07/07/2019
Etre élu par qui et pourquoi?
Après des tractations qui se sont éternisées la semaine dernière pour désigner les patrons au niveau de l'Europe, la question reste "Être élu par qui et pour quoi faire?
Ce furent des personnalités qui ont dû faire des compromis dans un marchandage pour résoudre la quadrature du cercle pour chercher à contenter tous les membres européens par une parité sexuelle dans une Europe qui n'a pas les mêmes directions de vue et de potentiels aux options disparates à comment réaliser les projets financièrement, politiquement et idéologiquement.
...
Être élu à un poste de management, j'en avais déjà parlé dans "Il y a management et managers".
La difficulté au niveau européen est ici exacerbée.
Un débat avait été organisé sur ARTE dans le 28', le lundi avant l'annonce des nominations
Remue-ménage et casse-tête à Bruxelles. Dimanche 30 juin, pendant 14 heures d’affilée, les 28 chefs d’État et de gouvernement de l’UE ont tenté péniblement de se mettre d’accord sur celles et ceux qui officieront aux postes clés de l’Union européenne. Si plusieurs noms ont été cités, les discussions sont encore en cours. Cette difficulté à trouver un consensus pousse à se questionner : qui décide en Europe ? Emmanuel Macron, plein d’initiatives mais sans relais ? Angela Merkel, forte de son économie mais fragilisée physiquement et politiquement ? Quid des 26 autres pays ?
Le titre "Union européenne, c'est qui le patron?"
Le belge, Charles Michel est nommé président du Conseil de l'Europe avec l'art du placement comme le disait l'éditorialiste Bertrand Henne dans les coulisse du pouvoir
Entre parenthèses, papa, Louis Michel qui donnait son avis, était contredit tout de suite par Philippe Lambers belge comme lui mais avec une opinion partisane et un programme différent.
En cause, le programme différent ou le regret de ne pas être l'élu?
«C’est petit de ne pas avoir félicité Charles Michel pour son poste au Conseil européen», dit Herman Van Rompuy qui dans l'histoire européenne, a exercé le même poste. Le "sphinx" comme il a été appelé agissait comme une "serpillière humide" d'après l'eurosceptique, Nigel Farage.
Cette contradiction de vue et cette opposition de principes correspondent à qui se passe à l'échelle européenne en se basant sur des préjugés et des amalgames de situation.
Au niveau de la Commission de l'Europe, c'est Ursula von der Leyen, allemande née à Bruxelles, a fait ses études universitaires à Göttingen (dont je parlais récemment), femme politique allemande membre de l’Union chrétienne-démocrate.
Johan Van Overtveldt (N-VA): «Ursula von der Leyen ne me semble pas être la femme de la situation»
En réponse, à ce combat de chefs, on pourrait dire qu'il est de plus en plus difficile de gérer une démocratie et de trouver les leaders pour les peuples européens qui ne vivent pas de la même façon avec les mêmes potentiels économiques.
Alors, faut-il des hommes forts, des hommes qui décident de tout sans se retourner sur le commun des mortels en agissant par un coup de tête comme le fait Donald Trump à tweets?
Aujourd'hui, le centrisme ne va pas bien et les clivages reprennent la main avec des candidats à la rupture en s'approchant de la dictature.
Marchandages, compromis sans compromissions sont difficiles à trouver face à des programmes partisans quand les crises succèdent aux crises.
Les entités inférieures à l'Europe, souvent nationalistes répondent au darwinisme par un néo-darwinisme en privilégiant leurs intérêts propres par le choix de leurs propres candidats.
Mais l'Homme avec un grand "H" a créé l'humanisme.
Le couple franco-allemand qui fait partie des pays fondateurs de l'Europe, est dépassé dans les faits par les pays de l'Est qui veulent leur partie du gâteau.
On en arrive à une politique à géométrie variable réagissant au coup par coup mais presque plus par des projets imaginés de manière proactive de peur d'être remis à sa place de manière très virulente.
Parler d'une seule voix entre pro-européens et eurosceptiques nationalistes pour garder un certain poids vis-a-à-vis des autres blocs américains, chinois, japonais et d'autre qui s'opposent.
Alors, devant l'immobilisme du bloc européen, les membres en arrivent à exécuter leur volonté et à les remonter au niveau européen le fait accompli.
La solidarité, toujours présentée comme "la" solution de la raison n'est pas un mot de la rhétorique.
Le Club du vendredi de la même émission "28'" revenait sur le problème (extraits:dans lequel aucune mention n'a été faite de Charles Michel).
La démocratie, on oublie souvent ce dont elle est constituée et des obligations qu'elle engendre.
C'est une opposition entre les premiers "gagnants" qui essayent de le rester et de 'perdants' qui voudraient renverser les premiers pour les remplacer...
"Que fera l’Europe une fois que la récession sera un fait et que les taux d’intérêt seront déjà négatifs?, exprime les risques d'un régime basé sur les interconnections.
Vendredi, le Club du 28' remettait le couvert en remarquant qu'il avait fallait 2 jours et demi pour nommer les 4 têtes à la têtes de l'Europe (extraits:).
...
Dépendances et scepticismes
Les symboles et les complexités nous entourent qu'ils soient scientifiques ou non.
Il y a très longtemps, j'avais une collègue qui quand elle devait se présenter disait "Allo, ici, Madame X de Belgique, à "Y" travaillant dans la société "Z".
Aujourd'hui, la géolocalisation lui permettrait de donner des chiffres en latitude et longitude pour faire partie du "Système" dans lequel elle vivait.
La modernité a changé complètement notre manière d'appréhender la vie en cherchant à la simplifier par les automatismes tout en la complexifiant.
La géolocalisation est dépendante des satellites et le GPS sa finalité par la domestication des ondes mais aussi sa dépendance.
Cette géolocalisation génère une vulnérabilité de plus en plus inquiétante par le "spoofing" qui apporte des erreurs de navigation par le brouillage du signal.
Le grand problème de tous les temps, ce sont les dépendances à n'importe quel niveau de la chaîne des dépendances vis-à-vis du Système qui nous a fait entré dans la Société et perdre notre identité propre.
Nous vivons souvent de symboles et l'adage "pour vivre heureux, vivons caché" n'est plus dans l'air du temps à notre époque de communications tout azimut.
Donald Trump a compris cette situation identitaire à son profit et a créé le scepticisme planétaire que l'on appelle généralement mondialisme (j'y reviendrai sur ce sujet spécifique)
En oubliant la géopolitique, il organise ce côté identitiaire par l'intermédiaire du protectionnisme, en sautant quelques étapes naturelles et essentielles par simplisme.
Il s'est arrêté au niveau de son pays les "États Unis" alors que les interdépendances ont rendu la vie et les choses bien plus complexes...
Deux voies de dépendances s'opposent d'ailleurs: le spirituelle et le temporel.
On peut citer les dépendances dans l'ordre décroissant la Terre, la Nature, le Continent, l’État, la Région, la Ville, la Cité, le Parti, le Groupement social, la Famille, la Finance et la Personne et ... ses hormones.
Des scepticismes peuvent naitre à tous les niveaux parce qu'ils produisent des contraintes et désavantages que certains y trouvent leur propres avantages par leur gestion.
La Finance et l'Argent sont des dépendances qui demandent la confiance pour exister.
Christine Lagarde a été nommée au poste de la Banque Centrale Européenne alors qu'elle a exercé le poste à le Fond Mondial International.
Le jeu de chaises musicales n'est peut-être pas terminé.
L'argent est la seule chose qui diffère par rapport aux animaux.
Darwin avait remarqué chez les animaux les engrenages de la nature entre prédateurs et victimes de la prédation.
Sur ARTE, présenté ce vendredi, le film "La monnaie miraculeuse" racontait cette histoire vraie:
Synopsis: 1932. À l’apogée de la crise économique, alors que le chômage explose en Europe, le maire fraîchement élu de la petite ville autrichienne de Wörgl décide de lancer une expérience audacieuse. Inspiré par une initiative testée peu de temps avant en Bavière, Michael Unterguggenberger espère endiguer la crise en imprimant sur ses propres deniers une monnaie locale. Afin de limiter la thésaurisation, celle-ci sera "fondante" : elle perd de sa valeur lorsqu’elle cesse de circuler. Si cette idée suscite d’abord le scepticisme des travailleurs comme des commerçants de la ville, sa mise en place est un succès : à Wörgl, la nouvelle monnaie appelée "Certificat de travail" entraîne une reprise économique et une paix sociale sans précédent, jusqu’à faire des émules dans les localités voisines… au grand dam du gouvernement viennois et de l’institution bancaire.
Plus de dépendant par rapport au secteur public de l’État et au secteur privé des Banques.
Dans le Système, tout est basé sur la "Valeur Ajoutée (ou Diminuée)" et la confiance dans les échanges comme c'était le cas auparavant par le troc, plus difficile à gérer et à évaluer.
Taxes pour les uns, dividendes entre prêteurs et emprunteurs pour les autres dans un partage d'intérêts..
Qu'est-ce que la monnaie?
La monnaie est un moyen d'échange et un élément de la souveraineté nationale, explique cette vidéo et c'est bien son avantage ou son inconvénient
Dans le film "la monnaie miraculeuse", il est dit lors du procès "L'argent c'est de la politique. Nous n'avons pas besoin d'un nouveau mouvement".
Ce village avait, dans le marasme qu'il connaissait, trouvé la solution naturelle et logique pour éviter la dépendance vis-à-vis des institutions supérieures.
Il est nécessaire de rappeler qu'en son sens large, le mot "Politikos" désigne une procédure de civilité relative à une organisation et à l'exercice d'une chaîne de pouvoir dans une société organisée par l'intermédiaire d'une communauté, d'une société ou d'un groupe social.
Au sens de "Politea", il se conforme à une constitution rédigée par ses fondateurs dans une structure, une méthode théorique et pratique.
Au sens de "Politoké", il est l'art de se réfèrer à la pratique du pouvoir par les luttes et les stratégies pour atteindre ses objectifs.
Aujourd'hui, le système étatique et bancaire peut-être à nouveau biaisé comme il est expliqué dans le billet "Sacré croissance" pour tenter de vivre en autarcie au niveau PPCM, du "Plus Petit Commun Multiple".
Aujourd'hui, ces monnaies locales et communautaires reviennent sanst plus envoyer ses gestionnaires en prison.
Au niveau international, la virtualité du bitcoin permet des échanges sans passer ni par les banques ni par les États.
Ce bitcoin est un outil transactionnel pour s'extraire de leur domination.
Les risques sont exponentiels par l'émotion qui l'entoure et de la confiance qu'on lui donne qui se traduisent par des bonds énormes aussi bien en positifs que négatifs dans la même journée.
Les risques de changes entre les monnaies dépendant des PIB et des conjonctures étatiques ne sont pas minces non plus.
il y a bien longtemps, l'or a été le refuge de référence pour convertir toutes les monnaies officielles entre elles.
Il ne l'est plus et tout a commencé à fluctuer rendant le commerce international plus fragile.
En résumé, on peut dire que se rattacher à n'importe quel niveau de dépendance par rapport au Système en place apporte un degré de vulnérabilité à géométrie variable.
Alors, les gens cherchent à trouver la sécurité dans ce qui reste de tangible parmi les jobs disponibles.
L'armée devient la "planche de salut" en temps de paix, comme un job dans lequel le milicien ne perd pas son emploi puisque celui-ci est basé sur la discipline envers l'autorité.
Tout rébellion à l'autorité est considéré comme un crime de lèse majesté et passible d'un jugement en Conseil de Guerre.
En parallèle, la religion se complait dans la spiritualité en vendant les mérites d'un Dieu pour contenir ses ouailles dans son nid par d'autres contraintes et jugement de Dieu, passible d'excommunication.
Hier, le documentaire "Les Carnets du Bourlingueur" parlait des Memmonites dans une séquence "Paraguay, les invincibles du Chaco" (extraits: )
Sont-ils vraiment invincibles ou s'infligent-ils des contraintes dont ils ne remarquent plus les désagrément par l'habitude?
Les nouvelles générations se tournent vers le modernisme qui attire toujours en finale.
S'il faut retenir une phrase du billet "Les cantiques du quantique", ce serait "Il y a les suites des inventions et des idées que les "vendeurs" en ont tirés sous forme de "marketing" qui avec l'aide des médias parfois complices des mensonges malgré eux, sont devenus des symboles scientifiques à l'échelle mondiale ou des gourous dans les nouvelles technologies qui se sont construites derrière les voiles de la complexité des problèmes alors qu'au fond, ce sont les simplifications de ces concepts complexes par la vulgarisation qui forment les vrais génies".
Un autre système appelé "anarchie" désigne d'après Wiki "l'état d'un milieu social sans gouvernement, la situation d’une société où il n’existe pas de chef, pas d’autorité unique, autrement dit où chaque sujet ne peut prétendre à un pouvoir sur l’autre. Il peut exister une organisation, un pouvoir politique ou même plusieurs, mais pas de domination unique ayant un caractère coercitif. L’anarchie peut, étymologiquement, également être expliquée comme le refus de tout principe premier, de toute cause première, et comme revendication de la multiplicité face à l’unicité".
A vous de choisir votre niveau de dépendance.
Je reviens très vite sur la suite du "Retour du dauphin virtuel" dans un nouveau chapitre qui aurait pu avoir le même titre que ce billet "Être élu par qui et pourquoi?"
Eriofne,
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Commentaires
Je reprends une conversation précédente.
La controverse n’est pas qu’il y ai ce que tu nommes des gagnants et des perdants. Ce n’est pas le sujet qui m’occupe et il a en fait peu d’importance à mes yeux.
L’histoire ou plutôt ta référence systématique au Darwinisme est l’exemple typique de ce que tu appelles « une prise de position subjective et relativement objective » comme si rien n’avait été découvert d’autres depuis son époque quant au comportement des humains en fonction de l’environnement social ou autres que certains leur impose.
Exemples:
- Si la règle ou la loi (c’est la même chose) de vivre en société est l’autorisation de porter une arme, c’est la foire d’empoigne et chacun voudra faire la loi lui-même. Résultat des milliers de morts inutiles et injustifiés issues du modèle darwinien appliqué aux hommes. Une loi interdisant ce port d’armes aura un effet diamétralement opposés. Pourtant ce sont les mêmes humains. Donc c’est la loi ou la règle imposée qui font la différence entre l’homme en société et l’animal.
- Si la règle est d’autoriser l’esclavage et bien il en sera ainsi. Si il est interdit et contrôlé et bien plus d’esclavage. Rien à voir avec le modèle darwinien.
- Si la règle est que le travail des enfants est autorisé à partir de 8 ans alors on y va. Si à partir de 12 ans et bien on le fait ( voir la différence entre les règles du travail des enfants après la révolution française entre la France (8 ans ok) et l’Allemagne (12 ans) lorsque l’Allemagne s’est vu attribué l’Alsace et la Lorraine. Par contre si la règle est l’enseignement obligatoire jusqu’à 18 ans et le le travail des enfants est interdit alors pas d’enfants dans les mines ni autres. Donc rien à voir avec ton modèle darwinien.
- et milles autres exemples si tu ne les connais pas.
Tout mon discours que tu considères comme étant « partisans » est celui de la loi et de la règle du vivre en société.
Ces règles n’ont rien à voir avec Darwin sauf si le pouvoir en place considère l’homme comme un animal. Alors les règles à appliquer en découlerons.
Ou bien les pouvoirs oligarchiques préfèrent faire croire (discours, livres, médias) que finalement seul Darwin existe et avait raison.
Ou bien, on instaure des règles et lois qui ne bénéficient pas seulement aux pouvoirs de l’argent.
Ou bien en en retourne à l’époque des cerfs et de leur « protecteurs ».
Si c’est ce dernier que tu préfères c’est ton droit mais alors il faut le dire clairement.
Ce choix n’aura rien à voir avec Darwin sauf pour ceux qui voudraient habillées scientifiquement leur choix de société.
Tu écris « bien sur qu’il faut réguler tout cela, mais qui va le faire honnêtement sans regarder son nombril ».
Donc à l’inverse tu pourrais écrire « cette dérégulation tout azimut est le fruit de choix malhonnêtes qui bénéficient à une petite minorité ».
Je te fais remarquer que le terme dérégulation implique qu’une régulation existait avant de déréguler!
Il très utile de relire les initiatives de Roosevelt après la crise financière des années « vingt » et le pourquoi des régulations de vivre en société qui ont été adoptées et implémentées sans tarder.
Cela est l’histoire de l’homme qui est à l’opposé d’une sois-disant règle de Darwin qui serait applicable à tous les humains.
Écrit par : Don Quichotte | 07/07/2019
Répondre à ce commentaireIl suffit de changer la règle et tout est possible, dans un sens ou dans son opposé! Un exemple choisi aujourd’hui:
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_au-bresil-le-president-bolsonaro-defend-le-travail-des-enfants?id=10265141
Certains dirons, oui mais chacun à le choix de choisir. D’autres répondrons chacun à seulement le choix correspondant à ses moyens.
Si je n’ai pas les moyens d’envoyer mes enfants à l’école alors ils iront travailler. Si je n’ai pas les moyens d’acheter des produits alimentaires non empoisonnés alors j’achète les empoisonnés. C’est mon choix (vraiment?).
Tout ceci dépend des règles et des lois. Les contenus des règles et des lois dépendant des moyens financiers disponibles au niveau des états. Si l’état (les états) favorise la compétition à outrance, alors de moins de moyens seront disponibles pour réguler la société. Et protéger les plus faibles. Les malades. Les jeunes. les plus âgés. etc.
Si les dirigeants européens ne tiennent peu ou pas en compte les résultats des élections (par exemple une forte augmentation des votes pour les « Verts »), alors pourquoi s’étonner que certains décident ou de ne plus voter ou de voter pour des démagogues?
Si certains pays ayant rejoint la communauté européenne très récemment (une décennie ou deux) résistent à l’Allemagne et à la France dans plusieurs domaines , il y des raisons très factuelles que ces deux pays refusent d’aborder. Pourquoi?
Parce que ces nouveaux pays ont rejoint la communauté européenne à la vitesse de la lumière non pas pc qu’ils rencontraient des critères strictes d’adhésion mais pcq l’OTAN (donc les américains et certains européens) a imposé sa géopolitique expansionniste et anti-russe. Les peuples européen n’on aucun intérêt de se disputer avec le « continent » russe. C’est contre productif c’est aberrant qu’ils nous imposent ces situations conflictuelles.
Si ces grands décideurs avaient comme objectif de saboter la CE alors ils ont imposés les « bonnes » décisions.
Bcp de citoyens comprennent de plus en plus qu’on leur raconte des salades, des conneries et en conséquence ne font plus confiance à tout ceux qui nous imposent leur contre-vérité et leurs décisions. Les règles et les lois peuvent créer la guerre ou la paix. Les citoyens ne sont jamais d’accord du choix de la guerre, qu’elle soit d’abord économique et financière mais qui se prolonge toujours (il faut lire et relire l’Histoire) par la guerre.
Pointons des doigts les vrais coupables et pas ceux que certains choisissent pour nous, donc nous les impose.
Réveillez vous avant les premiers bombardements, après il sera trop tard.
Écrit par : Don Quichotte | 07/07/2019
Répondre à ce commentaireEn lisant ton texte très, disons, complet et partiel à la fois j’ai envie d’y répondre en mettant en exergue bien d’autres éléments manquants.
Mais je dois trouver du temps pour le faire.
Écrit par : Don Quichotte | 07/07/2019
Je m'en doute.
Fais à ton aise. Il y a tellement de choses à dire sur ce sujet.
“La démocratie a besoin de soutien, et le meilleur soutien pour une démocratie ne peut venir que d'autres démocraties.”
“Les droits sans obligations, c'est l'anarchie.”
“La liberté enfante l'anarchie, l'anarchie conduit au despotisme et le despotisme ramène la liberté.”
Comme je l'ai écrit le problème de la mondialisation est aussi un sujet très actuel et il sera évoqué plus tard.
Écrit par : L'enfoiré | 07/07/2019
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