08/04/2021
Nietzsche, oser la liberté dans un éternel retour
Pâques est la fête la plus importante du catholicisme. Elle commémore la résurrection de Jésus, que le Nouveau Testament situe le surlendemain de la Passion, c'est-à-dire le «troisième jour» . La solennité, précédée par la Semaine sainte, dernière partie du carême, commence dans la nuit qui précède le dimanche de Pâques, par la veillée pascale. Parler de Friedrich Nietzsche, à la suite du weekend de Pâques pourrait être considéré comme une gageure, désynchronisé ou de la provocation par l'antagonisme d'opinion.
C'est pourtant une occasion de réhabiliter sa pensée emplie de richesse, souvent tronquée ou présentée comme confuse au nom du culte du «surhomme».
Aujourd'hui encore, après plus de 120 ans, ses œuvres ont toujours un impact en théologie, anthropologie, la philosophie, la sociologie, la psychologie, par des reflets dans l'art, la poésie et au théâtre.
C'est avec la même volonté que Nicolas Vadot de parler d'autre chose que du Covid que j'ai tenté apporter un écho en réponse aux cloches à Pâques.
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