22/08/2010
Il était, une fois, l'utopie
"Sans utopie, aucune activité véritablement féconde n'est possible.", disait Mikhaïl Saltykov-Chtchedrine. En d'autres mots, nous avons besoin d'utopies, d'espérer que demain sera meilleurs qu'aujourd'hui. Pour d'autres, elle serait une entrave au progrès. "Le Monde diplomatique" titrait "Le Temps des utopies" dans sa "Manière de voir".
Les utopies sont de tous les temps sans se confondre dans leurs ambitions. Elles ont une histoire et même un dictionnaire.
L"eutopia", l'utopie aurait pour but final de créer une société idéale, parfaite, mais pas surfaite.
Thomas More est un de ses précurseurs. Il en est peut-être mort.
Son histoire personnelle mérite le détour.
Le cinéma l'a représenté dans tellement de circonstances et dans tellement de situations qu'on s'y perdrait. On se souvient du feuilleton "Le prisonnier", le célèbre "Numéro 6" qui se retrouve coincé dans un "Village" surréaliste et idyllique, à la fois.
L'utopie serait-elle seulement libre?
Publié dans Actualité, Economie, Monde des affaires, Organisation, Philosophie et religions | Lien permanent | Commentaires (8) |
Imprimer


