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18/04/2013

Non, mais allô quoi, Fakebook?

0.jpgFacebook, encore et toujours. Plus d'un milliard d'utilisateurs dans le monde sur Internet. Ce réseau social réapparaît encore plus envahissant via le téléphone. Mais, qu'est-ce qui attire dans ce jeu de quilles? Qui utilise quoi et comment?

C'est le premier réseau social dans notre pays (62%) devant LinkedIn à 19%, Google+ à 18% et Twitter à 12%. 

En Belgique, fin février, on comptait 4,9 millions d'utilisateurs de Facebook. Quasi la moitié de la population, en tenant compte que, logiquement, Facebook n'est pas accessible aux moins de 13 ans.

Cinq millions de Belge. 7 Belges sur 10 sont désormais présents sur les réseaux sociaux.

Le meilleur (ou le pire) serait-il encore à venir?


1.jpgAprès Facebook, voilà "Facebook Home" et par la même occasion, la prise du contrôle du téléphone de ses utilisateurs. Jusqu'ici, disponible sur les smartphones et les tablettes Android. iOS et Windows Phone, c'est pour bientôt.

Une application mobile d'une puissance absolument... 'phénoménale', était-il annoncé. 

Une méga-application qui rhabille le téléphone de la tête aux pieds. 

En gros, l'écran de verrouillage, la page d'accueil avec les icônes, le fond d'écran, les menus avec les applications à télécharger, le chat Messenger, fusionné avec les SMS et les messages. "Facebook minded" avec l'aide de Instagram, une autre application contrôlée à 100% par... Facebook.

Dès que le téléphone s'allume des photos postées par des amis défilent, en plein écran, avec les appels, les messages, les notifications.

Cette nouveauté sera gratuite. Le but, rester connecté en permanence sur son réseau. Cerise sur le gâteau, téléphoner, ce sera sans passer par le réseau téléphonique. Magique, donc... Tout bénef...

Les données offertes par les Facebookers sont un bien trop précieux et rentable sur d'autres plans pour penser à les faire payer.

Il y a bien eu, le 13 mars, la Fondation CIGREF qui publiait les conclusions d'une étude intitulée "Tester l’hypothèse de la "Fin de la Vie Privée" dans la communication assistée par ordinateur. 

Mais, voyons, il ne faut pas jouer le trouble-fête. 

0.jpgCela étant dit, analysons, une nouvelle fois, le cas "Facebook".

Au milieu de beaucoup d'autres moyens considérés comme sociaux, Facebook est surnommé Fakebook, comme quelque chose qui sonne faux qui commence par une invitation, un partage, une déclaration et se termine en Muppet Show qui se met à caracoler. Ce qui est faux doit avoir une logique différente.

Qu'y a-t-il de social là-dedans? Tous amis, anciens amis d'avant, amis des amis, amis des amis des amis dans "the big family"? Plus on a d'amis sur Facebook, plus le concept d'ami devient relatif. Montrer aux amis combien notre vie est "cool" dans un média d'égo, quelques bafouilles, quelques photos de famille, le tout pimenté de voyages lointains réels ou irréels. Le privé révélé avec fierté...

Fini la crise. A la rigueur, une petite indignation, peut-être, mais sans casser l'ambiance. Il faut rester anodin, inoffensif, sans scandale. 

Rester ignoré, par contre, devient le pire des cauchemars. 

Facebook affirme le Bonheur, dans un parfait statu quo. La désagréable incertitude mine plus qu'elle ne solidarise. Alors, ce sera sans douleur, sans tristesse, sans angoisse, cool pour le meilleur et sans le pire. Insatisfaits, cherchez sur le terrain des amis en chair et en os avec plus d'os que de chair. 

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L'article 3&7 dit : "Vous ne publierez pas de contenus incitants à la haine ou à la violence, menaçant, à caractère pornographique ou contenant de la nudité". Facebook se dit le "gardien de l'ordre moral" au mépris de la liberté d'expression élémentaire avec des modérateurs factuels, institués comme juge.

Facebook s'érige en paragon de vertu.

Un profil Facebook dans une note doit réconforter les autres et rassurer son propriétaire d'exister même si c'est "a second life" à la mesure des aspirations. 

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La prestigieuse Université de Princeton a lancé une étude de John Cannarella qui donnait une conclusion douteuse dans la revue Arvix: la mort de Facebook en 2017 avec 80% des utilisateurs qui auraient fui Facebook. L'étude avait été réalisée à Google Trends qui donnait des statistiques comparées ensuite avec l'histoire de MySpace. La réponse du berger à la bergère a été humoristique: l'université devait mourir 4 ans plus tard. Il est vrai que les plus jeunes cherchent ailleurs à avoir des contacts et FB pour eux, est devenu trop couru par les adultes.

Gratuit? Oui. Mais peut-être de moins en moins si l'on en croit les dernières nouvelles. Si un Facebooker veut envoyer une bafouille en dehors de son champ d'amis, plus le degré de célébrité de celui-ci, grimpe, plus il va devoir payer pour écrire sur son mur. Pour éviter les spams et les messages indésirables, est-il dit, bien sûr. 

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Je n'oserais pas dire que, même dans le champ des amis, tout soit intéressant à savoir. Mais, bon, n'insistons pas. Restons cool, je vous dis. Chacun recherche ce qu'il veut y trouver.

Peu importe si les fans des people deviennent, quelque part, les dindons de la farce quand ils interviennent dans la pub de leurs idoles, tout en rehaussant les bretelles financières de Facebook, c'est étudié pour.

Des demandes de contacts arrivent, aussi, par l'intermédiaire d'autres canaux, comme Skype, ou l'eMail. Des bouteilles à la mer. comme celui que j'avais reçu récemment et qui, un peu tronqué, disait: "Je désire correspondre avec vous".

Un message plein de pureté, un véritable CV prestigieux. Cela prouvait que, dans toutes les couches favorisées de la société, règne une certaine détresse avec un besoin de dialogue. Enfin, si c'est vrai....

Jusqu'où "aller trop loin" et avec quelles sauces le "repas migratoire" serait servi, n'était pas précisé.

Une bouteille à la mer sur Internet atterrit, souvent, là où on s'y attend le moins.

Mon vieux billet "Veux-tu être dans mon réseau" approchait le problème des relations virtuelles par le côté technique via différentes options possibles.

Une question me vient à l'esprit: "y a-t-il un code de conduite dans la virtualité en général?".

L'art du savoir vivre sur le net s'appelle la netiquette qui ne serait pas réellement nécessaire en fonction du côté "cool" de Facebook. Mais, tout ne passe pas par là. Alors, de nouvelles questions se posent.

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En 1936, Dale Carnegie avait écrit un best-seller "Comment se faire des amis".

De son temps, c'était plutôt les relations de travail, avec des amis en "dur" auxquels il donnait ses conseils pour  améliorer les relations.

Le livre a été remis à jour, par ses "Assiociates" en se tournant vers le numérique et la virtualité des relations. Cette version  a pour sous-titre "Comment se faire des amis à l'ère du numériquesuivit de la précision "et accroître son influence".

Deux approches très différentes.

Dans ce livre, d'après la préface, il s'agirait de méthodes psychologiques pour obtenir la confiance d'interlocuteurs virtuels, de les convaincre d'adopter des idées et d'arriver, ainsi, par certaines astuces à les faire changer d'avis sans les irriter.

Quatre chapitres pour prétendre y arriver. Une nouvelle entrée dans le monde magique de Facebook.

J'apporterai derrière certains titres quelques remarques et questions "particulières" et qui n'ont qu'un but de "garder l'humour de circonstances" adapté à Facebook.

1Essentiel de l'engagement0.jpg

  • Ranger ses boomerangs. Serait-ce trop risqué de se faire moucher en étant trop direct ou trop ambitieux d'oser être franc dans le monde virtuel de Facebook?

  • Reconnaître les points positifs et les mettre en avant. Les points négatifs sont-ils à ce point nauséabonds et donneraient la migraine à un Fabooker?

  • Toucher les désirs profonds. Est-ce un désir du style "20.000 lieux sous les mers," pour ne pas rester superficiel et rester bien câblés dans un pipeline de désirs satisfaits de facebook?

2Marquer durablement les esprits 

  • S'intéresser aux intérêts des autres, en parler. Les autres n'en auraient-ils rien à cirer des idées reçues en boomerang?

  • Sourire. En virtuel, une photo bien souriante à ajouter au profil? Celle d'un des bons jours évidemment puisqu'il ne faut pas dégoûter d'avance un autre Facebooker.

  • Dompter le pouvoir des noms. Curieux. Tout le monde a un nom et tout le monde s'empresse d'en changer pour prendre un pseudonyme en dehors de Facebook. Le nom est le logo dans une entreprise. Il garde une valeur potentielle pour l'individu qui dépendra de ce qu'il écrit. Le nom ou un pseudo représentatif a beaucoup d'importance. Il identifie.  

  • Écouter davantage. Cela empêche-t-il de lire davantage pour comparer avec ce qu'on écoute en dehors de Facebook? 

  • Parler de ce qu'intéresse l'interlocuteur. Une fois, le pouvoir des noms dompté, au minimum.

  • Laisser les autres un peu mieux qu'ils étaient. Comment est-ce possible? Les autres sont par définition "bien" sur Facebook.

3Mériter et conserver la confiance

  • Éviter les polémiques. Sur le flacon Facebook, il est mentionné "Ne pas secouer avant l'emploi". C'est clair, non?

  • Ne pas le donner tous les torts aux autres. C'est évident, le tort tue. C'est dire qu'il ne faut pas perdre des amis potentiels en cours de route. Pas de véritable télé-réalité, style "Koh Lanta", sur Facebook.

  • Admettre ses erreurs promptement. Il ne faut pas laisser d'erreurs sur le plancher des vaches. Dans les nuages, il vaut mieux laisser des cumulus de beaux temps.

  • Rester amical. Tiens, cela me rappelle "Amicalement vôtre". Pirates s'absternir sur Facebook. 

  • Chercher des affinités. C'est le fin mot de l'histoire. S'exciter sur des sujets dont on ne connaît pas les tenants et les aboutissants, c'est risquer de se perdre en chemin sans comprendre la direction, ni le sens à prendre.

  • Ne pas revendiquer son mérite. Interdit. Ce serait donner l'impressions de petitesse à l'autre. 

  • Faire preuve d'empathie. Toujours caresser dans le sens du poil et applaudir en choeur et au bon moment. Opportunisme avant tout.

  • Appeler des sentiments élevés. Les sentiments des bas-fonds ne sont pas à consulter entre gens biens sous tous rapports.

  • S'ouvrir aux autres. Dévoiler vos secrets de fabrication, c'est exactement ce dont Facebook est friand.

  • Lancer des défis. Oui, mais en restant cool. Faut pas défier "Max, la menace". 

4Amener le changement sans irriter ni offenser

  • Apporter des notes positives. On n'est pas à l'école avec ce prof qui mettait des zéros ou des notes négatives. Là, on irrite vraiment. Cela rappelle trop de mauvais souvenirs.

  • Reconnaître ses erreurs. Quelles erreurs? Reagan disait de son bilan qu'il ne serait pas là pour entendre ce que les historiens diraient de lui.  

  • Minimiser secrètement les erreurs des autres. Impossible. L'autre Facebooker ne fait jamais d'erreur, par définition.  

  • Laisser sauver la face aux interlocuteurs. Avec quel le profil, le gauche ou le droit? La maison ne recule devant aucun sacrifice de représentation.

  • Poser des questions... Au lieu de donner des réponses. Ces dernières, c'est mal vu. Point.

  • Souligner les progrès accomplis. Cliquez sur "like", quoi... Féliciter l'ami de sa pensée "stratégique". Puis, changez,  progressez, allez consultez le suivant.  

  • Aider à la réputation des autres pour la confirmer. Cela dépend s'il y a du vent que trouver un "à propos" explicatif.

  • Trouver des terrains d'entente. Dans la virtualité, on surfe ainsi plus facilement que sur une vague et sans retour de flammes.

0.jpgÉnormément de beaux sentiments que ne dénigrerait pas un confesseur.

"Pour accroître son influence" est-il dit comme but du bouquin.

Assez déplaisant comme logique en dehors d'une pub pour un produit.

La question est de savoir à qui rapporte cette intention d'influencer. J'y reviendrai dans un article prochain. 

Aux dernières nouvelles, Facebook lancera des vidéos publicitaires dès cet été.

YouTube est déjà en mains chez Google. Ce sera amusant qu'elle se place entre la photo de la bien-aimée et de tantine sur l'écran du téléphone.

"La séduction n'est qu'un jeu" écrivais-je, un jour, au sujet de la pub. Un jeu avec des règles précises et un contrôle intermédiaire.

Sur Internet, c'est de la pub sans filets. La modération n'apporte pas plus d'assurance, et serait considérée comme une censure par celui qui se voit rejeté d'un des fils d'une discussion. La seule chose que l'on peut espérer, c'est que ce ne soit pas un jeu de massacre qui passerait vite en mode "insultes" dès que la séduction tourne à l'aigre ou que, la communication vire en dehors de la zone de l'art autorisé de la méchanceté

Facebook tente de faire croire que les amis des amis sont d'office d'autres amis comme dans une boule de neige sans fin. Rien n'est plus faux et n'avoir rien compris à la condition humaine.

Ce qui est sûr, c'est que le savoir et l'information compétente peuvent intéresser tandis que leur absence donne un résultat d'estime très aléatoire et, souvent, sans lendemain.

Être préparé à la discussion sur Facebook, est souvent impulsf. Pas besoin de beaucoup réfléchir.  

0.jpgPour son lancement, le nouveau Mariane belge avait lancé une campagne de pub dans les abris-bus. Une affiche présentait le nouveau journal comme "L'hebdomadaire qui n'est pas là pour plaire". Tout l'inverse de la conception de Facebook.

Les médias officiels chercheraient-il à se démarquer dans la "Primary life"?  

L'idée de sortir des sentiers battus serait-elle plus rentable financièrement dans la méthodologie du réel?

Tout le monde n'y est ni plus beau ni plus gentil. Faux semblant, donc.

Le plus durable ne s'inscrirait-il pas dans un modèle d'intérêts partagés? Intérêts d'ordre général et pas uniquement financiers, s'entend. S'il n'y a plus d'échanges d'informations, la relation s'éteint ou devient obsolète. 

Les forums citoyens ne sont pas faits de "Facebook minded". Il faut aussi l'assumer.

Je me suis bien amusé à la suite de cet article qui parlait de croissance et de décroissance. Plus récent, celui d'hier qui parlait du mariage pour tous. Deux sujets avec des thèses opposées, de notre actualité brûlante. Chacun est resté sur ses positions. Match nul. Pat sur l'échiquier.

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Transcender ou révolutionner la terre entière par son influence imposerait plus qu'une interprétation et pour le moins, une analyse historique. Poser des questions, cela peut rassurer l'interlocuteur sur son intérêt. Donner ses propres réponses à un problème indispose. Oui, mais c'est peut-être, une "chienne d'idée" et puis ajouter un "Grain de sel".

Oui, être indépendant des idées. Seul, c'est être libre. Je sais.

Présenter des excuses ou choisir de ne rien faire? Autre sujet d'inquiétude.

D'après une étude de l’European Journal of Social Psychology, les personnes qui refusent d’envoyer un mail d'excuses ressentaient une meilleure estime d’eux-mêmes. « Si vous refusez de présenter des excuses, vous en venez à vous sentir plus autonomes. Ce sentiment de pouvoir et de contrôle se traduit par une plus grande confiance en soi. Quant à accepter les excuses, ce serait dans le rôle de « victime », puisque trop habitué à devoir faire des excuses par politesse dans le monde policé du réel, la sincérité ne vient qu’au deuxième plan.». CQFD

Le livre de Thomas d'Ansenberg "Cessez d'être gentil. Soyez vrai" explique les dérives d'être avec les autres en oubliant d'être soi-même. Il suit, en cela, l'enseignement de Marshall Rosenberg. Dissimuler pour acheter la reconnaissance, l'intégration n'est qu"un orétexte pour désamorcer une mécanique de la violence sous-jacente. Résumé du livre: "Nous avons tendance à dire plus facilement leurs quatre vérités aux autres plutôt que d’exprimer simplement ce qui se passe en nous".

La question vient à l'esprit: "dans le monde de Facebook pourquoi y aurait-il une raison de s'excuser?"

On y oublie tout ou on fait semblant d'oublier?

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On s'amuse surtout à faire le buzz, c'est tout.

Cette addiction qui supprimée vire à la dépression, en passant par l'obsession et l'isolement.

Dans le lot, on trouve les ultras, les menteurs, les prétencieux narcissiques, les informateur affectif tout en en secret, une mauvaise idée de soi.

Alors, pour terminer pourquoi pas une anecdote qui finit bien?

Le sujet: un internaute que j'ai connu sur un forum. Au départ, des contacts froids, glaciaux dus à une incompréhension à la base. Un contact email privé et une amitié virtuelle en finale. Son pseudo? Sapanhine. Cela ne vous dit plus rien? Mais si, c'était ici et encore là où, lui non plus, n'était ni mort ni muet. 

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La morale de l'histoire, c'est qu'il faut prendre du recul et creuser une relation du hasard en profondeur. Une relation peut être opposée de conviction. Elle en apprendra parfois bien plus que celle qui fera bonne figure pour rester dans les cordes du violon comme arme de persuasion. 

Aimer le violon, c'est bien, mais, pas sous perfusion. 

Voilà, donc, la nouvelle génération appelée "Z" comme "zapping" après celle des "Y" ("why").

Des enfants, nés de smartphones, connectés en permanence, surfant sur Facebook ou regardant un film en "streaming".

Sans doute de nouvelles proies pour les "marketeers" que les analystes psys vont pouvoir épicer de statistiques.

Une technique de développement personnel fondé sur le fait d'écouter sa seule sagesse intérieure, cela finit toujours dans la génération Nabilla, celle du n'importe quoi dans un empire du vide.

Vide que Stephan de Groodt remplit par l'humour...

1.jpg"Non, mais allô quoi, Facebook Home", tu veux aussi tout grésiller dans les chaumières...

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Pathétique et inquiétant, à la fois, que cette génération individualiste, hyper-sexualisée qui s'enferme dans des faire-valoir fictifs. Quand une société est atteinte de la maladie de "freakmania" auto-immune, avec ses idoles, le poison secrété qui l'achève et le web qui arrose le tout, il y a des nuages orageux qui se perdent dans le "cloud computing".

Génération moi, moi, moi dans laquelle on s'expose photos à l'appui dans une autoportrait-mania dans une "tyrannie du paraître".

Si tout va très bien, Madame La Marquise dans un café bien sucré-salé, mais, attention à l'atterrissage sur le mûr des lamentations ...

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Les Compagnons du Devoir ne connaissent pas la crise. Ils n'ont certainement pas dû passer sur Facebook.

A la rigueur, sur LinkedIn.

Rien à voir avec une secte. C'est du sérieux. Cela sert à trouver un emploi.

Mais peu d'élus qui ne devaient pas se présenter avec des mains d'or, loin d'être blanches.

La conclusion du livre de Carnegie reste, elle, toujours vraie: "Personne ne saurait renforcer sa capacité d'influence sans proximité relationnelle. Si, aujourd'hui, les affaires tournent 24 heures sur 24, la première préoccupation doit rester l'humain. Les plus belles aventures seront toujours des histoires d'interdépendances et d'interactions. Au bout du compte, l'art de se faire des amis à l'ère numérique se résume à trouver un terrain d'entente pour établir un lien et le maintenir".

Je vous laisse.

Un email m'est arrivé qui m'indique que j'ai des "notifications en attente" sur Facebook... Je sens que cela va être transcendant. :-)

"Fakebum, ergo sum. Errare humanum est".


 

L'enfoiré,

 

Articles annexes: "La méchanceté, tout un art", "Connais l'homme pour mieux te connaitre", "La grande marre du virtuel et du réel", "Le rituel est bien moins étendu dans le virtuel"

 


Citations:1.jpg

  • « L'amitié totale est universelle. Et seule l'amitié universelle peut être une amitié totale. Tout lien particulier manque de profondeur, s'il n'est ouvert à l'amitié universelle. », Jean Guitton
  •  « Une amitié née des affaires vaut mieux qu'une affaire née de l'amitié. », David Rockfeller 
  • « La vie, ce n'est pas d'attendre que l'orage passe, c'est d'apprendre à danser sous la pluie. », Sénèque 
  • « Notre monde intello se partage en catégories et se départage en frontière imaginaire. Il ne faut pas croiser le fer, quand il n'y a pas de fer »L'enfoiré

 

Le livre de Ekaterina Walter "La méthode Facebook" divisé en 5 règles (5 "P"):

Passion, Propos, Personnes, Produits et Partenariats.

 

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20 février 2014: Facebook débourse 19 milliards pour WhatsApp: les investisseurs craignent une «bulle»

Le réseau social Facebook a annoncé mercredi soir la plus grosse acquisition de son histoire et mis sur la table l’énorme somme de 19 milliards de dollars pour l’application de messagerie mobile WhatsApp. WhatsApp était bien trop en avance dans la course de la messagerie mobile internationale pour que Facebook puisse le rattraper. Facebook devait ou bien abandonner ce marché aux réseaux sociaux mobiles étrangers, ou bien payer pour acquérir WhatsApp avant qu’il ne devienne trop gros. C’est ce qu’il a fait.

Ce rapprochement «nous permettra, par de nouveaux services mobiles accrocheurs, de connecter encore plus de gens dans le monde» et «aidera à renforcer les deux services», a affirmé le PDG fondateur du premier réseau social mondial, Mark Zuckerberg, en présentant l’opération aux analystes.

Facebook va payer 4 milliards de dollars en numéraire et 12 milliards en actions pour acheter cette application populaire et en forte croissance. Le groupe californien avait déboursé 700 millions de dollars pour sa précédente acquisition, Instagram, en 2012.

«La taille de la transaction est vraiment imposante, et cela va faire parler d’une bulle», selon un analyste financier. Après la bulle.com, la bulle.Whatsapps?

0.jpgMise à jour 06 mars 2014: Autre acquisition que Facebook voudrait accomplir: Titan Aerospace pour 60 millions de $. Le but: utiliser les drones atmosphériques à 20 kms d'altitude, équipés de relais télécoms et offrirent aux cinq milliards de personnes dans le monde qui n'ont pas Internet.

Avec un rayon d'action de 30 kms à la ronde, il est prévu d'envoyer 11.000 drones Solara qui ont 50 ou 60 mètres d'envergure.

 

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Mise à jour 15 avril 2014: Facebook a fait la demande à Dublin d'adapter un compte en relation avec le profil de ses membre pour effectuer des payements. Anodin? Pas vraiment quand on sait que la société a son siège fiscal à Dublin (Facebook Ireland Limited) et que cela a permis de limiter le payement d'impôts à 1,9 million d'euros alors que le chiffre d'affaire européen est mille fois supérieur. Facebook essaye de se réinventer pour éviter le désintérêt croissant de certains membres. Donc, affaire qui représente une nécessité stratégique. 

0.jpgMise à jour 7 octobre 2015: Facebook obligé de faire marche arrière

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Mise à jour 3 décembre 2015: Zuckerberg philanthrope

 

Mise à jour 3 décembre 2017: 2.JPGFacebook va traquer les suicidaires.

Mise à jour 15 janvier 2018: Facebook est obligé de faire le ménage avec les fausses nouvellespodcast

 

Commentaires

Un article hommage vient de paraître "Il y a un an, Paul Villach nous quittait"
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/il-y-a-un-an-paul-villach-nous-134364
J'y ai ajouté quelques commentaires.

Je ne sais pourquoi, mais cela me fait penser à "L'ivrogne" de Jacques Brel
http://www.youtube.com/watch?v=YeJjEezqi1I
plutôt que "Voir un ami pleurer"
http://www.youtube.com/watch?v=z_JJRN_GFd4

Écrit par : L'enfoiré | 21/04/2013

Un «ami» vous demande 2 euros sur Facebook? C’est une arnaque

Depuis quelques jours, une nouvelle arnaque circule sur Facebook. Via des comptes piratés, des escrocs profitent de la crédulité des internautes pour leur soutirer la modique somme de deux euros.
La démarche est systématiquement la même. Une personne figurant dans la liste d’amis contacte l’utilisateur de manière tout à fait normale et lui demande si elle va bien, avant de lui exposer ses soucis.
“J’essaie de valider un paiement de 2€ par carte bancaire mais notre carte a expiré. Je t’envoie le site et tu m’aides? C’est juste pour 2€ et si tu veux je te rembourse. Ok?”
Profitant de la crédulité de certains internautes, qui pensent faire une bonne action en aidant une connaissance dans le besoin, avec un montant ridicule, les pirates accumulent progressivement des crédits qui leur permettent ensuite de faire des achats sur Internet.
Invité par la connaissance à verser le montant de 2 euros par le biais d’un site tiers, l’internaute rend en réalité service à un parfait inconnu qui va utiliser ce crédit à d’autres fins.
Interrogé par RTL.be, Olivier Bogaert, de la cellule Crime Unit de la police fédérale, explique qu’en démarchant de cette manière les internautes, les pirates restent hors de portée de la loi. Les montants perdus par les utilisateurs étant minimes, magistrats et procureurs du roi ne sont pas désireux de lancer une enquête longue et coûteuse. Olivier Bogaert avertit néanmoins : “Ne donnez jamais suite à ce type de messages et prenez contact avec votre ami par téléphone en lui demandant ce qui se passe.” Car si la victime de la supercherie a de quoi être en colère vis-à-vis de son ami, celui-ci est en réalité lui-même victime du piratage de son compte, et l’arnaque risque de se répéter à travers tout le cercle d’amis…

http://geeko.lesoir.be/2013/04/23/facebook-larnaque-des-2euros-fait-fureur/

Écrit par : L'enfoiré | 23/04/2013

Le Sapanhine en question dont tu abordes le cas dans ton billet te verra et tu le verras pour la première fois demain. Il y a presque deux ans, tout nous séparait. Un article sur Agoravox, un et puis un autre. Notre franchise réciproque a fait que nous ne pouvions pas nous entendre. Et puis, nous avons communiqué. Les 10.000 km de distance entre le Laos et la Belgique nous y ont beaucoup aidé. Nous sommes devenus amis sans Facebook, rien que parce que nous l'avons voulu, peut-être parce que toi le scientifique rigoureux et moi le littéraire qui joue avec les images, nous sommes dans le fond les deux mêmes. Simplement parce que notre faculté de révolte est restée intacte malgré le poids des ans et qu'il nous est impossible de tricher. Nous savons maintenant beaucoup de l'autre. En fait, nous nous sommes écrit tout ce qui ne s'écrit pas sur Facebook, y compris nos souffrances, nos émotions, tout ce qui ne nous appartient qu'à nous. Il ne nous manquait qu'une chose : se voir. Vous vous imaginez ? Deux amis qui ne se sont jamais vus... Ce genre d'émotion que nous allons connaître demain, Facebook ne l'offrira jamais. D'une certaine manière, je pense que ce billet, tu l'as écrit pour moi. A demain, Guy.

Écrit par : alain sapanhine | 23/04/2013

Tu as deviné. :-)

Écrit par : L'enfoiré | 23/04/2013

Facebook teste un indicateur de présence

Depuis quelques jours, une poignée de membres de Facebook ont la chance de tester un « indicateur de présence », qui pousse les utilisateurs à interagir davantage.
Facebook déploie à intervalles réguliers de nouvelles fonctionnalités sur le réseau social. Néanmoins, avant d’intégrer une nouveauté au réseau, Facebook teste avec de petits panels d’utilisateurs ses nouvelles fonctions, histoire de s’assurer que le concept fonctionne et surtout plait aux utilisateurs.
Dernière trouvaille en date ? Un indicateur de présence, dans le flux d’actualité. Le voyant vert apparait juste à droite du nom de l’utilisateur, dans le flux d’actualités, et permet aux autres utilisateurs de savoir s’ils peuvent entrer en communication directe avec leur ami. Une mesure qui pousse clairement les membres du réseau social à interagir davantage entre eux et qui permet de renouer plus facilement contact avec une personne qu’on ne croise que très rarement sur Internet.
Pour l’heure, Facebook n’a pas encore indiqué si la fonctionnalité sera déployée sur l’entièreté du réseau et sera supprimée une fois la période de test terminée.

http://geeko.lesoir.be/2013/04/25/facebook-teste-un-indicateur-de-presence/

Écrit par : L'enfoiré | 25/04/2013

Facebook ringard?
L'âge moyen des utilisateurs est passé à 41 ans à cause des mamans qui surveillent leurs enfants.
Aux USA, le nombre d'utilisateurs a baissé de 7% à cause des adolescents.
En 2012, Facebook c'était 5 milliards de dollars de CA mais avec un bénéfice net de 53 millions.
38 $ pour l'action au départ, 26 aujourd'hui.

http://www.rtbf.be/info/emissions/article_ecomatin?id=7983701&eid=5017893

Écrit par : L'enfoiré | 29/04/2013

Quand Facebook raille les statistiques de pertes d’utilisateurs de son réseau

Le réseau social Facebook accuse une perte d’abonnés en Amérique et en Europe, titrait le journal britannique The Guardian dans son édition du week-end dernier. Depuis le mois d’octobre 2012, Facebook compte un milliard d’utilisateurs. Mais plusieurs études pointent une désaffection des membres. C’est le cas par exemple de l’enquête du cabinet britannique SociaBakers dont les chiffres ont été diffusés dans le journal The Guardian. Parallèlement à cette diminution, plusieurs réseaux sociaux alternatifs attireraient davantage d'utilisateurs.
Ainsi, 6 millions d’utilisateurs américains auraient déserté le plus grand réseau social en mars 2013, ce qui équivaut à une baisse de 4%. En Angleterre, la diminution se situe aux alentours de 4,5%. La désertion des utilisateurs est de 9 millions aux Etats-Unis et de 2 millions au Royaume-Uni pour le dernier semestre.
Toutefois, ces estimations d’études sur les pertes d’utilisateurs sont fréquentes, rappelle le site ZDNet. Ces dernières évoquent chez différents publics un sentiment de lassitude ou encore la volonté de faire une pause. C’est le cas de l’enquête de Pew Internet réalisée en février dernier auprès de 1.006 Américains adultes et où il apparaissait que 61% d’entre eux ont déjà laissé en rade le réseau social Facebook pendant une période de plusieurs semaines ou plus.
Le réseau évolue sur un terrain difficile par exemple depuis son introduction en bourse ou à cause de sa politique de confidentialité jugée peu fiable. Toutes ces questions font en sorte que certains médias n’hésitent pas à voir la fin proche du réseau social. Le responsable du service communicationnel de Facebook en Europe, ancien journaliste de la BBC, Iain Mackenzie, a compilé sur son compte Facebook les différents titres d’articles du journal britannique The Guardian en relation avec une diminution des utilisateurs du réseau et les chiffres réels d'utilisateurs de chaque année de publication de l'article.
Voici son compte rendu intitulé « Bref historique du nombre déclinant d’utilisateurs » :
2007: - « La fatigue de Facebook » dans le Guardian du 30 juillet 2007 (chiffres actuels au Royaume-Uni : 3,5 millions)
2008: - « Facebook voit une première baisse de ses utilisateurs britanniques » dans le Guardian du 21 février 2008 (chiffres reels au Royaume-Uni : 8,5 millions)
2011: - « Facebook a-t-il atteint un pic ? Nouvelle diminution du nombre des utilisateurs anglais » dans le Guardian du 13 juin 2011 (chiffres réels au Royaume-Uni : 30 millions)
2013: - « Facebook déserté par des millions d’utilisateurs au sein des grands marchés » dans le Guardian du 28 avril 2013 (chiffres réels au Royaume-Uni : 33 millions, une actualisation est attendue à la mi-mai)
ZDNet fait cependant remarquer qu'en deux ans, de 2011 à 2013, Facebook n’a gagné que trois millions de nouveaux utilisateurs. Iain Mackenzie a expliqué sur son compte Twitter que l’étude de SocialBakers présentait un problème. Le Tweet a été rediffusé par SocialBakers qui redirige vers le blog du PDG dans un article intitulé « Clarification sur l’article erroné du Guardian, encore... ». Selon ce billet, les journalistes se trompent car les chiffres de Social Bakers ne sont pas en mesure de déterminer le trafic du réseau social. Le blog corrige les propos du Guardian et précise que 50% de la population britannique est encore inscrite sur Facebook.
Toutefois, précise ZDNet, les chiffres ne concernent pas uniquement l’Angleterre, ce qui laisse supposer que le Guardian a eu accès à d’autres informations. Par ailleurs, Social Bakers qui analyse les marques sur Facebook, Twitter et Google+ n’a pas intérêt à diffuser un message évoquant une éventuelle désaffection des utilisateurs de Facebook, conclut ZDnet.

Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=quand-facebook-raille-les-statistiques-de-pertes-dutilisateurs-de-son-reseau&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 01/05/2013

Les gestes conventionnels que l’on pense être les meilleurs pour maintenir une amitié, comme appeler fréquemment pour prendre des nouvelles, ne sont pas forcément les plus efficaces pour renforcer les liens d’amitié, explique Sunny Sea Gold du magazine américain Scientific American. Elle propose 4 conseils pour construire une relation plus nuancée sur le plan psychologique avec ses amis :

✓ Partagez un secret. Non seulement les secrets donnent à l’ami dépositaire la notion de la confiance qu’on leur accorde, mais il leur donnent également le sentiment qu’on leur accorde plus d’importance que les autres.

✓ Traitez les comme des adultes. Il est parfois tentant de dire aux autres ce qu’ils devraient faire dans les situations difficiles. Mais les vrais amis soutiennent l’autonomie de ceux qu’ils aiment, et de cette manière, ils leur font sentir qu’ils peuvent faire leur propres choix, ce qui améliore la relation, et leur permet même de se sentir mieux sur le plan psychologique.

✓ Acceptez leurs imperfections. Les gens sont généralement moins tolérants à l’égard de leurs amis qu’envers leurs conjoints et les membres de leur famille. De ce fait, ils supportent moins bien les conflits lorsque ceux-ci émergent avec leurs amis, et ils sont plus prompts à renoncer à cette amitié. Mais en amitié, surmonter les conflits permet souvent de renforcer les liens et de se rapprocher davantage.

✓ Soyez présent physiquement dans les moments difficiles. La recherche montre que la présence physique de ses amis en situation de stress réduit le niveau de cortisol, l’hormone du stress. L’amitié ne se cantonne pas au seul plaisir de se voir. Il faut aussi savoir être présent dans les moments les plus difficiles de l’existence.

http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=comment-devenir-le-meilleur-ami-de-quelquun&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 06/05/2013

LinkedIn a dix ans
http://www.linkedin.com/10years?_l=fr_FR&trk=eml-mktg-10yearcampaign-button

Écrit par : L'enfoiré | 15/05/2013

Les pièges sociaux de Facebook

Les réseaux sociaux rendent les gens envieux et jaloux, selon une enquête allemande. Les profils des autres font croire à une vie plus passionnante. L’utilisateur « spectateur » est particulièrement touché.

http://www.lesoir.be/244285/article/actualite/vie-du-net/2013-05-17/pieges-sociaux-facebook

Écrit par : L'enfoire | 29/05/2013

La star de téléréalité Nabilla n’a rien compris aux jeux de mots de Stéphane De Groodt et elle l’a fait savoir. Elle a interrompu plusieurs fois le comédien belge, créant l’hilarité générale sur le plateau de l’émission « Le Supplément » sur Canal +.

Le comédien belge, chroniqueur pour l’émission « Le supplément » sur Canal +, s’est retrouvé fort dépourvu lors de l’émission de dimanche dernier. Nabilla Benattia n’a pu s’empêcher d’interrompre sa chronique pour signifier sa totale perplexité devant les calembours de Stéphane De Groodt. Commentaire de ce dernier sur Twitter : « Rencontre avec Nabilla ce dimanche sur Canal !! Un esprit sain, dans un corps seins… »

http://www.lesoir.be/254642/article/culture/medias-tele/2013-06-03/stephane-groodt-deroute-nabilla-avec-son-humour-video

Écrit par : L'enfoire | 03/06/2013

La NSA, des espions de la vie privée via Facebook?

http://www.rtbf.be/video/detail_le-cafe-serre-de-thomas-gunzig-12-6-13?id=1831114

Écrit par : L'enfoire | 12/06/2013

Une panne Facebook provoque le partage de données de 6 millions d’utilisateurs

Une panne de logiciel au sein du réseau social Facebook a provoqué le partage involontaire des numéros de téléphone et des adresses courriels de 6 millions d’utilisateurs.
Facebook a annoncé avoir permis involontairement le partage de données de 6 millions d’utilisateurs. Aucune information financière ou d’autre nature n’a été partagée entre les comptes, et il n’y a « pas de preuve que cette panne ait été utilisée malignement », a précisé Facebook qui a reconnu le partage d’adresses e-mails et de numéros de téléphone.
Les utilisateurs concernés ont été prévenus par email de la mésaventure, dont l’impact sera probablement « minimal » d’après Facebook, parce que le partage de ces données se sera fait seulement entre des utilisateurs ayant déjà des connexions.
Ce partage non voulu a pu se produire quand un utilisateur Facebook s’est mis à enregistrer une archive de son compte Facebook via l’outil du réseau Download Your Information (DYI), a expliqué Facebook.
« Nous prenons la vie privée des personnes au sérieux, et nous faisons tout notre possible pour protéger leurs informations », ajoute Facebook, tout en ajoutant que « même avec une équipe forte, aucune entreprise ne peut prévenir les pannes à 100 % ».

http://www.lesoir.be/267296/article/actualite/vie-du-net/2013-06-22/une-panne-facebook-provoque-partage-donnees-6-millions-d-utilisateurs

Écrit par : L'enfoire | 22/06/2013

Les 14 règles d’or de Facebook (mais qu’on te dit pas)

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-14-regles-d-or-de-facebook-138720

Écrit par : L'enfoiré | 17/07/2013

Facebook : des spots publicitaires de 15 secondes dans le flux d’actualités

Certes, ce n’est pas la première fois que l’on évoque la diffusion de spots publicitaires sur Facebook. Depuis plusieurs mois déjà, la rumeur circulait sur la toile. Aujourd’hui, Bloomberg ajoute un peu d’huile sur le feu en apportant quelques informations complémentaires…
Dans son rapport, Bloomberg évoque l’hésitation de Zuckerberg, qui aurait déjà repoussé à deux reprises le lancement du nouveau format publicitaire par crainte de fâcher l’audience du réseau social.
Mais à en croire la publication, ce nouveau format publicitaire serait bien trop intéressant financièrement pour que Facebook abandonne complètement l’idée.
Moyennant 1 à 2,5 millions de dollars par jour, les annonceurs peuvent diffuser des spots publicitaires de 15 secondes et toucher une audience très large. Les spots publicitaires, directement intégrés dans le flux d’actualités du réseau social, ne peuvent être mis en pause par l’utilisateur. Pour éviter de créer une polémique, Facebook aurait décidé de limiter le nombre de diffusions de spots à trois par jour. Autrement dit, une fois les 3 spots publicitaires quotidiens visionnés, l’internaute peut surfer en toute tranquillité sans devoir subir d’autres interruptions.
Si on ignore toujours quand Facebook lancera ce nouveau format publicitaire, ces nouvelles informations révélées par Bloomberg tendent à confirmer l’existence d’un tel projet chez Facebook…

http://geeko.lesoir.be/2013/07/31/facebook-des-spots-publicitaires-de-15-secondes-dans-le-flux-dactualites/

Sans relation de cause à effet, Facebook retrouve son cours d'introduction en Bourse (IPO)
http://www.lesoir.be/291275/article/economie/2013-07-31/facebook-depasse-son-prix-d-entree-en-bourse-pour-premiere-fois

Écrit par : L'enfoiré | 31/07/2013

3 tableaux qui expliquent pourquoi l'action Facebook a gagné 100% en 120 jours

Au 1er Juillet de cette année, il ya environ quatre mois, l’action Facebook se négociait à un peu moins de 25 dollars. Aujourd'hui, la part du second site le plus visité au monde (derrière Google), flirte avec les 50 dollars, soit une augmentation de 100%.
Trois tableaux expliquent pourquoi Facebook, après un démarrage difficile, est redevenu la coqueluche des marchés financiers (certains analystes prédisent que l’action pourrait atteindre rapidement le cours de 65 dollars):

1. Publicité
Malgré les rapports des médias qui indiquent que la publicité sur Facebook n'est pas aussi efficace que sur les autres supports, les entreprises lui achètent plus d’espaces publicitaires que jamais.

2. Publicité sur mobile
49% du chiffre d'affaires de Facebook proviennent aujourd'hui de la version pour mobile du site, malgré le fait qu'il est beaucoup plus difficile de gagner de l’argent avec les applications mobiles. Près des trois quarts des utilisateurs de Facebook visitent le site à partir d'un appareil mobile. Les recettes publicitaires correspondantes sont en hausse sur tous les continents.

3. Le nombre d'utilisateurs continue à augmenter
Bien que l'Europe et les Etats-Unis semblent avoir presque atteint leur niveau de saturation (Facebook n’enregistre plus qu’une croissance de 0,5% sur les deux continents), de plus en plus de personnes ouvrent un compte en Asie et dans le reste du monde.
Mais les chiffres trimestriels publiés mercredi indiquent également deux évolutions moins favorables. Par exemple, il semble que de moins en moins d’adolescents - les utilisateurs du futur – soient intéressées par Facebook. Une évolution que Facebook avait visiblement prévue et qui a justifié l’acquisition d’Instagram.
La deuxième tendance inquiétante est que Facebook peut difficilement augmenter le nombre d'annonces sur le fil de news, tout comme sur les 12 derniers mois, où la plus forte augmentation du chiffre d'affaires a été mesurée. Facebook affirme vouloir compenser cela en plaçant des annonces à forte valeur ajoutée, qui rapportent plus, et en diffusant des annonces vidéo, qu’il voudrait intégrer cette année sur son application mobile.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=3-tableaux-qui-expliquent-pourquoi-laction-facebook-a-gagne-100-en-120-jours&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 01/11/2013

Pour les jeunes, Facebook est 'mort et enterré'

La récente chute de popularité de Facebook auprès des jeunes ne se dément pas. Cela se vérifie dans la mesure où les jeunes de 16 à 18 ans ne trouvent pas le site « cool » et ne gardent leur profil en activité que pour rester en contact avec des membres de leur famille plus âgés. C’est ce qui ressort d'une enquête menée par Global Social Media Impact.
Selon cette catégorie d'âge, le réseau social ne revient pas à l'avant-plan, mais est tout simplement « mort et enterré ». La plupart de ces jeunes ne veulent absolument plus être associés à Facebook. Chez les jeunes, WhatsApp, Snapchat et Twitter ont pris la place de Facebook, même si ce réseau social est encore populaire auprès de personnes plus âgées.
« Si auparavant les parents étaient préoccupés par le fait que leurs enfants soient connectés sans arrêt sur Facebook, maintenant, le phénomène inverse apparaît et ce sont les parents qui demandent à leurs enfants de ne pas abandonner Facebook », affirme Daniel Miller, professeur de sociologie à l'University College à Londres. « Facebook est maintenant devenu un livre ouvert pour les parents qui veulent savoir ce que leurs enfants font en ligne ».
Ces résultats correspondent à ce qu’un rapport semestriel de l'observateur de marché Piper Jaffrey avait mis en évidence en octobre.
26% des personnes interrogées ont cité Twitter comme leur média social le « plus important ». Facebook est cité dans 23% des cas. Il y a un an, Facebook atteignait encore 42% et il y a 6 mois 33%. Cependant, Twitter ne doit pas se reposer sur ses lauriers, car Instagram, la plate-forme photo/vidéo, propriété de Facebook atteint déjà un score de 23%, presque le double de l'an dernier.
Les nouveaux chiffres confirment que Facebook a fait le bon choix lorsqu'il a repris en 2012 Instagram alors peu connu pour la somme d'un milliard de dollars, ce qui paraissait un montant astronomique. Cela semble être maintenant une assurance-vie contre la perte de jeunes utilisateurs en faveur de la concurrence. Les chiffres montrent en tout cas que Facebook reste très vulnérable dans cette catégorie d'âge.
Il ressort de chiffres de 2011 que seuls 11% des comptes Facebook appartiennent à des jeunes de 13 à 17 ans. Seuls les plus de 55 ans font pire.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=pour-les-jeunes-facebook-est-mort-et-enterre&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 02/01/2014

Le déclin de Facebook est annoncé. Info ou intox?
Des chercheurs de Princeton prédisent la perte de 80% des utilisateurs d’ici à 2017.

Entre 2015 et 2017, 80 % des utilisateurs de Facebook vont quitter le réseau social de Marck Zuckerberg, annoncent deux chercheurs de Princeton dans la revue Arvix. Les deux scientifiques ont utilisé les modèles statistiques de l’épidémiologie pour analyser l’ascension et le déclin (contagion et guérison en langage épidémiologique) du réseau social américain.

Mais cette étude est-elle fiable ?
Pour arriver aux résultats obtenus, les chercheurs ont eu recours à Google Trends qui délivre les statistiques d’utilisation. Statistiques qu’ils ont notamment comparées avec celles de Myspace, qui est rapidement passé de la prospérité (2005) à l’oubli.
Sauf que lorsque Myspace était à son apogée, Google avait le monopole : tout le trafic passait par le moteur de recherche. L’étude part du même paradigme et occulte dès lors les connexions effectuées depuis smartphones, alors qu’elles représentent près de la moitié des connexions sur Facebook.

Des doutes sur la crédibilité de la revue et des scientifiques
Un autre problème est aussi souligné : la crédibilité de la revue en question et celle des scientifiques sont questionnées. Arvix n’est pas une revue à comité de lecture. Ce qui veut dire que le contrôle n’est pas effectué par d’autres scientifiques. La crédibilité scientifique est donc à nuancer.
Quant aux deux auteurs, John Cannarella et Joshua A. Spechler, s’ils appartiennent bel et bien à l’Université de Princeton, ils sont en réalité rattachés au département de mécanique et d’ingénierie aérospatiale. L’étude des réseaux sociaux ne semble donc pas être leur spécialité…

Facebook n’a pas dit son dernier mot
Mais si l’étude est contestée, il est certain que Facebook va perdre une partie de ses utilisateurs. De plus en plus, comme le relayait le site Slate.fr, les internautes, notamment les jeunes, se tournent de plus en plus vers de nouvelles applications comme Snapchat ou Instagram. Selon une étude du cabinet de recherche iStrategyLabs citée par Le Temps, les adolescents de 13 à 17 ans composent 5,4% de la population du site de Mark Zuckerberg, contre 8,9% en 2011.
Une fuite dont Facebook a conscience : dans son rapport annuel, Facebook confirme bien observer un détournement des jeunes « vers d’autres produits et services, parfois utilisés comme substitut ».
Ce qui expliquerait en partie le changement de stratégie adoptée par la firme américaine qui perfectionne de plus en plus ses applis Instagram ou Messenger mais qui développe aussi sa fonction de média : Facebook aurait pour intention de lancer son propre reader, baptisé Paper, une information relayée par Le Nouvel Observateur.

http://www.lesoir.be/409262/article/economie/vie-du-net/2014-01-22/declin-facebook-est-annonce-info-ou-intox

Écrit par : L'enfoiré | 23/01/2014

7 choses que vous ignorez sur la manière dont Facebook exploite vos données

Depuis sa création, Facebook a modifié maintes fois sa politique de confidentialité. Toutefois, la majorité des utilisateurs ne sait pas vraiment comment Facebook exploite les données, explique le site Expansion.com. Non seulement Facebook utilise des techniques de persuasion pour que vous restiez sur son réseau mais il sait également ce que vous y faites.
✔. Facebook garde toutes vos données, même si vous les effacez
Pour faire disparaître la totalité de vos informations, il faudra les éliminer une à une. Voici l’avertissement de Facebook : « Même après avoir supprimé des informations de votre profil ou avoir résilié votre compte, des copies de vos informations peuvent rester visibles à certains endroits, dans la mesure où elles ont été partagées avec d'autres utilisateurs ». En outre, Facebook conserve plusieurs de vos données par sécurité (par ex. usurpation d’identité) et créé des copies de sauvegarde des comptes désactivés pendant une durée maximum de 90 jours.

✔. Facebook suit tous vos mouvements sur Internet
Dès que vous débutez une session sur Facebook depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone, le réseau sait d’où vous vous connectez et ce que vous faites. Ainsi, après une recherche d’ordre commercial sur Internet, ne vous étonnez pas si les marques consultées apparaissent sur Facebook car le réseau collecte des informations des informations sur votre navigation, même sans votre autorisation. La raison est simple : le réseau utilise des cookies pour connaître le moment exact de votre visite sur une page et pour bien d'autres choses. Vous trouverez sur Internet de plus amples informations afin d'effacer ces cookies.

✔. Si vous permettez que tout le monde vous voie sur Facebook, vous courez certains risques
Dans le cas d’une configuration « tout le monde », précise Facebook, « les informations définies sont des informations publiques, qui peuvent être vues par tout le monde sur Internet (y compris les personnes qui ne sont pas connectées à Facebook). Elles peuvent être indexées par des moteurs de recherche tiers et peuvent vous être associées en dehors de Facebook (comme lors de vos visites sur d'autres sites Internet) et nous, ou toute autre personne, pouvons les importer et les exporter sans restrictions de confidentialité ». Si vous effacez les contenus partagés avec « tout le monde », ils disparaîtront de votre profil mais Facebook n’est pas en mesure d’assurer qu’ils ne seront pas utilisés par des tiers. Vous pouvez désactiver cette fonction en allant dans « Paramètres et outils de confidentialité ».

✔. Facebook peut convertir vos préférences en publicités pour vos amis
En « aimant » une page, vous autorisez Facebook à utiliser votre nom et votre photo à côté d'annonces pour que vos amis les voient. Il s'agit d'« actualités sponsorisées », mais vous pouvez demander à Facebook de ne pas utiliser vos données de cette manière.

✔. Il existe des données que vous ne pourrez jamais cacher et d’autres que Facebook possède sans que vous ne le sachiez
La seule chose que vous pouvez faire est d'empêcher que vos données publiques (nom, photo, amis etc...) apparaissent dans des moteurs de recherche par configuration des paramètres. Cependant, sans le savoir, vous fournissez des métadonnées, celles des photos et vidéos que vous postez (informations sur la localisation, l'heure, le jour, etc.). Facebook garde ces métadonnées et pour éviter cela, il faut les éliminer avant de poster quelque chose. Une simple recherche sur Google vous fournira de nombreux conseils afin de les supprimer.

✔. Vous courez un risque de consentement involontaire
Par exemple, en demandant des échantillons d’un produit, vous consentez sans le savoir à ce que vos données personnelles parviennent aux entreprises. Cela se produit aussi si vous cliquez sur des publicités de votre compte Facebook. Ce n'est pas Facebook qui en est responsable, mais l'annonceur qui vous « repère ». « Même si nous ne partageons pas vos données personnelles avec les annonceurs sans votre autorisation, quand vous cliquez sur ou interagissez avec une publicité, l'annonceur peut envoyer un cookie sur votre navigateur et noter qu'il répond aux critères qu'ils ont sélectionnés », précise Facebook.

✔. Même si vous n’avez jamais été sur Facebook, le réseau peut avoir accès à certaines de vos données
Facebook peut accéder à certaines de vos données même si vous n'êtes jamais allé sur ce réseau. En effet, votre adresse électronique sera enregistrée si quelqu'un vous invite à vous inscrire sur Facebook. Cet inconvénient peut être éliminé grâce à la page d'aide du site de Facebook.

Dans leur livre « Against the Hypothesis of the End of Privacy », les chercheurs Antonio A. Casilli, Paola Tubaro et Yasaman Sarabi abordent les problématiques relatives au respect la vie privée des utilisateurs des réseaux sociaux et autres services par Internet. Dans cet ouvrage, les auteurs refusent l’idée d’une fin de la vie privée due aux réseaux sociaux, rapporte le journal Le Monde dans une interview avec Antonio A. Casilli. Casilli revient sur les déclarations de Mark Zuckerberg qui avait affirmé en 2010 que « la vie en public est la nouvelle norme ». Pour ces scientifiques, les utilisateurs ne sont pas inertes.
« Loin d’accepter une érosion linéaire constante de leur vie privée, les utilisateurs des réseaux sociaux réagissent aux changements en protégeant davantage leur vie privée ».
En outre, la révélation des collectes de données par les agences d'espionnage occidentales ont renforcé la prudence des utilisateurs qui sont de plus en plus nombreux à demander des outils qui leur permettent de mieux se protéger. L’idée de la « fin de la vie privée » est un mythe lié aux intérêts économiques des grandes entreprises d’Internet. Les modèles économiques de ces compagnies se basent sur la monétisation des données des utilisateurs.
« L'acceptation sociale massive de la surveillance face aux révélations de M. Snowden est un mythe. La découverte des manœuvres de la NSA a eu un réel impact sur les usagers du Net, ils sont amenés à modifier leurs pratiques », ajoute encore Casilli dans Le Monde.

Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=7-choses-que-vous-ignorez-sur-la-maniere-dont-facebook-exploite-vos-donnees&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 13/02/2014

Facebook débourse 19 milliards pour WhatsApp: les investisseurs craignent une «bulle»

Le réseau social Facebook a annoncé mercredi soir la plus grosse acquisition de son histoire et mis sur la table l’énorme somme de 19 milliards de dollars pour l’application de messagerie mobile WhatsApp..
WhatsApp était bien trop en avance dans la course de la messagerie mobile internationale pour que Facebook puisse le rattraper. Facebook devait ou bien abandonner ce marché aux réseaux sociaux mobiles étrangers, ou bien payer pour acquérir WhatsApp avant qu’il ne devienne trop gros. C’est ce qu’il a fait.
Ce rapprochement «nous permettra, par de nouveaux services mobiles accrocheurs, de connecter encore plus de gens dans le monde» et «aidera à renforcer les deux services», a affirmé le PDG fondateur du premier réseau social mondial, Mark Zuckerberg, en présentant l’opération aux analystes.
Facebook va payer 4 milliards de dollars en numéraire et 12 milliards en actions pour acheter cette application populaire et en forte croissance. Le groupe californien avait déboursé 700 millions de dollars pour sa précédente acquisition, Instagram, en 2012.
«La taille de la transaction est vraiment imposante, et cela va faire parler d’une bulle», selon un analyste financier.

http://www.lesoir.be/473496/article/economie/2014-02-20/facebook-debourse-19-milliards-pour-whatsapp-investisseurs-craignent-une-bulle

Après la bulle.com, la bulle.Whatsapps (
http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=lhistoire-se-repete-aprs-la-bulle-com-la-bulle-des-whatsapps&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign= )

Écrit par : L'enfoiré | 20/02/2014

Autre acquisition que Facebook voudrait accomplir: Titan Aerospace pour 60 millions de $. Le but: utiliser les drones atmosphériques à 20 kms d'altitude, équipés de relais télécoms et offrirent aux cinq milliards de personnes dans le monde qui n'ont pas Internet.
Avec un rayon d'action de 30 kms à la ronde, il est prévu d'envoyer 11.000 drones Solara qui ont 50 ou 60 mètres d'envergure.

http://express.fb.emakina.addemar.com/c1725/e40152337/hdfee3/l124779/index.html

Écrit par : L'enfoiré | 06/03/2014

Facebook a fait la demande à Dublin d'adapter un compte en relation avec le profil de ses membre pour effectuer des payements. Anodin? Pas vraiment quand on sait que la société a son siège fiscal à Dublin (Facebook Ireland Limited) et que cela a permis de limiter le payement d'impôts à 1,9 million d'euros alors que le chiffre d'affaire européen est mille fois supérieur. Facebook essaye de se réinventer pour éviter le désintérêt croissant de certains membres. Donc, affaire qui représente une nécessité stratégique.

Écrit par : L'enfoiré | 15/04/2014

Les tablettes rendent les serveurs superflus

La chaîne de restaurants Chili's Grill & Bar a équipé ses installations de tablettes grâce auxquelles les clients peuvent consulter le menu et passer leurs commandes. L'addition peut aussi être payée grâce à la tablette, mais cette technologie propose également des jeux aux clients.
La chaîne a acheté pour 800 succursales en tout 45.000 tablettes. Etant donné qu'on ne peut pas exclure des dommages ou des vols, la chaîne a porté son choix sur des modèles bon marché sur le marché des tablettes. Les appareils sont aussi équipés d'une caméra et offrent la possibilité d'éventuellement imprimer le menu.
« Les tablettes se chargent presque de l'ensemble de l'opération», dit Austen Mulinder, chief executive du fournisseur de tablettes Ziosk. « Il n'y a que pour servir les repas qu'une intervention manuelle est encore nécessaire ». Auparavant déjà, Applebee's avait annoncé aussi l'installation de 100.000 tablettes.
Mike Archer, président de Applebee, fait remarquer que ce service fait grimper sensiblement la satisfaction du client, notamment parce qu'il ne doit plus attendre indéfiniment l'addition. Les observateurs posent cependant la question de savoir si l'irruption de la technologie dans le secteur de l'horeca va rendre finalement le métier de serveur en grande partie inutile.
Rajat Suri, chief executive du producteur spécialisé de tablettes E la Carte, souligne par contre que la technologie doit surtout rester un auxiliaire pour le serveur. « Même le meilleur des serveurs ne pourra pas rester tout le temps à côté de la table des clients », dit-il. « La tablette peut aider à combler ces petits manquements ».
Les serveurs de Chili's aussi expliquent à Business Insider que les tablettes sont surtout un auxiliaire pratique. On souligne notamment que beaucoup de clients ne sont pas très enthousiastes à l'idée de remettre leur carte de crédit au serveur lors du paiement, et dans ce cas l'utilisation d'une tablette peut offrir une solution.
Selon Sam Coll, expert en technologie auprès de Business Insider, il n'est facile de voir combien de restaurants investiront dans des tablettes. « Ziosk fait remarquer que les exploitants doivent payer une cotisation mensuelle pour l'utilisation de ces appareils mais ces coûts sont largement compensés par les repas recherchés achetés par le client », ajoute-t-il.
« Après un bon moment au restaurant, les clients auront toujours plus vite tendance à acheter des bons-cadeaux ou à commander un dessert ».Applebee dit aussi proposer sur les tablettes des vidéos, des jeux, de la musique et une interaction avec la communauté Facebook de la chaîne.

Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=horeca&item=les-tablettes-rendent-les-serveurs-superflus&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 04/07/2014

L'action Facebook a gagné 183% en un an; Zuckerberg est désormais plus riche que les fondateurs de Google

Les résultats de Facebook pour le second trimestre, qui ont fait état d’une hausse des ventes de 61%, bien au-delà de ce que les analystes attendaient, ont propulsé le cours des actions Facebook à un nouveau record. En conséquence, le CEO de cette société, âgé d’à peine de 30 ans, Mark Zuckerberg, a vu sa richesse personnelle gagner 1,6 milliard de dollars sur une seule journée. Il est désormais à la tête d’une fortune de 33,3 milliards de dollars, ce qui lui a fait rejoindre la seizième place de la liste des milliardaires de Bloomberg, où il dépasse désormais les fondateurs de Google, Sergey Brin (17ème place) et Larry Page (18ème place), ainsi que celui d'Amazon, Jeff Bezos (20ème place).
Au cours des 12 derniers mois, le cours de l’action Facebook a augmenté de 183%, la plus forte hausse parmi les sociétés qui composent l'indice 500 de Standard & Poor’s. Son cours correspond à 82 fois le rendement de l’action, alors que le rapport entre les gains et le cours de l’indice S&P 500, qui donne une mesure de la moyenne qui se pratique généralement au sein des autres sociétés qui composent cet indice, est de 18,2.
Lors de l’introduction en bourse de Facebook le 18 mai 2012, beaucoup avaient estimé que l’on avait assisté à l’éclatement de la bulle technologique. En effet, peu après son lancement à 38 dollars, l’action s’était écroulée à moins de 20 dollars. A l’époque, les grands titres avaient évoqué une « débâcle ». Aujourd'hui, la part est proche des 75 dollars.
L'homme le plus riche du monde demeure le fondateur de Microsoft, Bill Gates, avec une fortune de 84,7 milliards de dollars, soit 7,9% de plus que l'an dernier. Il est suivi du magnat des télécoms mexicains, Carlos Slim, qui au début de cette semaine, a plaidé pour l'introduction d’une semaine de travail de 3 jours. Sa fortune personnelle se monte à 78,8 milliards de dollars.
David Kirkpatrick, auteur de « The Facebook Effect », a expliqué dans un interview téléphonique à Bloomberg que « Zuckerberg ne fait que commencer » et qu’il sera un jour l'homme « le plus riche de la planète ».

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=laction-facebook-a-gagne-183-en-un-an-zuckerberg-est-desormais-plus-riche-que-les-fondateurs-de-google&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 25/07/2014

Pourquoi nous trouvons autant de messages banals et agaçants sur Facebook

Sur Facebook, que nous le voulions ou non, il n’est pas rare par exemple d’être amené à devoir visionner les photos du dîner romantique du collègue avec sa nouvelle copine, la photo du bébé de notre cousine, de son chat ou de son chien ou encore de devoir lire les diatribes politiques d’une connaissance. Lorsque ces mises à jour banales deviennent récurrentes, la situation devient légèrement agaçante. « Pourquoi certaines personnes publient-elles si souvent des messages fastidieux sur Facebook? », s’est interrogé le magazine en ligne Quartz qui a mené une étude sur les utilisateurs hyperactifs du réseau social.

Voici les 4 types de personnalité qui inondent régulièrement le fil d’actualité de votre compte Facebook :
1. Les personnes qui ont un besoin émotionnel. Les personnes moins stables émotionnellement recherchent souvent un soutien social en ligne, ressort-il d’une étude des universités de Miami et de Pennsylvanie. Ces personnes qui « ressentent les émotions plus intensément » ont du mal à reconnaître les limites du raisonnable et ont tendance à moins se réguler. C’est pourquoi elles publient parfois énormément de messages sur Facebook. En outre, lorsqu’elles reçoivent des réactions aux mises à jour de leur statut, leur bien-être augmente.
2. Les séducteurs et les romantiques. Le rituel amoureux se déroule aussi en ligne. D'une étude de Facebook, il est apparu que les personnes qui s’apprêtent à entamer une relation entre-elles publient des messages sur le fil d'actualité du futur partenaire juste avant la liaison. De cette manière, les « séducteurs » veulent faire comprendre à cette personne, mais aussi à leurs contacts, qu'ils sont intéressés par autre chose qu’une relation en ligne.
3. Les thérapeutes relationnels. Pour certaines personnes qui vivent une relation amoureuse, Facebook peut fonctionner comme une thérapie. Les personnes qui doutent de leur relation ou des sentiments de leur partenaire postent souvent des photos ou des messages au sujet de leur liaison parce qu'elles pensent ainsi renforcer cette dernière, indique une étude. Cependant, cela ne signifie pas que toutes les « selfies » mièvres manquent de sincérité ou que le couple va mal. Ces personnes sont tout simplement dans l’incertitude. La même étude souligne également que ceux qui postent le plus de messages ou de photos au sujet de leur relation sont aussi plus heureux avec leur partenaire que ceux qui ne le font que rarement ou jamais.
4.Les personnes à la recherche d’un remontant pour leur moral. Les personnes solitaires rédigent souvent un message sur le « mur » d’un contact afin que tout le monde puisse le lire. Cette « publication semi-publique » conduit à une réduction du sentiment de solitude lorsque les réactions à la publication sont écrites, indique une étude citée par The Atlantic. Toutefois, toujours selon cette étude, le simple « like » d'autres personnes sur une publication, ne modifie pas le sentiment de solitude.

Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=pourquoi-nous-trouvons-autant-de-messages-banals-et-agaants-sur-facebook&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 10/10/2014

Pourquoi Facebook n'a pas de bouton 'Je n'aime pas'

« Facebook n'introduira probablement jamais de bouton « Je n'aime pas », a déclaré Bret Taylor, ancien responsable en chef du réseau social, créateur du bouton « like », au site d'informations Tech Radar. La fonction « J'aime » de Facebook est devenue une icône culturelle, mais une variante négative ne sera jamais mise en place car cette fonction beaucoup trop complexe pourrait occasionner trop de problèmes.
Lors de l'élaboration de la fonction « J'aime »,une variante négative a également été envisagée.« En ce qui concerne le bouton « dislike », la raison principale est que, dans le cadre du réseau social, la négativité de ce bouton aurait des conséquences lamentables », explique Bret Taylor.
Selon Taylor, un bouton « Je n’aime pas » inciterait les utilisateurs à exprimer clairement leur antipathie vis-à-vis de messages, de photos ou d'autres communications et cela pourrait mener à des conflits ou à de la diffamation regrettables. Une fonction de ce genre pourrait permettre d'exprimer de la compassion lors d'une mauvaise nouvelle, mais pourrait aussi être un outil pour lancer une attaque contre celui qui a rédigé le message.
« Nous avons lancé le bouton « like » en premier lieu parce que dans plusieurs cas, les personnes voulaient reconnaître quelque chose fait par quelqu'un sans avoir rien à dire à ce sujet. » « Un bouton « Je n'aime pas » ne fonctionnerait pas de la même manière. Il ne ferait que transmettre de la négativité et pourrait avoir des répercussions lamentables comme le cyber-harcèlement »
« Si vous voulez ne pas aimer quelque chose, il faut que vous écriviez un commentaire car il existe très certainement un mot pour exprimer ce que vous voulez dire », a encore expliqué Taylor.
Selon TechRadar, l'absence voulue d’un bouton « Je n'aime pas » pourrait aussi avoir une raison commerciale. « Un bouton « Je n’aime pas » n’aurait pas la même utilité que le bouton « J’aime » pour la publicité ciblée de Facebook ».

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=pourquoi-facebook-na-pas-de-bouton-je-naime-pas&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 23/10/2014

"J'ai fait un rêve. Celui d'une société prenant le temps d'apprécier un moment pour ce qu'il est vraiment et non pour ce qu'il pourrait faussement représenter aux yeux des autres sur les réseaux sociaux. Une société qui réaliserait que, chaque fois qu'un écran s'allume, c'est une porte qui se ferme", disait Xavier Van Welde (finaliste de Echo Young Vision Award 2012) ( http://www.usaintlouis.be/sl/889.html )

Écrit par : L'enfoiré | 31/10/2014

Le monde selon Facebook, ou pourquoi 'l'Ice bucket challenge' est plus important que les émeutes raciales de Ferguson

Près de 20% de la population mondiale, soit 1,3 milliards de personnes, se connectent au moins une fois par mois à Facebook, et le réseau social est à l’origine de 20% du trafic sur Internet, indiquent des données provenant de la société d’analyse SimpleReach. Sur les appareils mobiles, l’influence du site de Mark Zuckerberg sur la consommation de pages internet est encore plus grande, et elle se développe continuellement.
« Le média social devient de plus en plus pour le secteur de l’information ce qu’Amazon représente pour l’édition littéraire : un géant qui donne accès à des millions de consommateurs et exerce un énorme pouvoir », écrit Ravi Somaiya dans le New York Times. Une étude de Pew Center a révélé que désormais, 30% des adultes américains découvrent les actualités sur Facebook. « En résumé, les perspectives d’un site d’actualités, peuvent être à la hausse ou à la baisse, en fonction du succès qu’il recueille sur le fil d’actualité de Facebook », écrit le journaliste.
La plupart des lecteurs d’actualités ne les découvre plus à partir des versions papier des journaux ou des magazines, ni même des pages d’accueil de leur site internet, mais au travers des médias sociaux et des moteurs de recherche. Autrement dit, ils sont guidés par un algorithme qui détermine ce qui serait susceptible de les intéresser. « C’est un monde de bribes, filtré par du code et fourni à la demande », résume Somaiya.
Ainsi, la presse subit ce qu’il appelle « le grand dégroupage » : de même qu’ils n’écoutent presque plus des albums musicaux entiers, mais seulement des morceaux individuels, les gens ne lisent plus que des articles isolés, plutôt qu’une édition complète.
On peut se demander si ces algorithmes font aussi bien ce travail de sélection des informations que les rédacteurs en chef. Ce changement devrait également faire évoluer la façon dont les gens voient le monde.
Greg Marra, l’ingénieur informatique âgé de 26 ans qui dirige l’équipe à l’origine de l’algorithme derrière le « fil d’actualité» de Facebook, se défend de jouer ce rôle. « Nous ne voulons pas avoir de jugement éditorial sur le contenu de votre fil. Vous vous êtes fait vos amis, vous vous êtes connecté à des pages auxquelles vous vouliez vous connecter et vous être le meilleur pour décider des choses qui vous intéressent ». Il précise que l’algorithme s’appuie sur des milliers et des milliers de critères, incluant le type d’appareil sur lequel l’article est lu, ou le temps passé dessus, par exemple. Marra indique qu'en Inde, par exemple, les sujets les plus populaires sont l'astrologie, Bollywood, le cricket et les divinités.
Mais son impact est suffisant pour faire la pluie et le beau temps sur les rédactions. Le changement d’algorithme que Facebook a introduit en décembre dernier pour promouvoir les contenus de meilleure qualité a conduit à de fortes baisses de trafic pour des sites spécialisés sur le « viral », dont Upworthy, Distractify et Elite Daily.
Les cadres de Facebook affirment que les échanges d'idées et d'informations sont intensifiés avec le temps passé sur le site, mais les critiques objectent que cela peut aussi conduire à créer des chambres d'écho, où l'on sélectionne les contenus conformes à un point de vue, tout en filtrant tout ce qui est dissident. Sean Munson, qui étudie le lien entre la technologie et le comportement à l'Université de Washington, pense même que cet aspect contribue à alimenter les théories du complot.
Pour les rédactions, le mot d’ordre est donc de s’adapter à ce nouveau mode de consommation de l’information. La rédactrice en chef pour la version numérique du Washington Post mène actuellement une expérience au cours de laquelle le journal teste différentes versions de chaque article sur un groupe de lecteurs en fonction de la façon dont ils sont arrivés sur l’article, l’appareil depuis lequel ils le lisent, et même la façon dont ils le tiennent, si c’est un smartphone, par exemple. Le but n’est pas tant de modifier la présentation, que la façon de reporter l’information. « Les gens qui lisent le Post sur un téléphone mobile au cours de la journée veulent probablement quelque chose de différent que ceux qui utilisent une connexion Wifi à la maison », explique-t-elle.
Pour Robert Cotrell, un ancien journaliste du Financial Times et de The Economist qui a fondé The Browser, un site qui ne publie chaque jour qu’une sélection de 5 ou 6 articles repérés pour leur originalité et leur qualité, l’intelligence artificielle des algorithmes est encore appelée à évoluer, et ils proposeront de plus en plus d’articles percutants à l’avenir. Mais pour le moment, ils ne se fondent que sur les données collectées en ligne, « et ils ne produiront qu’un ensemble de données très très appauvri, comparé à un être humain ».
Emily Bell, spécialiste des médias et directeur du Tow Center for Digital Journalism à l'Université de Columbia, a indiqué au journal britannique The Guardian que sur plusieurs plates-formes en ligne, l’importance de l’actualité est déterminée par l'ampleur des réactions des utilisateurs. Le danger que présente cette manière de sélectionner les informations, selon cette spécialiste des médias, est que des débats sociaux importants risquent d’être étouffés, écrasés par des informations plus populaires. Selon Bell, cet écosystème de l’information qui favorise automatiquement certaines catégories d’informations, pose une menace potentielle pour la démocratie.
La sociologue Zeynep Tüfekçi, chercheur au Centre de technologie de l'information politique à l'Université de Princeton, a constaté ce détournement d’informations à l’occasion des manifestations contre la mort de l’adolescent Michael Brown, qui a été abattu par la police à Ferguson :
Bien que plusieurs articles concernant les émeutes de Ferguson avaient été postés sur Facebook, elle n’en avait vu aucun dans son fil d’actualité initialement, mais seulement des articles consacrés aux « ice bucket challenges » [défis que des personnalités se sont lancés de se verser de l’eau glacée sur la tête avec un seau à glace au bénéfice d’associations caritatives]. Cela l’avait conduite à spéculer que le filtrage algorithmique pouvait potentiellement modifier d’importantes histoires. (…) Il est impossible pour des humains de filtrer efficacement le vaste nombre d’images, de vidéos, de tweets et de mises à jour créés et échangés par des humains, des robots et des appareils. D’ici 2020, selon le cabinet de consultant Gartner, il y aura 20 milliards d’appareils connectés à internet. (…) Facebook, Instagram, Twitter, WhatsApp et les sites futurs continueront de prendre des décisions éditoriales pour notre compte ».

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=le-monde-selon-facebook-ou-pourquoi-lice-bucket-challenge-est-plus-important-que-les-emeutes-raciales-de-ferguson&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
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Écrit par : L'enfoiré | 04/11/2014

Comment 'l'achat sous le coup de la panique' de Zuckerberg pourrait s'avérer être le meilleur rachat d'entreprise de toute l'histoire

Lorsque Facebook a racheté le service de partage de photos Instagram en 2012 pour plus d'un milliard de dollars, le magazine d'affaires américain Forbes avait spéculé que cette décision avait été motivée par la panique de Facebook de voir arriver un dangereux concurrent. Avec le recul, on peut cependant conclure que Mark Zuckerberg, le CEO de Facebook, a un bon « nez pour les affaires », puisque la banque d'investissement américaine Citi estime que la valeur d’Instagram atteint aujourd'hui ... 35 milliards de dollars.
Instagram a annoncé la semaine dernière qu’il compte désormais 300 millions d’utilisateurs (ce qui est plus que Twitter), et que ses usagers sont 1,8 fois plus engagés que ceux de la plate-forme de micro-blogging.
Citi avait récemment évalué Instagram à 19 milliards de dollars, mais la banque a révisé cette évaluation à la hausse, parce que le service de photos est de plus en plus populaire auprès des annonceurs. Instagram n’a débuté la monétisation du site au moyen de la publicité qu'à la fin de l’année 2013, mais il a rapidement gagné du terrain et conquis immédiatement des annonceurs prestigieux tels qu'Adidas, Ben & Jerry, Burberry, General Electric, Levi’s, Lexus, Michael Kors, PayPal, et Starwood.
Citi prévoit qu’Instagram devrait générer un chiffre d’affaires de 2,7 milliards de dollars en 2015. Zuckerberg peut donc se féliciter. Si ces prédictions s’avèrent exactes, ce qui avait été qualifié à l’époque d’achat sous le coup de la panique pourrait s’avérer être la meilleure affaire de toute l’histoire.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=comment-lachat-sous-le-coup-de-la-panique-de-zuckerberg-pourrait-saverer-etre-le-meilleur-rachat-dentreprise-de-toute-lhistoire&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 22/12/2014

Facebook attaque Skype de Microsoft, "Face time" de Apple, "Hangouts" de Google...
... par l'appel de vidéos via une icône camera sur son outil Messenger.
L'avantage de FB, ses 1,4 milliards d'utilisateurs

Écrit par : L'enfoiré | 28/04/2015

Les actions Twitter se sont effondrées... Et ce génie de l'Internet de 24 ans explique que d'autres entreprises de technologie vont suivre

Mardi, l’action Twitter a perdu plus de 18% de sa valeur sur les marchés financiers après la publication prématurée par inadvertance des résultats trimestriels décevants de la firme, très en deçà des attentes. Cette information avait été prestement retirée, mais elle avait déjà circulé sur le réseau social éponyme… La part a connu la seconde pire journée de son histoire, et peu après la publication des résultats, elle avait même chuté de 26%.
Le chiffre d’affaires n’a atteint « que » 436 millions de dollars, alors qu’on s’attendait à 456 millions de dollars. En outre, la société a baissé ses prévisions de chiffre d’affaires pour l’année entière, et désormais, elle ne s’attend plus qu’à atteindre 2,17 à 2,27 milliards de dollars de revenus, alors qu’il y a trois mois, elle avait anticipé des ventes de l’ordre de 2,30 à 2,35 milliards de dollars pour 2015.
Twitter n’a pas réussi à maintenir la progression du nombre de ses utilisateurs actifs mensuels (+ 18%, alors qu’elle avait été de 20% au cours du trimestre précédent). Elle accuse encore des pertes de 162 millions de dollars (l’année dernière, les pertes s’étaient montées à 132 millions de dollars).

De plus en plus de personnes commencent à remettre en question la valorisation d’une série d’entreprises de l'Internet. Evan Spiegel en est un exemple. Ce génie de l'Internet de 24 ans est le CEO de Snapchat, une société qui n'a jamais réalisé un seul bénéfice, mais qui est évaluée à 10 milliards de dollars. Spiegel est devenu mondialement célèbre lorsqu’il a refusé une offre de rachat de 3 milliards de dollars de Facebook en novembre 2013. En décembre, il avait formulé une analyse limpide de l'évaluation des stocks de technologie:

« Lorsque le marché des valeurs technologiques va se refroidir, la capitalisation boursière de Facebook sur le marché va s’effondrer, le capital deviendra inaccessible pour les entreprises qui n’auront pas fait leurs preuves et l’argent dépensé sur la publicité sur les nouveaux utilisateurs diminuera rapidement, se cumulant avec les autres problèmes de Facebook, et faisant chuter encore davantage le cours. (...) Les dépenses en publicité totales sur internet ne peuvent pas justifier ces valorisations boursières exagérées des produits de média sociaux qui dépendent de la publicité pour leur chiffre d’affaires. (…)
La Fed (la banque centrale américaine) a créé des conditions de marché anormales en imprimant de l'argent et en maintenant des taux d'intérêt bas. Les investisseurs recherchent la croissance partout où ils peuvent la trouver et les entreprises technologiques sont une cible évidente - mais étant donné les valorisations actuelles, toutes les actions des sociétés de technologie sont coûteuses - même si vous regardez leur potentiel de chiffre d’affaires à 5 ans.
Cela signifie que les investisseurs qui sont les plus à la recherche de valeur ont quitté le marché de la technologie et que la hausse du marché de 5 à 10% qui perdure est induite par les chasseurs de croissance (‘Momentum investors’). À un moment donné, il n’y aura plus d’investisseurs de ce type pour acheter les actions à des cours plus élevés, et le marché commencera à s’effondrer. Nous assisterons peut-être à une correction de 10 à 20%, voire plus, en particulier dans les valeurs technologiques ».

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=les-actions-twitter-se-sont-effondrees-et-ce-genie-de-linternet-de-24-ans-explique-que-dautres-entreprises-de-technologie-vont-suivre&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 29/04/2015

Fakebook: 1 post sur 2 sur le réseau social n'est destiné qu'à rendre les autres jaloux

Les trois-quarts des gens jugent leurs semblables sur leur profils Facebook, 6% empruntent des objets dont ils publient la photo pour faire croire qu'ils les possèdent et la moitié des utilisateurs diffusent des images pour rendre jaloux leurs amis et leur famille: c'est ce qui ressort d'une récente enquête du constructeur de smartphones britannique HTC, qui a démontré que 2/3 des utilisateurs de réseaux sociaux publient des images pour faire paraître leur vie plus aventureuse.
La vie de vos amis peut sembler plus excitante sur Facebook, mais une nouvelle étude montre que c'est parce qu'une grande partie de ce qu'ils publient est factice. Et plus des 3/4 des sondés déclarent jugers leurs semblables d'après leurs profils Instagram, Snapchat ou Facebook.
La psychologue comportementaliste Jo Hemmings signale que la tendance n'est pas surprenante, étant donné le développement des réseaux sociaux. Selon elle, les gens qui se basaient auparavant sur les médias recherchent désormais les avis de leurs semblables, et les réseaux sociaux exercent maintenant la même influence que les magazines ont longtemps exercé au niveau de la mode. L'influence de réseaux sociaux comme Instragram est telle que 76% des sondés déclarent que voir des objets sur les réseaux sociaux les influence à les acheter. Les hommes sont plus enclins à suivre les conseils de style et à acheter ce qu'ils voient.
Peter Frolund, de HTC, explique: "En 2015, tout le monde est photographe, et de plus en plus, nous voyons que es gens utilisent réellement la photographie pour s'exprimer et montrer au monde ce qui fait qu'ils sont ce qu'ils sont. Des clichés de maisons aux tenues vestimentaires parfaites, chaque image compte et la photographie sur smartphone n'a jamais été aussi importante".

Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=fakebook-1-post-sur-2-sur-le-reseau-social-nest-destine-qua-rendre-les-autres-jaloux&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 25/10/2015

Facebook est une 'usine à insultes'

40% des jeunes Français scolarisés en 2013 ont admis avoir été l'objet de harcèlement en ligne. C’est ce qui ressort d'une étude du Ministère français de l'éducation. Le journal français Libération a enquêté sur le phénomène et a recueilli des témoignages d'étudiants, mais aussi de leurs familles et de leurs enseignants.
Le schéma est généralement similaire: il commence par des insultes sur Facebook qui se prolongent plus tard par de l'intimidation physique à l'école. Les victimes tentent de régler elles-mêmes le problème dans un premier temps, mais souvent sans succès, car, les réseaux sociaux propagent le harcèlement et de nouveaux intimidateurs rejoignent sans cesse le groupe des intimidateurs originels. Très vite, elles sont débordées par les injures qui affectent l'image qu’elles ont d’elles-mêmes, les faisant souvent sombrer dans la dépression.
Le total manque de contrôle sur Facebook, l'absence de numéro de téléphone national qui permettrait à la victime de solliciter de l'aide, le déni ou la minimisation des faits par les professionnels de l’éducation, font que le calvaire peut parfois durer très longtemps, et aboutir à des situations extrêmes telles que le suicide. Certaines écoles tentent de résoudre le problème en confrontant les intimidateurs avec leur victime, mais l’entrée constante de nouveaux persécuteurs fait souvent échouer ces tentatives.
Le gouvernement français travaille actuellement sur une réforme qui permettra d'éviter la cyberintimidation. L’article de Libération montre clairement qu’il s’agit d’une urgence.

Lucie, 18 ans:
“Les insultes, ça détruit la confiance en soi, parce que ça ne s’arrête jamais”.

Source: http://www.express.be/joker/?action=view&cat=platdujour&item=facebook-est-une-usine-a-insultes&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 09/11/2015

Facebook dispose de 48 heures pour stopper le traçage des Belges

Facebook dispose de 48 heures pour mettre un terme au traçage des utilisateurs naviguant sur Internet en Belgique, rapporte le quotidien économique L’Echo.
Selon la décision du Tribunal de première instance de Bruxelles, si Facebook ne met pas fin à ses activités d’enregistrement des données des utilisateurs avant 48 heures, le réseau social devra payer une amende de 250.000 euros à la Commission de la protection de la vie privée belge (CPVP).
A la fin du mois de septembre dernier, la Commission de la protection de la vie privée belge avait expliqué, lors d’une audience du tribunal durant laquelle le réseau social devait répondre des accusations de violation de la vie privée des utilisateurs d’Internet, que Facebook espionnait les citoyens comme le fait la NSA, l’agence de renseignement américaine.
Selon la Commission de la protection de la vie privée belge, Facebook trace tous les utilisateurs, même ceux qui ont supprimé leurs comptes et qui ont expressément demandé à ne plus être suivis, tant sur le plan des données personnelles que commerciales, via l’utilisation de cookies et des onglets « J’aime » ou « Partager ».
Facebook avait réfuté à plusieurs reprises ses allégations, affirmant que les conclusions de l'autorité de protection des données de Belgique étaient imprécises et fausses. Le réseau social avait fait valoir que son activité commerciale était régie et contrôlée par la Commission de la protection des données d’Irlande.
Facebook avait également justifié l’utilisation de cookies comme un rempart face à la menace de cyberterrorisme.

Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=facebook-dispose-de-48-heures-pour-stopper-le-traage-des-belges&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 10/11/2015

Mark Zuckerberg vient de faire don de 44,5 milliards de dollars. S'agit-il uniquement de philanthropie?

A l’occasion de la la naissance de leur fille Max, le CEO et co-fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, ainsi son épouse Priscilla Chan, viennent d’annoncer qu’ils feront don de 99% de leur fortune actuelle à des oeuvres de charité. Ce don, qui sera réalisé “au cours de leur existence”, porte sur les actions de Facebook qu’ils détiennent, et qui sont actuellement évaluées à 45 milliards de dollars. Zuckerberg a d’ailleurs précisé qu’il ne donnerait pas plus d’un milliard par an au cours des 3 prochaines années, ce qui implique qu’il gardera le contrôle de l’entreprise en tant qu’actionnaire.
L'argent sera transféré via un fonds spécialement créé à cet effet, “Chan Zuckerberg Initiative”. Dans une lettre ouverte à sa fille, postée sur Facebook, le CEO du réseau social a indiqué vouloir consacrer cet argent à “l'apprentissage personnalisé, le traitement des maladies, la mise en relation des gens et la construction de fortes communautés”.
Avec ce geste, Zuckerberg et son épouse rejoignent le club de ces milliardaires philanthropes qui se sont engagés à donner une grande partie de leur fortune. Zuckerberg a d’ailleurs signé “The Giving Pledge”, un acte qui engage les personnes riches signataires à léguer la majorité de leur fortune à des oeuvres de charité, et qui a été créé par le fondateur de Microsoft, Bill Gates, et l'investisseur Warren Buffett. Ce dernier, dont la fortune est actuellement estimée à 64 milliards de dollars, a décidé de confier la plus grande partie de sa fortune à la Fondation Bill et Melinda Gates il y a dix ans de cela. Cette fondation, créée en 2000, a déjà distribué plus de 34 milliards de dollars.
“L'action de Zuckerberg n’est pas exceptionnelle et s’inscrit dans une tendance”, a déclaré le professeur Theo Schuyt, un expert de la philanthropie, sur la radio hollandaise NOS Radio 1. “Certes, aux États-Unis, il existe un énorme fossé entre les riches et les pauvres. Il est donc presque embarrassant pour les très riches de tout garder pour eux. Ils veulent donc montrer au monde qu'eux aussi peuvent faire quelque chose de bien”.
En outre, comme pour les autres riches donateurs, la fiscalité pourrait aussi avoir joué un rôle dans cet acte de générosité. L’experte en fiscalité de Forbes, Kelly Phillips Erb, explique que le don d’actions à une oeuvre caritative est non seulement totalement exonéré d’impôts, mais qu’il ouvre aussi droit à un crédit d’impôt. Il peut donc être très avantageux de transférer des titres dans un fonds caritatif, sans les revendre préalablement, ce qui permet d’échapper à la taxation sur les plus-values, assez lourde aux Etats Unis.

Source: http://www.express.be/money/?action=view&cat=wealthrepublic&item=mark-zuckerberg-vient-de-faire-don-de-445-milliards-de-dollars-sagit-il-uniquement-de-philanthropie&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré. | 03/12/2015

Facebook veut maintenant se débarrasser de votre numéro de téléphone

Les jours des numéros de téléphones sont littéralement comptés, grâce à l'avancée impitoyable de l'application Messenger de Facebook, a indiqué le vice-président des produits de messagerie chez Facebook, David Marcus. Selon lui, les textos appartiennent à l'époque révolue des anciens téléphones portables, alors qu'aujourd'hui, nous avons des ordinateurs en poche. Il est fermement convaincu que les jours de ces moyens de communication archaïques sont comptés.
"Avec Messenger, nous offrons toutes les choses qui font que les texto sont aussi populaires, et beaucoup plus", a-t-il dit, "Oui, vous pouvez envoyer des messages textuels, mais vous pouvez aussi envoyer des étiquettes, des photos, des vidéos, des enregistrements de voix, des GIF, l'endroit où vous vous trouvez et de l'argent (…) pas besoin de connaître le numéro de téléphone de l'autre personne".
Marcus marque un point: pas besoin de posséder un compte Facebook pour utiliser Messenger, et la nature de sa plateforme croisée est idéale pour les utilisateurs d'ordinateurs, tablettes ou mobiles. La démocratisation d'internet et les innovations technologiques font que les gens utilisent de plus en plus les messageries internet (comme WatsApp, qui appartient aussi à Facebook) au détriment des traditionnels textos.
Marcus a également souligné que l'assistant virtuel de Facebook, M, développait quotidiennement ses capacités d'intelligence artificielle au service des tâches quotidiennes.
Messenger possède 800 millions d'utilisateurs mensuels.

Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=facebook-veut-maintenant-se-debarrasser-de-votre-numero-de-tlphone&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=

Écrit par : L'enfoiré | 11/01/2016

Facebook: ‘5 milliards d’utilisateurs en 2030’

D’ici 2030, Facebook a bien l’intention de connecter 5 milliards d'humains à son réseau social, a annoncé son CEO, Marck Zuckerberg, lors du 12ème anniversaire de la firme (la "journée des amis"). Pour réussir ce défi, il doit convaincre 3,5 milliards de nouveaux utilisateurs, ce qu'il compte faire en offrant un accès internet mondial, notamment par des engins aériens.

Facebook a de nombreux projets pour l’avenir :
- Fournir un accès internet mondial, pour réduire le degré de séparation entre les utilisateurs, en collaboration avec les gouvernements et les fournisseurs d’accès ou via Aquila, un drone-boomerang fournissant internet à la zone qu’il survole. Depuis 2011, le nombre d'utilisateurs a doublé pour atteindre 1,5 milliards, et le degré de séparation entre eux s'est réduit de 3,74 à 3,57.
- Mettre sur pied une plateforme de paiements peer-to-peer entre les utilisateurs de Facebook.
- Développer la réalité virtuelle, via la firme Oculus Rift, qui va bientôt lancer son casque VR à $600.
La société a aussi commencé un partenariat avec des firmes de type Uber, maintenant accessibles via l’application Messenger.
Le chiffre d'affaires de Facebook a dépassé les $5 milliards au 4e trimestre 2015, et ses actions ont gagné 12%.

Source: http://fr.express.live/2016/02/05/facebook-5-milliards-dutilisateurs-en-2030/

Écrit par : L'enfoiré | 05/02/2016

Le “live-streaming” devient une priorité pour Facebook

Oubliez pour l’instant la réalité virtuelle: de nombreux utilisateurs de Facebook vont bientôt pouvoir visionner des vidéos provenant des smartphones de leurs amis. Le réseau social a annoncé que son algorithme donnerait la priorité au service personnel de live-streaming qu’il a lancé en décembre.
Le live-streaming n’est pas quelque chose de nouveau. Des applications comme Meerkat et Periscope, qui fait partie de Twitter, existent depuis un certain temps, mais elles n’ont connu qu’un succès modéré. Mais plutôt que de proposer une application isolée, Facebook a intégré cette fonction au réseau social.

Un service déjà généralisé
Facebook semble déterminé à en faire un phénomène de masse. Le live-streaming est « une des choses qui m’enthousiasment le plus », affirme Mark Zuckerberg, le CEO du plus grand réseau social. Ce service serait déjà disponible dans près de 30 pays.
Si vous pensez que Facebook est une perte de temps, attendez qu’il devienne un hébergement de vidéos personnelles : même si seulement 1% des membres actifs commencent à publier des vidéos, 15 millions de chaînes seront en route. Zuckerberg espère bien que leur visionnage génère une nouvelle addiction.

Source: http://fr.express.live/2016/03/07/le-live-streaming-devient-une-priorite-pour-facebook/

Écrit par : L'enfoiré | 09/03/2016

Facebook hacké par un étudiant belge en informatique

Un étudiant belge en informatique a mis en lumière une faille sur le réseau social Facebook, rapporte DataNews.be. Preben Ver Eecke a été récompensé pour sa découverte.
Etudiant en informatique de l’Hogeschool West-Vlaanderen, Preben Ver Eecke passe parfois son temps libre à rechercher des failles sur les sites internet. Comme beaucoup d’autres internautes, il espère recevoir en échange de ses services, une compensation.
Le jour où il a décidé de s’attaquer à Facebook, Preben Ver Eecke n’attendait rien de spécifique. Cependant, il a réussi à mettre la main sur une faille dans les paramètres de confidentialité de Facebook. L’étudiant pouvait adapter les paramètres d’autres utilisateurs sans aucune interaction avec leurs comptes Facebook. Les publications confidentielles d’un utilisateur visibles uniquement par des contacts devenaient visibles publiquement. Selon Preben, il s’agit de piratage éthique. De son côté, le département de sécurité de Facebook a admis qu’il existait bel et bien une brèche, réparée depuis lors.

Cas belge
En Belgique, le piratage éthique est interdit. Kurt Callewaert, professeur d’informatique appliquée, computer and cybercrime professional à la Hogeschool explique que les pirates ne sont pas autorisés à contrôler la présence éventuelle de failles au niveau des sites web d’entreprises ou autres, sauf si ces activités font l’objet d’une autorisation. Dans le cas contraire, le pirate peut être puni par une amende allant jusqu’à 24.000 euros.
Pour sa trouvaille, Preben Ver Eecke a reçu une somme de la la Facebook Security Team et figure désormais dans « researcher white hat-list », liste qui reprend tous les contributeurs qui ont participé a la découverte d’une faille dans le réseau social, conclut DataNews.be

Source: http://fr.express.live/2016/03/14/facebook-hacke-etudiant-belge-informatique/

Écrit par : L'enfoiré | 15/03/2016

Bonne réaction de Facebook

Écrit par : L'enfoiré | 15/03/2016

“Facebook manipule son flux d’actualités”… Algorithme ? Oubliez ça

Facebook aurait manipulé de façon routinière le fil de nouvelles pour éliminer des articles de presse qui ont un caractère conservateur. Des articles concernant l’ancien candidat présidentiel Mitt Romney, le libertarien Rand Paul et des articles évoquant des thèmes défendus par les conservateurs ont été supprimés manuellement de la rubrique “tendance” (qui n’est proposée que sur les versions anglo-saxonnes de Facebook, et qui indique quels sont les articles les plus populaires). C’est ce qu’a affirmé au site Gizmodo un ancien employé de Facebook.
L’algorithme de Facebook identifie les articles les plus lus plus sur le site et les place dans cette section “tendance” de manière autonome. Mais la firme a expliqué dans un communiqué que cette sélection était revue par des “curateurs” humains pour éviter les sujets redondants et de peu d’intérêt tels que “déjeuner”. Mais elle a précisé que ce travail était fait en toute neutralité et qu’elle n’utilisait pas son produit pour influencer les votes.
“Cela dépend du curateur qui se trouve là, et du moment de la journée. De temps en temps, des sources d’actualité conservatrices avaient une information. Mais nous devions chercher la même information pour qu’elle provienne d’un média plus neutre, dénué de parti-pris”, a pourtant déclaré l’un des anciens employés chargés de cette tâche. Ainsi, des informations provenant d’éditeurs conservateurs comme Breitbart, le Washington Examiner et Newsmax ont été supprimées, ou remplacées par des articles traitant la même nouvelle publiés par des médias jugés plus neutres, comme le New York Times, la BBC et CNN.

Drudge
En 2012, en pleine campagne électorale américaine, Matt Drudge, le pionnier des médias américains qui gère le Drudge Report, un site agrégateur de nouvelles, avait affirmé hier dans un tweet que les recherches que les internautes pourraient faire sur les trois grandes firmes de l’internet, Facebook, Google et Twitter, étaient influencées pour ne faire remonter que des résultats favorables aux démocrates.

Twitter
La rubrique “Tendances” illustre également la guerre de Facebook avec Twitter. Un ex-curateur explique qu’ils avaient aussi l’obligation de passer dans le fil “tendance” des informations qui n’avaient pas été sélectionnées par l’algorithme, mais qui avaient été reprises par une grande partie des grands médias traditionnels. “On nous hurlait dessus si c’était partout dans Twitter, et pas dans Facebook”, se souvient un ancien employé.
Certains sujets, comme la guerre civile en Syrie et le mouvement Black Lives Matter, qui suscitaient un intérêt de plus en plus faibles, et avaient tendance à disparaître de la rubrique “tendance” ont également été ramenés manuellement dans le module parce que Facebook craignait pour son image.
En fin de compte, il s’avère que le fil de nouvelles de Facebook fonctionne exactement comme un éditorial normal, reflétant les préjugés de ses journalistes et de l’organisation. Cela n’aurait rien de répréhensible si l’entreprise n’avait cessé de clamer qu’elle était totalement subjective, et que c’était ses utilisateurs qui effectuaient ces choix.
Facebook a réfuté les allégation de Gizmodo, indiquant qu’il n’avait trouvé “aucune preuve que ces allégations étaient vraies”.

Source: https://fr.express.live/2016/05/10/facebook-manipule-son-flux-dactualites/

Écrit par : L'enfoiré | 10/05/2016

Facebook écoute-t-il nos conversations ?

Selon News Channel 8, une chaîne de télévision locale de la Floride, Facebook pourrait écouter les conversations de ses utilisateurs dans le but de leur envoyer des publicités ciblées. L’écoute se ferait au moyen du micro des smarphones, auquel l’application peut avoir accès pour certaines fonctionnalités.
Selon la journaliste de Tampa, le micro permettrait à la firme d’écouter par mots-clefs et de changer l’actualité de l’utilisateur en fonction des intérêts détectés. La chaîne a présenté un reportage à ce propos, dans lequel l’experte consultée était une professeure de communication de l’Université du Sud de Floride : Kelli Burns. Cette dernière a aussi participé à une expérience filmée accessible sur le site de la chaîne et consultée mondialement.
Kelli Burns affirmait à voix haute, près de son micro, être intéressée par les safaris en Jeep en Afrique. Une minute plus tard, la première publication visible de son actualité était celle qu’une de ses connaissances avait publiée trois heures plus tôt, à propos d’un safari. Une publicité pour Jeep était aussi apparue peu après.

Facebook nie
De nombreux médias ont relayé l’information et averti leur audience de la possible utilisation de leurs micros par Facebook. Le réseau social a réagi en démentant catégoriquement ces allégations, précisant que ses publicités ciblées n’étaient basées que sur les informations communiquées volontairement par les utilisateurs dans leurs profils.
La professeure Kelli Burns a elle aussi publié des démentis, disant que ses propos avaient été mal interprétés et présentés sous un angle particulier.

Source: https://fr.express.live/2016/06/13/facebook-soupcons-ecoutes-illicites/

Écrit par : L'enfoiré | 14/06/2016

“Zuckerberg mérite le Prix Nobel de l’Hypocrisie”

Le réseau social Facebook a adressé la semaine dernière un message à ses 1,7 milliard d’utilisateurs pour remercier l’inventeur britannique du Web, Sir Tim Berners-Lee, à l’occasion du 25e anniversaire de la naissance de l’Internet. (Berners-Lee lui-même a tweeté qu’il ne savait pas d’où venait cette date).
Dans le journal The Guardian, le professeur de technologies modernes John Naughton dénonce dans ce contexte ce qu’il nomme “l’hypocrisie” du patron de Facebook, Mark Zuckerberg :

“S’il y avait un prix Nobel de l’hypocrisie, alors son premier lauréat devrait être Mark Zuckerberg, le patron de Facebook. (…)
Zuckerberg a remercié Berners-Lee pour ‘avoir rendu le monde plus ouvert et plus connecté’. Moi aussi. Mais ce que Zuck oublie opportunément de mentionner, c’est qu’il s’est embarqué dans un projet commercial dont le seul but est de rendre le monde plus ‘connecté’, mais moins ouvert. (…)
Zuckerberg a grandement bénéficié de l’ouverture d’internet, mais il veut le fermer désormais
Facebook est ce que nous appelions autrefois un “jardin clos”, et ce que, de nos jours, on appelle un “silo” : un espace contrôlé dans lequel on permet aux gens de faire des choses qui les amusent, tout en permettant à Facebook de monétiser leurs traces de données. Un réseau pour les gouverner tous. Si vous voulez une vision de ce qu’est le contraire d’un “web ouvert”, alors, prenez Facebook. (…)
Le fondateur de Facebook n’a aucune intention de permettre à quiconque de construire quoi que ce soit sur sa plateforme qui n’ait pas reçu son autorisation expresse. Ayant largement profité de l’ouverture du web, en d’autres mots, il s’est débarrassé d’un coup de pied de l’échelle qui l’a élevé à son éminence actuelle.
Et l’unique ressort de la stratégie de son entreprise est de persuader des milliards d’utilisateurs futurs que Facebook est le seul morceau d’internet dont ils auront jamais besoin”.

Source: https://fr.express.live/2016/09/01/zuckerberg-merite-le-prix-nobel-de-lhypocrisie/

Écrit par : L'enfoiré | 01/09/2016

Facebook soutient la recherche scientifique… non sans arrières-pensées

La KU Leuven (KUL) est l’un des 16 récipiendaires dans 9 pays européens qui recevront le soutien d’une division de Facebook consacrée à la recherche en matière d’intelligence artificielle (IA), Facebook AI Research.
Le plus grand réseau social du monde s’est engagé à leur fournir 26 serveurs informatiques puissants à ces groupes de recherche pour leur permettre d’accélérer leurs travaux dans ce domaine. La valeur de ce don se monte à 1,3 million de dollars. Facebook détachera également des chercheurs pour collaborer avec les équipes de recherche, et fournira des logiciels.

“Une diversité géographique”
Yann LeCun, responsable de l’unité de recherche sur l’intelligence artificielle auprès du réseau social, explique que l’entreprise a reçu de très nombreuses candidatures, mais qu’elle a privilégié la “diversité géographique” pour faire son choix. Son objectif est de bâtir des relations avec scientifiques pour connaître la nature de leurs travaux, pouvoir échanger avec eux sur les problématiques qui intéressent le réseau social, mais aussi… recruter les meilleurs à la fin de leurs études.
Cinq professeurs du département d’électrotechnique de la KUL bénéficieront d’un accès à 2 de ces ordinateurs, dotés de processeurs graphiques qui leur permettent de réaliser des calculs très complexes.
L’un des objectifs de cette équipe sera de développer la capacité d’appareils tels que des drones à détecter des objets, et à réagir en conséquence, autrement dit, à modifier leur navigation en fonction des conditions environnantes.
Outre le groupe de recherche de la KUL qui bénéficiera de ce soutien, on trouve des équipes tchèques, écossaise, russe, autrichienne, britannique, allemandes, italienne, suisse (ETH de Zurich), et françaises (l’Inria à Grenoble, l’université Pierre-et-Marie-Curie, et l’ENS à Paris).

Source: https://fr.express.live/2016/09/01/facebook-soutient-groupes-recherche-scientifique-ia/

Écrit par : L'enfoiré | 01/09/2016

agm preseed with clomid success story taking clomid and nolvadex

Écrit par : Afurawaroh | 27/02/2017

Une journée mondiale sans Facebook pour lutter contre la pub et la cyberdépendance

Facebook est le réseau social le plus consulté. Fondée en 2004, cette plate-forme ne cesse d’enregistrer de nouveaux utilisateurs. Pour preuve, au quatrième trimestre de l’année 2016, on comptait près de deux milliards d’utilisateurs actifs et 349 millions, rien que pour l’Europe. Par jour, cela représente plus d’un milliard d’utilisateurs actifs.
C’est de cet état de fait qu’est née la journée mondiale sans Facebook. L’objectif, selon ses initiateurs (des étudiants), est de lutter contre la cyberdépendance. Les utilisateurs deviennent facilement accros à ce réseau social et Facebook n’hésite pas à en tirer profit en propageant de nombreuses publicités. L’initiative de cette journée vise donc aussi à lutter contre le nombre croissant de publicités qui reposent sur la revente par le réseau social des nombreuses données personnelles des utilisateurs à des régies publicitaires qui peuvent alors diffuser des publicités ciblées.
Certains tentent de mettre fin à ces pratiques mais sans succès. Par exemple, on peut régulièrement observer des utilisateurs poster des messages dans le but de protéger leurs données personnelles (comme le montre la photo ci-dessous). Cependant, cette initiative n’a pas de valeur et ne permet pas de stopper les pratiques de Facebook
On peut lire ceci dans les conditions d’utilisation de Facebook : “Nous nous servons des informations à notre disposition pour améliorer nos systèmes de publicité et de mesure, ce qui nous permet de vous présenter des publicités pertinentes, au sein de nos Services ou en dehors, et d’évaluer l’efficacité et la portée de nos publicités et de nos services. En savoir plus sur la diffusion de publicités à travers nos Services et les différentes manières de contrôler la façon dont les informations vous concernant sont utilisées pour personnaliser les publicités que vous voyez.” Autrement dit, comme expliqué précédemment, Facebook s’appuie sur les données de l’utilisateur pour lui envoyer des publicités ciblées.
Ces conditions d’utilisation, il n’existe pas de moyen de s’y soustraire hormis celui-ci : ne pas s’inscrire sur Facebook.

Des publicités de plus en plus envahissantes
Comme dit précédemment, l’idée de cette journée repose sur la volonté de voir moins de publicités abonder sur Facebook. Rappelons d’ailleurs que le réseau social lance déjà directement les vidéos publicitaires quand l’utilisateur scrolle son fil d’actualités et sans qu’il n’ait besoin de cliquer sur la pub en question. Le réseau social va même très bientôt aller plus loin puisque les responsables de la plate-forme ont officialisé l’activation automatique du son pour les vidéos publicitaires.
Tout ceci est le résultat d’un plan dénommé “Video First” par les têtes pensantes de Facebook qui consiste à faire du réseau social un véritable centre de partages de vidéos.
http://geeko.lesoir.be/2017/02/28/une-journee-mondiale-sans-facebook-pour-lutter-contre-la-pub-et-la-cyberdependance/_ga=1.116059462.1705171845.1487348673

Écrit par : L'enfoiré | 28/02/2017

Facebook vaut maintenant 400 milliards de dollars

La liste des sociétés dont la capitalisation boursière est d’au moins 400 milliards d’euros a augmenté. Cette liste comprend maintenant Apple, Google, Microsoft, Berkshire Hathaway et Amazon et dorénavant le nouveau venu Facebook.
Facebook a réussi à atteindre cette valeur marchande en 5 ans, tandis que Google et Microsoft ont mis respectivement dix et douze ans. De son côté, Apple a mis

30 ans pour franchir ce cap.
Selon les observateurs, aucun signe n’indique que le réseau social va ralentir son rythme. Fondé à Menlo Park il y a 13 ans, Facebook a fait son entrée en bourse en 2012. A ses débuts, la valeur de la société a chuté à cause d’un certain nombre de problèmes techniques et est passée d’une capitalisation boursière initiale de plus de 100 milliards de dollars à 41,6 milliards de dollars. Mais depuis lors, sa valeur ne cesse de s’accroitre. Il y a 4 ans, Facebook a de nouveau atteint les 100 milliards de dollars et un an plus tard, 200 milliards de dollars.

Mobile
Selon Les Echos, le réseau social pourrait facilement atteindre 500 milliards de dollars. L’entreprise de Mark Zuckerberg a parfaitement recentré ses opérations vers un marché en pleine évolution, celui de l’offre mobile. De nos jours, Facebook est devenu l’une des principales plateformes des annonceurs du monde entier. Dans le secteur de la publicité en ligne, seul Google est capable de rivaliser avec le réseau social.
A l’heure actuelle, Facebook compte 1,86 milliard de membres actifs mensuels. Il est prévu que le cap des deux milliards d’utilisateurs actifs par mois soit atteint en été, conclut Les Echos.
Source: https://fr.express.live/2017/03/16/facebook-vaut-400-milliards-de-dollars/

Écrit par : L'enfoiré | 17/03/2017

Facebook développe un chatbot capable de négocier et bluffer

Le chatbot (« agent conversationnel ») de Facebook a appris à négocier. Le laboratoire de recherche sur l’intelligence artificielle du géant des réseaux sociaux a annoncé le développement d’une nouvelle technique permettant à ses chatbots de mener des négociations avec d’autres chatbots ou avec des humains.
De cette manière, cette technologie est capable de mener des conversations plus efficaces et d’utiliser un modèle de réflexions rationnel, indique Mike Lewis, spécialiste de l’intelligence artificielle chez Facebook.
Pour leur formation, les robots-chatteurs ont utilisé plus de 5.800 dialogues humains ce qui leur a donné un meilleur aperçu du phénomène de l’art du compromis.
L’entreprise a souligné que provisoirement, cette fonction ne sera pas ajoutée à son assistant numérique, mais cette technologie est mise à la disposition de concepteurs.
Selon les chercheurs, les robots-chatteurs ont appris à trouver une solution juste à un conflit portant sur le partage de biens.

Tromperie
« Au début du processus, les robots-chatteurs n’ont vu que leur propre intérêt et n’ont pris en considération que l’acquisition des objets – deux livres, un chapeau et trois balles – qu’ils désiraient posséder, mais au fil du temps, grâce aux techniques de négociation acquises, ils ont réussi à trouver une solution semblant acceptable pour tous les participants », souligne Lewis.
On a constaté qu’un certain nombre de robots-chatteurs avaient recours à la tromperie pour obtenir ce qu’ils voulaient.
Les robots-chatteurs ont été capables de faire preuve d’un faux intérêt pour certains objets qui pouvaient à un stade ultérieur de la négociation être utilisés pour faire des concessions et atteindre cependant les objectifs propres.
Des observateurs font remarquer que les expériences de Facebook montrent clairement que les assistants numériques pourraient à l’avenir avoir un domaine d’application bien plus vaste. Cette technologie pourrait éventuellement être capable de résoudre des conflits plus complexes comme des négociations à propos d’une vente.

Source: https://fr.express.live/2017/06/22/facebook-developpe-chatbot-capable-de-negocier-bluffer/

Écrit par : L'enfoiré | 28/06/2017

Facebook veut prendre le contrôle de la caméra de votre smartphone

Le réseau social Facebook souhaiterait utiliser le smartphone des utilisateurs pour espionner et mesurer grâce à la caméra, leurs réactions à des messages, des commentaires et des publicités, ressort-il de brevets délivrés à Facebook par l’Office américain des brevets.
Grâce aux expressions du visage enregistrées par la caméra, la technologie pourrait estimer l’état d’esprit de l’utilisateur et Facebook pourrait ainsi sélectionner des messages publicitaires adéquats.
Selon le consultant CB Insights, ce brevet accordé en mai permettrait maintenant au réseau social de déterminer vos émotions via l’analyse d’images de la caméra de votre smartphone.

Champ de mines éthique
« Lorsque l’utilisateur réagit positivement ou avec joie au contenu affiché, Facebook peut décider de lui présenter des messages similaires », souligne CB Insight. Quand par contre, l’attitude de l’utilisateur est négative ou triste, des messages de ce genre pourraient être évités.
Le consultant signale que l’entreprise a obtenu ce brevet il y a deux ans, mais qu’elle ne semble jusqu’ici qu’avoir peu fait usage de cette application. Deux brevets supplémentaires laissent cependant penser, selon CB Insight, que Facebook caresse le projet de revenir à l’utilisation de l’application.
Facebook a en effet obtenu un brevet concernant un système de messages qui utiliserait la manière dont l’utilisateur frappe sur les touches de son clavier, alors qu’une deuxième application se rapporte à l’emploi d’un émoji se basant sur l’expression du visage de la personne.
Selon CB Insight, ces technologies peuvent devenir un véritable champ de mines éthique pour Facebook et représentent en outre un très grand défi pour les relations publiques du réseau. L’entreprise a cependant refusé de confirmer qu’elle avait des plans concrets en ce qui concerne ces applications.

Source; https://fr.express.live/2017/06/07/facebook-veut-prendre-controle-de-camera-de-smartphone/

Écrit par : L'enfoiré | 28/06/2017

“Facebook gère ses problèmes éthiques comme de simples bugs informatiques”

Facebook n’a pas hésité à acheter des encarts publicitaires dans le New York Times et le Washington Post pour expliquer au monde les mesures qu’elle compte prendre pour le protéger des interférences d’entités malveillantes. Mais il semble qu’il ne s’agirait que d’une bonne volonté de façade, écrit Sara Wachter-Boettcher, dans Quartz.
Selon des sources du Congrès américain, le géant technologique renâcle à collaborer dans le cadre de l’enquête concernant une possible interférence de la Russie dans les élections. Il a toutefois effacé des milliers de posts incriminés après qu’un chercheur a démontré que ceux-ci avaient eu un impact bien plus grand sur les élections que la firme ne l’avait admis elle-même.
Une succession de bugs informatiques
Ce n’est pas si étonnant, affirme Wachter-Boettcher : Facebook « gère depuis très longtemps ses défaillances éthiques comme des bugs informatiques qu’il faut réparer : se dire désolé, supprimer les bugs en question, et ne plus s’en soucier. Finalement, chacun de ces ratés est traité comme un incident isolé, plutôt que comme faisant partie d’un problème systémique qui aurait besoin d’une action systémique. En conséquence, Facebook continue de commettre le même type de gaffe, encore et encore ».

Les critères haineux sont admissibles… tant qu’ils n’ont pas été écartés
Wachter-Boettcher prend l’exemple d’une enquête récente menée par ProPublica. Cette dernière a révélé que l’interface publicitaire de Facebook permettait à des annonceurs de choisir la cible de leurs messages, et éventuellement, d’introduire des termes antisémites comme « ceux qui détestent les juifs » ou « comment brûler les juifs ». Les journalistes qui ont employé ces critères pour les tester ont constaté que leurs publicités étaient diffusées en ligne 15 minutes plus tard.
Facebook a réagi en supprimant immédiatement ces catégories. « Nous n’avons jamais eu l’intention ou envisagé que cette fonctionnalité aurait pu être utilisée de cette manière », a écrit Sheryl Sandberg, le COO au de Facebook, dans un post. Mais la firme aurait dû anticiper que sa plate-forme publicitaire ferait l’objet d’abus, d’autant que ProPublica l’en avais déjà avertie il y a un an.
Des journalistes de cette organisation avaient alors démontré qu’il était possible pour une agence immobilière d’acheter des publicités ciblant les utilisateurs en fonction de leur race ou de leur ethnie, une discrimination tout à fait illégale aux États-Unis. Facebook avait alors présenté des excuses, et supprimé la fonctionnalité qui permettait à ses annonceurs d’utiliser ces critères. « En d’autres mots, elle a réglé le bugs, et elle est passée autre chose ». Mais cet incident n’a pas amené la firme à se remettre en question, et à se demander plus généralement si son système pouvait être à l’origine de discriminations, ou susceptible de répandre de la haine.

D’autres priorités
Elle aurait pourtant dû le faire, affirme Wachter-Boettcher. Facebook pèse maintenant près de 500 milliards de dollars, et rien que pour l’année dernière, elle a enregistré 27 milliards de dollars de recettes publicitaires. Ses effectifs sont composés des cadres parmi les plus brillants du monde. La firme dispose donc des ressources nécessaires pour réaliser une revue exhaustive et de vaste ampleur des vulnérabilités de son interface. Mais elle ne le fait pas, car ce n’est pas une priorité. En effet, la firme fonctionne à merveille… du point de vue de sa rentabilité.
Et c’est bien là le problème. Les géants des Tech ne cherchent que la croissance, et à obtenir le plus d’engagement possible de leurs utilisateurs. Mark Zuckerberg, le CEO de Facebook, avait littéralement évoqué ce choix quand il s’était adressé aux investisseurs à l’occasion de l’introduction en bourse de l’entreprise en 2012 :
« Lorsque la plupart des entreprises se développent, elles ont tendance à se freiner excessivement, parce qu’elles redoutent plus de commettre des erreurs, que de perdre des opportunités en réagissant trop lentement ».
Cette priorisation de la rentabilité a maintenant des conséquences désastreuses. Et celles-ci ont dépassé le stade de la gaffe vexante ou offensante pour les simples utilisateurs. Elles menacent désormais l’infrastructure sociale et politique de pays entiers. « Demandez [aux cadres de Facebook] qu’ils cessent de se contenter de simples corrections, et qu’ils effectuent un véritable travail, ou nous en payerons tous le prix », conclut Wachter-Boettcher.

https://fr.express.live/2017/10/23/facebook-problemes-ethiques/

Écrit par : L'enfoiré | 25/10/2017

Sean Parker, co-fondateur de Facebook : “Facebook a été développé pour exploiter la vulnérabilité psychologique de l’être humain”

Récemment, Sean Parker, l’un des co-fondateurs de Facebook, a eu des propos assez durs concernant la genèse de Facebook. Dans une interview avec Axios, cet Américain de 38 ans s’interroge sur la puissance et les retombées sociales et psychologiques des réseaux sociaux :
« Lorsque nous avons développé Facebook, le principe de base était le suivant : comment pouvons-nous consommer le plus possible de votre temps et de votre attention ? Cela signifie que nous devons chaque fois fournir à nouveau un peu de dopamine ( hormone du plaisir, de la joie et du bien-être), parce que quelqu’un récompense d’un « like » ou d’un commentaire l’un de vos posts ou l’une de vos photos. Après quoi, vous écrirez plus de posts et posterez plus de photos et recevrez plus de « like » et de commentaires. C’est une boucle de rétroaction de validation sociale… exactement l’espèce de concept grâce auquel un hacker comme moi entrerait en scène parce que nous exploitons la vulnérabilité de la psychologie humaine. »« Les inventeurs, les créateurs – c’est-à-dire moi, Mark [Zuckerberg], Kevin Systrom d’Instagram, toutes ces personnes – nous avons compris cela de manière consciente. Et nous l’avons quand même fait. »
Parker était aux commandes de Facebook avec Mark Zuckerberg et Eduardo Saverin.

Le premier à avoir compris que Facebook pouvait devenir « vraiment grand »
Selon Peter Thiel, premier investisseur de Facebook, Parker est le premier à avoir compris que l’entreprise avait le potentiel de devenir « vraiment grande ». Dans le film « The Social Network », Parker (rôle tenu par Justin Timberlake) tient d’ailleurs un monologue afin de faire comprendre à Mark Zuckerberg (Jesse Eisenberg) que le vrai génie ne tourne pas seulement autour d’une grande idée, mais bien autour de la motivation et de la visualisation nécessaires pour faire progresser cette idée assez loin.
En 2005, Parker a démissionné du poste de directeur de Facebook, après la découverte, par la police, de cocaïne, lors d’une soirée dans une maison de vacances qu’il louait. Appréhendé sur base de soupçons de détention de cocaïne, il ne fut pas inculpé.

Parker s’oppose consciemment aux réseaux sociaux
Actuellement, Parker est le président du Parker Institute for Cancer Immunotherapy qui se consacre à la recherche sur le cancer. Dans cette interview, il se dit très inquiet de la façon dont Facebook et les autres plate-formes modifient au quotidien les interactions des enfants et des jeunes adultes.
« Je ne sais pas si à l’époque je comprenais ce que je faisais et les conséquences de ce nous faisions lorsque nous avons eu 1 milliard et ensuite 2 milliards d’utilisateurs. Cela change littéralement votre relation avec la société, les uns par rapport aux autres… Cela interfère probablement avec la productivité de manière étrange. Dieu seul sait l’influence que cela a sur le cerveau de nos enfants. »
Parker a été aussi co-fondateur de Napster, le tout premier élément perturbateur dans l’industrie musicale, plus tard à la base d’iTunes. Il siège au conseil d’administration de Spotify et Yammer. Le magazine Forbes estime ses actifs à 2,6 milliards de dollars et le place à la 315 ème position du classement Forbes des 400 Américains les plus fortunés.

https://fr.express.live/2017/11/10/sean-parker-co-fondateur-de-facebook-facebook-a-ete-developpe-exploiter-vulnerabilite-psychologique-de-letre-humain/

Écrit par : L'enfoiré | 13/11/2017

“Je pense que nous avons créé des outils qui permettent de détruire le tissu social de la société”

Chamath Palihapitiya, qui a été vice-président de Facebook en charge de la croissance de sa base utilisateurs, a expliqué pourquoi « désormais, il interdit à ses enfants d’utiliser Facebook » lors d’une conférence donnée à la Stanford Graduate School of Business.
Après 4 années passées chez Facebook, Palihapitiya a fondé une société de capital-risque, Social Capital, qui se consacre au financement d’entreprises dans les secteurs de la santé, de l’éducation et du changement climatique. Au cours de son intervention, il a expliqué qu’il se sentait « extrêmement coupable ».
« Je pense que nous avons créé des outils qui détruisent le tissu social qui est à la base du fonctionnement d’une société »
« Je me sens extrêmement coupable. Je pense que nous savions tous au fond de nous, même si nous faisions semblant de croire qu’il n’y aurait probablement pas de conséquences indésirables, (…) nous savions d’une certaine manière que quelque chose de mal pourrait se produire. Mais je pense que la manière dont nous l’avons défini n’était pas comme ça.
« Je pense que nous avons créé des outils qui détruisent le tissu social qui est à la base du fonctionnement d’une société. C’est réellement là que nous en sommes. Et je voudrais encourager chacun d’entre vous, en tant que futurs dirigeants du monde, de vraiment saisir l’importance de cette question. Si vous nourrissez la bête, cette bête vous détruira. »
« Les boucles de feedback à court terme menées par la dopamine que nous avons créées [les « like », « thumbs up » des réseaux sociaux] détruisent la façon dont la société fonctionne. Il n’y a pas de conversation civile, pas de coopération, par contre il y a de la désinformation et des contre-vérités. Et ce n’est pas qu’un problème américain, cela ne concerne pas seulement la publicité russe [de la campagne électorale américaine]. C’est un problème mondial ».
« Je n’ai pas de solution. Moi-même, je n’utilise plus ces outils. Je ne l’ai pas fait depuis des années. Cela a créé beaucoup de tensions vis-à-vis de mes amis, et dans mes cercles sociaux.
Il cite le cas d’un canular qui a circulé sur WhatsApp en Inde, faisant état de kidnappings d’enfants. Les citoyens ont formé des milices de rues et sept hommes innocents ont été lynchés en conséquence. « Voilà à quoi nous sommes confrontés aujourd’hui. […] Développez cela à l’extrême, et imaginez que de mauvais agents peuvent maintenant manipuler d’énormes groupes de personnes pour faire ce qu’ils veulent. C’est une situation vraiment grave. Et nous compliquons le problème. Nous alimentons nos vies avec cette perception de la perfection, parce que nous sommes récompensés par des signaux à court terme. Des cœurs, des “likes”, des “thumb-up” ». Et nous confondons cela avec la valeur, et nous confondons cela avec la vérité. Et au lieu de cela, ce que nous avons, c’est une popularité totalement fictive. (…) Songez que cela se cumule avec 2 milliards de personnes. C’est vraiment désastreux. »
« Je ne peux pas contrôler ce qui se passe là-bas. Je peux contrôler ma décision, et donc je n’utilise pas cette merde. Je peux contrôler les décisions de mes enfants, et donc je leur défends d’utiliser cette merde. Et ensuite, je peux me concentrer sur le diabète, le changement climatique et l’éducation. C’est ce que je peux faire. Mais chacun doit chercher en son âme et conscience ce qu’il veut faire, parce que vos comportements, vous ne le réalisez pas, mais vous êtes programmés. Ce n’était pas intentionnel, mais maintenant vous devez décider quelle part de votre indépendance intellectuelle vous êtes prêt à céder, et ne vous cachez pas derrière + Oh, oui, mais moi je suis un petit génie de Stanford…+. Vous êtes probablement les plus susceptibles d’y succomber ».

https://fr.express.live/2017/12/11/chamath-palihapitiya-facebook-reseaux-sociaux/

Écrit par : L'enfoiré | 13/12/2017

La preuve que les GAFA sont des États en eux-mêmes dans le monde.

“Les GAFA pourraient financer un revenu minimum”

Une étude récente de McKinsey Global Institute conclut que 800 millions de personnes dans le monde, soit 1/5 de la main-d’œuvre actuelle, sont menacées de perdre leur emploi d’ici 2030. Et bien sûr, c’est l’automatisation qui est pointée. Beaucoup d’économistes avancent la solution du versement d’un revenu minimum universel. Mais cette piste bute sur un énorme obstacle : son financement. Selon le site The Next Web, il y a pourtant une solution : mettre les multinationales du numérique à contribution.
Le mois dernier, l’expert en intelligence artificielle Steve Fuller avait suggéré de taxer Google, Facebook, et les autres multinationales du numérique sur le site Futurism. En effet, ces sociétés utilisent les données de la population pour réaliser leurs bénéfices, et il est donc logique qu’elles versent une contrepartie.
Mais si le gouvernement ne fixe pas un montant de revenu minimum déterminé, il incombera à ces entreprises de le déterminer mêmes. On pourrait imaginer un système où les GAFA proposeraient de rémunérer les internautes sur la base de leur utilisation de leurs services.
De même, les Etats pourraient créer une taxe sur l’automatisation, mais sa mise en œuvre soulèverait aussi des questions. Que faire lorsqu’une entreprise n’emploie aucun travailleur, uniquement des robots ? Et comment seraient taxées les entreprises qui étaient déjà automatisées lors de l’adoption d’une telle mesure ?

Une taxe proportionnelle aux revenus générés par le Big Data
La meilleure solution pourrait donc consister à taxer les entreprises sur leur utilisation de l’intelligence artificielle. L’assiette serait constituée des dividendes générés par les données personnelles des utilisateurs. Une telle imposition devrait être supervisée par les gouvernements.
Par exemple, on pourrait envisager de prélever un certain pourcentage sur les recettes de publicité perçues grâce aux données personnelles collectées par les algorithmes. Cet impôt pourrait financer le versement d’un revenu minimum pour les plus démunis et les chômeurs.
Peu réalisent l’ampleur de leur contribution
Peu d’utilisateurs réalisent le volume colossal de la masse de données qu’ils cèdent sans aucune contrepartie à ces entreprises. Nous avons tous tendance à penser que notre utilisation gratuite des services fournis par Google et Facebook compense cette concession. Mais il n’en est rien, et il suffit de regarder les valorisations de marché stratosphérique de ces entreprises pour le comprendre. Et le site de conclure :
« Ces établissements peuvent se permettre d’aider à subventionner le chômage qu’ils contribuent à provoquer ».

https://fr.express.live/2017/12/11/gafa-taxe-revenu-minimum/

Écrit par : L'enfoiré | 13/12/2017

Facebook est obligé de faire le ménage avec les fausses nouvelles

http://vanrinsg.hautetfort.com/media/00/00/3695279322.MP3

Écrit par : L'enfoiré | 15/01/2018

“En général, les gens n’échangent pas des nouvelles ennuyeuses” : Le nouveau Facebook favorise-t-il vraiment “les interactions constructives”

Mais il est probable que le scandale des fake News ait également joué un rôle. Facebook est en effet souvent mis en cause pour son rôle dans la propagation des « fake news », qui auraient dans certains cas influencé les élections aux États-Unis et dans d’autres pays.
Jeudi dernier, Facebook a annoncé qu’il allait désormais privilégier les contenus provenant de la famille et des amis sur son News feed. En revanche, les contenus produits par les marques et les médias, seront moins présents… sauf s’ils consentent à payer. Le réseau social explique qu’il a pris cette initiative pour augmenter les « interactions constructives ».
La décision de Facebook d’exclure les contenus de sites d’actualité professionnelle de son News feed semble produire le contraire de ce qui était recherché. Elle aboutit à mettre exergue les fake news et les informations sensationnalistes, et à favoriser la propagande des Etats autoritaires, montre le New York Times.

« En général, les gens n’échangent pas des nouvelles ennuyeuses »
Le nouveau News Feed de Facebook, désigné sous le nom de code « Program Explore », a été implémenté dans plusieurs pays en phase de test, dont la Slovaquie, par exemple. Là-bas, les médias affirment que le nouveau News feed favorise la propagation des fake news. En effet, les entreprises des médias locales ne disposent pas forcément du budget pour rétribuer Facebook en échange de la publication de leurs articles. Les informations qui circulent sont donc désormais celles qui proviennent des utilisateurs.
Or, « En général, les gens n’échangent pas des nouvelles ennuyeuses avec des faits ennuyeux », analyse Filip Struharik, social media editor de Denník N, un site d’actualités slovaques. Ce dernier a constaté une chute de son trafic de 30 % sur Facebook depuis la modification du News feed. Il explique que les utilisateurs préfèrent échanger des articles sensationnalistes ou des fake News, et que ce sont donc les sites qui publient ce genre de contenu qui en ont profité.

Seules les fake news peuvent passer
Ainsi, une histoire totalement fabriquée, relatant qu’un homme qui avait restitué son portefeuille égaré à un musulman, avait été mis au courant d’un projet d’attentat, avait fait le tour du média social. La police avait alors décidé d’intervenir pour réfuter cette histoire. Mais lorsqu’elle avait voulu poster elle-même un message de mise en garde, celui-ci n’avait pas été repris dans le News Feed… au motif qu’il émanait d’un compte officiel.

La seule source d’information indépendante n’est plus
Dans d’autres pays, c’est au contraire l’importance des comptes officiels qui serait susceptible de poser un problème. C’est le cas au Cambodge, par exemple, un pays autoritaire, où la liberté d’expression est réprimée. Dans ce pays, Facebook est devenu le principal canal d’information indépendant.
Mais avec le nouveau News Feed… Il n’est plus possible de trouver ces informations. Et les utilisateurs peuvent être amenés à penser que leur disparition est une nouvelle initiative de censure du gouvernement, alors qu’il n’en est rien.

Une polarisation intensifiée
En Bolivie, les médias de l’opposition ne peuvent payer pour que leurs contenus réapparaissent dans le News Feed de Facebook… contrairement au gouvernement d’Evo Morales, qui pourrait se le permettre. Pour ne rien arranger, l’introduction du Explore a fait chuter le trafic de certains sites de 30 à 60 %.
En conséquence, les médias redoutent qu’Explore aggrave la polarisation du public, faute de variété des contenus proposés, dans un pays déjà très divisé sur le plan idéologique.

https://fr.express.live/2018/01/15/facebook-changement-news-feed/

Écrit par : L'enfoiré | 15/01/2018

Après vos données personnelles, Facebook s’intéresse maintenant à votre visage

Récemment, Facebook a annoncé l’introduction de plusieurs nouvelles fonctionnalités de reconnaissance faciale sur ses plateformes. Selon la société, ces nouveaux produits devraient aider l’utilisateur à protéger sa vie privée.
Cependant, selon plusieurs critiques, avec ces nouvelles applications, certains problèmes dans le domaine de la vie privée et de la sécurité risquent de se poser.
Les nouvelles fonctionnalités de Facebook alerteront l’utilisateur lorsque ses photos sont téléchargées et ce, même s’il n’y est pas tagué. L’utilisateur sera averti même lorsque la personne qui télécharge les photos ne fait pas partie de ses amis. Facebook le préviendra également si son visage est inclus dans une photo de profil d’un tiers.

Protection
Cette mise à jour vise à empêcher les attaques informatiques de type « catfishing », escroquerie qui consiste à créer un faux profil en utilisant les photos intimes d’une personne sans son consentement. Les nouvelles applications de Facebook devraient également donner la possibilité aux utilisateurs de se protéger plus facilement contre le « revenge porn », le « porno de vengeance », qui consiste à publier du contenu sexuellement explicite, partagé publiquement sur Internet, sans le consentement des personnes qui figurent dans ces contenus.
Sur le site d’informations Gizmodo, l’expert américain en sécurité Adam Harvey explique que l’emploi de la reconnaissance faciale peut devenir un problème de sécurité supplémentaire pour le consommateur.
« Quand une information est assimilée pour des raisons de sécurité, elle devient moins sûre à partager. Par exemple, partager en ligne le nom de jeune fille de votre mère n’est pas une bonne une idée. De même, la fonctionnalité de reconnaissance faciale proposée par Facebook rendrait le partage en ligne de votre visage encore plus problématique qu’il ne l’est déjà. »
« Soyons clairs : Facebook a mis en place de nouveaux systèmes de sécurité et de protection de la vie privée qui engloutissent encore plus de données sur votre visage. La société devrait intensifier ses efforts de transparence et communiquer davantage surtout si cette fonctionnalité est développée pour protéger les personnes contre les détournements de leurs photos », explique Gizmodo.
Le site fait notamment référence à un recours collectif déposé dans l’l’Illinois où l’entreprise est accusée de violation du Biometric Information Privacy Act (BIPA). Selon ce recours, Facebook aurait négligé d’exprimer clairement les intentions de sa nouvelle stratégie.

https://fr.express.live/2018/01/25/apres-vos-donnees-personnelles-facebook-sinteresse-a-visage/

Écrit par : L'enfoiré | 28/01/2018

Pour le plus grand journal du Brésil, "Facebook est l'ennemi du journalisme de qualité"

Le Folha de S. Paulo, le plus grand journal du Brésil, a retiré ses articles de Facebook. Ce quotidien fondé en 1921 est pourtant suivi par 5,9 millions de personnes sur le réseau social de Mark Zuckerberg.
Les articles du journal brésilien Folha ne sont plus plus sur Facebook. Ce retrait fait suite à la décision de Facebook, le mois dernier, de laisser moins de place aux informations dans le flux d'actualité des utilisateurs. Selon le journal, cette décision ouvrirait un espace à la prolifération des "fake news".
Le Folha accuse Facebook "de bannir le journalisme professionnel de ses pages en faveur des contenus personnels pour que les fausses nouvelles se propagent". "Facebook est devenu un terrain inhospitalier pour ceux qui veulent offrir un contenu de qualité comme le nôtre", a expliqué, Sérgio Dávila, le rédacteur en chef du Folha

Les interactions avec les sites de "fake news" ont triplé
Entre octobre et janvier, le Folha de Sao Paulo a réalisé une analyse des interactions entre Facebook et 21 sites publiant des "fake news" et 51 sites de journalisme professionnel. Qu'en est-il ressorti ? Alors que les interactions avec des sites de "fake news" ont triplé, les interactions avec des sites professionnels d'information ont chuté de 17%. Les interactions avec les "fake news" ont légèrement diminué en janvier après l'adaptation de l'algorithme de Facebook.
Le nombre de lecteurs qui recevaient les articles du Folha de S.Paulo via Facebook est entre-temps tombé à 24%, contre 39% l'année précédente.
Le journal maintient sa page Facebook, mais ne publiera plus de nouveaux articles. Les lecteurs qui veulent partager les articles du Fohla doivent le faire désormais via leur compte personnel. "En mettant l'accent sur le contenu personnel, le réseau social a changé sa stratégie commerciale: si une entreprise veut gagner en visibilité, elle doit dorénavant payer, qu'il s'agisse d'un média ou pas", a expliqué Renato Cruz, spécialiste des médias en ligne brésilien.

Une nouveau paysage médiatique
Selon des analystes, le Folha s'inscrit dans un nouveau paysage médiatique, dans lequel les journaux s'appuient maintenant sur les abonnements numériques. Au début de la semaine, pour la première fois de son histoire, le New York Times a engrangé 1 milliard de dollars en abonnements. Le journal le plus connu au monde retire maintenant 60% de ses rentrées de la vente d'abonnements.
Le Brésil est un des trois plus grands marchés de Facebook, avec plus de 130 millions de comptes. Seuls les Etats-Unis et l'Inde comptent plus d'utilisateurs.

https://fr.express.live/2018/02/13/pour-le-plus-grand-journal-du-bresil-facebook-est-lennemi-du-journalisme-de-qualite?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=la_vente_du_club_dostende_par_marc_coucke_est_elle_suspecte_les_deepfakes_la_revolution_du_porno_les_etats_unis_le_nouveau_paradis_fiscal&utm_term=2018-02-13

Écrit par : L'enfoiré | 13/02/2018

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