28/01/2017
Une tornade éthique wallonne?
"J'en ai marre des parvenus".
Une phrase qui a douze ans d'âge.
Une phrase qui venait à la suite des scandales des dirigeants carolos.
«J'en ai marre des parvenus. Il n'y a pas de place pour les parvenus au Parti socialiste», a-t-il lancé sur un ton sans équivoque. Il a mis en garde non seulement ceux qui abusent de leur mandat pour en tirer des avantages disproportionnés, mais aussi ceux qui ne suivraient pas la ligne d'ouverture et de culture du débat voulue par le Parti socialiste.
«Vous avez entendu comme moi ces quelques mandataires socialistes qui disent que l'ouverture, c'est inutile et qu'on est mieux entre nous. Ou ceux qui disent que la participation, la culture du débat, c'est une perte de temps parce que nous, on sait bien ce qui est bon pour le peuple. Même s'ils sont portés par peu de socialistes, ces discours-là, nous devons les combattre. Non seulement ceux qui les tiennent n'ont rien compris à ce que signifie le socialisme contemporain, mais ils mériteraient que l'on s'en sépare.
Une phrase qui résonne comme un avertissement", terminait l'article de l'époque.
[Dernier épisode d'un triptyque dont les deux premiers étaient (Liberté, égalité, identité), (Au rythme d'Algo)]
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