19/04/2012
Je suis peut-être pessimiste, mais je me soigne
La semaine dernière, Catherine Schwennicke de Prefontality expliquait dans un article de l'Echo que les neurosciences s'attelaient à la tâche de donner de l'optimisme. Être optimiste ou non, sujet sérieux et très personnel, s'il en est.
D'après Catherine Schwennicke, les neurosciences enseigne à "basculer en mode préfrontal" et que l'optimisme, ça s'apprend!
Ok, mais l'ambiance est morose. Le pessimisme règne en maître. C'est la crise... Les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent, comme le chantait Stephane Eicher.
Alors comment garder l'optimisme dans ce dédale de nouvelles, dans ce "champ de mines"?
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