13/03/2020
Aimer son âge
Je terminais mon billet précédent qui parlait du coronavirus en disant "il n'y a rien de plus dangereux que de vivre".
Le remède de cheval à la pandémie est tombé jeudi soir: presque toutes les activités s'arrêtent à part l'essentiel dès ce samedi et pour trois semaines après avoir atteint le niveau "2.5 : Grave" de la crise.
Cette pandémie de coronavirus n'a jamais eu autant d'impact sur la liberté des gens chamboulés dans leurs habitudes.
"Le temps qui passe" est une notion qui dépend autant de la psychologie d'une personne que de son environnement social.
S'organiser pour y répondre dépend de l'endroit où on vit et de son âge.
Savoir vieillir dépend ainsi de son inventivité pour meubler le temps qui s'écoule.
Le dernier mensuel "Psychologies", se posait la question "Aimer son âge et comment vieillir avec plaisir?". Sans visite de l'extérieur, le plaisir n'existe plus pour les pensionnaires des hômes et des prisonniers qui sont déjà mis en quarantaine.
Les discussions et dialogues dans la rue se bousculaient avec la question: "comment va-t-on faire?" dans le but de trouver une réponse à ses propres angoisses vis-à-vis des réactions à prendre.
J'avais lancé une petite enquête parmi ceux qui sont inscrits dans la liste des réceptionnaires de mes news avec la même question. Je les remercie pour leur réponse en ayant répondu de manière générale sans tenir compte de la situation actuelle.
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