20/07/2014
Le futur du vélo
Il est de plus en plus clair que se déplacer en ville en voiture devient problématique et qu'arriver à destination quelque part à une heure précise, n'est plus du tout garanti sur facture. Alors, il faut trouver autre chose. Le vélo vient à l'esprit. Oui, mais, il y a les bosses et les fosses... Comme nous sommes en période de vacances, ce serait une bonne période pour expérimenter ce genre de déplacements avec l'aide intégrée d'un moteur électrique.
Les exigences de la modernité d'arriver à l'heure aux rendez-vous ne sont plus réalisées avec la rutilante bagnole prête à tout faire.
Qu'à cela ne tienne, il y a d'autres solutions.
La moto vient à l'esprit. Circuler, se faufiler dans les bouchons peut donner une esprit outrancier de liberté avec des conséquences désastreuses en cas d'accident.
Les transports en commun, bien sûr. Parfois trop communs avec des horaires élastiques, un éloignement pour les atteindre qui ne correspond ni à la résidence de départ, ni la destination d'arrivée. Oublions les grèves, cela ferait trop mauvais genre.
Le vélo redonne ce sentiment de liberté quand la pleine force physique et l'habitude d'y recourir à coups de pédales.
Prendre ma voiture, la liberté d'hier, c'est est devenue ringard.
Le rédacteur Zen écrivait le billet dithyrambique "Vélo ira loin". Il avait omis de préciser quelques défauts d'utilisation.
Enthousiasme que je lui reconnais bien volontiers. Je suis cycliste avec un vélo tout terrain qui, sans la chaîne de sécurité et tous les accessoires annexes, pèse tout de même ses 15 kilogrammes dans sa nudité, exempte de paquets.
Avant lui, un demi-course, plus léger, me permettait d'aller plus loin mais qui cachait des tendances à cracher ses boyaux. Avec lui, il y avait un argument indéniable qui ajoutait à son plaisir: j'étais plus jeune. C'est devenu du tout terrain et du toutes destinations mais à proximité.
Garer son vélo. Avec un appartement comme seule résidence principale, le balcon ou le living ne sont pas des endroits très esthétiques pour l'entreposer. Alors, un garage en le surélevant pour ne pas gêner la voiture, s'impose.
Pas question de le laisser ce vélo si cher à son cœur dans la rue. Il pourrait avoir des ailes sans garder ses racines.
Le sport, en général, on aime ou on n'aime pas. Churchill le détestait et il doit avoir fait des émules.
Dans les villes des pays plats comme les Pays Bas, le vélo a pris la prépondérance.
Dans ce genre de pays, ce n'est plus la voiture qui est le danger pour le piéton, mais le trop plein de cyclistes pour qui tout ce qui est carrossable, devient un royaume inaliénable. Si le vélo devient un engin de rencontres importunes et créer de fameuses pelles pour les piétons et pour ceux qui sont en selle, cela devient tangent.
Bruxellois, je peux dire que le terrain n'y est pas plat.
Pentes et des faux plats ne se prêtent pas aux mollets délicats.
Les "vilos" s'y sont installés comme les vélibes dans d'autres villes pour la pratique de la bicyclette. Les pistes cyclables se sont intégrées dans les paysages des voies les plus fréquentées. Un nouveau gouvernement s'est mis en place à Bruxelles et un des projets de "mobilités" concerne les pistes cyclables.
Un sondage qui demandait Le vélo est-il vraiment l'avenir de la ville? Ce fut, oui, à 78%.
Au vu des parking de ces "vilos", il est amusant de constater qu'ils sont plus remplis dans les creux que sur les bosses des collines bruxelloises.
La France espère promouvoir la santé de ses citoyens, réduire la pollution atmosphérique et la consommation de carburant. Des Français vont être payés pour aller travailler à vélo.
Que ne ferait-on pas pour racler les fonds de tiroirs?
Pédaler, c'est à moindre coûts, bien d'accord.
C'est la belle saison et le Tour de France est en cours et incite à reprendre la bicyclette.
A voir les chutes qui ont eu lieu la semaine dernière dans ce Tour prestigieux, cela refroidirait de décrocher sa petite reine de son reposoir.
Touring Secours annonçait, récemment, que la proportion des utilisateurs du vélo est en constante augmentation.
Aujourd'hui, il y aurait 14% des membres utilisateurs de vélo contre 11% en 2012.
La voiture reste le moyen de locomotion le plus utilisé avec 55% des usagers. Le train affiche un taux d'utilisation de 8,7%, le tram de 5,2%, le métro de 6,6% et le bus de 12,4% en ville. Le compromis est à trouver au niveau confort d'utilisation et de sportivité.
Ce serait encore mieux avec la possibilité de mettre entre parenthèse les efforts quand l'envie de pédaler n'est pas au rendez-vous. Il y a des jours avec l'envie de pédaler, d'être sportif dans l'âme et des jours "sans".
La popularité du vélo devrait s'accroître avec l'utilisation du vélo électrique.
Un vélo sur dix est vendu avec une aide de l'électricité. Il permet de parcourir de plus grandes distances, plus facilement, plus vite et avec moins d'efforts.
Avec cette petite reine électrifiée, le vent de face n'est plus un problème majeur et, en principe, il n'y plus que les conditions atmosphériques de la pluie qui peuvent refroidir les enthousiasmes.
La pluie, l'ennemie du cycliste à cause des glissades sur deux roues, des "pelles" avec des conséquences tragique lors de rencontre avec un autre véhicule plus solide sur quatre roues.
Dessinés en R&D à Amersfoort aux Pays-Bas et assemblés à Hartmansdorf en Allemagne, les Ride+ et qu'on sort, se retrouvent dans une brochure qui démontre une foule d'options et de versions de "carburation", pardon de puissance de moteurs électriques et de longévité des batteries.
Il y est dit que Bionx assure l'adaptation des réglages tandis que Bosh assure la fiabilité. (Rien à voir avec le Bronx ni les Boches d'antan.)
Le silence de la technologie dans tous les cas.
Le moteur se distingue en prenant place à l'avant, à l'arrière ou au centre, intégré avec le pédalier. Chacun avec ses avantages particuliers d'équilibre ou de sportivité en fonction du centre de gravité.
L'électricité chargée sur le réseau parfois en moins d'une heure, ou additionnée par la récupération au freinage et dans une descente. Le ReGenDrive, fait atteindre l'autonomie à 100 kms en système Bionx et dépasser les 160 kms en système Bosch lors de conditions favorables.
Si le prix plus élevé reste un point négatif, il dépend de l'utilisation, du "confort" en échange de son prix d'achat. 1500 euros au minimum, entend-on. Au mieux, pour le cadre, on parle d’aluminium. Pas encore de carbone à l'horizon dans le catalogue.
Les grandes surfaces font descendre les vélos électriques pour femmes à 1000 euros. Oui, mais... dans ce cas, sans parti pris, vaut peut-être mieux rester utilisateur de transports en commun.
Les 21% de TVA sont dans le collimateur du Touring Club avec la demande d'être abaissés à 6%.
La batterie et le moteur rendent lourd, le vélo électrique. Difficile à manœuvrer, problématique pour être inséré dans une petite voiture avec un coffre aux dimensions du mouchoir de poche.
C'est aussi, là, que l'on rassemble les points positifs et négatifs.
En dehors du prix, l'ennemi du vélo électrique peut être le poids.
Les 25 kilogrammes pour le moins, si ce n'est pas nécessairement un problème en route, dans le garage, au moment de le faire grimper pour l'accrocher au mur aux côtés de la voiture, cela peut le devenir.
Le meilleur compromis serait de pouvoir transporter son vélo dans le coffre de la voiture, voiture qui sera laissée dans un parking de délestage en dehors de la ville.
Le vélo pliable compact et électrique serait-il la solution?
Au salon de Taipei, un vélo électrique de la société taïwanaise Darfon serait la réponse au problème. Il était dit qu'avec un cadre en carbone, il ne dépasserait pas 17 kg comme poids total (ouille...on est encore loin du vélo à la pédale douce en carbone). Un moteur électrique pratiquement invisible dans le cadre au niveau de la roue arrière et des roues de 20 pouces pour conserver la maniabilité dans le trafic urbain est annoncé. Prix encore inconnu.
Le magazine de l'assurance Ethias rappelait qu'avec ou sans batterie, il fallait être assuré avec une assurance familiale. La société participe au projet "Tous vélo-actifs" de la Région wallonne alors qu'un projet identique existe en Flandre. Les stations de recharges sont parait-il, présentes dans leur bureaux à Hasselt et à Liège.
Le titre de leur annonce était "Le vélo électrique conquiert la route" puisque le succès de vélo électrique semble incontournable.
En 2013, d'après leurs dires, les magasins de vélos belges auraient enregistré des ventes record: 406.092 vélos électriques se partage la demande croissante de moyens de transport alternatifs. Le vélo électrique arriverait en troisième position, derrière le vélo citadin et les accessoires pour vélo.
Le vélo électrique, des loisirs serait-il destinés aux seniors?
Non, aux trentenaires et aux quadragénaires qui se laisseraient tout autant séduire comme deuxième voiture familiale. Il permettrait d'aller partout et même à contre-sens dans les rues à sens-unique de Bruxelles et d'autres villes.
Le but avoué reste toujours le même: rouler plus loin, sans transpirer, même si les pistes cyclables traversent du terrain plat en alternance avec des collines aux pentes douces et de solides montées.
Avec le bon sens de la solidarité, ce serait arriver au boulot sans sueur alors qu'il n'y a pas de douche prévue, pour ne pas chauffer les narines des collègues par les odeurs de transpiration.
Le pieds pour tout le monde, quoi... et sans les mollets mis trop à contribution.
En finale, ce serait braver les intempéries avec le nez sur le guidon pour corriger une condition physique en déperdition quand la belle saison réapparaît et faire illusion d'une sportivité à toutes épreuves devant les voisins à vélo avec la discrétion du moteur électrique.
Jeudi, sur RTL, l'émission "Tout s'explique" expliquait comment maintenir un poids correct des personnes. Il était dit qu'il fallait des efforts légers mais réguliers pour le contrôler. Tout à fait dans les rayons du vélo électrique.
Lors de mes dernières vacances dans le Trentino, des vélos électriques étaient proposés en location, ce qui m'avait inspiré pour l'écriture de ce billet.
"Un vélo électrique reste avant tout un vélo", dit le spécialiste. Ce n'est pas une moto.
A de rares exceptions près, le vélo, ce n'est fait ni pour le cul-de-jatte, ni pour le vieillard impotent. Celui qui souffre de problèmes d'équilibre à vélo ne sera pas mieux loti avec de l'électricité comme pousse-pousse dans l'arrière-train.
Pédaler et bouger avec l'assistance électrique rend les choses plus faciles comme si on avait en permanence le vent dans le dos. Après les 25 km/h, l'assistance électrique abandonne et les freins ne sont plus là pour assurer un freinage efficace puisque le poids du moteur accroît la distance de freinage. Le vélo électrique permet de rouler avec un partenaire au même rythme. Ce qui désigne ce vélo comme une activité sociale.
L'assurance Ethias répondait aux questions que l'on pourrait se poser à son sujet.
Voici les réponses pour info telles quelles sans aucun intérêt personnel ni publicité.
1. Mon vélo électrique est-il assuré en vacances ?
Oui, les assurances d'Ethias sont valables tant en Belgique qu'à l'étranger. Concernant l’assurance, nous distinguons deux types de vélos électriques :
A. Le vélo électrique à assistance au pédalage : la RC de votre assurance Ethias Familiale suffit pour ce vélo. Elle couvre d'éventuels dommages que vous ou un membre de votre famille causez à des tiers pendant l'utilisation de votre vélo électrique dans le monde entier. Les cyclistes passionnés qui s'entraînent intensément (par ex. pour l’ascension du Mont Ventoux) peuvent prendre une assurance Sports d’Ethias : elle couvre également les dommages corporels, en cas de chute ou de défaillance cardiaque par exemple.
B. Le vélomoteur électrique avec lequel il ne faut pas pédaler : pour ce type de vélo électrique, la loi vous oblige à souscrire une RC Auto pour circuler sur les routes belges. La RC auto vous assure également en Europe en cas d'accident entraînant des dégâts matériels. Vous souhaitez être couvert pour des dommages corporels au cas où vous provoqueriez un accident ? Souscrivez alors une assurance conducteur.
2. Quels sont les avantages d'un vélo électrique ?
Le vélo électrique n'a que des avantages. En voici quelques-uns :
- Plus abordable et plus écologique qu'une seconde voiture familiale.
- Idéal pour le trajet domicile – lieu de travail : le matin, vous n'arrivez pas en sueur au bureau.
- Bénéfique pour votre santé, votre condition physique et votre ligne.
- Pratique pour emmener facilement vos enfants ou transporter vos courses dans une remorque.
- Plus de mobilité pour les personnes handicapées ou en mauvaise condition physique.
3. Quelle est la différence entre un vélo électrique à 600 € ou à 6.000 € ?
Outre le design, le prix dépend de l'autonomie de la batterie et du niveau d'assistance au pédalage souhaité. Si vous désirez une autonomie de 80 km, vous paierez davantage que si 40 km suffisent. Vous pouvez évidemment continuer à rouler si la batterie est à plat, mais vous ne bénéficierez plus de l'assistance électrique. Le prix d'un vélo électrique standard est actuellement d'environ 1.200 €.
4. Dois-je recharger le vélo électrique tous les soirs ?
Si vous achetez un nouveau vélo, rechargez-le complètement. Il faut 5 heures pour recharger une batterie Li-Ion, il suffit donc de brancher le chargeur sur une prise de courant pendant une nuit. En général, il faut recharger le vélo lorsque la batterie est à 25 – 50 % de sa capacité. Si vous n'utilisez pas votre vélo électrique en automne ou en hiver, rechargez la batterie au moins une fois par mois. S'il gèle, rangez le vélo – ou la batterie si elle est amovible – à l’intérieur. Le rayon d'action peut diminuer de 30 à 50 % si la batterie est trop froide.
5. Existe-t-il des itinéraires spéciaux pour vélos électriques ?
Le secteur touristique a réagi à la popularité croissante du vélo électrique. Plusieurs itinéraires ont été tracés en Belgique : des Ardennes flamandes aux Cantons de l'Est, pour les amateurs ou les passionnés. Il y en a pour tous les goûts !
En résumé, les questions à se poser pour déterminer le choix du type de moteur et de batterie restent:
- Quelle assistance électrique m'est-il nécessaire?
- Quelle distance à parcourir d'une seule traite dois-je pouvoir faire?
Mon copain, grand fan de cyclisme avec son Eddy Merkx, avec son expérience du Laos, me soufflait que le mal du vélo électrique était triple:
- le potentiel de vol du vélo électrique
- le déséquilibre du fait du poids et de la place des batteries
- la courte durée de vie des batteries.
"C'était un must à Vientiane il y a deux ans. Maintenant, il n'y en a plus un seul," ajoutait-il encore.
Il m'avouait qu'il restait un peu trop de temps sans bouger ces derniers temps et ne reprenait pas son Merkx préféré. C'est que là-bas, on devient "fiu" comme diraient les Polynésiens.
En fait, le problème du vol n'est pas spécifique au vélo électrique. Sur ce dernier, il y a maintenant une serrure intégrée au moteur. Inviolable? J'ignore. Quand on est bidouilleur, même en pièces détachées, cela peut intéresser. Maintenant, si on dit qu'on pourra voler pour se rendre au travail, ou en camping avec Dubosc, sans tout changer, cela permettrait de revoir une partie des objectifs.
Il m'ajoutait que si un cycliste ne montait pas sur un col, il ne connaissait pas ce qu'était le vélo.
Pour moi, les cols cela reste une affaire de chemises. Quand il y a des buttes à franchir à vélo, pragmatique, j'ai une fâcheuse tendance à chercher à les contourner. Puis, les problèmes d'encolure ne sont plus de notre âge.
Celui qui doit transporter une mallette pourrait trouver une solution grâce à la société greenenergymotors qui lance une mallette qui se mue en trottinette. Cette mallette contient les effets personnels et se déploie en valise à roulettes ou en trottinette électrique. L'ensemble ne pèse que 12 kg et peut rouler à 20 km/h avec une batterie qui permet de parcourir 40 km dont la recharge demande une heure.
Je n'ai qu'un vélo mais sans moteur, accroché au mur du garage de la bagnole. Alors, on étudie la cas de la fée électricité pour un futur et un moyen de le faire grimper à hauteur suffisante sur le mur du garage avec le moins d'efforts possibles.
On parlait du silence comme avantage du vélo électrique.
Comme tous les véhicules électriques, peut-être un jour, faudra-t-il réintroduire le bruit comme sur les vélos d'antan pour prévenir de son arrivée.
Le jeu de cartes fixés par des pinces à linge pour pétarader comme une mobylette. Le silence du tout électrique devient parfois l'ennemi pour les rencontres avec les piétons.
Dans le trafic, les oreilles sont tout autant utilisés que les yeux. Il n'est pas rare de devoir rappeler à l'ordre le piéton qui n'a pas remarqué qu'il marchait sur la piste cyclable en partage sur le trottoir. Le dring-dring doit être utilisé, mais dans le brouhaha d'un trafic automobile, il reste souvent peu perceptible à plus de dix mètres. Tout véhicule électrique ne donne qu'un temps de réaction de moins d'une seconde et un espace de 3 mètres. Le fait que le vélo devienne électrique ne change pas radicalement le problème, si ce n'est que le potentiel de vitesses accrues existe.
Je me propose de tester ce moyen de locomotion bientôt et j'espère revenir avec quelques expériences en plus. On trinquera et on "trekkera" ensemble sans plus s'en rendre compte.
Qui sait, on ajoutera, peut-être avant, un parapluie et une ombrelle interchangeable sur l'arrière de la selle et des pneus antidérapants pour les jours de pluies ou des pneus lisses pour les jours de sécheresses.
Le futur va encore apporter quelques surprises d'ingéniosité à la fée électricité du vélo.
Suite au prochain numéro, comme on dit dans ce cas-là.
Aujourd’hui, mon caricaturiste préféré, Vadot faisait sortir l'informateur avec une hache et un couteau dans le dos sur les traces de Froome et Contador mais sans moteur.
Demain, dans le défilé de la fête nationale, je verrais très bien des policiers en selle sur vélos électriques, puisqu'ils sont déjà en selle dans les rues de Bruxelles.
La devise "Faire plus avec moins" serait ainsi radicalisée.
Anecdote pour anecdote, le copain, Marcel Sel s'était baladé à la côte et y avait essuyé quelques crachins à la mer et écrivait ce petit mot "souvenir" avec une certaine philosophie au bout de l'aventure ---->>>
J'ignore s'il y fit du vélo. Aurait-il eu besoin de l'électricité en pousse-pousse dans ce cas? Une question qu'il me répondra peut-être.
Mais, cela m'avait rappelé ma prime jeunesse à bord d'une bicyclette le long de la côte. Novice du vélo à l'époque, ce fut un départ, tout frais, enjoué même entre copains, avec le vent arrière et un retour qui avait pris des allures de retraite de Russie avec le vent de face.
Pas de moteur, pour assouplir ces fameux coups de pédales qui n'en finissaient pas. Pas même de Paulette, de fille du facteur avec la peur de mettre le pied à terre.
Pas fait de photos de cette époque?, me demanderiez-vous.
Dans le cadre du souvenir de 14-18, le JT de la RTBF parlait de cette "Petite Reine" qui n'avait pas de dérailleur.
Non, personne n'y avait pensé. D'ailleurs, gardons-nous des souvenirs de calvaires ou de moments de gloire?
Prenons l'humour dans la Revue du Théâtre des Galeries:
Après une semaine de pluies, hier samedi matin, xième jour de canicules ou de "cannes aux cul" comme j'aime les appeler, j'ai enfourché mon vélo pour espérer récupérer un peu d'air frais par le seul mouvement. Un petit tour, mais sans faire d'excès.
Les photos, ce sera pour demain matin, en vélo, à la fête nationale et peut-être, en plus, avec la traditionnelle drache nationale en prime...
La nouvelle Reine sur sa petite reine, je l'ai vue lors d'une autre occasion.
L'enfoiré,
Citations avec une prédilection pour celles de Pierre Dac:
- « Cyclistes, fortifiez vos jambes en mangeant des œufs mollets. », Pierre Dac
- « Il est idiot de monter une côte à bicyclette quand il suffit de se retourner pour la descendre. », Pierre Dac
- « Sans l'invention de la roue, les coureurs du Tour de France seraient condamnés à porter leur bicyclette sur le dos. », Pierre Dac
- « Il y a deux sortes de cyclistes : ceux qui se font frapper par les automobilistes, et ceux qui frappent les piétons. », Benjamin Dereca
29 août 2014: En Norvège, l'auto électrique est victime de son succès. Dans le but d'inciter la population, exempter de taxes alors qu'elles sont lourdes pour les cousine à carburant fossile, le droit de pouvoir emprunter les couloirs des transports en commun,... une voiture électrique sur 160 habitants (32.000 voitures). Le cercle vicieux, les transports en commun sont dans des bouchons perpétuels.
19 janvier 2018: Le Match présente une nouvelle version du vélo électrique
20 janvier 2018: Vélos électriques loués aux sociétés
19 avril 2018: La situation en Belgique
27 mai 2018: La vélorution en ville est en marche
28 décembre 2019: Prenons l'humour dans la Revue du Théâtre des Galeries:
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Commentaires
En pré-lecture votre article, ce fut un plaisir de parcourir ces lignes ...
Comme un chemin parcouru en vélo, on ne s'ennuie jamais.
Je vous souhaite belle parution et vous transmets les félicitations de notre équipe qui s'est régalée.
La marchande de vélos
Écrit par : Isabelle | 20/07/2014
Répondre à ce commentaireMerci, pour le catalogue des vélos électriques qui m'a aidé pour l'écriture de ce billet et pour l'avoir validé.
Écrit par : L'enfoiré | 20/07/2014
Il est déjà là ton cycliste lao...
Première remarque, attention quand même à la vitesse obtenue ! Moii, cela ne me dérange pas de rouler à 25 à l'heure et plus ( record + de 75 km/h dans une descente de col que je connaissais parfaitement et de 52 en ville suite à un pari idiot mais que j'ai gagné ) Sans être échauffé, plus on devient vieux, plus il faut le temps, une " pelle " peut faire très mal. La différence entre votre " chez vous " et le mien étant qu'ici le deux roues a parfaitement sa place dans la circulation, ce qui n'est pas votre cas. Je me souviens que sur les 2.000 km que j'ai parcouru en Belgique, j'ai plusieurs fois eu affaire à la vindicte d'automobilistes imbéciles qui ne supportaient pas que je prenne ma priorité ou simplement que j'avance plus vite qu'eux.
Seconde remarque propre à la sécurité, la sonnette est absolument inutile. Mon truc à moi est de siffler ( méchamment ) entre les dents. Cela s'entend de loin et, comme ce n'est pas courant, si pas franchement mal élevé, les usagers motorisés et les piétons sont instantanément mis au courant de ma présence et comprennent que je passerai de toute manière si tel est mon droit, point ! Faut être un peu casse-cou quand même, donc avoir une certaine habitude, c'est clair. Le casque devient dès lors un accessoire indispensable.
Le troisième point de vue découle un peu du second : le poids et la position du moteur modifie considérablement l'équilibre de la mécanique. La seule et bonne solution me semble donc de l'avoir soit au niveau du pédalier, soit à celui du dérailleur. Mais cette remarque est peut-être d'abord due à mon envie perpétuelle d'aller vite et de me glisser à travers tout comme si j'étais une Porsche 911, on ne se refait pas.
Quatrième intervention : le vol ! Il me semble un peu angélique de ne se fier qu'à un cadenas de blocage. Non, mille fois non : il existe de bons câbles à numéro et je ne peux que vous conseiller d'en avoir deux, c.a.d. à la roue avant ET la roue arrière pour éviter ET le vol ET le vol associal, j'entends par là celui auquel procède l'imbécile par seul désir de foutre en l'air ce qui ne lui appartient pas, c'est plus fréquent qu'on ne le croit. Chez vous, pas ici. Il m'est arrivé plusieurs fois d'oublier mon vélo, entre autres une nuit complète devant le resto qui jouxtait mon hôtel et le lendemain matin, il était toujours là. Miracle de l'Asie qui est parfois si cruelle mais d'autres si respectueuse du bien d'autrui. Je reste persuadé que si je voyais des ... ou des ... ou encore des ... s'intéresser à mon vélo à Bruxelles et que je leur répondais " poten af, camarade ! " c'est moi qui serai condamné en justice pour provocation si cela tourne mal.
Cinquième remarque, je ne crois pas un instant au fait que le vélo supplantera les moyens de déplacement actuel. En été,si ! Mais qui se risquerait d'aller au boulot sous la pluie, la neige ou le crachin ? Personne ! Et vous voyez vraiment madame aller faire ses courses sur un 2 roues ? Moi pas, cela lui coûterait une fortune en coiffeur etc... etc... Ceci sans compter tous les complexes découlant du " ah non cela, le voisin penserait que je n'ai pas l'argent pour me payer une voiture, je ne serai à ses yeux qu'un " sale pauvre " Ne riez pas, c'est vrai !!!
Qu'on le veuille ou non, la solution du futur ne réside pas là mais en de petits objets de déplacement individuels COUVERTS ! Le concept voiture à 4 places date du XIXème siècle et n'a toujours pas été remis en question depuis, il serait temps d'y procéder. A cet égard, ce qui me semble le plus important dans le vélo électrique, c'est que le citoyen lambda comprenne que l'électricité adaptée à un mode de déplacement occupant un espace réduit est la solution de l'avenir.
Merde alors ! Je viens d'inventer le vélo sans pédales, sans vélo !
Écrit par : alainsapanhine | 20/07/2014
Répondre à ce commentaireComme je l'ai dit, nous n'avons plus les mêmes problèmes d'encolure.
Faire de la vitesse, monter sur des cols, c'est plus pour pouvoir en parler avec fierté des efforts qu'on a été eu un jour pour arriver à leur sommet.
La fierté ne fait pas partie du parcours lui-même quand le cycliste se voit dépasser en étant frôlé à toute vitesse par un bolide motorisé avec les deux doigts sur le volant sans effort et avec l'aide de la conduite assisté dans les virages. Ton envie d'aller vite sera tout de suite enrayée dans tes rayons de vélo quand la Porsche sera ton guide arrivée au sommet longtemps avant toi.
La conclusion d'humilité pourrait donc être "Il faut aller avec son temps et pas contre lui".
La plupart des pays asiatiques le vélo est le moyen de locomotion par excellence.
La réaction ne s'est pas fait attendre. Dans ce genre de pays, l'automobile fait encore la marque de la richesse et de l'exclusivité.
Ce n'est plus le cas dans des villes occidentalisées comme en Chine à Pékin et à Shanghai.
Là-bas les réactions ne sont plus tellement différentes des nôtres.
Le pot de terre est pris par sa fragilité, plus de force devant les tribunaux. Le trafic automobile a du se rendre compte de cette transformation.
Je connais bien la Hollande, pour l'avoir plusieurs "pratiqué". Les vélos ont la priorité dans les croisements avec d'autres véhicules.
Là, le moindre accident entre une voiture et un vélo et c'est le vélo qui aura gain de cause.
Le vol de vélo, il y a des statistiques et des moyens d'échapper comme il est mentionné ici
https://www.besafe.be/fr/conseils/vol-de-v%C3%A9lo
Le problème de la coiffure de madame, je connais très bien.
La mode a de ses relents stratégiques qui ne s'adaptent pas à la conduite d'un vélo.
Je n'ai pas encore vu beaucoup de femmes qui ont un sac ventral à main appelé communément "banane" en place du sac à main tellement joli, tellement prisé.
Le cambouis sur les mains quand la chaîne déraille ou quand une jante déjante, crève, ce ne sera pas Touring Secours qu'il faudra appeler.
Le vélo sans pédale, bien capoté, bien équilibré sur quatre roues a encore beaucoup d'avenir.
L'électricité captée par la lumière du soleil, sur ce toit protecteur, sera un autre moyen de concevoir l'avenir.
Écrit par : L'enfoiré | 20/07/2014
Mon cher enfoiré,
Ce petit mot pour t'avouer, hélas, que dans mes chroniques Telepro de juillet et août, je me situe systématiquement dans des lieux de vacances imaginaires, sans être pour autant en vacances. Quand j'ai écrit ce crachin, j'étais cependant bien en vacances (bien qu'actif), mais en fait à l'Ile de Ré ou il avait fait assez beau toute la semaine, sans pluie ou presque. Ce sont les témoignages de mes amis restés au pays qui m'ont permis de faire croire que j'avais vécu cet épisode.
Mais le plus important ici, c'est que j'ai bien fait du vélo la-bas. Pas beaucoup, pas loin, mais j'en ai fait! Et sans batterie!
Écrit par : Marcel Sel | 20/07/2014
Répondre à ce commentaireLà, c'est de la triche.
Je ne peux pourtant rien dire, puisque moi aussi, je me suis mis à rêver que j'étais l'archiduc Eugène à l'hôtel où j'étais pendant 15 jours mais qui 114 années plus tôt était sa résidence avec d'autres invités de luxe.
L'île de Ré doit être un excellent endroit pour faire du vélo sans batterie.
Il faudra que j'y aille un jour.
Écrit par : L'enfoiré | 20/07/2014
Il y a évidemment de la fierté d'arriver en haut d'un col. Enfin, de la fierté, entendons-nous. De la joie de s'être dépassé et d'y être arrivé quand même. J'appelle cela du masochisme. Mais je ne parle jamais où presque de ce que j'étais capable de faire, je l'ai fait et c'est tout. Dans un article consacré au vélo, il est impossible de ne pas se souvenir de cela et on doit nécessairement en parler. En fait, tout dépend de la mentalité avec laquelle on aborde le cyclisme. Moi, c'était toujours avec l'envie de performance, je suis un Merckxiste enragé donc je roulais pour me battre contre mon pire ennemi : moi-même. Je n'ai donc jamais ni gagné ni perdu. Mais le palmarès est là. Accessoirement, c'était aussi un objet de déplacement très pratique. Bien plus que ma Jeep. Et toujours vite pour garder ma place dans la circulation de ville. Rares sont les bagnoles qui y dépassent les 30 à l'heure, donc elles n'ont qu'à rester derrière, point c'est tout. Et puis, peut-être que le conducteur de la susdite bagnole finira par se dire : mais il roule aussi vite que moi, pourquoi ai-je une voiture ?
Le début de la conversion...
Écrit par : alainsapanhine | 20/07/2014
Répondre à ce commentaire"je roulais pour me battre contre mon pire ennemi : moi-même"
Ça c'est la seule phrase qui me ressemble. Je suis seul contre moi-même.
La performance ne m'a jamais intéressé du jusquauboutisme.
Le vélo est avant tout un engin de déplacement comme un autre. Pour se rendre vers un inconnu, un chemin que je fais à sens inverse dans une rue, tout fier de pouvoir le faire alors que les voitures doivent tourner pour retrouver le point d'où ils sont venus.
Bruxelles permet presque partout cette largesse pour les vélos de pouvoir remonter les sens interdits.
Écrit par : L'enfoiré | 20/07/2014
Et Touring en parle encore
Étape 1. Choisir un cadre léger
Préférez un cadre en alu léger ou – si votre budget le permet – en carbone. Un vélo électrique est plus lourd qu’un modèle traditionnel, en raison de la présence d’un moteur et d’une batterie. Un cadre léger permet de compenser cette surcharge.
Étape 2. Les freins hydrauliques : un must !
Les freins hydrauliques présentent une force de freinage exceptionnelle, ce qui – vu le poids du moteur électrique et la vitesse plus élevée – est absolument nécessaire. Il ne vous reste qu’à choisir parmi 2 solutions techniques :
1. Les freins hydrauliques à patins : ceux-ci pincent la jante pour provoquer le freinage.
2. Les freins hydrauliques à disque, semblables à ceux qui équipent la majorité des motos actuelles. Ce système a pour avantage d’être plus rapidement efficace sous la pluie et n’entraîne pas l’usure de la jante par frottement.
Étape 3. Attention au voltage
Une règle à retenir : plus le voltage annoncé est élevé, meilleures sont les performances. Attention, on ne parle pas ici de vitesse, laquelle est limitée électroniquement, mais bien de la capacité à emmener le vélo et le cycliste jusqu’au sommet d’une côte avec un minimum d’effort musculaire, le pédalage étant toujours exigé.
De plus en plus souvent, le moteur est positionné en position centrale et intègre le pédalier. Combinant efficacité et meilleur équilibre du vélo, cette tendance est défendue par de grands acteurs du monde de l’électronique, allemands ou japonais.
Étape 4. Une batterie au lithium.
Les batteries pour vélos électriques peuvent se répartir en trois catégories :
- batteries au plomb ou à l’électrolyte gélifié
- batteries à l’hydrure métallique de nickel
- batteries au Lithium
Elles se distinguent en termes de restitution de puissance, de poids et d’encombrement, de nombre de cycles charge-décharge et, bien entendu, de prix.
Les deux premiers types - batteries au plomb sous forme gélifiée et à l’hydrure métallique de nickel – sont les moins chères, mais aussi les moins puissantes, les plus lourdes, les plus encombrantes, et celles qui ont la plus courte durée de vie. On ne peut qu’en déconseiller le choix.
L’autonomie n’est-elle donc pas un facteur décisif ?
L’autonomie est en réalité difficilement calculable, car elle est fonction d’une multitude de facteurs : le poids du vélo, celui du cycliste, la charge qu’il emporte, la fréquence et la durée du recours fréquent au moteur électrique, le vent, le gonflage des pneus, l’état de la route, etc. Bonne nouvelle toutefois : grâce à une gestion électronique de pointe, l’autonomie générale s’est aujourd’hui fortement accrue, évitant le risque de devoir revenir à son point de départ à la seule force des mollets.
Étape 5. Choisissez le système de transmission qui vous convient
Pour changer de plateau ou de vitesse, deux possibilités s’offrent à vous : les commandes rotatives au guidon ou les manettes à pression et tirage. A partir d’un certain niveau de gamme, les deux systèmes fonctionnent aussi bien avec, cependant, un supplément d’efficacité en hiver pour les commandes rotatives, parfois plus aisées à utiliser avec des gants rembourrés.
3 conseils supplémentaires:
1. Le vélo électrique de votre choix n’est pas équipé d’éclairage ? Faites placer immédiatement un éclairage avant et arrière sur votre vélo. Si le Code de la route n’exige plus que le vélo soit livré avec un éclairage, il impose que le cycliste en soit pourvu entre le coucher du soleil et le lever du jour. En faisant placer votre éclairage, vous pourrez choisir des lampes suffisamment puissantes et vous éviterez tout risque d’amende en cas de contrôle.
2. Garde-boue. Sous nos latitudes, les garde-boue ne seront pas non plus à négliger. En cas de pluie où lorsqu’on s’aventure hors des sentiers battus, ils permettent de ne pas rentrer chez soi couvert de boue.
3. Cadenas. Prévoyez dans votre budget vélo l’acquisition d’un voire deux cadenas de bonne qualité
http://www.touring.be/FR/services-conseils/route/circuler-velo/caracteristiques-types/velo-electrique/index.asp
Écrit par : L'enfoiré | 30/07/2014
Répondre à ce commentaireBonjour Guy,
Actuellement, je me trouve en Moscou (pas de vacances, mais pour le travail).
C'est une ville qui montre des grande différences; d'un côté, on a la richesse (squares et tout ce qui se trouve dans l' environnement) et de l' autre côté, il y a une ville avec une population énorme, des chantiers partout et une circulation de voitures incroyable.
Hier, ça m' a pris 1hr20min pour traverser 25km en taxi. Pire que Bruxelles !!
Alors, le futur du vélo doit commencer ici !!!
Il faut motiver de prendre de plus en plus leurs vélos pour des petits déplacements, parce-que en voiture, on reste dans les bouchons.
Peut-être, c'est une idée d'écrire qq-chose sur l' évolution du vélo électrique ?
Salutations de Rita et Louis
Écrit par : Louis | 30/07/2014
Répondre à ce commentaireCher auteur,
vous avez oublié l'hydrogène ! Les vélos équipés de piles à combustible (H² ou CH4) possèdent des autonomies et des vitesses maintenues en côtes, bien supérieures !
Écrit par : zelectron | 31/07/2014
Répondre à ce commentaireD'accord, mais ce ne serait plus un vélo, mais une moto.
On sait ce que cela veut dire: les mollets ne seraient plus impliqués.
Écrit par : L'enfoiré | 31/07/2014
Soit, mais un vélo est-ce un moyen de transport ou de loisir ? rien n'est plus facile que de brider de l'énergie, la développer c'est tout autre chose ...
Écrit par : zelectron | 31/07/2014
Répondre à ce commentaireBien d'accord. Personnellement, je le considère comme un moyen de transport.
Maintenant, si on veut aller plus loin, en prenant plus de place et en oubliant l'obligation de prendre les pistes cyclables, il y a avec un toit et plus de stabilité...
Découvrez le véhicule tricycle biplaces dont les créateurs pensent qu’il va conquérir le monde
Un véhicule tricycle biplaces qui ressemble au Messerschmidt Kabinenroller, conçu par Fritz Fend qui a fait fureur dans les années 50 et 60, veut conquérir rapidement les Etats-Unis. Les premiers exemplaires devraient être livrés début de l'an prochain à plus de 25.000 clients qui ont payé un acompte de 1.000 dollars.
Cette voiture, baptisée Elio, coûte à peine 6.800 dollars (5.000 euros) et consomme 3 litres aux 100 kms.
Avec ses trois roues, Elio Motors vise surtout les familles qui, à côté de la voiture familiale souvent dévoreuse de carburant, veulent un véhicule plus écologique.
Les voitures sont fabriquées dans une usine de General Motors à Shreveport en Louisiane. Il est possible d’y concevoir 25.000 exemplaires par an.
L'industrie automobile, elle, est moins enthousiaste. Tout d'abord, ces types de start-ups représentent un gaspillage d'argent et ensuite, les Etats-Unis n'ont jamais fait le succès d'un trois roues, selon les analystes du marché.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=decouvrez-le-vehicule-tricycle-biplaces-dont-les-crateurs-pensent-quil-va-conqurir-le-monde&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Peut-être faudra-t-il y encore ajouter un moyen pour voler et de le rendre amphibie avec un pilote automatique en option.
Une version postérieure, peut-être.
Écrit par : L'enfoiré | 31/07/2014
3 étudiants chiliens inventent le vélo que l’on ne peut pas voler
Trois étudiants chiliens en génie civil ont mis au point une solution pour pouvoir combattre de manière efficace le fléau mondial de vols de vélos, rapporte le journal uruguayen El País. Ce projet prévoit que lors d'un vol, le vélo « Yerka » est endommagé, ce qui le rend inutilisable.
De cette manière, les concepteurs de cette bicyclette, Andrès Roi, Cristobal Babello et Juan José Monsalve, étudiants de l'Université Adolfo Ibanez à Santiago du Chili, espèrent via le Yerka Project offrir aux cyclistes une protection efficace et parvenir à décourager les voleurs. Le vélo des inventeurs chiliens peut être bloqué en 20 secondes et ensuite débloqué pour être de nouveau utilisé.
Les cyclistes doivent prendre des mesures de sécurité de plus en plus grandes pour empêcher le vol de leur vélo. Un simple antivol n'est dorénavant plus suffisant pour intimider les voleurs. Grâce au projet Yerka, les étudiants pensent avoir trouvé une solution pour lutter de manière vraiment efficace contre les vols. Le vélo de Roi, Babello et Monsalve est pourvu d'un cadre muni de charnières grâce auxquelles le vélo lui-même peut être attaché à un objet fixe comme un réverbère, sans pour autant devoir utiliser des chaînes ou un antivol. Le vélo lui-même est utilisé comme cadenas et devient son propre antivol.
Les personnes qui voudraient voler ce vélo, avec ce dispositif, seraient obligés de démonter la structure, ce qui le rendrait inutilisable. Ainsi, la bicyclette ne peut plus être utilisée et le vol perd tout son sens.
Les concepteurs de ce dispositif ont entre-temps construit un prototype de leur vélo, mais ont sollicité un certain nombre de partenaires financiers pour démarrer une production à grande échelle. Ils espèrent qu'un premier stock pourra être mis sur le marché d'ici 6 à 8 mois.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=3-etudiants-chiliens-inventent-le-velo-que-lon-ne-peut-pas-voler&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 28/08/2014
Répondre à ce commentaireEn Norvège, l'auto électrique est victime de son succès. Dans le but d'inciter la population, exempter de taxes alors qu'elles sont lourdes pour les cousine à carburant fossile, le droit de pouvoir emprunter les couloirs des transports en commun,... une voiture électrique sur 160 habitants (32.000 voitures). Le cercle vicieux, les transports en commun sont dans des bouchons perpétuels.
Écrit par : L'enfoiré | 29/08/2014
Répondre à ce commentaireTrop communs ces transports en commun?
Le RER va coûter plus cher d'un milliards d'euros et est évalué à 2,5 milliards...
Trop coûteux ce RER
http://www.lalibre.be/economie/actualite/trop-couteux-le-rer-540e841335708a6d4d54caa5
Alors qu'est-ce qu'en dit Thomas?
http://www.rtbf.be/info/emissions/article_le-cafe-serre-de-thomas-gunzig?id=8351785&eid=5017893
Écrit par : L'enfoiré | 10/09/2014
Répondre à ce commentaireBaidu s’apprête à lancer le vélo intelligent (vidéo)
L'entreprise internet Baidu a annoncé le lancement du Dubike, un vélo totalement équipé de gadgets électroniques et de technologies en rapport avec le fitness, rapporte le site Engadget.
Le Dubike est davantage une bicyclette intelligente qu'un vélo électrique. Ses acheteurs ne doivent pas s'attendre à disposer d'une assistance au pédalage, en revanche, il est doté de capteurs qui mesurent le pouls, la fréquence et la pression du pédalage, et qui ont aussi d'autres fonctions.
Ces données sont ensuite envoyées via bluetooth à une application sur leurs smartphones. Cette application surveille l’état physique de l'utilisateur, fournit des indications de direction et offre la possibilité de trouver et de partager des circuits ou des programmes d'entraînement grâce aux réseaux sociaux.
Plate-forme de chargement
Ce vélo, élaboré par Baidu en collaboration avec l'Université de Tsinghua, devrait être également en mesure de transformer l'énergie cinétique en électricité. Cela signifie qu’il sera possible d'utiliser le Dubike pour charger un téléphone ou d'autres dispositifs. Baidu a déjà lancé un système d'exploitation spécifique pour les vélos intelligents.
En rassemblant à grande échelle des données sur les utilisateurs, Baidu espère même pouvoir proposer des circuits intelligents et des programmes d'entraînement. Le système d'exploitation sera proposé à d'autres cyclistes.
Il y a peu de chances que Baidu, qui n'est actif qu'en Chine, décide de commercialiser ce vélo en Europe ou aux Etats-Unis. Toutefois, un constructeur occidental s'intéressera peut-être à l'acquisition d'une licence pour cette technologie.
Par ailleurs, l’e-bike « Denny », un vélo muni de vitesses électroniques conçu par Fuji qui offre une batterie amovible et un pédalage assisté suscite aussi beaucoup d’intérêt. Il devrait être lancé l'année prochaine.
Source: http://www.express.be/sectors/?action=view&cat=ict&item=baidu-sapprete-a-lancer-le-velo-intelligent-video&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré. | 01/12/2014
Répondre à ce commentaireFord dévoile un nouveau véhicule intelligent et ce n’est pas une voiture
Cette semaine, dans le cadre du Mobile World Congress 2015 de Barcelone, Ford a présenté deux prototypes d’e-bikes. Il s’agit de deux vélos électriques : le MoDe:Me et le MoDe:Pro. Ces bicyclettes sont équipées de moteurs de 200 Watts et d'une une batterie de 9 ampères/l’heure et peuvent atteindre une vitesse de 25km/h. Les batteries peuvent durer quelques 50 km.
Ces deux vélos intelligents sont conçus pour les navetteurs en milieu urbain qui doivent se déplacer dans des rues au trafic important. Ils sont pliables et peuvent être emmenés dans les transports publics. Ils sont par ailleurs équipés d’une technologie issue de l’industrie automobile qui consiste en un capteur qui fait vibrer le guidon et allume les phares du vélo lorsqu’un véhicule se rapproche rapidement par derrière.
Par ailleurs, Ford á également développé le prototype MoDe:Link app, connectable à l’iPhone 6 et qui fournit des informations en temps réel. Par exemple, le guidon vibre lorsqu’un véhicule se rapproche mais les vibrations indiquent également au cycliste lorsqu’il doit tourner à gauche ou à droite. Les clignotants se déclenchent automatiquement et l’application identifie les itinéraires possibles et avertit l’utilisateur des dangers éventuels. Le pédalier peut être réglé en fonction de la fréquence cardiaque du cycliste et le mode « No Sweat » offre la possibilité de suivre un trajet plus décontracté.
Ces différents prototypes sont équipés de deux types de klaxons avec différents décibels : l’un pour avertir les piétons et l’autre pour attirer l’attention des automobilistes.
« Pour le moment, il n’existe aucun plan de commercialisation pour ces deux vélos, il s’agit uniquement de tests d’un nouveau concept », a déclaré Richard Craven, directeur de l’innovation chez Ford.
Grâce à ces vélos intelligents, Ford espère améliorer la communication entre les cyclistes et les véhicules et améliorer la sécurité tout en permettant une meilleure planification de l’itinéraire via des informations en temps réel.
Source: http://www.express.be/business/?action=view&cat=technology&item=ford-devoile-un-nouveau-vehicule-intelligent-et-ce-nest-pas-une-voiture-vido&language=fr&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=
Écrit par : L'enfoiré | 06/03/2015
Répondre à ce commentaireLa Région bruxelloise va créer 80 km de pistes cyclables sécurisées
C’est toute la configuration de la mobilité douce à Bruxelles qui va être bouleversée rapidement par une décision du gouvernement bruxellois : jeudi dernier, le ministre régional de la Mobilité, Pascal Smet (SP.A), a fait approuver par ses collègues les points concrets de la création d’un large réseau 100 % cyclable. La note détaillant l’avenir cycliste de la Région bruxelloise est confidentielle mais "La Libre" a pu se la procurer. Amis du deux-roues, ce qui va suivre risque de vous intéresser…
En effet, de 2016 à 2018, la Région va créer un total de 80 km de nouvelles pistes cyclables séparées et protégées du reste du trafic, des voies rapides pour vélos permettant un déplacement sécurisé. La majeure partie de ces pistes sera isolée physiquement des voitures par des travaux d’infrastructures. Autrement dit, ces voies dédiées aux vélos ne seront pas créées par quelques marques de peinture sur le bitume : il s’agit d’aménager de véritables espaces parallèles aux routes habituelles.
La Petite Ceinture à vélo
Le document concocté par Pascal Smet détaille les zones qui seront concernées par ces aménagements (les priorités ont été définies suite à une vaste étude). Pas assez de place ici pour en donner l’intégralité mais voici quelques grandes lignes. Tout d’abord, l’intégralité de la Petite Ceinture bruxelloise bénéficiera de voiries 100 % cyclables sans que des bandes de circulation ne soient pour autant retirées au trafic voitures : les travaux concerneront les voiries latérales.
Outre la Petite Ceinture, on retrouve parmi les priorités du gouvernement la Route du Canal mais aussi la création d’un RER-Vélo. Sur ce dernier point, Pascal Smet veut créer de véritables autoroutes pour les cyclistes venant de la périphérie bruxelloise au niveau des quatre grandes entrées dans la capitale : nord, sud, est et ouest. La Flandre, dont le territoire ceinture la Région bruxelloise, est évidemment directement concernée par le RER-Vélo. Pour la réalisation de ce réseau ultraperformant pour cyclistes de la périphérie, l’idée retenue est d’utiliser (entre autres) les talus qui bordent les voies ferrées.
Onze ponts et ascenseurs cyclistes
Important : ce projet a été concerté avec les communes concernées. Notamment avec la ville de Bruxelles qui est en plein réaménagement du Pentagone. Des pistes cyclables sont également prévues dans ce projet concernant le centre-ville et elles seront connectées directement avec les 80 km de nouvelles pistes prévues par la Région.
La décision du gouvernement avalise également la construction de onze ponts et ascenseurs spéciaux pour les vélos.
Combien ça coûte ? Actuellement, il s’agit d’une simple estimation : entre 28 et 43 millions pour les pistes cyclables; 12 millions pour les ponts et ascenseurs pour cyclistes (trois ponts sont financés par des fonds européens Feder); entre 4 et 5,5 millions pour les frais d’études du projet. Addition : environ 60 millions d’euros (estimation haute).Frédéric Chardon
http://www.lalibre.be/regions/bruxelles/la-region-bruxelloise-va-creer-80-km-de-pistes-cyclables-securisees-5543b2be35704bb01c111342
Écrit par : L'enfoiré | 02/05/2015
Répondre à ce commentaireLes pistes cyclables bruxelloises en 2020 (carte interactive)
http://blog.lesoir.be/docs/2015/05/12/les-pistes-cyclables-bruxelloises-en-2020-carte-interactive/?_ga=1.260434509.170648839.1417337909
Écrit par : L'enfoiré | 12/05/2015
Un autre vélo du futur : le Denny qui a remporté le concours Bkµike Design Prohµject.
Il propose un guidon amovible qui se transforme en cadenas en quelques secondes, un un panier flexible, une batterie rechargeable amovible, des phares LED qui s'enclenchent en fonction de la luminosité, des clignotants,une assistance électrique et des vitesses automatiques.
Écrit par : L'enfoiré | 23/05/2015
Répondre à ce commentaireLa voiture a moins la cote parmi les jeunes Belges
Alors que l’on constate une diminution du nombre de permis de conduire chez les jeunes âgés de 18 à 20 ans, le journal Le Soir se demande s’il faut y voir un phénomène de rejet de la voiture par la jeunesse.
A Bruxelles, pour se déplacer, il existe plusieurs solutions alternatives pour se déplacer. Durant la dernière décennie, on a constaté une diminution de 10% des jeunes ayant atteint la majorité qui passent leur permis de conduire.
En ville, la jeunesse préfère le tram, le métro ou encore le vélo à pignon fixe, devenu très tendance. Selon Aurélie Willems, Aurélie Willems, porte-parole du Gracq, association des usagers cyclistes francophones, le vélo est revenu à la mode et la voiture n’est plus synonyme de liberté. En outre, rouler dans Bruxelles peut être un véritable parcours du combattant. Cependant, dans les zones non urbaines, la voiture reste le moyen privilégié des jeunes car les transports en commun sont moins fréquents.
Les jeunes choisissent leur moyen de transport
Selon Touring, l’aspect financier élevé d’une voiture détourne également les jeunes de celle-ci. Le vélo est aussi un moyen plus rapide pour se déplacer en ville. Par ailleurs, les nouvelles technologies comme les smartphones font que les jeunes peuvent converser entre amis sans bouger. L’offre d’applications de covoiturage et d’autopartage permet également de se passer du permis de conduire. Les jeunes choisissent dorénavant leur moyen de transport, ce qui risque d’avoir des conséquences dans le futur, souligne Aurélie Willems.
Cependant, lorsque l’on rentre dans le monde du travail, le permis de conduire reste une obligation pour beaucoup d’employeurs, notamment dans le secteur commercial, et les jeunes se décident alors à le passer, conclut Touring.
Source: http://fr.express.live/2016/02/17/la-voiture-a-moins-la-cote-parmi-les-jeunes-belges/
Écrit par : L'enfoiré | 17/02/2016
Répondre à ce commentairehttps://www.touring.be/fr/articles/testes-une-trottinette-et-un-velo-pliant-electriques?utm_source=touring&utm_medium=email&utm_campaign=discovery_0216_fr
Écrit par : L'enfoiré | 04/03/2016
Répondre à ce commentaireVélo électrique solaires
http://www.msn.com/fr-be/actualite/video/v%c3%a9los-%c3%a9lectriques-solaires-des-panneaux-dans-les-roues/vi-AAgzyYZ?ocid=spartandhp
Écrit par : L'enfoiré | 09/03/2016
Répondre à ce commentaireLa course de vélo et l'homme augmenté
https://www.youtube.com/watch?v=_8zPbXWw-uo
Écrit par : L'enfoiré | 19/07/2017
Répondre à ce commentaire13 bonnes raisons de se mettre au vélo en ville
Si vous vivez en ville, vous savez qu’aller d’un point A à un point B n’est pas toujours facile. Les bouchons, les transports en commun, les travaux… Heureusement, il y a un truc génial qui s’appelle le vélo. Que vous soyez déjà un adepte ou que vous songiez à vous y mettre, voilà 13 super bonnes raisons de se mettre au vélo en ville.
1. Le vélo, c’est écolo
Pas de gaz d’échappement, pas de pollution sonore, pas de carburant. Le progrès, en un mot.
2. Et donc, super éco
Pas d’essence, de parking, d’assurance, de garage à payer…
3. C’est deux bénéfices en un: vous faites du sport en plus de vous déplacer
Pour qui les jambes de rêve???
4. Puis en vélo, vous passez partout
Libre comme l’air!
5. Vous découvrez des raccourcis… et donc votre ville!
Prendre des chemins de traverse, c’est bon pour le moral.
6. Adieu trafic
Qui ne reste plus coincé dans les embouteillages? Vous.
7. Adieu places de parking à trouver
Le rêve.
8. Et donc adieu stress au volant
Arriver au travail énervé parce que vous avez êtes resté coincé dans les embouteillages et tout le reste, c’est FI.NI!
9. Avec tout ça, plus la peine d’en rajouter pour dire que… le vélo c’est la RA.PI.DI.TÉ!!!
Zut j’ai oublié le papier-toilettes, bon j’y vais d’un coup de vélo, j’en ai pour 32 secondes!
10. Et grâce à votre vélo magique, vous pouvez rester à une soirée sans vous soucier du dernier métro
Oh, il est 1h42! Je file! (Attention à l’alcool au guidon, quand même).
11. Puis, faut bien le dire, le vélo c’est devenu super branché
La voiture pour crâner, c’est ringard.
12. Et on n’a même pas encore parlé de la solidarité entre cyclistes
Entre cyclistes, pas de doigts d’honneur et noms de d’oiseaux! (Ça, c’est pour les automobilistes…:-D)
13. Même que, parfois, ils se laissent des petits mots doux!!!
Trop chouette!
https://fr.express.live/2017/10/02/13-bonnes-raisons-de-se-mettre-velo-ville/
Écrit par : L'enfoiré | 07/10/2017
Répondre à ce commentaireVélos électriques loués aux sociétés
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/01/00/3378224809.MP3
Écrit par : L'enfoiré | 20/01/2018
Répondre à ce commentaireLa situation en Belgique
http://vanrinsg.hautetfort.com/media/01/02/2563452762.MP3
Écrit par : L'enfoiré | 19/04/2018
Répondre à ce commentaireNabum en parle
À bicyclette !
https://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/a-bicyclette-205169
Écrit par : L'enfoiré | 14/06/2018
Répondre à ce commentaireNeuf Flamands sur dix disposent d’un vélo. C’est ce que révèle un rapport du centre de recherche "Fietsberaad". Nous utilisons aussi de plus en plus souvent le vélo pour nos déplacements quotidiens. Un Flamand sur trois roule quotidiennement à vélo.
On dit souvent que le Flamand a une brique dans le ventre mais nous sommes aussi de grands amateurs de la petite reine. 90% des Flamands ont accès à un vélo, il y a en moyenne 2,3 vélos par ménage.
"Le type de vélo le plus couramment utilisé reste le vélo de ville. Mais nous remarquons qu’en ville un petit groupe de citadins utilise de plus en plus le vélo partagé", déclare Wout Baert, coordinateur du Fietsberaad.
Le vélo électrique a le vent en poupe, plus de la moitié des utilisateurs de ce type de vélo a moins de 50 ans.
Le Flamand utilise de plus en plus de vélo pour ses déplacements quotidiens. "Un Flamand sur trois utilise son vélo tous les jours, que ce soit pour se rendre à son travail, pour faire ses achats, voire se rendre au cinéma" ajoute Wout Baert.
Cette évolution se traduit par une demande d’une meilleure infrastructure cycliste. "Ces dernières années, on a surtout investi pour créer un important réseau récréatif" déclare encore Wout Baert. Et si le réseau de voies rapides pour vélo récolte la satisfaction générale par contre l’état des pistes cyclables et des routes pour vélo laisse à désirer dans le centre des villages".
http://deredactie.be/cm/vrtnieuws.francais/Soci%25C3%25A9t%25C3%25A9/1.3205270
Écrit par : L'enfoiré | 13/02/2019
Répondre à ce commentaireLe modèle économique des trottinettes électriques est-il viable ?
Depuis cette année, les trottinettes de l’économie du partage font partie des scènes de rue de presque toutes les grandes et petites villes flamandes. Six opérateurs sont déjà actifs à Bruxelles. Anvers en compte actuellement trois, mais les propriétaires se dirigent également vers des villes plus petites telles que Roulers et Alost. Les trottinettes électriques ne causent pas seulement de plus en plus de chaos sur les routes et les trottoirs; il y a maintenant tellement de fournisseurs que le modèle économique doit être remis en question.
Le marché européen des trottinettes électriques à temps partagé compte une quinzaine de fournisseurs principaux :
Allemagne : Wind, Tier, Circ et Hive
Estonie: Bolt
Espagne : Movo, Ufo
Pays-Bas : Dott
Suède : Voi
USA : Lime, Bird, Jump et B Mobility
La plupart des noms se composent de quatre lettres, ce qui les rend faciles à mémoriser. La seule exception à la règle est B Mobility, la société du champion olympique Usain Bolt, qui a vu son nom repris par un groupe d’Estoniens et a dû chercher une solution différente.
Y a-t-il assez de place pour autant d’acteurs ?
La réponse est non, bien sûr. Certaines entreprises vont disparaître, d’autres vont fusionner ou être reprises. Rien d’anormal sur un marché comptant autant de start-up. C’est aussi un secteur de transport qui nécessite relativement peu de capitaux pour se lancer. Il ne peut donc se comparer avec celui des sociétés de location ou de covoiturage, par exemple.
Pourtant, ce ne sont pas seulement les start-ups qui se lancent sur ce marché. Les investisseurs ont investi plus d’un milliard d’euros dans diverses entreprises de trottinettes électriques (e-trottinettes) au cours des derniers mois. Même les grands groupes automobiles considèrent également les trottinettes électriques comme une alternative intéressante pour les trajets de courtes distances. Ils espèrent ainsi compenser une partie de la baisse des ventes de voitures. Dans les grandes villes, on abandonne de plus en plus les véhicules à quatre roues traditionnels. Hive est une filiale du constructeur automobile allemand Daimler via mytaxi et Ufo est une filiale de Seat (Volkswagen). De même, Jump appartient à la compagnie de taxis alternatifs Uber.
L’exploitation des scooters électriques à temps partagé est-elle rentable ?
Ici aussi, la réponse est non, car avec une telle concurrence, les prix ne peuvent que baisser. Il n’y a pas encore de guerre des prix, mais un prix moyen de 15 cents par minute de location reste trop faible pour être rentable. D’autant que la vie d’une e-trottinette est très courte.
Une étude du Boston Consulting Group estime à environ 3 mois la durée de vie d’une trottinette électrique, soit 227 km en moyenne. Une période extrêmement courte pour rentabiliser une activité, sans tenir compte du faible aspect écologique des « e-trottinettes jetables ».
Ensuite, il faut payer les stations de charge ou « juicers ». Ils recevraient entre 5 et 10 euros pour chaque e-trotinette qu’ils rechargent et remettent dans la rue. Enfin, le problème des nuisances et du vandalisme est sous-estimé par la plupart des prestataires.
https://fr.express.live/le-modele-economique-des-trotinettes-electriques-est-il-viable/
Écrit par : L'enfoiré | 14/08/2019
Répondre à ce commentaireÉtude sur plus de 10 000 cyclistes : le vélo électrique ferait faire plus d’efforts que le classique
Les résultats peuvent surprendre au premier abord mais plusieurs facteurs sont à prendre en compte
Au premier abord, on pourrait croire que faire du vélo électrique réclame moins d’efforts qu’un vélo classique. Cependant, une étude menée sur 10 000 utilisateurs démontre que le vélo électrique est tout aussi sportif que le vélo classique ou la marche.
LE VÉLO ÉLECTRIQUE, NOUVELLE STAR DES ÉTUDES STATISTIQUES
Avec l’arrivée de modèles à prix abordables et la prime d’achat, le vélo électrique s’est progressivement imposé en France. Ce mode de locomotion très prisé notamment en ville permet entre autres de se déplacer facilement sans nuire à l’environnement. S’il était longtemps réservé aux plus aisés, son développement fait qu’aujourd’hui, tout le monde peut acheter facilement un vélo de ce genre.
C’est pourquoi les scientifiques peuvent plus facilement étudier le vélo électrique et le comparer à d’autres modes de transport. C’est exactement ce qu’a fait une récente étude publiée dans la revue Transportation Research Interdisciplinary Perspectives. Celle-ci porte sur la dépense énergétique moyenne d’un usager en fonction du mode de transport qu’il utilise. Au total, 10 000 adultes vivant dans 7 pays européens ont été observés en détail.
Depuis 2017, le vélo électrique s’est démocratisé en France, que ce soit à la location ou à l’achat
L’ASSISTANCE ÉLECTRIQUE AUSSI BONNE POUR LE CORPS QUE LE VÉLO CLASSIQUE ?
Parmi les modes de transport empruntés au quotidien par les sondés, on trouve le vélo classique, le vélo électrique, la conduite ou encore la marche. Au vu de l’effort qu’il réclame, beaucoup peuvent penser que le vélo classique fait faire davantage de sport.
Or, l’étude révèle que le mode de transport qui fait dépenser le plus est le vélo électrique. D’après les chercheurs, la distance parcourue par les utilisateurs est la raison de cette première place. Comme le moteur électrique aide l’usager, il sent moins l’effort et peut plus facilement parcourir de plus grandes distances.
Cependant, l’étude a révélé d’autres chiffres tout aussi surprenants. Elle signale entre autres que les cyclistes ont la masse corporelle la plus faible parmi toutes les personnes sondées. En moyenne, l’IMC d’un utilisateur de vélo électrique se situe entre 23,8 et 24,8. Enfin, elle montre que l’âge moyen des utilisateurs de VAE est de 48,1 ans.
UNE ÉTUDE VISANT À FAVORISER L’UTILISATION DU VÉLO ?
Si l’étude permet de découvrir les avantages du vélo électrique, elle a une autre vocation. Son but est également de promouvoir l’utilisation du vélo en Europe et d’inciter les gouvernements à encourager son développement. En France, le lancement en février 2017 de la prime à l’achat d’un vélo électrique a favorisé la démocratisation de ce mode de transport. Cette année-là, 255 000 VAE ont été vendus dans le pays. Cela représente un bond de 90 % des ventes en 12 mois et témoigne de l’engouement des Français pour ce mode de transport écologique
https://dailygeekshow.com/effort-velo-electrique/
Écrit par : L'enfoiré | 17/08/2019
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