Le management par holacratie (27/10/2022)
Le chapeau de l'article du Vif de la semaine dernière parle du management commence ainsi : "Inefficace voir toxiques, les couches hiérarchiques ont vécu. Voici l'ère de l'entreprise libérée par l'holacratie. C'est la fin du boss dans un échange froid et stérile. Possible ou utopique ?".
Le management collaboratif et plus celle du boss.
L'holacratie provient du mot grec « holos » désignant « une entité qui est à la fois un tout et une partie d'un tout » et de « kratos » signifiant « pouvoir ». Donner le pouvoir de gouvernance à une organisation elle-même plutôt qu'aux égos de ses membres.
C'est une forme de management constitutionnel accordant la flexibilité, fondée sur les modes de prise de décision et de répartition des responsabilités en commun à tous dans une forme de management constitutionnel.
L'article suit le livre "Entreprise nouvelle génération" de Luc Bretones, et Philippe Pinault.
C'est une occasion pour rebondir et ressortir du trou de mes souvenirs, une série de billets qui émaillent l'organisation d'une société du temps où je les signais par le pseudo "L'enfoiré".
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Les rôles de chacun avec ses avantages et ses vicissitudes
Quand il faut rendre à César ce qui appartient à César, il faut aussi le faire à ses guerriers. C'est un minimum.
Ramses II n'a pas gagné la guerre tout seul contre les Hittites à Qadesh, même si les hiéroglyphes racontent le contraire et pourraient le faire penser.
Extrait de l'interview de Macron sur France2 qui ouvre à lui seul un débat sur les rôles de chacun avec ses avantages et ses vicissitudes.
Le système démocratique a plusieurs cordes à son arc.
Ou c'est tout dans les mains et l'esprit d'une président qui a tout à dire, comme en France.
Ou c'est démocratique jusqu'au bout des ongles sous la forme d'une coalition parlementaire avec un système basé sur les compromis comme en Belgique.
L'un dans l'autre, cela finit toujours par devenir vite explosif en faisant intervenir tout et son contraire.
Ce sera la règle du bazooka comme en Allemagne, puisque qu'en 2023, elle entre en récession.
Dans une démocratie, les règles de la liberté d'expression permettent de tout dire à condition que cela n'entrave pas les lois établies dans le pays.
Sans cohésion, l'Occident perd ainsi la boule, face au monolithe chinois aux yeux bridés qui frise la démocrature ou la dictature. Toutes les décisions chinoises sont entre les mains de Xi Jinping et de 6 autres personnes qui lui sont dévouées corps et biens.
On peut raisonnablement dire que l'Occident a été naïf face à la Chine
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Quand Xi Jinping dit haut et fort "Osez vous battre pour la victoire".
On peut se demander de quelle victoire parle-t-il ?
De la même interprétation que celle de Poutine ?
Anne Frank écrivait dans son journal :"On ne me fera pas croire que la guerre n'est provoquée que par les grands hommes, les gouvernants et les capitalistes, oh non, les petites gens aiment la faire tout autant, sinon les peuples se seraient révoltés contre elle depuis longtemps (...) et tant que l'humanité entière, sans exception, n'aura pas subi une grande métamorphose, la guerre fera rage, tout ce qui a été construit, cultivé, tout ce qui s'est développé sera tranché et anéanti, pour recommencer ensuite ! ".
Du côté de l'organisation privée et commercial, "l'Armes de Destruction Massive" est surtout la publicité et la propagande et les discours politiques du côté de l'organisation publique.
Tout cela pour dire que manager une organisation privée ou publique et étatique est du pareil au même au niveau finalité pour régner sur d'autres.
D'après l'article du Vif, au sein de l'entreprise de production de logiciels Ternary Software, Brian Robertson s'est donné pour objectif de mettre au point des mécanismes de gouvernance plus efficaces en suivant l'idée de la boîte à outils et la redistribution des autorités.
Robertson prolonge la vision de Arthur Koestler et du philosophe Ken Wilber en l'appliquant aux organisations humaines. Il conçoit qu'une équipe projetée comme une entité autonome construite autour d’une finalité. Elle est souveraine dans son fonctionnement interne, mais dépendante des attentes d'une structure plus large dans laquelle elle s'insère et, pour se faire, se doit de respecter l'autonomie des membres qui contribuent à son fonctionnement. Celles-ci pensent l'adopter avec une gouvernance itérative et des processus adaptatifs, s'inspirant des méthodes agiles et du lean management. Les processus reposent sur une structure organisationnelle, des règles de coopérations, des réunions informationnelles de triage, une autorité distribuée et des processus de gouvernance.
"Les entreprises sont trop souvent des lieux où les égos s'empoignent et s'épuisent" écrit Frédéric Laloux.
La préface du livre : Le management traditionnel, pyramidal, hiérarchique est dépassé. Il est temps de laisser la place aux entreprises "nouvelle génération", focalisées sur leur raison d'être.
Emportées par la vague numérique, les entreprises se trouvent confrontées à des challenges d'adaptation sans précédent : comment remettre du sens au cœur de l'action ? Comment intégrer du collectif au sein du processus de décision ? Comment libérer l'énergie de tous en valorisant - quitte à faire des erreurs - les initiatives personnelles animées par une vision commune et en évitant de diluer la responsabilité de ceux qui les prennent ?
Au sein de l'entreprise de production de logiciels Ternary Software, Brian Robertson s'est donné pour objectif de mettre au point des mécanismes de gouvernance plus efficaces.
Pour se faire, Tom Peters et Isaac Getz avaient créé l'entreprise libérale avec l'esprit taylorien "command and control".
Le but était d'horizontaliser les processus et de "désiloter" l'organisation.
Le "Freedom Washing" se mettait progressivement en place.
Les centres de frais venaient d'office à l'esprit pour réguler le système.
Les bases de données s'alourdissent de nouvelles clés de partage d'information pour comprendre d'où pouvait fuiter les capitaux investis.
La concurrence entre les services de l'entreprise suivait plus que la collaboration entre eux.
Avec elle, l'augmentation du stress et d'une violence interpersonnelle.
Le split des fonctions diminuait les potentiels du personnel.
Pas grave, la polyvalence dans les tâches permettait au distributeur d'avoir une personne qui pourrait en représenter d'un coup plusieurs.
Cela devenait un fourre-tout, un peu comme dans les grandes surfaces où les caissières peuvent faire tellement d'autres tâches comme construire les rayons avec les marchandises.
Bien sûr, il suffit d'avoir et d'aimer une "petite" disposition à l'adaptation.
Le facilitateur a, du coup, reçu le message d'avoir un discours humaniste tout en restant dynamique.
Des chefs de services passifs-agressifs et des dirigeants déconnectés des équipes restent.
Tom Peeters préconisait le parti pris de l'action, l'écoute du client, la productivité alliant souplesse, rigueur et état d'esprit avant de motiver le personnel en poussant à l'extension de connaissances avec au bout le prix de l'excellence taylorien récompensé par des augmentations de salaires dans des luttes intestines pour être le meilleur.
J'ai connu un CEO qui demandait de placer une épinglette représentant un trépied avec les trois objectifs à respecter.
Le management horizontal permet les échanges avec la participation aux décisions des responsabilités et des consentements éclairés avec un coach qui informe, qui aide par l'explication des buts et leur implication sans contraintes par la force.
Cela va de soi.
La performance, elle, devrait s'associer au bien-être des employés en innovant pour remédier à une crise interne et s'y adapter par la résilience vers plus d'autonomie.
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Mon expérience d'il y a plus de 15 ans
En 2005, mon premier billet "Nous sommes tous responsables" racontait "Je travaille dans une entreprise américaine et elle peut être (ou pouvait être) considérée comme un « Employeur de choix ». Les règles d’éthique et le respect des employés me semblent avoir été respectés. Mais avec le recul, quand j’entendais en début d'année fiscale, les conférenciers haranguer les ‘foules’ en les remerciant du travail effectué et que si cela avait été possible, c’est grâce à Nous, ils ont oublié de dire (ou alors, j’ai dû m’endormir au mauvais moment), que si on avait pu nous éviter, il y aurait eu plus d’argent dans les caisses ou dans les poches des actionnaires".
Il avait été écrit après la visite d'un Américain qui était venu nous glisser à l'oreille que nos jours étaient comptés dans le service.
Avant cela, je n'aurais jamais pensé et trouvé le temps d'écrire une ligne qui n'aie eu un lien plus ou moins direct avec mon job.
Au cours des quarante années de vie active dans le secteur du numérique commencées dans les années 70, j'ai d'abord fait partie d'une startup dans laquelle tous les projets et stratégies étaient connus, discutés, décidés par toute l'équipe présente, accordant plus de motivation à chacun des membres pour apprendre le métier mais aussi comment gérer une société avec des hauts et des bas.
J'y ai tout appris dans cette époque où tout était à écrire par la programmation du système lui-même.
Le développement d'un SQL sous forme de JCL appelé STATIS mais entré en machine par des cartes perforées. SQL que je retrouverai en fin de carrière.
Le processus de conception de l’industrie du logiciel s'adapte très bien à ce niveau de la structure de l’entreprise dans une PME ou une startup mais beaucoup moins dans une grande entreprise.
Ensuite, je suis passé dans une multinationale américaine dans laquelle plus rien, à part quelques bribes diluées par la hiérarchie intermédiaire, ne transparaissait du sommet à la base du personnel.
En 1990, j'y étais nommé "Project manager".
"Il y a management et managers", écrivais-je.
Le rôle du manageur est d'établir un suivi des projets en cours.
Il fallait surtout motiver ses "membres".
Certains pensent toujours guider ou être coachés par une hiérarchie aveugle.
Ce n'a pas été réellement mon cas. J'essayais de suivre et de comprendre les injonctions.
J'ai connu les deux types de personnalités collaboratrices dans mon équipe.
D'abord, celui qui prend des responsabilités qu'on lui donne et y ajoute des initiatives personnelles.
Ensuite, celui qui demandera toujours confirmation avant de prendre les décisions ou pire devra demander le consentement au chef, s'il peut les mettre en action si elles dérivent quelque peu du projet initial.
J'ai toujours eu un faible pour l'originalité des personnes et des solutions aux problèmes posés.
La solution de l'holacratie qui pouvait être prise dans la PME ou la startup se trouve fort dépourvue de moyens dans la grande multinationale.
Sans directive entraîne une perte de sens, un absentéisme, un burnout ou son inverse un bore-out, engendrant une fuite de cerveaux de l'entreprise.
L'organisation du travail est surtout essentielle pour assurer un intérêt dans la tâche qui incombe à chacun pour ne pas tomber en burnout dont on connaît les effets dévastateurs ou en bore-out, ce syndrome déclenché par le manque de travail, l'ennui et, par conséquent, l'absence de satisfaction dans le cadre professionnel.
Comment vaincre le burnout ?
En gérant son temps et en déterminant à l'avance, un management de priorités qui détermine ce qui est important et ce qui est urgent.
Les deux ne concourent pas toujours ensemble.
Même les tâches ont un rythme hiérarchique à respecter.
Quant au bore-out, le billet "Comment vaincre le bore-out ?" l'explique.
C'est dire qu'il y a une analyse à faire et un lien subtil entre le travail à effectuer et le potentiel de la personne en charge.
On n'y travaille pas nécessairement ensemble visant le même objectif et le même dynamisme qui d'après les contrats signés, est celui de l'entreprise avec ses collaborateurs du haut en bas de la hiérarchie.
Il y avait bien 7 ou 8 niveaux de management qui planaient au-dessus de ma tête avant d'arriver au CEO localisé aux Etats Unis.
Lui était poussé dans le dos lors des conférences avec les actionnaires qui lui répétaient qu'il fallait plus vendre qu'acheter pour accroître les bénéfices.
Question to an American: Why are Americans looking for life on Mars?
Answer: To meet there cheaper life
Le coût d'une entreprise est généralement grevé par ses collaborateurs, un mot plus en phase avec l'envie de bien faire.
Je n'ai qu'à puiser dans la catégorie "Organisation" de ce site pour retrouver quelques idées qui ont germé pendant ces dernières années depuis que je l'ai commencée à écrire ce journal.
Dans une multinationale, les messages du sommet arrivaient tronqués, filtrés quand ils n'étaient pas ignorés ou cachés en cours de la descente de niveau en niveau dans les hiérarchies.
Certains étaient managers, mais n'avaient même pas d'équipe à contrôler sous eux.
D'autres se retrouvaient redondants dans leur poste respectif de management.
Quand on veut féliciter quelqu'un pour son travail et qu'il n'y a pas ou peu de moyens financiers, apporter une promotion par l'intermédiaire d'un titre.
Ils se retrouvaient alors entubés dans des silos de fonctions plus rémunératrices peut-être, mais dénuées de sens et de stratégie intrinsèque aux objectifs de l'entreprise.
Ne pas participer dans la stratégie d'entreprise pour les collaborateurs peut entraîner des dérives et des rejets de la base exécutante.
Le management en structures pyramidales avait parfois à demander ce qui en fait sa raison jusqu'à demander plus de rameurs que de chefs qui restaient inoccupés..
J'ai bien tenté d'instaurer le principe de l'holacratie, appris dans la startup mais cette fois, dans la multinationale, cela ne fonctionnait pas vraiment.
Le contraste entre les deux formules est énorme et je suis rentré dans le rang.
Ce fut quasiment impossible de répondre à la "méchante" question d'un subalterne, pourtant tout à fait compréhensible "quel projet intéressant aurais-je dans un an?" alors que je ne savais même pas moi-même ce que j'allais pouvoir faire dans un mois avec mes attributions.
J'en parlais en 2015 dans "Une semaine numérique philosophique" que je faisais suivre immédiatement par "Une semaine en nuances vert de gris" avec humour.
Ces années étaient une époque pendant laquelle Internet n'existait pas.
Seuls les voyages permettaient de s'informer au sujet des autres subsidiaires.
J'ai connu ainsi quelques collègues qui ont fait le tour du monde pour analyser les techniques de business dans chaque pays visité, pour en écrire un rapport en vue d'une centralisation des processus aux Etats Unis.
Dans mon cas, deux attributions se superposaient : le développement et la maintenance des projets.
C'est dire que si pendant le développement d'un projet, un problème important survient en production se posait, c'était le développement qui s'arrêtait, postposé, pour faire place à la résolution du problème inattendu.
C'est dire qu'il valait mieux avoir un progressisme avec de l'avance à l'allumage. Les cours à suivre pour tenter de rester à un semblant de niveau de l'actuel prennent beaucoup de temps. Ces cours arrivaient souvent en décalage avec les moments où on en avait besoin.
Là aussi, c'était l'obsolescence programmée remarquée à la sortie des cours.
Les cours de management avec jeu de rôles étaient là pour motiver son équipe même si cela frisait parfois l'happycratie, jusqu'à la nausée.
Le nom du "Service du Personnel", renommé en "Human Resource", n'était pas anodin. Il assombrissait la relation du management avec le personnel comme je l'écrivais dans "De SP à DRH" en déplaçant le service au personnel à celui de l'entreprise.
Le DRH avait pour rôle de faire une présélection pour un poste à pourvoir, en centralisant les lettres de candidatures.
C'était au manager le plus proche de l'équipe, à faire le choix de "l'heureux élu" avec des impératifs qui lui étaient propres.
Bien d'accord, nous sommes tous différents.
Raison de plus que cela demandait une sérieuse réflexion sur le futur de l'équipe.
"La technicité ne suffit plus". écrivais-je quand il s'agit d'introduire un nouveau dans une équipe déjà formée.
Il n'y a aucune culpabilité à chercher dans la responsabilité mais un amalgame d'idées heureuses ou malheureuses dépendant de la structure et des liens qui existent entre l'entreprise et ses collaborateurs.
Quand il n'y a aucune info stratégique qui transpire de haut en bas, la conscience professionnelle et l'amour du travail bien fait chutent puisque l'équipe n'est plus intégrée dans les processus, les bénéfices et les stratégies de l'entreprise quand seules, les maths expliquent le monde.
Hier soir, Hugo Duminil-Copin, médaillé de Fields et probabiliste expliquait les buts des maths qui servent à trouver des solutions quand il y a des problèmes.
Il est vrai que ça craint souvent chez les humains et les profils STEM ne courent pas les rues.
Alors on se pose la question "est-ce que tu te pointes ou tu te retires?".
S'il est employé ou ouvrier, acteur d'un processus qui lui est étranger et qui le dépasse parfois, en ne recevant qu'un salaire en fin de mois pour ses soins à l'entreprise, c'est que l'un des deux a mal choisi dans les options de vie qui se présentent.
La complémentarité est un véritable combat en commun pour éviter une perte d’énergie et de temps comme le font les philosophies et religions orientales complètes dans le yin et le yang.
Il était question récemment des algorithmes dont j'ai parlé à la fin de ce billet.
Les Américains s'adressaient à nous quand ils ne trouvaient pas de solution à leur problème. Le relais que nous prenions devait trouver la réponse pour le lendemain.
A la retraite, dans une relation humaine, percer les secrets de son interlocuteur demande des tests d'aptitude de plus ou moins longue durée en fonction de sa "résistance" pour accepter un échange équilibré et pour éviter les surprises en fin de parcours à la suite d'un clash.
A chasser le naturel, il finit toujours par revenir au galop..
Ce n'est pas une boîte à secrets qui va s'ouvrir comme dans l'émission du même nom mais peut être des secrets en boites d'informations bien cachées.
L'article du Vif se termine par l'interview de Luc Bretonnes, coauteur du livre.
"Les dinosaures du management disparaitront d'eux-mêmes. L'aller-retour entre le haut et le bas ou entre le bas et le haut de la hiérarchie constitue une perte de temps et d'efficacité. Le management est, étymologiquement, un terme français d'équestre qui fait marcher un cheval au pas ou au trot avec un principe de subordination. La hiérarchie d'équipes avec un "servant leader" en "caring leadership" dans une réorganisation continue en décorrélant les individus des rôles pour lesquels ils avaient signé leur contrat.
L'intelligence artificielle est au-dessus de ces considérations humaines
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Un jour peut-être, un robot sera mis à la tête d'une équipe puisqu'il n'aura pas d'intérêts financiers à espérer pour la fonction.
L'Intelligence artificielle fait peur aux anciens. Il n'y a pas beaucoup de raison à avoir puisque les robots ont été instruits avec les manies et désidérata des humains. Jusqu'à aujourd'hui, pas encore de craintes à cela, puisqu'il suffit de se regarder dans un miroir pour voir la suite des opérations.
Mais, l'intelligence artificielle est appelée à réduire les risques d'erreurs de la faiblesse humaine et résoudre les problèmes, et là, cela pourrait se corser au moment de l'IA forte. Celle qui décide du choix des options à prendre par elle-même.
Actuellement, les relations entre humains et celles des robots avec les humains butent toujours sur les mêmes problèmes relationnels bien connus.
Les humanoïdes ne sont pas prêts pour remplacer les hommes même si Elon Musk le pense
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Faut-il avoir peur des robots trop humains ?
La gouvernance politique augmentée fait naître la psychose.
Quand j'ai quitté la vie active, ma pièce de théâtre "Rock around the clock" rappelait avec l'accent anglais qu'il fallait être "agile" mais qu'on devient avec l'âge aussi plus "fragile".
Après mon départ, les équipes de l'IT ont été transmises à l'entreprise Hexaware indienne et la symphonie indienne a commencé avec la pub "cloudifiez tout" et "tout automatiser".
La formule d'entreprises indiennes était-elle plus légère, plus souple, plus adaptée au futur pour se le permettre ?
Les anciens "heureux" managers du jeu de quilles ont été considérés, au départ dans les années 70, comme des gourous. Depuis, on ne les compte plus du tout comme des élites.
Tout reste à analyser et à constater si dans les réalités sur le terrain des opérations actuelles, c'est encore le cas en route pour changer l'avenir..
Le que je viens d'écrire date donc de plus 15 ans comme je le disais d'emblée. Apparemment d'après le Vif, le management holacratique ou hallo-cratique en appelant l'autre quand il est considéré plus efficace et plus efficient dans un domaine précis avec moins pour faire plus en généraliste aimant la variété et l'éclectisme pour élargir l'éventail complet des solutions, je n'ai jamais voulu me limiter dans une expertise particulière.
Faire moins en faisant mieux m'a occupé beaucoup plus l'esprit et tentant de transférer la démocratie représentative à la démocratie participative.
Tout le monde s'envoie alors de la démocratie à la figure comme preuve de leur bon droit entre populistes et élites bien pensantes comme le faisait remarquer ce matin, Bertrand Henne avec le plan Good Move à Bruxelles
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Et puis merde, je reste progressiste avec le regard vers l'avenir même si la plume de Thomas Gunzig dit que les conservateurs ont gagné.
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Dimanche, le philosophe Mathieu Pelletier rappelait comment faisaient les Grecs pour se remettre en question avec philosophie .
Conseil d'un ancien : "Connais l'homme pour mieux te connaître et introduis le meilleur de toi dans les robots sinon tu n'auras plus rien à dire quand ils décideront à ta place.
Sempé est à l'honneur actuellement...
Le scénario du nouveau feuilleton belge "Des gens bien" commence par une petite entreprise de soins corporels qui permet de se brunir la pilule sans avoir à se déplacer dans un pays de soleil. Pas de pognon pour commencer l'entreprise. Les banques reprennent tout ce qui est disponible pour apurer les dettes. Le scénario continue dans un imbroglio d'événements annexes, sortis de l'imagination secrète du scénariste.
Lujourd'hui retraité, toujours un peu opportuniste, mais "à la casse", j'aurais pu choisir "Confiance" au lieu de Allusion, suivant le cactus de mardi, avec le scénario style "Lizz Truss" puisque avec un "t" à la place du dernier "s" cela devient "trust" qui se traduit par "confiance"
C'est dire qu'il y a de la matière à discussion et à réflexion sur l'holacratie est toujours de rigueur même après la retraite même sous protection judiciaire si besoin.
Ce n'est plus la productivité qui est le problème des petites entreprises, mais assurer la rentabilité.
Le capitalisme s'est basé sur la quantité pour assurer ses revenus par des prix cassés et pas sur la qualité de ses produits.
Dis, Hallo Ween, fais-tu toujours aussi peur aux enfants ?
Quand se manifeste Halloween avec des bad dreams des grands, rappelle-toi que ce n'est que temporairement, pour un seul jour, car le lendemain, on fête tous les saints.
Selon un autre cactus, même les hommes politiques préparent Halloween
Le père des robots, Isaac Azimov disait dans son testament : avec la science-fiction, on arrive à tout avec une certaine avance.
Ce dimanche, au Château de la Hulpe, j'ai pris le chemin de la Lanterna Magica à la rencontre des trolls. J'ai même été aidé par un couple qui m'indiquait où il y avait des trolls qui se cachaient dans les bois.
Le Château de la Hulpe a toute une histoire privée passée au public, racontée dans "Un début d'avril sans poisson"
Quel est le lien entre tout ce qui précède ?
L'esprit américain et le pognon qui fait avec lui un excellent ménage.
Il commence aux Etats Unis et finit, avec un peu de retard, par atterrir en Europe.
The Office – “Halloween”
Les espoirs de Michael pour une grande fête tournent mal lorsqu’il doit décider qui licencier, mais cela n’entame pas la rivalité toujours divertissante entre Phyllis et Angela, les organisatrices de la fête. Jim inaugure son premier costume de la série, des cercles noirs sur sa chemise pour représenter un poinçon à trois trous, tandis que Kelly se déguise en Dorothée du Magicien d’Oz. Michael se présente avec une autre tête de Michael sur l’épaule, et Phyllis, Angela et Pam arrivent toutes déguisées en chats.
L'esprit américain et le pognon qui fait avec lui un excellent ménage.
Il commence aux Etats Unis et finit, avec un peu de retard, par atterrir en Europe.
Halloween cela pourrait être avec Arpo:
... ou Halloween Ends avec l'autodérision de Jamie Lee Curtis qui annonce que "la final girl n'est plus seule en victime. Personne n'en ressort indemne. C'est le processus normal de l'évolution. Mais cela va aller "ok" en affrontant ses peurs et ses choix"...
Allusion
PS: Préversion de ce billet sur Agoravox.fr
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31/10/2022: Dracula
Ce soir, les nutons sont de sortie
13/11/2022 : Le cycle de Facebook alias Metavers est en phase descendante
30/1/2022 : Le manager des Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique
14/1/2024 : En France, des sociétés sans management et sans hiérarchie
Commentaires
Quel Temps pour notre planète
https://www.rtbf.be/auvio/detail_quel-temps-pour-notre-planete?id=2954261&utm_campaign=RTBF_ACRM_action-de-promo_Ensemble%20pour%20la%20plan%C3%A8te_%2027-10-2022&utm_medium=email&utm_content=ond&utm_source=RTBF_ACRM
Écrit par : Allusion | 27/10/2022
Article futuriste écrit en 2007
Le bâton et plus beaucoup de carottes
http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2005/08/04/le-baton-et-plus-beaucoup-de-carottes.html
Écrit par : Allusion | 27/10/2022
Les lieux les plus hantés dans le monde
1.Aokigahara (Japon)
De nombreuses légendes de fantômes errants circulent dans la célèbre "forêt de ceux qui se donnent la mort" au Japon. Une étendue d'arbres où règne le silence. Elle est située au pied du mont Fuji (dans la préfecture de Yamanashi) et le nombre de personnes qui choisissent de s'y rendre pour mettre fin à leurs jours est tel qu'il y a un panneau à l'entrée qui dit : "Ta vie est un beau cadeau de tes parents. Songe à tes parents, frères et sœurs et enfants. Ne garde pas ça pour toi. Parle de tes problèmes".
2. Manoir de Woodchester (Angleterre)
Woodchester Manor dans les Cotswolds, en Angleterre, est l'une des maisons les plus hantées de Grande-Bretagne. La légende parle d'apparitions sans fin qui ont même impressionné les différents groupes de chasseurs de fantômes venus sur les lieux pour enquêter. L'activité paranormale est intense et comprend des spectres, des psychophonies ou des changements brusques de température...
3. La ville de Belchite, à Saragosse (Espagne)
Si nous parlons de villes fantômes, une place de choix doit être réservée à la ville espagnole de Belchite, à Saragosse. Abandonnée après la guerre civile espagnole, il est aujourd'hui possible de faire des visites nocturnes pour en savoir plus sur les histoires mystérieuses qui entourent le lieu. Des cris d'enfants, des ossements déterrés les jours de pluie ou différentes apparitions, font partie de certains d'entre eux...
4. Cimetière de Greyfriars, Édimbourg, Écosse
Le cimetière de Greyfriars à Édimbourg (Écosse) est l'un des plus terrifiants à cause des histoires de poltergeists qui circulent à son sujet. Des centaines de personnes ont défendu avoir été attaquées par l'esprit de George Mackenzie, avocat royal écossais à la pointe de la politique de persécution du roi Charles II en Écosse contre les covenantaires presbytériens (il en fit exécuter des centaines). On parle de brûlures, de morsures et même de possessions. Le problème a pris une telle ampleur que la zone où se trouve son panthéon a été fermée au public par les autorités.
5. Dakota Building à New York (États-Unis)
Le bâtiment Dakota à New York, celui-là même dans lequel John Lennon a été assassiné et où le film de Roman Polanski "The Devil's Seed" / "Rosemary's Baby" a été tourné, est une autre des enclaves mystérieuses les plus célèbres au monde. Diverses tragédies s'y sont produites dans le passé et on parle d'apparitions fantomatiques et de pratique de la sorcellerie et de magie noire.
6. Hôtel Stanley Colorado (États-Unis)
The Stanley Hotel, dans le Colorado, est un autre lieu ensorcelé qui apparaît dans un film culte. Une partie du film 'The Shining', réalisé par Stanley Kubrick et basé sur le travail de Stephen King, y a été tourné. Aujourd'hui, des itinéraires sont tracés pour le visiter et de nombreuses histoires sont racontées sur des fantômes et des événements inexpliqués qui se produisent à l'intérieur. Il se trouve à 8 kilomètres du parc national des Rocheuses et on parle d'une salle spécifique dans laquelle des choses très étranges se produisent : la salle 217.
7. Plaza Mayor à Madrid (Espagne)
La Plaza Mayor de Madrid a été le théâtre des procès de la Sainte Inquisition. De nombreuses personnes y ont été exécutées (la dernière en 1798) pendant longtemps. Plus de deux siècles plus tard, se succèdent les témoignages qui parlent de fantômes qui parcourent la place et d'autres événements paranormaux qui se produisent dans les maisons qui l'entourent.
8. L'île des poupées de Xochimilco (Mexique)
La légende raconte qu'un homme nommé Julián a trouvé le corps d'une femme noyée à cet endroit et, pour se protéger et chasser son esprit, il s'est consacré à placer des poupées dans toute l'île. Au fil du temps, ces poupées se sont détériorées, donnant au lieu une image plus qu'inquiétante.
9. Fort de Bhangarh (Inde)
Parler du fort de Bhangarh, c'est parler de l'un des endroits les plus envoûtés de l'Inde. On dit qu'il a été maudit par un magicien et que tous ceux qui entrent dans ses chambres au coucher du soleil ou avant l'aube disparaissent. Pour cette raison, les autorités locales en sont venues à interdire leur entrée.
10. Crumlin Road Gaol Belfast (Irlande du Nord)
C'est une prison de l'époque victorienne située à Belfast. On l'appelait l'Alcatraz européen pour ses mesures de sécurité extrême, et de nombreuses exécutions d'hommes et de femmes y ont eu lieu, dont beaucoup ont fini enterrés dans les murs du bâtiment. D'après ce que l'on dit, de nombreux fantômes continuent d'errer dans ses couloirs.
11. Hôtel Fairmont Banff Springs (Canada)
Un autre hôtel sur la liste, cette fois situé dans le parc national de Banff, au Canada. Selon les récits de certains invités, le fantôme d'une femme décédée le jour de son mariage, après être tombée dans un escalier, y apparaît régulièrement. Le fantôme d'un des anciens grooms, nommé Sam, aurait également été aperçu.
12. Chapelle des Os à Évora (Portugal)
Cette chapelle portugaise construite par les frères franciscains à la fin du XVIe siècle dans l'église de San Francisco est terrifiante, puisque, comme vous pouvez le voir, elle est constituée d'ossements humains. Elle a été construite pour sensibiliser à la fugacité de la vie, mais ce n'est peut-être pas pour les plus impressionnables.
13. Eastern State Penitentiary de Philadelphie (États-Unis)
L'Eastern State Penitentiary de Philadelphie, de style néo-gothique, a fonctionné entre 1829 et 1971. Al Capone lui-même y purgeait sa peine et c'était un pionnier, car c'était l'une des premières prisons à appliquer, plutôt qu'une peine, des projets consistant à essayer de réformer les prisonniers. Depuis l'arrêt de son activité, il y a eu beaucoup d'activité paranormale à l'intérieur : des ombres, des rires qui s'entendent dans une cellule, des portes qui se ferment toutes seules...
14. Colline des Croix (Lituanie)
Cette colline pleine de croix, située à 11 kilomètres de Siauliai (dans le nord de la Lituanie), regorge de légendes et d'histoires sur sa propre origine et sur les fantômes de toutes les personnes enterrées dans ses environs au cours des siècles. Une image sombre, comme l'est le son que l'on entend lorsque le vent passe entre les croix et les chapelets qui s'y accumulent.
15. Catacombes de Paris (France)
À 15 mètres sous le sol parisien se trouve cet immense cimetière créé aux XVIIIe et XIXe siècles pour décongestionner les cimetières bondés de la capitale française, pourtant surnommée la Ville Lumière. Un réseau de tunnels de plus de 300 kilomètres qui abrite les restes de quelque six millions de personnes de différentes époques. Pour cette raison, il n'est pas surprenant que différentes psychophonies aient été enregistrées et que des apparitions spectrales se soient produites.
Quartier français de la Nouvelle-Orléans (États-Unis)
16. Le quartier français de la Nouvelle-Orléans, berceau du vaudou aux États-Unis, est complètement hanté. Marie Laveau, considérée comme la reine vaudou de la Nouvelle-Orléans, y est née et y a vécu. Sa magie continuerait à ce jour à avoir un effet sur ce quartier mystérieux de la ville.
17. Winchester House en Californie (États-Unis)
C'est l'une des maisons les plus hantées des États-Unis. Sa construction a été commandée par Sarah Lockwood Pardee, veuve de William Winchester, héritier de la Winchester Repeating Arms Company. Elle est située à San José (Californie) et sa construction chaotique (il y a des labyrinthes ou des portes qui ne mènent nulle part) est conçue pour confondre les esprits qui auraient pu mourir à cause des armes fabriquées par l'entreprise de son mari.
18. Île de Poveglia (Italie)
L'île de Poveglia, située entre Venise et le Lido, dans le nord de l'Italie, était autrefois connue sous le nom de "l'île des morts", car c'est là qu'étaient envoyées de nombreuses personnes touchées par la peste qui a ravagé l'Europe au XIVe siècle. Il n'est donc pas surprenant que des événements mystérieux se produisent dans ses environs.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/insolite/les-lieux-hant%C3%A9s-les-plus-inqui%C3%A9tants-du-monde/ss-AA13tsFz?ocid=msedgntp&cvid=43dd765145ad429d87548c7caeba6839#image=1
Écrit par : Allusion | 29/10/2022
Les meilleurs épisodes d'Halloween de nos séries télé préférées
C’est la période de l’année où de nombreuses personnes se tournent vers les films d’horreur pour combler leur soif d’Halloween, mais nous aurions tort de négliger ces trésors pondus pour le petit écran... Revisiter ces grands moments, où des personnages bien-aimés de la télé offrent des tours, des friandises et des costumes inoubliables, est la façon idéale de célébrer la veille de la Toussaint.
Community – “Epidemiology”
Uproxx indique non seulement que cet épisode de la saison 2 de Community est un excellent épisode d’Halloween, mais qu’il est aussi l’un des meilleurs épisodes de toute la série, car « il semble presque impossible qu’autant de blagues puissent tenir en 22 minutes ». Dans cette version hilarante et mémorable du genre zombie, les étudiants costumés doivent se battre entre eux et contre des hordes d’étudiants affectés par la nourriture avariée que Dean Pelton (Jim Rash) fournit pour la fête d’Halloween.
Freaks and Geeks – “Tricks and Treats”
Il n’y a eu qu’une seule saison de Freaks and Geeks, mais c’était suffisant pour donner naissance à l’un des meilleurs épisodes d’Halloween. Lindsay (Linda Cardellini) déçoit sa mère (Becky Ann Baker) lorsqu’elle abandonne leur projet de distribuer ensemble des friandises pour l’Halloween afin de pouvoir passer du temps avec ses nouveaux amis. Pendant ce temps, Sam (John Francis Daley) et ses copains sont humiliés alors qu’ils font du porte-à-porte. Parvenant à être à la fois drôle et sincère, l’épisode met en vedette le duo sœur-frère que forment Lindsay et Sam, et montre comment les changements de l’enfance et de l’adolescence peuvent être à la fois puissants et dévastateurs.
“The Rocky Horror Glee Show”
L’un des films cultes les plus populaires et pervers de l’histoire The Rocky Horror Picture Show est revu sous un angle inattendu dans cet épisode d’Halloween de la saison 2 de Glee. Alimenté par la jalousie et un peu de rébellion, le leader du club Glee Will Schuester (Matthew Morrison) décide de laisser les enfants mettre en scène la comédie musicale controversée malgré les avertissements de Sue (Jane Lynch). Non seulement l’épisode illustre l’importance de repousser les limites dans l’art et la vie, mais il présente aussi des performances exceptionnelles, et des apparitions éclairs amusantes de Barry Bostwick et de Meat Loaf qui ont tous deux joué dans le film original de 1975.
Black-ish – “Jacked o’Lantern”
Lorsqu’un personnage d’une série télévisée adore l’Halloween, cela donne généralement des épisodes thématiques exceptionnels, comme c’est le cas de Dre (Anthony Anderson) dans la série Black-ish. Dans cet épisode de la saison 2, Dre doit affronter son cousin June Bug (la vedette invitée Michael Strahan), une brute notoire qui menace de gâcher la fête, même si Dre et Bow (Tracee Ellis Ross) sont absolument éblouissants dans leur costume de couple, Barack et Michelle Obama. Pendant ce temps, les enfants montrent que les problèmes familiaux sont présents, peu importe la génération, lorsqu’ils mènent leur propre bataille contre leurs propres cousins gênants
American Horror Story – “Halloween: Part 1”
La plupart des épisodes d’Halloween sont plus rigolos que terrifiants, mais American Horror Story a décidé de viser haut avec son épisode thématique de la saison 1. Plusieurs des mystères qui se sont accumulés au cours des premiers épisodes sont résolus alors que les vies des vivants et des morts s’entremêlent durant la nuit de l’Halloween. Les histoires terrifiantes de certains des résidents les plus effrayants sont racontées, notamment celles de l’homme caoutchouc et de l’entité du sous-sol. ScreenRant l’a classé parmi les 10 meilleurs épisodes de tout le catalogue d’AHS.
Parks and Recreation – “Greg Pikitis”
Tout grand personnage a besoin d’un ennemi juré, et dans cet épisode de la saison 2, Leslie Knope (Amy Poehler) doit affronter Greg Pikitis (Cody Klop), un adolescent Pawnee qui lui joue des tours chaque soir d’Halloween. Considéré comme le moment charnière qui a poussé la série à un nouveau standard d’excellence, cet épisode suit les histoires doubles de Leslie qui tente d’attraper le vandale et les tentatives d’Ann (Rashida Jones) pour transformer sa fête d’Halloween, et il donne à tous les personnages, et à leurs costumes, le temps de briller.
Stranger Things – “Trick or Treat, Freak”
La nostalgie est inscrite au cœur même de l’effrayante et captivante série Stranger Things, mais elle semble particulièrement présente
dans cet épisode Halloween de la saison 2. Nos jeunes amis préférés ont ainsi la chance de briller dans leurs costumes épiques de Ghostbusters, même s’ils sont embarrassés et malmenés. La peur est aussi au rendez-vous, alors qu’Onze (Millie Bobby Brown) se bat pour survivre seule dans les bois, que Nancy (Natalia Dyer) doit faire face à la mort de Barb et que Will (Noah Schnapp) continue d’être tourmenté par son séjour dans le Monde à l’envers.
Friends – “The One with the Halloween Party”
Il est difficile de croire qu’au cours de sa longue existence, Friends n’a eu qu’un seul épisode sur le thème de l’Halloween, qui se retrouve dans la saison 8. Heureusement, c’est un moment simplement mémorable, avec la présence toujours géniale d’Ursula (Lisa Kudrow, dans le rôle de la jumelle de Phoebe). Monica (Courteney Cox) et Chandler (Matthew Perry) organisent une fête costumée, mais Chandler est loin d’être d’accord quand Monica insiste pour qu’il se déguise en lapin rose. Ross (David Schwimmer) arrive avec un costume encore pire que celui de Chandler, et les deux se lancent dans un bras de fer épique. Des points bonus devraient être accordés pour la décision parfaite de Gunther (James Michael Tyler) de se déguiser en Charlie Brown.
30 Rock – “Stone Mountain”
Peu importe la série, la présence de Betty White comme invitée vedette est garante de succès, et dans ce cas, ce n’est qu’un des moments forts de l’épisode de la saison 4 de 30 Rock. Lorsque Tracy (Tracy Morgan) craint que la « règle des trois » concernant la mort des célébrités signifie qu’il sera le prochain, il complote pour tuer une autre célébrité, révélant qu’il a joué dans un film intitulé R*ppingGrandma avec la légendaire actrice. Pendant ce temps, Jenna (Jane Krakowski) tente de se lier d’amitié avec les scénaristes afin d’assurer son avenir dans l’émission TGS, tandis que Liz (Tina Fey) et Jack (Alec Baldwin) se rendent dans la ville natale de Kenneth (Jack McBrayer) pour l’Halloween.
The Big Bang Theory – “The Good Guy Fluctuation”
Les farces sont une partie importante des épisodes d’Halloween de The Big Bang Theory, mais l’épisode de la saison 5 intitulé « The Good Guy Fluctuation », dans lequel Sheldon (Jim Parsons) tente de se venger pour les tours qui lui ont été joués, montre parfaitement l’alchimie entre les acteurs. Pendant ce temps, Leonard (Johnny Galecki) est tenté par une séduisante employée de magasin de bandes dessinées (Courtney Ford).
Modern Family – “Halloween”
Dans une comédie de situation connue pour ses épisodes exceptionnels sur le thème d’Halloween, l’épisode de la saison 2, qui porte le titre plutôt fade « Halloween », est sans doute le meilleur. Claire (Julie Bowen) est obsédée par l’Halloween, et demande aux membres de la famille de jouer des rôles afin de transformer leur maison en une maison hantée épique. La transformation de la maison et des personnages aux costumes élaborés est, comme dans la plupart des émissions de TV Land, incroyable mais néanmoins amusante à regarder. Comme on pouvait s’y attendre, l’événement donne lieu à des prises de bec et à des querelles entre les membres de la famille, mais crée aussi des moments hilarants et donne aux personnages de se réunir dans une ambiance effrayante à la fin.
Brooklyn Nine-Nine – “HalloVeen”
Les épisodes de casse de Brooklyn Nine-Nine n’ont pas toujours eu lieu à l’Halloween, mais c’est la fête qui a lancé la tradition et qui a également donné lieu à certains des moments les plus divertissants de la série. Il est toujours amusant de voir l’équipe se jouer des tours alors qu’ils font tout pour devenir Le génie humain ultime, mais l’épisode « HalloVeen » de la saison 5 a la satisfaction supplémentaire d’offrir un moment romantique, grâce à la demande en mariage parfaite de Jake (Andy Samberg) à Amy (Melissa Fumero). Avec l’enlèvement de Cheddar, le chien adoré de Holt (Andre Braugher), et un gag étonnamment drôle de Handmaid’s Tale, cela donne lieu à un épisode inoubliable.
Buffy The Vampire Slayer – “Halloween”
Presque n’importe quel épisode de Buffy peut être considéré comme un excellent divertissement pour cette fête amusante et macabre, mais l’épisode de la saison 2 « Halloween » est certainement l’un des meilleurs de la série. Le concept, lorsque tout le monde devient le costume qu’il porte à cause d’un mauvais sort, est excellent. Willow (Alyson Hannigan) devient un fantôme, Xander (Nicholas Brendon) se transforme en soldat et Buffy (Sarah Michelle Gellar) devient une demoiselle en détresse peu caractéristique. C’est à la fois amusant avec des personnages bien-aimés qui agissent d’une manière parfaitement inhabituelle, et effrayant avec l’ajout d’enfants délicieusement monstrueux.
New Girl – “Keaton”
L’amitié et l’Halloween vont souvent de pair, et c’est pourquoi cette épisode de la saison 3 de New Girl
tire sur notre corde sensible même s’il nous fait rire à coup sûr. Alors qu’un chagrin d’amour divise Schmidt (Max Greenfield) et Cece (Hannah Simone), Jess (Zooey Deschanel) tente d’organiser une fête d’Halloween. Elle, Winston (Lamorne Morris) et Nick (Jake Johnson) se donnent beaucoup de mal pour faire croire à un Schmidt maussade qu’il communique avec son idole d’enfance, Michael Keaton, s’aventurant ainsi dans des souvenirs passés et des appartements potentiellement hantés.
Curb Your Enthusiasm – “Trick or Treat”
Larry le grincheux (Larry David) est une blague à lui tout seul dans la plupart des épisodes de Curb Your Enthusiasm, mais sa nature cynique s’exprime pleinement et de façon hilarante dans cet épisode d’Halloween de la saison 2. Lorsque des adolescents se présentent chez lui sans costume, Larry s’offusque de leur culot et refuse de leur donner des bonbons. « Oui, c’est l’Halloween mais ça ne veut pas dire que vous pouvez aller chez les gens et leur extorquer des bonbons », dit-il. Sans surprise, ils sont agacés et préparent leur vengeance.
How I Met Your Mother – “The Sl*tty Pumpkin”
Le trope de la « personne qui nous a filé entre les mains » fournit la prémisse pour la plupart des épisodes de How I Met Your Mother, mais s’avère particulièrement drôle
dans cet épisode d’Halloween de la saison 1. Barney (Neil Patrick Harris) et Ted (Josh Radnor) assistent à une fête dans l’espoir de retrouver la séduisante mais non identifiée « Sl*tty Pumpkin » que Ted a rencontrée des années auparavant et qu’il croit être son grand amour. C’est un mystère de longue date qui traverse toute la série et qui sert de base à l’épisode tout aussi génial de la saison 7 où l’identité de la dame déguisée en question est finalement révélée.
Beverly Hills 90210 – “Halloween”
La plupart des épisodes d’Halloween versent davantage dans le divertissement que la morale, mais cet épisode de la saison 2 de la série populaire des années 1990 parvient à être à la fois divertissant et significatif. L’équipe de Beverly Hills s’est rendue à une fête d’Halloween, avec Donna (Tori Spelling) qui porte un costume de sirène dans lequel elle peut à peine bouger, et Kelly (Jennie Garth) qui porte un séduisant costume de sorcière. Après qu’un homme ait tenté de l’agresser, elle s’en veut. Par bonheur, Dylan (Luke Perry) offre à Kelly des mots de sagesse : « Je veux que tu saches qu’en tant qu’homme, peu importe à quel point une femme est attirante, il a toujours le choix, il peut décider de ne pas lui faire faire quelque chose qu’elle ne veut pas faire... Tu as dit ’non’ ».
Superstore – “Costume Competition”
Les bonnes comédies de situation réussissent à être hilarantes même si elles éduquent, ce qui est le cas avec cet épisode rigolo de la saison 4 de Superstore. Lorsque Glenn (Mark McKinney) annonce que le prix du concours annuel de costumes des employés est un jour de congé payé – un cadeau rare dans le monde de la vente au détail –, Mateo (Nico Santos) et Amy (America Ferrera) ne tardent pas à faire remarquer que les costumes des autres sont des exemples d’appropriation culturelle. Bien sûr, on remarque rapidement que le costume de Super Mario d’Amy pourrait également renforcer un stéréotype racial.
The Simpsons – “Treehouse of Horror”
Les esprits derrière le tout premier épisode de « Treehouse of Horror » en 1990 ne savaient probablement pas qu’ils allaient lancer une tradition d’Halloween qui dure depuis plus de 30 ans pour les amateurs de télévision, mais c’est exactement ce que sont devenus les épisodes annuels effrayants et satiriques des Simpsons. Les critiques peuvent débattre tout leur soûl sur lequel de ces épisodes toujours drôles est le meilleur, mais notre cœur appartient pour toujours à l’original, qui comporte des segments rendant hommage au Corbeau d’Edgar Allan Poe et nous présente pour la première fois les extraterrestres hilarants Kodos et Kang.
Écrit par : Allusion | 31/10/2022
Avez-vous un chef toxique ?
L'importance d'un bon manager
Les gens sont prêts à quitter un bon emploi à cause d'un mauvais chef
Le PDG de l'agence de placement LaSalle Network, basée à Chicago, Tom Gimbel, a partagé un guide permettant de faire la différence entre un bon et un mauvais boss dans un article de CNBC Make It. M. Gimbel a déclaré au média : "Il y a une expression : "Les gens entrent dans une entreprise, mais ils quittent leur chef".
Le chef qui veut être votre meilleur ami
Un patron qui veut être votre meilleur ami semble être un patron génial... non ? En fait, pas du tout. Même s'il est bon de socialiser avec ses collègues, Tom Gimbel a déclaré que le patron BFF (best friend forever) donnera la priorité à l'amitié sur le leadership et la responsabilité.
Le patron "meilleur copain" est finalement juste une source de distraction
En outre, ils ont tendance à distraire leurs employés de leur travail, ce qui peut ralentir les progrès de toute l'équipe, car ce type de patron veut absolument être apprécié.
Le chef fantôme
Non, le patron fantôme n'est pas effrayant ou ne parle pas à des esprits étranges.... le patron fantôme n'est "tout simplement jamais là", selon Gimbel. Pourtant, il est difficile d'être un bon chef si l'on ne sait pas ce qui se passe sur le lieu de travail !
Selon Gimbel, le patron fantôme ne suit généralement pas le travail de son équipe et est difficile à joindre lorsque les employés ont besoin de lui. Par conséquent, les employés sont livrés à eux-mêmes et, sans recommandations ni conseils, il leur est difficile de s'orienter dans leur travail. En outre, les employés ne bénéficient pas d'un mentor, ce qui peut ralentir considérablement l'évolution de leur carrière.
Le chef narcissique
Le patron narcissique ne se soucie pas vraiment de ses employés. Sa principale préoccupation est ses propres soucis et sentiments, selon Gimbel. Si vous avez un patron narcissique, tout sera toujours centré sur lui. Lorsque le patron narcissique prend des décisions pour l'entreprise, il pense toujours à ce qui serait le plus bénéfique pour lui.
Les besoins de ses employés sont complètement négligés, ce qui donne à son équipe l'impression que le patron ne se soucie pas d'eux en tant qu'êtres humains. Pour rendre les choses encore plus frustrantes pour l'équipe qu'il dirige, le patron narcissique adore la flatterie et "s'attribuera le mérite des bonnes idées ou d'autres indicateurs de réussite", explique Gimbel.
Le chef "rouleau compresseur"
Tout le monde veut un chef qui travaille dur ; travailler dur est une bonne chose, non ? Eh bien, le patron "rouleau compresseur" semble ne jamais cesser de travailler et peut vous donner l'impression que vous devriez faire de même.
Selon Gimbel, ils peuvent donner à leurs employés l'impression d'être des "exécutants de qualité inférieure" s'ils ne font pas constamment des heures supplémentaires comme leur patron. Pour aggraver les choses, un patron "rouleau compresseur" n'est jamais satisfait du travail de ses employés, ce qui les pousse à faire des heures supplémentaires sans jamais atteindre les normes ridiculement élevées de leur patron.
Le chef ultra motivant
Un patron doit être motivant, sans aucun doute ! Gimbel caractérise le patron ultra motivant comme celui qui "vous encourage lorsque vous avez des difficultés, vous tapote le dos lorsque vous accomplissez quelque chose et vous offre toujours son soutien lorsque vous en avez besoin." Gimbel dit qu'ils ont tendance à être très optimistes et veulent que leurs employés "voient le bon côté des choses."
Ça semble être un patron plutôt sympa à avoir, non ? Eh bien, l'optimisme constant a des inconvénients. Gimbel dit que cela peut "devenir un peu lassant parfois". L'autre problème du patron ultra motivant est qu'il a tendance à balayer les mauvaises nouvelles et à ne pas reconnaître les problèmes en raison de sa positivité.
Le chef explosif
Selon Gimbel, le patron explosif et le patron fantôme sont assez similaires car ils ne donnent pas beaucoup de conseils et "ils ne sont pas vraiment intéressés par le travail que vous faites". Cependant, le patron explosif est sans doute beaucoup plus stressant, car il finit par "exploser" comme un volcan lorsqu'une tâche n'est pas accomplie selon sa satisfaction.
Bien sûr, un patron explosif n'a pas tendance à mener beaucoup d'auto-réflexion, car s'il le faisait, il se rendrait probablement compte que les erreurs dans le travail de ses employés sont en grande partie de sa propre responsabilité, en raison de son manque d'implication et de conseils. Heureusement, le patron explosif est plutôt rare, et les chances que vous en soyez un ou que vous en rencontriez un sont plutôt faibles.
Patron responsable mais bienveillant - le meilleur type de patron
Dans l'article de CNBC Make It, Gimbel a déclaré qu'un patron responsable mais bienveillant est le meilleur patron à avoir. Gimbel a déclaré : "Il vous donne un feedback honnête sur votre travail, qu'il soit bon ou mauvais, et vous met au défi de donner le meilleur de vous-même." Le patron responsable mais bienveillant considère ses employés comme des êtres humains et sera donc accommodant et compréhensif en cas de problèmes personnels, etc.
Malheureusement, selon Gimbel, il n'existe que très peu de patrons responsables mais attentionnés. Toutefois, si vous avez la chance de trouver un patron qui essaie au moins de traiter ses employés de cette manière, estimez-vous heureux.
https://www.msn.com/fr-be/lifestyle/other/avez-vous-un-chef-toxique-lisez-pour-le-savoir/ss-AA13lFbi?ocid=msedgntp&cvid=be1bb41e3f0b4d6f9c7c2a70865d91d6#image=1
Écrit par : Allusion | 29/10/2022
Happy Halloween ?
La panique à Séoul: 146 morts et 150 blessés dans une bousculade lors d'une fête d'Halloween
En Corée du Sud, les responsables des secours parlent d'arrêt cardiaque tant qu'un médecin n'a pas officiellement prononcé la mort d'une personne.
Un porte-parole des pompiers avait confirmé plus tôt dans la soirée que 140 ambulances avaient été déployées sur les lieux pour prendre en charge les victimes.
Les victimes semblent avoir été prises dans des mouvements de foule dans ce quartier où les célébrations de Halloween rassemblent un grand nombre de personnes dans la capitale sud-coréenne.
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a demandé de préparer les hôpitaux à accueillir les blessés, a indiqué la présidence
https://www.lalibre.be/international/asie/2022/10/29/des-dizaines-de-personnes-en-arret-cardiaque-aux-celebrations-de-halloween-a-seoul-MFDEFC6BLBDSROUITZ33NLXQSM/https://www.lalibre.be/international/asie/2022/10/29/des-dizaines-de-personnes-en-arret-cardiaque-aux-celebrations-de-halloween-a-seoul-MFDEFC6BLBDSROUITZ33NLXQSM/
Écrit par : Allusion | 30/10/2022
"Les sorcières ont bon dos"
http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2021/11/03/les-sorcieres-ont-bon-dos.html
Écrit par : Allusion | 31/10/2022
Meta : Mark Zuckerberg perd plus de la moitié de sa fortune en 2022 !
Près de 111 milliards de dollars sont partis en fumée
Selon les données de Forbes, Mark Zuckerberg aurait perdu de l'argent. Au mois de novembre 2022, sa fortune est estimée à 33,5 milliards de dollars.
Changement radical en quatre ans
Mark Zuckerberg fait toujours partie des 50 personnes les plus riches du monde, mais il ne fait plus le poids, comme en 2018, face à des adversaires comme Elon Musk ou encore Jeff Bezos.
La question est la suivante : que s'est-il passé pour que la fortune de Mark Zuckerberg diminue de la sorte ? Réponse : le métaverse.
Un pari sur le long terme
Le métaverse était un investissement qui visait à changer la réalité telle que nous la connaissons. Malheureusement, cela n'a pas eu les effets escomptés.
Le métaverse continuera de chuter
Rien qu'en 2021, META a investi plus de 10 milliards de dollars dans le métaverse et Mark Zuckerberg lui-même a déjà prévenu que cet espace virtuel encore en construction continuera de chuter au cours des cinq prochaines années.
Moins de 100 euros
En 2022, les actions META ont chuté de plus de 70 %, passant de 330 euros en janvier 2022 à moins de 90 euros début novembre.
Chiffres de 2015
L'action de META n'a pas été inférieure à 90 dollars depuis juillet 2015, alors que Barack Obama était encore président des États-Unis.
Appel au calme des investisseurs
Malgré la 'chute', Mark Zuckerberg garde son calme et reste confiant dans son projet.
Il a confiance en son projet phare
L'entrepreneur en est persuadé : le métaverse va changer l'avenir du monde entier, mais cela nécessite des investissements à court terme.
l ne fait plus partie du club des milliardaires
En attendant que cet avenir se dessine, sa firme qui jouait des coudes aux côtés d'Apple, Microsoft et Amazon, des entreprises qui valent des milliards, META n'en fait plus partie.
Des centaines de milliards de dollars
En réalité, la valeur de META en tant qu'entreprise représente environ 25 % de ce qu'elle était il y a quelques mois (240 milliards de dollars en novembre).
Il n'est plus dans le Top 20 des entreprises américaines
Cela signifie que Facebook ne figure actuellement pas parmi les 20 premières entreprises en termes de capitalisation boursière aux États-Unis.
De l'investissement à la durabilité
Après la mise en œuvre du métaverse, il recherche désormais un moyen de soutenir l'entreprise pour limiter les pertes (et donc sa fortune).
Si META chute...
Mark Zuckerberg possède plus de 350 millions d'actions de l'entreprise. En d'autres termes, si META chute, cela pourrait le conduire à sa perte.
https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/meta-mark-zuckerberg-perd-plus-de-la-moiti%C3%A9-de-sa-fortune-en-2022/ss-AA14X9ow?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=c84a61f12aad4f5483b13ba4da7c6245#image=1
Écrit par : Allusion | 07/12/2022