Donne-moi l'esprit (20/11/2020)

1.PNG- J’ai lu une première fois et puis une deuxième fois tellement j’étais choquée par la poésie du moment apporté par ce billet "Marchands de petites histoires" . J’ai vu que l’article datait de 2007. Le ton est complètement différent de l’actuel qui est beaucoup plus sarcastique. C’est intéressant de voir l’évolution dont tu ne t’es certainement pas rendu compte. L’humour acide a pris beaucoup plus de place actuellement. La coquille avait encore quelques fissures  cette époque", écrivait mon interlocutrice.

Il s'agissait d'une réponse au souci qu'elle avait à voir partir les objets qui ont construit la vie de son père, s'évader dans la nature après son décès.

- Si, je me suis rendu compte. Le monde a changé. Il s'est clivé et durci. Le but essentiel d'écrire ce journal personnel, c'est de suivre l'évolution des autres et de moi-même dans le jeu de quilles vivantes qui fait notre monde. C'est évident, on évolue personnellement avec l'âge. Comme il est souvent dit avec humour, les raideurs se déplacent", ai-je répondu.

...

Le monde a changé

Et cela a été plus rapide que les périodes que l'on appelait "trente glorieuses" et "trente piteuses" qui les précédaient. C'est peut-être dès 2007, il y a donc 13 ans que une nouvelle trentaine d'années auxquelles quelqu'un donnera un nom générique. Cette année fut donc aussi la parution de cet article, pointant le sujet des brocanteurs et qui avait généré treize séries de Louis la brocante jusqu'en 2014 alors que son interprète, Victor Lanoux avait eu un AVC,  cette année-là. Il quittait ce monde pour aller vendre ces brocantes ailleurs dix ans après.
Pour faire l'inventaire des changements importants depuis lors, je suis remonté dans mes billets de fin d'année et dans le livre de Nicolas Vadot, "Une page se tourne" qui, lui remonte, lui, 30 ans en arrière. 
En scène, s'opposent de plus en plus progressistes et conservateurs.
0.PNGDans une révision rapide dessinée par Nicolas Vadot de ces années tumultueuses, on trouve Obama, la crise financière, l'échec du sommet de Copenhague, le nuage islandais qui avait laissé au sol des centaines d'avions, DSK et Weinstein, la révolution arabe, la crise de la dette avec le clash de l'économie occidentale, l'hégémonie de la Chine qui se pointait en vitrine au monde pendant le JO de Pékin, l'accident nucléaire de Fukushima suite à un tsunami, la guerre d'Ukraine et la prise de la Crimée, les attentats terroristes avec la naissance et la mort en léthargie de l'Etat islamique, les rapports homme-femme, Trump, Macron, les gilets jaunes, le Brexit, Greta Thunberg, l'europhobie... et le Covid-19.
Je ne suis pas Hibernatus et j'ai pu constater que les extrémismes ont pris le pas sur la sociale démocratie peut-être à cause d'une gauche trop gauche et d'une droite maladroite. 0.PNGLa locution latine "In medio stat virtus" a déraillé. Ce sont les extrémismes de tous bords qui ont agi de concert avec les mêmes artifices pour attirer ses membres. En Belgique, les dernières élections ont fait gagner le PTB, l'extrême-gauche et le VB, l'extrême-droite alors que tous les autres partis avaient perdu des plumes dans la bagarre. Je me souviens de mon billet, un "Autre monde est possible" dans lequel quelques personnes étaient reprises. Cela m'a quelque peu fait sourire.
Serions-nous dans un "monde à la croisée des chemins" comme le pense Pierre Chazal?
Au niveau sociologique, j'ai lu un billet de l'Express: Le ‘monde d’après’ ne sera pas celui qu’on nous avait promis une fois la crise sanitaire finie. qui avait préambule "Peu de temps après le déclenchement de la crise sanitaire, on nous avait promis que le monde serait différent une fois l’épidémie terminée. Plus éthique, plus vert, plus égalitaire, bref… meilleur. Mais un certain nombre d’évènements récents nous amène à penser l’inverse. Le monde de demain ne sera pas celui auquel nous nous attendions".
Là, j'ai arrêté, si vous avez envie de le lire, le lien ci-dessus vous y mène. Si nous nous attendions autre chose lorsque nous pensions au ‘monde de demain’, c'est râpé. Il faudra s'y faire, ce sera "rien de nouveau sous le soleil".
Le mieux que l'on peut y trouver et ce ne sera pas nécessairement la "Terre promise" racontée dans un livre de Barak Obama dans lequel en racontant les mémoires de sa vie à la Maison Blanche, livre qui lui rapporte des ponts d'or en dehors de ses mandats présidentiels et podcast.
Ugür Sehin et Ozlen Tureci ont la passion de la recherche qui les feront devenir milliardaires grâce au vaccin qui se pointe à l'horizon (présentation avec humour par Tibonold
podcast) .
Cette terre promise est d'ailleurs différente pour chacun d'entre nous...
Mais encore faut-il l'imaginer, la rechercher et la trouver.
3.PNGL'Etat, la solution? Elle peut le devenir en effet et faire partie de la solution pour les plus faibles qui pourront sécuriser ou tenir en vie ceux qui n'ont pas pu ou su se caser utilement dans la vie pour tellement de raisons raisonnables ou non. L'État-providence est une forme de politique adoptée par certains États qui se dotent de larges compétences réglementaires, économiques et sociales en vue d'assurer une panoplie plus ou moins étendue de fonctions sociales au bénéfice de leurs citoyens. Cette forme d'État s'affranchit de la conception libérale d'un État limité à des fonctions d'ordre public et de sécurité" dit la définition.
En Europe, il y a déjà deux manières de l'exercer le pouvoir sur la population. Celle de l'Ouest qui est basée sur l'Etat de droit, laïque, progressiste et aligné sur les Droits de l'Homme, tandis qu'à l'Est, comme en Hongrie, en Pologne et en Slovénie, ce sont des valeurs conservatrices et chrétiennes qui sont de rigueurpodcast.     
La fonction de l'Etat ne dit rien au sujet des jeunes qui n'ont pas les moyens financiers ou non de réaliser leurs rêves de liberté, ni d'imposer à faire le contraire.
Le suicide de la jeune liégeoise qui avait tout perdu, est devenu le symbole des victimes collatérales de la pandémie. “Tu avais des rêves, de l’ambition, la vie devant toi, tu en as décidé autrement. Même si je respecte ton choix, je suis triste de me dire que je ne plaisanterai plus avec toi”, commente une cliente.
Les moyens financiers n'y étaient peut-être pas la seule raison de son acte. L'échec qu'elle a subi dans la réalisation de ses rêves a certainement une raison plus intime. Bertrand Henne en parlait sans ménagement dans les Coulisses du pouvoir ce jeudipodcast.
Le droit passerelle pour passer la crise est un non-sens à le distribuer à la grande louche sans la personnaliser
podcast.
Ni l'Etat ni l'argent ne résolvent résolument pas tout. Des particuliers ont parfois la monnaie suffisante en poche pour vivre et pourtant, ne se sentent pas bien dans leur peau. La mutualisation a évidemment du bon, en venant en aide aux plus déshérités de la vie, mais elle se fragilise en oubliant qu'elle est chargée d'une franchise à payer mentalement au niveau de l'individu. L'administration étatique finit parfois par créer une oligarchie rendant celle-ci complexe, pour être valorisée à un faux juste prix. L'Etat a une fonction dirigeante nécessitant des places de fonctionnaires pour éviter le chômage. Fondamentalement, ce n'est pas un problème mais si c'est pour créer des obligations souvent inutiles qui entravent plus qu'elles ne protègent les sociétés, cela devient de gabegie que l'on ne peut connaitre dans les sociétés privées qui ne sont pas protégées par un potentiel d'augmentation d'impôt en cas d'échec. Des travaux inutiles et sans efficacité  ont fait la Une une émission de longue haleine au cours des années 80-90 dans des documentaires hebdomadaires. S'il y a le burnout et l'excès de travail, il y a au contraire le boreout qui rend des compétences acquises obsolètes par son manque d'efficacité. Le décalage entre les intérêts objectivés de manière analytique aux situations et aux besoins réelles dans la "jungle de la vie" qui apportent surtout la peur du lendemain dans les esprits en vivant mieux dans "un zoo", il y a en parallèle, celle qui apporte une sécurité en apportant l'essentiel sans aucune réponse aux rêves de chacun. Quand ils ne sont pas aux manettes 1.PNGde leur destin objectivé, les prolétaires du privé ou du public n'ont plus qu'à travailler sans imagination en obéissant à l’État ou au patron d'une grande multinationale derrière des hiérarchies indéterminées et en fermant sa g... sans espoir d'y intégrer leur propre personnalité par leur imagination dans ce qui ne serait plus que des parties d'une masse informe dont on ne cherche plus à différencier les parties. Tout est évidemment une question de choix de liberté et de potentiels. Le lien entre l'Etat et la population doit pouvoir s'exercer avec les médiats privés indépendants en interfaces.
Pas étonnant que des jeunes essayent de se mettre à leur compte pour tenter leur aventure dans une startup.
Répondre aux défauts d'une idéologie en affichant une autre, n'est pas la solution. Il vaut mieux rechercher les connexions et rassembler les côtés positifs des deux voies par pragmatisme et tenter d'y retrouver une passion intrinsèque par l'analyse des tenants et aboutissants en sélectionnant ce qui serait logiquement bon pour les hommes et en rejetant, sans complaisance, le reste sans passer par sur une cascade de clashes partisans.
Toutes sociétés basées sur le profit que ce soit dans le secteur public ou privé, bien hiérarchisée, en arrivent à y introduire la corruption, les conflits d'intérêt et le fascisme dans un système politique autoritaire associant populisme, nationalisme et totalitarisme au nom d'un idéal collectif suprême résumé dans une formule de Mussolini : « Tout par l'État, rien hors de l'État, rien contre l'État ! ».  Les dons de mécènes fortunés à des œuvres sont parfois importants parce que contrairement aux taxes qui leur seraient imposées, ils savent où iront leurs dons. Ce mécénat dans le privé apporte en plus, une notoriété de marketing dans la population et est récompensé tous les ans par le Concours des Caius chaudement recommandé 

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Comment "digérer" le Covid?

On m'a souvent demandé pourquoi je restais sur le forum Agoravox en fonction de cette anecdote amusante. Dans ce genre de réseau en forum, on peut s'informer sur la psychologie des participants français et m'a aidé souvent pour comprendre notre époque. Plusieurs billets de la catégorie "Psychologie" ont pris place dans ce fil pour exprimer l'indépendance d'esprit et d'action. Au besoin, il a fallu collapser le passé en clivant dans une cour des miracles avec un esprit de compétition. S'il fallait "Changer tout", il s'agissait de "Maitriser ses émotions", de "SurVivre aux incertitudes". Puisque "le temps est assassin" arriver à garder l'envie d'avoir envie dans la recherche d'un bonheur fictif, c'est en osant les autres dans un paradigme du partage avec l'espoir d'une culture de relations vraies. Si dans un tel contexte, je reste quelque peu pessimiste, je me suis soigné par l'extraversion et par la parodie humoristique. Le pessimisme pousse à l'extrême au magasin des suicides.

Mais, après ce travail de compréhension des phénomènes de haine qui se manifestaient, j'ai progressivement lâché les réseaux sociaux pour me retrancher sur mon antenne de "Réflexions du Miroir".

Non, la santé mentale générale ne va pas bien et ces réseaux sociaux ne la calme pas.

Dans un JT récent, on parle des jeunes déboussolés qui ont pourtant tout à prouver, en manque de contacts humains des condisciples attablés et confinés devant un écran d'ordinateur tandis que les plus âgés, les "vieux" auraient une position plus rigide, plus confortables, n'ayant plus qu'à constater, en observateur averti, la décrépitude de leur monde devenu ancienpodcast.

Ce vendredi matin, une psy confirme que la deuxième vague de la pandémie est plus mal ressentie que la premièrepodcast.
Le documentaire "Hold Up" de bien plus de deux heures, est devenu un phénomène de société. Il allie le vrai et le faux sans contrarguments mais il est surtout le reflet de la société actuelle en rassemblant tous ses maux du mal-être qui pointe des responsables et qui engendre du complotisme. Il sort même du cadre exclusif de la crise du Covid-19. Natacha Polony en parlait avec justesse dans cette présentation "CE QUI ARRIVE QUAND LES QUESTIONS SONT INTERDITES". Pour moi, rien n'a été un scoop. Je ne suis ni séduit ni touché par des vendeurs d'idées et de prophètes du complot qui entrainent les autres dans leur sillage. Ce que je retiens personnellement de ce docu, ce sont les propos de la dernière interlocutrice du docu, Nathalie qui réagissait avec les larmes aux yeux, après avoir regardé Laurent Alexandre:podcast.
Ce qui fait qu'il y a ceux qui se trouvent bien dans la modernité, qui en profitent et d'autres qui en sont exclus parce qu'ils ne sont pas parvenus à suivre son rythme.
A
près une guerre intergénérationnelle, allons-nous vivre une nouvelle guerre entre intellos et manuels? La situation d'intello, je connais très bien puisque j'en fais partie, étant plus théoricien et scientifique que praticien, dans le champ particulier du numérique, à la recherche de solutions automatiques pour exécuter une tâche donnée. J'aurais préféré être ambivalent, mais je ne le suis pas et je suis venu philosopher sur cette antenne en passeur d'idées qui m'allait mieux sans passer par des tweets transmis en quelques mots pourtant très à la mode. 

Dans "Expériences humaines", j'écris que j'aime me promener dans le cimetière de Bruxelles, pas pour la morbidité qu'on pourrait y trouver, mais pour son silence dans lequel je puise les prémisses de mes idées. Dans "Les vieux ne parlent plus", j'ai été très étonné et enchanté à la fois, suite au refus de mon homonyme, plus jeune que je le suis dans sa vie de confiné forcé pendant 12 ans dans un Ehpad qui, suite à une maladie génétique, l'avait cloué sur une chaise. Il m'a répondu qu'il n'a pas le temps vu la tâche qu'il s'était assignée dans le temps en continuation de sa vie active d'avant. C'est aussi un intello.
P
ersonnellement, c'est clair, je considère avoir fait le bon choix en ouvrant mon journal personnel, il y a plus de 15 ans. C'est un travail de tous les instants qui passe par la lecture de l'actualité et de beaucoup d'autres choses, avec un esprit critique, à l'écriture, de la relecture à la réécriture dans un cycle constant de réflexions en suivant des projets qui me viennent au hasard à l'esprit.
A
la retraite, pour jouir encore de la vie et pour ne pas crever devant sa télé pendant des heures à regarder des émissions qui ne laissent aucun souvenir, il vaut mieux, pour garder ses neurones en fonction, garder des projets de vie et user au maximum de l'humour quand les circonstances le permettent. Depuis le début de la crise (et même avant elle), je m'impose d'écrire le plus de billets dans la rubrique "Parodie et humour" même si cela demande un effort à raconter des histoires parfois bien cachées dans l'esprit pour qu'elles deviennent des vannes providentielles. Je n'aime pas les sujets qui reviennent en boucles ou en bouche-trou.
C
hacun a sa propre vie et se doit de la vivre, de l'expliquer avec la liberté d'expression, telle qu'elle vient même si souvent, c'est en fonction de ses capacités particulières. Il faut des idées et encore des idées.
L
a sociologie, avec sa vue générique, n'aide pas quand le moral et la santé mentale d'un particulier est atteinte.  Il y a exactement neuf ans, j'écrivais "Tout dire, tout écrire, tout caricaturer et puis, en rire?".
U
ne fiction comme le raconte Pierre Bayard dans son livre "Comment parler des faits qui ne se sont pas produits?" me parait aussi une bonne optionpodcast.
Traduire l'époque dans l'esprit d'une vanne me semble celle de Marcel sur le terrorisme au service du confinement...


 
Vendredi dernier, on parlait au JT de Fanny Ruwet. Elle prépare les sketches du lendemain sur son PC et s'adresse aux auditeurs du matin en commençant par dire "Salut les vieux".
S
erait-ce une réponse à mon billet précédent "Les vieux ne parlent plus

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Sujet repris le lendemain matin à la radiopodcast.
Pour écrire un sketch d'humour, il y a la théorie, la pratique et parfois des bides en perspective ou en parallèle qui vont aller dans une poubelle de l'histoire aux meilleures vannes. La théorie, c'est quand on comprend tout et que rien ne marche. La pratique, c'est quand tout marche mais on ne sait pas pourquoi. Et quand rien ne marche et que personne ne sait pourquoi, il faut penser que ce fut un hasard.  
"Le malaise" est une bonne et je préfère...

 
Le cactus parle de la prolongation du couvre-feu jusqu'au 13 décembre podcast.
Ce n'est pas pour rien que le cœur et l'esprit qui se construit se font concurrence avec l'humour.
Chaque organe a sa fonction propre dans le corps humain.
Les Egyptiens antiques considéraient que le cœur était la partie noble du corps parce qu'il bat tandis que le cerveau insensible à la douleur, était jeté avec les viscères dans des vases canopes. On sait désormais que l'esprit vient du cerveau même s'il donne la fièvre quand le monde change. 
 

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Donne-moi les mots

 La résilience par rapport aux blessures de la vie est à géométrie variable d'individu à individu et pas avec des règles généralistes de sociologie.

Bernard de Orthogaffe cherche l'humour dans l'histoire des mots.
Pourquoi les adverbes en 'ment' partent-ils du féminin ?

C'est dans la boîte crânienne, une boîte à surprises et à secrets qu'il faut rechercher son futur que l'on espère toujours meilleur.
Mercredi, puisque les cinémas sont toujours fermés, il était question de la Cinetek
podcast.
J'avais lancé cette idée de faire du neuf avec du vieux dans deux épisodes de la pendant la première vague du Covid-19 (1) et (2) pour tromper le temps.
Dans ces deux cas, pour marquer le coup, un fou rire, même forcé, pouvait s'y cacher.
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Donne-moi l'esprit

Louane passe de plus en plus à la radio et la télé avec la chanson "Donne-moi ton cœur" de son album "Joie de vivre" après une rencontre avec Damso. Dans le Vif, un article lui était consacré qui écrivait: "A pas de Louane, elle s'épanouit en embrassant la pop du moment sans le disque de la maturité mais en chantant ce qui lui ressemble le plus et en aplatissant son égo pour ne pas s'écraser". J'ai changé le mot "cœur" par "esprit".  
Alors, est-ce de nouveau une opposition de convention entre "La stratégie du cœur contre celle du cerveau " ? Il faut le dire, je ne tourne pas trop dans les sentiments à part dans des cas très particuliers et spécifiques de proches. Si on ne le fait pas, on finit toujours par disjoncter car le "courage ne suffit pas" (qui sait, un nouveau titre pour un futur James Bond).

 

Sa chanson modifiée devient en karaoké:
 
Refrain:
"Donne-moi l'esprit
Ta main et le reste
Donne-moi et atteste
C'que tu détestes"
Dis-moi tes peurs
Tes chagrins, tes ardeurs
Dis-moi qui tu es
Qui tu es
Dans un monde sans rires
Personne ne soupire
Ose tout écrire
En ajoutant des sourires
Pour te transcrire
J'imagine des choses de toi
C'est peut-être toi que je suis des fois
J'imagine un nid de récits de mots tristes
J'imagine un lit, de rêves utopistes
Qui se noient sur ta piste
Sans foi ni loi dans tes mailles je me glisse
Qui devient une histoire dans une suite de prémisses
Si je prends des risques
Pour tes peines que je confisque
S'te plaît donne-moi l'esprit
Pour dire que je t'ai compris
A revoir un monde d'autrefois
Que tu ne connais pas
J'veux revoir l'ombre de l'autre toi
Celui que je ne connais pas
J'veux revoir en toi tout c'que j'suis pas
A faire des faux pas
Dis-moi ce que tu écris
S'te plaît donne-moi l'esprit
 
 

Allusion

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22/11/2020: Pasquale Nardone nous parle du bonheur et comment il se construitpodcast Ce qui rejoint ce que disait en 2018, Ilios Kotsu
 
25/11/2020: Décès de Maradona à l'âge de 60 ans podcast.
 
29/11/2020: le philosophe Mathieu Pelletier parle de réaliser l'inutilité des choses. Plus la tâche est inutile, plus belle elle peut être:podcast
9/12/2020: Illettrisme et illectronisme : elle est sortie de cette “prison intellectuelle”
Après une scolarité difficile où ses maîtresses ne détectent pas sa dyslexie, Aline le Guluche sort du système éducatif à quinze ans et demi, alors qu’elle ne sait toujours pas lire ni écrire. Dans son livre “J’ai appris à lire à 50 ans”, elle raconte les difficultés quotidiennes de l’illettrisme, tant d’un point de vue professionnel que privé, la laissant dans une grande dépendance. Dans ce récit à la fois personnel et universel, elle nous parle de son combatpodcast
 
 

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