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17/01/2008

Riche à la super

argentLe club des riches s'agrandit. De nouveaux participants se sont inscrits sur les listes du magazine "Fortune". La mondialisation aurait-elle fait des petits ? Pardon, des "gros".

Le NouvelObs n° 2248 de décembre 2007 parlait du pouvoir d'achat et des promesses en trompe l'oeil. Le "travailler plus pour gagner plus" avait ses détracteurs et parfois du plomb dans l'aile. Peu de Français seraient concernés.

Si la durée du travail et le payement des RTT pouvait être discuté, il fallait relativiser cette annonce. Même le patron d'une grande entreprise n'y trouvait pas ses petits et craignait pour le futur management de cette allocation réallouée. Plus vite dit que fait, donc. La souplesse a un prix. Le "président du pouvoir d'achat", comme l'a appelé Sarkozy, ne parlait évidemment pas des aléas de son système.


Le troc des RTT contre de la monnaie, les 35 heures préconisés par les socialistes d'avant étaient-ils complètement respectés ? Dans les grandes entreprises avec des syndicats au balcon, peut-être, à condition qu'ils soient d'accord majoritaires. Le but des 35 heures étaient de placer plus de chômeurs au niveau de l'emploi. Produire au meilleur niveau de prix pour contrer le low-cost qui vient d'ailleurs, a déjà coupé le potentiel de travail.

Dans le bas de l'échelle, quand il faudrait fournir un travail coûte que coûte avec le personnel qui ne correspond pas toujours au niveau de l'expertise demandé, ce n'est pas la même petite bière. Y a-t-il vraiment le choix ?

La stagnation des salaires, elle n'est pas un leurre, d'après le même article. Alors, on compte les points en plus du côté des prix de l'alimentation, de la consommation courante. Les heures supplémentaires ont coûté en manque à gagner plus de 5 milliards de non-taxe. Alors, certains s'organisent dans les PME. S'exonérer des 35 heures après accord avec les syndicats, oui, quand il y en a.

Non, vraiment à cet échelon, il faut bien l'avouer, on coupe les cheveux en quatre. On s'essouffle, on s'étiole ou on pète d'aisance après avoir câliné pour arriver à ses fins. C'est tout autre chose, quand on continue à lire plus loin. C'est plus du même "tabac".

Dans le même NouvelObs, le cas du patron de Dassault System, Bernard Charlès était analysé. retournement de situation style "douche écossaise".

En vrac, les chiffres tombaient un à un pour faire contrepoids.

argentEn 2006, 1,57 millions d'euros de salaire annuel. 200 millions d'euros en stock-options depuis le début du mandat. La stratégie de l'entreprise pousse à accorder 6 millions d'euros en stock-options future. Coke en stock sans option ? Pas étonnant, comme on va le voir plus bas.

Plus d'un millier de jets privé vendus en 2007.

Le patron est devenu un leader mondial dans les logiciels industriels et est reconnu par les actionnaires pour la justesse de ses décisions. Si pas de réussite en bout de course, ce sera "au suivant". J'en avais déjà touché un mot dans "Virez-moi car j'ai péché".

Le milliard d'euros de chiffres d'affaires le prouve.

Fin décembre, l'article du même journal (n° 2250) parlait de cet autre volet avec plus d'amplitude encore. Il pourrait s'agir de Martiens que cela ne m'étonnerait point. Le luxe et la planète des ultra-riches se présentait sous les traits du prince saoudien Al-Walid dans son Boeing 747. Au diable les tarifs et le pouvoir d'achat en perte de vitesse.

Parle-t-on de la même planète ? Le désir n'a plus de prix sur cette planète du luxe. La super fait de ce côté la richesse avec le pétrole qui a décidé de plafonner au 100$ le baril.

La boulimie n'a pas de limites. L'indignation n'y a plus cours.

Je me souviens d'une enquête de journalistes en mal de sensation qui allaient interviewer des personnes qui avaient gagné le gros lot. A la question de savoir s'ils étaient heureux, la réponse a été bien mitigée. Certains ont répondu qu'ils regrettaient la période pendant laquelle, ils allaient travailler. Le comble du comble, plus aucun patron ne les accepte à bord, craignant d'être rejetés pour un "oui" ou pour un "non". La vie n'est pas tendre pour tous les échelons de la société. Se retrouver, quand tout est possible, sous un palmier avec la mer en avant plan est un repos dont on se lasse. Alors, ils sont condamnés à faire semblant. A méditer donc.

Dans le même temps, le nombre de millionnaires en dollars ne fait qu'augmenter de partout. Les Japonais, les Américains, les Européens sont rejoints par des "petits nouveaux". Russes, Chinois, Indiens se pressent pour faire partie du "grand club". Le ticket d'entrée tourne avec un compteur échelonné à vingt fois plus. Le magazine Fortune suit le mouvement et ses "bons éléments". C'est sa tasse de thé.

On aime s'afficher dans ce monde-là. Pour vivre heureux autant ne pas rester trop caché. La mondialisation a de ses secrets que la raison ne connaît plus. Il ne faut pas croire, qu'ils jouent dans les limites rikiki d'un pays, ces supers riches. S'il y a quelque part des oiseaux migrateurs, c'est chez eux. Mais on aime se rencontrer entre copains. Avec les mêmes "tares" de cette affreuse richesse. Même en vacances, on se prête au jeu des affaires. Faudrait prendre le tramway du coin qu'ils ne le pourraient pas.

Les noms de prestige se bousculent sur la place publique. Pas besoin de noblesse pour y arriver. Une carte de visite, avec des chiffres, suffit. Et encore. Ils n'ont jamais d'argent en poche.

Bizarrement, les spectateurs se pressent aussi balcon. Peut-être en recherche de têtes de pipe pour en parler par après dans les conversations.

L'article du NouvelObs se terminait par la philosophie d'Aristote et son ouvrage "Éthique à Nicomaque". "Pas de mal à aimer l'argent", comme morale. L'infini dans les limites donne seulement, en plus, le tournis et la folie.

Alors, je me suis demandé à quoi sert ces fortunes pour l'intéressé ? Avoir un avion à disposition, d'accord. Est-ce tous des collectionneurs de voitures prestigieuses ? Avoir une villa dans chaque port ? Quel gâchis et perte de rendement. Cela laisse une seule habitée à la fois. Auraient-ils trouvé les lois de la téléportation ?

Une réserve pour une éventuelle deuxième vie ?

Les Pharaons égyptiens ont tenté d'effacer les affres du temps dans l'au-delà sans y réussir. Il est clair que la valeur ne se transmet pas de génération. Les clones sont toujours au niveau des clowns.

Je reste sans réponse. Le pouvoir, le potentiel en poche seraient-il seuls responsables de l'orgueil de l'homme ? Se voir dans les magazines spécialisés ?  Est-ce gagner son ticket d'entrée, de plus en plus cher, dans le jet set, chez les peoples ? Dans des pages, bêtement en papier glacé ? Il doit y avoir un truc.

En étudiant les résultats dans l'objectivité, c'est indiscutable. Qui oserait dire qu'il n'y a pas de charisme et d'une certaine intelligence, là-dessous ? Certains font le pas inverse et se lance dans une croisade à bord de leur Fondation. Là, on touche à plus de réalisme.

On pourrait seulement utiliser un autre mot, un néologisme, "cherisme", un peu plus adéquat. Les "isme" font tellement rêver et cela même s'ils sont chers et pas uniformément distribués.

 

L'enfoiré,

 

Pas convaincu ? La pièce de Jean-Marie Chevret "Numéro complémentaire" avec Francis Perrin et Stéphane Bern... devrait faire rafraîchir

 

Citations :

  • "Bienheureux les riches ! Car ceux qui sont riches, vraiment riches, n'ont jamais à savoir le prix des choses : il y a toujours quelqu'un qui passe derrière eux régler l'addition.", Jacques Godbout

  • "Les riches qui pensent que les pauvres sont heureux ne sont pas plus bêtes que les pauvres qui pensent que les riches le sont.", Mark Twain

  • "Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c'est une crise. Depuis que je suis petit, c'est comme ça.", Coluche

 

9/4/2018 : Fabrizio Rongione parle de limitation des riches: podcast

argentargent4/12/2018 : Albert Frère, l'homme au 5,6 milliard d'euros est décédé à 93 ans : son portraitpodcast.

Commentaires

Saint Vincent de Paul fréquentait les riches de son temps. Quand il voyait dans leurs armoires de riches vêtements qu'ils ne portaient plus, il les emportait en leur déclarant qu'ils appartenaient aux pauvres qui s'en serviraient eux.

Écrit par : Arthur | 18/01/2008

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Salut Guy,
j'ai bien aimé le " les policiers qui tapent sur les opposants au g20 sont fiers parce qu'ils se sentent proches des puissants ! "
Prends ça dans la poire !
A+.

Écrit par : Lisa SION | 30/07/2010

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Une discussion sur le sujet qui ne manque pas de piquants:
http://www.youtube.com/watch?v=tEcScn9Kt68

Écrit par : L'enfoiré | 16/03/2012

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20 manières de penser qui séparent les gens riches des autres

Steve Siebold, l’auteur de « How Rich People Think » (Comment les riches pensent), a passé près de 30 ans à interroger les milliardaires tout autour du monde pour essayer de comprendre ce qui les distinguait des autres. Il en conclut que c’est avant tout une question de mentalité : « Dans la classe moyenne, on demande aux gens d’être heureux avec ce qu’ils ont », explique-t-il. « En général, la plupart des gens sont submergés par la peur dès qu’il s’agit d’argent ».

1/ L’homme de la rue pense que l’argent est la racine de tous les maux. Les gens riches pensent que la pauvreté est la racine de tous les maux.
2/ L’homme de la rue pense que l’égoïsme est un vice. Les gens riches pensent que l’égoïsme est une vertu.
3/L’homme de la rue a une mentalité de loterie : il attend de tirer les bons numéros et prie pour devenir riche. Il s’attend à ce qu’il y ait un dieu, un patron ou un conjoint pour résoudre ses problèmes. Mais les riches sont dans l’action : ils résolvent leurs problèmes eux-mêmes.
4/ L’homme de la rue pense qu’il est nécessaire de suivre des études pour devenir riche. Les gens riches pensent que c’est l’acquisition d’une connaissance spécifique qui leur a permis de le devenir.
5/ L’homme de la rue est impatient de prendre sa retraite. Les gens riches rêvent de l'avenir.
6/ L’homme de la rue considère l’argent sous le prisme de l’émotion. Les gens riches pensent à l’argent de façon logique. Ils savent que l’argent est un outil crucial qui présente des options et des opportunités.
7/ L’homme de la rue gagne sa vie en faisant des choses qu’il n’aime pas. Les gens riches font ce qui les passionne. « L’une des stratégies les plus malignes de l’élite mondiale est de faire ce qu’ils aiment et de trouver un moyen de se faire payer pour ça », écrit Siebold.
8/ L’homme de la rue se fixe des objectifs peu ambitieux pour ne pas être déçu. Les gens riches sont prêts à relever les défis.
9/ L’homme de la rue pense qu’il faut compter sur les résultats immédiats d’une action pour devenir riche. Les gens riches pensent que seule l’expérience des succès comme des échecs les mènera à la richesse.
10/ L’homme de la rue pense qu’il faut de l’argent pour faire de l’argent. Les gens riches utilisent l’argent des autres.
11/ L’homme de la rue pense que les marchés sont menés par la logique et la stratégie. Les gens riches savent qu’ils sont menés par l’émotion et la cupidité.
12/ L’homme de la rue vit au dessus de ses moyens. Les riches vivent en dessous de leurs moyens.
13/ L’homme de la rue montre comment survivre à ses enfants. Les riches enseignent leurs enfants à devenir riche.
14/ L’argent stresse l’homme de la rue. Les gens riches trouvent la paix dans la richesse.
15/ L’homme de la rue préfère se divertir plutôt que d’apprendre. Les gens riches préfèrent apprendre plutôt que se distraire.
16/ L’homme de la rue pense que les riches sont snobs. Les riches veulent seulement s’entourer de gens qui ont la même mentalité qu’eux.
17/ L’homme de la rue se concentre sur l’épargne. Les gens riches se concentrent sur les gains.
18/ L’homme de la rue joue la sécurité avec son argent. Les gens riches savent quand prendre des risques.
19/ L’homme de la rue adore le confort. Les gens riches se sentent bien dans l’incertitude.
20/ L’homme de la rue pense qu’il faut choisir entre avoir une belle famille et devenir riche. Les gens riches savent que l’on peut avoir les deux.

Source: http://www.express.be/money/fr/wealthrepublic/20-manieres-de-pensee-qui-separent-les-gens-riches-des-autres/175808.htm

Écrit par : L'enfoiré | 03/09/2012

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Etes-vous riche? Voici la formule pour le savoir...

A quel moment peut-on se considérer riche ? Michael, un ex-employé de Goldman Sachs, explique qu’à Wall Street, chacun avait la notion de son « chiffre », ce qu’ils appelaient le « F*** You Money », c'est-à-dire une somme d’argent à partir de laquelle ils considéraient qu’ils pourraient s’arrêter de travailler, parce qu’ils étaient devenus riches. Cette somme, totalement subjective, était totalement variable en fonction des individus.

Mais qu’est ce que la richesse ?
Michael répond à cette question de la façon suivante :
✓ La richesse ne peut pas être déterminée par un chiffre fixe. A un moment donné de sa carrière, le boxeur Mike Tyson gagnait 30 millions de dollars par match. Il a ainsi gagné plus de 300 millions de dollars au cours de son existence. Cela ne l’a pas empêché de faire faillite en 2003.
✓ Le train de vie joue un grand rôle dans la détermination de la richesse. Certains, qui dépensent peu, peuvent être riches avec 3 millions de dollars, alors que les personnes comme Tyson ont besoin de plusieurs centaines de millions de dollars.
✓ Les romanciers britanniques du 19ème siècle ont évoqué dans leurs œuvres le rôle joué par les revenus passifs pour la petite bourgeoisie de l’époque. Il s’agissait de rentes souvent issues d’un patrimoine immobilier qui permettait à ceux qui en étaient pourvus de vivre sans travailler. La valeur nette de ces bénéficiaires, souvent la petite noblesse, s’exprimait non pas en fonction de la valeur de ce patrimoine (des terres cultivables, en général), mais en fonction du bénéfice annuel qu’ils en tiraient.
✓ Le revenu passif est toujours aussi important de nos jours, il peut encore provenir de l'immobilier (appartements, maisons, terrains) mais aussi d'autres sources (dividendes, bénéfices d’entreprises, pensions, intérêts, sécurité sociale).
✓ Ce qui n’a pas changé, par rapport à cette époque, c’est la notion selon laquelle on est riche lorsque l’on n’a plus du tout besoin de travailler, comme la petite noblesse du 19ème siècle. Par analogie, la meilleure façon de savoir si l’on est riche, c’est de comparer le revenu passif que l’on tire de ses actifs avec le niveau de dépenses exigées par son train de vie. On est riche lorsque le cumul du revenu passif excède les dépenses pour le restant de ses jours.
✓ Le temps joue également un rôle important. C’est l’espérance de vie qui compte. Une personne qui gagne de quoi maintenir son train de vie pendant 3 ans, mais qui n’a plus qu’un an à vivre, est donc très riche de ce point de vue. En pratique, une personne jeune nécessite un revenu passif plus important qu’une personne plus âgée dont l’espérance de vie est théoriquement plus courte.
Enfin, la richesse ne signifie pas nécessairement que l’on doit cesser de travailler. Le travail donne un sens à l’existence, lorsqu’il a du sens. Le travail peut être associé à la notion de richesse lorsqu’il est tout à fait optionnel et que le revenu que l’on en tire n’est pas requis pour couvrir les dépenses commandées par le train de vie (lorsque le niveau de salaire n’a aucune importance).

Source: http://www.express.be/money/?action=view&cat=wealthrepublic&item=etes-vous-riche-voici-la-formule-pour-le-savoir&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 28/01/2013

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LA1 répond à la question:

Qui sont les multimillionnaires belges?
"Questions à la Une" arpente le monde des gens fortunés. La Belgique n'a jamais compté autant de millionnaires. Et aussi de milliardaires! Il y en a 17 dans notre pays. Qui sont ces gens fortunés ? Quel est leur quotidien? Et surtout, comment dépensent-ils leur argent? Créent-ils des emplois? Payent-ils des impôts? Qui sont les multimillionnaires belges ?
Frédéric Deborsu est parti à la rencontre des grosses fortunes du pays. Certains lui ont ouvert leur château, d'autres ont hésité, voire refusé. Mais il a réussi à pousser de nombreuses portes. Et non des moindres...

http://www.rtbf.be/video/detail_questions-a-la-une?id=2066636

Écrit par : L'enfoiré | 09/12/2015

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Le patron d'Amazon gagne 29,5 milliards de dollars en une année

Le CEO d'Amazon Jeff Bezos, est la seule personnalité à figurer dans les deux catégories des milliardaires qui ont le plus gagné en 2015, selon Forbes: il a à la fois réalisé l'un des gains absolus en dollars les plus imortants, et a connu l'une des plus grandes progressions relatives de fortune. Bezos, qui proposait hier d'envoyer Donald Trump dans l'espace, est maintenant la quatrième personne la plus riche du monde, alors qu'il n'était encore que la quinzième en mars.
Il prend la place du mexicain Carlos Slim Helu, le plus grand perdant de dollars de l'année, qui a vu sa fortune se réduire de $14,2 milliards. Juste après Bezos, on trouve Mark Zuckerberg, dont la fortune a augmenté de $11 milliards.

LES PLUS GRANDS GAINS ABSOLUS EN DOLLARS:
Jeff Bezos, Amazon
Gain: $29,5 milliards
fortune nette: $ 58,4 milliards

Mark Zuckerberg, Facebook
Gain: $11,2 milliards
Valeur nette: 45,6 milliards

Larry Page, ALPHABET (ex-Google)
Gain: $9,2 milliards
Valeur nette: $38,4 milliards

Sergey Brin, ALPHABET (ex-Google)
Gain: $8,9 milliards
Valeur nette: $37,6 milliards

Michael Bloomberg, Bloomberg LP
Gain: $5,5 milliards
Valeur nette: $40,5 milliards

LES PLUS GRANDES CROISSANCES RELATIVES DE FORTUNE:

Kieu Hoang, SHANGHAI RAAS
Gain: 196%
Valeur nette: $3.6 milliards

Brian Chesky, Joe Gebbia, Nathan Blecharczyk, AirBNB
Gain: 120%
Valeur nette: $3.3 milliards

Jeff Bezos, Amazon
Gain: 102%
Valeur nette: $58.4 milliards

Travis Kalanick, Uber
Gain: 100%
Valeur nette: $6 milliards

(Valeurs entre le 1/1 et le 4/12/2015)

Source: http://www.express.be/money/?action=view&cat=wealthrepublic&item=le-patron-damazon-gagne-295-milliards-de-dollars-en-une-annee&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 14/12/2015

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Pékin compte désormais plus de milliardaires que New York

La planète compte désormais 2.188 milliardaires en dollars, selon un classement établi par l’éditeur de magazines de luxe Hurun. Pékin est sur la première marche, devant New-York et Moscou.
Si l’état de santé de l’économie chinoise inquiète de plus en plus marchés et investisseurs, force est de constater que les riches se portent plutôt bien dans l’empire du milieu. Selon le tout dernier classement publié par l’éditeur de magazines de luxe Hurun en effet, il y a désormais plus de milliardaires en dollars à Pékin qu’à New York.
Selon ce classement 2015, la capitale chinoise hébergeait 100 milliardaires , soit 5 de plus qu’à New York. Et qui plus est en comparaison leur nombre a augmenté plus vite à Pékin que dans la capitale financière américaine. La mégalopole chinoise compte en effet 32 milliardaires de plus qu’en 2014 alors que New York n’en a accueilli que quatre de plus.
Pékin et New York distancent Moscou qui occupe la troisième marche avec 66 milliardaires dans un classement qui reste largement dominé par des métropoles asiatiques. En effet, la quatrième place du classement est occupé par Hong Kong et la cinquième par Shanghai (avec respectivement (64 et 50 milliardaires). Quant à la ville de Paris, avec 30 milliardaires, elle se retrouve à la 10ème place de ce classement.

Le premier chinois est à la 21ème place
Des résultats qui confortent le poids de la Chine dans le club des milliardaires qui sont, selon Hurun, 2.188 dans le monde (99 de plus qu’en 2014), répartis dans 68 pays.
Toujours a la première place on retrouve Bill Gates, suivi de Warren Buffet et d’Armancio Ortega, le créateur de Zara. Le premier français du classement est Bernard Arnault, le patron de LVMH (et propriétaire des Echos) tandis que le premier milliardaire chinois reste Wang Jianlin, le président-fondateur du groupe Dalian-Wanda, qui occupe la 21ème place

http://www.lesechos.fr/monde/chine/021723371295-pekin-compte-desormais-plus-de-milliardaires-que-new-york-1202874.php

Écrit par : L'enfoiré | 02/03/2016

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Fabrizio Rongione se demande à partir de quel moment, tu décides de donner la moitié de ta fortune à l'Etat ?

http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/01/1931957243.2.MP3

Écrit par : L'enfoiré | 09/04/2018

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Albert Frère, l'homme au 5,6 milliards d'euros est décédé à 93 ans: son portrait

http://vanrinsg.hautetfort.com/media/02/02/1585145312.mp3.

Écrit par : L'enfoiré | 04/12/2018

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Faire don de milliards n'est pas facile

Plusieurs milliardaires américains consacrent une partie importante de leur fortune à la philanthropie. Toutefois, les Américains les plus riches accumulent de la richesse plus rapidement qu'il n'en cèdent, écrit David Callahan, rédacteur en chef du site d'information spécialisé Inside Philanthropy.
Selon Callahan, il est souvent très compliqué pour ces riches philanthropes de céder des capitaux importants et ce, pour plusieurs raisons.

Lorsque Michael Bloomberg a achevé ses trois mandats en tant que maire de New York en 2014, il a commencé à s'intéresser à la philanthropie. Depuis lors, Bloomberg a fait don de plus de 2 milliards de dollars. Néanmoins, malgré tous ses dons, Bloomberg est actuellement plus riche qu'il ne l'était quand il a laissé son poste.
Ses actifs sont estimés à 48 milliards de dollars, soit une hausse de plus de 50% en quatre ans, a indiqué Forbes. D'autres signataires de l'initiative Giving Pledge, un acte qui engage les personnes riches signataires à léguer la majorité de leur fortune à des œuvres de charité, se sont également enrichis.

Profits
Bill Gates et Warren Buffet, les fondateurs de Giving Pledge, ont également vu leur fortune croître depuis 2010. Bill Gates disposait de 54 milliards de dollars au début de cette décennie, contre 97 milliards de dollars aujourd'hui. La richesse de Warren Buffet a également presque doublé depuis cette époque et atteint aujourd'hui 90 milliards de dollars.
Ainsi, les Américains les plus riches accumulent des capitaux plus rapidement qu'ils n'en donnent. Selon une étude réalisée par le groupe Bridgespan, les familles américaines les plus fortunées ont donné 1,2% de leurs actifs à des œuvres de bienfaisance en 2017, ce qui est nettement inférieur au rendement moyen des investissements à long terme sur leurs actifs.
Étant donné les gains moyens sur le marché boursier, une famille très fortunée aurait besoin de donner plus de 11% de ses actifs pour pouvoir utiliser la moitié de son patrimoine en deux décennies, soit près de dix fois plus que ce que les super-riches donnent actuellement.
Selon Bridgespan, si les Américains les plus riches doublaient leurs dons à 2,4% de leurs actifs, cela représenterait 45 milliards de dollars supplémentaires en dons de charité par an, soit une hausse de 11%.
"Cela serait suffisant pour que 4.500 organisations à but non lucratif récolent une contribution de 10 millions de dollars ou pour que 4,5 millions d'Américains à faible revenu bénéficient d'un transfert en espèces ou d'une bourse d'études chaque année", écrivent les auteurs.

Élitiste
Cependant, selon Callahan, il existe plusieurs raisons pour lesquelles le groupe de la population riche dépense moins en dons qu'on ne le pense ou qu'on espère. Il existe un fossé entre les dons actuels des milliardaires et leurs aspirations publiques, explique Callahan.
Par exemple, bien que Warren Buffet souhaite faire don de toute sa fortune et qu'il ait déjà donné des milliards de dollars, il s'enrichit de plus en plus à mesure qu'il vieillit. La raison est que la cession de ses actions n'arrive pas à contrebalancer ses gains sur le marché boursier.
En outre, au cours des dernières années, la majeure partie des dons des milliardaires philanthropes n'est pas allée au secours d'Américains ou d'Africains en difficulté. Elle est allée à des instituions d'élite – universités, hôpitaux ou centres culturels.
"Les efforts susceptibles de stimuler le changement social dans des causes telles que les services sociaux/humains, et le développement international suscitent relativement peu d'intérêt", explique Bridgespan.
Par ailleurs, il n'est pas facile d'investir beaucoup d'argent dans les initiatives de changement social. Les problèmes sont complexes. De nombreuses organisations à but non lucratif n'ont pas la capacité d'absorber des dons importants et ont un manque de connaissance du secteur.
Cependant, Bridgespan entrevoit un certain nombre de solutions. "En premier lieu, nous pourrions travailler avec des fonds sociaux qui pourraient collecter des dons provenant de pays très riches", estime le groupe. "En outre, il faudrait également créer un environnement dans lequel les riches donateurs pourraient obtenir le soutien nécessaire pour leurs efforts caritatifs."

https://fr.express.live/2018/12/18/faire-don-de-milliards-nest-pas-facile

Écrit par : L'enfoiré | 19/12/2018

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Le Covid ne fait pas que des malheureux.
Forbes vient d’établir son nouveau classement des plus grands riches dans le monde ,
Toujours plus et en plus, ils sont plus nombreux que les années précédentes: 2755 milliardaires (660 de +)
Dans l’ordre :
Jeff Bezos toujours en tête avec 150 milliards de $
Elon Musc avec 127 milliards
Bernard Arnault avec 126 milliards (fortune doublée en un an)
En Belgique parmi les « pauvres » :
Ferrero (29,5 milliards), Wittouck basé à Monaco (8,5 milliards), Tack (1,26 milliard), Kamprad (1 milliard)
Stéphane Bancel de Moderna a rejoint le peloton avec 3,5 milliards de $.

Les 10 milliardaires les plus jeunes au monde
1. Kevin David Lehmann
Lehmann a 18 ans, ce qui en fait le plus jeune de la liste des milliardaires. Sa richesse est estimée à 3,3 milliards de dollars. Il a pu amasser cette fortune aussi jeune grâce à un héritage venant de son père. Il détient par exemple 50% de l’entreprise DM, la plus grande chaîne de pharmacies en Allemagne. Le groupe emploie plus de 41.000 personnes dans plus de 2.000 magasins à travers le pays.

2. Wang Zelong
La valeur nette de Wang Zelong, 24 ans, est estimée à 1,5 milliard de dollars. Tout comme Lehmann, il doit sa place dans ce classement à un héritage. Par exemple, il a acquis une participation de 1,3 milliard de dollars dans NNC Hua Yuan Titanium Dioxide Co. Cette société produit du pigment de dioxyde de titane, un pigment blanc qui peut être utilisé dans les revêtements, les plastiques, les encres et autres matériaux.

3. et 4. Alexandra et Katharina Andresen
Alexandra et Katharina sont deux sœurs âgées respectivement de 24 et 25 ans. Chacun possède un actif évalué à 1,4 milliard de dollars. Les deux femmes ont reçu une participation de 42% dans la société d’investissement norvégienne Ferd de leur père. L’entreprise est toujours dirigée par leur père Johan Andresen.

5. Austin Russell
L’histoire de Russell est très similaire à celle d’Elon Musk. Comme le CEO de Tesla, l’entrepreneur de 26 ans a quitté ses études à l’Université de Stanford pour créer sa propre entreprise. Grâce à un investissement de 100.000 dollars de la Thiel Fellowship qui fournit un soutien financier aux jeunes entrepreneurs, le jeune homme a pu créer Luminar Technologies. L’entreprise fabrique des capteurs et autres équipements techniques pour véhicules autonomes. Luminar Technologies est devenue publique en décembre suite à une fusion SPAC. Russell détient environ un tiers de l’entreprise.

6. Gustav Magnar Witzoe
Witzoe, 27 ans possède la moitié de SalMar, une ferme piscicole norvégienne que son père a fondée en 1991. La fortune de Witzoe a presque doublé l’année dernière grâce à la solide performance de l’entreprise sur le marché. Ses parts étaient un cadeau de son père à l’époque.

7. et 8. Andy Fang et Stanley Tang
Les deux jeunes hommes de 28 ans ont fondé l’entreprise de livraison de repas, Doordash en 2013. Avec les confinements et la fermeture des restaurants, les livraisons de nourriture ont explosé et leur entreprise a bien profité. Doordash est également entré en Bourse en décembre dernier. Fang et Tang ont donc désormais chacun un actif de 2 milliards de dollars.

9. Sam Bankman-Fried
Cet homme de 29 ans doit sa fortune à la folie des cryptomonnaies. Il a fondé deux entreprises en même temps : Alameda Research, spécialisée en trading qui gère 2,5 milliards de dollars d’actifs et FTX, qui se concentre sur les cryptomonnaies. Sam Bankman-Fried est un philanthrope et fait de nombreux dons à des associations caritatives. Son but : gagner autant que possible pour donner autant que possible. Sa richesse est estimée à 8,7 milliards de dollars.

10. Jonathan Kwok
Kwok a 29 ans et sa valeur nette est estimée à 2,5 milliards de dollars. Lui et son frère ont tous deux hérité d’une participation dans Sun Hung Kai Properties, une société immobilière de Hong Kong. Leur père a été écarté en 2008 de cette entreprise familiale suite à une querelle avec ses frères Thomas et Raymond Kwok. Il a alors fondé sa propre entreprise immobilière, Empire Group Holdings, que ses deux fils dirigent aujourd’hui.

https://fr.businessam.be/voici-les-10-milliardaires-les-plus-jeunes-au-monde/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter_du_jour_le_virage_vers_l_electrique_crash_annonce_de_l_industrie_automobile_le_royaume_uni_atteindra_l_immunite_collective_lundi_meme_paris_hilton_a_compris_l_importance_des_nft_avant_vous&utm_term=2021-04-09

Écrit par : Allusion | 09/04/2021

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Le jackpot de près de 145 millions d'euros de l'Euromillions a été remporté ce mardi par un joueur en Belgique, a annoncé la Loterie nationale. Le gagnant avait coché la bonne combinaison (11 - 13 - 24 -35 -50 ainsi que les deux étoiles 6 et 11) et empoche précisément la somme de 144.966.361 euros.

En juin 2017, une personne avait remporté 153.873.716 euros tandis qu'une autre avait empoché 168.085.323 euros en octobre 2016.
Selon la Loterie nationale, "35 joueurs en Belgique ont déjà eu la chance de devenir scandaleusement riches grâce à EuroMillions depuis 2004".
En décembre dernier, 165 personnes qui avait joué à Olmen (Anvers), avaient remporté un méga jackpot, et s'était réparti la somme de 867.000 euros chacun environ.

https://www.msn.com/fr-be/actualite/other/un-belge-empoche-pr%C3%A8s-de-145-millions-d-euros-%C3%A0-l-euromillions-ce-que-l-on-sait/ar-AA18mK5V?ocid=msedgntp&cvid=ef425bcf4eea4c52bfe511bc87fa5a11&ei=9

Écrit par : Allusion | 08/03/2023

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