Des idées plein la tête (28/12/2014)

2014 s'en va et 2015 arrive. Et si on se mettait des idées plein la tête pour garer notre sérieux au placard puisque c'est encore la trêve de Noel avant de reprendre le collier... 

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Bilan de 2014:

Oui, j'aurais voulu être fumiste en décrivant cette année.

Qu'est ce qui l'a marqué?

Si je m'en réfère aux titres de mes billets, après des pré-élections très poissonneusesdes débats qui frisaient la radio-activité, l'Europe tournait en Big Bang  en deux nouvelles équipes aux deux commissions avec Jean-Claude Juncker d'un côté et Donald Franciszek Tusk, deux noms exotiques auxquels nos oreilles devront s'habituer.   

 

Cette année, on a fêté en grandes pompes, le centième anniversaire de la guerre 14-18 et celui de la radio.

0.jpgDans les Caraïbes, les relations semblent se réchauffer entre Cuba et les Etats-Unis, normal puisque 2014 a été l'année la plus chaude enregistrée dans l'histoire de la météorologie 

Un été qui a été torride même pour plusieurs raisons.

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Entre Russie et l'Occident, les relations se refroidissaient ou si elles se réchauffaient c'était par les armes. Poupou joue à qui perd gagne ou l'inverse, on ne sait plus très bien.  


L'Etat Islamique, tout excité, avait du coup, des envies d’extension et de radicalisation du style "dji-hot-had chariatissiment vôtre", tandis que le pape François manœuvrait son autre monde. 

Le mystérieux virus Ebola, très protéiné, a joué au racket en maître du camouflage.   

Hors du soleil, dans la pénombre, les riches avaient triomphé et les puissants redessinaient le monde. Mais, il y avait des fuites, des "leaks".

0.jpgPas la grosse fuite dont on se rappelait le dixième anniversaire sous forme de tsunami qui avait déboussolé pompiers et plombiers. Noël se terminait très mal sur les plages paradisiaques et laissent encore des souvenirs meurtris chez les survivants.

Cette année, le science et la technologie ne se sont pas endormis en s'alliant comme de joyeux lurons.

Le duo Rosetta et Philae ont réalisé l'exploit en s'installant à bord d'un comète dont on ne se souvient même pas du nom.  

Donc, il faut rendre la vie plus "smart" avec les technologies. Cela irait si l'on oublie la cyberguerre et si les presque humains en venaient à troubler notre sérénité.

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Vient la question du bien-fondé du progrès, de la productivité, de la croissance, de la culture, des études, des relations, des langues et de la famille...

Une "annus obscurus" se préparait après avoir fait sauter les plombs de centrales nucléaires.

Une année people qui a vu partir quelques grands de ce monde et apparaître des petits noms qui grandiront comme par enchantement avec les années futures.

Des Diables Rouges ont remué le sang de la samba brésilienne au grand dam d'autres qui se croyaient déjà monter sur le podium de la gloire ballonnée.    

Vraiment, 2014 fut une année avec des idées plein la tête pas toujours très gaies. 

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Prévisions pour 2015:

Cette année, Attali avait sorti son roman-fiction "Le prédicateur". Il se déroulerait en 2015 et avait une vision pessimiste du futur d'un monde, considéré comme très fragile dans lequel "On frôlerait la troisième guerre mondiale, avec une menace qui semble venir de la Russie.". 

"Prédire l’avenir collectif est beaucoup plus facile en connaissant bien le passé. J'écris pour les générations futures. La distinction entre le politique et l’homme d’Etat : l’un pense à l’instant, l’autre à l’avenir.", disait-il.

A l'en croire, il serait, comme homme d'Etat, un bienfaiteur pour les générations futures pour ne pas dire de l'humanité.

Peut-être lui faudrait-il penser à la génération d'aujourd'hui car si celle-ci ne passe pas la barre, les suivantes  risquent de ne même pas penser à monter sur la première marche.

Un petit texte parlait de lui avec un certain dégoût dans "Les leçons de Jacques Attali", mais bon, il fait ce qu'il peut, il ne faut pas confondre avec Attila.  

L'idée intrinsèque de son dernier livre intitulé "Devenir soi", c'est de prendre le pouvoir sur sa vie pour réveiller les consciences et la France, de créer le vade-mecum qui permettrait de vivre dans un autre environnement moins délétère.

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Pas à dire, il a une technique de persuasion quand il écrit plus vite que l'ombre de sa plume comme Lucky Luke tire avec ses flingues tandis que Hollande s'attire les foudres. 

Dans un film d'horreur, ce serait le suspense avec l'électro-choc final qui secouerait les puces de Dracula quand celui-ci a une seule envie de sucer une rasade de sang dans le cou de sa victime. A la suite d'une telle image, on verrait, sur la petite lucarne, la mention "Z" de Zorro et la question "Est-ce qu'il va réussir? Vous le saurez au prochain épisode". 

Cher Monsieur Attali, il faut changer de paradigme, ce n'est pas une crise, mais une mutation, nul ne le conteste mais pas de paradis et risquer de perdre un spectateur à cause d'une attaque. Au lecteur, il lui faut le temps d'imaginer et de respirer.

Début octobre, il citait, dans un interview du Paris-Match belge, quelques "idées géniales" qui passeraient par la défense, la rénovation du modèle social, la création d'un fédéralisme européen et d'un fédéralisme de la francophonie.

Pas d'intention d''inventer l'avenir par la modernité dont la croyance en la fatalité s'acharnerait à s'enfermer à jamais dans des pensées de jadis.

Écrivain, reconnu expert comme futurologue en goguette, il tente ainsi d'imposer sa vision du futur dans le débat publique en perte de repaires. 

Dernièrement, il écrivait un article dans le VIF sous le titre "Ecologie et spiritualité". Il était question d'une "rencontre explosive" qui pourrait exister entre deux forces considérables, porteuses du meilleur comme du pire.

Explosives par l'association de la protection de la nature avec celle de l'âme en une idéologie nouvelle avec un parfum et une musique "New wave".

Dans une certaine forme d'immortalité, cette force nouvelle éradiquerait les valeurs de la liberté individuelle, la croissance marchande, les caprices de l'immédiat tout en se servant de la démocratie comme support. 

En résumé, on assisterait à un combat antagoniste de valeurs écologistes et évangélistes comme un "Double vert", devenu presque intégriste dans une alliance cyniquement utilitaire.

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Il s'agirait d'éviter les totalitarismes et les désastres tout en donnant les pleins pouvoirs au long terme pour triompher de leur cause commune qui, sinon, risquerait sinon d'y parvenir par des méthodes violentes.

Serait-ce vaincre le mal par le mal par homéopathie ou par le supplice de Midas qui avait le désir d'accumuler des richesses en vue d'obtenir le Bonheur Parfait, mais qui transformait tout ce qu'il touchait en or et s'empêchait ainsi de manger et de boire?

Je ne connais pas vraiment Attali, mais il me semble être un alchimiste qui n'a pas encore atteint le stade du chimiste et qui ferait de l'or par un clic entre le pouce et le majeur, suivi d'un déclic, pour qu'il commence à couler.  

Sortir la France de la lessiveuse en retirant le bouchon demande un changement de mentalité.

Pour conduire, il faut regarder autant dans le rétroviseur que devant soi et constater si ses prévisions se sont réalisées en regardant l'avenir sous peine de ne pas se planter dans le plexiglas de la vitre avant.

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Un billet de fin d'année 2008 reprenait les idées de Jacques Attali dans un petit essai « Une brève histoire de l’avenir » qui vaut le détour.

2008, l'année pendant laquelle on sortait de la pleine illusion de la croissance et la première crise bourgeonnait. On sait, depuis, qu'elle a créé une contagion.

La Saxo Bank danoise en rajoutait une couche avec des prévisions scandaleuses pour 2015:

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En 2008, un autre billet écrit au sujet de la Belgique, disait: "A regarder les télés, à écouter les radios, à lire les journaux, on se demandait, ces jours-ci, si la consommation n'était pas le surmoi des médias. Qu'il tombât, le gouvernement, ne faisait plus de doute, mais comment il se recevrait, telle était la question. Les questions traditionnelles restent, du genre : «Y aura-t-il de la neige à Noël ?», furent remplacées par ces interrogations postmodernes et contemporaines que sont désormais : «La crise affectera-t-elle les cadeaux de Noël ?», «La récession aura-t-elle un impact sur les réveillons ?», «Les soldes vont-ils connaître une dépréciation ?»… Mais, au fur et à mesure, comme si l'on nous livrait des nouvelles du front, nous fûmes progressivement rassurés. Le cours de la dinde restait stable, comme celui du sapin et celui des paquets sous le sapin. Les cotillons avaient la cote, les confettis s'égaillaient, le feu d'artifice même fut de retour. Quant au premier jour des soldes, il se solda par un communiqué de victoire, et pour ce qui était des séjours à la montagne, on nous fait vite savoir qu'il n'y avait plus un ski à louer ni une chambre à trouver. Nous vécûmes ainsi 15 jours de confiance retrouvée. De sorte que l'on se demanda aussi de quel enthousiasme il nous faudrait encore faire preuve, nous autres consommateurs, pour que les médias s'en aillent dire aux bourses d'enfin rebondir et de sautiller encore. De sorte aussi que nous sortîmes de ces 15 jours passablement harassés: car ça oui, nous l'avions fait, notre boulot! Petits porteurs de cadeaux et de cabas, sans doute, mais ouvriers qualifiés de la croissance positive, certainement. Aussi bien, nous autres qui sommes piètres économistes, voudrions avancer deux solutions qui n'en font qu'une: que les prix soient plus bas tous les jours et que ce soit fête toute l'année. Certains d'ailleurs l'ont bien compris puisque c'était hier l’Épiphanie et que c'est aussi demain. Nous aurons donc deux fois l'occasion de tirer les rois. Mais à bien y réfléchir, fêter deux fois Gaspard, Balthazar et Melchior n'est pas du luxe par ces temps bibliques. Car aujourd'hui, voyez-vous, on pense beaucoup aux Rois Mages et aux difficultés qu'ils auraient eu à choisir la bonne étoile avec toutes ces lumières dans le ciel, en terre sainte.".

C'était en 2008. On pourrait croire que l'article a été écrit hier. Immobilisme? Pas vraiment. Un grand jeu d'échec avec un pat en finale? Peut-être. Mais plutôt, un jeu de l'Oie avec des dés pipés qui suivraient les tendances dans le vent pour les uns ou qui enverraient, trop souvent, dans la case prison pour d'autres.    

Chacun participe insensiblement à la recherche d'un confort au prix minimum, voyons....

Pour lever le pied de l'accélérateur, cela demande un certain recul en touchant le fond, facilitant le rebond pour voir la vie autrement.

Cette année encore, l'humour n'était pas souvent de la partie dans l'actualité.

En Belgique, les dernières grèves perlées ont coûté 200 millions d'euros à l'économie sans tenir compte de l'image internationale désastreuse que cela a généré. L'industrie technologique aurait payé le prix fort avec une facture de deux millions d'euros. 

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Un mail m'annonçait le billet "Les robots vaincront-ils la pauvreté" avec sous-titre "Conte de Noël".

Pour être un conte de Noël, il aurait fallu imaginer faire parler des robots aux humains avec humour.

A ma remarque, la réponse de l'auteur fut: "Ce billet a commencé par l'idée d'un conte, dans l'esprit que vous évoquez, mais le sujet lui-même m'en a écarté, m'interdisant de prêter à l'irruption des robots dans notre existence, avec ce qu'il y a lieu d'en attendre socialement, l'issue heureuse concluant généralement un conte de Noël. J'ai néanmoins conservé cette mention pour qualifier l'article par une sorte d'ironie nostalgique, avec une pointe de provocation".

J'ai baigné dans cet environnement numérique pendant tant d'années pour en connaître quelques soubresauts. 

"2014, l'année de toutes les provocations", titrait le VIF. "La provocation a des vertus" écrivait son éditorialiste.  

La provoc a toujours constitué le ressort de mon pseudo et je n'en ai pas manqué même si, parfois, elle n'est pas toujours le reflet de ce que je pense et est là pour approcher le vrai en prêchant le faux comme le ferait un "menen" pour concurrencer les femens..

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Fin 2013 on disait de 2014, qu'elle serait une année de mutations et j'avais souhaité pour cette année 2014:

Un tiercé dans le désordre et un sentiment de trop peu ou d'avoir presque tout faux subsistent à voir le monde tel qu'il est devenu. 

La posologie et les effets secondaires n'ont pas été lus sur la boîte miracle.

Ne serait-ce pas le moment d'écrire une autre histoire dans une communion de magies, de farces et attrapes?

La France ne va pas bien à bâbord. La Belgique a changé de cap vers tribord. Mais c'est la hargne qui maintient la pression. 

Le nouveau livre de Florence Aubenas, "En France" dit à quel point, la France peut être malade, mais c'est loin d'être une prédication.

0.jpgElle s'en vante toujours d'être née à Bruxelles.   Dirait-elle "salut en de kost".

Rien à voir avec "Le suicide français" de Zemmour qui avec sa p'tite entreprise ès polémiques, ne connaît pas la crise. Si on peut rire de tout, on ne peut pas dire que cela soit avec n'importe quoi et n'importe qui, surtout quand il s'agit de faire sombrer les derniers gouttes d'espérance dans un océan d'amertumes.0.jpg 

La thèse de Zemmour est décliniste. Elle vilipende le féminisme, l'homosexualité, l'antiracisme, la modernité, les élites, l'écologie et mai 68 en cherchant son prêt-à-penser par la peur comme il est écrit dans le petit livre "Contre Zemmour" écrit entre autre par Noël Mamère.

Bizarre que quand la situation devient grave mais pas désespérée, parfois, elle devient désespérée mais ce n'est plus du tout grave.

Zemmour aime polémiquer avec des gens qui lui sourient et qui demandent des autographes.

Heureusement, Alex parlait de Zemmour avec humour: 

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Dans le billet "Bon débarras 2014", la française, poil à gratter du web, disait: "Que 2015 soit l'année des teignes, des casse-couilles, des gratte-culs, des emmerdeurs, des gueux, des grains de sable, des empêcheurs de bétonner en paix. Pas sûre que ça en fasse une année plus plaisante que les autres, mais déjà, on s’y ferait moins chier et on commencerait à pouvoir espérer que les années à venir seront meilleures ! Rien que ça !".

En début de semaine, la Première invitait Adil El Arbi, qui avait gagné le concours"De slimste mens ter wereld" (l'homme le plus intelligent du monde" à la télévision flamande. Habitant Bruxelles, originaire du Maroc, il avait gagné ce concours et ce qu'il disait ne manquait pas de vérités.  

Qu'est-ce qui fait que les frontières bougent, que les mentalités changent et que les nostalgies du "bon vieux temps" ne déraillent pas trop dans l'affrontement?

L'humour...mais un humour conscient et parfois sarcastique. 

Vouloir rire de tout, ce n'est ni une blague, ni une ironie, c'est bien plus, c'est une philosophie. Pour passer le cap, il faut réapprendre à rire et encore plus souvent à sourire.

Laurence avait, il y a un mois avait quelques nostalgies de réveillons:

podcastElle occupait aussi la couverture du magazine "Psychologies" et répondait aux questions: "J'ai appris à me dévoiler en observant une situation dont on peut souffrir. C'est en la décrivant, en la mettant à distance avec mon métier qui m'aide à guérir en construisant ma propre voie- voix décadrées, à sa démesure - sur des chemins qui mènent au rire pour sublimer le quotidien, transcender l'ennui, exorciser la gravité. Etre agnostique m'arrange bien puisque la spiritualité n'est pas mon truc. Je suis dans un rapport à la vie plus pratique et plus instinctif dans lequel les rituels ont tendance à disparaître. Le dimanche, mon mari prépare des frites dans un instant qui réunit tout le monde comme des balises pour traverser les époques, pour se construire. C'est une part d'inconscience, de naïveté qui me protège. Orgueilleuse, je n'ai pas envie de me dire que je vais en prendre plein la gueule. Mais, cela ne m'empêche pas d'expérimenter, de chercher, même si au début cela apporte une peur abyssale". 

Je n'aurais pu dire mieux.

Thomas, lui, avait des rêves sous forme de prédictions pour 2015:

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0.jpgComme tous les ans, au Théâtre des Galeries, la "Revue" a remis les événements de l'année sur le flanc.  

Samedi, j'y assistais et les événements de l'année revenaient en mémoire baignés dans un humour débridé. Du suspense pour y arriver puisque la neige avait décidé de rendre le parcours plus difficile. 

"Et si c'était à refaire", une autre pièce de Ruquier? 

Ce serait faire de l'uchronie.

Un mot aussi étrange, dont j'ignorais l'existence au moment où j'ai écrit  "Alterologie" en 2007.

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En cette fin d'année, presque comme une habitude, ce sont "Les Plaisirs d'Hiver".

Cette fois, la patinoire sur glace avait été déplacée devant la Monnaie. Monnaie où fut jouée la "Muette de Portici" et qui avait mis le feu aux poudres dans les esprits en 1830. 

Cette fois, le Québec était l'invité d'honneur. Cela m'a permis de déguster toutes les spécialités dans la transformation de l'érable. On passait du biscuit, au sirop en passant par l'alcool et le caramel mou.

2.jpgPour ce dernier article de l'année, je remercie tout ceux qui m'ont fait rire ou aidé à le faire. 

ll y a les caricaturistes Vadot et Kroll, les animateurs humoristes du Café Serré, sans oublier Alain Sapanhine qui a revu et corrigé certains de mes textes en apportant une dernière touche pour corriger mes "fôtes d'ortografs" et mes conjugaisons hasardeuses.  

Noël peut donner un sentiment de solitude. Cela a inspiré le film "Le Père Noël est une ordure" de 1982 qui revenait sur nos petites lucarnes. 

Le réveillon de Nouvel an ne peut donner que celui de morosité s'il n'y avait pas cette envie de rire de tout.

0.jpg2015, une année sans une interdiction de signes convictionnels ostentatoires et de signes extérieurs de richesse, alter-mondialistes comme le Pape, alter-scrupturals comme Scharzie, alter-ego, alter-natifs, alter-visionnaires, alter-échos, alterologues, alter-tout quoi... ce serait moche, non? 

"Mais, qu'est-ce qu'on doit s'emm... au paradis, là où tout n'est que luxe, calme et volupté. 

De tout cela, j'ai tiré quelques photos que vous pourrez voir ici avec des idées plein la tête.

Qu'est-ce qu'on pourrait y raconter à longueur de journées, alors qu'on aime avoir des idées plein la tête".

Une bonne année 2015 pour tous.

 & Fasten your seat bell

 

0.jpgL'enfoiré,

 

Citations: 

0.jpgDès le 1er janvier 2015: Plus d'allocations de chômage illimitées, les CPAS s'organisent.

Mais avec ses jeux de mots, Bruno propose des cocktails pour passer à l'année 2015:

podcast

0.jpg10/02/2015: Les LuxLeaks, les BelgoLeaks et maintenant les SwissLeaks.

Qui dit mieux? Les futures GapourLeaks?

Cela même si Thomas a un étranglement dans la voix podcast

 

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