu au sens diabolique.... Voir le film avec HELMUT BERGER: LE BEAU MONSTRE.
Écrit par : Mélusine 888 | 30/11/2021
La transgression d'une interdiction.
La transgression est l'action de transgresser, de ne pas respecter une obligation, une loi, un ordre, des règles. Par extension, une transgression désigne le fait de :
-ne pas se conformer à une attitude courante, ou interprétée comme naturelle,
-progresser aux dépens d'autre chose, d'empiéter sur quelque chose, d'envahir,
-dépasser une limite, ou ses limites,
-d'aller contre ce qui semble naturel.
Edicté et définie par qui?
L'homme qui est régulé par une idée de dieu philosophique
Il n'y a qu'une règle dans la nature: manger ou se faire manger.
Le prédateur d'une espèce devient aussi une victime à son tour dans une chaîne de vie.
Ce n'est pas toujours par la force.
Il suffit d'un virus qui renverse sa prédation
Écrit par : Allusion | 30/11/2021
La question qu'est ce que la transgression qui serait une base de la perversion?
Le diable?
Ce sont des concepts humains de peur.
Tu connais la dernière licorne écrite par Michel Bussi
"Tout se qui est sur Terre doit périr"
http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2020/04/08/tout-ce-qui-est-sur-terre-doit-perir.html
Écrit par : Allusion | 30/11/2021
Exemple de transgression: les écluses... L'humain qui interfère dans le cours naturel...
Écrit par : Mélusine 888 | 30/11/2021
Encore une invention humaine qui ne parvient pas à arrêter les flots naturels.
Exemple le 15 juillet 2021 en Wallonie et ailleurs.
La nature est bien plus forte que l'homme.
Écrit par : Allusion | 30/11/2021